REVUE DE PRESSE JUILLET 2021
Sommaire Bac Pro « Maintenance des Matériels » : une belle vitrine pour la profession
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Sedimag - 01/06/2021
Technologie anti-dérive : la chambre d’agriculture informe les viticulteurs
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L Agriculture Dromoise - 08/07/2021
Vendanges 2021 en Nouvelle-Zélande à Forrest Wines : une récolte magnifique, mais petite !
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mon-viti.com - 07/07/2021
Yannick Frégé : « pour changer l'image du monde rural »
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L'Avenir Agricole & Viticole Aquitain - 07/07/2021
Relevage et palissage, la combinaison gagnante
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L'Information Agricole du Rhône - 01/07/2021
ESPACES VERTS. Le gazon des sportifs bichonné
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Le Journal du Pays Yonnais - 01/07/2021
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1 juin 2021 - N°325
Concours Généraldes Métiers
Bac Pro
«
Service Formation du SEDIMA
Maintenancedes Matériels »
:
une belle vitrine pour la profession Après une édition 2020 stoppée par la condition Attacheur sarments de vigne sanitaire de la COVID-19, les épreuvespratiques et arbres fruitiers Fixion 2 Pellenc du ConcoursGénéraldesMétierspour la MainteLes 3 lauréats ont reçu leurs prix lors d’une cérénance desMatériels ont pu se tenir au Domaine monie officielle qui s'est tenue dans le grand d'Eguilles de Vedène(84) avec un public limité. amphithéâtre de la Sorbonne le 8 juillet 2021. l'issue d'une épreuve écrite d'une durée de Le SEDIMA tient à remercier les professionnels 6 h, 18 académies ont présenté 123 candidats ayant participé aujury et investis dans la mise à A
qui sont en année terminale de Baccalauréat disposition du matériel. professionnel Maintenance des matériels dans 23 établissements :
62 candidatsinscrits en option
A
provenant de 18 académies (21 établissements), 56 candidats inscrits en option provenant de 18 académies (23établissements),
B
14 candidatsinscrits en l'option C provenant de 8 académies. L'épreuvepratique de 14,5 heures s'estdéroulée sur trois jours (les 19, 20 et 21 mai 2021) au LycéeProfessionnel Domaine d'Eguilles. Un jury composé d'enseignantset de professionnels techniciens était présent pour évaluer les compétences des9 candidats sélectionnés. Voici la liste desmatériels gracieusementmis à disposition : Chargeuseà ChaînesCaterpillar 953K NiveleuseJohn DeereJD 772 GP Nacelleélévatrice Manitou 200
ATJ
E
Tondeusefrontale Iseki 450 Outil électroportatif Cultivion Pellenc TondeuseFrontale Grillo
FD
900
Tracteur Fendt 209 vario + interceps RadiusSL plus Clemens Tracteur Fendt 720 Vario Tracteur New Holland T7 290 HD
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8 juillet 2021 - N°142
Technologieanti-dérive: la chambred’agriculture informe les viticulteurs I La chambre d’agriculture de la Drôme a organisé deux demi-journéesde démonstrationde pulvérisateursinscrits sur la liste des équipementsde limitation de la dérive par le ministèrede l’Agriculture et de l’Alimentation. La première a eu le 9 juin à Mercurol et la secondele 10 juin à Saint-Pantaléon-les-Vignes. DÉMONSTRATION
Â
Mercurol, plus d’une soixantaine d'agriculteurs ont répondu présents à l'invitation lancée parles chambresd'agriculture de la Drôme et de l’Ardèche. Pour l’événement, Nicolas Machon, viticulteur et présidentdel'association Syrah, a mis à disposition une de ses parcelles pour accueillir cette
démonstration. Margot Huët, conseillèreen viticulture à la chambred’agriculture de la Drôme, a fait un rappel réglementairesur les Zones Non Traitées(ZNT) aquatiqueset lesdistancesde sécuritériverains et publics sensibles.Ces dernièresimposent le respect de distances de sécurité à proximité de cours d'eauet de bâtiments habités ou hébergeantdes personnes Vulnérables. Dans certains cas, des dérogationspermettent de réduire ces distances à condition d'utiliser, entre autres, des moyens visant à diminuer
en viticulture à la chambre d'agriculture de la Drôme, a rappelé les différents leviers permettantde réduire la dérive : la taille des gouttelettes avec l'usage de buses anti-dérive qui génèrentdes gouttesmoins fines, la configuration de la machine qui permet d'être au plus près de la végétation etlesréglagesdes pulvérisateurs (s'adapterala hauteurde végétation en coupant les busesinutiles, adapterlesvitesses d'air et travailler sur
les pressions). Ces rencontres techniques ont reçu le soutienfinancier du Départementde la Drôme et de la région Auvergne Rhône-Alpes.
¦
Mathilde Carra et Margot Huët
la dérive.
Pour l'événement,Sébastien Codis, ingénieur à l’institut français de la vigne et du vin (IFV) et spécialistede l’optimisation de la pulvérisation envigne, a apporté son regard d'expertet commenté chacun desappareils en démonstration, lia également présentéle dispositif Performance Pulvé, qui a pour objectif de qualifier la performance des pulvérisateurs viticoles selon leur capacité à utiliser moins d'intrants phytosanitaires tout en maintenantl'efficacité destraitements [plus d'infossur: https://www. performancepulve.fr/].
Les leviers permettant de réduire la dérive
Démonstrationle 10 juin à Saint-Pantaléon-les-Vignes.
ASaint-Pantaléon-les-Vignes, trois pulvérisateurs inscrits sur la liste ministérielle ont été présentés. Organisé par Julien Vigne, conseilleren viticulture à la chambre d'agriculture de la Drôme, et les Vignerons de Valléon, cetaprès-midi techniquea rassembléune trentainede
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8 juillet 2021 - N°142
Démonstration le 9 juin à Mercurol.
EtablissementsBrunière : Pellenc Eole - face parface à jet porté.
EtablissementsBrunière : Berthoud rampe AB Most - face par face à jet porté.
Chavanel Agri : Idéal Bio Air
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tangentiel unifaceà jet porté.
EtablissementsBellier : Caffini Rafal Uniface - uniface sansrampe à jet porté.
EtablissementsBanc:Grégoire EcoprotectL3 - panneaux récupérateurs à jet porté.
EtablissementsBellier : Dagnaud Pulpano- panneaux récupérateurs à jet.
EtablissementsBanc : Weber - flux tangentiel uniface à jet porté.
RN7 AgriServices face
: ChabasViti Axis par face à jet porté.
EtablissementsBrottes : Calvet tangentiel unifaceà jet porté.
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Vendanges 2021 en Nouvelle-Zélande à Forrest Wines : une récolte magnifique, mais petite !
ImprimerCommentaires VIGNERON DU MONDE - Nouvelle-Zélande Publié le 07/07/2021 - 15:35 par Beth Forrest - Forrest Wines Nous avons eu de sévères gelées lors du printemps dernier, juste après une période de redoux au moment du débourrement. La récolte est annoncée en baisse en Nouvelle-Zélande : entre 30% et 40%. Heureusement, la récolte au domaine est magnifique. Nous avons eu les bonnes températures au moment de la maturation des baies : rien de trop extrême, tout à fait agréable. Un genre d’été indien, sans pluie, et sur une longue période. La récolte était tout de même légère, due au gel. Elle a mûri tôt. C’est la première fois que nous vendangeons fin février. D’habitude, cela ne démarre pas avant mars chez nous. Les raisins sont magnifiques, vibrants, aromatiques ! Je m’attends à de très belles textures dans les vins. La récolte est très belle, mais très petite. Ici à Forrest Wines, nous vendangeons tout en machine. Après quelques années à tester ce qui était préférable entre vendanges manuelles et mécaniques, et nos clients ne voyant pas la différence, nous sommes passés au plus facile, c’est-à-dire mécanique. Nous sommes ravis de ce matériel qui nous permet d’être très efficaces et de nous adapter très vite aux circonstances. Nous essayons d’être le plus autonome possible, et nous avons toujours possédé notre propre matériel pour vendanger : machine à vendanger, camion benne, ainsi qu’une super équipe. Il y a environ 5 ans, nous avons investi dans du matériel Pellenc, pour nous aider à bien trier la récolte. Et les résultats
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sont là : grâce à ce tri, les notes un peu vertes ont disparu de nos vins ! Nouvelle-Zélande - Marlbourough
Beth Forrest a étudié l’œnologie sur les bancs de l’université d’Adelaïde en Australie. Mais c’est en Nouvelle-Zélande, au domaine vitivinicole éponyme bâti par ses parents ex-médecins qu’elle exerce ses talents. 65 ha en propriété, ce à quoi s’ajoutent 60 ha en fermage. Sauvignon blanc, chardonnay, pinot noir, pinot gris, riesling, albariño… des vins de cépages qui se déclinent en différentes marques : Forrest, The Doctors’, Tatty Boglers. https://www.forrest.co.nz/ Sur la photo : Beth et son père.
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RUBRIQUE :Technique
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7 juillet 2021
Yannick Frégé : « pour changer l'image du monde rural » PORTRAIT Yannick Frégé, éleveur de Blonde d'Aquitaine à Noaillan a mis à disposition un champ et son temps pour accueillir fresque et fête autour du Tour de France.
Yannick Frégé et le tracteur prêté par la société Pellenc en attendant le Tour de France.
Yannick Frégé sourit. Il est heureux de pouvoir accueillir sur ses terres l'animation imaginée par la FNSEA de la Gironde et ses nombreux partenaires (mairie de Noaillan, Jeunes agriculteurs, Groupama, MSA, filières…). Heureux de pouvoir montrer une image positive de l'agriculture et de « l'élevage en Gironde ». Car il en reste et il en fait partie. Par passion « ça m'a toujours plu. Même si j'ai commencé comme mécanicien », explique-t-il dans son atelier que traversent un couple d'hirondelles. « J'ai travaillé pendant quinze ans à Château Yquem comme tractoriste et mécanicien. » Mais l'élevage l'attire toujours… et en 1996, il saute le
pas. Il s'installe cette année-là et élève des Blondes d'Aquitaine « sur les conseils du marchand de bestiaux. » Il est seul sur l'exploitation et conduit un troupeau de 160 têtes de bovins viande. « Je suis autosuffisant en foin et j'achète des carottes à l'exploitation la plus proche. » Une nouvelle vie pour les carottes moches et un apport intéressant pour les bovins. De l'économie circulaire sans tambour ni trompettes en somme. Reste à acheter de quoi alimenter l'atelier d'engraissement. Ses 152 hectares d'exploitation dont une partie sert à cultiver maïs et triticale ne suffit pas aux besoins. Filière courte Yannick Frégé vend à la coopérative TradiSud-Expalliance qui approvisionne le marché local (Les halles du Midi à Langon, l'Intermarché de Belin-Beuliet, le Carrefour contact de Noaillan). Et a remarqué le changement du regard de ses riverains quand le Carrefour contact de Noaillan a ouvert. « Les gens ont vu ma photo dans le rayon et ont acheté la viande de mes bovins. Leur regard a changé. Tout d'un coup, je faisais bien… alors que je n'avais rien changé à mes pratiques. Car faire n'importe quoi, ce n'est pas viable. » souligne l'éleveur qui travaille depuis
toujours sous label de qualité et qui valorise le fumier de ses vaches auprès des exploitants en agriculture biologique. Pour le reste, il travaille dur, entretient lui-même son matériel, s'occupe des champs et des bêtes… et commence à chercher un associé pour « préparer la relève, ma fille ne veut pas reprendre l'exploitation. » Quant au Tour de France, il a dit oui tout de suite « à la maire de Noaillan qui m'a demandé si je pouvais accueillir la fresque. » Il a mis à disposition son champ, son temps, du matériel – etdemandé à son concessionnaire, la société Pellenc, d'exposer un tracteur flambant neuf –. Bref, comme sur son exploitation, il s'est investi à fond pour « valoriser l'image du monde rural. » Rendez-vous le vendredi 16 juillet, à partir de 11 heures, à Noaillan pour juger sur pied. ■
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RUBRIQUE :Technique& économien
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JOURNALISTE :David Duvernay
PERIODICITE :Hebdomadaire
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1 juillet 2021
#BOUGETONBEAUJO / RELEVER, PALISSER ET ÉCIMER. RÉALISER CES TROIS OPÉRATIONS EN UN SEUL PASSAGE DE RANG, C'EST POSSIBLE ET C'EST CE QU'A VOULU DÉMONTRER LA CHAMBRE D'AGRICULTURE DU RHÔNE, MARDI 22 JUIN SUR LES HAUTEURS DE BLACÉ, À L'OCCASION D'UNE NOUVELLE JOURNÉE DE DÉMONSTRATION SUR LA THÉMATIQUE DE LA MODERNISATION DU VIGNOBLE.
Relevage et palissage, la combinaison gagnante David Duvernay
Dominique et Emmanuel Jambon ont investi dans cette releveuse – palisseuse Multiviti de Pellenc en 2018.
Le compartiment de bobines d'agrafes.
Dominique Jambon estime qu'il lui faut une journée pour faire relever et palisser en même temps 3 ha de vignes.
Au cœur d'une période très chargée dans les vignes, et alors que la main d'œuvre se fait désirer, cette
combinaison a convaincu Dominique et Emmanuel Jambon. Il y a trois ans, les deux frères vignerons au domaine des Maisons Neuves à Saint Lager ont investi dans une releveuse-palisseuse de Pel-lenc. « Ce n'est pas tant pour le problème de la main d'œuvre que nous avons acheté cet outil mais surtout pour réduire les coûts liés à cette main d'œuvre justement. Nous avons beaucoup de vignes plantées à 2 m donc ce matériel a été amorti dès la première année », réagissait Dominique Jambon qui, sur les trois opérations qu'il est possible de réaliser, se contentent des deux premières (relevage et palissage). La releveuse-palisseuse Multiviti de Pellenc ne plaît pas uniquement à Dominique Jambon et son frère Emmanuel. Selon Flavien Soumille, commercial Pellenc sur le territoire Rhône-Alpes Provence-Alpes-Côte-d'Azur, elle est redevenue très prisée des viticulteurs, à tel point que l'entreprise ait dû faire face à une pénurie l'an dernier, à cause de la crise sanitaire. « C'est un outil qu'on produit depuis quelques années déjà et qui, dès sa sortie, avait convaincu beaucoup de viticulteurs. Les ventes ont baissé les années suivante. Mais de nouveau, on constate un engouement depuis deux ans car il
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RUBRIQUE :Technique& économien
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JOURNALISTE :David Duvernay
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1 juillet 2021
est de plus en plus difficile de trouver de la main d'œuvre, pour relever la vigne par exemple. Donc au-delà de remplacer la main d'œuvre pour son coût, on la remplace par rapport à son absence ». Dominique et Emmanuel Jambon, eux, l'utilisent à plein régime au moment des relevages, sur une vingtaine d'hectares parmi la cinquantaine qu'ils exploitent. « Au total, il nous faut deux semaines pour tout faire, soit 3 ha/jour environ. Ici, à Bla-cé, il me faut une demi-journée seulement pour relever et mettre les agrafes avec cette machine. En temps normal quatre personnes auraient été nécessaires pour faire ce travail sur une journée », insiste le vigneron de Saint Lager. Avant de passer avec leur tracteur interligne et pour un travail plus efficace, les deux frères prennent le temps d'écarter les fils releveurs au bout des rangs.
En quelques secondes seulement, la vigne est relevée.
En plus du relevage, l'outil de Pellenc permet de relier les deux fils releveurs avec des agrafes.
Vitesse d'avancement et pousse de la vigne Comme le précise Flavien Soumille, les temps annoncés par Dominique Jambon varient en fonction de la densité de plantation de la parcelle mais aussi de la vitesse d'avancement du tracteur. « La rotation du système d'aide au relevage tourne à 3, 5 km/h. Donc l'idéal, c'est de travailler avec une vitesse d'avancement entre 2 et 3, 5 km/h. En dessous de 2 km/h, les rameaux peuvent retomber. Inversement, si on roule au-delà de 3, 5 km/h, on risque d'arracher des rameaux et d'avoir un travail de moins bonne qualité ». Sur la question du débit de chantier, le représentant de Pellenc n'omet pas non plus le nombre de tournières. « Moins il y en a et plus elles sont simples à effectuer, mieux ce sera. Mais ça ne veut pas dire que cet outil n'est pas adapté pour les petites parcelles. » En matière de vitesse d'avancement, Dominique Jambon, lui, s'adapte à l'évolution de la pousse de la vigne
qu'il laisse volontiers se développer avant relevage. « Plus il y a du feuillage, mieux c'est pour relever la vigne avec cet outil. C'est pour ça qu'on n'hésite pas à le faire un peu plus tard dans la saison, tout en réduisant la vitesse d'avancement pour que tous les rameaux passent derrière le fil releveur », détaille-t-il. « C'est au viticulteur de décider du moment idéal pour faire son relevage. Il faut que la vigne ait poussé un minimum c'est sûr, mais il ne faut pas que les rameaux soient trop grands non plus, surtout que sur cette parcelle-là, les inter-rangs sont assez resserrés. Il peut donc aussi rouler sur les rameaux du rang d'à côté… ». Une fois le relevage effectué, Dominique Jambon pourra installer sur le mât multifonction de Pellenc sa rogneuse et/ou son effeuilleuse, deux outils qui ne seront pas de trop pour éclaircir des vignes très feuillues cette saison… n FOCUS / Des diabolos aux agrafes Lors de la démonstration à Blacé, Flavien Soumille a présenté la releveuse-palisseuse Multiviti de Pellenc (hydraulique) munie de deux diabolos pour la prise des fils releveurs. En-dessous, se trouve l'ameneur de végétation dont la rotation permet de regrouper les rameaux derrière le fil releveur. Enfin, l'outil utilisé par le domaine des Maisons neuves permet de poser les agrafes sur les fils releveurs, un compartiment de bobine étant installé. « Généralement, on met une agrafe avant et/ou après chaque piquet, et selon la densité du feuillage. C'est le conducteur qui avec son joystick décide de le faire manuellement et non automatiquement donc », précise le commercial de Pellenc. n D. D. ■
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PAYS :France
RUBRIQUE :Autour de l'yon
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1 juillet 2021
ESPACES VERTS. Le gazon des sportifs bichonné
La commune a accueilli trois entreprises pour une matinée de présentation de matériel d'entretien des sols. JPY
Le 24 juin, la commune a accueilli sur son terrain de football trois entreprises pour une matinée de présentation de matériel d'entretien et de techniques de fertilisation des terrains de jeu. L'objectif était de réunir les agents
techniques des communautés de communes de Vendée, pour présenter les produits et machines-outils de trois entreprises : Equip'jardin (partie mécanique professionnelle), Pellenc (matériel professionnel avec batterie) et BIO3G (fertilisation). Les agents d'entretien ont reçu une formation sur les différentes compositions des sols. Ils ont pu aussi apprécier de visu le maniement et l'efficacité des outils présentés. Equip'jardin a présenté ses machines qui compactent et aèrent les sols sportifs. La société BIO3G a expliqué sa démarche au service de la performance et de l'écologie; ainsi que sur ses produits à base d'algues
et d'oligo-éléments qui redonnent une vie végétale aux sols foulés par les joueurs. Pellenc était venu avec ses tondeuses et des coupe-bordures entre autres. M. Bouron, responsable des services techniques de Rives de l'Yon, a rappelé que la commune n'utilise plus de produits phytosanitaires. Les espaces verts sont uniquement fertilisés avec des apports organiques. Les joueurs de football pourront ainsi fouler une herbe en pleine santé, et profiter d'un terrain bien entretenu toute l'année. ■
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