Sommaire
[Communiqué] Vaucluse : la société Pellenc parmi les exposants du salon Sitevi 2023 à Montpellier UsineNouvelle.com - 28/09/2023
Moins de main-d'œuvre grâce au débardeur de caisses à vendange
L'Agriculteur Provençal - 29/09/2023
Sitevi Awards Les innovations en viticulture et en œnologie les plus remarquées cette année Vitisphere.com - 28/09/2023
37 nommés aux Sitevi Innovation awards 2023 mon-viti.com - 28/09/2023
Presser en qualité et en sécurité
La Marne viticole - 01/09/2023
SITEVI2023 Le salon affiche complet à 5 mois de son ouverture Les Vins d'Alsace - 01/08/2023
Pellenc POWER 48: il pettine olive in prova con Giulia Tonello omnitrattore.it - 25/09/2023
Première récolte lancée !
L'Agriculteur Provençal - 22/09/2023
Première récolte lancée !
Vaucluse Agricole - 22/09/2023
I consigli di Terra e Vita agli agricoltori terraevita.it - 21/09/2023
DEMOGREEN, 28-29/9, TUTTO SUL VERDE E IL GIARDINAGGIO ALLE PORTE DI MILANO greentelling.com - 20/09/2023
Dans la catégorie Innovation, c’est l’entreprise Pellenc Lan... L'Indépendant Catalan Narbonne-Lézignan-Port La Nelle - Narbonne-Lézignan-Port La Nelle - 20/09/2023
Grün Tour von Pellenc macht in fünf Städten Station bi-medien.de - 19/09/2023
CIA AGRICOLTORI ITALIANI, AL VIA LA CAMPAGNA DI RACCOLTA DELLE OLIVE PER IL 1° OLIO CAMPANO IGP casertasera.it - 19/09/2023
Al via in Campania la raccolta delle olive per il primo olio campano IGP – . it.italy24.press - 18/09/2023
Nasce l'Olio Campania Igp, via alla raccolta delle olive. Le sei aziende premiate dall'assessore Caputo ildenaro.it - 18/09/2023
In Campania al via la raccolta delle olive per il primo Olio Campania IGP agricultura.it - 18/09/2023
MASSA LUBRENSE - AL VIA RACCOLTA DELLE OLIVE PER OLIO IGP CAMPANIA informazione.campania.it - 18/09/2023
Cia Campania, al via la raccolta delle olive per il primo Olio Campania Igp sudnotizie.com - 18/09/2023
Campania: Cia, al via raccolta olive per I Olio Campania Igp
Dentrosalerno.it - 18/09/2023
Al via la campagna di raccolta delle olive: il primo olio Campania Igp ottopagine.net - 18/09/2023
Campania, Al via la campagna di raccolta delle olive per il primo Olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina binews.it - 18/09/2023
Abbacchiatore Pellenc Power: Caratteristiche, Vantaggi e Consigli d’Uso legnostorto.com - 12/09/2023
Robotique agricole L’évolution des tracteurs des débuts à nos jours Planète Robots - 01/09/2023
Agevolatore di raccolta olive Pellenc POWER 48: efficacia senza compromessi agricultura.it - 12/09/2023
Harvesting machines are everywhere and France is the champion limnews.com - 09/09/2023
HOCHFILZER LADT IN GANZ OSTERREICH ZU PROFI-TESTTAGEN Gerateneuheiten testen Kommunal - 06/09/2023
Amandes : Montebourg récolte enfin
Vaucluse Matin Édition provençale - Édition provençale - 10/09/2023
« Très peu de vignerons peuvent s'en passer »… La France est aussi la championne des machines à vendanger 20Minutes.fr - 09/09/2023
« Très peu de vignerons peuvent s'en passer »… La France est aussi la championne des machines à vendanger Msn (France) - 09/09/2023
Sérignan-du-Comtat. Amandes : Montebourg fier de sa première récolte ledauphine.com - 09/09/2023
La vendemmia delle macchine internazionale.it - 07/09/2023
Cosechadora de frutas Mercado Tamaño, participación y pronóstico para 2032 | A & B Packing Equipment, Agarin, AMB Rousset www.diariodehermosillo.com - 05/09/2023
Sitevi 2023: intervista al direttore del salone Christophe Lecarpentier igrandivini.com - 05/09/2023
Machinisme Attachement à la marque, force commerciale, SAV performant... : les raisons du succès des machines à vendanger Braud Vitisphere.com - 05/09/2023
Machinisme: Attachement à la marque, force commerciale, SAV performant... : les raisons du succès des machines à vendanger Braud dailyadvent.com - 05/09/2023
Best Weed Management Practices for Winegrape Vineyards Wine Business Monthly - 01/09/2023
[Communiqué] Vaucluse : la société
Pellenc parmi les exposants du salon Sitevi 2023 à Montpellier
Le Salon international des filières viticoles, vinicole, arboricole et oleicole (Sitevi) fera son retour cette année 2023. La société vauclusienne Pellenc sera parmi les participants.
L’entreprise Pellenc , établie à Pertuis, dans le département du Vaucluse, participera au salon Sitevi, qui se déroulera au Parc des expositions de Montpellier (Hérault) du 28 au 30 novembre 2023. Cet événement annuel est un rendez-vous incontournable de la filière vitivinicole (relative à la viticulture et à la vinification), arboricole et oléicole. Il rassemblera en un même lieu près de 200 exposants des secteurs de la production et du conditionnement du vin, du phytosanitaire et des nouvelles technologies.
Lors de ce salon, Pellenc exposera une large sélection de produits. Des accessoires et des équipements viticoles seront notamment proposés par la firme vauclusienne. Les visiteurs découvriront les produits phares de l’entreprise, dont la vendangeuse multifonction automotrice « Grapes’line ». Il s’agit d’une machine agricole conçue pour récolter les raisins. Cet outil permet de réaliser tous les processus de récolte (nettoyage, portage et transfert dans les bennes de débardage) en une seule opération.
Agriculteur Provenç
29 septembre 2023
PAYS :France
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PERIODICITE :Hebdomadaire
RUBRIQUE :Productions
JOURNALISTE :Ludovic Vimond
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MÉCANISER LE RAMASSAGE DES CAISSES AVEC UNE CHENILLETTE RÉPOND À UNE PÉNURIE GRANDISSANTE DE MAIN-D'ŒUVRE.
Moins de main-d'œuvre grâce au débardeur de caisses à vendange
Ludovic VimondLe débardeur de caisses à vendange Guérin Viticulture collecte jusqu'à neuf caisses.
T rouver de la main-d'œuvre pour charger les caisses lors des vendanges devient un problème de plus en plus prégnant. Même si ces saisonniers sont mieux payés, ramasser les caisses est éprouvant physiquement. “Pour les domaines viticoles qui vendangent à la main, trouver ces opérateurs est assez difficile. Et il n'est pas rare qu'ils abandonnent en cours de saison. Les remplacer à la hâte est loin d'être simple”, expliqueSébastien Guérin, gérant de la société Guérin Viticulture, basée à Audeux, dans le Doubs. “Mon père est vendeur de petits matériels pour la viticulture et les espaces verts. Il a régulièrement des demandes de viticulteurs pour trouver une solution réduisant la pénibilité de la collecte des caisses.
Sébastien Guérin a donc relevéle défi. Le prototype a tourné pendant les saisons 2020 et2021, avant
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d'enchaîner les démonstrations et salons. Facturé 4 400 €, le débardeur s'installe sur un transporteur à chenilles d'une charge utile d'au moins 500 kg, doté d'une centrale hydraulique et d'une table élévatrice. À défaut de cette dernière, Guérin Viticulture en adapte une pour 1 990 €. Le débardeur se compose de chaînes munies de pinces qui viennent serrer, par le dessus, les rebords des caisses Stamp, placées en travers dans les inter-rangs. Ces pinces soulèvent et emmènent la caisse vers la table élévatrice. Dès qu'il y a trois caisses sur la table, l'élévateur les soulève, positionnant ces trois caisses sur des cales. La table est ensuite redescendue et le conducteur peut ainsi recommencer l'opération deux fois, empilant ainsi jusqu'à neuf caisses. Il les ramène vers le plateau de transport et les décharge à hauteur, s'aidant au besoin de latable élévatrice.
Un à deux salariés en moins sans pénaliser le débit de chantier Selon les habitudes des exploitations viticoles, ce système permet l'économie d'un ou deux opérateurs pendant toute la saison, sans pénaliser le débit de chantier. “La caisse se charge en neuf secondes”, souligne Sébastien Guérin, qui estime le retour sur investissement à moins de deux ans. Le ramassage des caisses est réalisé sans effort et le déchargement est ergonomique, puisque latable élévatrice permet de
placerles caisses à la hauteur du plateau de transport, l'opérateur n'ayant plus qu'à les glisser. Ce débardeur présente plusieurs intérêts par rapport aux solutions de ramassage de caisses proposées sur tracteursenjambeurs. Outre la consommation de carburant plus réduite, le débardeur sur chenillette accède aux parcelles très pentues (jusqu'à 47 % lors de démonstrations), sans dégrader le sol, notamment après une pluie. Comparativement à l'enjambeur, le débardeursur chenillette peut être misdans les mains d'un conducteur novice.
L'Integral Winery S de Pellenc.
petites exploitations
L'integral Winery pour les
L'Integral Winery S complète vers le bas l'offre en égre-neurs-trieurs de Pellenc. Destiné auxcaves particulières et aux domaines de moinsde 50 hec-tares, cet équipement dispose d'un égreneur
Agriculteur Provenç
29 septembre 2023
PAYS :France
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PERIODICITE :Hebdomadaire
haute fréquence suivi d'une table de tri à rouleaux à écartement réglable éliminant la grande majorité des pétio-les.
Un second modèle pour les vignes les plus étroites Les seules limites sont la hauteur de chargement, quand le transporteur évolue en dévers, et l'inter-rang dans lequel le débardeur peut avancer. “Il faut des vignes d'au moins 1, 05 mètre entre rangs pour pouvoir placer les caisses Stamp en travers dans l'interrang”, explique Sébastien Guérin. “Pour les vignes plus serrées, j'ai conçu un second débardeur. ” Celui-ci charge les caisses Stamp dans le sens de la longueur. Le système de chargement se compose de glissières entre lesquelles les caisses viennent se loger. Elles sont ensuite soulevées, avant d'être poussées par un bras sur la plateforme élévatrice. Proposé à un tarif de 4 470 €, ce deuxième débardeur ne peut collecter que six caisses sur trois niveaux, du fait du positionnement en longueur des caisses Stamp.
Mais le chefd'entreprise ne compte pas s'arrêter là. “Je travaille sur un prototype pour charger les caisses de 90 litres Allibert, l'autre format couramment utilisé pour les vendanges”, dévoile-t-il. W
Grégoire : les tractées GT3 succèdent aux G3
RUBRIQUE :Productions
JOURNALISTE :Ludovic Vimond
Pour renouveler sa machine à vendanger tractée G3, datant de 2015, Grégoire s'est inspiré des modèles GL6, GL7 et GL8, lancés ces dernières années. Ainsi, la GT3 hérite de nombreuses améliorations issues des automotrices comme les tâteurs de suivi de rang, la plateforme de lavage surdimensionnée avec commandes déportées et colonne d'eau, l'accès facilité à la tête de récolte, le relevage automatique (en option) ou encore la technologie OVERboost, permettant de délivrer 100 % de la puissance moteur pendant un laps de temps, afin de franchir une difficulté. Mais la GT3 dispose également d'évolutions conçues pour les machines tractées. L'attelage a été repensé : letimon n'est plus solidaire de lacentrale hydraulique, mais vient se fixer directement à la chape du tracteur.
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comprend un compteur de chantier. Au niveau des commandes, Grégoire prend un temps d'avance en proposant la première machine à vendanger tractée du marché Isobus. Pour les tracteurs non équipés de cette technologie, un écran de 8, 4 pouces et un joystick compact s'installent en cabine.
X. Delb Automotrice GT3 de Grégoire
Il intègre un capteur d'effort qui peut gérer la transmission de la machine de façon automatique. Les moteurs de roues restent identiques, avec 840 cm 3 en standard et 1 260 cm 3 en option. La capacité des bennes passe à 2 000 litres, pour les vignobles à partir de 1, 70 mètre. En option, des bennes échancrées de 1 600 l permettent de rentrer dans des vignes de 1, 50 m de large. Les secoueurs de la tête de récolte ARC2 ont été rallongés, et le travail des aspirateurs optimisé grâce à des nouvelles trappes d'air Maxflow. La conduite a aussi été revue, et intègre désormais une gestion automatique des hauteurs de jambages, avec trois positions enregistrables (travail, tournière, route). Le nouveau logiciel permet d'ailleurs de programmer des séquences, d'enregistrer les paramètres de la machine d'une année sur l'autre, et
Sur la version plus large, des pinces montées sur des chaînes agrippent les caisses et les soulèvent.
Sitevi Awards Les innovations en viticulture et en œnologie les plus remarquées cette année
Sitevi Awards
Les innovations en viticulture et en œnologie les plus remarquées cette année
37 nominés font la course à la médaille du Sitevi. Ils proposent des innovations dans le domaine du numérique, l’amélioration de la productivité et du confort des viticulteurs, ou la réduction de l’empreinte environnementale.
CNH dévoile une cabine suspendue pour tracteurs interlignes étroits qui augmente fortement le confort du chauffeur. - crédit photo : New Holland
es dossiers se sont bousculés à la porte du jury des Sitevi Awards. 37 sur 106 déposés
sont encore en course pour recevoir une médaille d’or, d’argent, ou de bronze à Montpellier à la fin de la première journée de salon le 28 novembre. 35 concernent la viticulture ou l'oenologie. Pour l’heure, le jury a classé les innovations dans 3 catégories : le numérique, l’amélioration de la productivité, du confort, et de la sécurité, et la réduction de l’empreinte environnementale.
Numérique
Plusieurs innovations permettent de surveiller et de piloter des équipements. C’est le cas du système présenté par Winegrid pour surveiller à distance et en temps réel la prise de mousse des vins effervescents en bouteilles ou en cuve. Dans un autre domaine, Nétafim présente son interface GrowSphere qui permet de piloter très finement les installations d’irrigation et de fertilisation.
Le "copilote" présenté par Egretier permet au tractoriste de paramétrer finement les largeurs, hauteurs, et profondeurs des outils de travail du sol dans chaque parcelle depuis un panneau tactile dans sa cabine. Son écran permet à l’utilisateur de ne plus avoir à se contorsionner pour voir le positionnement de son matériel.
Les machines agricoles intègrent de plus en plus de fonctions de ce type. Par exemple, l’Intelliflow de CNH est une interface de surveillance et de pilotage des fonctions hydrauliques du tracteur enjambeur viticole. Cet Intelliflow gère la répartition du fluide hydraulique vers les outils afin d’optimiser le fonctionnement de chaque outil et de réduire la consommation d’énergie du tracteur. Optima Concept a développé le système AFS (Automatic Foliage Spraying) qui permet de déterminer à chaque endroit la présence de végétation afin de déclencher ou non la pulvérisation. De son côté, Kubota France propose l’Ais qui est un ensemble de capteurs (caméras 3D) et d’un module informatique d’analyse de données par Intelligence Artificielle. Cet Ais permet de mesurer les variations de volume foliaire et de moduler automatiquement la dose de produit de traitement.
Côté robotique, Vitibot propose une solution de cartographie fine des parcelles basée sur leurs interceps électriques. Le robot va utiliser une cartographie grossière réalisée par arpentage manuel, et va affiner constamment cette cartographie lors de ses interventions afin de pouvoir fonctionner au mieux de ses possibilités.
Les constructeurs ayant la responsabilité de prévoir des dispositifs pour assurer la sécurité des personnes qui pourraient se trouver dans l’espace de travail du robot ou de préconiser à l’utilisateur d’avoir un superviseur humain, Pellenc a développé le robot RX20-H, un robot viticole interligne avec motorisation hybride conçu avec un système de géofencing et des capteurs de sécurité qui lui permettent de s’affranchir d’une supervision humaine. Avec l’«Accord Robotique» de Sabi-Agri, le superviseur est aux commandes d’un tracteur électrique de la marque, et le robot Zilus va travailler en duo avec ce tracteur. Le débit de chantier est doublé en respectant les exigences de sécurité.
Dans le secteur de la communication et de la mise en relation de personnes, le jury du Sitevi a apprécié l’application "Dans les bottes". Proposée par "Thierry Agriculteur d’Aujourd’hui", elle aide les viticulteurs à faire connaître leur offre oenotouristique aux urbains.
Studio Nyx propose Ampélos qui est un simulateur de taille de la vigne qui permet d’apprendre les bons gestes et d’éviter les mauvaises postures. Les étudiants voient le résultat de leur travail au travers une modélisation de la croissance de la vigne.
Comme en matière de goût ou d’odorat rien ne remplace la pratique sur des objets réels, l’IFV propose aux vignerons et œnologues un coffret de reconnaissance des goûts de souris
28 septembre 2023 - 13:00
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Aide à la conduite, confort, productivité, sécurité
Le jury a d’abord retenu deux systèmes de transfert par dépression de moût, de vin, ou de marc, pour les opérations d’encuvage, décuvage, ou de soutirage. Le ML de Cefinox et le TSV de Tandem Process Partner évitent l’utilisation de pompes tout en respectant la qualité des produits.
De son côté, l’ICV a développé le Dyna Wine, un vortexeur hélicoïdal couplé à un système de nanobullage, permettant d’incorporer les intrants oenologiques de façon rapide et très homogène, et de gérer les gaz dissous.
Boisselet lance l’Acolyte 3, un chassis enjambeur qui facilite l’utilisation des outils de travail interceps. Avec l’intercep Para-Pivot, Ferrand offre une double sécurité permettant d’approcher au plus près les ceps en toute sécurité.
Vignetinox propose des piquets de bout de rang, piquets avec dispositif d’ancrage qui permettent de supprimer les systèmes d’ancrage des piquets de tête et donc de gagner du temps à la plantation, et de faciliter les sorties de rang.
Pour réduire les risques de TMS, CNH présente la cabine Comfort Ride, une cabine suspendue pour tracteurs interlignes étroits qui augmente fortement le confort du chauffeur. Berthoud présente deux innovations qui visent à simplifier et sécuriser le travail du chauffeur lors des opérations de pulvérisations : le X’Pulse, un dispositif de soufflage des débris végétaux sur les panneaux récupérateurs permettant à l’opérateur de les nettoyer sans s’exposer au produit utilisé, et l’Azimut, de la marque Nicolas Sprayers, qui coupe automatiquement la pulvérisation en sortie de rang, et de la reprend lors de l’entrée dans le rang suivant.
BM emballage propose une machine automatique de greffage dotée de dispositifs de sécurité permettant d’éviter les coupures et les mutilations. De même, Mage Application propose un sécateur anti-mutilation : ce sécateur détecte la zone interdite délimitée par un bracelet porté sur le poignet de la main libre, et il ne peut pas fonctionner dans cette zone. Pellenc propose l’armoire Sécurion pour protéger les locaux des risques d’explosion et d’incendies lors du rechargement des batteries.
Réduction de l’empreinte environnementale
Le jury n’a retenu qu’une seule des propositions reçues en matière de lutte contre les effets du réchauffement climatique, celle de Netafim qui propose une buse pour lutter contre les gelées de printemps par aspersion. Cette buse permet de mieux protéger le rang contre le gel tout en évitant d’arroser l’inter-rang afin d’économiser 50% d’eau. En matière de limitation des impacts environnementaux, il a apprécié le semoir vigneron Green Manager de Güttler. Cet outil permet de scalper, faire du semis direct ou encore détruire des couverts végétaux. Le produit de confusion sexuelle Exployo Vit de Syngenta pour lutter conte l’eudémis, l’appareil de décontamination des barriques et foudres en bois par lumière pulsée présenté par Bacchustorm, et le procédé Naturity de traitement des bouchons Amorim contre les TCA se sont également attirés les faveurs du jury.
Pour limiter les déchets et favoriser le recyclage des produits, Bucher Vaslin présente son filtre tangentiel polyvalent Flavy X-treme pour les applications sur vins, bourbes et lies. Modico présente un procédé d’impression sur bouteilles par système UV qui permet de décorer l’ensemble de la bouteille sans utiliser de sleeves et de favoriser son recyclage par le fait que les encres utilisées sont brulées lors de l’impression et ne laissent aucun résidu. Enfin, Ramondin propose une capsule aluminium entièrement recyclable à l’intérieur de laquelle il n’y a pas de matière plastique.
Pour améliorer le bilan carbone des vignerons, Exxact Robotics propose son robot viticole Traxx concept H2 capable de fonctionner entièrement avec de l’hydrogène avec
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une autonomie pouvant dépasser la journée de travail. Hydrokit propose un kit d’électrification pour ces outils pour les rendre compatibles avec les sources électriques sur tracteurs et robots électriques. De son côté, Pellenc revisite la technologie de pulvérisation par jet porté en proposant des micro-turbines électriques de pulvérisation qui permettent de faire varier indépendamment l’un de l’autre le débit de produit et le débit et la vitesse d’air.
Une autre façon de participer à la décarbonation de la viticulture est de valoriser le CO2 fermentaire. La société Siprem International propose un système innovant et simple pour une réutilisation directe pour l’inertage des pressoirs.
URL :http://mon-viti.com/
PAYS :France
TYPE :Web Pro et Spécialisé
JOURNALISTE :Irène Aubert
28 septembre 2023 - 13:22
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37 nommés aux Sitevi Innovation awards 2023
Publié le 28/09/2023 - 13:20
Christophe Lecarpentier (Sitevi), Christophe Riou (IFV) Jean-Louis Cazaubon (Région Occitanie), Damien Dubrulle (Axema) et Patrice This (Inrae) lors de la conférence de presse.
Quelles sont les innovations marquantes de l'année en viticulture et arboriculture ? Pour se faire une première idée, la liste des nommés aux "Sitevi Innovation awards" 2023 a été présentée ce jeudi 28 septembre à Montpellier. Une édition très riche puisque le jury a retenu 37 dossiers candidats sur 106 dossiers déposés. Rendez-vous le 28 novembre, premier jour du Salon, pour découvrir les lauréats. Voici la liste des innovations candidates en viticulture. à la vigne :
Berthoud : système de soufflage de débris vég
étaux pour panneaux récupérateurs sur pulvérisateur vigne X'Pulse
BM Emballage : machine à greffer les plants de vigne en oméga qui garantit une greffe constante tout en préservant l'intégrité des opérateurs, grâce à la détection du contact de la lame avec des gants.
Boisselet : chassis enjambeur tracté
Acolyte III, plus facile à utiliser pour répondre à la difficulté de recruter des chauffeurs expérimentés.
Exxact Robotics : enjambeur viticole autonome Traxx Concept H2 utilisant une pile à combustible à hydrogène.
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PAYS :France
TYPE :Web Pro et Spécialisé
JOURNALISTE :Irène Aubert
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Egretier Jean Michel : Copilote, intelligence artificielle au service du travail du sol, avec une interface dans la cabine du tracteur.
Ferrand : intercep Para-Pivot à effacement sur parrallélogramme combiné à une sécurité sur pivot
Güttler : semoir vigneron GreenManager® Güttler® composé de quatre éléments pouvant être utilisés ensemble ou séparément
Hydrokit - Vensys Group : électrification des outils viticoles montés sur des robots, porteurs ou tracteurs à source électrique
Kubota Europe : intelligence artificielle et vision des cultures en temps réel, pour une optimisation des opérations au vignoble
Mage Application : les sécateurs anti-mutilation Sam35 et Sam45 détectent la présence de la main à proximité de la lame de coupe. Cette distance est paramétrable par smartphone.
Netafim France : système d’exploitation d’irrigation et de fertigation GrowSphere™
Netafim France : le micro asperseur Pulsar™ + Stripnet™ X est adapté à l'irrigation d'un rang relativement étroit (1,20 m de large).
New Holland : Comfort Ride™ est une cabine suspendue qui équipe les tracteurs vignerons T4V et T4N, pour un confort amélioré du conducteur.
New Holland : Intelliflow, gère intelligemment la répartition hydraulique vers tous les outils branchés sur le tracteur ou l'enjambeur.
Optima Concept : détection de feuillage automatique AFS. Ce système gère l’ouverture et la fermeture des buses de pulvérisation en fonction des corps détectés par les capteurs à ultrasons, pour moduler les dose à la buse.
Pellenc : pulvérisateur électrique E-Sprayer adapté aux vignes étroites.
Pellenc : robot chenillard autonome RX20-H.
TYPE :Web Pro et Spécialisé
JOURNALISTE :Irène Aubert
28 septembre 2023 - 13:22
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Pellenc : armoire de charge des batteries Li-ion et de stockage anti-incendie.
Sabi Agri : flotte robotique collaborative. Le tracteur électrique Alpo et le robot tout terrain Zilus unissent leur force pour travailler ensemble ou séparément.
Studio Nyx & Consortium Vinum : formation numérique à la taille de vigne Ampélos.
Syngenta France : Exployo Vit est un produit de confusion sexuelle liquide contre eudémis, pulvérisable et mélangeable à de nombreux produits.
Thierry agriculteur d'aujourd'hui : l'application mobile "Dans les bottes" propose de relier agriculteurs et agritouristes, grâce à un "AirBnB de l'expérience immersive à la ferme".
Vignetinox : poteau de palissage avec ailettes pour plus de stabilité et d'économie.
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PAYS :France
TYPE :Web Pro et Spécialisé
JOURNALISTE :Irène Aubert
28 septembre 2023 - 13:22
VitiBot : cartographie automatique et détaillée des rangs de vignes en utilisant la technologie des interceps électriques.
à la cave : Amorim France : la technologie anti-TCA Naturity élimine les TCA et plus de 150 autres molécules du liège, sans affecter ses qualités physiques et mécaniques du bouchon.
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Bacchustorm : appareil de décontamination de barriques, foudres et autres contenants par lumière pulsée
Bucher Vaslin : le filtre X-Treme 3 en 1 peut filtrer l’ensemble des produits de la cave : les vins, les bourbes et les lies (lies de fermentation et lies de collage).
Cefinox : systeme ML de transfert de la vendange fermentée, égrappée et liquide c
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TYPE :Web Pro et Spécialisé
JOURNALISTE :Irène Aubert
28 septembre 2023 - 13:22
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hargée.
ICV : Dyna Wine® est un vortexeur hélicoïdal couplé à un système de nanobullage pour incorporer les intrants oenologiques dans le vin.
Institut francais de la vigne et du vin : coffret de reconnaissance des goûts de souris dans les vins.
Modico : bouteilles imprimées de manière transparente sur toute la surface avec le système d’impression LSINC Perivallo360m
Ramondin e-CAP : capsule en aluminium 100% recyclable
Siprem International : exploitation des gaz de fermentation lors du pressurage des raisins
Tandem Process Partner : système de transfert de moût, de vin ou de vendange fraîche par aspiration par le vide.
Watgrid SA : système de surveillance numérique de la prise de mousse à distance et en temps réelle avec le capteur Winegrid (méthode Charmat ou méthode champenoise).
Trois tendances majeures se dégagent :
- le numérique et ses applications,
- l’amélioration de la productivité et de la sécurité,
- la réduction de l’empreinte environnementale.
Retrouvez le détail de ces innovations dans notre prochain n° de Viti.
Marne viticole [La]
1 septembre 2023
PAYS :France
PAGE(S) :20
SURFACE :31 %
PERIODICITE :Mensuel
DIFFUSION :(5200)
JOURNALISTE :Jean-Baptiste Labelle
Presser en qualité et en sécurité
Jean-Baptiste Labelle
Le champagne Pierre Gimonnet et Fils s'attache à un pressurage de qualité avec ses pressoirs Pera Pellenc. Didier Gimonnet entretient parfaitement cette tradition familiale.
La maison Pierre Gimonnet et Fils porte une belle histoire. Classée comme un domaine important et historique, l'exploitation basée à Cuis a toujours accueilli de belles vendanges depuis les années 1930. Passionné etdévoué, Didier Gimonnet en est actuellement à la tête. « Nous avons acquéri de nouveaux pressoirs en 1990 avec à l'époque plus de 20 ha de vignes en notre possession. Il a donc fallu gérer cette augmentation progressive de rendement. Nous avons dû nous adapter à la viticulture productiviste puis actuellement au volet environnemental », rappelle le directeur de Pierre Gimonnet et Fils. Option pour Pera Depuis 1996, la maison située à Cuis a ainsi installé de nouveaux pressoirs avec au départ un investissement dans un8 000 kg et un 4 000 kg. « Cela nous faisait une capacité totale de 12 000 kg pour une surface de l'ordre de 23 à 24 ha. Cette organisation nous permettait d'être plus souples avec 12 unités de 4 000 kg. Nous avons depuis ainsi moins de temps et en ayant moins de personnel à gérer. Ce qui nous donne un plus de qualité et des raisins moins matraqués », précise Didier Gimonnet. C'est alors que le bâtiment de pressurage a été revu et amélioré pour accueillir au mieux les pressoirs.
Ajustements en 2021
Après avoir choisi Pera Pellec pour des questions notamment de service après-vente et de proximité, Gimmonet et Fils ont réajusté leur centre de pressurage en 2021. « Un des pointsforts de ces pressoirs est la qualité de l'écoulement avec des cages ajourées, le système de lavage est également optimal. En 2021, nous avons rechangé pour plusieurs raisons : question qualitative, de logistique et de sécurité », signale Didier Gimonnet. C'est alors que la maison de Cuis a réservé trois pressoirs de 4 000 kg désormais.
« Car quand vous avez des pressoirs de 4 000 kg par rapport àun 8 000 kg la hauteur de chute des raisins dans le pressoir est moins haute et donc vous agressez moinsle raisin et avez moins d'auto pressurage. Le jus coule avant de mettre le pressoir en marche donc il est plus qualitatif », décline leMarnais.
« Deuxièmement, avec des pressoirs de 4 000 kg, nous arrivons à écouler nos jus par gravité et le phénomène d'oxydation n'est pas présent ». En 30 ans, petite amélioration des programmes de pressurage également. Par gravité on peut utiliser le phénomène de pressurage optimisé en fonction de l'écoulement du jus et pas par rapport à un nombre de minutes à temps de pression programmé avant. Option de pressurage plus qualitative.
Optimisation du temps
« Ici on fait des pressurages parcellaires mêmesur un 8 000 kg. Dès 4 000 kg, nous n'attendons plus désormais. C'est un réel gain de temps. Les raisins sont pressés plus
rapidement et vous optimisez vos équipes de pressurage car le matin il y a un rythme sur toute la journée de remplissage des pressoirs.C'est un rythme régulier. Tousmettent le même temps de pressurage, avant nous avions un décalage », se félicite Didier Gimonnet.
Système sécuritaire
Autre point fort de ces derniers pressoirs, l'aspect sécuritaire. « Nos pressoirs sont enterrés par rapport à la surface du sol donc pour les vider vous avez un système de vis qui remontent vers l'extérieur. En nettoyage obligé de passer par en dessous et donc protege. Cela permet un travail minutieux. » Avec cette organisation, la maison Gimonnet et Fils peut presser sereinement ses propres raisins et s'occuper de sa propre vendange en autonomie.
PAYS :France
PAGE(S) :18
SURFACE :101 %
PERIODICITE :Mensuel
DIFFUSION :(2700)
SITEVI2023
Le salonaffichecomplet à 5 moisdesonouverture
LeSITEVI, salonleader dela filière viticole, vinicole, arboricoleetoléicole (du28au30novembre 2023au ParcdesExpositions deMontpellier- 34), affichecompletà 5mois desonouverture.
Il annonced'ores etdéjàdesperformances exceptionnelleset historiquestant danssa commercialisationquedansla diversité de son offre exposants.En effet, cette nouvelle édition du SITEVI présenterauneoffre enrichieavecprèsde 200 nouveauxexposants, toussecteursconcernés.
À 5 moisdu salon, les réservationsconfirmées montrent un engagement fort de la part des professionnelsdes filières. Grâceau soutien de la région Occitanie/ Pyrénées-Méditerranée, à la fidélité de ses exposantset à la richessede son contenu, l'édition 2023du SITEVIs'annoncecomme un événementimmanquable ! Événementmondial leader pour les professionnels dans la filière viticole, vinicole, arboricoleet oléicole, le SITEVI confirme son positionnementet sa dimensioninternationale, puisque le salon affiche déjà complet pour novembre prochain.Cette année,1 000 exposants seront présents avec près de 200 nouveaux dont 65 en vinification et emballage, 63 en viticul-
ture, 17 en phytosanitaire et 19 en nouvelles technologies.Ce dernier secteur et celui de la robotique seront particulièrement bien représentés avec 285Kelvin, AGRICONOMIE, B&S TECH, FOOD PILOT, SC GROUPE... et pour la robotique: ALLIANS ROBOTICS, DUGUIT TECHNOLOGIES - CHAMPAGEL, EXXACT ROBOTICS, NAÏO TECHNOLOGIES, SABI AGRI, SITIA, VITIBOT, YANMAR, VINEYARD SOLUTIONS... Cette affluence d'exposants français et internationaux est la concrétisationdu travail de fond mené par ses organisateurs, Axema et Comexposium.Depuis plusde 45 ans, les équipes n'ont cessé de faire progresserl'événement,avec une vision claire : proposeruneoffre exhaustivecouvrant la chaînede productionde l'amontet l'aval desfilières.
«Cetteannée, le SITEVI s'annoncecomme unebelle promesse.Edition aprèsédition, le salonmonte enpuissance,avec un intérêt croissant desvisiteurs pour l'innovation.
Enrenforçantsonpositionnement,le SITEVI offre la possibilité à tousles vignerons, de découvrirles meilleures solutionset innovations technologiquesquiexistent en France et à l'étranger. Cet engouement montre queles visiteurs etles exposantscontinuent de nous accorder leur confiance. Nous œuvronstous dans le but commun de trouverdessolutionspour pallier aux aléas climatiquesdansces différentes filières.»
- Laurent Noël, Directeur Général de Comexposium.
« Noussommes très heureuxde voir que tousles acteurssont au rendez-vouspour le mois de novembre. Cette édition est unebellepromessenotammenten ce qui concerneles innovationsavec le nouvel espace«LAB TECH» etle succèsremporté par les SITEVI Innovation Awards. À ce jour, le nombrede dossiersinscrits est enhausse deplus de 53 % ! » - Laurent de Buyer, DirecteurGénéral d'AXEMA.
Parmi les exposantsinscritsde nombreux grands comptes ont confirmé leur pré-
sence :
Les machines à vendanger: PELLENC, CNH, BOBARD, ERO;
La viticulture: KUHN, MASCHIO, ACTISOL, EUROVITI, CLEMENS, VITIBOT, RABAUD; la vinification:
BUCHER VASLIN, PERA-PELLENC; DELLA TOFFOLA; AMOS; DIEMME; SEGUIN MOREAU; VIVELYS;
• Les emballages:DIAM, GAI, SMURFIT KAPPA; VERALLIA;
• Le matériel de traction: ANTONIO
CARRARO, AGCO, ARGO, CASE, CLAAS, KUBOTA, NEW HOLLAND
Les systèmesde pulvérisation:FRANCE
PULVÉ, CALVET, CEDMA, YANMAR;
Les agrofournitures: BAYER, BELCHIM, BIOLINE, ANGIBAUD, DE SANGOSSE, OVINALP, HAIFA, SYNGENTA, YARA;
• Le matériel spécifiquefruits & légumes et l'irrigation: SORMAF, CALIBREX, MAF, NETAFIM, UNITEC, BRL, RICHEL, DALIVAL.
25 septembre 2023 - 10:10
TYPE :Web Grand Public
JOURNALISTE :Cristian Furini
> Version en ligne
Pellenc POWER 48: il pettine olive in prova con Giulia Tonello
Pellenc POWER 48: il pettine vibrante full electric per olive in prova, con Giulia Tonello, negli oliveti umbri
C'è un Pellenc POWER 48, un pettine olive, tra le mani e in spalla di Giulia Tonello. La campagna umbra è stata lo scenario per un test in oliveto con Pellenc Italia, con cui Giulia ha dato una pettinata a piante secolari, con un'attrezzo professionale full electric.
Abbacchiatore, scuoti olive, agevolatore di raccolta per l’appunto. Chiamatelo come volete, ma un attrezzo come questo fa la differenza in una delle attività di raccolta più complesse, delicate e anche faticose in agricoltura.
Cogliere una drupa può sembrare semplice, infatti, ma solo in apparenza. Questa operazione quella che conclude la stagione olivicola e oltre a a un grande impegno fisico richiede una serie di conoscenze tecniche. Inoltre deve essere svolta con tempi e metodi precisi dato che la tempistica con cui si raccolgono le olive determina il risultato finale della campagna.
Pellenc POWER 48: l'abbacchiatore in prova con Giulia Tonello width 16 height loading laz id 2 8 0dff Il Power 48 alla sua quarta generazione
Con queste premesse si capisce quanta attenzione Pellenc abbia riservato allo sviluppo dell’agevolatore di raccolta a batteria POWER 48, attrezzo potente e redditizio grazie al motore brushless, che lo rende fino a otto volte più rapido rispetto alla raccolta manuale, salvaguardando allo stesso tempo l’albero, i frutti e i rami, oltre a portare un miglioramento delle condizioni di lavoro degli operatori, grazie alla sua leggerezza e comodità di utilizzo.
ModelloP230T220 - 300 Lunghezza con testa SOLO 220 cm 230-310 cm Potenza motore 480 W 480 W Peso 2.600 g 3.200 g Design ed ergonomia ricercata
Il design è stato specificatamente progettato per rendere perfetta ergonomia. Le dita sono in fibra di carbonio con la possibilità di utilizzare copridita in silicone, in modo da riuscire a lavorare anche sui frutti più delicati.
L’impugnatura è realizzata in modo da assicurare sempre il massimo del controllo e della precisione durante il lavoro, anche durante la raccolta delle olive più alte.
Pellenc POWER 48: l'abbacchiatore in prova con Giulia Tonello width 16 height loading laz id 32 22e64
Sono disponibili inoltre due teste di raccolta per il POWER 48: la storica testa SOLO che da sempre caratterizza gli agevolatori Pellenc , in grado di assicurare una capacità di raccolta senza eguali, e la nova testa DUO, per il massimo della comodità di lavoro e durata della batteria.
La sostituzione della testa avviene in pochi minuti.
omnitrattore.it
25 septembre 2023 - 10:10
PAYS :Italie
TYPE :Web Grand Public
JOURNALISTE :Cristian Furini
> Version en ligne
, in grado di assicurare una capacità di raccolta senza eguali, e la nova testa DUO, per il massimo della comodità di lavoro e durata della batteria.
La sostituzione della testa avviene in pochi minuti.
Due aste disponibili
Qui in campo poi, mi è piaciuta molto la possibilità di scegliere tra due configurazioni dell’asta: una fissa da 230 cm e una telescopica da 220 a 300 cm; è anche per questo che il Pellenc POWER 48 si adatta a tutte le tipologie di oliva: verdi, mature e olive da tavola e in tutte le condizioni operative.
E a proposito di operatività, ci sono due modalità di utilizzo disponibili: la modalità “slow” rallenta il numero di battute del pettine quando questo non è in fase di raccolta così da assicurare il massimo del comfort durante gli spostamenti tra le piante, e una maggiore autonomia della batteria.
Pellenc POWER 48: l'abbacchiatore in prova con Giulia Tonello width 16 height loading laz id 3f e f8a
Nel momento in cui POWER 48 entra a contatto con la pianta, riprenderà la sua normale velocità di movimento.
Si può poi decidere tra due velocità di funzionamento, in base alla tipologia del frutto da raccogliere.
Motore da 48 V
Ma come abbiamo imparato da Pellenc anche nei video passati, l’efficacia di un attrezzo arriva anche dalle parti che non si vedono, e il Power 48 non fa eccezione.
Pellenc POWER 48: l'abbacchiatore in prova con Giulia Tonello width 16 height loading laz id acb06b
Il motore da 48 V di questo pettine vibrante può infatti essere alimentato da una batteria multifunzione PELLENC o da una batteria convenzionale da 12 V grazie al convertitore 12/44V.
E per quanto riguarda l’autonomia? Questa dipende dal tipo di cultivar e dall’impostazione del cantiere di lavoro, ma Pellenc dispone di una vasta gamma di batterie, così da scegliere quella più adeguata alle diverse necessità, in modo da coprire tranquillamente un’intera giornata di raccolta.
11Foto
Agriculteur Provenç
22 septembre 2023
PAYS :France
PAGE(S) :7
SURFACE :55 %
PERIODICITE :Hebdomadaire
RUBRIQUE :Cours & cotations
JOURNALISTE :Culture Des Friches…
Cliquez ici pour voir la page source de l’article
LE PARI D'ARNAUD MONTEBOURG, ANCIEN MINISTRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF, AUTOUR DE LA RELANCE DE LA FILIÈRE AMANDE, SEMBLE SE DIRIGER VERS UNE VRAIE RÉUSSITE. À L'OCCASION D'UNE PREMIÈRE RÉCOLTE DANS LE VAUCLUSE, LE PRÉSIDENT DE LA COMPAGNIE DES AMANDES A FAIT QUELQUES ANNONCES.
Première récolte lancée !
culture des friches”. W Pierre Nicolas, CLP
Première récolte du verger d'amandiers de la SAS 'Amandes de la Renjardière', propriétaire à 51 % du terrain, les 49 % restants étant dans l'escarcelle de la Compagnie des amandes.
La société Pellenc a prêté à la SAS 'Amandes de la Renjardière' un dispositif de récolte mécanisé, constitué d'un vibreur frontal de dernière génération et d'une bâche automatique attelée.
C' est l'histoire d'un pari qui aurait pu sembler un peu fou, mais qui ne s'avère pas l'être tant que cela. En 2016, un groupe de producteurs et de transformateurs provençaux de l'amande crée le 'Syndicat des producteurs d'amande de Provence' autour d'une idée : relancer la filière amande. André Pinatel, ancien président de la Chambre régionale d'agriculture, en devient le président et rencontre Renaud Muselier, président de la Région Sud. Quelques mois plus tard, à la boulangerie du Salon international de l'agriculture, Renaud Muselier prend un café avec Arnaud Montebourg et François Moulias : les deux hommes ont pour intention de créer la Compagnie des amandes, dont le projet serait de relocaliser la culture de l'amande en Provence et
Occitanie. Ce qu'ils feront en 2018. En octobre 2020, un premier verger voit le jour dans le Vaucluse, chez Vincent Fabre, à Pernes-les-Fontaines. Huit mois plus tard, un second verger est planté à Séri-gnan-du-Comtat, en présence de Renaud Muselier. Et, en ce début de septembre 2023, lapremière récolte de ce verger vient d'avoir lieu. “En volume, elle est symbolique, mais elle marque la concrétisation de nombreuses années d'efforts”, explique François Moulias, directeur général de la Compagnie des amandes. Tous les partenaires de l'opération sont là : la Région, représentée par Bénédicte Martin, les partenaires de recherche et d'expérimentation, depuis Inrae jusqu'à la société Pellenc, qui a prêté un vibreur frontal et une bâche automatique pour faire la récolte. Et, au premier rang, la famille Dupond, propriétaire à 51 % de la SAS 'Amandes de la Renjardière', propriétaire du terrain. Un modèle économique innovant Car telle est la particularité du modèle économique proposé par la Compagnie des amandes. “Depuis le néolithique, le producteur est rémunéré à la récolte. Or, l'amandier met sixans avant de rentrer en production. Nous avons décidé de ne pas acheter la terre, de la laisser en propriété auxagriculteurs, car la propriété doit rester à celui qui
Agriculteur Provenç
22 septembre 2023
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PERIODICITE :Hebdomadaire
l'exploite : c'est l'une des grandes conquêtes de la révolution française”, clame le très républicain ex-ministre du Redressement productif. “Nous nous sommes associés à une dizaine de producteurs pour l'instant, avec le projet d'atteindre 80 projets à terme, sur le principe suivant : 51 % pour le paysan, 49 % pour la Compagnie. Nous créons ensemble des sociétés d'exploitation, comme ici, qui plantent les arbres, installent l'irrigation, cultivent et récoltent. Nous avons reçu4 800 hectares de déclarations de candidatures. Aujourd'hui, 210 sont plantés, 120 autres sont validés et en attente de plantation. Nous écartons parfois
pour des raisons pédologiques, climatologiques ou hydrologiques
certains projets. Au final, 575 hectares sont dans les tuyaux. ” De bons chiffres, même s'ils sont, d'après Arnaud Montebourg, “un peu en dessous de ceux que nous nous étions fixés”.
Gestion agroécologique Le verger de Sérignan-du-Comtat est mené par un chef de culture, Patrick Serre, avec le soutien de l'équipe technique de la Compagnie des amandes, dirigée par l'ingénieure Eugénie Coutagne. “C'est un peu notre verger pilote, où nous mettons en place des tests grandeur nature. Quand nous sommes arrivés, c'était un 'open-field' (champ totalement ouvert, ndlr). Moi qui suis
Provençale, je n'avais jamais vu ça. Les amandiers sont en 3 e feuille, ce qui expliquela faible récolte de cette année. Nous menons laculture en conventionnel. C'est un choix affirmé : nous n'avons pas voulu mener la culture en bio, car comme c'est notre premier verger,nous avons encore beaucoup de questions à trancher. Mais nous conduisons toutefois cette culture sur un mode
RUBRIQUE :Cours & cotations
JOURNALISTE :Culture Des Friches…
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agroécologique, en pratiquant l'enherbement des rangs, en plantant 7 kilomètres de haies sur les 100 hectares, en régénérant les sols par apports de matière organique. ” Un important travail de recherche –mené par la doctorante Anjélica Leconte, avec le Centre d'écologie fonc-tionnelle et évolutive (Cefe-CNRS) et Inrae – a permis, en trois ans, d'identifier une solution de biocontrôle contre le ravageur de l'amande, la guêpe Eurytoma amygdali.
Élargissement de l'offre Cette première récolte est aussi l'occasion de lancer une nouvelle proposition d'achat de récolte, destinée cette fois aux petits producteurs indépendants, professionnels ou particuliers, sous forme d'un contrat de trois ans. Car la Compagnie des amandes est sur le point de créer sa propre casserie, à Signes, dans le Var. “Le permis de construire a été signé, nous avons le soutien financier de La banque des territoires, de France Relance 2030, de la Banque publique d'investissement et de la Région Sud : il ne manque plus que les banques, pour obtenir l'emprunt qui nous permettra de boucler le financement de ce projet”, explique Arnaud Montebourg. Christian Mounier, vice-président du Département de Vaucluse, en charge de l'agriculture, est enthousiaste pour ce projet qui ouvre, à ses yeux, des perspectives : “Dans ce déChristian Mounier, vice-président du Département de Vaucluse, en charge de l'agriculture, est enthousiaste pour ce projet qui ouvre, à ses yeux, des perspectives : “Dans ce dé-partement où certaines filières, telles que la lavande, sont en difficulté, ces nouvelles opportunités sont de potentielles solutions pour les exploitations agricoles. ” Et l'élu de rappeler que, si le Département
ne propose pas d'aide à la plantation, “en revanche, nous accompagnons financièrement la remise en culture des friches”. W Pierre Nicolas, CLP
POUR ÊTRE précis
Pellenc prête une machine
À l'occasion de ce chantier de récolte, la société Pellenc a prêté à la SAS 'Amandes de la Renjardière' un dispositif de récolte mécanisé, constitué d'un vibreur frontal de dernière génération, et d'une bâche automatique attelée. “ Ce sont des machines qui ont été développées au départ pour la récolte des olives ”, explique Fakhri Souissi, chef du département 'Arboriculture' chez Pellenc. “ Le développement du marché des amandes nous a amenés à les adapter à cette production. C'est un dispositif qui recourt forcément à pas mal de technologies. Nous formons donc
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les utilisateurs pendant la première semaine d'usage. Mais une fois formés, on peut atteindre un rendement de deux à trois arbres à la minute . ” ■
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22 septembre 2023
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JOURNALISTE :Pierre Nicolas
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LE PARI D'ARNAUD MONTEBOURG, ANCIEN MINISTRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF, AUTOUR DE LA RELANCE DE LA FILIÈRE AMANDE, SEMBLE SE DIRIGER VERS UNE VRAIE RÉUSSITE. À L'OCCASION D'UNE PREMIÈRE RÉCOLTE DANS LE VAUCLUSE, LE PRÉSIDENT DE LA COMPAGNIE DES AMANDES A FAIT QUELQUES ANNONCES.
Première récolte lancée !
Pierre Nicolas, CLPPremière récolte du verger d'amandiers de la SAS 'Amandes de la Renjardière', propriétaire à 51 % du terrain, les 49 % restants étant dans l'escarcelle de la Compagnie des amandes.
La société Pellenc a prêté à la SAS 'Amandes de la Renjardière' un dispositif de récolte mécanisé, constitué d'un vibreur frontal de dernière génération et d'une bâche automatique attelée.
C'est l'histoire d'un pari qui aurait pusembler un peufou, mais qui ne s'avère pas l'être tant que cela. En 2016, un groupe de producteurs et de transformateurs provençaux de l'amande crée le 'Syndicat des producteurs d'amande de Provence' autour d'une idée : relancer la filière amande. André Pinatel, ancien président de la Chambre régionale d'agriculture,en devient le président et rencontre Renaud Muselier, président de la Région Sud. Quelques mois plus tard, à la boulangerie duSalon international de l'agriculture, Renaud Muselier prend un café avec Arnaud Montebourg et François Moulias : les deux hommes ont pour intention de créer la Compagnie des amandes, dont le projet serait de relocaliser la culture de l'amande en Provence et Occitanie.Ce qu'ils feront en 2018. En octobre 2020, un premier verger voit le jour dans le Vaucluse, chez Vincent Fabre, à Pernes-les-Fontaines. Huit mois plus tard,un second verger est plantéà Séri-gnan-du-Comtat, en présence de Renaud Muselier.Et, en ce début de septembre 2023, la première récoltede ce verger vient d'avoir lieu. “En volume, elle est symbolique, mais elle marque la concrétisation de nombreuses années d'efforts”,explique François Moulias, directeur général de la
Compagnie des amandes. Tous les partenaires de l'opération sont là : la Région, représentée par Bénédicte Martin, les partenaires de recherche et d'expérimentation, depuis Inrae jusqu'à la société Pellenc, qui a prêté un vibreur frontal et une bâche automatique pour faire la récolte. Et, au premier rang, la famille Dupond, propriétaire à 51 % de la SAS 'Amandes de la Renjardière', propriétaire du terrain. Cette première récolte est l'occasion de lancer une nouvelle proposition d'achat de récolte, destinée cette fois aux petits producteurs indépendants, professionnels ouparticuliers, sous forme d'un contrat de trois ans. Un modèle économique innovant Car telle est la particularité du modèle économique proposé par la Compagnie des amandes. “Depuis le néolithique, le producteur est rémunéré à la récolte. Or, l'amandier met sixans avant de rentrer en production. Nous avons décidé de ne pas acheter la terre, de la laisser en propriété auxagriculteurs, car la propriété doit rester à celui qui l'exploite : c'est l'une des grandes conquêtes de la révolution française”, clame le très républicain ex-ministre du Redressement productif. “Nous nous sommes associés à une dizaine de producteurs pour l'instant, avec le projet d'atteindre 80 projets à terme, sur le principe suivant : 51 % pour 0BYHU23jBp6YVP8fSzBijA_lr0L3e8_pP5fgGD3toc2OFj91G0AE1R-gWBWcEUFgmYmQ3
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22 septembre 2023
le paysan, 49 % pour la Compagnie. Nous créons ensemble des sociétés d'exploitation, comme ici, qui plantent les arbres, installent l'irrigation, cultivent et récoltent. Nous avons reçu4 800 hectares de déclarations de candidatures. Aujourd'hui, 210 sont plantés, 120 autres sont validés et en attente de plantation. Nous écartons parfois
pour des raisons pédologiques, climatologiques ou hydrologiques
certains projets. Au final, 575 hectares sont dans les tuyaux. ” De bons chiffres, même s'ils sont, d'après Arnaud Montebourg, “un peu en dessous de ceux que nous nous étions fixés”. Gestion agroécologique Le verger de Sérignan-du-Comtat est mené par un chef de culture, Patrick Serre, avec le soutien de l'équipe technique de la Compagnie des amandes, dirigée par l'ingénieure Eugénie Coutagne. “C'est un peu notre verger pilote, où nous mettons en place des tests grandeur nature. Quand nous sommes arrivés, c'était un 'open-field' (champ totalement ouvert, ndlr). Moi qui suis Provençale, je n'avais jamais vu ça. Les amandiers sont en 3 e feuille, ce qui expliquela faible récolte de cette année. Nous menons laculture en conventionnel. C'est un choix affirmé : nous n'avons pas voulu mener la culture en bio, car comme c'est notre premier verger,nous avons encore beaucoup de questions à trancher. Mais nous conduisons toutefois cette culture sur un mode agroécologique, en pratiquant l'enherbement des rangs, en plantant
RUBRIQUE :L'actualité locale
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JOURNALISTE :Pierre Nicolas
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7 kilomètres de haies sur les 100 hectares, en régénérant les sols par apports de matière organique. ” Un important travail de recherche –mené par la doctorante Anjélica Le-conte, avec le Centre d'écologie fonc-tionnelle et évolutive (Cefe-CNRS) et Inrae – a permis, en trois ans, d'identifier une solution de biocontrôle contre le ravageur de l'amande, la guêpe Eurytoma amygdali.
Élargissement de l'offre Cette première récolte est aussi l'occasion de lancer une nouvelle proposition d'achat de récolte, destinée cette fois aux petits producteurs indépendants, professionnels ou particuliers, sous forme d'un contrat de trois ans. Car la Compagnie des amandes est sur le point de créer sa propre casserie, à Signes, dans le Var. “Le permis de construire a été signé, nous avons le soutien financier de La banque des territoires, de France Relance 2030, de la Banque publique d'investissement et de la Région Sud : il ne manque plus que les banques, pour obtenir l'emprunt qui nous permettra de boucler le financement de ce projet”, explique Arnaud Montebourg.
Christian Mounier, vice-président du Département de Vaucluse, en charge de l'agriculture, est enthousiaste pour ce projet qui ouvre, à ses yeux, des perspectives : “Dans ce dé-partement où certaines filières, telles que la lavande, sont en difficulté, ces nouvelles opportunités sont de potentielles solutions pour les exploitations agricoles. ” Et l'élu de rappeler que, si le Département
ne propose pas d'aide à la plantation, “en revanche, nous accompagnons financièrement la remise en culture des friches”. W Pierre Nicolas, CLP
POUR ÊTRE précis
Pellenc prête une machine
À l'occasion de ce chantier de récolte, la société Pellenc a prêté à la SAS 'Amandes de la Renjardière' un dispositif de récolte mécanisé, constitué d'un vibreur frontal de dernière génération, et d'une bâche automatique attelée. “ Ce sont des machines qui ont été développées au départ pour la récolte des olives ”, explique Fakhri Souissi, chef du département 'Arboriculture' chez Pellenc. “ Le développement du marché des amandes nous a amenés à les adapter à cette production. C'est un dispositif qui recourt forcément à pas mal de technologies. Nous formons donc les utilisateurs pendant la première semaine d'usage. Mais une fois formés, on peut atteindre un rendement de deux à trois arbres à la minute . ” ■
Rapidità e precisione; una raccolta olive ancora
più redditizia con Pellenc !
Notizie dalle aziende
• contenuto sponsorizzato
Di
Redazione Terra e Vita21 Settembre 2023
Pellenc
%21&url=https%3A%2F%2Fterraevita.edagricole.it%2Fnotizie-dalle-aziende%2Fraccolt a-olive-agevolatore-pellenc-power-48%2F&via=TerraVitaMag">
Pellenc !">
Pellenc Power 48 con una nuova testa per una resa eccezionale senza stancare l’operatore">
Pellenc ! %0A%0A
https://terraevita.edagricole.it/notizie-dalle-aziende/raccolta-olive-agevolatore-pellenc-po wer-48/">
Pellenc
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La campagna di raccolta delle olive è senza dubbio un’operazione che richiede sempre il massimo dell’impegno e dell’ottimizzazione delle tempistiche di lavoro.
Per questo Pellenc , brand precursore assoluto per quanto riguarda lo sviluppo e la commercializzazione di attrezzature a batteria per agricoltura e giardinaggio, ha realizzato un agevolatore di raccolta professionale che permette di velocizzare e semplificare le operazioni di raccolta, lavorando nel totale rispetto di ambiente, pianta e operatore!
L’agevolatore di raccolta olive Pellenc Power 48, disponibile nelle varianti ad asta fissa (modello P230) e ad asta telescopica (modello T220/300) è un vero e proprio alleato degli olivicoltori che richiedono prestazioni e comfort. Utilizzabile sia con le batterie multifunzione agli ioni di litio Pellenc , che attraverso l’utilizzo di un convertitore 12/44V collegato ad una tradizionale batteria da auto, Power 48 riesce ad avere un’autonomia di oltre un’intera giornata di lavoro!
Dotato del motore “brushless by Pellenc ” in grado di raggiungere fino al 93% di rendimento, con vibrazioni, pesi ed ingombri ridotti al minimo, l’agevolatore di raccolta Pellenc vanta una resa eccezionale con una lunga durabilità nel tempo, oltre a manutenzioni ridotte grazie all’assenza di parti di sfregamento.
Per assicurare sempre il massimo in quanto a possibilità di scelta, Pellenc ha realizzato due diverse tipologie di teste di raccolta, facilmente intercambiabili, pensate per diversi utilizzi, in funzione della tipologia di oliva da raccogliere, preferenze dell’operatore e posizionamento stesso della pianta. Alla tradizionale testa SOLO, storico marchio di fabbrica degli agevolatori di raccolta olive Pellenc ed in grado di assicurare una resa senza eguali, è stata affiancata la nuova testa DUO, capace di abbattere sostanzialmente le vibrazioni per il massimo del comfort e dell’autonomia delle batterie.
Oltre a due velocità di lavoro selezionabili direttamente dall’impugnatura, Pellenc ha pensato anche alla comodità dell’operatore in fase di spostamento da una pianta
21 septembre 2023 - 16:20
sostanzialmente le vibrazioni per il massimo del comfort e dell’autonomia delle batterie. Oltre a due velocità di lavoro selezionabili direttamente dall’impugnatura, Pellenc ha pensato anche alla comodità dell’operatore in fase di spostamento da una pianta all’altra! Power 48 infatti è dotato di una nuova modalità “slow motion” in grado di capire quando non si è più a contatto con la vegetazione, rallentando di conseguenza la velocità di movimento, assicurando così maggiore autonomia e comfort. Una volta che l’operatore inizierà nuovamente a raccogliere, automaticamente Power 48 riprenderà il normale lavoro!
Pellenc -agevolatore-e-attrezzi-per-raccolta-delle-olive-power-48-600x400.jpg" alt="" width="600" height="400" id="11dbff77">
20 septembre 2023 - 14:42
DEMOGREEN, 28-29/9, TUTTO SUL VERDE E IL GIARDINAGGIO ALLE PORTE DI MILANO
Green Economy Green Energy Green Tractors NEWS
DiPubblicazione1 Set 20, 2023#giardinaggio in mostra, #macchine da giardino, #tecniche giardinaggio
Demogreen, la due giorni di San Donato (giovedì 28 e venerdì 29) alle porte di Milano, rappresenta una “full immersion” nel mondo del gardening, si rivolge al pubblico dei professionisti e degli hobbisti, ma anche alla platea dei giovani per trovare interessanti opportunità di lavoro nel settore.
Mancano quindi pochi giorni a Demogreen, la manifestazione dedicata alle macchine, ai prodotti e alle tecnologie per il giardinaggio e la cura del verde, che si terrà il 28 e 29 settembre al Parco dei Conigli di San Donato Milanese. L’evento si articola in quattro sezioni: “espositiva”, “dimostrativa”, “food” e “eventi”.
È prevista la presenza di 50 industrie specializzate nella produzione di sementi, fertilizzanti, software di progettazione, e soprattutto di macchine e attrezzature fabbricate da industrie leader come Barbieri, Bluebird, Caravaggi, Emak, Energreen, Gianni Ferrari, Hinowa, Pellenc, Pezzolato, Sabre e tante altre.
Alla mostra statica dei macchinari e delle tecnologie si affianca dunque l’area delle prove sul campo, che consente al pubblico di vedere i mezzi all’opera e apprezzarne le caratteristiche tecniche, quella dedicata a convegni, workshop e iniziative di carattere divulgativo, e infine quella della degustazione, pensata per offrire ai partecipanti occasioni conviviali ed esperienze gastronomiche legate ai prodotti tipici del territorio.
20 septembre 2023 - 14:42 > Version en ligne
Una kermesse – spiegano gli organizzatori di Demogreen – che non poteva trascurare il target dei giovani e degli studenti delle scuole di agraria e delle strutture specializzate nella formazione di giardinieri e manutentori, giacché la cura del verde si è ormai affermata come un elemento fondamentale del decoro urbano, della salute pubblica e della qualità della vita, rappresentando un settore sempre più interessante anche in termini occupazionali.
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Dans la catégorie Innovation, c’est l’entreprise Pellenc Lan...
Dans la catégorie Innovation, c’est l’entreprise Pellenc Languedoc-Roussillon qui a été distinguée pour la solution sur tablette ‘‘Pellenc Connect’’, destinée à la viti-viniculture. Un trophée remis à AbdelJbeli par leconseiller régional Alain Coste. ■
19 septembre 2023 - 13:49
Grün Tour von Pellenc macht in fünf Städten Station
Fünf Stationen zum Jubiläum
Im Oktober steht wieder die Grün Tour an. Bei der zehnten Veranstaltungsreihe präsentieren sieben Unternehmen an fünf Standorten in Bayern und Baden-Württemberg Produkte und innovative Lösungen für die Grünflächenpflege. Organisiert wird die Grün Tour von Pellenc .
Testen ausdrücklich erwünscht: Die GrünTour macht an fünf Standorten Station. | Foto:
Pellenc
Die Roadshow startet am 9. Oktober in Straubing, macht danach am 10. Oktober in Unterhaching bei München, am 11. Oktober in Röhrmoos bei Dachau und am 12. Oktober in Plochingen bei Stuttgart Station. Den Anschluss bildet am 13. Oktober ein Standort in der Region Mannheim/Heidelberg. Ergänzend werden im Anschluss der Roadshow auf Anfrage auch individuelle Vorführen angeboten.
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Der GaLaBau und die Grünpflege sind weiter auf dem Wachstumspfad. Im vergangenen Jahr hat der Bundesverband Garten-, Landschafts- und Sportplatzbau einen Rekordumsatz von 10,4 Milliarden Euro verzeichnet. „Der Fachkräftemangel, der Klimawandel und die nachhaltige Bewirtschaftung der Grünflächen verändern die
Anforderungen an die Hersteller und die Akteure in der grünen Branche. Dafür bieten die Teilnehmer der Grün Tour den Anwendern Lösungen an“, sagt Laurent Vivès, Geschäftsführer bei Pellenc
Das Unternehmen stellt bei der Grün Tour deshalb den Sicherheitsschrank Securion in den Fokus. Der Sicherheitsschrank ist vom TÜV nicht nur nach DIN EN 14770-1 und der EN 1363-1 geprüft, sondern nach F90 als hochfeuerhemmend zertifiziert. Pellenc kann nach eigenen Angaben als einziger Anbieter einen Nachweis erbringen, dass der Sicherheitsschrank Securion auch wirkungsvoll gegen eine Rauchgasexplosion im Schrank schützt.
Bei der Grün Tour präsentiert Eliet selbstfahrende Profi-Häcksler, Vertikutierer, Laubverladegebläse; Birchmeier Sprüh- Schäum- und Dosiergeräte; Eco Weedkiller Geräte zur Wildkrautbeseitigung mit Heißwasser. Limpar zeigt Axial- und Radialkehrmaschinen in den Anbaukehrmaschinen für Einachser und Rasentraktoren, Vertikutierer sowie Schneeräumschilder für den Winterdienst und Spezialgeräte. Polat ist die Traditionsmarke für Handwerkzeuge im GaLaBau und der Grünpflege. Knapkon bietet als Handelsspezialist Produkte für Kommunalbetriebe, GaLaBau, Agrarwirtschaft und Herstellern von Nutz- und Sportrasen.
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19 septembre 2023 - 11:08 > Version en ligne
CIA AGRICOLTORI ITALIANI, AL VIA LA CAMPAGNA DI RACCOLTA DELLE OLIVE
PER IL 1° OLIO CAMPANO IGP
Posted on 19 Settembre 2023 by Redazione in Senza categoria // 0 Comments
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Massa Lubrense. Riceviamo e riportiamo il seguente comunicato stampa. Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera. E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp. Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento. “Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola– ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera” Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”. “Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano – E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre
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Massa Lubrense. Riceviamo e riportiamo il seguente comunicato stampa. Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera. E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp. Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento. “Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola– ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera” Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”. “Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano – E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore
19 septembre 2023 - 11:08
Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera” Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”. “Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano – E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro. All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiati:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda “Terre di Villa Angelina”;
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi;
Terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta;
Quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc…);
Quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici; Sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni. Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e le misure anti incidenti.
18 septembre 2023 - 15:23 > Version en ligne
Al via in Campania la raccolta delle olive per
il primo olio campano IGP –
.
NAPOLI – È iniziata la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio campano Igp. Grazie a macchine per la raccolta innovative e sicure, gli uliveti abbandonati della penisola sorrentina torneranno in produzione. Un’operazione resa possibile grazie alla potenzialità di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritto all’albo olio Campania IGP. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in olio Campano IGP che in olio extravergine di oliva Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
È quanto emerso oggi a Massa Lubrense, presso l’azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, nel corso di “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento nato dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra produttori organizzazioni Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove ed innovative macchine per la raccolta sicura delle olive, adatte al lavoro in collina e capaci di preservare la qualità delle drupe nella fase di rimozione dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di qualità. eccellenza e destinato ad essere marchiato Olio Campania Igp.
Nel corso dell’evento sono state presentate nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai collezionisti di utilizzarle in tutta sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stata anche l’occasione per rilanciare il recupero degli uliveti collinari abbandonati della Penisola Sorrentina.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola – ha affermato l’Assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è un’offerta molto rappresentativa filiera su cui la Regione Campania punta molto poiché l’olio, insieme ad altri prodotti, è ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Occorre però rafforzare i diversi anelli della catena di fornitura. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree complesse, in questi terreni scoscesi parliamo di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della catena di fornitura”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione per produzione di olio d’oliva e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come una regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi”, ha affermato Luigi Milano. “È un grande risultato, frutto di un lavoro costante e appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme piantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione.
Tuttavia è necessario un coordinamento sovradirezionale perché nel settore operano molte piccole imprese che non possono farcela da sole e non riescono a guadagnare una remunerazione”
Le nuove tecnologie faranno risparmiare tempo nella raccolta e supporteranno il lavoro
delle mani dell’uomo. Nel corso della conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha chiesto invece un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro.
All’evento erano presenti anche i collezionisti senior, formatori volontari delle giovani reclute.
L’ingegner Massimo Fiodo è l’esperto in sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo in sicurezza delle nuove macchine oltre ai dispositivi di protezione individuale. Nel corso dell’evento, l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo partito oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiato:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio, amministratori dell’azienda
“Terre di Villa Angelina”;
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta degli estesi oliveti storici;
Terzo premio a Pasquale D’Amico, amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato le macchine di raccolta;
Quarto premio alla ditta Bosco che ha modificato l’attrezzatura riprogettandola per farla funzionare in terreni difficili (ripidi, dirupi, ecc.);
Quinto premio a Pellenc Italia che sostiene questo lavoro con le sue attrezzature elettriche e non contamina le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori a combustione interna;
Sesto premio ai Frantoi per le tecnologie di estrazione che garantiscono qualità ed evitano contaminazioni.
Si sono resi necessari corsi di formazione sulla potatura e sulla degustazione dell’olio finalizzati alla promozione. Partiranno ora i corsi sulla sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e sulle misure antinfortunistiche.
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JOURNALISTE :Da Ildenaro.It18 septembre 2023 - 15:18
Nasce l’Olio Campania Igp, via alla raccolta delle olive. Le sei aziende premiate dall’assessore Caputo
Imprese&Mercati • da ildenaro.it
18 Settembre 2023
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in foto l'assessore Caputo alla guida di una nuova macchina per la raccolta delle olive
Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la
JOURNALISTE :Da Ildenaro.It18 septembre 2023 - 15:18
qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp.
Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano – E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro. All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina. Eccoli. Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda “Terre di Villa Angelina”; secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi; terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta; quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc…); quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici; sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata
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18 septembre 2023 - 15:18
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alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e le misure anti incidenti.
18 septembre 2023 - 15:02
In Campania al via la raccolta delle olive per
il primo Olio Campania IGP
Cronache • Olio • di Agricultura.it
18 Settembre 2023
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NAPOLI – Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp.
18 septembre 2023 - 15:02 > Version en ligne
Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano –E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro. All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiati:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda
“Terre di Villa Angelina”;
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi;
Terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta;
Quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc…);
Quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici;
Sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e le misure anti incidenti.
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septembre 2023 - 16:20
Informazione Campania - MASSA
LUBRENSE
Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina.
Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante "Nuove tecnologie per il riscatto dell'olivicoltura eroica", l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp.
Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo - La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo - È fondamentale
accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, - ha detto Luigi Milano - E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro. All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiati:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda
“Terre di Villa Angelina”;
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi;
Terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta;
Quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc...);
Quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici;
Sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e le misure anti incidenti.
Cia
Campania,
al
via
la raccolta delle
olive per il primo Olio Campania Igp
MASSA LUBRENSE (Na) – Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo Olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un' operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E' quanto emerso a Massa Lubrense nell'Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell'olivicoltura eroica“, l'evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Campania, l'associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d'Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio
Campania Igp
Durante l'evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l'occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell'IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l'assessore all'Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l'olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul
rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand.
È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano –E' un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l'innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell'uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia
Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D'Oro
All'evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L'ingegnere Massimo Fiodo è l'esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l'utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l'evento l'assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
I PREMI
• Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell'azienda “Terre di Villa Angelina”;
Primo premio a
Secondo premio ad • Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi;
Terzo premio a
• Pasquale D'Amico amministratore della D'Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta;
Quarto premio alla Ditta • Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc…);
Quinto premio a • Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici;
Sesto premio ai • Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l'utilizzo delle nuove tecnologie e le misure anti incidenti.
septembre 2023 - 15:05
Campania: Cia, al via raccolta olive per I Olio Campania Igp
Dentro Salerno • 18 Settembre 2023
• Regione •
Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp.
Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l’assessore all’Agricoltura della
Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi
terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano – E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro. All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiati:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda “Terre di Villa Angelina”;
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi;
Terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta;
Quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc…);
Quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici;
Sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e le misure anti incidenti.
18 septembre 2023 - 15:54 > Version en ligne
Al via la campagna di raccolta delle olive: il primo olio Campania Igp
Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati
Al via la campagna di raccolta delle olive per il primo Olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina
Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro Igp olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in olio Campania Igp che in olio extravergine penisola Sorrentina Dop. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante "Nuove tecnologie per il riscatto dell'olivicoltura eroica", l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp.
Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo - La filiera olivicola è una filiera molto
rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica - ha continuato Caputo - È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli.
Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto Igp Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, - ha detto Luigi Milano - E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro.
All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiati:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda “Terre di Villa Angelina”.
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi.
Terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta.
Quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc...).
Quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici.
Sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e
18 septembre 2023 - 16:02
Campania, Al via la campagna di raccolta delle olive per il primo Olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina
18/09/2023binews.itATTUALITA', EVIDENZA, NEWS CAMPANIA0
Ha preso il via la campagna di raccolta delle olive per la produzione del primo olio Campania Igp. Grazie a innovative e sicure macchine di raccolta torneranno in produzione gli oliveti abbandonati della Penisola sorrentina. Un’ operazione resa possibile grazie al potenziale di raccolta di circa 27 ettari di oliveto iscritti nel registro IGP olio Campania. Si tratta di oliveti che hanno la doppia iscrizione: sia per la trasformazione in Olio Campania IGP che in Olio extravergine Penisola Sorrentina DOP. Un percorso e un progetto che viene da lontano e che contribuisce a rafforzare la filiera.
E’ quanto emerso oggi a Massa Lubrense nell’Azienda agricola “Terre di Villa Angelina”, durante “Nuove tecnologie per il riscatto dell’olivicoltura eroica”, l’evento scaturito dalla collaborazione tra la Cia Agricoltori Italiani della Campania, l’associazione tra organizzazioni di produttori Italia Olivicola e Luigi Milano, promotore del premio oleario Sirena d’Oro di Sorrento ed esperto di olivicoltura e olio
Nella conferenza stampa sono state presentate le nuove e innovative macchine per la raccolta in sicurezza delle olive, adatte al lavoro in collina ed in grado di preservare la qualità delle drupe nella fase di asporto dalle piante, che rappresenta il primo passo per ottenere un prodotto di eccellenza e destinato ad essere marchiato come Olio Campania Igp.
Durante l’evento sono state presentate le nuove soluzioni tecnologiche che permetteranno ai raccoglitori che dovranno utilizzarle in sicurezza, sotto la guida di mani più esperte. Ma è stato anche l’occasione per rilanciare il recupero degli oliveti collinari abbandonati della Penisola di Sorrento.
“Lanciamo questa prima campagna olivicola, la prima dell’IGP Campania, convinti che contribuirà a rafforzare la filiera olivicola- ha detto l’assessore all’Agricoltura della Regione Campania, Nicola Caputo – La filiera olivicola è una filiera molto rappresentativa sulla quale la Regione Campania punta molto essendo l’olio insieme ad altri prodotti un ambasciatore dei territori e della dieta mediterranea. Abbiamo però la necessità di rafforzare i vari anelli della filiera. A livello produttivo dobbiamo continuare a dare una mano agli agricoltori soprattutto in queste aree così complesse, in questi terreni scoscesi si parla infatti di agricoltura eroica – ha continuato Caputo – È fondamentale accompagnare questo percorso ed è fondamentale anche lavorare sul rafforzamento della filiera”
Per il presidente della Cia Campania, Raffaele Amore “è necessario far emergere la quantità oltre che la qualità degli oli. Siamo la quinta regione in termini di produzione di olio di olive e non siamo ancora percepiti e riconosciuti come regione che produce olio di qualità. Il progetto IGP Campania contribuisce a lavorare per rafforzare il nostro brand. È un ulteriore strumento per aumentare la competitività dei nostri territori e dare agli imprenditori uno strumento in più per essere più competitivi sui mercati”.
“Sono davvero orgoglioso della campagna che lanciamo oggi, – ha detto Luigi Milano – E’ un grande risultato frutto di un lavoro costante ed appassionato che va avanti da oltre 20 anni. Il seme impiantato sta dando i suoi frutti grazie a chi ci ha creduto e che sta contribuendo a cambiare la storia della raccolta agricola attraverso l’innovazione. Serve però un coordinamento sovra direzionale perché nel settore operano tante piccole aziende che da sole non ce la fanno e non riescono a trarre remunerazione”
Le nuove tecnologie consentiranno risparmio di tempo nella raccolta e supportano il lavoro delle mani dell’uomo. Durante la conferenza stampa, Giuliano Di Martino di Italia Olivicola ha invece chiesto un tavolo per rilanciare il premio Sirena D’Oro. All’evento erano inoltre presenti anche i raccoglitori anziani, volontari formatori delle giovani leve.
L’ingegnere Massimo Fiodo è l’esperto di sicurezza sul lavoro che formerà per l’utilizzo sicuro delle nuove macchine in uno ai dispositivi di protezione individuale. Durante l’evento l’assessore regionale Nicola Caputo ha premiato i protagonisti del percorso e del processo innovativo che ha preso il via oggi dalla Penisola Sorrentina.
Premiati:
Primo premio a Giulio Del Giudice e Giovanni De Gregorio amministratori dell’azienda
“Terre di Villa Angelina”;
Secondo premio ad Armando Motorservice che ha coordinato le tecniche di raccolta per gli oliveti storici estensivi;
Terzo premio a Pasquale D’Amico amministratore della D’Amico scuotitori che ha compattato i macchinari per la raccolta;
Quarto premio alla Ditta Bosco che ha modificato le attrezzature riprogettandole per farle operare in terreni difficili (scoscesi, rupi, etc…);
Quinto premio a Pellenc Italia che supporta con le sue attrezzature elettriche questa opera e non contaminare le drupe durante la raccolta, in particolare con gli scarichi dei motori endotermici;
Sesto premio ai Frantoi Oleari per tecnologie di estrazione che garantisce la qualità e evita contaminazioni.
Sono stati necessari corsi di formazione per la potatura e di assaggio di olio finalizzata alla promozione. Ora partiranno i corsi di sicurezza per l’utilizzo delle nuove tecnologie e
12 septembre 2023 - 18:26
Abbacchiatore Pellenc Power: Caratteristiche, Vantaggi e Consigli d’Uso
12 Settembre 2023RedazioneAttualità
L’abbacchiatore Pellenc Power rappresenta l’eccellenza nel campo della raccolta meccanizzata delle olive, soprattutto nelle regioni ad alta produzione di olio extravergine come Puglia, Sicilia, Calabria, Campania. Grazie all’implementazione di innovative soluzioni tecnologiche volte ad ottimizzare la resa e la produttività in oliveto, Pellenc è tra i migliori produttori di abbacchiatori molto apprezzati per velocizzare la raccolta delle olive. Gli abbacchiatori Pellenc Power per la raccolta professionale delle olive sono dotati di un potente motorebrushless con coppia elevata, alimentato da batterie agli ioni di litio che garantiscono grande autonomia operativa. L’abbacchiatore è dotato inoltre di un’asta molto leggera e ad alta resistenza, provvista di testata a doppio effetto oscillante e vibrante e che consente ai rebbi un efficace distacco delle drupe anche da cultivar tenacemente ancorate al ramo. La conformazione della testata permette di selezionare diverse frequenze e ampiezze di vibrazione, adeguando la sollecitazione meccanica al grado di maturazione delle olive e alle caratteristiche varietali.
Caratteristiche Tecniche dell’Abbacchiatore Pellenc Power
L’abbacchiatore Pellenc Power presenta un’architettura progettata per ottimizzare ergonomia, bilanciamento e maneggevolezza in oliveto. Nei modelli di punta Power 48, il motore brushless ha una potenza di da 480 W ed è garantito 10.000 ore. Si trova alloggiato in una struttura carenata che ne dissipa il calore e ne protegge gli organi di trasmissione. La coppia massima erogata è di 12 Nm, sufficiente per operare anche in presenza di chiome molto compatte e resistenze meccaniche elevate. L’alimentazione è affidata a un pacco batterie agli ioni di litio da 48V e 15 Ah di capacità, che assicura fino a 8 ore continuative di lavoro con singola carica. L’asta abbinabile è disponibile in versione fissa o telescopica, realizzata in una lega composita di fibra di carbonio e resine che coniuga leggerezza e rigidità torsionale. La testata raccoglitrice è del tipo a doppio effetto con frequenze regolabili fra 280 e 950 osc/min e ampiezze da 2 a 4,5 mm, per adattarsi alle diverse cultivar. Naturalmente il Pellenc Power 48 è uno tra i modelli Pellenc di abbacchiatori, gli altri li trovi anche sul catalogo online
https://www.ingagro.com/catalogo/abbacchiatori/. Ti proponiamo questo perché sono in offerta a prezzi concorrenziali. Puoi anche richiedere un preventivo personalizzato. Motore e Alimentazione
Come scritto, il cuore dell’abbacchiatore Pellenc Power 48 è rappresentato dal motore brushless a magneti permanenti da 500W di potenza nominale, raffreddato ad aria e lubrificato a grasso per garantire affidabilità e lunga durata anche in presenza di carichi gravosi. Le altre caratteristiche del motore in dotazione al modello power 48 sono la potenza di picco erogata, che arriva fino a 1000W consentendo di vincere le resistenze meccaniche anche su cultivar ad elevato grado di ancoraggio. Per questo motivo l’abbacchiatore pellenc power 48 è lo strumento perfetto in grado di garantire le prestazioni degli obsoleti scuotitori utilizzati per grandi estensioni di uliveti. Inoltre, il regime massimo di rotazione è stato incrementato del 50% rispetto ai motori tradizionali, fino a raggiungere le 6000 rpm, ottimizzando la frequenza di sollecitazione della testata vibrante.
L’alimentazione è fornita da un pacco batterie agli ioni di litio ad alto voltaggio (48V) e densità energetica (15Ah), che offre un’autonomia operativa fino a 8 ore continuative con una carica. La batteria è alloggiata all’interno di uno zaino ergonomico dotato di protezioni che dissipano il calore prodotto durante l’operatività. Il sistema di ricarica veloce consente il ripristino completo della carica in soli 90 minuti. Se lo preferisci, l’abbacchiatore Power può anche essere alimentato collegandolo alla batteria da 12 V con convertitore 12/44 V senza perdita di prestazioni.
Design e Ergonomia
L’abbacchiatore Pellenc Power presenta un design moderno ed ergonomico, studiato per garantire il massimo comfort dell’operatore durante le prolungate campagne di raccolta. La struttura monoscocca carenata che racchiude motore e organi di trasmissione è realizzata in lega di magnesio, materiale che coniuga leggerezza e robustezza. Le impugnature sono rivestite in materiale antiscivolo e possono essere regolate in inclinazione per adattarsi ad ogni operatore. I comandi sono facilmente accessibili sulla parte alta del corpo macchina. L’asta di raccolta è disponibile in versione fissa o telescopica, entrambe realizzate in composito di fibra di carbonio altamente resistente e leggero. La conformazione della struttura garantisce un’ottimale distribuzione dei pesi e bilanciamento dell’attrezzo.
Vantaggi dell’Uso dell’Abbacchiatore Pellenc Power
Le caratteristiche del Power Pellenc fin qui descritte, lo rendono tra i migliori abbacchiatori per olive da adottare. in effetti, l’adozione dell’abbacchiatore professionale Pellenc Power comporta diversi vantaggi per l’olivicoltore moderno orientato alla produttività e all’ottimizzazione dei processi. L’incremento di produttività garantito dall’utilizzo degli abbacchiatori adatti per ogni tipo di cultivar rispetto ai sistemi manuali può arrivare fino al 40%, e contemporaneamente si riduce l’impiego di manodopera, con un risparmio sul costo della raccolta fino al 30% (fonte: informatoreagrario.it sulle modalità e impostazioni di raccolta). Inoltre, la qualità del prodotto risulta migliorata grazie alla maggiore rapidità di conferimento al frantoio e alla minore percentuale di ammaccatura delle drupe. Infine, l’ergonomia e la leggerezza dell’attrezzo riducono l’affaticamento dell’operatore, consentendo di incrementare la raccolta per ora lavorata. In sintesi, con l’abbacchiatore Pellenc Power si raccolgono più olive, in minor tempo, con costi ridotti e qualità incrementata. Un investimento rapidamente ammortizzato.
Sostenibilità e Rispetto per l’Ambiente
Anche l’aspetto di sostenibilità ambientale non dev’essere trascurato. Infatti, dal momento che è alimentato a batteria, l’abbacchiatore elimina le emissioni nocive tipiche dei modelli a benzina e il rumore assordante dei modelli pneumatici.
Manutenzione e Consigli per l’Uso dell’Abbacchiatore Pellenc Power
12 septembre 2023 - 18:26
Per garantire una lunga durata e prestazioni ottimali, è essenziale effettuare una manutenzione regolare dell’abbacchiatore. Dopo ogni uso, pulire le lame e controllare che non ci siano residui di foglie o rami. Infine, Anche se l’abbacchiatore Pellenc Power è progettato per essere sicuro, è fondamentale indossare sempre gli equipaggiamenti di protezione appropriati, come guanti e occhiali, e seguire le istruzioni del manuale.
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PERIODICITE :Bimestriel
1 septembre 2023 - N°81
Robotique agricole
L’évolution destracteurs desdébutsànosjours
Si, par le passé,la puissancedestracteurs était privilégiée audétriment du respect de l'environnement, aujourd'hui, lesagriculteurs,davantageconscients despratiquesd'agriculturedurable, choisissent des machinesefficaces mais moinsconsommatricesde carburantet polluantes.
Le domainedel’agriculture aconnudegrandesévolutions grâceàl’introduction destracteurs.Lesagriculteurs ont pudevenirplusproductifs,àl’échelleinternationale.
En Europe, le plan Marshall, à la fin de la seconde guerre mondiale a permis de démocratiser l’utilisation de cet engin.
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PERIODICITE :Bimestriel
JOURNALISTE :Darine Habchi
PAYS :France
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PERIODICITE :Bimestriel
1 septembre 2023 - N°81
Le tracteur aintroduit la mécanisationdansledomaine. Au départ, il servait àactionner les machines et au fil du temps,il estdevenuun appareilcapable de tirer des outils de travail au sol. Le tracteuragricole conventionnel possèdesoit deux ou quatre roues motrices de différentes taillesou égales.Il peut être dotéd’un outil porté, d’un outil semiporté etd’un outil traîné.Il existe également les tracteurs àchenille, àenjambeur et les motoculteurs. Les grandsfabriquantdetracteurs comme MasseyFerguson,CaseIH, JohnDeere, New Holland, CaseIH, proposentdifférents typesde machines: petits tracteurs,tracteurs de moyenne gamme, tracteurs de hautegamme et tracteurspuissants.
Destracteurspour différentes applications
Il existedestracteurs destinésà la traction, au remorquage pour le transport, de machinesagricolescomme lescharrues,lesépandeursàfumier, lespulvérisateurs...
A l’aide de barresd’attelage ou le plus souvent d’un attelagetrois points, la liaison entre le tracteur et la machine agricole est facilité. Les tracteurspeuvent aussi être utilisés comme supportsd’accessoires ou encore de machines telsque : fourches,pelles hydrauliques, rouleaux émotteurs... Ils sont installés à l’avant ou à l’arrière de la machine avecdes brasde relevage comme : leshersesrotatives,lesbroyeurs,lescharrues, ou les faneuses.Les tracteurs dotésde pièces rotatives oude vérins sont animéspar uneprise deforcesituée à l’arrière avecunsystèmehydraulique ou pneumatique.
Les différents typesdetracteurs
Il existe différents types de tracteurs agricoles destinés à divers usagescomme : les travaux agricoles, rurauxetforestiers. Lestracteursconventionnels sont
JOURNALISTE :Darine Habchi
lesplus répanduset polyvalents. Ils sontcapables de porter, tirer, pousserou entraînerdivers outils. Leur puissanceestvariable etpeut aller de 33 à500 ch., en fonction des constructeurs. Les micros tracteurssont inspirés desmodèles grandsformats miniaturisés. Ils ne sont pasaussipuissants etpeuventatteindreseulement 18Kw. Ils sont utiliséspar certainsagriculteurs ainsiquelescollectivités locales. Leurtaille compacte leur permetde circuler même dansdeszonesdifficiles d’accèspour les autres tracteurs. Ils séduisentégalement depar leurs prix très attractifs. Cettegamme comprenddes tracteurs vignerons àvoie étroite et vignerons articulés. Ils possèdent4 rouesmotrices de tailles égales.Parmi les marquesde cemarché, il estpossible de trouver : Kubota, Iseki, Kioti, Ferrari, Yanmar, John Deere. Les chenillards ou tracteursà chenille ont la particularité d’avoir deschenilles en caoutchoucpour sedéplacersanstrop tasserle sol. Ils adhèrentparfaitement à la terre et les marques lesplus connuesdans le domaine sont : Claas,John Deere, Case IH... Pour le travail descultures hautes etétroites comme laviticulture et l’arboriculture, il est recommandéd’utiliser les tracteursenjambeurs. Les marques lesplus courantessont Landini,Tecnoma, Bobard...Ces tracteursenjambeurs possèdent soit 1 rang, 2 rangs ou4 rangs. Ilssontéquipés dedifférents outils comme : lesépandeurs,la rogneuse,lespulvérisateurs deproduits phytosanitaires... Surcemarché,il existedestracteurenjambeurs à 1 rang, 2 rangsvoire 4 rangs. Les marques les plus connues sontBobard, Pellenc,TecnomaouLandini. Les tracteursforestiers sont parfois articulés, ils sont dotés d’une cabine à l’avant du châssis,un endroitpour déposerle bois et quatrerouesmotrices afin de circuler sur les terrains difficiles... Ils sont réservésaux travaux en forêt et sylvicole. Les marquesles plus courammentutilisées sont Plaisance, Valtra, Jarraff,JCB. Les tractoristes Aebi, Carraro,Lindner, Ferrari, BCS etbien d’autres proposentégalement destracteursde pente. Ils sont conçus pourles tâchesdifficiles surdes terrainsescarpés et ontétépensés avecun centrede gravité bas ainsi qu’un couplefort pourêtrecapablesdetravailler surpentes. Ils existent avec4 roues motrices et4 roues égalesafin de mieux répartirla force du moteur.
Aujourd'hui, les agriculteurs privilégient les tracteurspeu énergivores,performants, confortables etfaciles à entretenir.
PAYS :France
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PERIODICITE :Bimestriel
1 septembre 2023 - N°81
L’évolution, dutracteur
Ces 50 dernièresannées,les tracteursontgagnéen puissance,confort, équipements,en variété deconnectiques à l’arrière et de compatibilité d’attelage. Des années40 aux années90, les tracteurspossèdentdes moteurs thermiques, la transmission de puissanceest en grande partiehydraulique. Cesmoteurs sontdotés d’actionneursd’outils, de fourches hydrauliques, de pompes à huiles et de vérins qui permettentde transmettre de la puissanceàun outil derrière. Parailleurs, il y a laprise de force,un outil relié àla boîte de vitesse qui permetauxoutils rotatifs d’être branchés sur une source de mouvements, d’énergie mécanique.Les utilisateurs ont égalementla possibilité de brancher leurs outils sur destuyaux sur lesquelsil y ade la pression hydraulique avec de l’huile. Ces vingt dernières années,lestracteurs ont beaucoup évolué d’un point de vue mécanique. L’avantage de la mécanique et de l’hydraulique estqu’elle nécessitedesefforts manuels, assezphysiques, concrets.Jusque-là,les agriculteurs pouvaient alors lesréparereux-mêmesen casdepanne. En 1892,lespremierstracteurs àessenceapparaissent. Parmi eux, le Frôhlich et le Paterson. En 1911 aeu lieu la première démonstration de tracteursaux EtatsUnis, puis en1912, le tracteuràquatrerouesmotrices estinventé parNilson. En 1913,JI Caseintroduit son modèle 12 25 HPà600 tourspar minute. Le design du tracteurestretravaillé afin de voir sesproportions plus adaptées àl’agriculture. En 1917, Ford introduit le Fordson qui estle premier tracteurpossédantun bâti unitaire en fonte. Le tracteuractuel estalors né. En 1924, Farmall introduit un modèle de tracteurqui est le premier tracteurà usagesmultiples. En 1935, International Harvester (IH) introduit le premier moteur dieselsurun tracteursur roues et Caseintroduit le relevage mécanique des instruments. Puis en 1936, MasseyHarrisprésente le premierquatreroues sur pneumatiques.Entreles années,1951-1960, il y a une augmentation rapide dela puissancedestracteurs. Aujourd’hui, les agriculteurs privilégient les tracteurs peu énergivores, performants,confortables et faciles à entretenir. L’apparition de l’électronique a d’ailleurs amélioré cesaspects.
JOURNALISTE :Darine Habchi
L’apparition del’électronique
Avec l’apparition des contrôleurs et actionneurs électroniques, lesagriculteurs ont commencéà ressentir des difficultés àrester autonomesdans la maintenance des tracteurs. Il fallait qu’ils fassentappelà un mécanicien spécialisé.Danslesannées2000, lesordinateurs debord ontvu le jour. L’électronique n’était alors déjà plus que dans certains accessoires,mais elle était centralisée dans un moniteur permettant de configurer son tracteuren fonction de sontype de travail. Cette technologie dansle débutdes années2000 n’est pas encore trèsaboutie. Lesinnovations nesontpas faciles d’utilisation. Les premiers ordinateursde bord et systèmes électroniquesrépandus sonttrès compliqués,peu ergonomiques, peu intuitifs. Dans les années 2010 les équipements commencentàvoir naîtredespré-configurations. Un utilisateur lambdapeu aguerrit peut réussir àobtenir des profils types de réglages selon : l’environnement, le climat dans lequel il évolue... Tout ceci en vuede consommer moins, de travailler mieux, avec plusde confort.
L’ère del’automatisation
L’automatisation permet de définir des profils de réglage et desutilisations intégrales types. Il va alors être possible de reproduiredes actions du pilote sans quecelui-ci n’ait besoin de toucherle volant, en s’appuyant sur des paramètresde réglageen fonction de plusieurs facteurstelsquela largeur de travail, la délimitation de la parcelle, la largeurde l’outil, l’endroit dans lequel se trouve l’utilisateur, le momentidéal pour actionnerle mode pilote automatique. Cessystèmes d’autoguidagesont de plus en plus développés. Les tracteursqui sont utilisés en autoguidage nécessitent tout de mêmed’avoir unpilote à bord,unepersonne qui va superviser le mode d’autoguidage afin de s’assurer desbons réglages sur la machine. La décennie 2030verracertainementce marchémûrir davantage.
agricultura.it
12 septembre 2023 - 11:08
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TYPE :Web International
JOURNALISTE :Per Approfondimenti
Agevolatore di raccolta olive Pellenc
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POWER 48: efficacia senza compromessi
Cronache • Dai Campi • Rubriche • Tecnica • di Agricultura.it
-
12 Settembre 2023
Pellenc
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Colle Val d’Elsa (Si) – Velocizzare, semplificare e rendere ancora più redditizio il lavoro è da sempre una prerogativa nel mondo dell’agricoltura; riuscire a svolgere tutte le operazioni in modo tempestivo e rapido, rispettando la stagionalità delle colture, è senza dubbio un aspetto fondamentale per gli agricoltori professionisti.
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Non fa certo eccezione il settore olivicolo, in cui le conoscenze tecniche unite all’andamento della stagione climatica, e al rispetto delle tempistiche di ogni lavorazione, vanno a determinare la buona riuscita della raccolta.
Il gruppo Pellenc , precursore assoluto nello sviluppo delle attrezzature professionali a batteria per agricoltura e giardinaggio, nonché punto di riferimento tecnologico del mercato, progetta e sviluppa la propria gamma lavorando a stretto contatto con gli agricoltori professionisti, in modo da proporre soluzioni tecnologiche in grado di ottimizzare le tempistiche di lavoro, lavorando nel totale rispetto di ambiente e operatore.
L’agevolatore di raccolta olive Pellenc POWER 48, sfrutta tutta la potenza dei motori brushless by Pellenc , unita alla tecnologia delle batterie multifunzione agli ioni ti litio, permette effettuare la raccolta delle olive in modo semplice e rapido, senza emissioni di gas di scarico nell’ambiente, e in totale rispetto della pianta!
Disponibile nelle varianti ad asta fissa (P230) o telescopica (T220/300), Power 48 può essere utilizzato sia con la tradizionale testa Pellenc SOLO, in grado di assicurare una capacità produttiva senza eguali, che con la nuova testa DUO, ottimale per lavorare nel
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massimo del comfort e in caso di frutti più delicati.
L’agevolatore di raccolta Power 48 può essere alimentato inoltre sia da una tradizionale batteria da 12V attraverso l’utilizzo di un apposito convertitore, che dalle batterie multifunzione Pellenc agli ioni di litio; Pellenc infatti, ha sviluppato negli anni una gamma di batterie completa e varia, in modo da riuscire sempre a proporre quella ideale in base alle diverse situazioni di lavoro, preferenze degli utilizzatori e autonomie necessarie. Dalla multifunzione ULiB 250 fino ad arrivare alla ULiB 1500, oggi la tecnologia Pellenc permette di avere un’intera giornata di raccolta di autonomia, con l’utilizzo di una sola ricarica.
PER APPROFONDIMENTI: PELLENC POWER 48
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Informazione pubblicitaria
2023-09-09T11:43:18.848Z
Highlights: The world's leading factory for harvesting machines, that of the New Holland Braud brand, is located in the Vendée. It ships machines to thirty countries. A machine harvests an average of one hectare per hour, the equivalent of the work of forty pickers. The performance of the machines is such that they can adapt to the height of the vine, the width of the rows, select the fineness of sorting the berries and offer an air-conditioned cabin equipped with digital tools.
The world's leading factory for harvesting machines, that of the New Holland Braud brand, is located in the Vendée. It ships machines to thirty countries
The harvest is launched. And if the first pruning shears have already been given in • Aube, Hérault or Bordeaux, for white, the grape harvest should be spread out until the end of September.
No question for • 20 Minutes and its journalists in the regions to miss this key episode, while mildew hits the vineyards of Nouvelle-Aquitaine hard or the heat wave has tested the beginning of the harvest.
This Saturday, zoom on the New Holland Braud factory, main manufacturer of the • famous harvesting machines, used in the majority of vineyards.
Winegrowers generally do not like to communicate too much about the thing, preferring to highlight the image of Epinal grapes harvested by pickers, nose in the leaves, pruning shears in hand. However, at a time when the harvest is in full swing, more than 70% of French vines are indeed picked by machine. Mechanization has become essential in all the major wine-growing countries, including some Grands Cru estates. And it is in France that the world's largest harvesting machine factory is located. More precisely in Vendée, in Coëx, an hour's drive from the Nantes vineyards.
Nearly 520 machines per year are designed from A to Z on this huge site belonging to the Italian-American group CNH Industrial. They are marketed under the New Holland brand, well known to farmers for its tractors and harvesters, but also display the Braud brand, in reference to the French pioneer of wine mechanization in the mid-1970s.
"It really revolutionized harvesting," says Thierry Le Briquer, head of development for
Harvesting machines are everywhere and France is the champion
CNH's fruit and vegetable sector. Development has been gradual with technological improvements. We also had to convince because we France touch a part of our culture. Today, very few winegrowers can do without it, especially with the difficulties of recruitment. »
"Wherever we produce wine, we are there"
Sold between 210,000 and 500,000 euros depending on the models and options, a machine harvests an average of one hectare per hour. The equivalent of the work of forty pickers. It works by "shaking" the vines. "The tremors cause the grapes to fall, which are recovered by the noria (small baskets). The impurities, fragments of leaves, wood, are then sorted and the grains isolated in a dumpster, "summarizes Thierry Le Briquer. The performance of the machines is such that they can adapt to the height of the vine, the width of the rows, select the fineness of sorting the berries and offer an air-conditioned cabin equipped with digital tools.
New Holland Braud, which is currently expanding the surface of its Vendée premises to be able to increase production, exports its harvesting machines to 30 countries (Spain, Italy, United States, South Africa, Australia ...), including unexpected vineyards such as Poland, Belgium or the Netherlands. "Wherever we produce wine, we are present," says Thierry Briquer. Some large U.S. operations have up to 40 machines. Sales have been stable in recent years, with the market mainly renewal. "The lifespan of our machines stretches between 7 and 15 years. However, there is significant growth in some northern countries, such as England. This is the consequence of global warming. » The machine doesn't just have friends
In France, some vineyards with a steep drop do not allow mechanical harvesting. Some AOCs also prohibit the use of the machine (champagne, jurançon, limoux...), while other operators refuse to do so at all costs. Part of the profession accuses him of damaging the vines, damaging the soil, misselecting the bunches, or even altering the quality of the wine, especially the reds. "There are mostly preconceived ideas, rejects Thierry Le Briquer. We have a 40-year step back now. We know that the machines have not accelerated the renewal of the vines. Technology has advanced enormously and the harvesting machine remains a guarantee of reliability: owners can harvest at the right time, even at night, regardless of weather conditions or available personnel. »
The manufacture of harvesting machines is a French specialty since the main competitors of New Holland Braud are Pellenc, a company from Vaucluse, and Grégoire, based in Charente.
In addition to the harvesting activity, the world leader produces in the Vendée "straddlers", tractors specially adapted to the passage through rows of narrow vines, often prestigious vineyards. New Holland Braud also develops robotization solutions adapted to the other missions of winegrowers. The "centre of excellence" in Coëx, which employs around 400 people, also produces machines for harvesting olives and almonds.
• Pays de la Loire
Vendée
• Harvest
• Wine
• Vine
• Champagne
• Society
• Bordeaux
• Gironde
• New Aquitaine
•
• Aquitaine
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6 septembre 2023
HOCHFILZER LÄDT IN GANZ ÖSTERREICH ZU PROFI-TESTTAGEN
Geräteneuheiten testen
Bereits zum 15 Mal zu mit den Geräteneuheiten zum großen Oberösterreich
EGO Power Der Akkugerätespezialist EGO Power+ setzt auch in diesem Jahr neue Maßstäbe mit über 20 Neuheiten für die private und professionelle Gartenpflege Gerade auch auf die Anforderungen professioneller Anwender wird mit neuen Produkten eingegangen Die im Vorjahr eingeführte Linie an Lifestyle-Produkten wird erweitert.
ECHO Der ECHO Akku-Rasentrimmer 2100 stellt die ideale Lösung für Areale dar in denen umherfliegendes Schnittgut und Steine potenzielle Schäden verursachen könnten Mit dem Fokus auf eine leistungsstarkePerformance arbeitet dieser Rasentrimmer dank der 56V starken Akkus nicht nur leise sondern auch äußerst effizient In nur zehn Minuten werden 100 Rasenflächegemäht.
Etesia ET Lander Der vollelektrische ET-Lander von Etesia verfügt über eine große Ladefläche die über das Armaturenbrett oder per Fernsteuerung bedient werden kann Lasten von bis zu einer Tonne können transportiert und zusätzlich bis zu 750 kg gezogen werden.
Pellenc Der Akkugeräte-Hersteller Pellenc bietet mit seiner breit gefächerten
EINSCHALTUNG
Produktpalette eine emissionsfreie Alternative zu herkömmlichen benzinbetriebenen
MaschinenKonzipiert für die professionelle Grünflächenund Landschaftspflege liefern die Geräte dieselbe Kraft , Leistung und Ausdauer und sind zudem leise wirtschaftlich und CO: neutral.
Ronald Hrnecek (Geschäftsführung) :
"In diesem Jahr freuen wir uns besonders auf unsere Prof-Testtage. Sie stehen im Zeichen unseres 50-jährigenFirmenjubiläums und bieten die Möglichkeit viele spannende Neuheiten zu erleben Unsere Profi-Testtage sollen für alle Besucher ein bereicherndes Ereignis werden
den Profi-Testtagen ein und kommt Gelandetest nach Tirol Salzburg Steiermark und Kärnten.
AS-Motor Der ferngesteuerte Schlegelmäher AS 1000 Otis RC ist die Lösung für schwer zugängliche unwegsame und steile Flächen. Das robuste Schlegelmähwerk passt sich dank groß ausgelegtem Pendelweg hervorragend an Bodenunebenheiten an.
Ariens Der Arrow Stand-On NullwendekreisMäher von Ariens bietet beeindruckende Leistung für das Mähen großer Flächen Mit einem wahlweise 81 cm oder 91 cm breiten Mähdeck vereint der Arrow die Vorteile eines mit der flachen Form eines handgeführten Rasenmähers.
Der Arrow Stand-On Nullwendekreis-Mäher von Ariens bietet beeindruckende Leistung für das Mähen großer Flächen.
PAYS :France
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PERIODICITE :Quotidien
10 septembre 2023 - Edition Édition provençale
RUBRIQUE :Actu locale | pays d'orange
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Amandes : Montebourg récolte enfin
C’est un nouveau modèle économique qui a été imaginé, avec des agriculteurs de toute la moitié sud de la France qui restent propriétaires de leurs terres tandis que la Compagnie des amandes est leur outil pour planter, récolter, casser, conditionner et commercialiser.
« Vive l’amande française, vive la Compagnie des amandes, vive la République et vive la France ! »
Voilà comment Arnaud Montebourg, président de la Compagnie des amandes, concluait son discours ce vendredi 8 septembre. Enthousiaste ! Le cofondateur, avec François Moulias, de ce modèle agroéconomique ne pouvait que se réjouir de prendre la parole lors de cette symbolique première récolte sur les 98 hectares du verger de Sérignan. Trois ans après la plantation, les premières amandes sont en palox ; les 70 000 arbres seront au plein de leur rendement dans deux ans.
C’est un nouveau modèle économique qui a été imaginé, avec des agriculteurs de toute la moitié sud de la France qui restent propriétaires de leurs terres tandis que la Compagnie des amandes est leur outil pour planter, récolter, casser, conditionner et commercialiser. À ce jour, 4 800 hectares ont fait l’objet d’une déclaration de candidature, 300 hectares sont plantés signés, dont 98 à Sérignan, et 200 hectares de lettres d’intention sont en cours d’étude.
Alliance avec un puissant nougatier L’ancien ministre a dit : « Ce succès, nous voulons le propager à toute la filière. Nous avons fait le choix de faire une proposition aux producteurs de vergers de petites surfaces pour utiliser nos outils collectifs via des contrats de trois ans. Nous avons déjà 20 candidats petits exploitants et 100 hectares de demandes alors que nous avons lancé la communication il y a deux jours. »
Dernièrement, la Compagnie des amandes s’est outillée de machines pour récolter via l’entreprise vauclusienne Pellenc, qui faisait la démonstration du mode de récolte devant une assemblée de partenaires conquis. La première en tête, Marie-Claude Stoffel, PDG de Chabert et Guillot, leader du nougat à Montélimar. L’entreprise voulait relocaliser en France sa fourniture en amandes. Depuis ce vendredi, un partenariat exclusif est signé qui lui garantit l’approvisionnement – et le prix – en amandes de Provence.
L’amande de France, Arnaud Montebourg y croit, il est la locomotive d’un modèle économique au cœur d’une Provence
05b6iSuuSC4X1i5ykC6evC6ATV2eWPME4gwnoEOc6krJUKGH75wKwp4JP5MdReH2rqGW4ziOKFb68VO4SZ_Cq07bwAp8ICgIyYwJ-Hjn76lsODRl
où déjà les amandiers s’étaient taillé une place, plus discrète certes, mais avec déjà la conviction du potentiel de ce fruit qui poussait, il faut le garder en mémoire, sur 12 000 hectares en 1949.
TYPE :Web Grand Public
JOURNALISTE :Frédéric Brenon
9 septembre 2023 - 13:35
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• donnés dans l’Aube, l’Hérault ou dans le Bordelais, pour le blanc, la récolte du raisin devrait s’étaler jusqu’à fin septembre.
Les vendanges sont lancées. Et si les premiers coups de sécateur ont déjà été
Pas question pour
• 20 Minutes et ses journalistes en régions de passer à côté de cet épisode clé, alors que mildiou frappe de plein fouet les vignobles de Nouvelle-Aquitaine ou que la canicule a éprouvé le début de la récolte.
• machines à vendanger, utilisées dans la majorité des vignobles.
Ce samedi, zoom sur l’usine New Holland Braud, principal fabricant des fameuses
Les vignerons n’aiment généralement pas trop communiquer sur la chose, préférant mettre en avant l’image d’Epinal des raisins récoltés par des cueilleurs, le nez dans les feuilles, sécateur à la main. Pourtant, à l’heure où les vendanges battent leur plein, plus de 70 % des vignes françaises sont bel et bien ramassées à la machine. La mécanisation s’est imposée dans tous les grands pays viticoles, y compris chez certains domaines de grands crus. Et c’est en France que se trouve, de loin, la plus grosse usine mondiale de machines à vendanger. Plus précisément en Vendée, à Coëx, à une heure de route du vignoble nantais.
Près de 520 machines par an sont conçues de A à Z sur cet immense site appartenant au groupe italoaméricain CNH Industrial. Elles sont commercialisées sous la marque New Holland, bien connue des agriculteurs pour ses tracteurs et moissonneuses, mais affichent aussi la marque Braud, en référence au pionnier français de la mécanisation viticole au milieu des années 1970.
« Ça a véritablement révolutionné la récolte, estime Thierry Le Briquer, responsable développement du secteur fruits et légumes de CNH. Le développement a été progressif au rythme des améliorations technologiques. Il fallait aussi convaincre car on touche en France à un pan de notre culture. Aujourd’hui, très peu de vignerons peuvent s’en passer, surtout avec les difficultés de recrutement. »
« Partout où on produit du vin, nous sommes là »
Vendue entre 210.000 et 500.000 euros selon les modèles et les options, une machine
« Très peu de vignerons peuvent s’en passer »… La France est aussi la championne des machines à vendanger
vendange en moyenne un hectare à l’heure. L’équivalent du travail d’une quarantaine de vendangeurs. Elle fonctionne par « secouage » des pieds de vignes. « Les secousses font tomber les raisins, lesquels sont récupérés par la noria (des petits paniers). Les impuretés, fragments de feuilles, de bois, sont ensuite triées et les grains isolés dans une benne », résume Thierry Le Briquer. La performance des machines est telle qu’elles peuvent s’adapter à la hauteur de la vigne, à la largeur des rangs, sélectionner la finesse de tri des baies et offrir une cabine climatisée dotée d’outils numériques.
Le centre d'excellence des machines à vendanger de la marque New Holland Braud se trouve à Coëx (Vendée). - F.Brenon/20Minutes
New Holland Braud, qui agrandit actuellement la surface de ses locaux vendéens pour pouvoir augmenter la production, exporte ses machines à vendanger dans 30 pays (Espagne, Italie, Etats-Unis, Afrique du sud, Australie…), y compris dans des vignobles inattendus comme la Pologne, la Belgique ou les Pays-Bas. « Partout où on produit du vin, nous sommes présents, estime Thierry Briquer. Certaines grandes exploitations américaines ont jusqu’à 40 machines. » Les ventes sont stables depuis quelques années, le marché étant principalement du renouvellement. « La durée de vie de nos machines s’étire entre 7 et 15 ans. Il y a toutefois une croissance importante dans certains pays du nord, comme l’Angleterre. C’est la conséquence du réchauffement climatique. »
La machine n’a pas que des amis
En France, certains vignobles à fort dénivelé ne permettent pas la récolte mécanique. Quelques AOC interdisent également le recours à la machine (champagne, jurançon, limoux…), tandis que d’autres exploitants s’y refusent coûte que coûte. Une partie de la profession l’accuse d’abîmer les ceps, d’endommager les sols, de mal sélectionner les grappes, voire d’altérer la qualité du vin, notamment des rouges. « Il y a surtout des idées reçues, récuse Thierry Le Briquer. On a un recul de 40 ans maintenant. On sait que les machines n’ont pas accéléré le renouvellement des vignes. La technologie a énormément progressé et la machine à vendanger reste un gage de fiabilité : les propriétaires peuvent récolter au bon moment, même la nuit, quelles que soient les conditions météo ou le personnel disponible. »
La fabrication de machines à vendanger est une spécialité française puisque les principaux concurrents de New Holland Braud sont Pellenc, société du Vaucluse, et Grégoire, basé en Charente.
Outre l’activité vendanges, le leader mondial produit en Vendée des « enjambeurs », tracteurs spécialement adaptés au passage dans les rangs de vignes étroits, souvent des vignobles prestigieux. New Holland Braud développe aussi des solutions de robotisation adaptés aux autres missions des vignerons. Le « centre d’excellence » de Coëx, qui emploie 400 personnes environ, produit également des machines pour récolter les olives et les amandes.
PAYS :France
TYPE :Web Grand Public
JOURNALISTE :Frédéric Brenon
9 septembre 2023 - 16:43
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La France est aussi la championne des machines à vendanger
Très peu de vignerons peuvent s'en passer »…
La principale usine mondiale de machines à vendanger, celle de la marque New Holland Braud, se trouve en Vendée. Elle expédie des machines dans une trentaine de pays Vin, je t'emmène - La principale usine mondiale de machines à vendanger, celle de la marque New Holland Braud, se trouve en Vendée. Elle expédie des machines dans une trentaine de pays
Les vignerons n'aiment généralement pas trop communiquer sur la chose, préférant mettre en avant l'image d'Epinal des raisins récoltés par des cueilleurs, le nez dans les feuilles, sécateur à la main. Pourtant, à l'heure où les vendanges battent leur plein, plus de 70 % des vignes françaises sont bel et bien ramassées à la machine. La mécanisation s'est imposée dans tous les grands pays viticoles, y compris chez certains domaines de grands crus. Et c'est en France que se trouve, de loin, la plus grosse usine mondiale de machines à vendanger. Plus précisément en Vendée , à Coëx, à une heure de route du vignoble nantais.
Près de 520 machines par an sont conçues de A à Z sur cet immense site appartenant au groupe italoaméricain CNH Industrial . Elles sont commercialisées sous la marque New Holland , bien connue des agriculteurs pour ses tracteurs et moissonneuses, mais affichent aussi la marque Braud, en référence au pionnier français de la mécanisation viticole au milieu des années 1970.
« Ça a véritablement révolutionné la récolte, estime Thierry Le Briquer, responsable développement du secteur fruits et légumes de CNH. Le développement a été progressif au rythme des améliorations technologiques. Il fallait aussi convaincre car on touche en France à un pan de notre culture. Aujourd'hui, très peu de vignerons peuvent s'en passer, surtout avec les difficultés de recrutement. »
« Partout où onproduit du vin, nous sommes là »
Vendue entre 210.000 et 500.000 euros selon les modèles et les options, une machine vendange en moyenne un hectare à l'heure. L'équivalent du travail d'une quarantaine de vendangeurs. Elle fonctionne par « secouage » des pieds de vignes. « Les secousses font tomber les raisins, lesquels sont récupérés par la noria (des petits paniers). Les impuretés, fragments de feuilles, de bois, sont ensuite triées et les grains isolés dans une benne », résume Thierry Le Briquer. La performance des machines est telle qu'elles peuvent s'adapter à la hauteur de la vigne, à la largeur des rangs, sélectionner la finesse de tri des baies et offrir une cabine climatisée dotée d'outils numériques. New Holland Braud, qui agrandit actuellement la surface de ses locaux vendéens pour pouvoir augmenter la production, exporte ses machines à vendanger dans 30 pays (Espagne, Italie, Etats-Unis, Afrique du sud, Australie…), y compris dans des vignobles inattendus comme la Pologne, la Belgique ou les Pays-Bas. « Partout où on produit du vin, nous sommes présents, estime Thierry Briquer. Certaines grandes exploitations américaines ont jusqu'à 40 machines. » Les ventes sont stables depuis quelques années, le marché étant principalement du renouvellement. « La durée de vie de nos machines s'étire entre 7 et 15 ans. Il y a toutefois une croissance importante dans certains pays du nord,comme l'Angleterre. C'est la conséquence du réchauffement climatique. » La machine n'a pas que des amis
En France, certains vignobles à fort dénivelé ne permettent pas la récolte mécanique. Quelques AOC interdisent également le recours à la machine ( champagne , jurançon, limoux…), tandis que d'autres exploitants s'y refusent coûte que coûte. Une partie de la professionl'accuse d'abîmer les ceps, d'endommager les sols, de mal sélectionner les grappes, voire d'altérer la qualité du vin, notamment des rouges. « Il y a surtout des idées reçues, récuse Thierry Le Briquer. On a un recul de 40 ans maintenant. On sait que les machines n'ont pas accéléré le renouvellement des vignes. La technologie a énormément progressé et la machine à vendanger reste un gage de fiabilité : les propriétaires peuvent récolter au bon moment, même la nuit, quelles que soient les conditions météo ou le personnel disponible. »
La fabrication de machines à vendanger est une spécialité française puisque les principaux concurrents de New Holland Braudsont Pellenc, société du Vaucluse, etGrégoire, basé en Charente.
Outre l'activité vendanges, le leader mondial produit en Vendée des « enjambeurs », tracteurs spécialement adaptés au passage dans les rangs de vignes étroits, souvent des vignobles prestigieux. New Holland Braud
«
9 septembre 2023 - 16:43
URL :http://www.msn.com/fr-fr
PAYS :France
TYPE :Web Grand Public
JOURNALISTE :Frédéric Brenon
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développe aussi des solutions de robotisation adaptés aux autres missions des vignerons. Le « centre d'excellence » de Coëx, qui emploie 400 personnes environ, produit également des machines pour récolter les olives et les amandes.
Planète
« Il va sûrement en rester »… Des grappes de raisin de taillerecord en Champagne
Planète
Sécheresse dans l'Hérault : Des habitants privés d'eau, « inquiets pour l'avenir »
9 septembre 2023 - 17:40
PAYS :France
TYPE :Web Régional et Local
JOURNALISTE :Le Dauphine Libere
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Sérignan-du-Comtat. Amandes : Montebourg fier de sa première récolte
Le Dauphine Libere
C’est un nouveau modèle économique qui a été imaginé, avec des agriculteurs de toute la moitié sud de la France qui restent propriétaires de leurs terres tandis que la Compagnie des amandes est leur outil pour planter, récolter, casser, conditionner et commercialiser.
« Vive l’amande française, vive la Compagnie des amandes, vive la République et vive la France ! »
Voilà comment Arnaud Montebourg, président de la Compagnie des amandes, concluait son discours ce vendredi 8 septembre. Enthousiaste !
Le cofondateur, avec François Moulias, de ce modèle agroéconomique ne pouvait que se réjouir de prendre la parole lors de cette symbolique première récolte sur les 98 hectares du verger de Sérignan. Trois ans après la plantation, les premières amandes sont en palox ; les 70 000 arbres seront au plein de leur rendement dans deux ans.
C’est un nouveau modèle économique qui a été imaginé, avec des agriculteurs de toute la moitié sud de la France qui restent propriétaires de leurs terres tandis que la Compagnie des amandes est leur outil pour planter, récolter, casser, conditionner et commercialiser. À ce jour, 4 800 hectares ont fait l’objet d’une déclaration de candidature, 300 hectares sont plantés signés, dont 98 à Sérignan, et 200 hectares de lettres d’intention sont en cours d’étude.
Alliance avec un puissant nougatier
L’ancien ministre a dit : « Ce succès, nous voulons le propager à toute la filière. Nous avons fait le choix de faire une proposition aux producteurs de vergers de petites surfaces pour utiliser nos outils collectifs via des contrats de trois ans. Nous avons déjà 20 candidats petits exploitants et 100 hectares de demandes alors que nous avons lancé la communication il y a deux jours. » Dernièrement, la Compagnie des amandes s’est outillée de machines pour récolter via l’entreprise vauclusienne Pellenc, qui faisait la démonstration du mode de récolte devant une assemblée de partenaires conquis. La première en tête, Marie-Claude Stoffel, PDG de Chabert et Guillot, leader du nougat à Montélimar. L’entreprise voulait relocaliser en France sa fourniture en amandes. Depuis ce vendredi, un partenariat exclusif est signé qui lui garantit l’approvisionnement– et le prix – en amandes de Provence. L’amande de France, Arnaud Montebourg y croit, il est la locomotive d’un modèle économique au cœur d’une Provence où déjà les amandiers s’étaient taillé une place, plus discrète certes, mais avec déjà la conviction du potentiel de ce fruit qui poussait, il faut le garder en mémoire, sur 12 000 hectares en 1949. ■ 02H_959F8SmIccjzrp6iJZi6nyZuYyUHR9WZVQllpPRPvMaQbC4ZKEp7v10kqRyPal2ge4ZYSc4xggjNrSCeTmAQNGA2-RicrHG6NWE184c8NTcw
La vendemmia delle macchineInternazionale
Il settore agricolo francese è alle prese con una grave carenza di manodopera. Alla vigilia della stagione della vendemmia, scrive Le Monde, due terzi dei viticoltori sono ancora a corto di personale. Questa situazione ha spinto molte aziende a puntare sulle macchine. “Oggi solo un decimo dei 750mila ettari di vigneto in Francia è vendemmiato manualmente”, sostiene Philippe Astoin, dirigente dell’azienda meccanica Pellenc. “Sempre più spesso i produttori di vini rosati o bianchi scelgono di raccogliere di notte per evitare il forte caldo diurno”. Di fatto restano vendemmiati a mano solo i vigneti per la produzione di particolari tipi di vino, come lo champagne. Internazionale pubblica ogni settimana una pagina di lettere. Ci piacerebbe sapere cosa ne pensi di questo articolo. Scrivici a: posta@internazionale.it
Questo articolo è uscito sul numero 1528 di Internazionale, a pagina 90. Compra questo numero | Abbonati
5 septembre 2023 - 12:53
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Cosechadora de frutas Mercado Tamaño, participación y pronóstico para 2032 |
A
& B Packing Equipment, Agarin, AMB
Rousset
5 septiembre, 2023por Ketan Mahajan
El mercado de Cosechadora de frutas encapsula un ámbito de posibilidades transformadoras en el panorama contemporáneo. Este mercado floreciente resuena con innovación y sostenibilidad, y encarna la fusión de tecnologías avanzadas y prácticas ecológicas.
En esencia, el mercado de Cosechadora de frutas está dedicado a redefinir la forma en que aprovechamos y utilizamos la energía, presentando soluciones novedosas para abordar los desafíos actuales y futuros. Con su profundo impacto en las industrias y la vida cotidiana, el mercado de Cosechadora de frutas representa un cambio de paradigma hacia fuentes de energía más limpias, eficientes y respetuosas con el medio ambiente. A medida que profundizamos en los matices de este mercado dinámico, el potencial de un cambio revolucionario y un impacto global positivo se vuelve cada vez más evidente.
El mercado de Cosechadora de frutas está influenciado por una constelación de factores impulsores que en conjunto dirigen su curso hacia el crecimiento y la transformación. Uno de los factores más fundamentales es la participación proactiva de los gobiernos a través de políticas e incentivos de apoyo. Estas iniciativas crean un entorno propicio para la adopción de tecnologías Cosechadora de frutas, impulsando la expansión del mercado.
Obtenga un informe de muestra según la idoneidad y los requisitos de su mercado @ https://the-market.us/es/report/fruit-harvester-market/request-sample
El panorama competitivo del mercado de Cosechadora de frutas es un ámbito dinámico marcado por la innovación, la colaboración y las maniobras estratégicas. Los actores del mercado, desde gigantes industriales establecidos hasta nuevas empresas ágiles, están involucrados en una carrera multifacética para liderar la carga en este sector transformador.
En este panorama, la destreza tecnológica desempeña un papel fundamental. Las empresas que invierten en investigación y desarrollo de vanguardia obtienen una ventaja competitiva al ofrecer soluciones Cosechadora de frutas avanzadas que responden a las demandas de los consumidores. Las colaboraciones y asociaciones mejoran aún más la dinámica competitiva, fomentando sinergias que aceleran el desarrollo de productos y la penetración en el mercado.
Estos son algunos de los principales jugadores clave de la competencia: No se pierda nuestra oferta exclusiva: ¡compre ahora!
A & B Packing Equipment
Agarin
AMB Rousset
American Grape Harvesters
Cifarelli
Coe Orchard Equipment
Damcon
5 septembre 2023 - 12:53
JOURNALISTE :Ketan Mahajan
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Elektronik
Facma
Feucht Obsttechnik
Fmr Lisicki
Gillison’s Variety Fabrication
Gregoire
Littau Harvester
Moresil
Oxbo International
Pellenc
PLOEGER MACHINE
Somaref
Weremczuk FMR
Orchard Machinery
La marca y el posicionamiento en el mercado también juegan un papel vital. Las empresas que comuniquen eficazmente su compromiso con la sostenibilidad y la conciencia ecológica pueden establecerse como líderes en el mercado de Cosechadora de frutas. Además, comprender y atender las diversas necesidades de los consumidores en diversas aplicaciones consolida una sólida posición en el mercado. El mercado de Cosechadora de frutas se puede clasificar en distintos segmentos en función de varios factores que influyen en las preferencias de los consumidores, las aplicaciones y las consideraciones geográficas. Esta segmentación proporciona una comprensión integral del diverso panorama dentro del mercado:
Tipos de productos: el mercado de Cosechadora de frutas se puede segmentar en función de diferentes tipos de tecnologías de Cosechadora de frutas disponibles, como soluciones de energía solar, eólica, hidroeléctrica y geotérmica. Cada tecnología ofrece ventajas únicas, atendiendo a necesidades energéticas y disponibilidad de recursos específicas.
Tipos de productos como:
Autopropulsado Remolcado Montado
Aplicaciones: Las tecnologías de mercado de Cosechadora de frutas encuentran aplicación en diversos sectores, incluidos proyectos residenciales, comerciales, industriales y de escala de servicios públicos. Los segmentos de mercado están de acuerdo con las demandas y requisitos energéticos específicos de estos sectores.
Aplicaciones como:
Frambuesa Oliva Manzana Arándano Ciruela Baya Otro
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El análisis regional del mercado de Cosechadora de frutas revela una visión integral de su panorama en diferentes áreas geográficas, destacando tendencias clave y factores que dan forma a la dinámica del mercado:
América del Norte (Estados Unidos, Canadá, México)
América del Sur (Brasil, Argentina, Ecuador, Chile)
Asia Pacífico (China, Japón, India, Corea)
Europa (Alemania, Reino Unido, Francia, Italia)
Medio Oriente, África (Egipto, Turquía, Arabia Saudita, Irán) y muchos más.
JOURNALISTE :Ketan Mahajan
5 septembre 2023 - 12:53
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Las características únicas de cada región, incluidas las políticas energéticas, el desarrollo de infraestructura y las condiciones climáticas, contribuyen a las distintas tendencias del mercado de Cosechadora de frutas. Un análisis regional integral permite a las partes interesadas adaptar estrategias, aprovechar oportunidades y afrontar desafíos específicos de cada área geográfica.
En culminación, el mercado de Cosechadora de frutas se encuentra en el umbral de un cambio transformador, preparado para redefinir los paisajes energéticos globales. La convergencia de la innovación tecnológica, la conciencia ambiental y las prácticas sostenibles subraya su potencial como catalizador para un futuro más limpio y resiliente.
A medida que las empresas y los individuos reconocen cada vez más el imperativo de la transición hacia la energía sostenible, el mercado de Cosechadora de frutas surge como un rayo de esperanza. Su capacidad para proporcionar soluciones energéticas confiables, eficientes y ecológicas resuena en un mundo que busca alternativas más ecológicas.
De cara al futuro, la investigación continua, la innovación y los esfuerzos de colaboración amplificarán el impacto del mercado de Cosechadora de frutas. El camino hacia un futuro más sostenible se encuentra dentro de este mercado floreciente y, a medida que las partes interesadas continúan innovando, colaborando y adaptándose, el mercado de Cosechadora de frutas está preparado para remodelar los paradigmas energéticos, fomentando un mundo impulsado por opciones más limpias y responsables.
CONTÁCTENOS:
Sr. Lawrence Juan, Market.us (impulsado por Prudour Pvt. Ltd.)
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PAYS :Italie
TYPE :Web International
JOURNALISTE :Elisa Berti
5 septembre 2023 - 18:34
Sitevi 2023: intervista al direttore del salone Christophe Lecarpentier
Sitevi 2023: intervista al direttore del salone Christophe Lecarpentier
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Tecnologia ultrasuoni applicata al settore enologico
4 Settembre 2023
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Al via tra poco più di due mesi, SITEVI torna a Montpellier dal 28 al 30 novembre; a presentarci la nuova edizione è Sitevi 2023: intervista al direttore del salone Christophe Lecarpentier
Quali novità aspettarsi da questa nuova edizione?
L’edizione 2023 presenterà i migliori sviluppi in materia di attrezzature e di know-how per le produzioni vitivinicola, arboricola e olivicola.
Tra gli espositori iscritti, numerosi leader hanno confermato la loro partecipazione al salone:
Vendemmiatrici : • PELLENC, CNH, BOBARD, ERO… ;
• ;
Viticoltura : KUHN, MASCHIO, ACTISOL, EUROVITI, CLEMENS, VITIBOT, RABAUD
Vinificazione : BUCHER VASLIN, PERA-
• PELLENC, DELLA TOFFOLA, AMOS, DIEMME, SEGUIN MOREAU, VIVELYS ;
•
Imballaggi : DIAM, GAI, SMURFIT KAPPA, VERALLIA ;
• KUBOTA, CNH ;
•
Attrezzature da trazione : ANTONIO CARRARO, AGCO, ARGO, CASE, CLAAS,
Sistemi di nebulizzazione : FRANCE PULVÉ, CALVET, CEDMA ;
• OVINALP, HAIFA, SYNGENTA, YARA
Forniture agricole : BAYER, BELCHIM, BIOLINE, ANGIBAUD, DE SANGOSSE,
• NETAFIM, UNITEC, BRL, RICHEL, DALIVAL…
Attrezzature specifiche per l’ortofrutta e l’irrigazione : SORMAF, CALIBREX, MAF,
Per questa nuova edizioneo, SITEVI ha elaborato un programma unico e ambizioso che prevede alcuni eventi salienti. Si tratta di un programma estremamente ricco grazie a 50 tra conferenze e workshop, organizzati in particolare dall’IFV e dai partner del salone, che permetterà ai visitatori di scoprire e confrontarsi sulle nuove sfide, sulle tendenze del mercato così come sulle ultime soluzioni innovative.
• Tema 2 Vini bio
Tema 1 Creazioni varietali : Accettazione – diffusione
• Tema 3 Monitoraggio in enologia
• Tema 4 Attrezzature – Digitale
• Tema 5 Limitazione dei fattori di produzione
• Tema 6 Le malattie della vigna ed il suo deperimento
• Tema 7 Cambiamento climatico e acqua
• Uno spazio di Job Dating
• – aperto a chi è alla ricerca di un impiego, ai giovani diplomati e ai lavoratori alla ricerca di uno sviluppo della propria carriera – che
PAYS :Italie
TYPE :Web International
JOURNALISTE :Elisa Berti
5 septembre 2023 - 18:34
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permetterà di scoprire le opportunità professionali presenti nei vari settori trattati da SITEVI.
Le masterclass • (sessioni di degustazione) faranno il loro ritorno e permetteranno ai visitatori di scoprire la peculiarità delle regioni viticole in occasione di momenti conviviali e pedagogici. Qualche esempio delle tematiche abbordate: le varietà resistenti; come riconoscere i difetti del vino ? ; Panorama dei Vini Rosati del Mondo ; i vini de alcolizzati ; cambiamento climatico ; iniziazione alla degustazione degli oli d’oliva di Francia ; ecc.
Lo spazio LAB TECH – • trampolino per le start—up innovative in agricoltura– è un autentico spazio di espressione e di scambio. Permette ad ogni giovane impresa di sviluppare una rete di contatti professionali e strategici per sviluppare i loro progetti in Francia e all’estero.
L’organizzazione di Business Meetings • tra i visitatori con progetti da realizzare e gli espositori del salone. Permetteranno di intessere delle relazioni d’affari in modo rapido e di trovare soluzioni concrete per l’avanzamento dei progetti.
L’edizione 2023 di SITEVI si prevede da record: a cosa è legato questo successo?
SITEVI è il salone leader mondiale delle filiere vitivinicola, arboricola e olivicola. Fin dalla sua creazione, si è imposto edizione dopo edizione come un appuntamento di riferimento sulla scena francese ed internazionale.
Le prenotazioni già confermate per questa edizione diretta da Christophe LECARPENTIER da parte degli espositori dimostrano un impegno importante da parte degli operatori delle filiere. Grazie al sostegno della regione Occitania/Pirenei-Mediterraneo, alla fedeltà dei suoi espositori e alla ricchezza dei contenuti proposti, l’edizione 2023 del salone SITEVI si annuncia come un evento imperdibile!
SITEVI Innovation Awards: qualche anticipazione
I SITEVI Innovation Awards sono un concorso di levatura mondiale. Un autentico trampolino di lancio ed un acceleratore dell’innovazione. Premiano le attrezzature, i prodotti, le tecniche ed i servizi più innovativi presentati dagli espositori di SITEVI. Ogni albo d’oro è un rivelatore delle tendenze di fondo in materia di evoluzione delle attrezzature agricole, delle preoccupazioni degli utilizzatori e delle sfide e delle problematiche agricole.
Per l’edizione 2023, il concorso annuncia numerose novità: In continuità con quanto iniziato nel 2021, • una primaselezione dei nominati è aggiunta nel processo di esame dei dossier. Tutto ciò consente di mettere sotto i riflettori ancora più innovazioni e diversità. I nominati saranno rivelati in occasione della conferenza stampa del 28 settembre ed i premiati il 28 novembre 2023, durante la serata di gala del salone.
E’ stato nominato un nuovo presidente.
• Per l’edizione 2023 dei SIMA Innovation Awards, Christophe RIOU, Direttore Generale dell’IFV (Istituto Francese della Vigna e del Vino) è stato nominato presidente della giuria.
Una giuria rinnovata.
• La giuria è stata rinnovata con 8 nuovi membri, assicurando una rappresentatività di tutti i settori e know-how della filiera. Questa giuria è composta dai migliori specialisti francesi ed internazionali. Che numeri ci si aspetta per questa edizione della fiera?
Siamo lieti di annunciare che SITEVI registra il tutto esaurito! Quest’anno 1000 espositori saranno presenti con la presenza di più di 200 nuovi espositori, di cui 65 nel settore vinificazione e imballaggio, 63 nel settore viticoltura, 17 in quello dei fitosanitari e 19 nelle nuove tecnologie
Tra l’altro, registriamo 145 espositori internazionali, di cui 75 provenienti dall’Italia.
Questa affluenza di espositori francesi ed internazionali rappresenta la concretizzazione
igrandivini.com
5 septembre 2023 - 18:34
PAYS :Italie
TYPE :Web International
JOURNALISTE :Elisa Berti
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del lavoro di fondo condotto da Axema e Comexposium. Da più di 45 anni queste due organizzazioni hanno fatto progredire il salone, grazie ad una visione chiara : proporre un’offerta esaustiva in grado di coprire la catena produttiva delle filiere da monte a valle. Aspettiamo con impazienza al salone circa 55.000 visitatori francesi ed internazionali ! Post pandemia il mondo fieristico è cambiato : Sitevi ha riviso il suo format?
Il salone SITEVI si è svolto nel 2021 ed è quindi stato risparmiato dalla pandemia. Ciò nonostante, davanti ad un contesto economico, sociale, climatico ed ambientale complesso, SITEVI 2023 si è proposto la finalità di accompagnare gli operatori della filiera per aiutarli ad affrontare l’insieme delle sfide e delle problematiche attuali e future.
Il salone permetterà ai visitatori di scoprire le ultime innovazioni per premunirsi contro le numerose incertezze e comprendere meglio le evoluzioni dei mercati.
Nel 2023, il salone SITEVI conferma il suo posizionamento di leader e sviluppa un’offerta ancora più ampia e completa per la viticoltura, la vinificazione, l’arboricoltura e l’olivicoltura.
Christophe Lecarpentier
All’interno del gruppo COMEXPOSIUM, Christophe LECARPENTIER assume la direzione del polo Attrezzature Agricole e Costruzioni che riunisce i saloni SIMA, SITEVI
e INTERMAT
La sua esperienza di circa 30 anni nelle filiere agricole e delle costruzioni gli conferisce una conoscenza precisa dei costruttori, sia in ambito industriale che delle reti di distribuzione.
In possesso di una formazione in scambi internazionali ottenuta presso una scuola della Camera di Commercio di Parigi (CPSS Trudaine) nel 1995, Christophe Lecarpentier ha cominciato la sua carriera nel 1996 in qualità di responsabile commerciale e in seguito di direttore commerciale Europa dal 1998 al 2005 presso MILSCO Mfg Co., produttore americano, fornitore di seggiolini per macchinari edili, agricoli, industriali e per gli spazi verdi.
Ha proseguito la sua carriera presso JCB, fornitore di macchine e soluzioni per il settore edile, agricolo, industriale e del riciclo in qualità di responsabile prodotto dal 2005 al 2011, direttore Marketing & Supporto vendite dal 2011 al 2020 ed in seguito direttore dell’Area Africa dal 2020 al 2023, in carico dei concessionari del Nord e dell’Ovest dell’Africa.
5 septembre 2023 - 10:01 > Version en ligne
Machinisme Attachement à la
marque, force commerciale, SAV performant... : les raisons du succès des machines à vendanger Braud
Machinisme
Attachement à la marque, force commerciale, SAV performant... : les raisons du succès des machines à vendanger Braud
Plus d’une automotrice sur deux vendue en France est une New Holland Braud. Le réseau de distribution, le SAV et la longue histoire de Braud donnent du fil à retordre à Pellenc et Grégoire.
5 septembre 2023 - 10:01
> Version en ligne
Braud - crédit photo : Claro y Oscuroes immatriculations ne mentent pas. En 2022, selon les données d'Axema, le syndicat des constructeurs, plus d’une machine à vendanger (MAV) automotrice neuve sur deux vendue en France est une New Holland Braud (NH). En effet, sur les 487 MAV immatriculées pour la première fois l'an dernier, 52 % sont des NH, 29 % des Pellenc et 18 % des Grégoire. Déjà en 2021, NH avait raflé 47 % de parts de marché. Cette position dominante de New Holland s’explique d’abord par l’histoire de Braud, précurseur de la MAV. « Des vignerons ont toujours été Braud, raconte Christophe Auvergne, conseiller à la chambre d'agriculture de l’Hérault. Il y a un attachement et une fidélité à la marque, une part non rationnelle dans leur choix. »
Un réseau de distribution très dense
Au fil du temps, Braud puis New Holland ont développé une large gamme d’automotrices. Mais ils ont aussi tissé un réseau de distribution très dense. Comme en Gironde. « New Holland a la plus grosse part de marché parce que sa force commerciale est très importante et cela depuis longtemps, analyse David Clerdan, conseiller à la chambre d’agriculture. Cela fait vingt ans que je vois ce réseau dense de concessions qui ne bouge pas. » À l'inverse, chez Grégoire, « il y a eu des changements de distributeurs à au moins deux reprises en peu de temps », dessine David Clerdan.
« Nous sommes un peu soumis aux fusions-acquisitions chez les concessionnaires, admet Christophe Baron, responsable de la communication chez Grégoire. Mais nos concessionnaires arrivent à ouvrir de nouvelles bases. »
Atout supplémentaire de NH, « c’est un “full liner”, reconnaît Jacques Servoles, responsable MAV Pellenc Chez ses concessionnaires, tous les tracteurs et MAV sont de la même couleur. Cette grande ligne de produits, c'est un gros argument pour les viticulteurs qui ont d'autres productions agricoles. »« Et le SAV de NH est le plus performant », ajoute David Clerdan.
"Des machines qui passent partout"
La mécanique fait aussi vendre. « Presque tous les entrepreneurs du Bordelais sont NH parce que ces marchines répondent bien dans les parcelles en pente, explique David Clerdan. Elles passent partout. Elles ont un gros moteur, un gabarit imposant et un bon empattement. Les Pellenc ont un plus petit gabarit, qui a ses avantages, mais elles peinent davantage dans les pentes. »« Grégoire est jugé un peu lourd », avance Sylvain Sals, directeur de la FD Cuma de l'Hérault.
Côté NH, attention cependant à ne pas s’endormir sur ses lauriers. « Si la Noria plaît toujours, elle demande un lourd entretien, souligne Christophe Auvergne. C’est plus compliqué à nettoyer. Heureusement, NH a modernisé ses MAV avec un système de prénettoyage. Mais il y a aussi l’usure. Tous les cinq ou six ans, il faut dessouder les rails en concession et les changer. »
Des concurrents qui ne manquent pas d'atouts
Cet expert ajoute que les concurrents de NH ne manquent pas d'atouts. « L’Optimum est apprécié pour sa capacité à effectuer des demi-tours dans des tournières étroites, rapporte-t-il. J’ai aussi de très bons retours au sujet des petites MAV Grégoire, comme les GL7.4, de vignerons qui ont environ 60 ha et veulent maîtriser leur vendange. »
L’égrenage peut aussi faire la différence. « 80 % des MAV Pellenc achetées ces trois dernières années dans le réseau Cuma Méd. sont équipées d'un égreneur, observe Sylvain Sals. Les Cuma qui ont des caves particulières comme adhérents achètent plutôt Pellenc et celles dont la majorité des adhérents est en cave coopérative préfèrent New Holland. Comme les coops ont des égrappoirs, elles n’ont pas besoin d’égreneurs embarqués. La polyvalence est un autre atout de Pellenc : ses
prétailleuses et tailleuses sont réputées. »
À l'arrivée, la bataille se joue souvent sur le terrain financier. « Je sais que NH a fait un effort pour un viticulteur YouTubeur pour une question d’image », confie Christophe Auvergne. Grégoire aurait, lui, la réputation de faire des offres lorsqu’il veut à tout prix placer une machine. « Nous proposons depuis l’an dernier une offre de financement, décrit Christophe Baron, de chez Grégoire. Notre objectif est d’avoir un accord rapide de crédit puis de concrétiser avec une signature numérique. » Vendre une MAV, ça n'a (presque) pas de prix.
Les ventes patinent
« L’essentiel des ventes pour la vendange 2023 s'est fait à la fin de 2022, décrit Jacques Servoles, chez Pellenc . À ce moment-là, la crise des rouges n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui. Aujourd'hui, les prix des vins s’effondrent. Par endroits, ils ne se vendent plus. J'ignore ce que ça donnera pour nos ventes futures. » « Les ventes ont tendance à se tasser », observe de son côté Christophe Baron, chez Grégoire. « En vigne étroite, le marché est là, assure Philippe Boisseau, responsable marketing NH. En revanche, en vigne large, la situation est compliquée. » « Les ventes chutent dans le Gard, les Bouches-du-Rhône et le Vaucluse, observe Renaud Cavalier, conseiller à la chambre d'agriculture du Gard. New Holland comme Pellenc sont concernés. C’est lié à la mauvaise conjoncture économique. »
Machinisme: Attachement à la marque, force commerciale, SAV performant... : les raisons du succès des machines à vendanger Braud
By vitisphere.com | 3 hours agoPlus d’une automotrice sur deux vendue en France est une New Holland Braud. Le réseau de distribution, le SAV et la longue histoire de Braud donnent du fil à retordre à Pellenc et Grégoire. L es immatriculations ne mentent pas. En 2022, selon les données d'Axema, le syndicat des constructeurs, plus d’une...
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Top News
PAYS :États-unis
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SURFACE :122 %
Best Weed Management Practices for Winegrape Vineyards
John
RoncoroniJohn Roncoroni UCCooperative Extension Weed Science Farm Advisor Emeritus has been involved in weed management research for the University of California for the past 40 years From 2007 until his retirement (and move to Emeritus status) in July of 2020 asthe UCCE Weed Science Farm Advisor he was based in Napa and worked almost exclusively on weed management.
FIRST , APEW for you: are you conventional? Organic? Sustainable?
Regenerative? Fish Friendly? Green? Biodynamic? Do you use herbicides?
Perhaps you use sheep or depend on mechanical weed control? No-Till? Use hand labor? Drip-irrigate or dry-farm? Do you have a 30-acre estate hillside vineyard or 5,000 acres across multiple vineyards? Do you grow grapes for your own winery or sell to others? Are your grapes valued at $600 per ton or $6,000 per ton?
There is no one size fits all" approach for wineries when it comes to weed control that will suit all the above situations With all the options available the best management practices (BMPs) need to be a balance of efficacy efficiencyand environment This basically means that whichever management philosophy you follow , it should be effective enough to manage the weeds done only when neededand in line with what you do within the vineyard The purpose of this article is not to provide growers with a one size fits all" set of management practices for weed management but to provide a setof questions or a checklist of factors for those making the decisions on weed management.
Recently someone said that most of the weed control done in the Napa Valley was done for aesthetics obviously said by someone who knows little about growing grapes let alone weeds Sure , there may be a little more care taken around the tasting rooms , but given the cost and time invested to control weeds, if it was not needed , it would not be done.
When I talk about vineyard weed control I am talking almost exclusively about the two- to six-foot-wide area under the vine , which will be the focus of this article.
Why Manage Weeds?
I will address management techniques later but first , why manage weeds?
Overall , direct competition from weeds on established mature grapevines is minimal but young vines (up to three to five years old) can be drastically affected by early weed competition , sometimes pushing economically-viable harvest back by onegrowing seasonor more.
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Best Weed Management Practices for Winegrape Vineyards
2 Moisture stress In 2023, weeds may not affect the moisture status of grapevines , yet in many years where drip irrigation is necessary, weeds will use water that would otherwise be available for the vines The amount of water they use depends on the species and size of the weeds. This can he a major factor where deficit irrigation" is being practiced during the summer season.
3 Weed growth can restrict solar radiation retention and reradiation which can increase frost potential , especially on young vines in frostproneareas This may only amount to a one- to two-degree decrease but could be the difference between minimal and severe damage in some situations.
4 Weedy vegetation can retain moisture and in some cases tall weeds may restrict air movement Either of these factors maycausean increase in the humidity level and result in increased pathogen pressure.
5 Weeds can interfere with both equipment operations and crews working in the vineyard Tractor work and mechanical harvest operationsmay be slowed by excessive weed growth Unmanaged weeds can affect the efficiency of hand labor crews For example , if a vine row free of weeds takes one hour to harvest and abundant weed growth slows them to one hour and 15 minutes for the same area, you can multiply your labor costs by 1 25 Additionally some labor crews are paid basedon the amount harvested These crews may simply opt to
Late spring at McNab Ranch, Bonterra Organic Estates vineyard Block #8 Cabernet Sauvignon, located in Mendocino County Two non-till systems implementing undervine cultivation as a method of organic weed suppressionSURFACE :122 %
work in clean fields where more efficient harvesting may lead to more money.
6 Every year we learn of more interactions between host plants , insect vectors and grapevine diseases Are the weeds in your vineyard serving asa host for the insect vector , the pathogen or both?
In some vineyards , weeds that are left to grow, through the summer , may affect the flavor of wine Weeds, such as stinkwort may contain volatile compounds that can taint the wine if contact is made with the fruit during harvest operations.
S Weeds growing under the vines may increase vertebrate pest damage. Weeds may attract more gophers but this is usually a function of food , and that is more closely related to cover crop type The main culprit is a much smaller rodent called a vole (Microtus spp ) which can cause severe damage especially , but not exclusively , in younger vineyards Weeds that grow close to grapevines can provide enough cover" from predators to encourage the voles to feed on grapevines.
Owl boxes will help but controlling the cover near the vines by keeping this area clear will allow the owls to keep the vole population at a manageable level.
Not all of the above reasons for weed control will apply in every situation. There may be some vineyards , in some years where none apply ; however , usually at least one factor will be significant enough to trigger the need for weed control in most vineyards.
Management Practices
In determining the best weed management practices for your vineyards , it is imperative that you correctly identify the major weed species in the vineyard. Some management practices may not control certain weeds and, in some cases may exacerbate the problem For example some perennial weeds are best controlled with timely application of conventional systemic herbicides and may actually increase with mowing or cultivation Many annual weeds are controlled extremely well by cultivation or organic herbicides , yet due to herbicide resistance issues , the population may increase with repeated use of conventional herbicides.
It is important that all vineyard managers implement Integrated Pest Management (1PM) principles when managing weeds Often the phrase use a combination of biological cultural physical/ mechanical and chemical management tools" is interpreted to mean that if you are using something other than conventional herbicides , you are implementing for weeds" That belief is wrong It' s important that you use more than one method of weed management in your vineyard Weeds will adapt, and there will be a species shift when one control method is used over and over again for several years As Jeff Goldblum said in the film Jurassic Park Life uh finds a way
Practices
Conventional Herbicides: When using conventional herbicides , important that you use them judiciously Make sure that the herbicide you use will be effective on the problem weeds Use them at the proper timing for the best control Use enough to be effective , without using more than needed Above all, make sure that the herbicide ends up where it is intended and does not leave the vineyard from either the movement in water or on soil or harvested fruit.
A general rule of thumb would be to use herbicides between harvest and bud burst Use the appropriate post-emergence herbicide after harvest to control weeds that germinated in the final weeks before harvest and those
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PAYS :États-unis
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that germinate in early fall Limit the use of pre-emergence herbicides , during the rainiest part of the year, to limit off-site movement Conduct pre-emergence plus post-emergence herbicide application in late winter but before bud burst Limit the number of applications made until bloom and make no applications after veraison If herbicide applications are needed to control weeds after bud burst , measures need to be taken to reduce the possibility of drift Those measures include using drift-reducing nozzles , drift-reducing agents and shielded sprayers In summary , use only what is needed , when and where needed.
Organic Herbicides: At this point all certified organic herbicides for use in vineyards are contact" herbicides meaning they have no systemic activity and are not effective on large weeds or perennial weeds These herbicides can he effective on small- to medium-size annual weeds It' s vital that the concentration of herbicide used is the recommended strength in order to control targeted weeds When using contact herbicides , either organic or conventional , spray coverage (gallons of spray per acre) is critical to performance so be sure to use the adequate volume to achieve best control.
Undervine Cover Crops and Mulches: The use of undervine cover crops has been practiced on a limited basis for several years This is a different situationthan those cover crops used in tractor rows The purpose of undervine cover has been to compete with weeds and reduce erosion potential and in the case of plants like Alyssum is used as a host for beneficial insects While many cover crops have been tried undervine , it' s important that they not cause the same problems as weeds growing in that same area. Some considerations , when choosing a cover crop to be used under the vines , are:
1 It' s important that the undervine cover not compete with grapevines for water when drip irrigation has begun This means that annual covers need to go through senescence (set seed and die) , and perennial plants must be dormant during this period.
2 Will the plants grow low enough where frost risk is a problem?
3 Not interfere with other vineyard operations?
4 Can they be mowed successfully if needed? Will the plants attract or provide cover for vertebrate pests?
6 Could the cover crop be a potential host for pathogens or insects that vector pathogens harmful to grapevines?
Mulches made up of both organic matter , like cut cover crop , or synthetic materials , like paper products or those used in landscapes , have been tried in several vineyards Weed control from these mulches can be extremely effective Using cut cover crop can dramatically increase the vole population by providing ideal cover for their movements Other denser matter such as wood chips , has not had the same problems The use of paper or synthetic materials , as mulch , in vineyards has had limited use mostly due to the high initial cost and difficulty of application In addition , these mulches can he damaged during other vineyard operations , such as planting or mowing of cover crop and harvest.
Mechanical Cultivation: Mechanical cultivation can he a very effective means of weed control Cultivation is one of the oldest methods of weed control in vineyards , but innovations in the last 10years have made it difficult to put all these methods under one cultivation" category New equipment
from American French Italian and German companies has revolutionized this category (blades , hoe plows , rotary brush , French plow , mower , power cultivator and many more)
Some tools can be used to increase water penetration after years of no-till Others can control weeds with minimal soil disturbance In considering these tools , make sure whichever tool you choose is the best fit" for your situation Some equipment will spread perennial weeds within the vineyard. Hillside vineyards may require equipment that has minimal soil movement. Timing is also important for effective mechanical control Are the weeds
too large, the soil too wet , too dry? If heavy precipitation is expected after cultivation , will it cause erosion or re-rooting of weeds? Flaming can be considered mechanicalcultivation Timing for flaming isimportant Control ismore effectiveon small , actively growing weeds.
Sheep: If cultivation isn' t the oldest method of weed control (other than hand-weeding), then sheepprobably are The useof sheepin vineyards has seena resurgencein popularity over the last few years However , utilizing sheepis more complicated than just opening the gateand letting them eat. Best management practices for sheepin vineyards are best achieved when the shepherd, viticulturalist and vineyard manager all collaborate to get the optimum control Factorsto consider include: timing to avoid damagefrom feeding and compaction ; vineyard architecture , suchastrellis and irrigation hose height and electric fencing; predators; numbers of animals needed; weed spectrum and foragequality.
Hand-weeding: Hand-weeding canbe very effective The cost and availability of labor for this management technique hasmade it almost entirely limited to new vineyards where other management tools areunsuitable.
Take-aways
Management philosophy, winegrape prices, marketing strategy, equipment and labor availability, and vineyard topography arejust some of the factors that play apart in determining the bestmanagement practicesfor managing weedsin your vineyard
Author' s Note: / would like to thank my colleagues, local pest control advisors , research cooperators, winegrape growing organizations, and vineyard managers, and experiencedpractitioners of many of these methods of weed managementfor allowing me to learnfrom them in developing thesebest management practices and share them with others.
PAYS :France
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PERIODICITE :Hebdomadaire
RUBRIQUE :Dossierspécial
DIFFUSION :(3800)
JOURNALISTE :Teddy Couton
LA TAILLE DES VIGNES DÉSORMAIS MÉCANISABLE
Teddy CoutonBien qu'elle nécessite une adaptation du vignoble pour être efficace, la taille rase de précision est une solution pour pallier le manque de main-d'œuvre saisonnière dans les vignobles français. Mais comment cette innovation fonctionne-t-elle ? Inventée par le constructeur français Pellenc en 2020, la taille rase de précision (TRP) tend à se développer en France. La vallée de la Loire n'échappe pas à cet engouement des vignerons pour la mécanisation de la taille.
ADAPTATION DU VIGNOBLE INDISPENSABLE
du cep. Cette phase d'adaptation du vignoble peut demander entre trois et quatre ans. » A l'atelier, le mécanicien renseigne les paramètres de base dans le moniteur de la machine, installé en cabine. Le viticulteur affine ensuite ses réglages en fonction de son vignoble. Il peut ainsi sélectionner, entre autres, la hauteur et la largeur d'écartement de coupe. Avant tout conçue pour se fixer sur le bras positionné à l'avant du porte-outils Pellenc, la machine peut également être installée sur des tracteurs interlignes via divers châssis spécifiques.
UN PROCÉDÉ SIMPLE ET EFFICACE
taillés à poussier peuvent accepter cette pratique de taille.
DES AVANTAGES DIVERS
Le constructeur français Pellenc a conçu une machine qui permet de prétailler et tailler en un seul passage
La pratique de cette nouvelle technique exige une adaptation du vignoble. « Il faut préparer ses parcelles, insiste Frédéric Miché, chef d'atelier de la base Cloué viti vini à Angé(41). Notamment mettre une baguette à l'horizontale (de 2, 4 cm minimum de diamètre) qui restera durant toute la durée de vie
En un seul passage, le chauffeur effectue prétaillage et taille, à une allure comprise entre 2. 5 et 3 km/h. D'après le concessionnaire, le débit de chantier journalier avoisine les 2, 5 ha dans un parcellaire adéquat. En plus d'un équipement de prétaillage classique à disques, la machine est équipée de deux scies verticales et deux scies horizontales. La prétailleuse et les scies horizontales s'effacent à chaque obstacle rencontré, notamment les pieux. La machine dispose également de visions, sortes de caméras infrarouges qui détectent la baguette horizontale. C'est la raison pour laquelle un diamètre minimum est exigé. Continuellement, la machine repère labaguette et ajuste de manière autonome la hauteur de coupe en fonction des réglages sélectionnés par l'opérateur. Bien évidemment, seuls les cépages
Concernant la production, l'évolution de la vigueur de la vigne semble améliorée. Selon Frédéric Miché, « les utilisateurs remarquent une reprise de végétation plus uniforme, plus régulière. » Autre avantage de cette innovation, la diminution de la pression des maladies. « Les tailleurs nettoient leurs sécateurs mais rarement leurs gants entre deux parcelles, précise Frédéric Miché Si l'opérateur nettoie bien sa machine de TRP entre chaque parcelle, le risque de contamination diminue drastiquement. »
Côté maintenance, c'est surtout l'affutage des scies qui est important. « Cela dépend beaucoup du cépage et de la dureté du bois », ajoutet-il. Sans oublier le graissage quotidien de certains éléments. Excepté ces deux points de vigilance, le coût d'entretiens'avère limité.
L'entrainement des scies s'effectue par de simples moteurs hydrauliques, limitant également le risquede panne.
INTERVENTION HUMAINE, TOUJOURS NÉCESSAIRE
La TRP nécessite très souvent le passage post intervention d'un opérateur manuel, principalement dans les vignes jeunes ou encore peu préparées à la TRP. Mais cette dernière effectue entre 1 et 3 ha par jour. Soit un débit de chantier incomparable avec la taille classique.
1 septembre 2023
PAYS :France
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PERIODICITE :Hebdomadaire
Comme en taille traditionnelle, le passage du broyeur à sarments s'avère lui aussi nécessaire. Enfin, dans le but que le vigneron utilise le maximum de la capacité de la machine, une formation d'une journée lui est proposée par Pellenc. Ensuite, c'est la pratique qui permet à l'opérateur de bien maitriser l'outil.
VITE RENTABILISÉ
Cette nouvelleactivité, en période hivernale, entraine aussi une rentabilité supérieure de l'engin porte-outils. « Là où il travaillait auparavant à peine 6 mois de l'année, il tourne dorénavant presque 9 mois grâce à la TRP », explique Frédéric Miché.
RUBRIQUE :Dossierspécial
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JOURNALISTE :Teddy Couton
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Seules quelques options au niveau de la prétailleuse sont envisageables. Côté tarif, l'investissement avoisine les 50 000 euros.
Aujourd'hui, peu de machines tournent en Centre-Val de Loire.
« Mais nous sommes convaincus que la TRP va se démocratiser dans les années à venir, prédit le chef d'atelier N'oublions pas que le recrutement de personnel qualifié devient une problématique majeure pour les vignerons. » ¦ ■
PAYS :France
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PERIODICITE :Hebdomadaire
Les nouveautés
Grégoire : les tractées GT3 succèdent aux G3
RUBRIQUE :/ machinisme
DIFFUSION :(2667)
Pour renouveler sa machine à vendanger tractée G3, datant de 2015, Grégoire s'est inspiré des modèles GL6, GL7 et GL8, lancés ces dernières années. Ainsi, la GT3 hérite de nombreuses améliorations issues des automotrices comme les tâteurs de suivi de rang, la plateforme de lavage surdimensionnée avec commandes déportées et colonne d'eau, l'accès facilité à la tête de récolte, le relevage automatique (en option) ou encore la technologie OVERboost, permettant de délivrer 100 % de la puissance moteur pendant un laps de temps, afin de franchir une difficulté.
Mais la GT3 dispose également d'évolutions conçues pour les
machines tractées. L'attelage a été repensé : le timon n'est plus solidaire de la centrale hydraulique mais vient se fixer directement à la chape du tracteur. Il intègre un capteur d'effort qui peutgérer la transmission de la machine de façon automatique. Les moteurs de roues restent identiques, avec 840 cm 3 en standard et 1 260 cm 3 en option. La capacité des bennes passe à 2000 litres, pour les vignobles à partir de 1, 70 mètre. En option, des bennes échancrées de 1 600 litres permettent de rentrer dans des vignes de 1, 50 mètre de large. Les secoueurs de la tête de récolte ARC2 ont été rallongés, et le travail des aspirateurs optimisé grâce à des nouvelles trappes d'air Maxflow. La conduite a aussi été revue, et intègre désormais une gestion automatique des hauteurs de jambages, avec trois positions enregistrables (travail, tournière, route). Le nouveau logiciel permet d'ailleurs de programmer des séquences, d'enregistrer les paramètres de la machine d'une année sur l'autre, et comprend un compteur de chantier. Au niveau des commandes, Grégoire prend un temps d'avance en proposant la première machine à vendanger tractée dumarché Isobus. Pour les tracteurs non équipés de
cette technologie, un écran de 8, 4 pouces et un joystick compact s'installent en cabine.
Pellenc : l'integral Winery pour les petites exploitations
L'Integral Winery S complète vers le bas l'offre en égreneurs-trieurs de Pellenc. Destiné aux caves particulières et aux domaines de moins de 50 hectares, cet équipement dispose d'un égreneur haute fréquence suivi d'une table de tri à rouleaux à écartement réglable éliminant la grande majorité des pétioles. ■ 0hZlQ_HYnFZTC5uGFBp2ZdEL-egQWyz3tCPTUlqz9SbuKYmJgS_sTF_M27JaQKq3PODJh
Pellenc Airion Battery-Powered Backpack Leaf Blower Review
Leaf Blower Reviews & Buying Guides 15 hours ago 0 byKenny Koehler Pellenc
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As the outdoor power equipment industry continues its shift into more battery-powered products, we’re seeing names emerge to meet the demand. One of those is Pellenc , and we got our hands on the Pellenc Airion backpack leaf blower to see how it stacks up.
Pellenc Backpack Leaf Blower Performance
• 27 Newtons
858 CFM
• 4 Speeds + Boost
• 50 min – 4 Hrs, 30 Min Runtime with the ULiB 1500 Battery
• 40 min – 3 Hrs, 40 Min Runtime with the ULiB 1500 Battery
• 10 Times Lower Vibration than Gas
• Blowing Force
The big question is… what kind of blowing force does this blower have? The answer—plenty. Rated for 27N on the top end in lab settings, the blower registered 25.9N on our meter in the hot humid summer.
To put that in context, professional gas backpack blowers start around 21N and mid-range models get up around 30N. The highest we’ve tested is Echo’s PB-9010T that hit 52.0N on our rig.
On the battery side of things, Husqvarna’s 550iBTX is rated for just 14N and Stihl’s BGA 300 can hit 26N. A residential favorite, EGO, has a Commercial line and its backpack blower is rated at 26N, though we hit 27.9N in our tests.
Okay, that’s a LOT of numbers, but what’s the point? First, the Pellenc backpack blower is a performance replacement for entry to mid-range gas blowers. Second, it’s in the elite upper tier of battery-powered models currently available.
Runtime
The other big concern for professional lawn care crews is the runtime. How much you get from this model depends on which battery you choose and how you use it. The two best batteries are the ULiB1500 and the ULiB 1200 thanks to their high capacities. With the ULiB 1500, you can expect 50 min to 4 hours and 30 minutes of runtime based on what mode you’re using. The ULiB nets 40 minutes to 3 hours and 40 minutes. Keep in mind, those numbers are actual trigger time. Your working time will be much longer considering the amount of time you spend working on other parts of the job, walking from one spot to the next, or hauling back and forth to the trailer.
Pellenc Backpack Leaf Blower Design Notes
LCD Control Panel
• 3-Point Padded Harness
• Balance-Optimized Center of Gravity
• Easy Pivoting Motion
• IP54 Ingress Rating
• 15.0 Pounds Without Battery or Nozzle
• Comfort
• 33.3 Pounds Working Weight With ULiB 1500 Battery
If you’re used to working with a gas-powered backpack blower, switching to Pellenc is going to feel very familiar. The overall design mimics the way you wear and maneuver a gas model. However, you’ll notice much less notice and vibration. The blower tube connects with a pivot, making it even easier to swing left and right than one that wraps around the back.
The harness is comfortable, with padded straps that include a hip strap to shift the weight from your back to your hips. That’s good, because the 33-pound working weight is a heavier than most gas models, even fully loaded with fuel.
Pellenc ’s design team was well aware of the increase in weight, though. The placement of the equipment and position of the battery all intentionally configured to ensure the weight is balanced. It’s not just a matter of left/right front/back balance, either. When you kick the blower up to Turbo, the force pushing back against you won’t leave you trying to overcome a rear-weighted balance.
Controls
Obviously, there’s no pull cord or choke you need to fight with to get the blower started. All the controls are literally at your fingertips while you’re wearing the blower. You start by pressing the power button on the trigger interface and hitting the trigger once to activate the unit.
The trigger is variable speed and works exactly the way you expect it to—the more you pull, the power you get. However, there are 4 modes to cycle through. Each one acts as a governor to keep you from using too much power. While typical mow and blow jobs are most efficient at high or turbo, using the lower modes can help you manage the battery power.
To change the mode, there’s a thumb switch on the left. Push it down to go to cycle from mode 1 to 4 or up to go from 4 to 1. Once you get to the end in either direction, the next press will return to the start and go around again.
If you want to use turbo, hold the thumb switch down for a couple of seconds and will enter that mode until you cycle out of it.
Regardless of the mode you’re in, you can change on the fly without having to release the trigger.
While you’re working, the backlit LCD screen show you what mode you’re in, what
battery percentage remains, and how far you have the trigger pulled.
Pellenc Backpack Leaf Blower Price
•
$999 bare tool
ULiB 1200 battery, charger, and accessories: $1660
•
• ULiB 1500 battery, charger, and accessories: $1860
The bare tool runs $999 and the recommended batteries add another $1660 – $1860 to the price. With a total investment of $2650+, you’ll want to run the numbers and make sure they make sense for your business.
The Bottom Line
There’s no question that the Pellenc Airion backpack blower is in the top performance tier of the battery-powered leaf blowers currently available. Its design reflects a lot of hard work and an intentional Pro-focus that makes a compelling case for lawn care crews and landscapers considering the move away from gas. However, the high cost of entry is likely to cause some folks to pause before pulling the trigger. You’ll have to consider that against your fuel and maintenance costs alongside the convenience and environmental benefits over the long term to determine if it’s the right move for your business.