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www.lavenir.net Onglet Hainaut

région de Mons & Charleroi Hors série commercial octobre 2015

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Des techniques pour isoler sa toiture

Pour moins consommer, chauffons dedans plutôt que dehors ! L’isolation de la toiture est importante, car elle représente parfois 25-30% des déperditions thermiques. Comment l’expliquer ? Car l’air chaud monte et se retrouve bloqué sous les combles. Et c’est là que l’échange air chaud/ air froid extérieur est le plus important. Le hic, c’est que beaucoup de maisons en Wallonie (près de la moitié comme le bâti est ancien) ne possèdent pas une bonne isolation de la toiture. Il est donc indispensable de se retrousser les manches. Notons qu’il existe deux grandes techniques pour isoler le haut.

Par l’intérieur Si le grenier n’est pas utilisé, on l’isole par les combles. L’isolant est alors placé entre les madriers et recouvert par des plaques en bois ou PVC. Mais attention, Si l’épaisseur des poutres n’est pas suffisante pour placer l’isolant, il faut installer une nouvelle structure au-dessus et une deuxième couche d’isolant. Il est aussi nécessaire de vérifier si les éléments peuvent supporter ce surpoids. Et si le grenier est ou sera utilisé ? Alors, on isolera la toiture en pente en plaçant un pare-vapeur, de l’isolant entre les chevrons et une plaque de plâtre. La technique la plus connue est sans doute cette isolation par l’intérieur du toit avec la mise en place de l’isolant thermique et d’un pare-vapeur, l’indispensable complément de l’isolant. C’est lui qui va empêcher tout phénomène de condensation dans la toiture. Généralement, isoler par l’intérieur en posant de la laine minérale entre les chevrons ou les fermes est la solution la plus simple et souvent la moins chère pour isoler la toiture. La laine minérale se découpe facilement sur mesure et s’insère jusque dans les moindres recoins. C’est un « jeu d’enfant ». Mais faites bien attention à remplir tous les interstices et à ne pas oublier la pose de la membrane d’étanchéité à l’air dont les raccords doivent être parfai-

Il existe plusieurs techniques pour que l’air chaud de l’habitation ne s’envole plus bêtement.

tement hermétiques. Donc, l’isolation par l’intérieur est facile à effectuer par tout bricoleur un peu habile ou par entrepreneur. Mais il faut veiller à ce que le matériau ait un coefficient de résistance thermique suffisant (Rd supérieur ou égal à 3.5 m 2 K/W en Wallonie). Par l’extérieur Le maître d’ouvrage peut aussi envisager de rénover sa toiture par l’extérieur grâce à la technique sarking pour les toitures en pente. L’isolation extérieure se fait avec des panneaux rigides, par exemple en polystyrène extrudé. Ils sont ajoutés par-dessus les chevrons ou pannes, au-dessus de la structure portante. La structure de votre toit sera donc légèrement plus élevée. Il faut donc se renseigner auprès sa commune (en particulier quand il s’agit d’une maison mitoyenne) – pour savoir si cela est autorisé. La construction de toiture sarking s’applique principalement aux couvertures de toit avec de petits éléments, tels que tuiles et ardoises, et les revêtements en métal composés de bandes ou de plaques. L’épaisseur de l’isolant variera en fonction des performances thermiques re-

cherchées. Le sarking présente plusieurs avantages. D’abord, il ne faut pas déménager la pièce qui se trouve sous les toits puisque les travaux s’effectuent à l’extérieur. La poussière

reste aussi dehors. La mise en œuvre préserve l’esthétique des charpentes ou plafonds bois apparents. Bref, cela permet d’isoler ou de réisoler le toit sans enlever la finition intérieure. La pose devra bien entendu s’effectuer par temps sec et le toit devra être protégé contre les intempéries durant les travaux. Les avantages de la toiture sarking seront une protection supplémentaire du bois de la toiture qui se trouve sous l’isolation. Il y aura moins de ponts thermiques aussi. Les désavantages ? L’isolation acoustique sera moins efficace avec des plaques rigides qu’avec des matériaux plus souples comme les laines minérales. Il faudra surtout veiller à ce que l’isolation soit posée de manière bien jointive. L’étanchéité à l’air devra être assurée. Et pour cela, il faudra faire appel à des professionnels de la toiture.


Le mazout toujours populaire Les chaudières condensation ont changé la donne. Les rendements sont excellents.

Malgré son coût d’installation, le chauffage au mazout reste très répandu et semble toujours compétitif au niveau financier. C’est en grande partie grâce à l’amélioration des performances des chaudières actuelles. Les avantages du mazout sont nombreux. Il est simple d’utilisation, diffuse une chaleur homogène… Par contre, les entretiens doivent être réalisés chaque année et l’achat du mazout doit souvent être payé d’une traite. Il faut également disposer d’une citerne. Cela prend de la place. Si cette énergie fossile n’est pas la plus écologique, les nouvelles chaudières contribuent néanmoins largement à une amélioration environnementale. Comme leurs sœurs qui fonctionnent au gaz, les chaudières condensation au fuel ont un rendement plus élevé et, par conséquent, une consommation de mazout inférieure. La condensation permet une récupération

de chaleur. Le rendement supérieur d’une chaudière à condensation est dû à une récupération de la chaleur latente d’évaporation, à savoir la chaleur nécessaire à la formation de vapeur d’eau lors du processus de combustion. Ce système débouche sur une réduction des pertes de gaz de combustion et des rende-

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ments jusqu’à 100%. Certaines chaudières à mazout existantes peuvent être transformées en chaudière à condensation. Cette conversion est possible pour les chaudières fonctionnant à basse température et susceptibles d’être équipées d’un échangeur de chaleur supplémentaire. Enfin, il est également possible de coupler ce système de production de chaleur à des énergies renouvelables (comme le solaire ou la pompe à chaleur), ce qui constitue un argument écologique non négligeable. Pour une chaudière à condensation au mazout, les prix sont relativement variables. Une chaudière basse température coûte environ 4.500 €. L’entretien doit se faire tous les ans avec un écart maximum de 15 mois. Cet entretien obligatoire comporte le ramonage de la cheminée, le nettoyage des circuits de gaz de combustion de la chaudière, la vérification de l’étanchéité des conduits de combustion, la vérification, le réglage et l’essai de contrôle du brûleur.

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Quand isolation rime avec... ventilation !

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Tous les professionnels vous le diront : pour économiser l’énergie, il faut commencer par isoler. Mais il faut aussi bien ventiler pour éviter que l’habitation ne se transforme en aquarium.

Avec une isolation de huit centimètres dans les murs creux et de 15 centimètres dans le toit en pente, celui qui fait construire dans nos contrées se dit que c’est déjà pas mal. Mais par rapport à certains de nos voisins européens (nordiques), nous faisons encore piètre figure. La tendance est donc à l’amélioration drastique les valeurs d’isolation dans le sol, les murs et le toit. Bien entendu, l’argent demeure le nerf de la guerre. Mais l’investissement dans l’isolation est assez rapidement rentabilisé. De même, les surplus architecturaux liés à une surisolation s’éliminent à court terme. Cette isolation doit aussi être couplée avec l’étanchéité à l’air lors de la construction. C’est elle qui va empêcher les courants d’air involontaires. Il s’agit là d’une exigence importante qui, associée à une ventilation avec récupération de chaleur, va permettre une isolation thermique performante. La surveillance des travaux prend alors toute son importance. Des économies de chauffage Donc, s’il faut veiller à l’isolation du bâti, une

habitation bien isolée doit aussi être bien ventilée pour éviter qu’elle ne se transforme en… aquarium. C’est une question de santé, mais aussi d’économie d’énergie. Une ventilation performante évacue humidité, odeurs et polluants générés. Le hic, c’est que l’air extrait (par exemple celui des sanitaires ou de la cuisine) cède jusqu’à 90% de ses calories à l’air neuf. C’est évidemment une perte d’énergie. Fort heureusement, des systèmes de ventilation à double flux conformes aux normes permettent une récupération de chaleur jusqu’à 95% ! Le principe est celui de l’échangeur : récupération des calories sur l’air extrait. L’air introduit dans le logement est donc réchauffé et doux en température. Des

économies de chauffage de plusieurs dizaines d’euros par an sont ainsi récupérées

Une déco qui réchauffe Comment rendre un intérieur chaleureux et chaud grâce à la décoration ? Quelles sont les tendances en matière de coloris ?

C’est la lumière qui met en valeur une peinture. Et dans une pièce orientée au nord, des couleurs froides comme le vert et le bleu sont à proscrire, car elles vont apporter une sensation de fraîcheur. Elles seront parfois ressenties comme carrément glaciales ! Les spécialistes conseillent donc d’y introduire des touches plus chaleureuses. Le rouge, le brun et le beige font inévitablement penser à la chaleur et même au ruban qui entoure les cadeaux déposés au coin du feu. Mais est-ce tendance ou ringard ? C’est plutôt à la mode dans sa version rouge bordeaux, brun marron glacé, etc. Il n’est donc pas étonnant que ces couleurs « déteignent » sur la décoration intérieure, aussi bien pour les couleurs murales que pour le mobilier.

Teintes naturelles Mais comment éviter que l’intérieur ne soit trop… monochrome ? Le mot d’ordre serait d’associer ces couleurs avec des touches de sobriété, avec du blanc cassé, du beige et de teintes naturelles douces. Ensemble, elles vont apporter un sentiment d’harmonie. Les couleurs d’accentuation vont donc inévitablement casser la monotonie d’un mur. Pour le

côté chaleureux, il est aussi question « d’effets spéciaux » avec une peinture à effet daim, du papier peint avec des motifs voyants ou des dalles à relief pour le sol. Une autre idée pour réchauffer l’atmosphère est de s’inspirer des bars feutrés au décor lounge. Ils font la part belle aux couleurs chaudes. Leurs tons chaleureux de rose et d’orange seront alors complétés par des coloris tendres et agréables comme ceux des feuilles de l’automne. Une dernière piste ? Il faudra itou privilégier les matériaux naturels. Et pour cela, le bois est probablement le matériau le plus chaleureux. Cela passe par un revêtement de sol nervuré, des parquets dépolis avec cannelures. Quoi de plus chaud qu’un parquet de chêne ? On dirait qu’il a été spécialement créé pour répandre son aura poétique à la pièce. Et ce, grâce à ses couleurs veloutées.



Des châssis qui habillent

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Les châssis sont un élément important quand il s’agit d’atteindre une excellente valeur d’isolation.

Pour les châssis, le choix se fera entre le bois, le PVC et l’aluminium. Le bois et le PVC offrent de très bonnes performances en isolation thermique. Le bois s’avère moins cher que le PVC, est naturel et recyclable, mais présente l’inconvénient de nécessiter plus d’entretien (peinture). L’aluminium, produit plus haut de gamme, a amélioré ses performances en terme d’isolation thermique. Il offre une grande durabilité et propose une plus large gamme de choix. Dans le devis, il convient de vérifier le type d’ouverture/fermeture des fenêtres. Il y a l’ouverture classique, coulissante (adaptée aux grands vitrages) et l’oscillo-basculant qui combine ouverture horizontale ou verticale. Côté design et nouveautés, des châssis entièrement dissimulés ont

été mis sur le marché. Et ce, afin de ne laisser qu’une baie vitrée sobre. Ils ont vu le jour à la demande des architectes qui cherchaient de plus en plus une silhouette élancée et minimaliste. Le concept est totalement différent des châssis classiques, puisqu’il doit être intégré dans les plans de l’architecte dès le début. Entièrement fabriqués sur mesure, ils permettent

également d’atteindre une excellente valeur d’isolation et s’intègrent parfaitement dans le concept de maison passive ou basse énergie. Aux fenêtres, on peut y adjoindre un système de volets. Celui-ci offre non seulement des atouts esthétiques, mais il dissuade bien souvent de l’effraction et du vol. Tout cela, sans compter qu’ils jouent un rôle non négligeable en matière d’isolation et de protection contre le vent. Il existe quatre grands types d’ouverture et fermeture de volets. Il y a tout d’abord le système classique avec l’ouverture horizontale des battants vers l’extérieur. Dans le même sens, on distingue les volets pliants. À la verticale, il y a les volets qui s’enroulent autour d’un axe. Ils peuvent être actionnés manuellement ou par télécommande. Très design et en vogue, le volet coulissant à l’horizontale. En ville, pour davantage de sécurité, le volet roulant à la verticale s’avère cependant le plus approprié.

Du vitrage performant Garder la chaleur passe aussi par les vitres. Environ un quart de l’énergie se dissipe à travers les fenêtres d’une maison.

Cela paraît incroyable, mais il existe encore bien des habitations avec du simple vitrage. Pourtant, l’isolation thermique revêt une importance capitale. Elle dépend de plusieurs facteurs, dont le matériau du châssis, de l’étanchéité et du vitrage employé. Pour choisir, il faut savoir que plus la valeur K est faible et mieux une fenêtre arrête les fuites de température. Même si tout dépend du rapport entre la surface vitrée et les surfaces de déperdition d’un bâtiment, les spécialistes estiment en moyenne à 15% l’économie d’énergie réalisée grâce au remplacement d’un simple vitrage par du double vitrage à haut rendement. Le simple vitrage possède un pouvoir d’isolation thermique d’une valeur de 5,6 W/m²K. En comparaison, le double vitrage actuel propose un pouvoir d’isolation thermique de 1,1 W/m²K. Et qu’en est-il du vitrage à haut rendement, il isole trois fois mieux que le double vitrage ordinaire et la différence est à peine visible. Le creux des vitrages est rempli d’un gaz et une couche de

métal invisible est appliquée à l’intérieur de la feuille de verre. Ce vitrage laisse pénétrer l’énergie solaire tout en empêchant la chaleur de quitter le bâtiment. Encore plus fort, c’est le triple vitrage. Il consiste en trois feuilles de verre, un revêtement lowE. Les creux sont remplis par un gaz thermiquement isolant. Avec un triple vitrage, on approche la valeur d’isolation d’un mur creux bien isolé. Il isole jusqu’à presque deux fois mieux que le vitrage à haut rendement et jusqu’à environ six fois mieux que le double vitrage ordinaire. Le hic, c’est que ce type de vitrage ne peut pas être appliqué partout. En cause ? Son épaisseur est importante. Il ne s’adapte pas aux menuiseries classiques. L’idée est donc de le prévoir avant le début de travaux. D’autant que le pouvoir isolant du triple vitrage actuel servira de norme dans les années à venir.


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Le bois-énergie

Les nouveaux foyers au bois sont devenus technologiques. Car ils doivent aussi se conformer à des normes européennes de rejet et de rendement. Il n’est plus rare que des fabricants mettent en valeur leur dernier poêle dont le rendement effectif est de 85%, permettant pratiquement à ces foyers d’obtenir le rendement et le rejet d’un poêle à pellets. Et certains peuvent désormais être reliés au chauffage central, fournissant alors aussi bien le chauffage de la maison que l’eau chaude. Sans oublier le design léché et contemporain des poêles modernes et le charmant spectacle des flammes qui dansent ! Les cassettes deviennent des vitres courbées ou des écrans plats au format 16/9. Certains fabricants comme proposent même une vue panoramique à 360 degrés sur les braises. Quant aux poêles à deux faces, ils s’installent fièrement au milieu de la pièce. Et pour profiter du spectacle, un film d’air chaud empêche les fenêtres du foyer de noircir. Une combustion optimale Un poêle au bois pour chauffer toute la maison ? Eh oui, c’est effectivement possible. Des foyers développent une puissance de près 5 kW. Ils sont par conséquent en mesure de chauffer une maison classique ou n’importe quelle maison bien isolée (basse énergie par exemple). Ils possèdent une arrivée d’air externe ainsi qu’un système d’étanchéité. Ce qui, concrètement, est synonyme de faibles rejets de poussière par la cheminée. Ce qui permet d’éviter de consommer tout l’oxygène de la pièce, mais plutôt d’en obtenir toujours suffisamment pour assurer une combustion optimale. Des marques comme Stûv (Namur) ont même réfléchi a des poêles spécialement conçus pour les maisons passives, basse énergie et peu énergivores à ossature bois. Ils ont la faculté d’emmagasiner la chaleur. Ils évitent de ce fait les pics thermiques, car ils peuvent encore diffuser sa chaleur six heures après l’extinction des dernières flammes. Ils sont pourtant très économes à l’emploi, grâce à une chambre de combustion plus petite et un rendement supérieur à 80%.

Un bon poêle au bois ? C’est de la convivialité, de la chaleur, des flammes fascinantes et de la technologie aussi !

La chaleur du bois Mais au fait est-ce un bon investissement, un poêle au bois ou un insert ? Oui, il peut être rentabilisé à partir d’environ cinq ans. Le bois de nos forêts, énergie renouvelable par excellence, peut fournir une chaleur d’appoint. Environ 2,6 kg de bois sec correspondent à un litre de mazout. Les feux ouverts sont à déconseiller, car leur déperdition calorifique est importante. Il n’y a pas que les poêles technologiques au rendement très élevé. Il est aussi possible d’opter pour des inserts ou des poêles vendus généralement à partir 1.500 euros pour une entrée de gamme correcte. Ensuite, les prix grimpent selon le rendement, le design, la qualité… Ces foyers plus « classiques » deviennent lors des chauffages d’appoint pour les pièces de vie. La chaleur monte aussi vers les chambres. Des encastrables sont dotés de systèmes de ventilation qui redistribuent la chaleur. Ils procurent un très bon rendement thermique de plus de 70%. Ce qui en fait des appareils finalement économiques à l’usage, car le passage d’un rendement de 50% à 70% permet d’économiser près d’un tiers de bois. Si le prix du stère de bois suit la courbe des produits pétroliers, le bois demeure une énergie moins chère. Cent litres de mazout équivalent à environ 0,6 stère de bois de feuillu sec. Mais attention, nous le rappelons, même si c’est charmant, voire romantique, évi-

ter le foyer ouvert qui laisse échapper environ 80 % de la chaleur par la cheminée. Enfin, autre avantage du bois énergie : le système est facile à installer. Et au niveau économique, mieux vaut habiter la campagne. Le prix du bois est en effet très variable et le

mieux est d’avoir des ressources locales. Et du côté des inconvénients ? Notons que le chauffage au bois est vite poussiéreux. Il faut aussi posséder un espace suffisamment grand, sec et abrité pour le stockage. Il faut enfin choisir les bonnes essences, car elles n’ont pas toutes le même pouvoir calorifique. Sachez donc que les meilleurs bois de chauffage sont le hêtre, le frêne, les fruitiers... Le peuplier et le saule se consument plus vite.


Se chauffer au gaz naturel Le système de chauffage au gaz naturel est un des plus économiques du marché. En outre, il ne nécessite pas de stockage.

De toutes les énergies fossiles, le gaz naturel est celle qui contient le moins de carbone. Les réserves mondiales dépassent les 70 ans au rythme de consommation actuelle. Pour le consommateur, le hic, c’est que ce gaz n’est pas accessible partout. Il n’est disponible que dans les villes et agglomérations. Les frais de raccordement ne sont pas donnés (coût indicatif de 1.300 €), mais des promotions périodiques offrent le raccordement gratuit. En outre, le gaz effraie certains consommateurs. Remarquons cependant que les rares explosions sont le plus souvent dues à la vétusté ou au manque d’entretien de l’installation.

la cheminée par les chaudières conventionnelles. Le rendement supérieur permet une économie d’énergie de l’ordre de 10%. Certains fabricants avancent le chiffre de 35%, mais cela ne concerne le remplacement d’une chaudière de piètre qualité par une à condensation qui intervient ici. Il faut compter plus

Et pour les chaudières ? La technologie à condensation exploite un potentiel énergétique qui n’était pas auparavant utilisé : la chaleur contenue dans la vapeur d’eau des fumées. Cette énergie est jetée par

de 2.500 € pour une chaudière à haut rendement. Pour la chaudière la plus performante, à condensation dotée du label HR TOP, le prix peut monter au-delà des 5.000 €. Aussi bien pour l’installation au gaz naturel que pour la cheminée, l’entretien est très limité: un simple contrôle biennal suffit. La nécessité d’une cheminée dépend du type d’appareil (ouvert ou fermé) que vous choisissez. Pour un appareil ouvert (également appelé type B), vous avez besoin d’une cheminée. Mais vous n’avez même pas besoin de la faire nettoyer tous les ans. Les gaz de combustion du gaz naturel forment en effet peu ou pas de dépôt de suie. Si vous optez pour une chaudière étanche (type C), dans ce cas vous n’avez même pas besoin de cheminée. Cela dit, en Wallonie et à Bruxelles, un contrôle de votre chaudière est obligatoire tous les trois ans.

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Des habitations zéro énergie, est-ce crédible ?

D’ici le 31 décembre 2020, une directive européenne impose aux États membres de veiller à ce que tous les nouveaux bâtiments soient à consommation d’énergie quasi nulle. Donc, en 2021, tous les nouveaux bâtiments construits en Europe devront respecter la norme « zéro énergie ». Ils devront être parfaitement isolés et ventilés, mais également produire leur propre énergie avec des sources renouvelables. En clair? Ils devront produire autant d’énergie qu’ils en consomment. Les exemples à suivre sont déjà présents. Ils nous viennent d’Allemagne. C’est ainsi qu’en décembre 2010 a eu lieu l’ouverture officielle de l’immeuble de bureaux de Zeller Athoka, à Herten. Comment les promoteurs sont-ils parvenus au bâtiment « zéro énergie » ? Ont-ils cassé leur tirelire ? La réponse est oui, partiellement. Les surcoûts sont de l’ordre de 15% par rapport à un immeuble traditionnel. Mais les promoteurs estiment qu’au « regard des prix actuels de l’énergie, les investissements dans de telles économies devraient être vite rentabilisés. » Afin de travailler de manière énergétiquement neutre, l’accent a d’abord été mis sur l’isolation. Les promoteurs le soulignent : « il est préférable de veiller tout d’abord à ce que notre bâtiment consomme le moins d’énergie. Les valeurs d’isolation du bâtiment Athoka à Herten sont de 0,23 W/ m²K pour les murs extérieurs, 0,16 W/m²K pour la toiture, 0,24 W/m²K pour le sol et 1,30 W/m²K pour les châssis. » Ce bâtiment « zéro énergie » associe des systèmes pour l’énergie renouvelable comme les pompes à chaleur et les panneaux photovoltaïques. En combinant des pompes à chaleur air/eau pour le chauffage par le sol et l’eau chaude sanitaire et une pompe à chaleur air/air flexible intégrée, on obtient une climatisation intérieure idéale avec la même quantité d’énergie renouvelable que l’installation photovoltaïque. Une autre partie du concept énergétique repose sur un système qui permet d’économiser de l’énergie par une ventilation et une récupération de chaleur. Un échangeur permet de récupérer les calories sur l’air vicié extrait du bâtiment. Il cède l’essentiel de ces ca-

En 2021, l’Europe va imposer l’habitation « zéro énergie » aux citoyens. Est-ce une idée impayable ou pas ?

lories à l’air neuf qui, introduit dans le bâti, est réchauffé et doux en température. Les besoins en énergie peuvent être comblés toute l’année avec l’installation photovoltaïque propre. De plus, 100 m² de la toiture sont peints avec un revêtement spécial très résistant qui réfléchit la lumière du soleil et évite la surchauffe du bâtiment par le toit, même lors des journées les plus chaudes. La lumière du soleil réfléchie augmente la production d’énergie des panneaux photovoltaïques. Techniquement faisable Donc, le « zéro énergie » est techniquement faisable, mais à quel prix ? « Les bâtiments à haute performance énergétique vont devenir impayables pour les citoyens », pensent les professionnels de la construction. « En renforçant trop les exigences sur la réglementation thermique des bâtiments, de moins en moins de ménages auront la capacité d’investir dans la construction neuve ou la rénovation de leurs biens », ont avancé en chœur l’Union Wallonne des Architectes, la Confédération Construction Wallonne et l’Union Professionnelle du Secteur Immobilier. Ces associations ont lancé un appel pour une maîtrise des coûts de construction, condition essentielle pour préserver l’accès au logement pour la majorité des ménages. Les exigences PEB imposées aux constructions de logements neufs ont déjà pro-

voqué une augmentation de 10 % des coûts de construction. Ce n’est pas tout. Ces professionnels craignent une nouvelle hausse du coût de construction de 15 % d’ici 2021. Elle serait « insurmontable pour les candidats-bâtisseurs si on devait évoluer vers les logements à consommation d’énergie quasi nulle. »

Alors, que faire ? Au minimum, « stabiliser les exigences PEB actuelles pendant quatre ans et les adapter à la réalité économique et au pouvoir d’achat des ménages (…) En outre, cette même directive prévoit que les États peuvent ne pas appliquer les exigences lorsque l’analyse coûts/bénéfices calculée sur la durée de vie économique du bâtiment est négative. Par conséquent, le standard passif n’est pas l’optimum. »



La domotique pour économiser l’énergie

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Une application permet d’économiser jusqu’à 30% de chauffage en attribuant une température spécifique dans chaque pièce au lieu de chauffer le tout uniformément.

La domotique s’est démocratisée ces dernières années. La domotique grand public gagne en puissance. Elle devient facile à utiliser notamment grâce à la démocratisation des smartphones. Il est désormais plus aisé de contrôler son domicile à distance. Avec elle, idéalement, tous les systèmes de la maison sont reliés entre eux afin de centraliser et de simplifier les commandes. Le sèche-linge et le lave-linge sont automatiquement actionnés durant la nuit pour bénéficier du tarif de nuit avantageux. La domotique permet ainsi une utilisation plus rationnelle de l’énergie. Il est également question de « majordome domotique. » Il devient aisé de réguler à distance le chauffage ou la ventilation, d’actionner l’éclairage, de mettre en route

des appareils électriques tout en mesurant leur consommation, etc. Sans oublier les dispositifs qui permettent de surveiller et de sécuriser un logement à distance. Quant au chauffage, il faut savoir qu’il représente plus de 60 à 70 % de la consommation d’énergie d’un ménage. Et que lorsque la tem-

pérature de la maison est baissée d’un seul degré, la facture est diminuée de 7%. Nous avons donc tous envie de faire les bons choix tant en matière de mode de chauffage que de gestion pour réduire ce coût. À ce sujet, il est possible d’économiser jusqu’à 30% de chauffage en attribuant une température voulue dans chaque pièce, à la place de chauffer uniformément. Cela se nomme le « réglage multizone. » Un système comme Brainbox, par exemple, est conçu pour s’affranchir d’une installation professionnelle. Qui plus est, cette solution se révèle plus esthétique, car elle rend superflues les vannes thermostatiques sur les radiateurs. Ce dispositif permet de programmer indépendamment la température de chaque lieu de vie dans la maison sans faire fonctionner inutilement les radiateurs et évite ainsi de consommer plus d’énergie que nécessaire.

La stéatite, ça chauffe ! Les poêles en stéatite emmagasinent la chaleur dans leur masse. Puis, ils la diffusent lentement et régulièrement dans l’habitation, très longtemps après l’extinction du feu.

En Finlande, il y a deux milliards d’années, au cœur même de la terre, des pressions titanesques et des températures extrêmes donnaient naissance à un nouveau minéral : la stéatite. Cette pierre d’origine volcanique absorbe la chaleur et la restitue par rayonnement. Les Scandinaves ont mis à profit ce cadeau de la nature pour en faire des poêles/cheminées à accumulation de chaleur. Il s’agit des fameux poêles en stéatite. Le principe de ce chauffage de masse (aussi appelé à inertie) est connu depuis la nuit des temps. Rappelons-nous les hypocaustes des Romains ou, plus récemment, les poêles alsaciens en faïence. Il a été remis au goût du jour. Pour faire simple, le fourneau en stéatite est un cousin du poêle en faïence, sauf qu’il est fabriqué en pierre naturelle et dispose d’une plus grande puissance d’accumulation. Mais attention, parlons bien le même langage, ces chauffages en stéatite font au minimum une… tonne ! Ce poids, cette masse plutôt, a sa raison d’être. Car il existe également des poêles plus légers composés en partie de métal et recouverts d’un manteau de stéatite. Ils n’ont pas vraiment la même puissance d’ac-

cumulation. Deux heures à trois heures de combustion au bois dans un poêle en stéatite provoquent un dégagement de chaleur durant 12 à 24 heures. Grâce aux principes du tirage inversé, un tel foyer assure une combustion presque complète du bois. Ce qui permet de faire des économies, car on peut y brûler sans risque des essences comme le pin, le sapin, le bois de palette, etc. La seule condition, c’est que le bois soit bien sec. Le poêle atteint sa capacité maximale de rayonnement dans l’heure. Mais il serait dommage de perdre toute cette énergie en rejetant les fumées dans le conduit de cheminée. Aussi le poêle de masse est construit de manière à faire descendre ce flux chaud de part et d’autre de deux chambres de combustion sur environ deux mètres (tirage inversé). Cette distance permet de diffuser la chaleur dans la masse par conductivité et ainsi de faire chuter les gaz de 1.000°C à 200°C avant de les laisser s’échapper dans la cheminée.


Une autre chaleur ! En matière d’énergies renouvelables, ce ne sont plus uniquement la pompe à chaleur électrique, le chauffe-eau solaire et les panneaux photovoltaïques qui font la pluie et le beau temps.

Le marché accueille des solutions innovantes. On constate l’arrivée de nouvelles techniques qui sont encore moins énergivores. Des exemples ? La pompe à chaleur au gaz naturel fait son apparition sur le marché des particuliers. Cette pompe est entraînée au gaz naturel. Et elle permet également de valoriser la chaleur environnementale, cette énergie renouvelable et gratuite. D’autres exemples ? Les fabricants cherchent sans relâche des méthodes pour que la chaudière à condensation classique soit plus économique ou pour refroidir en consommant moins d’énergie. Sur ce dernier point, le particulier pourra constater plusieurs évolutions. D’une part, il y a le refroidissement adiabatique (se dit d’une transformation qui s’effectue sans perte ou gain de chaleur). Il permet d’obtenir un effet supérieur grâce à la brumisation d’eau. D’autre part, il existe le refroidissement à adsorption. Aussi contradictoire que cela puisse paraître, ce principe permet de refroidir de manière peu énergivore grâce au soleil ! Renseignez-vous auprès de votre spécialiste. Une autre tendance est celle de la géothermie pour se

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de climatisation naturelle exploite la température constante du sous-sol. Il est souvent composé d’un tuyau de sept centimètres de diamètre et de trois mètres de long. Il descend à environ 1,80 m dans le sol. Il y a 12 degrés à cette profondeur. Le principe est relativement simple à comprendre : l’air est aspiré pour rafraîchir la maison l’été ou la réchauffer l’hiver (l’air froid est préchauffé lors de son passage dans les tuyaux).

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chauffer. L’idée est de capter la chaleur dans la terre, c’est le principe de la géothermie. Il s’agit d’extraire l’énergie (les calories) contenue dans le sol pour l’utiliser sous forme de chauffage. La géothermie est couplée à une pompe à chaleur. Toujours en matière de géothermie, il faut aussi citer le puits canadien. Ce système


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L’entretien des appareils de chauffage

« Un entretien régulier garantit le bon fonctionnement de l’installation de chauffage et en améliore les performances tout au long de l’année », précise le centre d’information sur le chauffage au mazout. « En moyenne, on économise ainsi chaque année jusqu’à 10% de la facture énergétique. Un bon entretien va cependant plus loin que le réglage du brûleur. Afin de réduire la consommation d’énergie, il convient en effet de dégager la cheminée de tous les dépôts de suie et nids d’oiseaux qu’elle pourrait contenir, et de purger les radiateurs (des bulles d’air dans les radiateurs ou les conduites entravant la distribution de la chaleur). » Contrôlez aussi que la pression du manomètre de votre installation indique au moins 1,5 bar. Si ce n’est pas le cas, ouvrez le robinet d’alimentation pour ajouter de l’eau dans le circuit. On préconise aussi « de régler le thermostat sur 14/15°C la nuit ou lorsque vous vous absentez la journée et sur 20/21°C lorsque vous êtes à la maison. Veillez à ce que la différence de température ne soit pas de plus de 5 degrés. Diminuez le thermostat d’un degré, vous ne sentirez pas la différence la plupart du temps et cela peut vous faire économiser jusqu’à 7% de votre consommation. » L’entretien se fait chaque année pour une installation au mazout. Des raisons objectives Pour la chaudière au gaz, l’entretien est obligatoire tous les trois ans. « Pour un entretien selon les règles, il vous faut compter sur un montant de 150 euros ou plus. Nous vous recommandons vivement de vérifier si le technicien qui vous rend visite est agréé. Si ce n’est pas le cas, l’entretien est illégal et donc sans valeur. La société est également tenue de vous remettre une attestation de contrôle en Wallonie », commente la Confédération Construction. Mais pourquoi s’ennuyer avec ces entretiens ? Il y a plusieurs raisons objectives, comme le synthétise un fabricant : « une installation bien entretenue et bien réglée permet d’économiser du combustible et préserve ainsi l’environnement. À terme, l’obstruction et le dérèglement progressif de votre chaudière entraînent une augmentation de la consommation et donc, des émissions des gaz à effet de serre. De plus, un contrôle régulier de

L’accent doit être mis sur l’entretien préventif du système de chauffage pour en améliorer le rendement.

votre installation réduit le risque de pannes, lesquelles se produisent en général au plus mauvais moment, c’est-à-dire en plein hiver. » Et le bois ? Notons encore en matière du manque d’entretien que trois incendies domestiques sur dix sont des feux de cheminée. Toute personne qui se chauffe au bois, au charbon voire au mazout avec un poêle, peut être confrontée à un feu de cheminée. La DG Sécurité et Prévention en rappelle les principales causes. Le conduit de cheminée est endommagé ou mal conçu du point de vue technique. Le ramonage est insuffisant. Il y a la présence d’une importance couche de suie due à l’utilisation de bois pas assez sec, etc. Il faut faire ramoner au moins une fois par an votre cheminée par un professionnel et lui demander une attestation. Cette démarche est même obligatoire dans certaines polices d’assurance incendie et certaines communes. Il est nécessaire de toujours employer un poêle dont la puissance est adaptée à la pièce. Il est impératif de se chauffer uniquement avec du bois sec, naturel et non traité. Le bois peint, les panneaux d’aggloméré, les vieux papiers et cartons ne sont absolument pas adaptés. Une fumée blanche ou incolore sera le signe de bonne combustion. Et, évidemment, il est inconcevable de jeter des déchets dans la cheminée pour les faire brûler ! Enfin, la pièce doit être ventilée suffisamment pendant la combustion. Pour assurer un bon tirage de la cheminée, un apport suffisant d’air frais est essentiel dans la pièce. Victime d’un feu de cheminée ? Il faudra alors

immédiatement prévenir les services d’incendie en formant le 112. Et dans l’attente des services d’incendie, éteignez le feu dans le foyer ou le poêle avec du sable ou du sel pour éviter que la fumée se propage. Attention : en cas de feu de cheminée, n’éteignez jamais le

feu en projetant de l’eau. L’eau se transforme immédiatement en vapeur et une accumulation de vapeur dans le conduit de cheminée étroit peut provoquer une explosion ou une fissure. Fermez le clapet d’évacuation d’air et quittez la pièce où la concentration de fumée est trop importante.


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Les nouvelles chaudières : petites, performantes…

Les contraintes s’imposent avant tout aux fabricants et installateurs de tout équipement de production de chaleur. Concrètement, toute nouvelle chaudière ou installation de chauffage doit désormais répondre à 2 obligations : • Un étiquetage énergétique qui vous indique clairement la performance de l’appareil (comme celui présent sur les appareils électro-ménagers).

• Un rendement minimal de 86%. Par rapport à l’échelle indiquée sur l’étiquetage, cette exigence correspond au moins à un label B. Cela concerne tous les produits d’une puissance thermique nominale inférieure à 400 kW (Les chaudières installées dans les immeubles, dont le rendement supérieur à 70 kW, ne doivent atteindre qu’une efficacité de 75%) Vous n’êtes obligés de remplacer votre vieille chaudière, même si elle a plus de 15 ans et que sa performance ne répond plus du tout aux nouvelles normes. En revanche, toute nouvelle installation devra répondre à ces seuils de rendement. Chaudières à condensation, chaudières à basse température Cela ne pose aucun problème pour les nouvelles générations de chaudières. Les plus performantes sont dites «à condensation» parce que leur principe est de récupérer la chaleur d’une partie de la vapeur d’eau libérée lors de la combustion du mazout ou du gaz naturel. Avec une chaudière classique, cette chaleur est tout simplement perdue via la cheminée... L’autre avantage est qu’elles sont modulables : leur puissance s’adapte à tout moment au besoin de chaleur effectif, ce qui permet de réduire la consommation d’énergie et leur impact environnemental. Votre facture en sera diminuée d’autant... Si l’investissement est important, une installation de chauffage adaptée à votre bâtiment peut être vite rentabilisée. A noter aussi que la Wallonie octroie une prime de minimum 200€, majorée en fonction de vos revenus…1

Le 26 septembre dernier, une nouvelle directive européenne sur les installations de chauffage est entrée en application dans toute l’Union : c’est la directive «Ecodesign» ou «Eco-conception». Son but est de réduire drastiquement les installations énergivores.

5 conseils avant de remplacer votre chaudière 1. Procédez à l’isolement de l’habitation avant d’installer une nouvelle chaudière: des besoins en chauffage plus faibles nécessitent une chaudière moins puissante et donc moins chère. 2. Les étiquettes énergétiques ne peuvent se substituer aux conseils d’un professionnel ; un installateur évaluera la spécificité d’un bâtiment avant de décider du système de chauffage le mieux adapté. Une étude menée en Flandre révèle par exemple que les chaudières sont deux fois plus puissantes que nécessaire… Mais un installateur calculera la puissance nécessaire correctement, sur base du calcul des pertes de chaleur.3 3. Attention à la cheminée : une chaudière à condensation évacue les fumées à très basse température. Cette fumée se condense plus facilement et peu occasionner des problèmes d’humidité. Des solutions existent : le tubage de la cheminée, la construction d’un nouveau conduit, ou encore la réalisation d’une amenée d’air ou une sortie des fumées de la chaudière via le mur de façade. Si aucune de ces mesures n’est possible, il faut opter pour une chaudière basse température. 4. Pour éviter des pertes de chaleur, la pièce de la maison où se trouve la chaudière doit être isolée et chauffée.4 Une bonne ventilation de cette pièce est également garante d’une installation efficace. 5. Il n’y a pas que la chaudière qui améliore la performance de votre système. Les radiateurs de grande taille, ou le chauffage par le sol ou les murs, par exemple, permettent de chauffer avec de l’eau à plus basse température. Installer une sonde extérieure, une minuterie, ou des vannes thermostatiques sont autant d’investissements qui peuvent engendrer jusqu’à 25% d’économie !5

Les chaudières dites «à basse température» (parce qu’elles ont elles-mêmes un meilleur rendement que les chaudières classiques) sont plus abordables : un placement coûtera entre 5.000 et 8.500 € (contre 7.500 à 10.000 pour les chaudières à condensation)2. Cependant, les moins performantes d’entre elles sont maintenant obsolètes ; les fabricants ne peuvent plus les vendre que pour écouler les stocks des appareils mis sur le marché avant le 26 septembre. 1. http://energie.wallonie.be/fr/chaudiere-gaz-a-condensation-2015.html?IDC=8793&IDD=101474 2. Voir Dominique Wauty, «La fin annoncée des chaudières atmosphériques», Vers L’Avenir, 8 septembre 2015. 3. http://www.maisonenergiehuis.be/sites/default/files/checklist/Check_list_09_FR_HD.pdf 4. http://energie.wallonie.be/fr/une-formule-de-chauffage-en-net-progres.html?IDC=8603&IDD=11769 5. http://informazout.be/fr/comment-economiser/reduire-les-pertes-d-energie


La biomasse, ça flambe aussi Les chaudières biomasse font de plus en plus parler d’elles. Employées avec succès depuis de longues années dans les pays nordiques, elles font une percée remarquée sous nos latitudes.

très bien être raccordées au circuit de chauffage central existant. Il faut cependant revoir le tubage de la cheminée (températures de fumée différentes). L’eau est contenue dans un réservoir tampon nécessaire au bon fonctionnement de l’installation. Mais est-il moral d’utiliser des ressources alimentaires comme combustible ? Les céréales employées à cet effet sont bien souvent déclassées, c’est-àdire impropres à la consommation humaine. Les adeptes de la biomasse prônent aussi l’utilisation des jachères agricoles. L’impact environnemental de la biomasse est moindre que celui des énergies fossiles. Mais à condition de ne pas déverser trop d’engrais chimiques.

Une chaudière biomasse alimente son foyer grâce à des pellets de bois, à des copeaux de bois (chips), à de la paille, des céréales, etc. Le terme générique de biomasse est donc utilisé pour désigner tous ces combustibles renouvelables. Plus étonnant, il existe des chaudières de type biomasse qui brûlent les céréales (froment, orge, épeautre, etc.). Ces installations sont plutôt réservées aux exploitants agricoles qui vont produire leur propre combustible et qui peuvent le stocker. Mais quelques particuliers ont déjà adopté ce type de chauffage. Il faut environ 2,4 tonnes de grains pour obtenir l’équivalent énergétique de 1.000 litres de mazout. Une telle installation coûte facilement le triple d’une alimentée au fioul. Le retour sur investissement se fait néanmoins après six ou sept ans, primes déduites. Tout dépend du cours des céréales et du pétrole, et du niveau de confort souhaité : production d’eau chaude sanitaire, décendrage… Quant au principe ? Les céréales sont stockées dans un silo, elles sont acheminées vers la chaudière au moyen d’une vis sans fin. Les chaudières à biomasse peuvent

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Bioéthanol, l’impression chaleureuse Il existe un moyen plutôt décoratif que calorifique de mettre des flammes dans sa déco, c’est la cheminée au bioéthanol. Elle évoque la présence d’un foyer dans une pièce. Le bioéthanol est généralement obtenu grâce à la fermentation de sucres contenus dans certaines plantes telles que la betterave ou la canne à sucre. La première fonction de la cheminée au bioéthanol est d’apporter une touche esthétique particulière qui évoque un feu de bois, sans en avoir les inconvénients. Elle procure une atmosphère de feu, de chaleur, sans produire des odeurs, des suies, des cendres ou des fumées. Ce genre de cheminée permet donc de créer une ambiance, mais il ne s’agit pas véritablement d’un appareil de chauffage, sauf exception. Il ne sera pas possible de chauffer un appartement avec une cheminée au bioéthanol qui est avant tout un beau chauffage d’appoint. Une large gamme est proposée du classique au contemporain, mais c’est souvent dans un style moderne qu’un tel accessoire procure toute sa force esthétique.

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Le chauffe-eau solaire

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Les panneaux thermiques permettent de produire de l’eau chaude sanitaire.

Il existe deux sortes de panneaux solaires. Les plus connus sont les photovoltaïques qui transforment la lumière solaire en électricité par l’intermédiaire d’un matériau semi-conducteur comme du silicium. Les panneaux thermiques sont moins connus. Ils sont destinés à produire de l’eau chaude sanitaire. Ces panneaux transfèrent mécaniquement la chaleur solaire récoltée au moyen d’un fluide. Ce dernier, chauffé par les rayons du soleil, circule sous une vitre sombre. Une partie du rayonnement solaire transmet son énergie thermique aux matériaux qui lui sont exposés. Les panneaux solaires de type thermique arrivent à absorber les infrarouges. Entre la plaque absorbante et l’isolation arrière du panneau, un circuit d’eau va collecter leur chaleur pour distribuer de l’eau chaude, voire alimenter le chauffage.

D’un point de vue purement économique, pour un ménage moyen, l’investissement est rentabilisé après une dizaine d’années. Car l’installation d’un chauffe-eau solaire dans un logement situé en Wallonie fait partie des travaux subsidiés par la Wallonie. Une prime

Comment ça fonctionne, une pompe à chaleur ? Si un réfrigérateur extrait les calories des aliments, une pompe à chaleur extrait la chaleur de l’environnement. Cet équipement électrique permet de récupérer l’énergie thermique contenue dans l’eau souterraine, l’air ou le sol et de la transmettre au bâtiment. Et ce, afin de le chauffer ou de le rafraîchir. Une pompe à chaleur consomme donc de l’électricité pour faire tourner un compresseur et son circuit interne contient un gaz puissant. Elle permet néanmoins des économies d’énergie, car environ 25% de la chaleur restituée provient de l’électricité et le reste provient de son environnement. Son principe repose sur la thermodynamique, à l’instar d’un réfrigérateur ou d’un climatiseur, mais avec un effet inverse. Un fluide frigorifique capte les calories ambiantes à l’extérieur et passe d’un état liquide à un état d’ébullition. La vapeur créée est compressée/chauffée par un compresseur et expédiée à haute pression vers un condenseur.

de 1500 € est octroyée pour l’installation d’un chauffe-eau solaire. La prime ne peut en aucun cas excéder 70 % de la facture TVAC. Une installation solaire agréée coûte plusieurs milliers d’euros. Quant à la durée de vie d’une installation, elle dépasse largement les 20 ans. Reste qu’au-delà des questions d’argent, le procédé est aussi écologique. Utiliser un chauffe-eau solaire peut mener à une réduction d’émission comprise entre 300 et 700 kg de CO2 par ménage et par an. Quelque 100 kWh solaires représentent plus de 10 litres de mazout ou 10 m² de gaz épargnés. Selon un fournisseur d’énergie, une famille moyenne peut épargner annuellement près de 1.400 kWh grâce à une telle installation. Cela correspond à 180 litres de mazout ou 200 m² de gaz. Près de la moitié de l’eau chaude consommée sur une année peut ainsi être produite au moyen de l’énergie solaire thermique.

Isoler une maison ancienne Les murs de façade se taillent, avec la toiture, la part la plus importante des déperditions calorifiques des bâtiments anciens. Une des solutions en matière de post-isolation d’un bâtiment existant est de remplir les creux avec des flocons ou de la mousse d’isolant au départ d’une perforation du mur. Il existe aussi des alternatives comme l’insufflation de cellulose ou de billes de silice. Des études ont démontré que le pouvoir isolant est amélioré d’un facteur 2 à 3 après un remplissage des murs creux. Mais cette technique n’est pas toujours applicable. Alors, il existe aussi la technique de l’isolation par l’extérieur. Elle consiste à appliquer une couche d’isolation thermique et à poser un revêtement assurant à la fois la finition et la protection contre les sollicitations climatiques. Les fabricants rivalisent d’ingéniosité et proposent des isolations par l’extérieur aussi avec de la brique ou en pierre naturelle.


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Certificat PEB : les objectifs 2020

En Belgique, ce sont les Régions qui, par décrets, transposent cette directive. Mais si toute nouvelle construction devra être, à partir de janvier 2021, «à consommation d’énergie quasi nulle», la définition précise de cet objectif et les stratégies pour y arriver varient d’une Région à l’autre.

C’est, dans tous les cas, le «certificat PEB» qui estime la consommation «d’énergie primaire» (énergie directement prélevée à la planète) d’un logement. Il rend compte de la consommation d’énergie pour le chauffage, l’eau chaude, les auxiliaires (la ventilation, le circulateur etc.) et le refroidissement éventuel. Il promeut aussi l’utilisation d’énergies renouvelables. Une nouveauté du dernier décret wallon impose une «étude de faisabilité» technique, économique et environnementale qui analyse la possibilité de recourir à des énergies alternatives (pompe à chaleur, panneaux voltaïques etc.); elle doit être remise en même temps que la demande de permis! Quand faut-il un certificat? L’obtention de ce certificat PEB est obligatoire : • Pour les bâtiments existants (dont le permis de bâtir est antérieur à 2010), dès la publicité d’une transaction, pour une vente ou pour une location. Attention : Il est toujours conseillé de préparer la venue du certificateur par des preuves dites «acceptables», par exemple en optant pour des matériaux d’isolation certifiés ou encore en montrant une demande de prime à l’énergie acceptée par la Wallonie pour le placement d’isolant ; cela peut améliorer les résultats de l’évaluation. Sinon ce sont des valeurs par défaut, souvent pénalisantes, qui sont prises en compte dans la procédure de certification. • Pour les nouvelles constructions ou pour tous travaux de rénovation qui nécessitent un permis d’urbanisme. Dans ce cas, il faut respecter des exigences maximales (elles sont détaillées sur le site «énergie» de la Wallonie, de même que les différentes étapes de la procédure d’obtention du certificat)2. A noter que la nouvelle réglementation étend le champ d’application du certificat PEB notamment pour les «rénovations importantes» (supérieures à 25% de l’enveloppe existante).

1. http://www.uvcw.be/no_index/articles-pdf/5838.pdf 2. http://energie.wallonie.be/fr/ 3. http://www.leguidepeb.be/index.php/accueil2015

La réglementation wallonne relative à la «performance énergétique des bâtiments» (PEB) a changé et elle est d’application depuis le 1er mai 2015. Le nouveau décret wallon, s’il ne renforce pas les valeurs des critères à atteindre, a voulu adapter les procédures PEB mises en place depuis 2010, tout en transposant la nouvelle directive européenne.1

Quelles exigences ? 1 En terme de performance énergétique, deux indicateurs ‘E’ permettent d’identifier : • la consommation théorique totale du logement • la consommation spécifique du logement, par an et par m2 (le 1er nombre divisé par la surface de plancher chauffée). Ce 2e nombre est caractérisé par un label dont l’échelle exprimée en lettres et en couleurs varie entre le A (vert, pour la consommation la plus faible) et le G (rouge). D’autres indicateurs permettent d’évaluer certaines caractéristiques énergétiques du bâtiment. 2 l’exigence d’isolation est représentée par le niveau ‘K’ (parois du bâtiment) calculé à partir des valeurs isolantes ‘U’ de chaque élément des parois du bâtiment (murs, châssis, fenêtres…) Le niveau ‘S’ évalue à l’inverse les risques de surchauffe du bâtiment. 3 Enfin, l’exigence de climat intérieur qui est représentée le niveau ‘V’ qui détermine les normes de ventilation des locaux

Un nouvel acteur Les normes PEB se durcissent au fil du temps. Les différentes exigences ont des implications en termes de coûts et de complexité, tant au niveau de la conception que de la procédure pour obtenir le certificat. Elles ont aussi des conséquences concrètes sur les solutions trouvées, l’esthétique et les matériaux des nouveaux bâtiments. Il y a un équilibre à trouver entre l’isolation, l’étanchéité, la ventilation et les risques de surchauffe, et … la rentabilité de l’investissement! Autant de questions que seul un professionnel peut résoudre3. Comment, par exemple, valoriser les apports solaires directs tout en évitant la surchauffe? Comment rendre les parois étanches à l’air tout en assurant une ventilation efficace?… Aussi la nouvelle réglementation impose-t-elle pour les bâtiments neufs la désignation d’un «responsable PEB» agréé (après une formation spécifique), avec une mission de conseil et d’assistance à l’architecte. Après une période de transition jusqu’en mai 2016, ce sera lui seul (et plus l’architecte!) qui effectuera le calcul et établira des déclarations PEB, initiale et finale, à introduire auprès de l’administration.


Le nouveau chauffage électrique Il est peut-être temps de reconsidérer les points de vue sur le chauffage électrique avec l’amélioration des technologies et l’isolation plus poussée des habitations modernes. tée au rythme des habitants du logement. L’appareil de chauffage électrique moderne, notamment les panneaux rayonnants, ne présentent plus le défaut des premiers appareils

de chauffage électrique, qui chauffaient l’air par convection en créant des effets « zones froides/zones chaudes ». Et contrairement à ces appareils d’ancienne génération, régulés de façon mécanique, tous les appareils de chauffage électrique moderne sont régulés électroniquement. Toutes les 40 secondes, ces systèmes de régulation contrôlent et ajustent au 1/10ème de degré près la température de confort définie par l’utilisateur. Ce mode de régulation évite les surchauffes et l’assèchement de l’air et garantit une température plus stable et plus homogène. Les radiateurs électriques modernes sont hermétiques et clos, par conséquent leur résistance électrique n’est pas en contact direct avec l’air ambiant, et les risques de dessèchement et de stratification de l’air sont réduits. Enfin, les radiateurs à accumulation sont connus pour leur faculté à emmagasiner la chaleur pendant la nuit, en chauffant leurs éléments internes au tarif heures creuses.

Le chauffage électrique n’a pas toujours eu bonne presse en matière de coût. Mais la donne change avec l’avènement des maisons passives ou basses énergies. Il faut peu chauffer et ce type de chauffage regagne ses lettres de noblesse. De fait, il n’y a pas de chaudière, pas de stockage et moins d’investissement. Que dire aussi des entretiens ? Si ce n’est qu’ils sont quasi nuls. La technologie du chauffage électrique a aussi bien évolué et n’est plus comparable à ces appareils de chauffage qui datent des années 1970 et 1980. Aujourd’hui, les nouveaux radiateurs à inertie possèdent un double corps de chauffe. Celui-ci apporte successivement réactivité et inertie, pour un confort optimal tout au long de la journée. Avec des détecteurs d’absence, de présence et d’ouverture de fenêtre, finis les gaspillages d’énergie. L’appareil pilote seul la température adap-

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