RDP AVRIL 2023

Sommaire

A lire dans Moteurs & Réseaux : un dossier sur les tondeuses débroussailleuses materiel-paysage.com - 28/04/2023

[NOUVEAUTÉS]

Vaucluse Agricole - 28/04/2023

Entre adaptation, efficacité, et curiosité Paysan du Midi - 28/04/2023

TAILLE RASE DE PRECISION Ils l’ont essayée... et adoptét Le Vigneron du Val de Loire - 27/04/2023

Pellenc Excelion 2

Unser Land - 20/04/2023

Romain Serratore, Directeur Industriel Groupe – Pellenc alliancy.fr - 21/04/2023

Taille rase, saison 2

La Vigne - 01/04/2023

Pellenc: Entlauber in drei Versionen Wein & Obstbauprofi - 17/04/2023

La primavera di Pellenc ept.it - 17/04/2023

Dal 1998 nella Tenuta San Leonardo la vendemmia è 'meccanica' (VIDEO). Tinelli: "Così si combatte la carenza di manodopera. Il futuro della viticoltura è la tecnologia"

ildolomiti.it - 12/04/2023

VinEquip a répondu à tous ses objectifs Terres des Savoie - 06/04/2023

Le distributeur de matériel agricole Pellenc acquiert son site de Servian LaLettreM.fr - 03/04/2023

Le magazine des distributeurs A lire

dans Moteurs & Réseaux : un dossier sur les tondeuses débroussailleuses

L'équipe Matériel et Paysage Publié à 15:00 2 minutes de lecture

Découvrez la une et le sommaire du numéro 97 (avril 2023) de notre magazine Moteurs & Réseaux. A lire : notre dossier sur les tondeuses débroussailleuse, des machines à succès...

Notre dossier du mois vous propose un focus sur les tondeuses débroussailleuses à conducteur marchant (à lames) et les débroussailleuses autoportées. Ces deux marchés enregistrent des progressions significatives de leurs ventes depuis trois ans, et ce, grâce à une combinaison de facteurs propices...

Retrouvez toute l'actualité des marques du secteur motoculture avec Iseki France ( distribution des robots Segway Navimow), Honda, Kramp France, Ego Power+... A lire également, notre compte-rendu (partie 1) sur le salon des JDC Garden Trends 2023 ainsi que nos reportages en région avec le revendeur Pellenc Vignobles Champenois (Aube) et la nouvelle enseigne Auber Garden Tech (Calvados).

Voir notre sommaire détaillé ci-dessous

Couverture de Moteurs & Réseaux n°97 d'avril 2023, 52 pages. (Cliquez pour agrandir)

Au sommaire de ce numéro : International :

Allemagne • : centenaire, le groupe Fricke investit dans la logistique

La vie des marques :

• lance les robots sans fil Segway Navimow

Iseki France

Honda

• : des outils à batterie plus légers

Kramp France

• : une croissance « phygitale »

Ego Power+

• : des outils toujours mieux armés

Parcours :

• Patrick Delahodde (Stiga France), Philippe Blanc (Kress), Jean-François

Joséphine et Josselyn Philippe (PPK); Carnet : Éric Petit (Pubert)

SALON :

• (première partie) : carton plein, avec un brin de

JDC GARDEN TRENDS 2023

Un article Moteurs et Réseaux

morosité

DOSSIER TONDEUSES DÉBROUSSAILLEUSES DES MACHINES A SUCCÈS !

• Deux marchés distincts

Des constructeurs très concentrés

• Sécurité renforcée et confort de travail

• Moteurs à batterie, robots : quelles machines pour demain ?

• Points de vente :

• Pellenc Vignobles Champenois (Aube) : un revendeur mixte viticulture-motoculture

Auber Garden Tech (Calvados)

• : une nouvelle enseigne pour le machinisme en espaces verts et agricole

Infos Pros SEDIMA : Campagne Sedima sur Spotify

• Bulletin de paie et « montant net social »

• Compétitions régionales WorldSkills

• Retrouvez les offres d'emploi JobAgriVous désirez feuilleter quelques pages de notre magazine ou bien, encore mieux, vous abonner ? Cliquez ici.

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PERIODICITE :Hebdomadaire

28 avril 2023

[NOUVEAUTÉS]

RUBRIQUE :Dossier travail du sol

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G Une bineuse-sarcleuse plus économique Pellenc lance une nouvelle gamme d'outils électroportatifs pour travail du sol, baptisée Cultivion Alpha. Pouvant recevoir quatre têtes interchangeables (selon la nature du sol) différentes travaillant au rythme de 885 coups par minute, cette gamme plus économique (1 200 euros contre 1 700 € pour le Cultivion classique) est un peu plus lourde.

Autorisant uneautonomie d'une demi-journée avec la batterie Alpha 260 (une journée avec l'Alpha 520), la bineuse-sarcleuse Culti-vion Alpha peut évoluer à des rythmes très bas, pour les plantiers notamment.

G Un cadre porte-outils pour un duo d'outils de travail du sol Terral lance un cadre porte-outils, pour y fixer par exemple des disques émotteurs à l'avant, pour travailler le sol à proximité du rang, et des disques Kress à l'arrière. Les disques émotteurs sont réglables en profondeur, en inclinaison et en angle d'attaque. De leur côté, les Kress sont ajustables en écartement, en inclinaison et en profondeur. Se réglant par une manivelle, les roues de jauge arrière assurent la régularité de la profondeur de travail. Les disques émotteurs et Kress sont montés sur des supports coulissants, afin d'ajuster l'écartement à l'interrang des vignes. ■ 0BapgpYmR9SxOCdD1WFzOYADBf4e9DLdIYuGJoqd3vRKVMlm4Po4vjD3KfmPJ-GDMZjQ1

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PERIODICITE :Hebdomadaire

28 avril 2023

RUBRIQUE :Dossier travail du sol

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JOURNALISTE :Manon Lallemand

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LES ROBOTS DANS LES EXPLOITATIONS, VOILÀ UN VASTE SUJET QUI

INTERROGE LES AGRICULTEURS, PARTICULIÈREMENT AVEC LE PLAN FRANCE 2030

QUI OUVRE LA PORTE AU FINANCEMENT DE NOUVEAUX PROJETS. C'EST LE SUJET

QU'A CHOISI D'ABORDER LE GDA VITICULTURE LORS DE SON ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, AFIN DE DYNAMISER LES ÉCHANGES.

Entre adaptation, efficacité, et curiosité

Manon Lallemand

L e 29 mars dernier, l'assemblée générale du GDA viticulture prenait des airs de conférence. Après un bref point sur les travaux et projets du groupe, Christophe Charransol, président, annonçait la volonté “d'aborder des sujets ludiques, intéressants et d'actualité”. Par cela, il entend principalement la robotique.

Le viticulteur aux multiples casquettes a en effet pu constater le regain d'intérêt pour le matériel présent dans les parcelles, à l'occasion de la dernière journée porte ouverte du domaine expérimental de la Chambre d'agriculture du Vaucluse, à Piolenc. Renaud Cavalier, conseiller en agroéquipement pour la Chambre gardoise, a ainsi traversé le Rhône pour présenter l'état des lieux de la robotique agricole.

Si les premiers robots apparaissent dans les années 1980-1990, notamment avec Citrus et Magali, ce sont bien les années 2010 qui lèvent véritablement les verrous techniques qui avaient pu faire des précédentes tentatives des échecs. GPS, vision RTK centimétrique... Toutes les technologies qui se développent sont aujourd'hui déployées et valorisées dans de nombreux secteurs.

“Actuellement, on compte 44

modèles de robot différents dans toutes les filières, et ce, depuis 2018”, explique l'expert. Ce sont donc environ 11 000 robots qui circulent en France, principalement en élevage. “On estime qu'environ 10 % des éleveurs sont équipés. Les robots sont aussi très répandus en maraîchage, pour le désherbage et la récolte. ”

En viticulture, une centaine de machines est en fonctionnement dans l'Hexagone. L'expert estime sans nul doute que le plan France 2030 devrait accélérer leur apparition dans les vignobles. “Déjà, trois robots ont été financés à 40 %”, indique-t-il au passage. L'évolution de la réglementation –qui jusqu'ici exige une pré-sence de l'agriculteur à 250 mètres de la machine maximum – annoncée par le ministre de l'Agriculture, Marc Fesneau, se fait maintenantattendre en pratique.

du Château Mont-Redon, à Châteuneuf-du-Pape (84). “Le binage est d'une qualité que je n'avais jamais observée ailleurs”, témoigne Jérôme Cantaluppi, le responsable du vignoble.

L'assemblée générale du GDA viticulture aura cette année mis en avant le sujet de la robotique en viticulture. État des lieux et retour d'expériences au programme.

Des robots pour chaque situation

Ces machines viennent proposer des solutions pour les agriculteurs et leur donner les moyens de gagner en efficacité, de pallier le manque de main-d'œuvre ou encore d'améliorer les conditions de travail des salariés. Pourtant, leur développement se fait doucement. Grâce aux investissements permis par France 2030, Renaud Cavalier s'attend donc effectivement à voir le nombre de robots opérationnels augmenter. “La robotique va encore se développer, c'est même un travail quotidien. Mais les opérateurs doivent encore aller en ce sens. Il y aun fort dynamisme en recherche et

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Depuis 2021, un enjambeur électrique Bakus de Vitibot circule dans les vignes

PAYS :France

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PERIODICITE :Hebdomadaire

RUBRIQUE :Dossier travail du sol

DIFFUSION :(5280)

JOURNALISTE :Manon Lallemand

28 avril 2023 Cliquez ici pour voir la page source de l’article

développement, et ce financement jusqu'à 40 % – sur un plafond de 200 000 € qui concernent Trektor, Alpo, Bakus et ses outils – va sans doute accélérer les choses. ”

Toutefois, il rappelle que d'autres outils sont disponibles en dehors des entreprises stars, parmi lesquels l'enjambeur Ted et le chenillard Jo, chez Naïo, le chenillard interligne Céol, chez Pellenc, l'enjambeur Traxx, chez Exxact robotics en 100 % diesel et la version n° 2 à l'hydrogène, ou encore le robot de pulvérisation chez Yanmar. Naïo devrait rejoindre le prochain appel d'offres pour le plan d'investissement. Avec un accompagnement et un conseil adaptés, le conseiller souligne qu'il existe de tout, et pour tout type de vignoble.

Essai transformé au Château Mont-RedonÀ Châteauneuf-du-Pape (84), le Château Mont-Redon a adopté un Bakus en novembre 2021. Après un peu plus d'un an d'utilisation, Jérôme Cantaluppi, responsable du vignoble, présentait un retour d'expériences. Au départ, l'exploitation avait aussi eu sur ses terres un Ted, en test, mais c'est finalement pour le robot de Vitibot que l'équipe a opté. “Il nous a fallu environ trois mois de mise en route, le mapping des parcelles a été un peucompliqué, et nous avions beaucoup de zones blanches sur le domaine. Le basculement sur une couverture multi-opérateurs nous a permis de débloquer la situation”, rapporte le responsable. Chez eux, l'enjambeur 100 % électrique est utilisé pour des tâches précises : “Nous avons testé le décavaillonnage, mais ça ne fonctionne pas trèsbien chez nous. En revanche, le binage est d'une qualité que jen'avais jamais observée ailleurs, en partie grâce

aux réglages très précis de la force appliquée”. Parfait pour les vignes palissées ou en cordon, il est àéviter pour les gobelets. Autonomie de dix heures plus que satisfaisante, le Bakus travaille sur environ 80 hectares des 220 du domaine. Jérôme Cantaluppi le reconnaît : le fait d'avoir un vignoble non morcelé est un avantage conséquent. Il n'y voit pas une solution de remplacement des chauffeurs, mais bien un appui à ces derniers. À l'époque, le Château Mont-Redon s'équipait pour environ 170 000 € tout compris. Il en vaut aujourd'hui jusqu'à 200 000 € avec ses équipements. L'objectif est désormais de renta-biliser l'achat le plus possible. “On aimerait ajouter des cuves d'arrosage, par exemple, ou encore qu'il soit capable de rentrer tout seul pour venir se recharger de lui-même, comme les aspirateurs à la maison”, développe Jérôme Cantaluppi. Si le premier point est envisageable sous peu, le second est à réfléchir et à développer avec Vitibot. Il ajoute toutefois que sur les sols calcaires l'efficacité du robot est moindre : “Ça marche moins bien et abîme plus rapidement les lames et, dans ces cas-là, il faut passer un autre outil ensuite. Cela dit, ça reste très satisfaisant. ” Les éloges sont nombreux, le domaine de la famille Abeille-Fabre est résolumentséduit par ce nouvel outil, et envisage même d'en obtenir un second. W ■

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PERIODICITE :Bimensuel

27 avril 2023 - N°610

TAILLE RASE DE PRECISION Ils

l’ont essayée...etadoptét

Il y a10 ans, la Taille rasede précision (TRP) n’était encore qu’au stadede l'expérimentation dans le vignoble de Nantes. Depuis,la pratique s’est démocratisée et a convaincu de nombreuxvignerons pour leursparcellesdestinéesà faire de L’IGP oudu Vin deFrance,la TRP n’étantpasautorisée en appellation. Chardonnay,sauvignon,pinot noir, chenin et cabernet sont ainsi les principaux cépagestaillés mécaniquement dans le Nantais.

Anticiper dès la plantation Si la TRP est possible sur des vignesdéjàenplaceaprèsuneadaptation, l’idéal estde l’anticiperdèsla plantation notamment pourque la vigne soit à la bonne hauteurpour le passagede la machine.À Corcoué, les Grands Chais de Francetaillent 45 de leurs 80 ha en TRP. "Les vignes sont plantées à 2m50 par 1 mètre, soit unedensité de4000pieds/ha, et ellessont montéesà 1 mètre de haut”, explique JérômeBondu, responsable du domaine. À Tillières, RogerBoisdron est passéà la TRP pour 6 deses28 ha. "Jesuis resté en vignes étroites. J’ai installé un poteau tous les4 mètresau lieu de 6, choisi unplus gros fil porteur et mis destuteurs. Il faut debonsancrages pour que cela tienne etbien former la vigne”.

Taille mécanique et reprisemanuelle

À Tillières, Patrice Chesnépratique la TRPdepuis 2015avecune machine de sa création. "C’est une pré-tailieusesurlaquellej’ai installé desbarresde coupesurlecôté.Jene faisqu’un seul passagemécanique à raison de 4 h/hapuisje repasseà la main pour enleverce qui reste”. Jérôme Bondu utilise, quant à lui, les outils Pellenc montés sur un tracteur interligne. Il passed’abord la pré-tailleuse à l’automne puis la TRP, fin février-débutmars. Il compte moins d’une heure à l’ha pour la pré-taille et 2 h/ha pourla TRP suivie d’une taille manuelle d’environ 25h/ha.

Unesolution contre le gel ? Dansles trois domaines,la TRP a eu pour effet deretarder le débourrement, "d’une à2semaines", estimeJérômeBondu.Unesolution utile pour lutter contre le geld’autant que La vigneestmontéeentre 80 cm et 1 mètre au-dessusdu sol. Côtémaladies, les vignes en TRP ne sont pasplus sensiblesqueles autres etseraientmêmeplus résistantes aubotrytis.

Un gain detempsetd’argent Plus rapide,la TRP estaussimoins coûteuse que la taille manuelle. Chez RogerBoisdron, elle est effectuée par un prestataire qui lui facture 360 €/ha horscarburant, "les 4 premières années, le coût est équivalent car il faut former la vigne.Maisaprès5ans,celadevient rentable car il n’y a que 2 passages mécaniquesetla reprisemanuelle prendmoinsdetemps", préciseJérôme Bondu.

Une récolte abondante Outreson gain detemps, la TRP a pour avantage de jouer sur les rendements. En moyenne Patrice Chesnéatteint 90 à 100 hl/ha. À Corcoué,GCF s’est fixé 100 hl/ha. "L’an dernierona fait 120 hl/ha en chardonnay.Le mieuxque l’on ait fait, c'est150 hl/ha". Les vendanges sont exclusivementmécaniquesdu fait dufort rendementetdegrappes pluspetiteset trèsdenses.

A.L.G

JOURNALISTE :A.L.G

Pellenc Excelion 2

Die akkubetriebene Motorsense, die Sie vom Prinzip der Elektrogeräte überzeugen wird.

Die neue , noch stärkere Excelion 2 ist mit Rund- und Doppel griff erhältlich und sorgt mit bis zu 6 600 U/ Min für ein qualitativ hochwertiges selbst bei dichtem Wuchs. Sie ist bis zu 30%% leichter als herkömmliche Motorsensen mit Verbrennungsmotor Eine digitale Anzeige liefert Echtzeitinformationen zum Betrieb Weder Lärm noch Abgase stören Umwelt und Anrainer , der Anwender genießt die Ergonomie und Laufruhe Auch die Vibrationen konnten deutlich reduziert werden In Verbindung mit der Batterie 1500 erreicht man eine Laufzeit von bis zu 6 Stunden.

Info: www pellenc com/de

Romain Serratore, Directeur Industriel

Groupe – Pellenc

Romain Serratore, Directeur Industriel Groupe – Pellenc « Sur notre secteur du matériel agricole (viti-viniculture, oléiculture) il y a encore beaucoup d'innovations à faire émerger même sans digital – nous devons donc arbitrer nos investissements en conséquence. Pour profiter des avantages du numérique, notre premier objectif est la fédération des données, car nous devons pouvoir accéder à cette richesse plus facilement afin d'améliorer notre excellence opérationnelle. Nous voulons aller vers du zéro papier dans nos processus documentaires et obtenir par là même 100% de traçabilité. Pour la direction industrielle, nos démarches numériques se focalisent sur l'amélioration de la collaboration interne et externe et de l'expérience client. En comparaison avec les grands groupes, nous ETI, n'avons pas des millions d'euros à dépenser dans les sujets d'innovation numérique. Nous compensons par une rapidité d'éxecution sur des solutions récentes et disponibles. Parfois en dématérialisant un simple fichier de pièces critiques on obtient des gains très rapides… Inutile de se focaliser uniquement sur des sujets complexes comme la réalité augmentée, qui paraissent parfois intouchables pour des sociétés de notre taille. »

PAYS :France

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PERIODICITE :Mensuel

1 avril 2023 - N°362

DIFFUSION :9028

JOURNALISTE :Vincent Gobert

Taillerase,saison2

Pasmoins desepttailleuses étaient endémonstration débutmarsen Gironde,dont une d'Ero,nouveau venu sur ce marché. Quatre modèles sesontdistingués.

TAILLEUSES en démonstration le 9 mars àMauriac, en Gironde, il yavait: Ola Tailleuse mécanique de précision de Terrai ; © la Taille rase de Cellier-Boisset; © la Box Pruner Elite d'Ero àbarre de coupe.

Le9mars,l'Association développementagricoleet rural (Adar) desDeuxRives aréunisixconstructeurs et septmachinespourune démonstrationdetailleraseà enGironde,la précédentes'étant enmars2022.L’essaiaeulieu BernardetQuentinYon,enAOP Bordeaux, dontle cahierdescharges impliquedegardertrois bourgeons,et doncdetailleràenviron5 cmducordon. Àchargeauxdémonstrateursde respectercetteconsigne.Lavigne,

ERO MISE SURLESLAMES

Originale, latête de taille de la Box Pruner Elite d’Ero est formée de trois lames à barre de coupe etnon de disques comme chejlesautres constructeurs dujour. Deux barres uerticales sontdisposées à l'auant, suiuies d’une barre horizontale qui s'efface aupassage des piquets. « Nous auons fait cechoix pour minimiser les projections et les encrassements,

justifie Cyril Fournier, responsable des uentes.On taille sur 85 cm de largeur, notamment pour les uignobles du Gers etde Cognac. Le mât estspécifique à cet outil. Nousauons placé uneboule d'ajotepour affiner l'effacement dela scie arrière au passage de piquets. » Cette machine demande 25 l/min d'hydraulique etpèse350 kg. Aucun tarif n’a étédéfini.

elle,estconduiteenguyot double.Tous lesintervenantsontréglé leuroutil danslamatinée,sousleregardattentif deprèsde120viticulteurs.

Mauriac,Un travail satisfaisant tenueAction ! C’estpartipourla démo. Chaque machineenlice tailleunrang. Onretient quatrebellesprestations: celles deFerrand,Terrai, Ero etPellenc TRP portée.Cesoutilsonttailléàune distanceassezrégulièredesbaguettes. Lescoupessontnettes.Lesboisnesont pasarrachésni déchiquetés.Lessarments bassontcoupés.Premièreleçon,le suivi automatiqueducordonn'estpaslaclé dela réussite,Ero n’endisposantpas contrairementà Ferrand,Terrai et Pellenc. Néanmoins, cetteaideapporte unconfortautravailetlimite lesrisques. LestailleusesdeProvitis etCellierBoisset sont,elles, moinsconvaincantes. Lapremière,sansdisposerdusuivi de cordon,oublie dessarments,déchiquette unpeuleboisetlaissedescoursons delongueurtrèshétérogène. « On atrop serrélesdisques», admetFlorentRenaut, inspecteurcommercial.C'estencore moinsbonpourla seconde,avecsatête originalemixant disquesetcouteaux. Leconstructeurexpliquenepasavoir eusonchauffeurhabituel.« On adéréglé l'outil le matin lors desessaissi bien qu'onadûpasserenmanuellorsde

la démonstrationaulieud'utiliserle suivi decordon. »Heureusement,lorsd’un deuxièmepassageréaliséàla demande deviticulteurs,lesdeuxmodèlesont donnéunmeilleurrésultat. Pourla chambred’agriculture,les tailleusescochenttrois cases : baisse deschargesetdescontraintesde recrutement,lutte passivecontrele gel. Restequecesmachinesmériteraient d'êtreamélioréespourtaillerplusprès despiquets il restesystématiquement dessarmentsnon taillés.C'estsûr,une saison3detaille raseaurabienlieudans le Bordelais.• VINCENTGOBERT

PARMI LES SEPT

PHOTOS: VINCENT GOBERT

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17 avril 2023

Entlauber in Versionen

Entlaubervon Pellenc in ihrer zweiten Generation sind bewahrteGerate die seit Jahren erledigen Dafiir sorgt in erster Linie die sensorgesteuerte Diese ermoglicht eine sehr schnelle Anpassung an die Laubwand , Vorteil ist dass des Laub nicht durch das Geblase und wird , sondern den Fahrer sichtbar - Blatt fur Blatt - in die Zeile ist der Entlauber in drei Ausfiihrungen: fur eine halbe Zeile , fur und als

INFORMATION:

17 avril 2023 - 17:39

PAYS :Italie

TYPE :Web Grand Public

JOURNALISTE :Fiera Nazionale Dell

La primavera di Pellenc

MG Marketing Giardinaggio Notizie

17 Aprile 2023

Una primavera ricca di novità per il mondo Pellenc Italia! Proprio mentre va a concludersi la prima stagione di potatura con le nuove forbici Pellenc C35 & C45 e mentre è ormai già avviata la stagione del giardinaggio, Pellenc Italia è coinvolta con numerose giornate in campo e iniziative promozionali dedicate.

Non solo, importante è la notizia secondo la quale Pellenc Italia issa ufficialmente le proprie bandiere di fronte alla nuova sede dell’azienda, ormai operativa in pianta stabile. Sempre a Colle di Val D’Elsa in provincia di Siena, ma in uno spazio decisamente più ampio e più funzionale, Nel frattempo, non si fermano le iniziative e la presenza di Pellenc Italia sul territorio!

Il mese di Febbraio ha visto lo svolgimento di MyPlant & Garden, evento di riferimento nel panorama nazionale per quanto riguarda il giardinaggio, mentre la primavera porta con se Agriumbria, la Fiera Nazionale dell’Agricoltura di Lanciano, oltre alle numerosissime fiere locali!

ROTTA DI NAVIGAZIONE:

PELLENC TRA CONFERME E NUOVE IDEE (intervista)

IL SITO PELLENC ITALIA

> Version en ligne

12 avril 2023 - 20:42

Dal 1998 nella Tenuta San Leonardo la vendemmia è 'meccanica' (VIDEO).

Tinelli: "Così si combatte la carenza di manodopera. Il futuro della viticoltura è la tecnologia"

AVIO. Sono sempre più le aziende agricole che, complice la carenza di personale, decidono di affidarsi alla tecnologia. Un esempio è quanto avviene dal 1998 nella Tenuta San Leonardo di Avio, dove le uve vengono interamente raccolte da una vendemmiatrice meccanica. "E' stata un'ottima scelta - anticipa Luigino Tinelli, direttore generale dell'azienda agricola a Il Dolomiti -. Non torneremmo mai indietro anche perché questa modalità ci consente di togliere il pensiero delle ricerca di manodopera

A inizio aprile 2023, un'analisi di Coldiretti ha lanciato l'allarme, sottolineando che nei vigneti italiani servono almeno 20mila lavoratori per garantire le operazioni colturali primaverili e la prossima vendemmia. Mancanza che costituisce un gran problema per molti viticoltori ormai da tempo, mettendo a rischio i raccolti.

"Il 1998 era stata per noi un'annata difficile - prosegue Tinelli -. In autunno aveva piovuto molto e avevamo avuto problemi con la raccolta. Così, avevamo deciso di contattare la ditta toscana Salvestrini, che in Italia distribuisce i macchinari francesi Pellenc e che sui nostri terreni aveva portato una prima vendemmiatrice meccanica (certamente diversa rispetto a quelle d'oggi ndr) permettendo di rivoluzionare e facilitare le operazioni di raccolta delle nostre uve".

L'anno seguente una Pellenc nuova ha iniziato a bazzicare fra i filari della Tenuta San Leonardo, che da allora si affida alla tecnologia, certa della propria tanto azzeccata quanto lungimirante scelta: "Questo macchinario funziona soltanto sugli impianti a filare e non su quelli a pergola, tipici del territorio e ampiamente diffusi in Trentinopremette il direttore generale -. Noi, fortunatamente, abbiamo i filari ormai dal '78, con pali che abbiamo poi sostituito per permettere alla vendemmiatrice di raccogliere l'uva anche nei punti più prossimi ai pali".

Si tratta di "una macchina 'scavallante' che passa sopra al filare e che viene guidata da un operatore che la regola con un computer: ciò, consente di raccogliere soltanto gli acini maturi, lasciando raspo e acini verdi o secchi sulla pianta". La

vendemmiatrice meccanica è peraltro capace di stabilizzarsi anche su terreni con una pendenza fino al 20%, "riuscendo comunque a lavorare sempre in piano".

Nel caso di aziende agricole come la Tenuta San Leonardo, possedere una tecnologia del genere significa garantire un raccolto fatto nel momento giusto, "senza dover faticare a trovare manodopera per vendemmiare 30 ettari di vigneti in cui le nostre uve rosse maturano più o meno tutte insieme, rischiando peraltro di perdere parte del raccolto".

Dalla Pellenc le uve della Tenuta vengono vuotate nel cassone di un trattore che le porta in cantina "il prima possibile, perché il rischio è che gli acini si rovinino rapidamente vista la mancanza del raspo – prosegue l’esperto -. In cantina ci sono poi due o tre persone che controllano tutto su di un nastro di cernita, anche se le impurità da eliminare sono davvero poche".

Accanto alla vendemmiatrice meccanizzata quest'anno nell'azienda agricola della Vallagarina è spuntata anche un'altra novità: "Abbiamo acquistato anche un robot che ci permette di tagliare l'erba, pulire l'interfila (in corrispondenza del ceppo ndr) e fare la pre-potatura estiva ed invernale, tutto in autonomia: anche quello un validissimo strumento - conclude Tinelli -. So che attualmente stanno lavorando alla creazione di vendemmiatrici meccaniche dedicate agli impianti a pergola, a dimostrazione del fatto che il futuro della viticoltura guarda (e guarderà) sempre più alla tecnologia".

PAYS :France

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PERIODICITE :Bimensuel

6 avril 2023

RUBRIQUE :Au fil de l'actu…

DIFFUSION :(4000)

JOURNALISTE :Florence Bouville

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JEUDI 30 MARS, LA DEUXIÈME ÉDITION DU SALON VINEQUIP A FERMÉ SES PORTES. À L'HEURE DU BILAN : 300 PROFESSIONNELS ONT EXPOSÉ MACHINES, ÉQUIPEMENTS ET SERVICES ET 3 578 VISITEURS ONT FOULÉ LE SOL DU PARC DES EXPOSITIONS DE MÂCON. RETOUR SUR CET ÉVÉNEMENT.

VinEquip a répondu à tous ses

objectifs

Florence Bouville

Il y aura bien une édition 2024 de VinEquip, assure GL events, l'organisateur.

Les deux grands enjeux actuels de la filière viticole sont l'adaptation au changement climatique et les besoins en main-d'œuvre.

L'innovation technique qui peut être une des réponses à ces enjeux a été fortement mise à l'honneur sur le Salon VinEquip. Des professionnels de tout l'Est de laFrance, des Savoie au Jura en passant par les vignobles d ’A r d è c h e, du Rhône ou d'Alsace, et évidemment de

Bourgogne et du Beaujolais, ont pu se rencontrer. Bon nombre d'organismes et instituts de recherche étaient représentés et divers sujets ont pu être débattus lors des conférences. En une journée, un viticulteur a donc largement eu le temps de balayer une grande panoplie d'activités. Les distributeurs ont bien répondu présent également. Jérémy Goubert, chef des ventes chez Claas Mâcon, se dit d'ailleurs « agréablement surpris que les concessionnaires se soient autant réunis ». L'espace extérieur, dédié au machinisme, était un passage obligé. Les entreprises ont exposé plusieurs de leurs gammes. C'est par exemple lecas de Pellenc Bourgogne, spécialisée dans la conception, la production et la distribution d'engins viticoles. Pour sa pre-mière participation, l'entreprise n'a pas fait les choses à moitié. Entre gamme légère (trois roues et mono-rang), enjambeur et gamme intégrale pour les matériels de chai, les nouveautés ne manquaient pas. Néanmoins, ces nouveautés sont constamment accessibles via les réseaux sociaux, « cela n'aide pas forcément la dynamique du Salon », déclare Sébastien Lauprêtre, de Pellenc Bourgogne. De quoi réfléchir © GL Events à des lancements de produits pour

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l'édition 2024 ?

Au-delà d'un moment convivial Tous les exposants interrogés notent la qualité des rencontres effectuées, que ce soit dans le secteur de la vigne ou pour le travail au chai.

« L'objectif de VinEquip n'est pas uniquement de passer un moment convivial, c'est avant tout de transmettre des connaissances », souligne Jérémy Goubert. Une richesse et une diversité dans le contenu des échanges qui se retrouvent également au niveau de la provenance de la clientèle. Jean-François Gaudet, de la société Hélios génie climatique maintenance, ne s'attendait pas à accueillir des Savoyards sur son stand. Il avait pourtant réalisé un « drainage commercial, quinze jours avant le démarrage du Salon ». Satisfait de sa première participation, il a écouté, renseigné et conseillé ses futurs clients.

Pour la ville de Mâcon, le Salon VinEquip doit rayonner à plus de 500 kilomètres à la ronde.

PAYS :France

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PERIODICITE :Bimensuel

6 avril 2023

Trois cents professionnels ont exposé machines, équipements et services.

La robotique continue d'attirer Placé à l'intérieur du premier hall, l'enjambeur autonome bleu électrique (modèle Bakus de la marque Vitibot) a été l'un des centres d'attraction de VinEquip. Il faut bienavouer qu'en dehors de l'aspect technique, son esthétisme attire obligatoirement l'œil. Curieux, bon nombre de viticulteurs se sont arrêtés pour regarder et poserdes questions. Le caractère semi-autonome de l'engin peut, bien sûr, séduire, lorsque l'on sait à quel point la main-d'œuvre se fait rare. « La robotique dans la vigne, cela attire énormément, surtout quand il s'agit d'électrique », déclare Jérémy Goubert. Dans le nouvel espace

Work in Wine consacré aux job-datings, le simulateur de conduite de tracteur-enjambeur en réalité virtuelle, a également connu un grand succès.

Tous les ans ou tous les deux ans ?

RUBRIQUE :Au fil de l'actu…

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JOURNALISTE :Florence Bouville

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« VinEquip est un Salon qui commence, donc forcément, les attentes sont différentes », affirme Jérémy Goubert. Le problème, pour ce type d'événement purement technique, c'est qu'il y a un risque d'essoufflement. Plusieurs professionnels s'accordent sur ce point. La participation à VinEquip nécessite un réel investissement, en temps et en argent. D'un point de vue budgétaire, Jean-François Gaudet sait, d'ores et déjà, qu'il ne pourra pas être présent à l'édition 2024. En plus, « d'une année sur l'autre, on ne peut pas apporter toutes les solutions techniques », ajoute-t-il. En effet, la plupart des fabricants n'ont pas la capacité d'innover et de proposer des nouveautés aussi rapidement. Ajoutée à cela, l'évolution constante des réglementations, qui va « à la vitesse de la lumière par rapport à la vitesse de la technicité », poursuit Jean-François Gaudet. Pour autant, les exposants ont tous en commun une connaissance fine des besoins de la clientèle. Reste le temps de conception des solutions et des évolutions annuelles.

production frigorifique explose côté chai, notamment. Les vignerons et caves viticoles doivent pouvoir s'ajuster et garantir cette régularité gustative. Surtout à l'heure où les bâtiments neufs fleurissent et les températures frôlent les 40 °C en août, période désormais régulière des vendanges. Le contrôle des ferments via le froid est donc une étape trèsimportante, qui, malgré le contexte énergétique actuel, ne peut se faire sans électricité.

La fréquentation de VinEquip en 2023 a augmenté de 17 % par rapport à 2022, avec également une hausse de 11 % du nombre d'exposants.

La qualité ou rien

Reste un constat partagé par tous : les exigences des amateurs de vin augmentent, notamment en matière de régularité du produit. C'est pour cette raison que la demande de

Les visiteurs professionnels sont venus avant tout chercher des informations précises, pour un projet qu'ils mettront, généralement en place, dans les six mois ou un an après. En sachant néanmoins que les dossiers de financement, pour la vigne, suivent une rotation. « On accueille une clientèle dont les projets sont basés sur des subventions FranceAgriMer », précise Jean-François Gaudet. Il faut donc jongler entre tous les calendriers : agronomique, réglementaire, financier, etc. C'est acté, il y aura bien une édition 2024 de VinEquip. D'après l'organisateur GL events, la fréquentation 2023 a augmenté de 17 % par rapport à 2022, avec également une hausse de 11 % du nombre d'exposants, dépassant la barre des 300 et permettant ainsi d'occuper la totalité du Parc des expositions de Mâcon, la salle du Spot et lacour remplie de machines neuves. Rendez-vous est pris, donc à l'année prochaine ! n ■

Le distributeur de matériel agricole

Pellenc acquiert son site de Servian

© Pellenc Languedoc-Roussillon La filiale distribution pour l'Hérault, l'Aude et les Pyrénées-Orientales du fabricant de matériel agricole Pellenc est désormais propriétaire du site de 2 m exploité à Servian (34). « Jusqu'à présent , n ous n'étions que locataires. 2 000 m sont dédiés à l'atelier de réparation, notre point fort », explique Fabrice Jean-Baptiste, dirigeant de Pellenc Languedoc-Roussillon (50 salariés). La filiale qui réalise 20 M€ de CA est aussi implantée dans l'Aude à Lézignan-Corbières et Carcassonne. Au vu de la conjoncture – prix des fournisseurs, taux d'emprunt pour les agriculteurs et prix du raisin -, Fabrice Jean-Baptiste anticipe une année 2023 en demi-teinte, « sauf si la pluie arrive enfin et que nous parvenons à éviter le gel ».

Nelly Barbé / barbe@ lalettrem. net