RDP AOUT 2023

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AOÛT2023

the difficulty of recruiting seasonal workers leads to mechanization gettotext.com - 30/08/2023

Agriculture: des machines à défaut de saisonniers

Le Monde - 31/08/2023

50 Jahre Pellenc: der Konzern hat 1328 Patente angemeldet bi-medien.de - 25/08/2023

Le champagne Pierre Gimonnet et Fils presse en qualité et en sécurité à Cuis la-marne-viticole.fr - 28/08/2023

PELLENC L'INTEGRAL WINERY S COMPLÈTE L'OFFRE

Le Paysan Tarnais - 24/08/2023

Eco Design: hohe Energiedichte und intelligentes Akkumanagement bauhof-online.de - 18/08/2023

Immersion "Des vignes conduites comme un verger" bienvenue dans le vignoble éco-intensif de Boisset Effervescence en Bourgogne Vitisphere.com - 14/08/2023

Comment bien préparer sa machine à vendanger ? reussir.fr - 08/08/2023

Dans les vignes, la stratégie d'effeuillage définit le type de machine nécessaire

Le Sillon Edition 40 - Landes - Edition 40 - Landes - 04/08/2023

BIEN RÉGLER LA PERCHE D'UN TRACTEUR ENJAMBEUR ALLIER PUISSANCE ET ANTIPOLLUTION

L'Information agricole du Cher - 04/08/2023

Hamburg least von Pellenc 50 Airion Backback, 250 Airion 3 und 600 Rücken-Akkus ULiB 1500 bi-medien.de - 01/08/2023

Pro Plug-&-Play: Sicherheitsschrank mit Charging-Station bauhof-online.de - 01/08/2023

Sommaire
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the difficulty of recruiting seasonal workers leads to mechanization

Articles •

Oliver Adey16 hours ago05 mins

Mechanical harvesting, in Langoiran (Gironde), in November 2022. JEAN-BERNARD NADEAU / ONLY FRANCE VIA AFP

Nearly 120,000 pickers in Champagne, 25,000 in Beaujolais, 55,000 apple and pear pickers… At the end of the summer, even if the fire of stone fruits such as apricots, peaches or plums is past, French agriculture is still hiring with a vengeance. Recruitment of seasonal workers often synonymous with difficult issues to manage. Read also:Article reserved for our subscribers Mildew darkens the harvest in Bordeaux “ There is a real lack of seasonal workers. A few weeks before the start of the harvest, two thirds of the independent winegrowers had not yet completed their teams. “says Jean-Marie Fabre, president of the Independent Winegrowers, based in Fitou, in Aude, before adding: “The problem has increased for two or three years with the Covid. Unemployed employees are not very inclined to do these jobs, even if the salary is decent. And the workforce that came from the East has seen social conditions improve in Germany or Poland and is therefore less likely to come to France. » Added to this are the harvest schedules that fluctuate from one year to the next and are sometimes difficult to reconcile with the students’ diaries, one of the recruitment pools. This situation has prompted many winegrowers to opt for mechanical harvesting. A changeover negotiated at the turn of the 1980s. Mr. Fabre, he has just resolved to do so. He only keeps 1 hectare harvested by hand. “Instead of twelve, there are now six of us during the harvest, including my two employees,” he testifies. “Of the 750,000 hectares of vines in France, only 70,000 to 80,000 are harvested manually.says Philippe Astoin, director of the agriculture division of the machine manufacturer Pellenc. More and more producers of rosés or whites want to harvest at night to avoid the strong daytime heat, which is almost impossible manually. »

Binding rules

Only the appellations that specify it in their specifications, such as champagne or crémant, vineyards located on steep slopes, owned by a winegrower anxious to preserve tradition or even great wines always use arms fitted with secateurs. This represents barely more than 10% of the total surface area of French vineyards.

“It becomes difficult when you exceed twenty-five pickers. We have fifteen for two weeks for crémants. They are regulars, seasonal workers and a few Spanish employees who come every year. Several of us are organizing to extend their working period”, explains Michel Barraud, winemaker in the Mâconnais. Same approach in the Plaimont vineyard, in the South-West, where the Tannat grape variety is often harvested by hand. “We have formed a three-way employer group. Together we hire about fifteen people, half of whom are regulars, mostly locals.”testifies Joël Boueilh, president of the Wine growers cooperators of France, installed in Saint-Mont, in the Gers.

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30 août 2023
16:30 > Version en ligne Tousdroitsdereproductionréservés P.3
:
JOURNALISTE :Oliver Adey
-

PAYS :France

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PERIODICITE :Quotidien

31 août 2023 - N°24465

RUBRIQUE :Economie & entreprise

DIFFUSION :275310

JOURNALISTE :Laurence Girard

Agriculture :desmachines àdéfaut desaisonniers

Pour la récolte desfruits et deslégumes comme pour lesvendanges,la mécanisation progresse

près

de 120000 vendangeurs en Champagne , 25000 en Beaujolais , 55 cueilleurs de pommes et de poires A la fin de l été, même si le coup de feu des fruits à noyaux comme les abricots , les pêches ou les prunes est passé , l agriculture française embaucheencore à tour de bras Un recrutement de saisonniers souventsynonyme de dossier épineuxàgérer.

Il y a une vraie carence de saisonniers Quelques semaines avant le début des vendanges , les deux tiers des vignerons indépendants n' avaient pas encore complétéleurs équipes» , affirme JeanMarie Fabre , président des Vigneronsindépendants , installé à Fitou , dans l Aude , avant d ajouter «Le problème s' est accru depuis deux ou trois ans avec le Covid Les salariés sans emploi ne sont guère enclins àfaire ces travaux , même si le salaire est correct Et la main-d oeuvre qui venait de l Est a vu les conditions sociales s' améliorer en Allemagne ou en Pologne et a donc moins tendance à venir jusqu' en France » A cela s' ajoutent les calendriers de récolte fluctuant d une année sur l autre et parfois difficilement compatibles avec les agendas des étudiants ,un des viviers de recrutement.

Cette situation apoussé nombre de viticulteurs à opter pour la vendangemécanique Un basculement négocié au tournant des années1980 M Fabre , lui , vient de y résoudre Il ne garde plus que 1hectare récolté main «Au lieu d être douze , nous sommes maintenant six pendant les vendanges dont mes deux salariés », témoigne-t-il«Sur les 750 hectares de vignes en France , il n' en reste que à 80000 vendangées manuellement , estime Philippe directeur de la division agriculture du fabricant de machines De plus en plus de producteurs de rosés ou de blancs veulent récolter la nuit pour éviter lesfortes chaleurs diurnes , ce qui est quasimentimpossible manuellement »

Seules les appellations qui le spécifient dans leur cahier des charges , comme le champagne

Sur les 750 000 hectares de

PHILIPPE directeur de la division agriculture du fabricant de machines Pellenc

ou le crémant , les vignobles situéssur des pentes fortes , possédés par un vigneron soucieux de préserver la tradition ou encore les grands crus ont toujours recoursaux bras munis de sécateurs Ce qui représente à peine plus de 10 %% des surfaces totales de vignoble français.

«Cela devient difficile quand on dépasse les vingt-cinq vendangeurs Nous , nous en avons quinze pendant deux semaines pour les crémants Cesont des habitués , des saisonniers et quelques salariés espagnolsqui viennent chaque annéeNous nous organisons à plusieurspour étendre leur période de travail »,explique Michel Barraud viticulteur dans le Mâconnais.

Même approche dans le vignoble de Plaimont , dans le Sud-Ouest , où le cépage tannat est souvent récolté main «Nous avons formé un groupement d employeur à trois Nous embauchons ensemble une quinzaine de personnes , dont la moitié defidèles , surtout des locaux» , témoigne Joël Boueilh président des Vignerons coopérateurs de France , installé à SaintMont , dans le Gers.

Dans ce panorama , la champagne reste le plus gros recruteur. «Nous employons vingt personnes , des jeunes qui font des petits boulots , des étudiants qui retardent leur rentrée et trois personnes venues du Québec pour faire les cueillettes en France » , raconte Maxime Toubart , président du Syndicat général des vignerons de la Champagne , lui-même installé au Breuil , dans la Marne.

Il héberge et nourrit le groupe. Un modèle traditionnel qui perd chaque année du terrain face aux règles de plus en plus contraignantes sur le logement des saisonniers« Un tiers des vignerons

champenois font désormais appel à des prestataires Il y en avait pas il y a dix ans Lexploitant paie %% de plus , mais il n' a plus à gérer les contrats de travail , les fiches de paie , l hébergement» souligne M Toubart.

Concurrence exacerbée Ce modèle de la prestation est aussi très répandu dans le vignoble de Cognac , non pas pour les vendanges déjà mécanisées , mais pour d autres travaux de la vigne , comme la taille Il est aussi très prisé des maraîchers et de certainsarboriculteurs Le prestataire fait souvent appel à des travailleursétrangers.

Mais l exercice n' est pas sans risque L entreprise d intérim espagnoleTerra Fecundisrenommée Work for All - et des producteurs de fruits et légumes qui avaient passé contrat avec elle ont été condamnés , en 2022 , pour une affaire de fraude au travaildétaché. La récolte des fruits et des légumes est , en effet , encore très manuelle , et la concurrence avec des pays comme l Espagne , l Italie ou la Pologne , exacerbée Pour la cueillette de pommes , estimée à 1,5 million de tonnes cette année , il faut enrôler 50000 personnes , en ajoutant les 120000 tonnes de poires ,le nombre monte à55000. «Il y a une frange de jeunes en camping-car qui vont de saison en saison , des retraités , mais aussi beaucoup de gens qui viennent de l étranger , de l Europe de l Est ou d Espagne , et un recours accru aux contrats de l Office français de l immigration et de l intégration pour employer des Marocains» explique Daniel Sauvaitre , arboriculteur en Charente et président de lAssociation nationale pommespoires. Si les saisonniers détachent les pommes de l arbre , ils sont placés sur des escaliers qui se déplacent automatiquement entre les rangs «Une start-up israélienne va venir nous faire une démonstration de récolte de pommes par » , affirme M Sauvaitre. Mais ce dispositif robotisé devra faire mieux qu' un cueilleur , soit récolter plus de 1tonne de fruits par jour. Les entreprises comme Pellenc

vignes en France , il n' en reste que 70 000 à 80 000 vendangées manuellement»
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PAYS :France

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PERIODICITE :Quotidien

cherchent àaccroître la mécanisation dans les vignes ou les vergers. «La taille de la vigne se fait aujourd hui à go %% manuellement mais nous avons les outils pour la mécaniser quand les cahiersdes charges des appellations assoupliront» , affirme M Astoin.

RUBRIQUE :Economie & entreprise

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JOURNALISTE :Laurence Girard

Il évoque aussi la mécanisation de la récolte des olives , amandes , et des fruits pour les confitures Encorefaut-il adapter arbres et vergers à cette robotisation

LAURENCE GIRARD
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Vendanges mécaniques à Langoiran (Gironde) , en novembre 2022 JEAN BERNARD
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31 août 2023 - N°24465

50 Jahre Pellenc : der Konzern hat 1328

Patente angemeldet

Pellenc feiert 50. Geburtstag

Seit 50 Jahre ist das französische Unternehmen Pellenc tätig. In diesen fünf Jahrzehnten wurden 1.328 Patente angemeldet. Mittlerweile hat sich ein internationaler Konzern entwickelt, der seit zehn Jahren mit der Pellenc GmbH im badischen Kappelrodeck eine zwölfte Gesellschaft hat.

Pellenc hat 2008 den Markt für emissionsfreie Akku-Geräte für die professionelle Grünund Stadtpflege bereitet. Das Unternehmen wurde vor 50 Jahren von Roger Pellenc gegründet. | Foto: Pellenc GmbHBH

In fünf Jahrzehnten ist aus Pellenc ein multinationaler Konzern mit vier Geschäftsbereichen, mit 15 Niederlassungen und sieben Produktionsstandorten geworden. 2.020 Mitarbeiter erwirtschaften in den Geschäftsbereichen Weinbau und -zubereitung, Obstbau und Stadt- und Grünpflege einen Umsatz von 346 Millionen Euro. Seit zehn Jahren ist die Pellenc GmbH im badischen Kappelrodeck als zwölfte Gesellschaft ein starker Teil des Konzerns.

„Unser Antrieb ist die Natur“ ist laut Pellenc nicht nur ein Claim, sondern sei der Anspruch, Menschen die Arbeit zu erleichtern und die Qualität der Produkte zu optimieren. Aus dem Austausch mit Anwendern würden mehr als 150 Ingenieure in Forschung und Entwicklung am Hauptsitz im südfranzösischen Pertuis Produkte, Systeme und mögliche Lösungen für das Übermorgen entwickeln, heißt es in einer Mitteilung des Unternehmens. So seien in den vergangenen 50 Jahren 1.328 Patente entstanden.

Zu Beginn des Unternehmens hat sich Pellenc vor allem mit der Mechanisierung im Wein- und Obstbau beschäftigt. So wurde 1987 mit der ersten elektronischen Rebschere der Einstieg in das Segment der handgeführten Geräte getätigt. 1994 treibt der erste bürstenlose Motor eine Rebschere an und 2004 ist Pellenc weltweit der erste Anbieter, der Lithium-Ionen-Akkus in ein tragbares Gerät für die Landwirtschaft integriert hat.

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Um Ihre Anmeldung zum kostenlosen Newsletter abzuschließen, bestätigen Sie bitte die Mail, die Sie in Kürze von uns bekommen. Mit dem Freischneider Excelion, der Heckenschere Helion und ersten Kettensägen bereitet Pellenc 2008 nach eigenen Angaben den Markt für emissionsfreie Akku-Geräte für die professionelle Grün- und Stadtpflege. Mittlerweile sei Pellenc auf allen fünf Kontinenten in 55 Ländern aktiv und treibe die Internationalisierung mit einem Exportanteil von 60 Prozent weiter voran.

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Tous droits de reproduction réservés bi-medien.de PAYS :Allemagne TYPE :(Autre) 25 août 2023 - 14:30 > Version en ligne Tousdroitsdereproductionréservés P.7

28 août 2023 - 10:05

PAYS :France

TYPE :Web Grand Public

JOURNALISTE :Jean-Baptiste Labelle

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Le champagne Pierre Gimonnet et Fils presse en qualité et en sécurité à Cuis

Le champagne Pierre Gimonnet et Fils s'attache à un pressurage de qualité avec ses pressoirs Pera Pellenc. Didier Gimonnet entretient parfaitementcette tradition familiale.

La maison Pierre Gimonnet et Fils porte une belle histoire. Classée comme un domaine important et historique, l'exploitation basée à Cuis a toujours accueilli de belles vendanges depuis les années 1930. Passionné et dévoué, Didier Gimonnet en est actuellement à la tête. « Nous avons acquéri de nouveaux pressoirs en 1990 avec à l'époque plus de 20 ha de vignes en notre possession. Il a donc fallu gérer cette augmentation progressive de rendement. Nous avons dû nous adapter à la viticulture productiviste puis actuellement au volet environnemental », rappelle le directeur de Pierre Gimonnet et Fils.

Option pour Pera

Depuis 1996, la maison située à Cuis a ainsi installé de nouveaux pressoirs avec au départ un investissement dans un 8 000kg et un 4 000kg. « Cela nous faisait une capacité totale de 12 000kg pour une surface de l'ordre de 23 à 24 ha. Cette organisation nous permettait d'être plus souple avec 12 unités de 4 000kg. Nous avons depuis ainsi moins de temps et en ayant moins de personnel à gérer. Ce qui nous donne un plus de qualité et des raisins moins matraqués », précise Didier Gimonnet. C'est alors que le bâtiment de pressurage a été revu et amélioré pour accueillir au mieux les pressoirs.

Ajustements en 2021

Après avoir choisi Pera Pellec pour des questions notamment de service après-vente et de proximité, Gimmonet et Fils ont réajusté leur centre de pressurage en 2021. « Un des points forts de ces pressoirs et la qualité de l'écoulement avec des cages ajourées, le système de lavage est également optimal. En 2021, nous avons rechangé pour plusieurs raisons : question qualitative, de logistique et de sécurité », signale Didier Gimonnet. C'est alors que la maison de Cuis a réservé trois pressoirs de 4000kg désormais. « Car qd vous avez des pressoirs de 4 000kg par rapport à un 8 000 kg la hauteur de chute des raisins dans le pressoir est moins haute et donc vous agressez moins le raisin et moins d'auto pressurage. Le jus coule avant de mettre le pressoir en marche donc plus qualitatif », décline le Marnais. « Deuxièmement, avec des 4 000kg, nous arrivons à écouler nos jus par gravité et le phénomène d'oxydation n'est pas présent ». En 30 ans, petite amélioration des programmes de pressurage également. Par gravité on peut utiliser le phénomène de pressurage optimiséen fonction de l'écoulement du jus et pas par rapport à un nombre de minutes à temps de pression programmé avant. Option de pressurage plus qualitative.

Optimisation du temps

« Ici on fait des pressurages parcellaires même sur un 8 000kg. Dès 4 000kg, nous n'attendons plus désormais. C'est un réel gain de temps. Les raisins sont pressés plus rapidement et vous optimisez vos équipes de pressurage car le matin il y a un rythme sur toute la journée de remplissage des pressoirs. C'est un rythme régulier. Tous mettent le même temps de pressurage,avant nousavions un décalage »,

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JOURNALISTE :Jean-Baptiste Labelle

28 août 2023 - 10:05

se félicite Didier Gimonnet. Système sécuritaire

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Autre point fort de ces derniers pressoirs, l'aspect sécuritaire. « Nos pressoirs sont enterrés par rapport à la surface du sol donc pour les vider vous avez un système de vis qui remontent vers l'extérieur. En nettoyage obligé de passer par en dessous et doncprotege. Cela permet un travail minutieux. »

Avec cette organisation, la maison Gimonnet et Fils peut presser sereinement ses propres raisins et s'occuper de sa propre vendange en autonomie.

Jean-Baptiste Labelle

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PAYS
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PAYS :France

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PERIODICITE :Hebdomadaire

24 août 2023

RUBRIQUE :Dossier viticulture

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PELLENC L'INTEGRAL WINERY S COMPLÈTE L'OFFRE

L'Integral Winery S rejoint vers le bas l'offre en égreneurs-trieurs de Pellenc. Destiné auxcaves particulières et aux domaines de moins de 50 hectares, cet équipement dispose d'un égreneur haute fréquence suivi d'une table de tri à rouleaux à écartement réglable éliminant la grande majorité des pétioles. n ■

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PELLENC

GMBH Eco Design: hohe Energiedichte und intelligentes Akkumanagement 18. August 2023

Pressemitteilung | Lesedauer: min | Bildquelle: Pellenc GmbH

Emissionsfrei, vibrationsärmer, leiser und mittlerweile genauso leistungsstark wie Geräte mit Verbrennungsmotor. Der Anteil der mit Akkutechnologie betriebenen Geräte in der Grün- und Straßenpflege wächst schnell. Und mit ihm die Frage, wie defekte High-Tech-Energiespender zu transportieren, zu reparieren und zu recyceln sind. Fragen, die mitunter gegenüber Handel und Anwender nicht immer eindeutig beantwortet werden. Pellenc hat für die Entwicklung und Produktion der Akkus und der Geräte den Standard Eco Design und maximale Transparenz definiert. „Wir haben 30 Jahre Expertise, von denen unsere Kunden profitieren“, sagt Laurent Vivès, Geschäftsführer der Pellenc GmbH.

Beim Pellenc Eco Design stehen die Anforderungen leistungsstark, langlebig und ökologisch im Pflichtenheft bei der Entwicklung aller Akku-Geräte. Alle Geräte werden vor der Markteinführung anspruchsvollen Testzyklen unterzogen, die einer intensiven Nutzungsdauer von mindestens fünf Jahren entsprechen.

Leistungsstark, um auch bei erhöhter Nutzung im Dauerbetrieb Elektronik, Komponenten und Material nicht so stark zu beanspruchen, dass die Leistungsfähigkeit nachlässt. Die Zellstruktur und das intelligente Akkumanagement ermöglichen es, dass die Lithium-Ionen-Akkus auch nach 800 bzw. 1.300 Ladezyklen noch 80 Prozent der ursprünglichen Energiekapazität speichern. Pellenc produziert die Lithium-Ionen-Akkus selbst. Diese zeichnen sich durch eine hohe Energiedichte aus. Dadurch werden gegenüber herkömmlichen Zellen weniger Rohstoffe benötigt. Die hochpräzise Steuerung und die Überwachung schützt vor Beschädigungen durch Überspannungen oder Tiefenentladung und maximiert die Haltbarkeit der Hochleistungszellen. Ein Balance-System sorgt dafür, dass die Zellen gleichmäßig ge- und entladen werden. Der intelligente Tiefentladungschutz hält die Akkus bis zu zwei Jahre in einem Ruhemodus mit etwa 30 Prozent Akkukapazität. Ein lautes Piepen warnt danach vor der Tiefenentladung. Vor allem bei Geräten, die nur saisonal genutzt werden, erhält dies die Leistungsfähigkeit und die Langlebigkeit.

Neben dem Aufbau und dem intelligenten Management der Akkuzellen ist die

Tous droits de reproduction réservés URL :http://www.bauhof-online.de PAYS :Allemagne TYPE :Web Grand Public 18 août 2023 - 03:34 > Version en ligne Tousdroitsdereproductionréservés P.11

konstruktive Qualität der Akkuzelle, der Peripherie und des Gehäuses entscheidend für die Langlebigkeit. Diese Komponenten werden besonders auf Absorption von harten Stößen und kurzwelligen Vibrationen getestet. Deshalb sind die elektronischen Komponenten nicht gelötet, sondern magnetisch oder mit reparaturfähigen Steckern verbunden. Das Gehäuse ist aus hochfestem Kunststoff gefertigt, zudem sind die Kanten besonders geschützt.

Tous droits de reproduction réservés URL :http://www.bauhof-online.de PAYS :Allemagne TYPE :Web Grand Public 18 août
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2023 - 03:34

Immersion "Des vignes conduites comme un verger" bienvenue dans le vignoble éco-intensif de Boisset Effervescence en Bourgogne

En 2018, une dizaine d’agriculteurs plante un vignoble éco-intensif en Bourgogne à la demande de Boisset Effervescence qui veut relocaliser ses approvisionnements en vins de base mousseux. Cinq ans plus tard, les deux parties tirent les premiers enseignements de cette expérience novatrice.

A la demande de Boisset Effervescencen une dizaine d'agriculteurs ont implanté un vignoble éco-intensif en Bourgogne. Le travail y est largement mécanisé. - crédit photo : Boisset Effervescence

2 Tous droits de reproduction réservés URL :http://www.vitisphere.com/ PAYS :France TYPE :Web Pro et Spécialisé 14 août 2023 - 15:53 > Version en ligne Tousdroitsdereproductionréservés P.13

2023

15:53

016, les droits de plantation deviennent les autorisations de plantation, plus libéralisées. La société Boisset Effervescence y voit l’opportunité de rapprocher ses approvisionnements en vins de base mousseux de son chai de vinification, tout en en maîtrisant la qualité. « L’année même, notre projet de vignoble innovant est acté, se souvient Georges Legrand, conseiller du président Jean-Claude Boisset. Deux ans plus tard, 60 ha étaient en place. On a pris tout le monde de court. »

Nom du projet : Vignobles Innovants du Val de Saône, ou Vivas. Le concept : une entente de long terme entre une dizaine d’agriculteurs et Boisset. Les premiers plantent des vignes en plaine, quand le second leur signe un contrat d’achat de dix-huit ans. Entre eux, les coopératives Dijon Céréales et Bourgogne du Sud jouent le rôle d’entremetteur et de soutien technique.

Des débuts chronophages

Géographiquement, le projet s’organise en deux pôles de 30 ha : l’un en plaine de Saône, l’autre en plaine du Doubs, tous deux à environ une demi-heure de la cuverie de Boisset, située à Nuits-Saint-Georges. Les futurs « agri-viticulteurs » y possèdent des terres fertiles, d’ordinaire destinées aux grandes cultures, qu’ils plantent en ugni blanc, colombard et chardonnay au printemps 2018. À 3 800 pieds à l’hectare, leurs parcelles sont dotées d’un unique fil porteur. « L’idée est de conduire ces vignes comme un verger », esquisse Benoît Panier, technicien à la coopérative Bourgogne du Sud et responsable du suivi de Vivas.

Mais les premières années se révèlent plus difficiles que prévu. « Cette mise en place a impliqué une grosse surcharge de travail. On ignorait ce que c’était de planter 30 ha d’un coup », reconnaît Gilles Dumey, l’un des agriculteurs partenaires, installé à Saint-Loup-Géanges (Saône-et-Loire), où il exploite 188 ha de céréales et d’oléagineux. D’abord, il a fallu tailler à la main les trois premières années. Mais c’est surtout la mise en place des cordons, les deuxième et troisième années, qui a pris du temps. » Un cordon unique qu’il a fallu enrouler autour du fil puis sur le cordon suivant, afin de répartir le poids de la récolte et d’éviter la bascule de la haie foliaire. « Pour ce faire, nous avons signé une année jusqu’à 100 contrats de saisonniers », explique Gilles Dumey.

Un itinéraire technique efficace

Une fois les vignes en place, la conduite retenue a tenu ses promesses. « Le travail est largement mécanisé et nécessite peu de main-d’œuvre », résume Benoît Panier. Et ce, dès la taille. « On passe d’abord en taille rase de précision avec une Pellenc, ce qui représente un peu plus d’une heure à l’hectare, apprécie Gilles Dumey. On vise un œil unique par courson. Puis on repasse à la main pour les sarments qui ont poussé sous le cordon, et que la tailleuse ne détecte pas. On estime cette seconde partie de 10 à 15 h/ha. »

L’ébourgeonnage va aussi très vite : aucun sur les cordons, et épamprage chimique (Sorcier) des troncs. Quant au relevage, il est inexistant. Avec son fil unique, « ce vignoble n’est pas palissé, il requiert seulement trois à quatre rognages par saison. On vise 80 cm à 1 m de hauteur de feuillage à partir du cordon, et 50 à 70 cm d’épaisseur », témoigne Gilles Dumey. Un rognage « pas trop sévère, pour obtenir une maturité autour de 10,5 à 11° potentiels », précise Marcel Combes, le directeur de Boisset Effervescence.

Un goutte à goutte enclenché à des moments clés

La conduite de ce vignoble éco-intensif, c’est aussi une irrigation et une fertirrigation si besoin. « C’est du goutte-à-goutte que nous déclenchons dans les moments clés », indique l’exploitant. Cette année, à la mi-juillet, il n’avait été déclenché qu’une seule fois pour un apport de 40 mm d’eau au total. Un système encore une fois peu chronophage, « sauf pour l’entretien des tuyaux », détaille-t-il.

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Quant aux sols, ils sont enherbés entre les rangs et désherbés chimiquement en deux passages sous le rang. « Nous appliquons la dose autorisée de glyphosate en un seul passage, associée à un herbicide de prélevée, rapporte Gilles Dumey. Pour l’autre passage, nous comptons sur l’épamprage chimique : le produit est appliqué avec une cage à balai, et permet donc de désherber au passage le cavaillon. » La saison prend fin avec la vendange mécanique, seule intervention effectuée par un prestataire. « Un confrère, qui cultive du cassis, possède une New Holland. Il n’en a pas besoin en septembre, nous l’avons donc chargé de la vendange. » Temps estimé : 1,5 h/ha. La protection phytosanitaire : une opération très contraignante Reste une opération très contraignante : la protection phytosanitaire. Selon Benoît Panier, « c’est le seul travail où on ne gagne pas de temps par rapport à un vignoble classique. Il faut environ 13 heures pour traiter les 35 ha. C’est très chronophage, surtout pour ces exploitants qui ont d’autres cultures à côté. » Gilles Dumey confirme : « Nous avons dû renouveler la protection fongicide pendant les moissons. »

De plus, le matériel utilisé pose question. Équipés de panneaux récupérateurs pour protéger l’environnement, les exploitants ont fait face à un imprévu. « Dans des terrains de plaine humides comme les nôtres, le feuillage est abondant et nous pouvons avoir énormément de rosée le matin, rapporte Gilles Dumey. Avec les panneaux récupérateurs, cela peut diluer la bouillie. Ainsi, il faut parfois attendre 10 h du matin pour commencer la protection. Cela complique l’organisation. »

L'alternative : les cépages résistants en cours de test

Àl’avenir, une solution pourrait se dessiner : les partenaires de Vivas ont planté 3,5 ha de cépages résistants en 2021, afin de les tester : souvignier gris, soreli, fleurtai, floréal et voltis qui pour l’instant répondent aux objectifs. « Cette saison, nous avons effectué zéro traitement jusqu’à début juillet. Nous n’avons eu ni mildiou, ni oïdium, mais un peu de black-rot, ce qui nous a obligés à faire deux passages en juillet. » De bon augure pour Marcel Combes, le directeur de Boisset Effervescence, qui envisage d’en planter davantage « s’ils font de bons vins de base »

Malgré le bémol de la protection phyto,ce vignoble « nous apporte globalement satisfaction », juge Gilles Dumey. « Chaque pôle de 30 ha s’en sort avec deux saisonniers pour la taille et aucun pendant la saison », ajoute Benoît Panier.

Mais un autre élément va faire la différence : les rendements. Cruciaux pour Boisset comme pour les viticulteurs, ils sont pour l’instant en dessous des attentes. « Lors de la récolte 2022, au stade 5e feuille, nous étions à environ à 120 hl/ha pour le chardonnay et 150 hl/ha pour l’ugni blanc et le colombard. Nous visons plutôt 150 et 180 hl/ha, reconnaît Marcel Combes. On va atteindre cet objectif. Après tout, les vignes sont encore très jeunes. En cas de difficulté, nous pourrions tailler plus haut, mais ce n’est pas encore à l’ordre du jour. »

Vers de nouvelles plantations ?

Pour ce qui est de la récolte 2023, mi-juillet, les choses se présentent bien : les pieds sont vigoureux, le feuillage est sain et les grappes sont abondantes et dotées d’une grande charpente, malgré un peu de coulure et de millerandage. Alors, judicieux ce projet ? « Il est trop tôt pour en tirer tous les enseignements », tranche Marcel Combes. Mais déjà d’autres agriculteurs seraient intéressés pour rejoindre l’aventure. « Il est possible que l’on plante à nouveau dans deux ou trois ans », lâche Marcel Combes.

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Comment bien préparer sa machine à vendanger ?

Pour une vendange mécanisée en toute tranquillité, il est essentiel de vérifier un certain nombre de points avant la récolte. Vérifier les niveaux. © Grégoire 1 Vérifier le moteur et la transmission

Qu'elle soit récente ou ancienne, il est essentiel de démarrer la machine à vendanger tous les un à deux mois. « Mais c'est encore plus vrai sur les machines récentes, avec les dernières normes antipollutions , explique Pierre Cayrouse, responsable marketing machines à vendanger New Holland Il faut la faire tourner au moins une trentaine de minutes. La montée en température va éliminer la condensation qui peut se former à la longue, ce qui est néfaste pour les motorisations . »

Cette mise en route est aussi l'occasion de vérifier les niveaux d'huile hydraulique et moteur. Elle permet de faire fuir les nuisibles, comme les rongeurs, qui peuvent se loger dans le pot d'échappement ou dans le compartiment moteur. Ceux-ci affichent un certain goût pour les connectiques et peuvent ronger à l'occasion quelques câbles. Remettre en route régulièrement permet de détecter ces éventuels dégâts et de ne pas avoir à effectuer de réparation de dernière minute. « Et cela évite à la batterie de se détériorer, comme cela arrive parfois lorsqu'on laisse une machine longtemps sans fonctionner » , ajoute Jacques Servoles, directeur du département machines à vendanger chez Pellenc

2 Anticiper la vidange

Que la machine à vendanger soit utilisée comme porteur multifonction ou non, il est important de s'assurer que les intervalles entre les vidanges soient respectés. En fonction de la surface à récolter, cette vidange peut être anticipée de manière à ne pas avoir à la réaliser au milieu de la saison de récolte.

3 Sécurité sur la route Comme pour tout véhicule circulant sur la route, il est important de s'assurer du bon fonctionnement des optiques et de la signalétique « d'autant plus lorsqu'on débute la saison par des vendanges nocturnes » , insiste Jacques Servoles. Également, regonfler au besoin les pneumatiques, en contrôler l'état et s'assurer du bon serrage des goujons des roues (idéalement toutes les 20 heures). 4 Contrôler la climatisation Mettre en route la climatisation permet de se préserver d'éventuelles fuites de gaz, qui la rendraient inefficace et l'ambiance en cabine invivable. Souffler les filtres de cabine optimise aussi son fonctionnement. 5 Penser aux secoueurs Les conseils concernant les secoueurs varient d'une marque à l'autre. New Holland préconise de changer les secoueurs tous les ans. « Les caractéristiques des secoueurs évoluent avec la température et l'humidité , justifie Pierre Cayrouse. Les propriétés peuvent changer et les secoueurs avoir tendance à effeuiller davantage les vignes . » À défaut de les renouveler tous les ans, le responsable produits conseille de les démonter en fin de saison et de les stocker dans leurs chaussettes (fournies à l'achat) dans un endroit sec et ventilé. « Plutôt le grenier que la cave », poursuit-il. De son côté, Grégoire préconise de laisser les secoueurs sur la tête de récolte à partir des générations GL. « Pour conserver les propriétés des silentblocs à la base des secoueurs, le pincement doit être fermé à fond (valeur 0) , ajoute Mathieu Tabardel, responsable marketing Grégoire Si on les laisse comprimés tout l'hiver, les silentblocs perdent leurs propriétés d'amortissement. »

« Sur les dernières générations de machines Pellenc , les batteurs, désormais noirs, sont dans une matière non sensibles aux UV, ce qui dispense de les hiverner à part , explique Jacques Servoles. Mais certains clients continuent à le pratiquer, notamment

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pour se dégager de l'espace, lors du nettoyage de fin de récolte. »

6 Remonter le convoyeur Les constructeurs de machines à vendanger conseillent de déposer les systèmes de convoyage sur les têtes de récolte . New Holland préconise de stocker les chaînes de noria soit à plat, sur toute leur longueur, soit à la verticale lorsqu'on dispose de suffisamment de hauteur sous plafond. L'objectif est d'éviter les déformations. Avant de les remonter, vérifier l'état de chaque godet, comme la présence de trou ou d'une déformation mettant en cause l'étanchéité, et les remplacer au besoin. Grégoire recommande d'enrouler le tapis convoyeur dans le sens du tasseau et de le poser sur les flancs. En cas de tapis abîmé, Grégoire conseille d'envoyer les tapis en réparation auprès de son partenaire Vitimat : un devis sur photo peut être réalisé en amont. Le constructeur charentais conseille également de démonter les rampes d'écailles et de les stocker à plat à l'envers. Au remontage, veiller au bon positionnement des deux trains d'écailles, l'un étant positionné au-dessus de l'autre. Pour ceux qui sont équipés de trains d'écailles pneumatiques, les remettre en pression.

Pellenc n'impose pas le démontage du convoyeur, même si cette opération facilite son nettoyage, ainsi que celui du reste de la machine.

Lors du remontage des convoyeurs, s'assurer de leur bon alignement et de leur bonne tension. Pour cela, se référer notamment au manuel d'utilisation.

7 Retendre et remonter les convoyeurs secondaires

Entre les convoyeurs principaux et les bennes à vendange (ou les systèmes de tri), prennent place sur certaines machines des convoyeurs secondaires. Certains utilisateurs les détendent pour l'hivernage, voire les démontent.

8 Actionner les ventilateurs-aspirateurs

Hormis un graissage à la suite du lavage approfondi de fin de saison, il n'y a pas d'entretien particulier au niveau des aspirateurs . Les actionner permet de vérifier l'absence de fuite d'huile et de bruit suspect pouvant indiquer qu'ils sont abîmés.

9 Remonter les tapis d'égreneur Un certain nombre de viticulteurs démontent les tapis d' égreneurs pendant l'hiver. Parmi eux, certains les remontent en inversant les tapis gauche et droit d'une saison à l'autre, voire en inversant l'avant et l'arrière. « C'est une manière d'homogénéiser l'usure qui peut être asymétrique et de faire durer autant que possible ces tapis , explique Pierre Cayrouse. Une fois remontés, il faut lever les bennes à fond : le poids naturel des tapis va permettre de régler facilement leur tension optimale. »

10 Tester l'état des doigts d'égreneur Quel que soit le système d'égrenage, il est important de vérifier que les doigts ne sont pas déformés ou n'ont pas perdu en rigidité et les remplacer si c'est le cas. 11 Ne pas graisser à l'excès Le graissage des différents roulements doit être effectué à la suite du nettoyage complet de la machine après les vendanges . Il faut graisser suffisamment pour chasser l'eau et ne pas se retrouver avec des roulements grippés à l'entame des vendanges suivantes. « Remettre un petit coup de pompe à graisse juste avant les vendanges ne fait pas de mal » , explique Pierre Cayrouse. « Attention de pas trop surgraisser , prévient Mathieu Tabardel. Il vaut mieux graisser plus souvent qu'à l'excès. »

12 Remonter la tête de récolte dans le bon ordre Lorsque la machine à vendanger est utilisée comme porteur multifonction, New Holland insiste sur le bon respect de l'ordre de branchement des différentes connectiques. « L'ordre de branchement est l'inverse de celui, bien établi, de débranchement » , explique Pierre Cayrouse. Ne pas respecter cet ordre peut générer des points bloquants sur le fonctionnement de la machine. 13 Faire une mise à jour logicielle

« Même sur les machines qui ont 7 à 8 ans, il peut y avoir des mises à jour logicielles ,

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annonce Pierre Cayrouse. Ce n'est pas une obligation, mais ces mises à jour peuvent apporter en termes de confort et de performance. »

14 Mettre en route tous les organes

Actionner tous les organes de récolte aide à détecter des bruits et/ou vibrations suspects et les pannes qui en découleraient. S'il n'y en a pas, faire varier un à un chacun des paramètres de récolte et s'assurer de la bonne réponse à la commande sur la machine.

15 Réviser son manuel

Même si la machine à vendanger est utilisée de manière intensive pendant un à deux mois, il arrive régulièrement que le chauffeur oublie certaines procédures. « Bon nombre de coups de fil en concession en début de vendange sont dus à des oublis sur le mode de fonctionnement de la machine , explique Jacques Servoles. Prendre une petite heure quelques jours avant la vendange pour relire les quinze ou vingt pages du manuel d'utilisation permet de se remettre la machine bien en tête. »

Anticiper un minimum sa révision

Dans la mesure du possible, il est préférable de ne pas entamer la révision de la machine la veille pour le lendemain. S'il y a des réparations ou des changements de pièces à réaliser, ces dernières ne sont pas forcément disponibles en concession. Mais la machine de récolte n'est pas le seul matériel à contrôler. « Régulièrement, la vendange est à l'arrêt à cause du tracteur, de la benne à vendange ou d'un matériel de cave, qui bloque toute la chaîne » , prévient Jacques Servoles.

Retrouver en vidéos les tutoriels d'entretien :

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Dans les vignes, la stratégie d'effeuillage définit le type de machine nécessaire

Entre l'effeuilleuse à dépression et la version pneumatique, le choix dépend de la fonction du travail souhaité par le viticulteur.

De la chute des capuchons à la vendange, l'effeuillage de la vigne peut s'effectuer sur une large période. « À l'origine, la mécanisation de la vendange a été développée pour mécaniser l'effeuillage prévendange, il y a une quarantaine d'années en Champagne, remémore Yannick Collard, dirigeant de la société Collard. C'est ainsi qu'est née l'effeuilleuse pneumatique. Par la suite, d'autres régions viticoles s'y sont intéressées et les viticulteurs ont découvert les bienfaits de l'effeuillage précoce, aussi appelé effeuillage en vert. » Ce dernier est aujourd'hui le type d'effeuillage le plus couramment pratiqué, même si l'effeuillage juste avant vendange continued'avoir ses adeptes. « Pour la vendange manuelle, l'effeuillage améliore la visibilité sur les grappes, explique Cyril Zehner, de Pellenc. En

dégageant les feuilles, cela diminue le nombre de grappes oubliées et augmente les débits de ramassage de 30 %, réduisant la charge de main-d'œuvre et facilitant larécolte àla maturité optimale. » Certaines exploitations viticoles récoltant à la machine sont également adeptes de l'effeuillage prévendange, afin de limiter les déchets verts dans les bennes des machines à vendanger. Aussi, sur le marché des effeuilleuses, il existe deux grandes familles : les machines pneumatiques, aussi appeléesà air pulsé, et les modèles à aspiration. Alimentées par une centrale pneumatique, les premières se composent de buses montées sur support rotatif soufflant de l'air à une pression plus ou moins élevée vers la vigne, déchiquetant les feuilles au passage. Cette pression est notamment définie par la section de la buse et se décide en fonction du stade de la vigne. Lorsque le feuillage est tendre, une pression moindre suffit.

Tambours rotatifs percés

Les effeuilleuses à aspiration ont un fonctionnement sensiblement inverse, par dépression. Des tambours rotatifs percés sont placés au contact du feuillage. L'aspiration fait se coller les feuilles contre ce tambour, qui les éloigne des grappes et les élimine par section ou pincement (arrachement).

Le mécanisme par contact nécessite

l'usage d'un palpeur ou une conduite minutieuse, pour trouver un bon compromis entre effeuillage efficace et pénétration limitée dans le volume foliaire, afin de ne pas endommager la récolte. Le choix de l'une ou l'autre des solutions va dépendre du travail souhaité. L'effeuilleuse pneumatique peut intervenir dès la chute des capuchons floraux, débarrassant de ces derniers les grappes et limitant les risques de botrytis. Période la plus délicate pour l'effeuillage, la fermeture de grappe peut marquer l'arrêt de l'utilisation de certaines machines pneumatiques, avant uneéventuelle reprise en prévendange.

« Mais avec les bons réglages, certains utilisateurs de nos dernières générations, parviennent à effeuiller à cette période critique sans blessure », explique Yannick Collard. L'intensité d'effeuillage dépend de la vitesse d'avancement, du débit et de la section des buses, ainsi que de l'orientation des têtes d'effeuillage sur les modèles à double flux d'air. Ces derniers peuvent réaliser deux passages en un sur une faible hauteur de végétation. Intensité variante

Pour utiliser l'effeuilleuse à aspiration, il faut attendre une dizaine de jours après la chute des capuchons. « Mais on peut l'employer plus tardivement dans la saison, jusqu'à la véraison, notamment pour les cépages rouges,

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explique Cyrille Fournier, commercial chez Ero. Pour des usages plus tardifs, il est préférable d'être délicat avec les machines à aspiration, si l'on ne souhaite pas prendre le risque d'abîmer les grappes. » Dans cette situation, l'effeuillage sera très partiel mais pourra convenir à bon nombre de viticulteurs.

Le débit de chantier dépend davantage de l'intensité d'effeuillage souhaitée que de la technologie choisie : les vitesses oscillent généralement entre 1, 5 et 5 km/h. Côté tarif, l'avantage est aux machines à aspiration, qui débutent entre 12 000 et 15 000 euros pour un modèle demi-rang. Mais selon les besoins et les caractéristiques du tracteur, les prix peuvent fortement varier. L. Vimond ■

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BIEN RÉGLER LA PERCHE D'UN

TRACTEUR ENJAMBEUR ALLIER PUISSANCE ET ANTIPOLLUTION

Avant de régler ses outils de travail du sol et autres outils interceps, il est capital de bien ajuster la perche qui va les soutenir. Fabrice Dulor, directeur chez Boisselet, en explique les principaux fondamentaux. Appelée perche ouâge en vignes étroites (de 0, 9 m à 1, 30 m), le support d'outilss'intégrant entre les roues avant et arrière d'un tracteur enjambeur existe sous deux formes : les perches poussées ou les perches tirées suivant le porte-outil du tracteur enjambeur. Les partisans des perches tirées prennent souvent l'exemple des charrues de grandes cultures pour justifier une traction naturelle. Ceux vantant les perches poussées argumentent notamment du plus grand espace exploitable entre les roues.

Quoi qu'il en soit, les deux types de perches doivent globalement répondre aux mêmes réglages pour un travail du sol optimal. Pour cet article, nous sommes partis sur la base d'une perche poussée.

1 - RÉGLER L'HORIZONTALITÉ

Dans la mesure du possible, il faut se placersur sol plat, horizontal, afin de réaliser les premiers réglages. Le palonnier avant du tracteur, s'il existe, doit être à mi-course, afin de profiter àla vigne du maximum d'amplitude (vers le bas et vers le

haut). Un repère est bien souvent installé sur l'enjambeur pour trouver cette position.

À l'aide du vérin de relevage, abaisser la perche à sa position la plus proche de celle de travail. À l'aide de la barre de poussée à visser (de type troisième point sur un tracteur interligne), s'assurer de la bonne horizontalité de la perche, voire d'une légère tendance à piquer : cette dernière se justifie notamment pour rattraper du jeu dans les articulations.

Hormis quelques rares exceptions, une perche qui talonne - l'avantest surélevé par rapport à l'arrièredemandera plus d'effort, fera davantage chauffer l'huile des outils interceps animés hydrauliquement et rendra sûrement le travail des outils insatisfaisant.

Bien régler l'horizontalité implique donc d'avoir unebarre de poussée toujours bien entretenue.

2 – UN GUIDE-PERCHE QUI MAINTIENT SANS FROTTER

Destiné à maintenir la perche poussée bien droite, parallèle au rang, le guide-perche veille à limiter les usures sur les articulations, la perche poussée ne demandant naturellement qu'àdévier vers la gauche ou la droite. Veiller à ce que le guide-perche soitbien aligné, afin de ne pas générer d'efforts latéraux et/ou de frottements.

1 À l'aide de la barre de poussée à visser, s'assurer de la bonne horizontalité de la perche, voire d'une légère tendance à piquer.

3 – LA CHAÎNE GÈRE LA PROFONDEUR

À l'avant de la perche, la chaîne sert 0KieAlJGsy7gD1Rrm4wy8wzzAS79_BuxMnCb2_u_ocIn_0HfJH88nXJ7B3SKsFsLANzI3

Le bon fonctionnement des outils interceps s'appuie sur un bon réglage de la perche. (Crédit photos : L. Vimond). 2 faut veiller à ce que le guide-perche soit bien aligné.
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à régler la profondeur de travail. Elle s'accroche à l'avant de la perche et à un vérin de gestion de profondeur (tracteur récent) ou à une barre gérant la profondeur de l'outil. Relié au palonnier, ce vérin ou cette barre permet de régler le terrage (gestion constante etrégulière de la profondeur de travail, quel que soit le profil du sol). Si letracteur est amené à travailler dans des vignes pentues, le conducteur abaissera sensiblement le palonnier en montée, le tracteur ayant naturellement tendance à s'alléger de l'avant. Dans la descente, il fera l'inverse. En pilotant depuis le palonnier, il ajuste la profondeur de travail en maintenant son terrage.

4 – LE DÉVERS SE RÈGLE À LA VIGNE

Une fois les premiers réglages effectués, le conducteur peut se rendre à la vigne pour les derniers

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JOURNALISTE :Par Ludovic Vimond

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DES OUTILS

Celui-ci peut être mécanique ou hydraulique. La glissière d'écartement coulissant sur laperche fait bouger une bielle qui écarte ou resserre les outils mécaniques, afin de les positionner correctement par rapport au rang. Ne pas hésiter à s'arrêter après avoir avancé sur quelques mètres, pour regarder au sol la qualité du travail effectué et confirmer ou ajuster les réglages réalisés.

Point subsidiaire, pour des questions de sécurité, sur la route ou lors des manœuvres de bout de rang, il est important d'avoir une vingtaine de centimètres de dégagement sous la pointe des outils, lorsqu'ils sont relevés. Ne pas hésiter à s'aider du palonnier avant, afin d'optimiser cette marge de sécurité. Enfin, en position route, la chaîne de gestion de profondeur/ terrage doit impérativement être reliée à un point fixe du châssis de l'enjambeur. ¦ o

PELLENC

3 La chaîne s'accroche à l'avant de la perche et à un vérin de gestion de profondeur (tracteur récent) ou à une barre gérant la profondeur de l'outil.

Pour des questions de sécurité, sur la route ou lors des manœuvres de bout de rang, il est important d'avoir une vingtaine de centimètres de dégagement sous la pointe des outils, lorsqu'ils sont relevés.

paramétrages. Qu'il soitmécanique ouhydraulique, le réglage du dévers s'ajusteà la vigne, en jugeant de la qualitéde travail effectué. Lors de chaque changement de réglage, veillerà relever l'outil à l'arrêt pour ne pas sursol-liciter inutilement la mécanique.

5 – RÉGLER L'ÉCARTEMENT

L'enjambeur 140 succède au 130 Succédant au 130, l'enjambeur 140 de Pellenc gagne en puissance, affichant 75 ch, contre 70 ch pour son prédécesseur. Sa motorisation trois cylindres Deutz répond à la norme antipollution Stage V, sans faire appel à un Fap ou à l'AdBlue. La transmission intègre désormais une valve de délestage pilotée au pied pour gagner en motricité. Une monte de pneumatiques en 18 pouces est disponible au catalogue, afin de bénéficier de plus de couple dans les montées.

Proposé en châssis à dégagement de 150 ou 165 cm, le 140 offre une voie variable de 0, 90à 1, 40 m, ainsi qu'une correction de dévers manuelle affichant une course de 20 cm. Du côté de l'hydraulique, l'enjambeur 140 débite 90 l/min pouvant être regroupé sur une seule

4 Qu'il soit mécanique ou hydraulique, le réglage du dévers s'ajuste à la vigne, en jugeant de la qualité de travail effectué.
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ligne ou réparti sur deux lignes. Il bénéficie de prédispositions pour une sortie hydraulique à l'avant, afin d'atteler uneécimeuse double ou d'autres outils. De série, ce tracteur léger (2, 85t) et maniable reçoit des porte-outils poussés etdes efface-traces en option.

Le conducteur bénéficie d'une cabine plus spacieuse,homologuée catégorie 4, intégrant une console de supervision pouvant assurer le DPAE en pulvérisation. Concernant cette dernière, Pellenc propose sur ce tracteur un modèle pouvant traiter 5 rangs, alimenté par deux cuves de 250 l chacune. ¦

o NEW HOLLAND

Un tracteur spécialisé qui roule au méthane

New Holland innove avec le TK Methane Power, un tracteur étroit à chenilles carburant au méthane. Développé conjointement avec le motoriste FPT, le tracteur a travaillé pendant toutes les vendanges sur le domaine italien FontanaFredda, partenaire du projet et connu pour ses bouteilles de vin Barolo. Conçu sur la base d'un TK4 F clas-sique à motorisation diesel, le tracteur s'en distingue par un design futuriste et par sa motorisation. Le bloc FPT F34 a été remplacé par F28 (4 cylindres, 2, 8 litres) du même motoriste, fonctionnant avec différentes énergies, dont le méthane. Ce dernier carburant simplifie le traitement des gaz d'échappement, du fait des très faibles taux d'émissions de particules et de NOx. Les bonbonnes de gaz sont logées à l'arrière, à l'emplacement du traditionnel réservoir de GNR. L'objectif est la production de vins à impact carbone neutre, par l'emploi de biométhane. La nouvelle génération de tracteurs spécialisés atteint 120 ch

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le tableau de bord sont désormais regroupés sur le montant droit.

La nouvelle cabine àquatre montants et plancherplat propose un pare-brise à vision haute et reprend la double filtration de cabine de la précédente génération Blue Cab.

Si les modèles à arceau conservent le tunnel, la disposition des com-mandes a été repensée pour offrir davantage d'ergonomie.

Proposé en châssis à dégagement de 150 ou 165 cm, le 140 offre une voie variable de 0, 90 à 1, 40 m, ainsi qu'une correction de dévers manuelle affichant une course de 20 cm.

New Holland présente la nouvelle génération de tracteurs spécialisés T4 V/N/F. Elle répond à la norme antipollution, grâce àune nouvelle motorisation. Si le T4. 80 conserve le bloc FPT de 3, 4 l (avec DOC et FAP), les autres modèles accèdent à un nouveau bloc FPT de 3, 6 l. La gamme culmine à 120 ch, avec le nouveau modèle T4.120 V/N/F qui complète le haut de gamme. Le motoriste a réussi à intégrer un système de dépollution comprenant DOC et SCR sous le capot, devant la cabine. Bénéficiant d'un nouveau design inauguré sur les gros tracteurs de grandes cultures, ce capot est 6 cm plus bas sur lapartie avant, améliorant la visibilité frontale.

Les nouveaux T4 disposent d'une nouvelle cabine. Si sur l'ancienne génération, les T4 N partageaient la cabine des étroits T4 V, ils reprennent aujourd'hui celle des T4 F,gagnant ainsi 15 cm en largeur. Les T4 sont équipés du tableau de bord lancé sur les T7 HD, logé derrière le volant, tandis que les voyants habituellement disposés sur

À l'arrière, les vérins de relevage sont externes. Avec le circuit LS de 80 l/min, le relevage devient prioritaire sur l'hydraulique. Le circuit hydraulique inaugure une prise Power Beyond, avec retour libre.

Prédisposés pour la télématique et l'autoguidage, ces tracteurs peuvent recevoir des montes Trelleborg PneuTrac, qui comprennent de nouvelles dimensions (280/70 R20 et 420/70R28), plus adaptées aux vignes intermédiaires. ¦

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La gamme New Holland culmine à 120 ch, avec le nouveau modèle T4. 120 V/N/F qui complète le haut de gamme.
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Hamburg least von Pellenc 50 Airion Backback, 250 Airion 3 und 600 Rücken-Akkus ULiB 1500

Hamburger Stadtreinigung setzt auf Klimaschutz

Mit der Anschaffung von 300 Akku-Laubbläser und 600 Rücken-Akkus von Pellenc will die Stadtreinigung der Hansestadt Hamburg einem Ziel, bis 2035 klimaneutral zu sein, einen Schritt näherkommen. Statt zu kaufen wurden die Geräte geleast

Sichtbares Statement: Die Stadtreinigung Hamburg least 300 Akku-Laubbläser und 600 Rücken-Akkus von Pellenc . | Foto: Pellenc

Die Stadtreinigung Hamburg versteht sich als aktiver Akteur für Klimaschutz in der Hansestadt durch die Vermeidung von Abfällen, Vorbereitung zur Wiederverwendung, dem Recycling, der Verwertung und der Beseitigung. Das städtische Unternehmen mit 4.000 Beschäftigen betreibt die Abfallwirtschaft, ist für die Reinigung der Grün- und Verkehrsflächen und Wege und den Winterdienst verantwortlich. Mit der jüngsten Anschaffung von 300 Akku-Laubbläser und 600 Rücken-Akkus von Pellenc verfolgt das Unternehmen nach eigenen Angaben ein klares Ziel: keine lokalen Emissionen, weniger Lärm und keine Anschaffungskosten, da die Stadtreinigung Hamburg die Geräte geleast hat.

„Unsere Mitarbeitenden schätzen besonders den Arbeitskomfort durch die hochwertigen Tragesysteme, die langen Akkulaufzeiten und die Einsatzfähigkeit bei Regen“, sagt Prof. Dr. Rüdiger Siechau, Geschäftsführer der Stadtreinigung Hamburg. Die ausgelieferten Geräte überzeugen laut Pellenc vor allem bei der Betriebszeit, der Leistungsfähigkeit und Vorteilen im Handling dank ergonomischer Tragesysteme und Schutzklasse IP54. Besonders das Akku-Blasgerät Airion Backpack demonstriere die Qualität der Lithium-Ionen-Technologie. Die 50 Akku-Bläser Airion Backback und 250 Airion 3 werden von 600 Rücken-Akkus ULiB 1500 mit Energie versorgt.

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Um Ihre Anmeldung zum kostenlosen Newsletter abzuschließen, bestätigen Sie bitte die Mail, die Sie in Kürze von uns bekommen. Siechau ließ es sich nicht nehmen, sich bei der Übergabe der Akku-Geräte und der Rücken-Akkus persönlich von der Leistungsfähigkeit zu überzeugen. „Der Auftrag der Stadtreinigung Hamburg ist ein weiterer Meilenstein für Pellenc in Deutschland. Er ist die erneute Bestätigung für Leistung und Wirtschaftlichkeit unserer Geräte und die Servicequalität unserer Handelspartner. Wir sind überzeugt, dass die Entscheidung Leuchtturm-Charakter hat“, freut sich Laurent Vivès, Geschäftsführer der Pellenc GmbH.

Für die Auslieferung, Einweisung und Serviceleistungen während der Vertragsdauer ist die Firma Hermann Meyer aus Rellingen verantwortlich. Der Fachhandelspartner wird als Ansprechpartner und Dienstleister gestärkt und von Pellenc speziell unterstützt.

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Pro Plug-&-Play: Sicherheitsschrank mit Charging-Station

Pressemitteilung | Lesedauer: 3 min | Bildquelle: Pellenc GmbH Akkubetriebene Geräte zur Grünpflege und zur Straßenreinigung etablieren sich zunehmend, außerdem werden vermehrt Lade- und Lagerschränke für Akkus angeboten, wie der neue Sicherheitsschrank Securion Pro Plug & Play von Pellenc . Laut Hersteller ist dies der erste Lade- und Lagerschrank mit integrierter Charging-Station. Damit sind keine Ladestationen im Schrank notwendig. Das schafft Platz für Akkus und vereinfacht das Laden: anstecken, einschalten – fertig.

Mit dem Securion Pro Plug & Play wird das Laden von bis zu 20 Pellenc Akkus aller Generationen und Modelle gleichzeitig gesteuert. Durch die Vorinstallation der Anschlüsse ist für das Lademanagement keine weitere Elektroinstallation notwendig. Die Elektrifizierung ermöglicht auch den Anschluss von Ladegeräten anderer Hersteller.

Neben der einfachen Ladung steht bei Pellenc die sichere Lagerung im Fokus. Der Sicherheitsschrank ist vom TÜV nach DIN EN 14770-1 und der EN 1363-1 geprüft sowie nach F90 als hochfeuerhemmend zertifiziert. Als laut eigenen Angaben erster und einziger Anbieter kann Pellenc einen Nachweis erbringen, dass der Sicherheitsschrank Securion auch wirkungsvoll gegen eine Rauchgasexplosion im Schrank schützt. Dieses Gefahrenszenario ist wahrscheinlicher als äußere Brandeinwirkungen.

Tous droits de reproduction réservés URL :http://www.bauhof-online.de PAYS :Allemagne TYPE :Web Grand Public 1 août 2023 - 00:37 > Version en ligne Tousdroitsdereproductionréservés P.26

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