LA
REVUE
DE DEUXIÈME
PARIS
ANNÉE
TOME
SIXIÈME
Novembre-Décembre
1895
PARIS BUREAUX 85bi.,
DE FAUBOURG
LA
REVUE SAINT-HONORÉ,
1895
DE 85bis
PARIS
LA
MORT
Chassé
de en
réfugia y
fut
Naples
il
s'enfuit
arrivée
son vers
les
autorités
dans
l'île
qui
i5
le
décidèrent.
la
à par
tête
piège de
principaux
qui
les
et
faveur, à
çonnée
un par
historiens,
i. Dlois
lui
le
débarquement.
trouve
Le
travail
qui
suit
de
blurat,
qui
paraitra
forme
dévoilée
un
comme
Toute
cette
des
prochainement.
par
chapitres
encouragements police
d'un
napolitaine,
Medici
se le
soit
qui,
des
plusieurs des
lettres
qui
soulever lieu
le
par
rapports
ouvrage
sa
en favo-
plus
machination,
niée des
reçut
ces
à
Pizzo
reconquérir
encouragements
celui-ci
prêtes
après
des
obligé à
mais
contemporains,
se
à écrire
populations
de
ministre avait
accueil
lorsqu'il
la
par
crainte,
Murat
indiquaient
les
et
le
bon C'est
l'idée
et
tendu
fit
hésitant
assurances
trouvait
par de
partisans
fort
souverains
l'arrêter. à
reprit
était
était
se
soit
de
assurances
lui
laquelle
dépeignaient
rable
des Ces
corruption,
lui
il
septembre
un
étaient
se
qu'il
lui
il
d'assassins. des
population
se
Bourbons,
bandes
sollicitait
qu'il la
des
Murat
I8I5), des
par
royalistes
Pourtant
le
fauve
où
Corse
(mai
rétablissement
l'asile
en
royaume.
le bête
d'obtenir
empêcha
son
une
MURAT1
Autrichiens
Après
comme
Désespérant
et
les
par
Provence.
traqué
alliés,
DE
soup-
les
principaux du
intitulé
baron
les
Derniers
de
LA
intendant
Koller,
d'une
il
famille
grande Murat
ports,
dans
rôle
important fait par saire,
et
Murat
été acheté
Trentacapilli, la même source, Murât
attendre
archives faux
20 d'un
septembre asile en
de
ses un
néanmoins
rap-
agents, passeport
à Trieste.
il est nécessaire récit qui va suivre, de deux un qui jouent personnages ancien courBarbara, L'un, chapitre. de frégate capitaine il M. de Koller, D'après le capitaine de gendarme-
son pendant la flottille.
du l'agent du commandant
à l'insu
au
28
dévoué
plus remit
ces
l'offre
le
les
par
du
règne
l'autre, par Medici ancien chef de bandes,
rie
Pizzo
ce
commandait
baron,
avait
du mots
nuit
refusé
lui qui se rendre
Macirone, l'Anglais des puissances pour Pour l'intelligence quelques
Convaincu
avoir
apportais
dans
années
la
autri-
d'occupation
quelques
dans
après lui
que
l'armée
Styrie.
s'embarqua
Autriche
dire
a
y
325
MURAT
de
de
5à Ajaccio,
I8I5
DE
général
découverts
chienne,
de
MORT
était,
d'après
toujours
au envoyé qui l'avait chef des Calabres, y pour
ministre, en
î.
A vol d'oiseau, il y a plus de 4oo milles marins d'Ajaccio au au Pizzo. 1 C'était une grave imprudence d'entreprendre sur des barques de l'équinoxe une pareille traversée moment et hors d'état de tenir la mer, par de d'un très faible tonnage gros. temps. en s'aventurant Murât au large s'il était sombrer à voir
non seulement à s'exposait assailli par une tempête, mais aussi flottille dispersée coup de vent un par le moindre et à arriver seul ou presque seul sur les rivages calaaurait de beaucoup est juste de dire qu'il préféré tout son monde sur un seul navire de long cours,
sa
peu fort, brais. Il
embarquer mais il lui avait Pour
i
de
Colletta, M.
ce
par;
ments
ofliciels
de M.
Naples le
M.
et
et
chevalier
sont de
de
Murat, et
Palermo, tirés
l'Archivio Travalli.
outre
consulté,
j'ai
chapitre,
Joachim
ziante,
d'en
été impossible
Franceschetti
Gasparri
ainsi
M.
Ricordi des cti
les
Galvani, par
le
baron
des de
Mémoires
annales de
murattiani,
archives Stato
les
par
la Vita
I-lelfert; M.
G.
le
Fine
di
Fatti
a
Gran été
de
re,
Vito
par Nlln-
docu-
Les du
dossier
un
cti
Romano.
étrangères, dont
e
et
connus
anciennement
ci-après
Affaires
Palerme,
un à Ajaccio,
trouver
archivio publié
par
326
LA
il
avait
des
été
se
et
d'un
seul
.nom à
ces
sur
qui
commandait
La
à
fois
n°
le
rand, Mattei
n°
et
Medori.
et
un
Elle
en
facio.
ce
de
avait
suivre
la
empêché une
dans
un
anse la
ouest.de haut
d'une
qui
cherchait
L'ancien
fort de
au
'sition
colline
un
lui
aussi
roi
de
prudemment
pris les
ayant à
l'île
du
eût
la
vue
le
large.
navire
soir, on
remit
Tavolara,
à sur
qui la
la
voile côte
Boni-
allongé, en
fut
à relâcher nord-
pointe il
du
aperçut espagnol s'y
sa
abriter.
si
le
propobâtiment
de monde,
soufflait en
et
gondole La
espagnol.
vent
matin,
supposer
fort
pour
chargées
le
du
commerce
à exécution
mise,
flottille,
à
la
de
et
traversée
l'obligea
bord
barques
du
molli, de
été
des
à
la
Il
l'Asinara
les
porter
de
fût
terre,
et
qu'elle
la
en
à
i.
capitaines
heure
à
de
hâte
s'emparer
de
amené
qui
n° Cour-
bouches
situé
gagner en
heures
quatre
sud-ouest
rendez-vous
à
acceptée à
sud-ouest
bâtiment
le
Cecconi
Sardaigne.
descendu
gros
laquelle
à
favorable,
de
Etant
sur
gondoles
débuts
trajet
l'Asinara
retourna
effrayé
Sur
de
île;
aussitôt
menacé,
l'îlot
Calabre,
Semidei
patron
serait
le
que
de
vent
grande
corsaire
proposa
on
occidentale
côte
par
Galvani,
de
les
et
des
cinq
bataillon
les
à une
mal
par
par
le
le
que
donné
route
brise
hauteur
bien
capitaines
Les
bien
4
par
la
projeté,
sous montant
de
n°
septembre
à
dit
que
avait
la
une
29
le
on
que
hommes.
heures
quelques
Barbara
les
éclairer
par
Ajaccio
D'après
que
22
Poussée
quitté
5 par
commandée
de
heureux.
arriva
était
équipage
avait
le
voilière à
barque
chef
Ettore,
meilleure
l'île
côtes
la
le
par
n°
le
destinée
roi.
et
laquelle
capitainé
felouque,
du
furent qui
le
par
munies
chacune les
Sa
'felouque
jauge,
tant
fond
[flottille
_commandée
était
ordres
à
à-
Corse.
dans
manoeuvrées
et
Giacometti
convoyait,
avait
était 3
La
la
Murat,
embarqué barque
du
la
de
entassé
connaissait
de
expéditionnaire,
été
étaient
transport,
une
connues
corps
de
côtes
tonneaux
latine,
petit
les
bâtiments
à 20
avait
qui
Barbara,
vs'était
le
individus
gondoles,
marins.
i5
moyen
sur
petits
voile
Tout
25o
comme
six de
d'une
gondoles. ou
200
et
PARIS
cabotage
de
pontées
mât
de
au
composait
barques
cinq
DE
se contenter,
employées
barques
-ilottille
de
obligé
REVUE
n'eût
toujours .se
donnant
orientale
de
la
'Sardaigne. A
peine
engagée
dans
lè
détroit
de
Bonifacio,
la
flottille
fut
LA
assaillie
une
par Ceux
périr.
qu'elle
MORT
DE
violente
MURAT
dans
tempête
transportait
327 elle
laquelle dans
passèrent
les
faillit
angoisses
au 3o septembre. Barbara ne fut pas des moins et ne dissimula à ses inquiets pas les craintes qui l'agitaient de route. Enfin, dans la matinée du 3o, on parvint compagnons à trouver un abri dans une petite anse appelée Pozzo dell' Oglio. la nuit
du
La tempête gagea dans Maddalena.
29
s'étant la
calmée,
on se remit en mer-et'l'on de l'île sépare la Sardaigne
passe qui Une tour construite
sur
cette
dernière
île
s'ende la com-
mandait
le passage. Les hommes garnison, qui y tenaient après avoir sommé par un coup de canon à poudre la flottille en panne et de se faire reconnaître, tirèrent sur elle de mettre à boulet sans qu'aucun des bâtiments fût atteint. Debout sur le pont de sa gondole, d'un carrick à pluMurat, enveloppé sieurs. pélerines, s'amusa de la maladresse des beaucoup canonniers sardes. A deux
heures
de Tavolara
on mouilla
où
dans
une
anse
l'on débarqua. Murat y passa à ceux qui on avaient 25o hommes et distribua uniformes quarante qu'il avait fait confectionner
de l'île
déserte ses en revue le plus besoin
à Ajaccio. la flottille remit à la
octobre, à une heure du matin, et de la baie de voile, le 5 elle se trouva en. vue du Vésuvc à dessein Barbara s'était trompé de route, Naples. peut-être. Ne pouvant Murat fut très vivement irrité de ce contretemps. Le
ler
à rien tenter à cause de la présence songer, des Autrichiens, il donna ordre de dans le voisinage de son ancienne capitale, mettre le cap sur la Calabre. Le 6, vers six heures du soir, la flottille arriva en vue de Au moment où elle allait citérieure. Paola, dans la Calabre un peu au sud de cette ville, dans la rade de Sanmouiller, au large. Jusque Lucido, un violent coup de vent la repoussa de temps à autre pendant avait arboré là, la gondole royale Barles nuits un fanal à son mât pour rallier ses conserves. bara prétendit l'ennemi qui, des
éveiller les soupçons de que ce fanal pouvait de jour, pouvait prendre les six bâtiments -pour faisant la pêche du corail. Il ordonna donc
barques de tous les feux, l'extinction de battre souvent le briquet
qui
aurait
peut-être
et prescrivit comme seuls signaux sur la gondole royale. Ce moyen, été de quelque utilité par un temps calme
328
LA
et
clair,
du
6
la
au
servit
à
rien La
7 octobre.
gondole
et
royale
de
lage à
ne
DE
REVUE
la
pendant
flottille
la
les
nuit
et lorsque,
parvinrent
rallier
à
autres
quatre
et
orageuse
se dispersa,
felouque
San-Lucido,
PARIS
barques
sombre
le
matin,
le
mouil-
manquaient
l'appel. La
se
journée fit
Murat vers
le
soir
dait
le
chef
taine
de
se
avec
Medici
au
eût
San-Lucido faire
se
avoir la
Il nement
des
duisit
l'embarcation les
les
en
matelot
avec
ordre Or
et
des
sur
comment, être
trouvés faut
donc
détails
les dans
que qui
d'autres Medici précèdent
de les
Le
patron de
barques
se
disait
dans
comman-
trois
en
matelot
et
les
d'entrer la
peut
marine
proviennent,
de non
autres
permis des
le
port. de
papiers
la en
s'expliquer
deux leurs
deux
et
pas
débarqués,
Barbara
les
deux
des
que
l'autre
dans
donc
santé
n'avaient
donc
bâtiments ne
observant de
arrêta
de
con-
chaloupe
renvoya
bureaux
on
la
hêla
transpor-
Barbara
barques
avec
Elle
députation un
gouver-
flottille
San-Lucido
et
ses
du
barques de
Elle
règle.
muni
de
simplement
la
trois
conditions ait
trois
prudence.
que
individus
quatre
fournis
le
observait
que
à
nettes
patentes
Barbara
batterie
coursière
qui
observation,
délivrer
les
chaloupe
chaloupe
tandis
les
la
que
et
et
aux
les
aurait
se passait
qu'Ottaviani
en
qui
matelots.
port
en
second
la
fait
de
tout
La
forcé à
d'Ajaccio
règle
Les
mit
avait
cinquan-
un
désirât
sanitaires.
fort
d'enjoindre
Murat
santé
Il
de
qu'elle
premiers
dans
nécessaires,
avaient
que
corroborer
canon
beaucoup
le
trouva
papiers
fut
comman-
que
l'entente
le
qui
et
dans
Elle
ce
Trieste.
précautions
accourut.
de
de
d'elle
à
vient
Murat
d'arriver,
apprit
qu'il
coup
une
et
barques,
sujet
deux
rade
Français
ne
une
deux
Galvani,
terre et
la
et
taient
pas
à
méfiance
l'embarcation
2
laquelle
dit
que sur
venait
certaine
toutes
soit
dans
qui
une
un
Barbara
avait
y
par
envoya
Ottaviani,
sur
que le
invité
il
au
.comme
renseignements
province,
dant
Koller
reconnaître,
des
des
laissez-passer
Soit,
premier.
et
reprises
Ce n°
barque
parce
de
des
et
diverses
recherche.
la
retour
l'attention baron
leur
A
embarqués. le
après
du
assertions
à
Courrand
étaient
d'attirer
mérite
attendre.
ramena
bataillon
passa,
les
felouque
celle-ci
que
d'hommes
Il
à
la
partir
à
passa
aient
pu
compagnons. spéciaux. Mémoires
de
Galvani
d'un
de
un et
ses
de et
la
nord
à
était
sage;
aurait
au
aux
A
était-on
tenant
le
fit
le
supplia
confiance
la
corde
qu'il
de
son
en
lui, à
et
Gran
dell'Interno.
le
que
roi
la
son
L'Intendente San-Lucido,
les
bienfaits
n'enfit du
della
ordres
afin
de
prendre. et
de
le
lieu-
Courrand,
royale.
Aussitôt
effrayé
des
soldats
à
bord,
périls
qu'on les
parmi
dire
dont
Il)'
de
moins
pas
route les
mais de
Calabria ottobre
Il de
ordres
Arresto
Naples.
la
Corse.
citeriore i8i5.
del
Murat
S.
E.
avait
comblé, à
le
qui
n'avait
par
une
nuit
le
qui
il
Secretario
remorque coupa hommes
avait
renoncé
Murat di
en
aucune
traître
Gioacchino
cette
quitta
à ses
persuada
Générale a
connais-
Courrand
attacher
pendant
qu'il
l'abandonner
Franceschetti,
roi,
10
lui
disposés.
dévouement.
de
bien
tombée
Pernice
sans
.ét,
étaient
d'après
Archivio
serait
découragement
bord,
ses y
la
les
le
qu'on
allait
capitaine
chef,,
jeter
l'ex-corsaire
fut
on
chefs,
où
qu'on
gondole
leur
rappela
reprit
nuit
qu'on
s'enfuir. à
celle
le sous
à
s'ils
agissait
morte.
sur
la
le
projet
prétexte des
affirmait
direction
que
étaient
passer
lui
la
vers Le
pour
Amantea
que
côte
d'empêcher
protestant
gondole
dès
voile,
venir
critique,
sa
la
de
projets,
heure
i.
de
niéditait
ses
sait
donc
travaillait
courir,
en
attiré
napolitains.
conférence
et
eût
disparues.
une
ten-
remonter
donnant
Après
pour
et
guerre
voulu
en
qu'on
pareille
le télégraphe de
à
compte
débarquer une
navires
d'amis
qui
informèrent
Murat
pas
prétendit
voulut
par
débarquer
sous
à
soldats.et
parait
rendit Il
gondoles
opposa
beaucoup
vigies
demandèrent
et
de
Multedo,
allait
au
transportaient
dissuada;
les
trois
soi.
partit
dérober
ils
s'y
contre
On
peine
ne
agent
gondole,
auraient des
avoir
l'en
tous
Franceschetti
projet
accueilli.
San-
citérieure
barques
Murat
signalée
Barbara
prétendait
trois
la
otage. On
Calabre
vent
s'arrêta
Calabre cet
de
10,
le
d'Ottaviani. en
recherche
le
de
bord
étépromptement
Roi
la
les
de l'incident,
après,
lequel
que
compagnon.
côtes
Le
à
gardé
son'
les
dans
l'arrestation
seulement
sur
jours de
instant
329
différente
peu
trois
et
retour de
eût
un
l'intendant
seul
de
manière
tative
MURAT
compagnons'.
Barbara,
délivrer
DE
adressé
l'intérieur,
soupçonner
l'avait
version
par
ministre
sa
une
rapport
'Lucido.même,
Murat
MORT
donnent
qui
mais
LA
Stato
e Ministro
sua
330 à
LA
son
lui
et
entreprise
avait
commandait
que en
lui La
ce
qu'il
désertion
de
Courrand
Il
désespoir. dats.
C'était
dont
une
pas
sans
folie
lutte
à
la
contenait. avait se
fait
en
et
donna
cinq
cents
royaume le
souverain
général
autrichien
l'armée
nationale
lanza.
du
régimé
avait
pas
à
principaux
inscrire les
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destinait.
C'eût
par
suite
d'un
les
mains
de
ceschetti la
Filangieri
au
de
Calabre.
des
songé
à
confier
C'est faite de
complices les
de
plus
du
la
la
place
importantes
Il
aux il
les si,
de
Filangieri, naturel
fonctions
Fran-
et
préfecture
et
entre
tombés
au
minis-
le
duc
de
police,
Police,
dans
serait
il
pourvoir
Galvani
des
général
les
gravement
Pepe
peut-être
de
ne
auxquels
la
à
Casa-
il
Carascosa de
Salerne,
Medici.
à
par
Gennaro,
à
entourage,
étaient
général
au
ennemies
son
hommes
de
de
de
celui
lettre
mais
destinés
Fortunato
divisions
exception
noms
le
à
à l'établissement
royaume,
savons
son
préparé
compromettre
Nous
à
une
capituler
trait
documents
commandement
des
faudrait,
les
appeler
.d-'A.mbrosio,
et
des
Colletta
à l'intérieur,
Pouille
instances
ces
voulait
guerre,
mandement
les
noms
ennemis.
Corigliano
généraux
le
effet,
insuccès,
qu'il
de
en
été,
ses
dans
ceux
l'ex-roi
d'Ajaccio,
avait
dans
qu'il
bandes
de
qui
violemment
dans
départ
sac
dans
prenait
de
principal
Sur
imprimer.
renoncé
avait
le
constitutionnel fait
document,
obligée son
avant
dont
ce
avoir,
milieu
le
proclamation
qualifié été
pour au
la
et
pour
à
Natali
mer
la
fut
décida
rappelé
peuples,
avait
aussi,
décrets
.nombreux
ses
Blanchi, qui
à
prétendants,
restauré
avait
Murat
tère
de
se
ne
l'imprudence
jeter
Dans
les
ce
pourtant
de
Ajaccio.
tous
l'amour
par
de
exemplaires à
comme
partie
l'ordre
sol-
troupe,
Franceschetti,
décida
s'y
amer et
faible
Napoléon
toute
Il
renoncer.
3
suite
plus
Toutefois
que
représentassent
imprimer
disait,
de
le
aussi
bout.
fallut
sa
olbciers
une
à
beau-frère Il
dans
vingt-six
avec
entreprise.
y
nuit
le
à
entraîna
Murat
venir
n°
barque
soldats.
que
débarquer
que
ses
plongea plus
la
qu'il
à
dit
pouvait
lui
.l'amener de
de
son
Galvani
avait
l'Autriche
que
rencontra
Ettoré
restait
compagnie
abandonner et
lui
ne
l'asile
il
capitaine
répétant
PARIS
accepter
suivant,
jour
le
DE
allait
qui
Le
offert.
REVUE
et
Naples, Ottavi
au
liste chercher
que
les
comde
Abruzzes, cette
de
Murat.
administratives
la
qu'il les eût
LA
militaires
et
à et
royaume
ceux
MORT
DE
l'avaient
qui
33
à
encouragé
considérait
qu'il
MURAT
comme
ses
son
reconquérir les
partisans
plus
dévoués..
Une n'avait à
fois
décidé
plus
qu'à
corsaire
avait le
de
dès
,tions voir
hors
d'état
posé
dans
et
de
breux noliser Murat, et
fit
lui se
offrit
les
de
demanda
au
roi
de
lui
remettre
des
afin
de
ne
pas
être
alliés
refus
formel.
dence
de
seule
se
et
l'horizon
été
un
eut
Barbara,
lui
obéir,
Devant
cette
en coupable Franceschetti
il et
que,' la
nous
d'une
il
terre,
était. dit
Le qu'il
du
n'osa
objets corsaire
la
était
eaux voir
la
un
impru-
l'autre, à
reçu
par
les
sa
napoà
surgir
produire. sans
pas
l'avoir.
inextricable. un
jetant
d'œil
coup
forte
refu-
qu'on
nécessité
à
l'obligeait en
débarquerait l'ex-corsaire
ton
des
qui
dans
voix
puisque
Pizzo,
avait
situation et,
indignation,
légitime qu'il
colère
le
autorités.
les
aurait
y
temps.
impardonnable
une
s'écria
liste
qu'il
débarquerait
dans de
avec
communiquer
roi
et
répondit
à
ex-
nom-
gros
importante
il
ne
felouque
l'ancien
trouvait
qui
qu'il
le
une
moment
à
frémissement
sur
indigné de
alors
mettait
se
la
pour la
par
pièce
d'un
croiseur
déclara
la
qu'il
pouvait,
partir
demande, part
était
de
de
passeport
était
on
nécessaires
à
qu'on
royale
provisions affronter
entre-
déclara
avoir
s'embarquer,
sa
fit
prétendait
inquiété
de
alors
quelque
refus
Son
de
d'objecil
gondole
chambre
pareille
dessaisir
qu'il
Barbara
sait
C'eût
sauvegarde,
litaines
Il
d'une
surpris
soulevé
sur
le
lui dans
s'embarquer
de
l'an-
qu'il
auxquels
l'autorisa
moment
victime
il
la
pour
valet
de
Autriche,
vent
il
fort
son
par Au
de
où
écouté,
remettre
de
l'ordre
l'affaire
voyage;
que
donna
débarquement
en
et
en
jamais
le
coups
assez
l'avoir
d'un
n'avait
acheter
y
bâtiment
Murat,
1
agi
Pizzo,
pour
procurer.
s'était
d'aller
Il
au
après
la
aux
l'Adriatique.
un
Medici
-vivres,
résister
amis,
à
continuer
ni
eau
relâcher
livrer
question de
de
pas
Barbara
fut
ni
plus
faisait
Murat
Calabre,
Il
ne
à
Naples,
qu'il
Trieste.
pour
qu'il
l'impossibilité
n'avait
à
tenait
en
débarquer
résolution
Tant
promise.
pas
voile
cette
qui
royaume
ne
faire
mais
Barbara,
cien
à
personne. la
baissa
roi
était
si
lui
faire
aucune
impérieux, objection.
tête que
332
LA
Galvani tueuses sa
Son
écouté
en
restaient
« Ne
sans
débarquez
fidèles
air
se
»
Murât
respec-
de en
route
voyant
à haute
vous
les
voix
êtes
perdu.»
voulu
écouter
et
épaules
le
avait
l'entourage,
jamais
haussa
vers qui
disant
n'avez
cette
changer,
faire
débarquez
« Vous
plus
Charles,
leva
si vous
les
put
de
objections
fâché
serviteurs.
ne
chambre,
effet, Sire,
pas,
d'un
ajouta
timides
fit
l'ordre
de
valet. les
lui
rien
que
donna
qu'il
premier silence
qu'elles
le
et
PARIS
qu'on
mais
résolution
Pizzo.
vos
contraire,
représentations,
fois,
Il
au
prétend,
DE
REVUE
lui
tourna
dos. Il
ordonna
ensuite
uniforme. il
le
Voyant
lui
en
demanda
n'avait
qu'il
à
à
ce
que
officiers de
raison.
d'autre
d'humeur
observer
ses
maréchal
le
point
moment
tous
camp
Ce
général
vêtement,
le
ménager
n'était
de
pas
se
mettre
Natali
en
lui
une
tenue
lui
fait
raser,
le
répondu
n'était
qui
pour
grand
bourgeois,
ayant
roi,
personne,
en
fit
en
ce
durement
suivre
dans
son
expédition. Lui-même, bleu
à
trois
ses
et
Ce
à
bre Pizzo.
Avant
de
se
et
en
y cas
La
de ville
Le-rocher
à
sa
le
devancer,
son
bord,
super-
un
à
chapeau
cocarde
des
habit
nankin
pris la
comme
était
ornée
chiches.
pois
Un
ceinture.
heures
du
bâtiments
une
de
se
le
matin,
accostèrent aussitôt. Murat
à les
un
il
la
octo-
8
du
plage
Arrêtant voulut
avait
heure
à
de
peu
domié deux
ses
offi-
être
le
premier
ordre
à
Barbara
distance
événements
du et
être
de
portées la
avec
ensuite,
diriger
de
prêt
à lui
du
vers
felouque,
point
fusil
une
débarquement venir
aide
en
malheur. du
Pizzo
méridionale
flancs
forme
avait
dont
débarqua
pendant
attendre
partie
aux
deux
troupe
située
madrague pour
les
quitter
tenir
rivage
il
dix
de
un
terre.
prendre
de
et
endossé
pantalon
pendaient neuf
petite
un
noire,
gros
les.
voulaient
qui
soie
pistolets
que
La
ciers,
de
ganse
entre
I8I5,
et
avait
coiffure,
brillants
deux
fut
colonel
Comme
vingt-deux
sabre
la
bottes.
cornes,
de
à
de
épaulettes
à
posé
s'être
après
d'une gros s'avance
est du
bâtie
et
de dans
de
golfe
montagne, rocher
sur
forme la
mer
un
situé
promontoire
Elle
Sainte-Euphémie.
vient
finir
cubique, en
la
à une aux
dominant
dans s'étage
esplanade parois d'une
que
abruptes. centaine
LA
de
mètres
de
à
du
bastions
on
courbure
de
jouit la
Pizzo
au-dessous
de
cents
grande fut
accéléré,
lui,
ses
notre
de
ce
chemin
vers
le
tion
quatre
De
pieds
de
cette
montagne dont
parfait, l'autre. où
Marine,
de
Juste l'on
Un
pêcheurs.
la
toute
la
Briatico
la de
ci
de
lui de
aux
répondirent
ren-
chemin
cette
de à
plage
la
étaient
sur
chercha
de
par
cause.
Ceux
A.
garde-côtes tistes.
le
siens.
place de
intitulé
la
de
bande. c'est
« Vive
en
lui
à
Joachim
1 »
L'étonnement, ou
hostiles
que
l'ex-roi
adhérents
à
vain des
gagner
jour atten-.
petite
soldats.
fut
ne
aller
répondirent
entendre
du Grande
Pizzo
sa -et
pas
Grèce.
t.
devant
la
messe
en
courut
page
11g.
»
leur
t'ouvrage
mura-
troupes leur
de
le
suivi
eux, cria-t-il.
le
et
poste comme
corps, à
qu'ils
à
empruntée III,
des
Marine,
canonniers
quinze
ranger
roi?
la
,de
se
répondirent
est
porte
par
Joachim
cinq
la
l'uniforme
votre
que
à
occupé
encore
règlement..
description la
avec
malveillants
venaient.de
prétend
Cette
les
opposée
« Reconnaissez-vous
ceschetti
suivi
et
d'encourageant
Ce
garde
portaient
à
prescrivait
Elle
place.
dimanche
de
cris
à
« Vive
grande
avait
par
visages.
Derrière
poumons
un
fois
rares
paroles
la
hommes
préparaient
la
il -s'adressa
corps
qui Ces
les
de un
la
tête.
dos.
l'extrémité
trouvait
sur
sentiments
bonnes
le
ainsi
rien
poussés
auxquels
tournèrent
leurs
mouvements
n'eut
des
de
foule
quelques
vivats
peints
les
en
force
au
s'achemina,
troupe
marchait
à la
fit
là,
souvent,
plus
arriva
et
et
la
terrasse,
débarquement
si,
le
On
petite
Murat
C'était
la
qu'elle
peine
la
toute
monde. De
L'accueil
mant,
»
de
le
i.
à
embrasse
conduit
que
de
Joachim
marché.
se
et
trouve
longueur
églises
château
presque
extrémités
Pizzo.
criaient
fourmillait
se
aux
masures
quelques
On
superbe.
se
d'aspect
espagnole.
demi-cercle
terrasse,
mètres
gens roi
lui
des
pauvres
par
pas
et,
un
maisons
petit
les
par
place'.
-Ce
de
la
quelques
trois
tournant
une
occupe
contre
qui,
côtés
place,
domination vue
dessine
Monteleone,
le
la
trois
des
méchant
d'une
côte,
de
grande
un
de
333
baigné
d'une
falaise,
temps
esplanade,
de
la
MURAT
s'élèvent
autour
de
l'angle
est
esplanade,
serrées
misérable, et,
cette
DE
et
hauteur,
Sur
vagues.
MORT
des Fran-
reconnaissaient
M.
François
Lenor-
LA
334 et
lui
offrirent
dont.le le
leurs
roi
avait
qu'il
Pendant la
cause,
du
ne
de
restait
vidus
situation
atterré.
Tout
quement
le
deux
Pizzo dire.
jeunes
gens, de
vous
êtes
environné
vous
êtes
sur
vous
servirons
anciens
officiers,
tillerie.
Pour
vite,
Joachim
donna
aux
canonniers
de
troupe
se
pente
rapide
par
teleone.
On
jours;
n'avait
avait
à peine Au
leine.
en
Pour et
faire
monta
de
place où,
étaient savoir sur
s'ils une
la
quittez
un
alla la
de
ses l'arlui
jusqu'à
ville,
promesse
le
un
les
deux
course
roi
sa
chemin
douze
barque,
où
hors on
Ils vrai,
d'ha-
plantée
se
Murat
répondirent Joachim
il
allait
arrivèrent.
camarades.
Mon-
depuis
repos,
canonniers
en
à
s'arrêter
court
la
guides,
le
qui,
sur
plus
enjoint
conduit
qui
.dut
colline
au avoir
après
route
disaient petite
vous
s'éloigner
de
mouvoir,
leurs
nous
par
de
exercice
deux
temps;
commandait
par
que
après
Pizzo,
de
si
qu'à
pas
gagne
se
le
sauvé,
départ,
au
vite,
quittez
tenir.
du
aucun
marche où
demanda
suivaient.
si
moment
remettre
route
marcha
Monteleone,
répété
Précédée
on
Nul
à prendre,
plus
qui
avait
n'y
faveur?
Monteleone,
hors
popu-
de
Devuox
n'osa
gravir
lequel
pu
ou
la
à
fut
cheval
suivre. à
êtes
s'éloigner,
brus-
parti
perdez
conduit
lui
son
le
Sire,
Devuox,
l'ordre
mit
la
«
était
Comprit-il
sa
environs
ne
conseil
qu'il
le
indi-
Murat
en
sur
dirent
à
enfin,
rares
dépeint
soulever
vous
put
Il
hâte.
grande
avaient
des
capitaine
ne
rechargé
réalité.
hésitait
qui
envoyer il
petite
lui
décider
lui
Convaincu,
se
doute
sage le
d'ailleurs,
que,
à
guides
Ce
le
de
lui
qui
chemin
de
paysans
s'effondrait
effrayante
qu'il
et
sa
avaient
les
quelques
illusions
d'ennemis,
le
»
place.
une
prête
lui
et
menaçante.
ses
ceux
sans
ville
la
en
que
tournure
Tandis
à
Pizzo..
à
par
de
éloignés
de
comme
saurait
promettre
au
place
trahi
par
canonniers
promptement
troupe
une
faire
s'approchèrent
cette
petite
prenait
été
du
lation
leur
la
les
avaient
l'échafaudage
avait
qu'il
deux,
capitaine
enfermés,
s'étaient
pas
pour
de
que
nommé
gagner
étaient
s'y
et
de
parle
habitants
marché,
somme
n'appartenant
La
ne
au
autour
Les
et
venus
bêtes
leurs
été
à
vidée.
demeures
voisinage,
d'avoir
cherchait
s'était
leurs
regagné
ne
jadis.
Murat
place
PARIS
Condoleo
ahuri
servi
que
DE
services.
tout
sergent,
REVUE
qu'ils quitta
d'oliviers,
la qui
LA
se
trouvait
min
à l'on
que
des
droite.
canonniers,
lui
fit
observer
C'est
A
effet
s'était
peuple rant.
les
exploiter
fut
ce
baron
de
l'ex-roi.
Il
avait
était
avait
Trentacapilli où
d'argent tait
à
la
doute
bon
nombre
son
impulsion,
les
autres
suite
vue
de
était
il
répondit
flot
ce
le
de
et
province, le
manque met-
qu'il
d'élo-
et se
se
de
marins
trouvait
de
rapines.
les
uns
sans Sous
de
fusils,
la
pour-
à
lança
décida
rencontre pas
des contre
à
Aux être
à
la
«
paysans. ancien
des
à
il
soldats.
remettait vouloir
Ils immé-
pas
attendre
observations
de
de
l'autre
ses
côté
tournèrent
à
pas
prendre
voulaient
,ofi-
de
la
gauche, parti
bagarre. Quittant
parlementer.
votre
bientôt
ne
répétèrent
Monteleone
qu'à
même se
lui
les
côte,
obéi.
canonniers
qu'ils mêler
Ils
vite.
qui-s'entêtait
bouger.
les
ne
la
gravissait
et
s'il
arriva
clairement
se
plus
voire
voulait
moment,
se
qui au
quitter
assaillants
et
fuir
Murat,
qu'il
des
A
Murat
armez
de
beaucoup
il put
s'éloignait.pas,
de
marche.
l'ex-roi,
la
pas
on
du
nomination
pêcheurs
puis
dévoués,
refusa
montrant pour
comme
de
partisans
canonniers,
route.
attendre
retard
laquelle
furieuse
ne
enfin en
Le
y
par
compagnons
bâtons,
roi
s'il
menacèrent
diatement
à
le
des
ciers,
de
horde
cette
perdu
trouverait
les
anciens
s'arma
ou
supplièrent
qu'il
le
faux
dans
chef
l'ennemi.
A la guides
chacun de
de
ses
et
Ce
pour
cette
long
de
chef
dire
la
fallut
foule
forbans
de
lui
un
commandant
mais
le
vocifé-
au
concitoyens,
ne
cette
de
physionomie
Pizzo
bas
qui,
commandant ses
le
en
trouvé
de
trouver,. Il
enflammer
pour
au
nomination
à
poste.
et
les
que et
gendarmerie
général
se
Pizzo,
l'animaient.
citérieure,
expliqué
son
armés
derrière
n'eût
qui
envoyé sa
prétendait
rejoindre
quence à
il
été
du
reste
hurlant
s'il
là,
de
Calabre
même
ignorée
le
paysans
le
en
violents
poche
la
dans
gendarmerie
rues
capitaine
en
en effet,
soulevée
quitté
tenu
avait
Koller,
che-
Franceschetti
des
s'était
avaient-ils
fût-il
le
près.
sentiments
Trentacapilli,
eux
parmi
dans-les
s'en
tout
lentement
population
répandu
Peut-être
pour
la
aperçut,
bien
de
ceux-ci
peine
Il
avait
y
335
découvrait
on
parcourir.
suivaient
les
MURAT
point,
montaient
qu'il
qu'en
fugitifs.
ce
de
qui
d'autres
que
De
venait
DE.
MORT
les
Mes enfants,
leur
souverain;
je
il s'avança
siens, dit-il, ne
suis
ne pas
vous dé-
LA
336
dans
barqué
les
Calabres
demander
que
des
continuer
mon
famille
si
la
du
place le
que
Ferdinand
roi
à celui
avoir il
rendit il
d'un
Murat
de
chetti
la
il
au
de
que, «
Je
de
capitaine lflurat
fut
suis,
ses
lui
les
à
premier
compagnons
les
de
bandes Joachim
cette
per-
observations son
de
armée
ses
était
in-
sur
restaient
à
en
le
et
la
cervelle
se
dégager
allez
à
leur
gendar-
me et
le
menaça
sa
rejoindre mais
tour,
suivre
s'ensuivit.
bagarre
à
demanda
de
Joachim
et
au
Frances-
il lui
une
pas
place
respect.
vous
devant
ses
leur
capitaine
vous,
jeta
Natali
précipitèrent
paysans
réussirent
y
conduire
chef
de Trentacapilli,
se
le
Franceschetti,
soldats
roi
brûler
à
Dans
de
répondit-il,
général
le
se
le
Le
»
Armand
s'approchant
Trentacapilli Pizzo.
ennemis.
tenir
pour
d'arriver,
l'honneur
ses
et
sur
muratiste.
colonel
à
s'offrit
Aux
ma
passeports
venait
officiers.
chemin.
qu'un
des
l'ancien
anciens
pour
m'expliquer
qui
l'armée
veux
rejoindre
j'ai
et
de
le
milieu
colline
était.
merie
portait
sur
officiers
raconte
qui
que
chambre
les
que
haut
chemin
contraire
au de
valet
respecter.
le
répondit
acte
était
doit
sur
ses
dois
que
Trentacapilli,
de
je de
ne
je
Monteleone
temps
que
mal;
de
appris
colonels
à un
se
compagnons,
tandis
des
affaire
suasion,
son
entrer
du
où
le
auriez
L'uniforme
ressemblait
et
Trieste
lui-même
à
faire
autorités
donné
prétend
à Monteleone.
capable
aux
vous
PARIS
vous
jusqu'à
Pizzo,
le
crut
secours
m'eussiez
Franceschetti engagea
DE
pour
voyage
vous
roi
REVUE
troupe;
non
sans
peine. Chacun
des
nous
venons
que met
dans
discours le
«
Pour
ne
Medici,
qui
ne
cœur les
les
fait
mérite
laisser
armes
concitoyen
son la
pas
avait à
gens à la
du main.
et
victime sa
C'était
en
troupe
Franceschetti de
qu'il
llurat
envelopper
Pizzo,
sert
qui
que
petit ce fut
feu
en
lui
fidèlement
»
divisé
était,
qu'il
dit
à faire
prêt
mort. la
un
et
prononcé,
fait
Condoleo
Trentacapilli
devoir
échapper
pas
différente.
Franceschetti
Trentacapilli
dé
d'attaquer périr
ne
version
du
donne,
possédons
pas
arrêta qui
tardèrent
homme
son
certainement
Celui
pas
une
raconter,
qui
souverain
nous
que
de
n'a
lui-même
disant
à
de
bouche
qu'il
roi
son
la
Mémoires
promise
trois
bandes,
les
seul
la parti
siens. à
proposa
gagner le
et
avait
montagne sage.
En
Joachim ou L'ancien
de
LA
lieutenant dit
de
aux
barquement
de
tirer.
coûte
la
balles Joachim
fut
de
l'ennemi.
Tous
on
l'arracha
des
des
prix
plus fois
Une
une
course
folle
rivage
de
sa
échapper
des
souci rochers
Avec
la été
tout
y
Joachim
Une
barque
ses
compagnons réussir.
de
rangs en
la
plus
qui
cette
la
à
se
à
on
se
Novembre
mêlée.
i8g5.
de
et
il
mettre
peine
la fit
lui
assaillants, jusqu'à
en
tomber.
Aus-
tandis Ils
ne
efforts
que purent
désespérés,
assaillants. hideuse
et
révoltante
Une
foule
furieuse, de qui
tendaient
leurs
comment
Murat
le lieutenant
Pasqualini,
valet
de
sauvadans
ne
les
se
femmes,
Franceschetti,
son
Murat
plage.
l'eau.
général
et
il
armée,
monta,
à
hommes qui
Le
son
sauvé.
respect
le
beaucoup
quelques
à
Giovannini
des
comptait
etBiciani, et
la
à décrire.
comprend
Franceschi
flot
défendre
été
sur
sable où
scène
ces
horrible
le
s'épuisaient
hésite
sur
trouvait
sur
à
une
eût
en
temps
l'embarcation
le
roi
à
bord.
séchait
par
resté
les
les
Bar-
fût
complètement quelque
et
trouver
était
gondole
sans
cultures
s'il
large
les
que
haleine,
y
le
laisser
pas
balles
les
l'ordre;
dont
qu'ils
plume
Lanfranchi
15
reçu
poursuite
veut
espéraient le
le
gagner
leur
perdre
bois,
Ils
ensablée
gagna
alors
On
taines
filet
laquelle
rendre. dans
demi
à
les
arriver
à
courant
pris
à
de
d'une
que,
à
grêle
alors
fuir;
qu'à
ne
au
assaillants.
Tandis
qui
une
en
plus
secours parvint
des
lancèrent
fauve
sous
l'on
flot
pouvoir
son
cherchaient
se
part.
au
et
l'homme.
vaincus
cherchaient
vociférant
même
à
bête
tenir
avait
n'y
d'arrêter
pût
passa
que
le
il
avait
les
rejoints
se
percer
avait
Pendant
furent
à
mer.
quatre
de
il
relevé,
saisir
les
toute
à
le
dé-
tirer,
de
précipitèrent
défen-
mon
de
tomber
allaient
travers
sinon
un
courut,
gerie
côte
la
de
moins
que
Il
la
en
possible,
au
ils
fut
à
il
pièce
sitôt
y
Ce
misérable
comme
poste,
eût
la
bordaient le
se
les
de
obstacles,
mais
bara,
ce
proie.
qui
de
chasse
descéndirent
fugitifs
moment
vainqueurs
l'acharnement
avec
faute
au
mêlée,
les
»
enserrée
désespérée,
mer,
sujets.
troupe
véritable
et la
la
que
pas
Il
sang.
dit-il,
petite
dangers
de
mes
faisaient
qui
grands
le
pas,
de
officiers
mains
337
répandre
veux
ne
se
la
ses
hors
commença
ne
nouveau
de
de
à aucun
vie
sur
pleuvaient
MURAT
peur
« Je
eux,
paysans,
DE
eut
Napoléon
siens
Les
MORT
rua
cherchaient épées
chambre
ne
se
pour périt
pas
les les
capi-
sergents Armand 8
.338
LA
blessés
furent
Le
pieds. n'ayant
le
de ses
lui
arracher
.à
cruauté
,«
de
mère
Tu
et
ce
,où
fier
la
mort
son
hideuse
à
me
,ne
vivant mesures, à
un
1ui
meunier, faire
qui
d'or.
pleine
appels
désespérés
lui
accouru, nature
se
ennemi
en
révolta
sans
un
d'Espagne.
Avant
Napoléon
des.plus
était
bres,
ne
jeté
en prison.
Espagne, reprendre
dut
ses
la
de
lui,
main
une ces
malgré déchiré
péri
Espagnol,
dont
la
immoler
tu
demanda
que,
mais
roi
que
sur
dans
généreuse
lâchement
un
le
persécuté
revint
de
par d'un de
fonctions
Pizzo.
trône
pris
parti
il
épreuves, la chute Il
de exerçait
Deuxféodal
confisquées contre
de
les point à
parvint
frère Calaêtre. en,
passer en 18.14,
l'empereur, dans
par
son
ne
,de VII
des
gouvernait
français
duc
domaine
furent
qui
général
après au
eut
le
Ferdinand
magnifique
Colletta
dures
aussitôt
au
Elles duc
Pizzo
de
Joseph
un
l'administrateur
du
partisans
gouverneur. 1808
Après
autour
possédait
formaient le
était
nom,
.dévoués
qu'à.l'amitié
et
faut
levé
d'un
laisser
votre
qu'il
l'intervention
son
l'avènement
lorsqu'en Alcalà,
Joseph.
à
il eût
de
était
que
propriétés
Alcal.à
dont
prisonnier,
bourreaux,
combattre,
pensée
tel
propriétés
ces
le
de
peur
défense.
l'lnfantado,
Siciles,
de ses
de
l'entendit
« Il
certain
presque
moment
eut
votre
bras
du
champs
livrer
mettant
sans
pour
Alcalà,
vastes
est
lui
le
dire
On
suppliante
avait
en
pitié,
à la
voix
doute
délire
aussi,
Francesco des
Il
à, la
foule
cette
d'une
vie,
de
répondre
de
frappant
un
il
suis
Des
Au
vint
tant
à.me
de
chercha
mégère,
»
voué.
plus
autres
.sans
sur
On
figure.
le
fils. il
je
de
rivalisant
en
trois
assez
coups
qu'une
hurlait
vie
Ce
poing.
la
lui,
raconte
semblait
Assez,
fut
de:la
grâce
bourse
par
Ce
»
tyran.
il
les
à
ses
face.
on
l'abandonner
gagnerez
et
»,
de
cheveux,
sur
sa
à
à
qui,
la
ou
cracha
tué
joué
à
coups
Nunziante,
laquelle
vous
mort
que
lui
m'as
courage
«
pas,
à
On
de
avait
assassins
tuez
tu
misérable
les
doute,
neveu
qui
sentit
à ses
crier
et
un
bâton
ou
on
sans
du
soldat,
.batailles,
de
arracha
expira
soulier
s'acharnèrent
brigands
Masdea
père
coups pied
Pernice par
son
agresseurs.
liberté
roi
lança
moustaches,
lâches
de
parles
lui
on
furies,
ses
au
de
coups
vêtements,
avec
une
à
véritables
.femmes,
a
qui
qui
capitaine
lui
frapperait,
PARIS
porté
arme,
les
DE
Le
fut
coup
fusil,
déchira
côtés.
d'autre
qui
crosse
ses
premier pas
à
fut
à
REVUE
le
pays
une.
LA
et légitime
grande Cette 'Vaincu la
dans
il
se
qui
il
avaient
meurtre le
l'ordre
droit
de
il
laire,
de
enragés
la
rencontra
à
part
furent amené la
après
de
Avant
la
de
forgeron
le et
cochons il
par
lumière. trouva tenir ne
commandant. en était
des
dèbout, pouvaient
capitaine
de
l'on
qui
avait
s'étaient
déjà rendus
la
de
faire
tellement
les
sur
si
l'enferma
d'un
mouvoir..Huit
ballot
étroit
qu'à, les les
bril-
vingt-deux arrachés
un
par
de avec
ses
com-
étable
l'occuet
gluant
un
à
soupirail un
d'air
peu du
l'exception autres les étaient
à
prison-
qui
fumier
contre
depuis
les
immondes
eux
tous-ses
une
entasser
vingt-sept
d'entre
par
Inutilisé
seul
uns
la
à
délivrés
en
murs
donnait
pressés
un
dépouillé
d'y bêtes
les
exem-
gendarmerie.
On
y
asseoir,
jeté
transformé
couvert
courait,
un
forteresse.
été
sortir
lui
été
été
vieille
fit
sur
les
eut
Avant
tout
était
se
de
prisonniers
passeports et
avaient
immondices
L'espace moyen
il
route,
Trentacapilli
avait'
lui
avait
faire
vermine
dégoûtante obstrué
le
sol
empèché
prison,
cocarde
valeurs, de
cachot
fallut Le
paient.
ses
ce par
moins
avait
qui
les
prince
cachot
le
longtemps,
des En
où
trouva on
La
au
remit
toutes
dans
pagnons
On
à Ajaccio;
malheureux
de
en
dont
attachés
les
qui
lorsque
roi.
l'argent.
y étaient
qui
papiers
le
préparés
et
Metternich
popu-
ville.
les
château,
monde
ce
proclamation
décrets
les
niers,
tout
fouiller
de
plaire
la
et
de
fureur
milieu
remit
arrière
en
appar-
roi.
mettre
soigneusement
vieux
au
seul
la
peu au
il lui
ce
que
perturbateur
corpulence
et
restés
du
fuite
sa
poursuite,
soldats
un
vers
et
qui
d'un
calmer
s'achemina
conduits
les
lants
il
vie
furieux
l'honneur
personne à
jetant
ces
tout
sa
compagnons
que
la
aussitôt
à
ses
Trentacapilli,
prendre
mer,
et
la
de
Se a
Ferdinand,
par
et
horde
de
l'illustre
assassins.
prisonnier
s'emparant
caractère.
sauver
pour ses
son
comprendre
leur
réussi
Nlurat
plaça
faire
disposer
Ayant
public.
de
milieu
désapprouvé
de
à profit
à
en
33g
à l'honorabilité
tuant
acquis
serait
tenait
au
en
1\IUIÜT
mettre
parvint
perdraient
qu'ils
la
sut
débattait
mêlée,
qu'ils
due
influence
influence,
DE
MORT
roi
une demi et qu'on
durent autres
de
se qu'ils
grièvement
LA
340
blessés.
Les
Aux
de
d'être
goisse
de
les
parmi
le
vante. de tant
Masdea
ses
vainqueurs Tout
vaincus, si
sa
donc
mieux
les
me
Je mettre
duc
de en
état
quel
vait
pas
son
uniforme
débris
uns
La
soif
les
et
la
un
envoyai
deux
draps
de
la
bière
et
l'eau
fraîche.
»
s'attendant
Ne
ils
arrivé, car
rage, dant
les ils
tour
nelle » m'écouter,
le
—
Je
prie j'ai
ces
un
de
fit
qu'il
fit
la
un que
n'ade
autres des
que
des
à la
pieds Je
parler.
bandages,
les
ainsi
les plus
ce
se
moitié
mêlée
et ne
vis
Murat
blessés
après
ils était
Je
de
des
et qui
vue.
sang
les
qu'on
Cela
et
je
du
vin,
leur
leur
qui
de
était cou-
reprirent
massacrât.
fis
Enten-
s'imaginèrent
la
que
grand
château
Murat
dit
à
et une
que senti-
cordonnier
apprenti
mots
la
reconnaissance
Monsieur deux
ce
le
prisonniers
n'avaient
secours
prison
gouverneur.
était
qui
autres
faire
pour
encore
de
écrivit
manquait
dans
gouverneur,
sert
qui
saurait
gendarmerie à
lui
soigner
avec
reçurent
m'appelait
étais
j'en
à
pas
pour
ne
de
aux
empêchaient
pour lit
faveur.
malheureux.
couverts les
craignaient
qu'on
petite
les
chirurgien
il
déchiré
étaient
appeler
de
les
mais
fatigue
leur
qu'il
détails
garder
étaient
et
nourri-
unanimes
lettre
de
faisant
été
souci
sans
on
penser
capitaine
chemise,
d'uniformes
tête.
en
la
nul
en sont
les
pour
le
avait
en
de
terrible
jour
blessures,
qui
les
ce
déplorable de
reçu
étaient
là
obtenir
et
conduite
l'Infantado
avec
rester
secours
à
château
d'accord de
chargea dans
d'emprunter
au
cessait Pour-
prenaient
Masdea
généreuse
que
retournai
il ne
pu
intervenu
Condoleo,
prisonniers
ne
sans
nouveau
et
au
pas
ans
d'épou-
résignation.
même
laissés
de
compatissante
surlendemain
dix
frémir et
les
régnait
que,
calme
à la
ceux-ci
triomphe,
fût
faire
dont qui
dit
encore
engager
n'avait
eussent
ne
hurlante
nous
son
l'an-
joignait
le silence
faisait
affreux.
d'eau.
Galvani,
louer
«
verre
se
foule
repris
les
qu'il
leur
Alcalà
cette
le
avait
de
dit
qu'ils
Franceschetti,
pour
et
un de
infect
seules
scène il
gens
nous
fiers
cette
furent
captivité et
à
livrés
Murat,
ses
sombre
troublaient
de à
la
Franceschetti
souvenir
consoler
ture
nouveau
PARIS
de
cachot
prisonniers.
Quant
des
ce
menaçantes
imprécations
après,
moments
premiers
horreurs
DE
REVUE
le à
lui
Gouverneur dire.
de
vouloir
bien
LA
» Je
fus
à
la
et
d'attenter
lace
de
porte
infinie
gratitude
MORT
DE
la
prison.
m'avoir
à
MURAT
3cil
m'avoir
Après
recommandé
sa
vie
et
le
Gouverneur,
à
la
d'empêcher de
celle
ses
sa
exprimé
il
gens,
'popudit
me
en
français Monsieur
» m'a
enfermé
le le
garder
y
dans
une
lui
prison
capitaine
»
Général autorité
du
réside
ici
en
qualité
lence
le
duc
de le
c'était
que
rer celle
où
cette
tout
Entre
dans
Je
fis
un
je
fâché),
des
à les
à
qui
ce
qui
que
le
général dis-
les
prendra
votre sont
critiques les
soigner
assu-
prison
regarde
moments
système
vous
arrivera
Calabres,
quant
Excel-
le
d'autre
je
parce
puis
je
soir
pas et
Son
que
pas
Ce
suis
gouverneur
avant
a
ne
je
de
m'appelle
n'y
présence
espagnol
mais
trouvez.
penser
en
particulier
portais
tranquille,
domestique.
général
il
tour,
faut
arriva
temps et
préparé
et
air
passer
blessés
et
à
vie, passés,
restaurer
monde.
le
avais
d'un
mon
pour
faire
me
suivants,
juridiction;
vous
il
maintenant
»
que toute
être
pouvez
tête
On
convenables
positions vous
termes
suis
commandant
Nunziante,
les
l'Infantado.
vous
avec
où
convenable
de
supplie
d'administrateur
ôté
dans
que,
la je
titre
m'eût
français
baissa pays,
vous
lieu
ce
que
soit
décente
plus dans
(il
paraît-il
gendarmerie Je
répondis
dudit
une
Joachim
autre
Je
»
de
capitaine
roi
vous
le
un
mon
distribution
habit
chemises,
de
drap
délicieux servir
pour et
effets,
convenable
vêtements,
domestique
des
assez
repas
différents
nombre
entrer
un
dis
je
à
le
que
lui
je
mouchoirs, bleu
Murat.
pour
repas
et
qui
regardait
Joachim
faire
la en
silence »
Général,
vous sera
j'ai
agréable;
robe,
et
chose
vous
»
crois
je
le
retourna
me
vos
donné
la
me
vers
sans
suis
frappe.
plus
le
dire
de
partie
mais
s'il
vous
lequel
vous
attention
petite
grande tout,
dans
ma
garde-
manque
quelque
dire.
sa
les
moi,
plus à
l'état cette
gens,
pensé
alors
mur
Je
»
que
avoir
pouvez
Couvrant
contre
qui
ainsi
trouvez,
attendu
que,
j'espère
avec
figure une
larmes touché
parole, aux de
ses puis
yeux, vos
après et
paroles
il
mains,
il
un me dit que
s'appuya
instant en du
il
français malheur
se
LA
342,
il continua
» Et
en
rompis »
ne
de
donné
l'ennemi
raconter
dire
les
détail
les
la
de
portées
écoulés
espagnole
vous
avez
l'occasion
vous
vous,
pour
du
et
mât,
pourrez
du
duc
de
domestique.
avec
une
lunette;
il fut
impossible
échangées
entre
.Cecconi,
une
voyant demanda
une
chaloupes donna
ordre
terre.
,Un
canon,
dont
gondole'
et
pour
de.
de
rames
de
qui
le
se
dirigèrent
poursuivirent
de
la
gonsur
passa au
la. haut
conversant rien
en,
comprendre
serviteur.
lui
deux
vers
répondit
fort
deux de
moments sur
armer
des
de
distance
deux
de on
la vit
bâtiments coucher
jusqu'au
la. de
coups
après, les
il
et
s'éloigner
lira peu
que
bâtiments,
pour
à de
terre.
Cecconi
venaient
qui
rames le
à
précipitamment
les
peu
les
de et
gens
de
tirés
deux
deux.
s'éfaient
celui-ci
Barbara
passait.
tombèrent
qui et
tous
maître
ne
sûreté,
monter
nous à
remorquant
descendre
felouque
chaloupes
fit
partir
reçu,
patron
l'équipage
après,
boulets la
en
fit
heure,
feu
au
poursuivre
d'heure
les
le
force
faire
quart
à
se
courtières
de
en
mais,
qui
quantité
d'heure
Il
foule
grande
deux de
ce
quarts
plus
qu'il trouvés
avait
une
rames,
être
son
Il
l'ordre
de
Pizzo,
Nunziante.
général
coups,
aussitôt
racontait
qu'il
pendant
Trois
pour
courrier
Barbara
force
du
s'attri-
documents
du
des
et
populace
un
par
il
lequel
l'arrestation
la
tenir,
avec
paroles
de
Tren-
vaincus,
dans
l'arrivée
se
aux
importants
pendant
à
rivage
maltais,
plage,
tout
rivage.
lui-même,
felouque
le
donna
du
s'éloigner
les
entendit
corsaire
soins
rapport
de
tous
de
qu'on
L'ancien
force
générosité
il me
représentant
mérite
attendre
ce
fusil
un le
expédia
l'ordre
dit,
sortir
la jour
ses
hâte
joignit
devenu
l'avons
c'était
remerciements,
d'un
exploits
sans
Qu'était
aux
Je l'ülter-
dé
eues
j'ai
reçues
tout
et
Naples,
patois
un
prodiguait à
y
Joachim
du
si
que
honteux
Il
glorifiait.
à
mais
naturellement,
dole,
de
preuve
avez
rédigeait
pas
sorte
une
qu'Alcalà
tacapilli
pour
remerciements.
»
Pendant
sur
aucune
attentions
vous
l'Infantado.
en
ses
vaincu,
les
que
buait;
prodiguer
demande
d'avoir
envers
la
à me
PARIS
distant
Je
suffit
DE
REVUE
du.
soleil. Tel
est
le
récit
du
patron
Cecconi,
écrit
trois
ans
après'
LA
l'événement
1.
M.
et
Gasparri
de
Mattia
restait
et
les
de
Quoi station
en
Gado,
de
auprès
un
eut,
le
d'après
et
Barbara. Il
est
baron
de
Koller, et
sentaient
8
Murat de
se
rappelle
l'on procurer,
en
admettre
qu'il
ce
devait
française,
Macirone
composait
des
informer
Pizzo
vers
i.'Franceschetti,
les
de
ne la de
venaient
deux
p.'
heures
I70
et
s'accomplir. de
suiv.
l'après-midi
que
l'ex-roi
trois eu
repréMattia du'
sa
millions.
de
avait
Si à
peine on
besoin, en
gondole,
la
d'après le
Paris;
se doit'
argent police' se
reste
Naples.
perdirent
province
le-
interrogatoire
de
de
cor-'
D'après
que,
apportés
emportés
du
qui
francs
avait
diamants
de
trahi:
raconta
par
avait
bord
mille
lui
l'intendant
événements rent
cent
deux
autorités
à
avoir
désespoir
d'après
Naples,
il
il
l'anciem
volé
dont
à'
bâtiments,
Toujours
avait
ressources
le
fut
qu'elle
odieusement
son
Joachim
les
Corse,
les
lui
sur
d'amer
francs.
dans
Rochetta,
voyant
deux
d'Ajaccio
Barbara
que
ses
à
de
la
la
couler.
dire.
retour
plaignit,
de
cap
s'appropria
le
millions
combien
monnayé,
Les
de
emportés
se
chaloupe
était
que
de
six
une
moment
qu'il
butin
difficile
de
plus
octobre,
le
bijoux
Girolamo'
dès
de
un
front,
Carabelli,
les
Nunziante,
le
fut
bien
fuite
Koller,
frappant
Quel
saire
l'argent
de
la
l'Infantado.
D.
chaloupe, la
parle'
de
se
faillit
qui
lui'
qui
commandant
frégate
du
arres-
ne
de
Barbara
eaux
la
Murat
baron se
en
s'écria,
par
à
de
sur
canon
apprit
Lorsqu'on
de
lettres'
son
Alcalà
duc le
capitaine
lés
fortune
».
au
par1
commandées
« petite
l'ex-corsaire,
.tira
de
coup
Gasparri,
les
et
après
famille
M.
mais
rejoint,
sa
lettres
dans
Briatico
la
poursuite
l'atteignit
d'être
portée,
la
Koller
la gondole
ses
le
Pizzo, à
de aussitôt
de
d'après
du
baron
se trouvait
dans
recueillis
rejoindre
ressources
soit,
qui
faire
laquelle
envoya
coursière,
le
presque
de
3ft3'
MURAT
renseignements
Murat,
incident
navale
point
par
seules
cet
qu'il
del
confirmés
sur
Barbara,
pas
les
Alcalà
supplia
DE
D'après
Nunziante,
tation, par
MORT
de
pas et
les
chefs Leurs à
temps
pour
militaires lettres Monteleone,
des parvinqui
344
LA
distant
n'est ce
même
nous
du baron
la le
d'un
Cet
grecque. du
soir
et
Le
se
leone.
A
officiel
de
de
la son
son
la
dans
la
Calabre.
avoir
avec à
Nunziante
Pizzo. faut
S'il
est
Pizzo
l'ex-roi
que
de
l'obligation Quoi prévenu en
soit
de
et
mer
sur
Murat
tout lui
D'après
en
le que
marche
neveu le
forces
sur
de 10,
les tout
Nunziante, pour
le
pour
l'informer
La
ce
Medici
n'écrivit des
la
projets
il
ses
ennemis
de.
guerre1. avait de
présence
de
à son
le
au
besoin
public, par
l'arrestation
de Après tant
monde,
oncle
Murât.
été
Murat
dans
l'après-midi. de
ne
et la
qui
de
de
7, et
l'espérance
à
porter
avait
qu'il
disposition.
conseil
nouvelle heures
quatre
au
à sa
dans
supposait les
monde le
général,
de lui
qu'on
menacé.
point
parvint
mis
n'arriva
ses
un
question,
particulières
projets
concentré
avait
cette
adressé
pas
dès
ainsi
par
à
Trentacapilli
Murat
éviterait
et
Salerne
du
laisser
pour
ministre,
de ait
aérien
dit
vigilance
côte,
arrivée
avec
prises
le
le
d'envoyer
4
précise
choisi
point
n'en
préférait
et
direction
de
la
serait
le
depuis
redoublé de
Murat,
Pourtant,
comment
pas
condamner
lettres
des
le
télégraphe
massacré faire
des
par
Corse
i.
en
qu'il
aux
de
avis
Jablonowski
était
long
qu'il
seuls
le
Pizzo
lettre le
projets Pizzo.
les
Monte-
aucun
sa
prince
enjoindre
avait
serait
et
avoir
sa
de
reçu
du
confidentielles,
à conclure
du
le
le
5,
heures
dans
chef
connaissait
le
rapport
le
qu'il
amené
populace
avoir
écrit
oublier
pas
On
eût
des
Joachim
comprend
lui
ordres
six
milles
n'avait
police
aussi, que
pour
les
en
destination
de
dépêches
les
d'origine
vers
quatorze il
la
courriers
des
à
en
ne
sous
que
sans
partir
Stratti,
l'informant
18,
son
des
expédié
une
octobre,
savait
On dans
Reggio,
8
flottille
du
dépêche
prétend
Tropea,
Medici,
Elle
débarquement.
qui
qui
de
de
sa
à
d'Ajaccio
rapport
aussitôt
faire
commandait
gouvernement
l'appareillage sur
du
départ
le
d'après
date
agents
prisonniers. qui
trouvait
Koller
s'entendit pour
Pizzo
de
principaux
capitaine
au
des
garde
des
régulières
le
Nunziante,
général
Calabres,
et
la
L'intendant,
baron
Murat,
troupes
n'arriva
du
province
confiance,
officier
prit
de
milles.
un
contre
hommes de
été
la
six
lettres
ayant
commandant
officier
à
les
ourdie
quarante
PARIS
cinq
que
comme
général
retard
DE
de
que
Petroni,
machination
avec
le
Pizzo
représentent
de
REVUE
que
le
8
une
en
lettre
LA MORT DE MURAT infanterie et
major les
se
huit
sion la
réaction
homme
de il
bon,
l'armée
Murat
ne
mandant
en
chef
la
dans
le
tout
le
avait
joué pas
avait
toujours
qu'il
considérait
tacapilli
de
l'arrestation
vu
en
préalablement
gardé sur
soutenu des
i.
Travalli,
2.
Palermo,
des
capitaine
par
Medici, que
et
sur
le
pages
20.
p. Vita
e fatti
di
Nunziante,
p.
a4.
va
sans
dire,
Le
rôle
qu'il guerre
général,
prisonnier
Tren-
son
chef
les
im-
sans
lui
Naples
et
qui
2.
par
royal
qu'Alexandre
compte
assassins
à
sans
même
faire
peu
d'impres-
était
bien
faire
sûr
à ce
envoyé à
présence
auxiliaires
expédié
intérêt
com-
dernière
reçu
peut-être
avait
la
dangereux
qui
Pizzo, lui
noter,
du
durent
digne.
rendre
la
connaissance
avait
était
les
au
Joachim
gendarmerie, qui
en
cela
mal
de
commandement
lui
des
chef dans
et
de
et
reproches
celui-ci
émouvantes
au
assez
donné
de
à
bienveillance
été
de Bentinck.
arrivant
pendant
d'avoir
Ces
le
les
avoir
lord
Il
ces
de
dernière
civil
citérieure
œil
car-
Napoléon,
en
détail
voleurs
trouvés
copie.
documents Dans
comme
durement
documents
sion
mauvais
de
qu'en
la
la
réorganisation
commissaire
bandes
un
Bour-
du
commandant
de
d'un
la
s'attribuant,
attirer
donc
portants
avoir
lui
pour
reprocha
avoir
de
de
cette
éloges
Calabre
et
dans
de
nomination
en
soldat
l'avant-garde
s'empressa
matin
chef
paraît
lui
qui
fait
la
misœuvres
maison
vice-royauté.
la
du
comme
n'était
sur
pénible
drapeaux
à
dont,
capitaine
mérite
état-
arriva
hautes
Pendant
étonnement
dans
événements
à
nommé
de
ignorait
Le
pays.
ses
les
et
la
troupes
mérité été
et
vaillant à
I8I4.
Trentacapilli
gendarmerie
triste
un
1798,
à
sorte
sans
pas trouva
son
il
des
la fois
les
territoriale une
la
contribué
avait
et
y
où
Pizzo,
sous
1806
il avait
fut
Nunziante
à
contre
de
C'était
Ce
avec
l'exécuteur
en
beaucoup
division
le
dévoué
Rome
1799,
avait
Calabres.
des
de
restauration, 5e
et
combattu
sicilienne
la
roi
Profondément
en
il
cheval
incomber
était
toujours
de
période,
de
d'un
cœur.
et
Joseph
vers
allait
qui
légitimiste,
Ruffo
la
à
expédition
dinal
à
soir.
geôlier
avait
funeste
A
du
le
monta
rapidement
Nunziante,
d'être
de
dirigea
heures
Vito
il
artillerie,
qu'en
345
en
d'être
ministre
disparaître.
Dumas
a
consa-
346
LA
crées
à 'là
à
brillante
sa
altière
la
Il
à
fiévreusement
au
quant était
Pizzo
tenant
le
tenu
le
inême
« «
après
Murât
fut
tous
On
voulut
qué,
lui
et
dans
à
de
peu
temps
dans
Nundébar-
couronne il
qui
s'était
mis il
ce
en
avait
récit
le
i
d'un
octobre,
récit et
Il
debout
était
le
écrite
général
que ici
le
son
procureur et
géné-
tout
confus. Il
interrogatoire.
je
pour
de
vous
un
subir
voulez
être
s'y
interro-
renseigné,
Corse,
et,
brillants
il
j'y
en telle
une
me
vivres, aux
Cotrone
où
je
et finalement arrivé
m'a
ici
et
toutè
C'est
la
je
me et
somme
que
ce
motif,
suis
décidé
me
rendre'
commandant acheter
comptais
de et
bâti-
petits
pour
général
dépouillé.
jours,
le voyage
m'embarquer
et
Trieste.
quelques deux
que
pour à
continuer
aujourd'hui
maltraité
a
autorités
du
obtenir
d'Ajac-
trouve
y
d'eau.
voie
Réponse
passeport
mes de
de
se Il
que
présenter
pour
un
qui
route.
débar-
parler,
proprement
famille
avait
possédait.
alliées,
ma
manquais
suis on
à
puissances
mis
il
pourquoi
l'impossibilité
gagner
Je
venait,
tempête
bâtiments,
côtés;
de
dignité
ressources
me
Monteleone
Trieste.
ma
il
avait
particulier,
deux
vingt-cinq
une
lettre
à
à
de
je
mis
à
tous
avec
rencontre
quelles
sein
furent
l'autorisation
de
le
une
débarquer
pour
le table.
des
là,
parce
lement
la
par
ensuite
cramponnent
qu'en
où
tout'
pas
Franceschetti,
une
quoi
but,
assailli
aussi
l'atti-
antiques
rencontre
première
d'où
de
rendre
en
d'après
pas sur
viens obtenu
l'un,
que,
fin
l'eut
fièrement
régulièrement
son
ayant
ments
ne se
guêpier
vérité
temps
braves
plus
Voici
à une
demanda
Je
été
il
la
la
écrit.
était
quel
y a
attitude,
du
dans
convient
par
»
des
tirer
devant
assis
ne
répondrai On
à
revendiquer
cette
amené
dites-moi
gatoire
»
de
cours
disant Il
»
souci
première
l'événement.
procéder
en
libre
paysans. sur
deux
refusa
se
consigné
jours
ral,
j'ai
aux
oculaire,
trois
venu à
possédons
témoin
cio,
était
de
proclamer
langage
matin
Nous
Il
il
donné
héros
les sa
de
chercha
sienne,
me
loin
a
commencement
où
Dans
il
trop
Cette
vie.
Joachim,
où
d'un
heures
la
et
du
postérité. des
est
PARIS
sans
magnifique
devant
ziante,
Pizzo
conserve
et
temps.
DE
imagination Nlurat
posant le
du
catastrophe
historique, tude
REVUE
j'ai Ils j'avais
facinouveau
été
assailli
m'ont sur
pris moi
LA
en
louis
ce
et,
petites
avec
mes
moi.
je
les
lui
sourd
à
ma
réclamation.
chose
s'il
était
lui
On
Il
Ce
duc sous
les
Il à
un
qu'il
prisonnier ne
des
dans
ses
et
Il Il
peuple
personne ajouta
par
8 les
Toujours du
Pizzo
mis
en'
Vive
le
roi
une'
par Nunziante
Medici,
écrite
au avait
qui Murat
par
posées
en
Nunziante
par
9 cris
du
en
et
tête
officiels. la
Il
s'en
excusa
menaçait
ses de
était
fidèle
de
roi,
sentinelles-comme
mais
suite
prisonniers.
des
et
des
Franceschetti, Nunziante
dans ce mais
jusqu'au le
prétexte
sensible matelas
alliées.
au
malheur
et
des
n'était
à ville pas
bien
les
cou--
la
passèrent
une
de
troupes
réveillés
inquiétudes,
Murat
responsable
des
Ceux-ci
conlouer
tirer
sous
était
qu'il
la
que
laissa
l'y
Murat
lui
pas
lui
de
souverain son
salua de
n'osa et
et
jours
à
vives
craignait
il
même
d'ailleurs
put
auprès
son
tout
d'après
ne
fit
dénouement
qu'il
vis-à-vis
commune
prison
le
le il
général,
peut-être
empêcher
Pourtant
de
et
même
avec comme
que
raconte
qu'il
Nunziante
que
couronnée,
captivité, à
d'accord,'
compatibles
jamais
sa
Pizzo,
sont
égards
l'appela
dans-de
que
les
désapprouva
les
écrivains c'est
Franceschetti
qu'il
pour au
roi
pris.
général
lettre
circonstances
d'ailleurs
envoya
ne
vis-à-vis qu'il
vertures du
deux
rapports même
le
être
crier
dé
les
point
adoucir
habitants
surlendemain. que
le
étaient
tous
traita
prévoyait.
respect
soir
pas
votre
confirmé
appartiennent,
s'il
pour en
duite
le et
put
qu'il
avec
m'a
rapport
tous
lequel
son
Dumas,
fatal
lui
demande
à
trouve
la
été'
»
par le
cette' a
traité
fait
faux.
par
qui
qu'ils
chercha-t-il
sa
composant,
sur
s'il
devoir;
prétend
le
le
parti à
témoigna
ce
que
point
quelque
son
avait
de
vous
l'on
que
général.
a
y
il
adressée
questions
procureur
que
se
ainsi en
aux
réponse le
octobre
ne
demande
ce
c'était
que
10
yeux,
tout
bijoux
misérable
j'aurais
Je
pourquoi
l'interrogatoire
Calabre,
mains.
de
ce
je
deux, enfui
commandant
mais
comme
rende
de
du de
me
répondit
récit
dépêche
mes
mes s'est
millions du
traiter
demanda
Joachim
trois
demander,
me
dé
circonstance,
Général,
entre
qu'on
la et
347
commandant
l'autorisation
fait
de
que
et
»
ai
tombé
liberté,
de
Avec
MURAT
le
pire,
bagages
place,
autre
DE
profitant
tous
j'avais
est
qui
barques,
emportant
MORT
tout
nuit'
instant.
assiégée. les
habitants
paysans
des
LA
348
de
environs main
Monteleone
forte
aux
d'enlever pour
décider
de
acteurs,
prisonniers,
général
Murat
Cette
annonçait
et
finissait
Ce
en
des
à
chez
Murat
façon
le son
le
assurer remis
mants
enlevés
surtout
en
en
avait
pas
i.
Le
fil
un
mot
sur les
la
jamais
ce
Murat;
qui
italien
des
n'a
armes
et
sens.
il
pas
diamants.
lui
ne y
a
était a
veut tout
pri-
ornée
en
avait
se subsé-
« Si le capitaine
s'était
contenté
eux, à
j'aurais
ce
capitaine
qui
du
peut-être Il
royaume. et
papiers son
garantir Murat en'
les
dit dia-
affirmation
soutient aucun.
de
de
comme
m'eût,
preuves
lieu
à
10.
sur
les
sur
envoyés
y
C'est
Majesté
cor-
au
dépêche
confisqués
dois
les et
aucun
Sa
ne
je
concerne
vingt-deux, mot
à
les
gendarmerie
et
tranquillité
m'au-
provoquée
une du
de
Majesté.
pris
les
de
conspiration.
dit
moment
qu'il
prisonniers,
l'absence
directement. à
les
le
qu'il
dit,
papiers
la
due à
est-il
me
ou
» L'irritation
datée
Calabre,
Il
ou
laquelle
dans
au
Sa
avoir
capitaine
zèle pris
papiers
sur
et
Tren-
a
royaume,
dit
encore
y
de
qu'est
pouvaient
dit
de
remis
vrai
insubordonné
y
vive
fait
devoir,
découvert
a
duc
butin
le
douze
du
lui.
rapports
lieu
louis.
conduite
des de
à
m'assure
cent
plus
au
les
chapeau,
Murat
Trentacapilli,
s'approprier
qu'il
la
son
bouche
d'un
ces
que
dans
avait
général
par
Gregorio
en
y
chacun
adressée
c'était
qu'il
à
la
vivement
expédiés
donner
était
de
sur
Trentacapilli
qui
Nunziante
D.
a
sur
précaution.
d'une
il
entretenait
au
9
l'arrestation
personnel
portait
les
le
peut-être
qu'il
pouvaient
le
très
parce
que
valant
quente
les
par
l'interrogatoire
d'intérêt
copie,
renseignements
mais
traduisit
disposi-
que et
animé
vues
des
cocarde
vingt-deux
finit
recueillis
plaindre
papiers
pris
il dit
Naples,
part,
débarquement
impardonnable
de
brillants
des
les
qui
mesures la
leur
rapports
dit-il,
par
choses
sonnier
ses
poursuivait
se
capitaine,
est
respondances d'autres
toutes
renseignements
par
avoir
fourni
le
qu'il
tous
erreur
raient
les
poussé
sans
que,
prêter
l'intention
réalité,
pris
de
premiers
raconté
il
« ou
de
prétexte
en
avait
attaque
ses
avoir
extrême
le
avaient,
qui
une
d'après
tacapilli.
sous
qui
général,
n'expédia
Après
des
PARIS
aller.
Joachim
de
Le
s'en
Nunziante matin.
et
repousser
à
DE
accourus
autorités
Murat.
tions
REVUE
supposer
qu'il Il
ne qu'il
LA
s'est Je
ne
que de
au
Nunziante
annonçait
reur
constitution des
avec
le
glia,
attaché Cet
Naples. 10
à
formé
une
cette
remarquer la
par
enquête
faute
complète
serait
mit
le
que
procu-
avec
lui
des
dépositions il
prêt,
en
route
la
le remettrait, Marsi-
ferait
qu'il
à
témoins
lieutenant-colonel
général, se
9
travaillait
au
Murat,
ne
faire
du
parles
état-major
officier
lui
pu,
rapport
qu'il
à
combien
n'avoir
ultérieure
qu'aussitôt
son
à
Majesté
son
Calabre
enlevé
drapeau
Altesse
prisonnier.
»
dans
et
Votre
de
Sa
du
pistolets
bornerai
l'État.
dossier
prévenus,
me
à de
la
d'un
à
je
349
des
affecté
bien
de
général
et
et
présenter
nécessaire
MURAT
peut-être
profondément
capitaine,
DE
montrer
criminelle,
suis
ce
à
pas
est
je
et
l'épée
chercherai
conduite
si
de
emparé
MORT
partir le
que
pour
lendemain
octobre. Ce
huit
jour-là,
au
heures
dans
l'infecte
prison
fut
transféré
avec
le
roi
et
Natali
captif
nouveau tous
les
l'a
dans
une
logis
laissait
«
porte
l'esplanade de
et
large
ments
C'est
du
château,
de
douze
de
sa
hauteur
primitive,
pouvant
recevoir
termine
L'escalier
à
après
l'extrémité
orientale. à
cette
gauche
chambre
principal deux les
ainsi »
Bien
bas
table par
son
que
le
valet général
de
de
place et
de
terre et
Franceschetti que
vient la
juste
étendus
de
où
à
lit
de
deux
chaises,
couchaient autorisés
en le
avait
y
sangle ainsi tout à
de forme
dans Il
d'un
hauteur
milieu
qui
était
bas-
découvert. au
voûte
tiers
quatre
boyau
l'escalier.
Natali,
au
crénelé
Murat
bâti-
rasé
débouche une
plus
petits
de
ce
sous
au
rez-de-chaussée,
mur
fort
chambre on
d'une
au
et
appelle
deux
flanqua
Un
fenêtre
mètres
donjon
extrémités
passé
quand
captif, matelas
deux
La
le
canon.
du
tout
généraux
lui,
ses
avoir
l'esplanade
ment
du
qui
qu'on
simple
l'ancien on
quand
amène
qui
d'un de
Lenormant une
trois entre
longueur,
terre-plein
sous
ce
de
boyau
désirer
avec sur
composés
le
F.
cellule
plain-pied
de
pas
élevé
d'appui
de
ce
convenable; à
M.
décrite,
Franceschetti
plus
dit
qu'en
étroit
tout
tions
peu
quarante-
avons
généraux
ce
de
le
sur
un
sorte
croulants,
les
de
près
nous
que
beaucoup
une
s'ouvre
de
séjour
pourtant
Voici
qui
à demi
un
après
chambre
rapports.
visité
une
matin,
bâtidans
pour
le
que
de
habillés
rester
avec
chambre. Nunziante
l'eût
fait
nettoyer
de
son
LA
350
chambre
cette
mieux, et
,puces niers
de
de
avait
de
pagnons
de
au
dans
repas
mois
en
deux
de Les
qu'après
A peu
mort
la
dit
à
de
iroupe la
vers
nouvelle
.haut, deux
voire
qui lentes
étaient huit
heures
sitôt
la
dépêche
prononcèrent
devant
une
eurent
quelque
en
à
cette poste reçue, sans
commission peine
rival, et
autrichienne,
être
le
partirent avec un
les
des
inter-
officiers Marsiglia.
envoyées
Ferdinand
à les
Nunziante,
par
postérieure-
à leurs
prison,
le
destinataires
le
ses
8,
le
se
ministres
Pizzo.
non
par
le
que
le il
fallait
rendre
conseil
hésitation militaire. à triompher
de se
n'en
avait
mais
environ
par
quarante-
au les
que
Murât
Au
dire
de
de
la
pour
une
communications
Naples
réunit;
je
se dirigeant
télébraphe, Les
à
avec
Medici
10.
infect
comme
soldats,
cinquante
et
son
Ajaccio
quitté
le
son
apportait arrestation.
savaient,
vers
époque,
de
télégraphe ét de
avait cent
parvint
pour
transféré
débarquement
deux
que lui
heureux
son
portées
était
même
ne
furent
les L'ex-roi.
lieutenant-colonel
l'ex-roi
à
cents
quatre
chambre,
cachetée,
Murat
et
que
Nunziante lettre
son
Ferdinand
Calabre,
prévenu
où
de
qu'ils
ennemi.
l'heure
sa
fi,
plus
son
de
à
compagnons
par
part
dit
armes.
D'après
durent
remises
sa
les
Naples.
le
lettres
nouvelle
le
Depuis
se
la
dans
Naples
une
furent
près
cachot
l'ai
ne
ses
prirent
qui,
dans
l'autre
général,
dernières
et
de
com-
Naples.
femme,
y
pièce
ses
que
l'homme
l'armée
Elles
et
du
deux
ment,
à sa
à
Naples.
l'état-major
à
ouverte,
Murat
de
rogatoires
fers
commandant
l'une pour
les
une
nous
présentèrent
d'Angleterre
même
der-
les
siciliens
retournai
lettres
chef
ainsi
Franceschetti
maître
lui
premières,
jour
en
gardaient'
l'ambassadeur
de
légions
dans
chercher
dans
Murat
en
le
silence.
voyant
quatre
général
de
déjeuner
officiers
achevé,
aussitôt
écrivit au
le
qui
infectée cruellement
le
vint
régnait
déjeuner
soldats
Il
morne
auparavant,
Le
et
Plusieurs
un
émus
sordide
préparer
roi.
captivité.
semblaient
PARIS
»
fait
du
celle
DE
tourmentèrent
qui
l'infortuné.
général
voisine
restait
punaises
jours
Le
REVUE
résistance
Pizzo.
trois
Aus-
ministres fût
traduit ils
Colletta, du
roi.
Il
LA
leur
fallut il
lation
avait
un
décret
devant
un
public.
Aussitôt
en
ne
la au
les
secours
tres
de
Ferdinand
leur
il
nom
la
au
secrète
les
roi,
la
les
lui
une.
con-
qui
très
et
pendant
avait
fut
Murat,
Ferdinand
un
dans mais
attention,
nowski,.
qui de
s'attendait
l'usurpateur, auprès
en
Metternich,
temps
à
-passait avait que
compétiteur, à
ce.
diplomate,
faire
qui au
sujet à
compliment
Celui-ci pas
une
sujet
Metternich
aller
n'était
tout-puissant
son
Ce
11.
la
France,
auparavant, à
de
corps
Ferdinand
témoigné
du qu'il
de
Nlurat.
idées
premiers
étaient
pourtant
à.être
consulté
jugea de
de
asile
gardée
deJoachim.
le
un
les
été au
foi,
jours
pas
avoir
fait M.
accordé
commis-
.cette
agréa
encore
très
sûr
le.
11.
Jablo-
qu'il
y
de
nouvelle..
officiels
rapports
décret devait
une
cour
Jablonowski.
prétendit la
et
connaître
quelque
prince
des
conférait,
qui
l'arrestation
famille
l'âprès-midi
de
l'authenticité Les
eût
évidemment
partageait
la
de
au
lui
la
l'Autriche,
quelques
froideur
grande
à
d'apprendre
d'Autriche
firent et
XVIII
protecteur
l'empereur
une
mesures
Lettre
semble
ne
comme
Louis
mécontent
il
devant
condamner
débarquement
gouvernait
le
Murat
qui
Naples de
où
les
extraordinaire
traduire
de le
le
toutes
étendus.
plus
dans
l'exécution.
ministres,
de
cour
être
mettre
les
que
malheureux
Nunziante
prendre.
courrier
faire
chargée
que
ministre
faire
minis-
instant
à
et
les
jusqu'après
correspondance
de
seul
contre
circonstances,
un
de
diplomatique
il
rece-
les
voit,
pas
décret de
pouvoirs
par
Pizzo
par
le
recommandait les
militaire
été
exécutée
pour
compétiteur
prononçassent
aussitôt
résolution
pour
le
comparaître
ennemi
être
le
un
traduit
comme
d'heure on
pas
rédigèrent
devait
Comme
religion.
allait
expédiés
rester
ne
quart
capitu-
être
jugé
qu'un
ne
lui
du
furent
A
être'
condamné
nécessiteraient
sion,
devait
elle
transmit où
La
pour
Murat
la
capitale.
lettre
au
duquel
ministres
céder
par
viola
Ses
rendue,
souverain,
Medici
que
Ruffo.
guerre
finit
Nelson
lorsque
n'admettaient qui
damnation
Ferdinand
sentence
de
devant
de
vertu de
donnant
juges,
en
35I
MURAT
d'Etat.
1795,
cardinal
conseil
voir
en
le
par
DE
raison
cédé
signée
alors
la
invoquer
comme
MORT
son
prudent,
ministre,
arrivés sur ne
pour d'aller
ce
à
pas
Mola
se
avait..à;
compro-
di,,Gaëte
au-
LA
352
devant
de
nement
sa
à
lui
avait
les
ordres
subir
son
William
napolitain avons
ici
avoir
lu,
le
Murat.
à
de
en
le
général
partageait
et
par
la
les
ambassadeurs
Sur table
ce
«
les
histoire,
dépêches
officielles,
collègues
ne
furent
et
pas lieu
cours
en
aux
oublier portaient
cette
dans
Général
haine
qui tous
violente
les à
Vaudoncourt,
désirait
années
cette
? la
la
II,
lui
tout mort
p.
g5.
ses ni
qu'ils la
consultation
y
donna Il
ne
ses ne
le
libre faut
pas
Sainte-Alliance avaient
qui
que,
lamenDans
conclure
de
par »
ni
que
ceux
d'exil,
à d'An-
moi'.
que
agents
et
acceptée référèrent
dans
l'animaient
tous
obligé
délibération
A'Court
ardemment
Quinze
non
sur
admettre
napoléonienne on
de
ardentes
avait
comme
la
en
William
que
époque
l'épopée
Metternich,
et
croire
l'ambassadeur
déclare
plutôt
mort,
pays
contredisent.
Faut-il
pas
son
d'autres, se
consultés.
faut-il
passions
une
bien
la
à faire
s'en
tout
renseignements
furent ne
sur
délibé-
l'ambassadeur
Russie
prends
qu'on
la
à
de am-
sort
conclut
termina
je
mort
de
manière
alors
les
les
compte
quoique
de
Jablonowski
secret
qu'à
Tuez-le,
la
le
regardait
offerte,
A'Court,
tous
lequel
se
d'Autriche
comme
point
cabinet
et
affirme
Sowvaroff,
collègue avec
Prusse
William
sentence
son
avait
qu'il
collègue
M.
cette
son
de
leur
de
récuser,
souverain
que
convention
gleterre,
se
Nous
qui
délibération
dit-il,
de
le
déclara
de
de
l'opinion réclama
traité
l'avis
l'air
Murat.
réunirent
rend
dis-
gouvernement
décidée
ministres
d'Espagne,
eut
tout
prince
fut
main.
collègue
Tchitchagoff,
mirent
l'usurpateur,
France
d'Autriche
t.
et
le
dont
les
le
faire
la
son
Vaudoncourt,
l'amiral
que
à
contre
par
manière
dit
armes
que
de
lui
contraire
prendre
écrite à
« L'ambassadeur
qu'il
de
général
la
étrangers subir
celui
rôle
du
Russie,
avoir
bassadeurs
ration.
de
sur
au
que
fusillé,
de
consulté,
violentes
lettre
donne
Après
être était
propos
une de
qu'il
ferait
à
dans
à
côtes
les
pris
ce
être
déjà
les
l'évé-
d'après
devait
était
peu
témoignage
ambassadeur détails
s'il
mesures
jugerait
que,
toutes
de
compte
ajoutant
A'Court,
les
appuyer
rendit
qu'il
sur
tenait William
.à
là
Murat
militaire
jugement
PARIS
en
donnés
Jablonowski
posé
de
A'Court,
été
ayant
d'Angleterre,
eut
C'est
DE
gouvernement
dit
un
Si
famille.
REVUE
en de
joué
un
ayant
peur
Murat.
Une
LA
récemment
pièce
à
montre lettre
écrite
un
par de
avait
de
des
l'exécution avec
de
méfaits
ses
des
qu'on
quet vaillant
soldat au
élevé Les
trône
les
son
avec
et
le
et
même lui
sa
son
et
à
dus
avoir de
à
ses
avaient
été
tentative.
lui au
feste parce
qu'il
time,
il
frivole
eut
les
prétendus i5
royal
soulever
de par avec
Novembre
i895.
datés
la
A
d'Ajaccio,
cousin lui
que des
parait de
point à
pas un
vue,
consulter.
et du
son
intention pays
à
dans
jamais
fataie
les
efforts Nun-
Pizzo, fut
à
esprit,
coupables
sa
son un
maniéchoué,
ayant
lidèle
à
qui à
habitants
population
ses
son
encouragements
le
réputation
veille
prisonnier
débarquement
sa
la
le pousser
petit
est
placé
pour
curieux
pour
bien
des Il
ne
ce
des
un
captif
entre «
son
est
faits,
ses
lé
parlé
gardant
idée.
révolutionner
davantage
décrets
ces
tous
bien
Nunziante
les
prit
premier.
de
entourant
le
« Par
du
ait
ne
preuve
étranges
confondu
faveur
en
proscrit
raconté
sauvegarder encore
prouve
la
plus
accommodement
en
Calabre
de
générosité
d'ailleurs
d'un
et
attente.
entre
Joachim
haute
de
pour
recours,
pour
qui
très
avoir
assailli
tète
infortune,
au
projet fut
le s'était
anxieuse
les
Colletta,
en
Tout
ainsi
son
et,
la
renonçant
duc
donnés
continue
sobri-
s'écoulèrent
moments
par
dit
d'ailleurs
Joachim
par
peine
légitimité
la
s'établit
Sicile
une
une
d'intimité
possibilité
grande
Après
ziante
la
seconde
trouvons
y
la ce
octobre,
Nunziante
dans
en
une
12
jours,
le
Naples.
rapports
Nous
faits
de
de
conçu
est
y
Cahors,
dans
renseigné,
la
de
royaume
la
de
moments
resta
comme
mort
»
égards
sorte
vainqueur,
Ferdinand
prince
sous
de
dans
par trois
exactement
de
du
et
germaient
que,
être
pour
s'assurer
payer
C'est.
partisans
lieutenants
second
qui
possible
deux
une
Le
idées
étranges fort
ses
ces
geôlier.
fait
le
que
pour le
auberge
1
conservait
lui,
un
Canosa,
Nunziante;
prisonniers
Pendant
repas
du
10,
Murat
illusions.
une
Naples.
que
rival,
les
C'est
Calabres
».
d'une
malheureux
trois
de
d'avoir
joie
Pi7zo
probablement
cuisinier
parti
du
confiant
Plus
le
de
journées
pour
de
parmi
qui,
à
expédiés
fameux
désignait
les
du
montés.
prince
dans
envoyé
au
étaient
au
transports «
archives
autrichien,
diplomate
ordres
353
les
esprits
Jablonowski,
gouvernement
MURAT
dans
les
diapason
subordonné
DE
découverte
quel
félicité
MORT
roi
légi-
subterfuge
entachée.
Ce
desseins,
ce
lesquels,
prenant 9
sont
354
LA
le
abusivement des
conférer
titre
été
par
un
lui
acte
de
désespéré.
et
voeux.
Avec et
qu'il
était
avait
obtenus et
rendre, nécessité se
couvrir
que
j'ai
se de
Les
lui, fait
les
par
Conseil
le
après un
du
quart
Le
l'après-midi. répéter
son
10,
le
pendant très
prisonnier
assure et
qu'il Le
i.
le
ces
mots
TRAVALLI,
p.
à
croire
Tout
porte
qu'il
faut
presunzione.
22
et
23.
dans
que
le
de
et vraiment
que
de
rendre
Joachim
lui
dans
mot'posizione
le
texte est
le
de
dans
11 on
dut
sa
vis-à-vis
son
saurait
souverain.
être
suspect,
était
humain
il ne »
Veramente
Jie
résultat
d'une
de
famille.
parvenue à.
consignerez
heures
tronqué. montré
à
10
aussitôt
neuf
l'inquiétude;
était
le
que
le
Ferdinand
de
gouver-
longue,
la générosité
répéter
y a
route
ne
autorités le
que
que
de
retardés
les
à
s'était
témoignage
le
Il
la
rapports
presque
Pizzo
n'arriva
témoigna
Vous
les
Naples
partir
la
Nunziante
le
«
se
par
souvent
jour-là,
au
qui
télégraphique
dépêche
ce
couvert,
confiant
général
qu'il
crainte
juger
à
dut
qui
parvint
dîner,
cessait
soutenir
à
la
informer
pour
tenu
l'ordre
s'empresserait 11,
qu'une que
ne
qu'il
jugée
imposé
que
n'arriva
Medici
était
dont
Franceschetti,
Nlurat
ne
fois
le
Celui
ministres
ciel
plusieurs
Le
de
matin,
à
Dans
étaient
octobre
9
de
des
été par
de
aérien
le
réponse
eut
l'autorisaient
folie.
atmosphériques.
La
réus-
passeports
inspirée
l'occasion
igno-
»
l'arrestation
de
matin.
au
eu
j'ai
expédièrent
nement
été
ses
qu'il
mise
les
avait
sa
télégraphe
conditions
calabraises
lui
confessait
rire'.
du
messages
où
bras
son
fous
a
alliées
a
corres-
de
l'illusion
qu'il
en
réaliser
des
a de
les
celle
dernier
puissances
lui
fidèle
pour
de
l'Autriche,
s'il
honte
présomption
le
débarquement
avec
eus
bercé
lui
éveillait
l'attendaient
que
l'ac-
désir
on Ce
de
qui
son
royaume.
persistance
ravitailler,
qui
lettre
encore
que la
officiers lettre
suffirait
s'était
hautes
son
que de
il
permet
longue
populations
pour
des
la
cette
son
entreprise
route
des
se
clairement
chaude
que
il à
de
régiment
plus
crois
en
grades
les
ami,
Je
impossible.
sa
tête
une
dans
des
Dans
seul
qu'un
imprudent
sirait
Deux-Siciles,
montre
que
sa
des
reconquérir
l'assurait
PARIS
brouillon
inconnu
de
ouverts
rant
le
un
l'espérance
pondant
roi et
Puis
écrite
tenter
de
distinctions
compagnaient.
DE
REVUE
raconta
contenant
Murat
ridere erreur
n'eut
la sua de
ou
posizione. copie,
et
LA
de
n'avoir
roi
Ferdinand,
feignit le
que
et
commandée
en
rade
nique 10
Joachim la y
donna
son le
attribue ver
son
ses de
lui
colonel
être
consentement,
et
Mais
l'Anglais, haine
de
sur
la
llottille,
roi,
car
il
se
trouverait
qui
serait
forcée
de
des
trône
de
le
arriva
ce
à Tropea
pour
colonel attendre Nunziante
la
tous
sautous
les
la de
protection
son
soldats le
mettant
qu'en à
contre
à
comme
contre
bien
protéger
lui
cherché
faisant,
d'être
à
Palermo,
observer
cesserait sous
britan-
présenta
animé,
faire
de
navires
Robinson,
biographe,
féroce lui
Murat
le
son en
s'empressa
le
Franceschetti,
d'avoir,
d'une
espérait
pavillon
anglais
transporté D'après
prisonnier.
sur
envoyât
général
Ferdinand.
compatriotes,
pied
trouver
battant
Le à
qu'il
victoire.
le
Pizzo.
dessein
l'Empire,
se
qu'on
par
demanda de
réponse
sa
répondit
anglo-sicilienne,
du
qui
et de
demandé
flottille
Une
guerre.
de
pas
355
MURAT
soupçon, heureux
avait
Nunziante
le
aucun
n'abuserait
Naples,
DE
MORT
du
disposition l'Angleterre, gré.
le dîner, Nunziante se montra pendant plus gêné qu'il ne comprereprises que la veille. Il répéta à plusieurs et qu'il espérait nait rien à la dépêche qu'il allait recevoir son prisonnier à la flottille anglaise pour de consigner l'ordre lui dit Joachim, si le conduire à Messine. « Mais, général, de me vous l'on ordonnait, par message télégraphique, le feriez-vous ? » Nunà une commission remettre militaire, Le
12,
à exécuter une qu'il ne consentirait jamais répliqua écrit du roi Ferdinand, mesure que sur un ordre pareille chose n'était point à craindre. Murat conmais que semblable la moindre tinua son repas et se leva de table sans montrer il se coucha et s'endormit émotion. Une heure plus tard, ziante
en se faisant faire la lecture par Natali. tranquillement lui parvint Nunziante enfin par une L'ordre que redoutait estafette de cour, dans la nuit du 12 au i3 octobre. Cet ordre de s'y soustraire ou d'en il lui était impossible était formel; différer
l'exécution.
qui allait avoir qui en firent partie et deux lieutenants, taire
Ferdinand, appartenu leurs grades à Murat
Il dut
donc
réunir
la commission
mili-
à juger son prisonnier. Des six officiers deux lieutenants-colonels, deux capitaines avant la restauration de quatre avaient, à l'armée les
deux
de terre autres
ferme
avaient
et fait
devaient partie
dé
LA
356
l'armée La
sicilienne.
sauver
biographe, commission de
difficile en
le
de
il
Pizzo Ce
à
dans
sa
ments
fut
être aucune
plus
il
Straiti, est
juger tion
un
fort
l'heure
il
tomba
avait
qu'il
Des
hommes
actes
qu'à
La
lui
commission
en
en
connaître .le
dois
Ils
ne
exigeait
vous sont et
mes
sujets,
rain,
de
même
autre
roi,
parce
il
que
nomma
un
Au
de
dire la
pleurant
ne qu'il que
est n'est
nul
tache
juges, pas pas
ne
peut
dites
son
avoir
je
de
leurs
n'ai
rien
fut
un
Sicilien,
avait
juger un
d'empire
roi
le lui
üt
imposée.
quels
juges ils
Joachim; de
La
ollicier
devant
au
tribunal.
rendre
lui
à
Murat
avocat.
répondit
permis
bataille.
un
qu'on
permis
le
eux,
Stratti,
cet
et
d'émo-
eût
Franceschetti,
ajouta-t-il,
mes
leur
Ce
me
Ferdinand,
prononcent,
l'accusé
interde
de
à
fit
jusqu'à
devant à
se
et,
champs
compte
d'office.
triste
défendre, point
de
devant
juges
ne
redevint,
dit-il
de
mes
il
moment
soldats de
qu'il
l'ordre
et
comparaître n'ont
que
loi
Starace.
capitaine
moi
que
compris
court
Capitaine,
de
seul
»
répondre.
tant
ménage-
réservé,
à se présenter «
refuse
Dieu
sur
été
l'invitèrent
je tels
des
apporta
les
perdu;
ressaisit
d'ap-
officier
public,
était
un
balles
chargé
eut
ennemi
suis
à s'éloiauraient
tous
l'ex-roi
» Après
les
et
lui
commis-
prêt
Cet
égards
Je
la
fut
qui
lui
ennemis
souverain
jugé.
qui
se
hauteur.
avec
sort
mort.
toujours
que
président
que
«
sous
juges
Lorsqueles refusa
dès
le
son
bien
contre
grief
château,
Stratti
les
llurat
naturelle, où
héros
de
de
être
s'écria
ordre
du
comme
sur
un
cette est
ses
Aussitôt
effets
tous
jugement
illusion
rompant
prisonnier.
allait
Mais, en
son
ordres
iL
que
firent
capitaine
mission
mis
en
son
dans
adhérents,
la
dit
le
assurant
seulement
ses
qu'il
pénible
anciens
ministres.
les
le
Joachim
en
ses
enlever que
possibles.
allait
à
fit
de
partisans comme
l'ex-roi,
et
plus
dès
exécutés.
s'y
revit
fervents
savons
de
procureur-général
espéra-t-il,
ses
nous
le
,plus
de à
et
ne
prendre
vie
Ferdinand
du
des
l'intention
nommée,
été
général
dire;
Nunziante
gner
Le
majorité
prêtèrent
auprès
sion
un
PARIS
juge,
septième
la
la
DE
été
française.
dynastie
lui
Le
avait
Camera,
REVUE
leur de sur
sont
souvejuger son
un égal.
LA
Les
souverains Stratti
n'ont
et
éléments
IL ne
ceux
qui
mais
ordonne
de
rien
instants
L'ex-roi Je
suis
lui
gardé avec
guement reuse
de
avait
revue,
ses
auditeurs
verdict
Elle
eut
le
dinand Il
IV. a
n'y
aient
considéraient
aux
contre
officiers
été
plus
l'osèrent ainsi La
qui
et
leurs
sentence
à Joachim; tence
les avaient
honorable pas
sur
un
devait,
qui
et
bien
qu'il sa
dignité
émotion,
vie que
lorsqu'ils
fidèles
serviteurs
ce
noms
une
les
que
de
était
officiers
la
loi
que
celui'
refuser
à
le avec décret,
qu'ils
lui-même
avait Quant
Joachim, le
juger.
il
eût
Ils
ne
imprimant
impitoyablement,
tache
l'armée
public. de
Fer-
patent.
de à
l'ordre
à l'armée se
trône
crime
rigueur,
de
établirent
qui
sa
rendit
l'après-midi.
le le
perturbateurs
de
de
renverser
toute
eux
ne
commission
dépositions
usurpateur,
condamnèrent
le
qu'il
ainsi de
heures
de
à
le
d'après
le
passant
Bourbonniens,
pour
l'écouta
géné-
exploits et
deux
quatre
appartenu
prononcée,
lonpeu
les
et
la
matin,
dans
comme
heures
séparé.
d'étonnant
appliqué
appris
s'entretint
bataille
aux
été
eût
conduite
profonde
Murat
des
la
En
nombreuses
de
Il
d'éloquence leur
trois
yeux rien
promulguée
de
Naples.
du
de
Aux
sicilienne
patrie.
dernières
rappelant
entretien
dessein
donc
vous
monsieur
lui
les
de et
tant
heures
entendre
clairement
pas
avaient
qu'on
passa
champs
voir
qu'entre' à
sa
âge,
chambre
officiers.
égard
de
dernier
dix
de
avant
impitoyablement
dès
sont
commission
sortez,
valet
IL
de
avec
laissèrent
Réunie son
son
tant
parla
l'avait
con-
je
la
son
nom,
s'étonnant
royaume
ce
on
ne
de
Deux-Siciles
quatre
gardiens,
le
rapportèrent dont
par
sur
il
d'une
Starace,
rapporteur
matin
à vue
à
dans
en
le
jugement.
Ferdinand
fait
mais
défense.
son
en
ses
accomplis
avait
et
dès
passer
vie
quelques
commission
son
des
Natali
allait sa
roi
Joachim,
de
qu'il
le
peuples.
brusquement
Franceschetti, éloignés
ma
les
fournir
Monsieur
demanda
l'interrompit
de
dit-il, la
pour
lui
et
énergiquement.
jugement,
après, il
vain
refusa
s'y
bourreaux. dire
l'interroger;
en
composent
des
ne
Quelques
de
d'un
pas
Dieu
que
conjurèrent il
357
MURAT
juges
défense
s'agit
juges,
vint
le
sa
damnation des
d'autres
Starace
pour
DE
MORT
indélébile.
rapporteur un
calme être
vint
en
dédaigneux. immédiatement
donner
lecture Cette exécutée
sen-
LA
358
un
quart
se
préparer
seulement
à
au
refusé lui
d'heure
la
Pendant acheva
une
allait
chercher
le
Ma
cune
injustice.
mon
Lucien, moi.
de
de
mes
adieu
Dieu
vous ma
que vie
est
de
Dès le
le
D.
l'heure
plus
un
il
la
dont
lettre
nous
Murat, où
il
prêtre
avoir
après
avais
mis
lui
qu'il
années
auparavant,
répondit
qu'il ducats
ce
par
début, de
solliciter Mais, où
riposta je
suis
?
donner
donné
au
mèche
demanda
d'argent
mille
une
lui
qui
de
venons
lors se
se
fait
pour
de
l'église
le
chanoine
'vous'
une
le
prisonnier,
— Vous
devez
son
et lui
trouva
en
la
teneur.
autre
que vous
ma
de
qu'il
sut
bien puis-je
d'achever
Stratti
cette
confesser,
la
lettre, vers
lui
avoir
et
don deux
Joachirn donné
Sire,
le
du
église,
pauvres.
lui deux
Encouragé suis
je
venu
importante.
plus faire
le
Murat
que
Pizzo.
«
reli-
prêtre
train
son
lui
alors
le
la
s'avança
au
être
pénétra.dans
de
les
château pour
et
achever
pour
grâce
déclare
au
ans
cheveux,
passage
dit
et
de
secours
souvenait
cent
l'in-
été,
Je
Lorsqu'il
parfaitement
rappelait
pour
Dès
ses
s'il
avez
chapitre,
capitaine
de
avait
du
lui.
le
à
appelé
les
Pizzo.
il
prisonnier,
milieu
moments
avait
de
au
mémoire.
soixante-dix
auprès
dignes
»
doyen
du
clergé
monde
vous
derniers
condamné
de
rendit
se du
chambre
au
adieu
biens
que
ma
Nunziante
à offrir
du
ce
enfants.
Masdea,
Lætitia,
supérieurs
et
les
plus d'au-
au sans
n'auras
entachée
ma
et
pas
mes
vieillard
respectable
l'attendait,
de
Antonia
fut
adieu
êtes
dans
général
venue,
C'était
gion.
vous
peine
le
ne
royaume
maudissez
loin
vie
montrez-vous
que
Ne
matin,
ou
instants
tu
montrez-vous
sans
grande
chanoine
prêt,
ce
mourir
écrivit
quelques
instants,
Achille,
ennemis;
plus
Natali,
voici
dans
ma
Louise;
laisse
bénira.
la
quelques
mon ma
à
Murat
prêtre,
arrivée;
dans
Adieu,
pensez
et
accepta.
femme;
jamais;
nombreux
fortune,
est
vivre;
vous
sa
avoir
après
Caroline,
m'oublie
Je
à
heure
Ne
d'époux.
de
chère
dernière cessé
j'aurai
lettre
pour
Franceschetti
celui-ci
dernière
condamné
rapporteur,
revoir
que
« Ma »
de
Le
confesseur,
qu'on
au
accordé
Dieu.
permission
un
PARIS
était
devant
paraître
roi
proposa
DE
REVUE
dans
répliqua
la
situation
le
prêtre.
»
LA
Murat naître
comprit
sans
coupable
envers
irritée
qu'il
MORT
doute le
roi
MURAT
lui
qu'il
« Non,
répondit
DE
35g
demandait
Ferdinad,
car
de ce
fut
se d'une
reconvoix
je ne veux pas me confesdevant Dieu. » Le chanoine ne non,
ser, car je n'ai pas de péché se découragea pas. « Sire, poursuivit-il, d'une confession mais d'une judiciaire,
je ne vous parle pas confession sacramen-
telle pour
devant
vous
réconcilier
qui vous allez dans le terme fatal d'un paraître quart d'heure qui ne peut être prolongé. — Ah oui, répondit-il, je suis prêt; mais comment ferons-nous en si peu de temps » L'officier chargé de dit alors, en montrant à l'exécution la montre présider qu'il tenait à la main, étaient déjà écoulées. Le que cinq minutes vieux
chanoine
avec
Dieu
ne pouvait com,que le quart d'heure mencer humaine l'absolution, qu'après qu'aucune puissance ne pouvait l'empêcher de la donner, et que si on ne lui accordait pas le temps de confesser le condamné, il en appellerait à Dieu ici pour s'assit
s'écria
au condamné, il ajouta « Je suis puis, s'adressant le fit asseoir, puis vous, ne craignez rien. » Joachim à son tour. A peine avait-il commencé l'aveu de ses
fautes
sa chaise et s'agenouilla qu'il repoussa pieusement devant le prêtre. Celui-ci nous dit que jamais confession ne fut plus sincère, et plus édifiante. plus émouvante avoir reçu l'absolution, le roi se releva. « Allons Après la volonté de Dieu », dit-il. Le chanoine l'arrêta, accomplir le suppliant de constater en chrétien. par écrit qu'il mourait il' craignit d'écrire, y consentit, puis, au moment un piège. » « Vous voulez me déshonorer après ma mort? dit-il au père Masdea. « Mais non, Sire, répondit celui-ci, je de votre veux pouvoir confondre les insensés qui se servent Joachim
et irréligieuses maximes. nom pour masquer leurs coupables et il traça sur un papier ces simples mots Soit, » répliqua-t-il, « Je meurs en bon chrétien. » « Allons, répéta-t-il pour la seconde fois,, allons accomplir la volonté de Dieu. » fusils chargés. douze soldats l'attendaient l'esplanade, Croyant que c'était hors du château qu'il allait être fusillé, il se L'officier l'arrêta en lui disant que c'était dirigea vers l'escalier. sur l'esplanade Il demanda même qu'il devait être exécuté. Sur
où il devait passait
se placer; sous laquelle on lui indiqua l'extrémité surélevée. la voûte de l'escalier et qui était légèrement
LA
36o
On
avait
y
fusa dos
au
de
fallu
les
ranger fusils
les
le votre
sur
le
sol
de
le
mur
d'une
son
au
Un
le
procès
planches,
reçut
la
tombante,
les
douze
la
à
l'église
glanté
autre
aux
On
recloua le
vingts bons quelques vivant
jeta ans de
et
la une
Naples, pauvres
Joachim
de
la
le
de
et
se des
la
à la
fosse
hères, Napoléon,
et
du
commune. a
les roi
restes des
la
A
troué
poitrine,
l'on
visage.
Bour-
des
de
ossements qui
et
put, quatre-
trône
aux
fut
Deux-Siciles.
DE
habi-
qu'après le
celui
cercueil
beau
que
de
ensan-
la
ce
por-
bord
le
quelques
mêlés de
au
des
là
nuit
le
cadavre
renversé
MARQUAIS
Pizzo.
mauvaises
Le
mieux
toujours,
de
mains
défiguré
C'est
qui
du
terre,
avaient et
hâte,
révolution reposent
disloqua.
droite
joue
à
leurs
balles
som-
rapport
d'exécution
soldats
Six
avoir
après
victime.
posant
mou-
apprendre
s'éloigna
royale
au
son
lui
avec
peloton
glisser
dans
un
fabriqué
pas
appuyé
Aussitôt
il
s'abattit
s'était
château,
Calabre
il
bûcheron.
vînt
vivre.
du
sol,
il
ne
fusillade
de
En
cercueil
dans
la
de
suivis.
percé
le
de
l'exécution,
regards
avaient
avait
cachée
soldats
le
les
figure
dépouille
violemment
qui
la
»
visage. moment
Nunziante
hâtivement
laissèrent
une
on
sur
le
apparut
tants
et
du
du
duc
paroissiale.
ils
fosse,
heurta
au
cercueil,
pauvre
tèrent
et
le
soudain
dehors
cessé
« Soldats.
court
En et
Celui-c:,
paroles
puis hache
quatre:
Murat.
un
la
par
épargnez
accomplie.
avait
ministre
sur
sous
le. bruit
que
prisonnier
adressé
chêne
voisine,
attendit
mais
atteint,
assister.
d'y
ces
Pendant
été
était
sang
maison
il
choir,
maire
un
courage
feu.
point
comme
L'œuvre senti
le
de
avait
qu'il
quatre
poitrine
cœur;
le
coupée
l'escalier,
prononça
au
tourner
esplanade,
rangs,
la
lèvres,
tirez
n'avait
qu'il
que
aux
commanda
sembla
trois
de
re-
l'officier.
étroite
débouchait
sur
et
yeux
Il
asseoir.
s'y
voulait
cette
presque
devoir,
le
sur
de
les
comme
soldats
sourire
Lui-même
bander
où
touchaient
debout, faites
laisser
l'ouverture
par
IL refusa
si restreint
était
milieu
se
PARIS
DE
fauteuil.
d'exécution
peloton
L'espace au
un
installé
également
REVUE
SASSEKAY
en
son