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ette première année d’existence de Pure Vintage auprès de vous a été riche en événements et en rencontres ...mais mouvementée et éprouvante. Peu de choses nous ont été épargné, à nous, petits artisans de l’édition presse magazine; tant au niveau logistique que du côté humain. Vous attendez de nous que nous soyons à la hauteur d’une revue professionnelle, nous y sommes en partie parvenu, en vous faisant oublier petit-à-petit que nous ne sommes qu’une équipe de bénévoles, qui peux consacrer quelques heures seulement par semaine à ce magazine. Avec si peu de temps et tant d’embûches, nous avons réussi le pari fou de l’aventure presse alors que ni le marché, ni la conjoncture le permettait. Nos erreurs nous ont fait avancer et avons remédié à beaucoup de points faibles; la nouvelle année résoudra ceux qui persistes encore, comme les retards répétés de parution principalement. 2015 qui s’annonce, c’est la mise en place de l’abonnement annuel pour un trimestriel toujours «grand public» mais avec la parution de numéros hors-série intermédiaires sur des thèmes très spéci ques avec des articles plus fouillés et «pointus» (spécial créateurs, beauté, automobile, musique...) plaisants d’avantage aux puristes du vintage. Vous découvrirez prochainement nos «girls» qui seront l’image du magazine et notre projet ebradio qui va s’intensi er. Ré exion actuellement et lancement probable avant l’été d’une édition spéciale pour nos lecteurs belges avec une rédaction et logistique spéci ques à la Belgique. Heureux à l’idée de partager avec vous tous ces projets qui restent à vivre. Tous mes vœux !
C
et homme est un inconnu pour vous, mais ce monsieur est assurément à l’origine de ce magazine. C’est mon père, Michel, ici à 20 ans en 1958, élégant dans son uniforme durant son service militaire à Paris. Heureux d’être à ses côtés sur cette même page. Amoureux des belles revues soignées, des images qui éblouissent les yeux, infatigable collectionneur et grand passionné de «vieilleries» en tous genres, aimant raconter son enfance durant la seconde guerre; tellement vintage mon père. e i en e e e ai e en ie i a ne in aine ann e e e n a a zine, apprenant le métier et les techniques me e e an n e ai e e e e e i i e e i e ien a e désormais.
C’est parti, pour notre webradio, que vous pouvez écouter en vous connectant depuis notre site
www.purevintageradio.com
Un programme musical de test pour l’instant qui va s’agrémenter de ponctuations sous forme de rubriques, d’infos et d’un habillage sonore d’identification. onne écoute.
Magazine édité par Culture Vintage Rédaction / Correspondants locaux 5 impasse du Ranchot - 70190 Quenoche Lyon / Rhône-Alpes www.purevintagemagazine.fr Ellie DoxaPolish Association loi 1901 à but non lucratif > ellie.purevintage@gmail.com Centre Président / Directeur de publication Camille Bazin Fabrice Berreur > camille.purevintage@gmail.com > fabrice.purevintage@gmail.com Nantes / Pays de la Loire Direction / Correspondante Auvergne Bettie Rose MystiMiss Pin Up > bettierose.purevintage@gmail.com > mystimiss.purevintage@gmail.com Grégory Dutein Maquette & Instagram > greg.purevintage@gmail.com Ted Dollar Olivier Motteau
Mon père nous a quitté discrètement, comme il a vécu, en septembre dernier. J’ai eu très e e e ai a ie e e avant qu’il ne parte, de pouvoir en faire mon e ie a nn a ie e i n e n a ai a ie e i e a ienne an n e a an e i ai a e e ie n en e e ain a ie an e e i e lui montrer que le magazine était sur les rails du e e en e ie e an a e e rêve accompli. n a a a ai e a i e n en e e ain a i ai ai e i en e hommage par ces quelques mots sans prétention, car plus que tout autre, il a sa place dans ce magazine. M n e an e e in a e Merci pour tout papa, veille sur nous tous.
Paris / Île-de-France Lauriane B. > lauriane.purevintage@gmail.com Pin-Up Miss-You > pinupmissyou@gmail.com Marilyne Berthaud > marilyne.berthaud@gmail.com Fanny Aviva «Lily Hope» Provence-Alpes-Côte d’Azur etty ogo > betty.purevintage@gmail.com Néné Chérie > contact@nenecherie.com
Pure Vintage Belgique Fride Courtin > fride.purevintage@gmail.com Photographes o ciels Knuckle Ed, Retro Boulevard, Charles Chojnacki, Bernard Bellaton, Stephane Thouanel Pinterest Nessie Riveter mprimerie Pixartprinting talie Dép t légal Décembre 2014 Tirage 1 000 exemplaires N SSN en cours
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Numéro 4 │ Octobre Novembre Décembre 2014 ●
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Greg Barber Shop 30 Kitsune Foxy Red The Atomic Cats 32 Cadillac 1956 Parmain 2014 67
Sandyinterview Lee 114 4/
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Mon vintage à moi ............................................ 6-7 Rétro Père-Noël Coca-Cola ......................................... 8-9 Jeux de société vintage ................................. 10-11 L’histoire des «Pulps Fictions» ...................... 83-85 Shopping Spécial Noël .................................................. 12-17 Beauté Christmas beauty look .................................. 18-25 Portfolio Yann Thibault, photographe .......................... 26-29 Rencontre Greg Barber Shop ......................................... 30-31 The Atomic Cats ............................................ 32-35 Kitsune Foxy Red, la pin-up du trimestre ................................ 40-44 Célia, pure vintage girl ................................. 70-71 Yvan Barbé ................................................ 102-107 Cabaret / Spectacle Glitter Fever .................................................. 45-47 Miss Glitter Paintkiller .................................. 48-49 Événements Vintage Party de Thilouze ............................. 36-39 16e Ricaines du Var ............................................ 62 Soignies Jamboree ........................................ 63-66 Kustom Festival de Parmain .......................... 67-69 Goodwood Revival 2014 ................................ 78-81 Custom Show Auvelais .................................. 87-91 Ace Cafe London ........................................... 92-95 1st Bratz Monkeys Rockabilly Boogie .......... 96-101 Rétro Pouligue’n’Roll ................................ 106-111 Moteurs Harley Davidson Electra-Glide 1965 .................................... 50-53 Cadillac Fleetwood Sixty Special 1956 ..................................... 57-61 Découverte Musée du jouet de Bruxelles ......................... 54-55 Livres Rien n’est trop beau ........................................... 56 Mode Évolution de la mode féminine de 1920 à 1960 .............................................. 72-77 Musique Hudson Maker .................................................. 113 Sandy Lee ......................................................... 114 Hot news ................................................... 115-116
Ecoutez !
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William au Rockabilly Day | ©Fride
fêtes es us ye jo de te ai uh so w lo ick M n ri La pin-up amércteicaurines deEPure Vintage Magazine aux le
in à Béthune Stéphanie Orqu king Belgique loo Re © The 50’s
Erin Micklow | www.ErinMicklow.com © Kevin Myers, Coastal Expressions Pinup Photography www.CoastalExpressionsMB.com
Mzelle Sweety © The 50’s Relooking Belgique
LadyLudyoo | www.ladyludyoo.book.fr © Karolyne Fot-o | www.karolyne-fot-o.com Véhicule : Fabrice Cessac
Tim déjà fan du mag, Joyeux Noël petit lutin ! © Adeline Ramaud
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Auvelais - Céline | ©Fride
Lady Pixel | ©Skity
Auvelais - Melissa & Serge | ©Fride
Jipi Charly et son rod
Thana | ©Patrick Oury emphis Coffee (Orléans)
Fabre d’églantine & Miss Angel B | Mariage Bourges août 2014 Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Rétro
Bettie Rose a vu ...
e r Noël è P e L Pour ce numéro de Noël quoi de mieux que de se pencher sur cette légende qu'est le Père Noël par Coca-Cola ? Beaucoup pensent que le Père Noël n'est qu'une invention commerciale de Coca-Cola, mais il n'en est rien. Remettons au clair toute cette histoire. Bien avant le Père Noël tel que nous le connaissons, rondouillard et vêtu de rouge, le Père Noël avait plutôt l'apparence de Saint Nicolas et était célébré le 6 décembre. Mais au fil des décennies, les familles chrétiennes ont fini par faire le choix d'associer cette fête des enfants à la naissance de l'enfant Jésus. C'est ainsi que Santa Claus a commencé à faire sa tournée la nuit du 24 décembre. C'est en 1863 que Santa Claus revêt pour la première fois un costume rouge à fourrure blanche, représenté ainsi par l'illustrateur Thomas Nast. Le dessinateur a ensuite élaboré des centaines de dessins du Père Noël. Ce n'est qu'en 1931 que Coca-Cola donne une nouvelle allure au Père Noël, vu par Haddon Sundblom : air jovial, pantalon en remplacement de la robe. Le but était d'inciter les consommateurs à boire le célèbre soda en hiver. Vous comprendrez donc que le Père Noël tel que nous le connaissons représenté aujourd'hui est bien une vision de Coca-Cola, mais que la couleur rouge ne vient en aucun cas de la couleur de la marque.
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Rétro Insolite
La première apparition du Père Noël Coca-Cola date de 1931, à l'occasion d'une annonce publicitaire dans le Saturday Evening Post. Succès immédiat, le Père Noël de Sundblom devient LA référence absolue. Bien sûr à cette époque tout le monde ne lisait pas la presse... Sa popularité se fait alors aussi grâce aux cartons de bouteilles à son effgie. n le retrouve même à l'écran dans le sublime film « Miracle sur la 34e rue » en 1947, où la petite Susan ne croit plus au Père Noël depuis la disparition de son père, jusqu'à ce qu'il apparaisse dans son traîneau, vêtu de son costume rouge. Refusant d'y croire elle mettra alors l'homme au défi de réaliser un miracle. En résumé, bien que la légende soit un peu erronée dans l'esprit de beaucoup d'entre nous (la couleur rouge n'est pas liée à la couleur de Coca-Cola), l'apparence du Père Noël telle qu'on la connaît provient bien de la célèbre maison Coca-Cola et de ses publicités. N'oublions pas le nom du talentueux papa de ce joli bonhomme : Sundblom.
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Rétro Insolite
é t é i c o s e d x u e J e g a vint oël es N e d g es jeux cult n i p p o Sh e société et autr
ux d les je
lité a u t c d’a
urs o j u o st ... mai ar Bettie
p
Rose
!!!
Puisons notre inspiration dans les années 30 à 60 pour trouver des jeux de société pour toute la famille. Petit tour d’horizon des jeux qui connaissent toujours un franc succès malgré l’avènement de la technologie numérique et des supports multimédia.
Qui ne connaît pas Le Cochon qui Rit Ce jeu fut créé en 1 2 à Lyon par Joseph Michel et primé au concours Lépine en 1 4. Les premières versions étaient en bois et le jeu s'adresse aux enfants dès 4 ans. A noter que depuis 200 , la société Dujardin a racheté la licence et a sorti d'autres versions telles que Mon 1er cochon qui rit pour les enfants dès 2 ans.
Le Cluedo est aussi un jeu culte que de nombreuses générations connaissent. Le but de ce jeu est de découvrir le meurtrier d'un crime parmi une liste, tout en enquêtant au c ur d'un manoir anglais. Ce jeu est imaginé par Anthony Pratt et sa femme en 1 4 et vendu pour la première fois en 1 4 .
Subbuteo est inventé en 1 4 par Peter Adolp et se joue sur un tapis d'un 1, 5 m par 0 cm. l est proposé aux joueurs de se mettre dans la peau de footballeurs qu'on fait alors avancer par pichenette.
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Rétro Insolite
Le jeu des 1000 bornes voit le jour en 1 54 et il s'agit d'un jeu de cartes sur le thème de la course automobile. l fut créé par Edmond Dujardin qui était un éditeur de matériel pour auto-écoles et illustré par Joseph Le Callennec. Le jeu comprend 10 cartes et pour gagner il faut tre le premier à atteindre 1000 bornes en cumulant des cartes mais attention aux pièges tendus par les adversaires. Docteur Maboul, jeu créé en 1 5 aura justement rendu plus d'un enfant maboul. ui ne s'est pas essayé à la chirurgie en folie Le plateau de jeu représente une table d'opération et un patient percé en di érents endroits, les cavités étant occupées d'objet à retirer sans « toucher » les zones interdites et donc sans faire allumer la lumière rouge. Le but est donc d'amasser le plus d'argent possible en réussissant les opérations chirurgicales.
Quelques autres jeux bien connus qui sont totalement vintage
Le téléphone Fisher Price, créé en 1962
La p te à modeler Play Doh créée en 1956.
L'écran magique voit le jour en 1 0.
SAGA Culte
Le jeu Risk est inventé en 1 5
Le saviez-vous ? Lego voit le jour en... 1 4 ! Les premières briques étaient relativement simples, puisqu'il s'agissait d'une coque vide avec des plots sur le dessus et deux fentes latérales donnaient aux briques l'élasticité nécessaire à l'assemblage. Le brevet déposé en janvier 1 5 concerne le modèle toujours actuel.
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Un sapin de Noël à l’esprit vintage Tout le monde n’a pas la chance d’avoir des trésors du passé cachés dans ses bo tes à décorations de No l. Dans ce cas, il nous reste la solution d’écumer les vide greniers avant la période en question, de parcourir les marchés de Noël ou bien de craquer sur des décos actuelles mais qui, bien associées, donneront un c té «so rétro» à votre sapin de No l. Voici notre sélection chez Maisons du Monde pour un sapin très animalier mais aussi gourmand.
LE sapin DE
Bettie Rose 01
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Calendrier de l’avent Maison Pain d’Epices 29,99€ Cloche tra neau de No l grand modèle 49,99€ Cheval à bascule pour sapin 3,99€ urs bruns pour sapin 1,79€ les deux cureuils bruns pour sapin 1,79€ les deux Renards pour sapin 2,49€ les deux Chouette à lunettes pour sapin 5,99€ Lapin Panpan pour sapin 5,99€ Renardeau pour sapin 3,99€ Biscuit pour sapin 2,29€ Boule chouette givrée 4,99€ Sucre d’orge pour sapin 2,79€ Pomme rouge ou blanche 1,00€ Boule village de No l 5,49€
A retrouver sur maisonsdumonde.com ou en boutiques. Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Shopping de Noël
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Accro à la mode ou envie d’en savoir plus sur la mode Ce livre devrait vous séduire. Au programme, comme son nom l’indique, la mode des années 50 en France. Les années 50 la mode en France 1 4 1 5 .
Votre truc c’est plus les voitures Pas de soucis, voici de quoi vous ravir avec ces ouvrages consacrés aux voitures des années 40, 50 et 0 ainsi qu’aux voitures américaines de collection.
44,90€
Toujours au sujet de la mode, partons cette fois ci à la découverte des années 0 avec le livre «La mode des années 0 en images» aux éditions Eyrolles. 29€
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Nostalgiques de la belle Marilyn Ce co ret de Blu ray est pour vous. Au programme lms de l'ic ne. 29€
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La nouvelle tendance va au coloriage pour adulte. Détente au rendez-vous ou délicate régression avec ce cahier de coloriage d’inspiration vintage. Aux éditions Dessain et Tolra 4,90€
Envie de refaire la déco Voici de quoi trouver l’inspiration avec ce livre bourré d’astuces. Aux éditions Dunod 15€
Si vous craquez pour les jolies histoires vous devriez aimer Un «Amour Vintage». Derrière ses apparences «chick lit» se cache bien plus. Une belle histoire avec une héroïne amoureuse de la mode vintage et qui ouvre une chouette boutique qui l’amènera à bien des rencontres. Aux éditions JC Lattés pour la version Broché 20,50€ Aux éditions Pocket pour la version poche 7,50€
Pour occuper vos enfants ou les grands enfants, Pure Vintage a choisi et testé les cahiers de découpage vintage. Reproductions des trésors de l'époque, ces cahiers vous proposent les modèles originaux qui faisaient le bonheur des enfants à une époque o du papier, des ciseaux et de la colle suffsaient à occuper les bambins. Armez vous de vos outils et suivez les instructions. thèmes sont disponibles Paper Toys (le plus généraliste), Voitures et Transports, Maisons et Poupées. Aux éditions du Chêne 14,90€ l'unité
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Shopping de Noël
eauté S eet c’est une gourmandise scandaleuse, un vrai parfum pour les pin up gourmandes. Cette fois ci Lolita Lempicka a succombé et a croqué la pomme, mais avec délice ! Un accord gloss cerise cacao qui vous met l’eau à la bouche ! La créatrice (nez) de cette délicieuse nouveauté, Anne Flipo nous dit «Sweet, c’est le goût des lèvres qui viennent juste de croquer une cerise trempée dans le chocolat noir». A partir de 47,90€ en parfumerie
Pour les f tes, Bene t nous sort le grand jeu des adorables petites maisons ! Ces jolis bo tes en métal à collectionner renferment des merveilles de la marque, à o rir ou à s’o rir. Ces éditions à croquer sont disponibles chez Sephora ou sur l’e store de la marque. e coup de cœur de ure intage
aga ine va au co ret
eauty
on ons
A partir de 27€
Envie d’équiper votre meilleure amie en maquillage ptez pour la palette Color Festival ultra complète de No l chez Sephora ! A petit prix, vous aurez un ensemble ultra complet de fards à paupières, liner, gloss et poudres visages ( 2 fards à paupières, 1 eyeliners crème, 2 brillants à lèvres, fards à joues, 4 encres à lèvres et joues, 2 miroirs, 5 «tutos» de maquillage)
Beauty eek et accro au nettoyage rez lui l'incontournable brosse Clarisonic mais dans sa version Aria, à choisir en or ou argent pour rester dans l'ambiance des f tes et faire briller sa salle de bains. Cette brosse nettoie six fois plus en profondeur qu'un nettoyage à la main et le résultat vient rapidement peau plus nette, pores et grain de peau affnés, moins d'imperfections, teint plus uniforme. 199€ chez Sephora et sur l'e-store Clarisonic
A partir de 29,90€ si vous êtes détenteurs de la carte délité de l enseigne
Pour g ter une pin up qui aime les jolies choses, Pure Vintage a choisi le sublime rouge à lèvres de Besame Cosmetics. Son sublime tube est livré en plus dans un étui velours rouge. Très hydratant et longue tenue, vous pourrez choisir votre teinte parmi un large assortiment Environ 22$ sur le site de la marque www.besamecosmetics.com
Pour allier soin et parure de f te, optez pour l'huile prodigieuse de Nuxe dans sa version or, non seulement la peau sera parfaitement nourrie mais en plus elle scintillera de milles feux tout en di usant son très délicat parfum. Environ 23,60€ en parapharmacie
Et pour Monsieur Vintage ? Quoi de plus rétro qu'un blaireau de rasage de haute qualité Pure Vintage a choisi pour vous ce blaireau Simpsons. 82€ sur le site rasage-classique.com
Pour compléter, nous vous proposons aussi ce savon à raser à la mandarine.
23€ sur le site comptoirdelhomme.com
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Classique rez lui un acon d'Eau Sauvage de Dior. Dans toutes les parfumeries et parfois m me en coffret. Ce parfum, créé en 1966 est un grand classique de la parfumerie masculine et est un indémodable d'une grande élégance.
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aison et
Pour vous faire inviter plus souvent à prendre le café, o rez ce joli ensemble de tasses et cuillères à l’esprit 0’s qui est présenté sous forme de co ret. Maisons du Monde 16,99€ l’ensemble
Pour les gros durs ou les maladroits, soyez prévenants avec cette bo te à pansements Moustache, contenant 0 pansements.
é o Gâtez le minou de la maison avec un ensemble «so rétro» de chez Natives. Tapis de gamelle 4,50€
Natives 4,90€
Envie de gâter votre in ie n i e e en an e an ina e a e n ana e e e e nn
Bu et Fjord Vintage
Maisons du Monde 299,90€
Canapé ceberg en bleu rétro pour préparer vos hivers au chaud à la maison. Maisons du Monde 369,90€, existe également en gris
C’est l’heure du repas, ayez tout à portée de mains avec ce porte condiments, pour donner un air rétro ou diner à votre table. Maisons du Monde 16,99€
Gamelle 6,50€
Bo te à croquettes 13,90€
Pour les pin up, quoi de mieux qu’une coi euse dédiée à leurs matins glamours Coi euse Fonteyn, en rouge et noyer, design de Steuart Pad ick made.com 399€
Et pour le toutou Parez à tous les bobos lors de sorties gr ce à la bo te Pharmachien. Natives 8,90€
Pour tre toujours à l’heure, horloge en métal Adam Maisons du Monde 49,90€
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Beauté
Les
Christmas Beauty Looks de
BETTIE ROSE
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Beauté
Crédits : Modèles : Céline G., Scarlett Bluebird, Nastasia G. Tenues/stylisme : Bettie Rose et Scarlett Bluebird Céline porte une jupe crayon 3 Suisses, un chemisier eurs laire s Cécile porte une robe Hellbunny, chaussures ou outin eurs laire s astation porte une ro e ell unn eurs laire s Make up : Bettie Rose Assistante make-up : Nastasia G. Hair : Bettie Rose Photos : Grégory Dutein pour Pure Vintage Tapis : Constant Bourgeois
Pure Vintage est heureux de fêter ce premier Noël avec vous sur papier glacé. Pour cette édition nous vous proposons 3 looks de fête que ce soit pour Noël, pour le ou el n ou pour un coc tail de fin d année au tra ail. Sortez les paillettes, les fards or ou argent, c'est le moment de briller.
Merci à Thomas et Céline pour le lieu
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Beauté
Christmas beauty look de Céline Pour ce look, le teint se doit d’ tre bien uni é à l’aide d’un fond de teint après application d’une base de teint. ci, nous avons utilisé la base Elixir Eclat de la gamme Secret de Maquilleurs d’Embryolisse, a n d’illuminer la peau mais aussi de la réhydrater et de la toni er. Elle uniformise le teint, réveille son éclat et ses nacres invisibles ré échissent la lumière pour réduire visiblement toutes les imperfections. Cette base s’applique avant votre maquillage mais peut aussi tre votre astuce S. .S dans votre sac à mains. Nous avons utilisé un anti-cernes ton sur ton pour camou er les cernes. Nous avons ensuite appliqué un fond de teint compact, ici le Pro nish de Make Up For Ever en teinte 15 . Ce fond de teint à l’avantage de proposer une cer-
taine liberté puisqu’il est modulable appliquez-le au gros pinceau poudre et vous aurez une couvrance légère, au kabuki pour une couvrance moyenne ou à l’éponge pour une couvrance sophistiquée. Déposez ensuite un blush pêche (ici Papa don’t Peach de Too Faced), un peu de terre de soleil (sous les joues pour un e et sculpté, ici la poudre Chocolate de Too Faced) et illuminer le haut des pommettes avec une poudre claire irisée (ici nner Lignt de Too Faced). Les sourcils sont redessinés gr ce à la palette Bro zings de Bene t qui propose un duo fard cire ainsi que les pinceaux et pince à épiler dans un mini kit disponible en 3 teintes (light, médium, dark). Pour les yeux, nous avons utilisé la palette Chocolate Bar de Too Faced avec les fards dorés de la palette, et nous avons aussi déposé de la Star Powder Make up for Ever au centre de la paupière mobile pour accentuer le côté irisé, dans l’esprit des f tes.
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Le liner est travaillé de manière assez exagérée, très rockabilly gr ce au gel liner Lasting Drama de emey et gr ce à un pinceau très n. Les cils sont ourlés du mascara Better Than Sex de Too Faced qui est un très bon volumateur (vous noterez l’audace du nom). Les lèvres sont légèrement redessinées au crayon à lèvres nano rouge Sephora et teintée d’un rouge à lèvres d’une teinte rouge transparente (dans la gamme des Rouges Artist Naturels de Make Up For Ever).
Beauté
astuce Pour un look qui dure jusqu’au bout de la nuit ne négligez pas les bases (teint et paupières) et n’hésitez pas à utiliser un spray xateur de maquillage tel que le Mist Fix de Make up for Ever. e plus ? Utilisez des faux cils pour un e et il de biche, à choisir en frange pour un e et dramatique.
Le Shopping beauté de Céline Base Elixir Eclat Secrets de maquilleur d’Embryolisse, en parapharmacie, environ 25€ Fond de teint Pro nish de Make Up For Ever, chez Sephora, disponible en 23 teintes, 34€ Palette Bro ings de Bene t, chez Sephora, 33€ Palette Chocolate Bar de Too Faced, chez Sephora, 44 Star Po der (Poudre irisée) Make up for Ever n 0, chez Sephora, 1 ,50
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Beauté
Pour Nastasia nous avons choisi d'uni er le teint avec le fond de teint HD de Make Up For Ever qui présente une texture souple très facile à travailler. Les cernes sont camou ées à l'aide d'un correcteur puis illuminées à l'aide d'un anti cernes Urban Decay, le 24 qui se présente sous forme d'un gros crayon, choisi un ton en dessous de la carnation pour illuminer et défatiguer le regard. Nous avons ensuite appliqué une poudre de libre en transparence. Pour rehausser le teint, comme pour les deux autres looks, nous avons opté pour un peu de blush et une poudre illuminatrice sur le haut des pommettes. ci, nous avons même déposé très légèrement de la star powder sur le bombé des pommettes à l'aide d'un grand pinceau éventail pour accrocher encore plus la lumière et créer ce qu'on appelle l'highlighting.
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Christmas beauty look de Nastasia Les sourcils sont redessinés avec un fard à paupières mat en accord avec la couleur naturelle de ces derniers et sont travaillés de manière très naturelle. Les paupières sont mises en valeur à l'aide de la palette Naked 2 d'Urban Decay avec fards le plus clair sous le sourcil, un très lumineux sur la paupière mobile et un fard moyen dans le creux. L'essentiel est de choisir 3 couleurs qui sont harmonieuses ensemble et qui vous plaisent. Nous avons ensuite tracé un trait de liner
à l'aide d'un liner pailleté doré sur lequel nous avons ensuite déposé de la star po der en humidi ant le pinceau pour en accentuer l'intensité. Les cils sont ourlés du mascara They're Real de Bene t. Les lèvres sont redessinées à l'aide d'un crayon à lèvres rouge Make Up For Ever (Aqualip C) et nous avons choisi d'appliquer le rouge à lèvres rouge de Lolita Lempicka dans la gamme Mon Rouge (n 10).
astuce n'hésitez pas à humidi er votre pinceau avant d'appliquer vos Star Po der Make Up for Ever pour en accentuer l'intensité et l'e et, l'idéal est d'humidi er votre pinceau avec le Mist Fix de Make up for ever car il va en plus xer. e plus Balayez de la Star Powder en toute légèreté sur les pommettes et au c ur des lèvres pour donner un e et encore plus festif. La Star Po der de Make Up for Ever est un petit pot de poudres libres composées de nacres ultra nes, pour o rir un éclat intense et un brillant incomparable.
Le shopping beauté de Nastasia Fond de teint HD de Make Up For Ever chez Sephora, chez Sephora Palette Naked 2 d'Urban Decay chez Sephora 4 , 0 Eyeliner pailleté Heavy Metal d'Urban Decay chez Sephora 18€ Brume Mist Fix de MakeUp For Ever, chez Sephora, 2 ,50 Pinceau de précision n 204 de Kiko, , 0
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Christmas beauty look de Scarlett Bluebird Le teint est uni é à l’aide du uide Face and Body de Make Up For Ever qui, gr ce à sa texture gel légère et fra che va uni er la peau tout en la veloutant, et ce d’une manière naturelle. l se travaille très facilement, à l’éponge ou au pinceau. Nous avons déposé un anti cernes un peu plus clair pour éclairer le regard, ici le Fake Up de Bene t qui présente l’avantage d’ tre hydratant. Nous avons ensuite mati é à l’aide d’une poudre libre en transparence, de chez Make up For Ever également. Les pommettes sont rehaussées à l’aide d’un blush rosé mélangé très légèrement à un blush p che, et le haut des pommettes est irisé à l’aide d’une poudre irisée claire. ci le maquillage des yeux est entièrement réalisé à l’aide de la palette de No l 2014 de Too Faced « Everything Nice ». Sous le sourcil nous avons appliqué le fard Dream n, sur la paupière mobile nous avons dégradé le fard Heaven avec le fard Shinny Happy et le creux la banane de la paupière est travaillé avec un mélange des fards Don’t Settle et Be ou. Le Liner est réalisé surtout sur l’extérieur pour un look original, et son c té festif est donné par le choix de la teinte le fard vert de la palette, Too lam. Pour relever un peu le brillant du look nous avons utilisé un peu de Star Po der Make up For Ever ainsi qu’un très discret trait de liner pailleté au ras de la ligne de cils.
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Les sourcils sont retravaillés à l’aide d’un crayon SLA et d’une palette Senna Cosmetics. Les cils sont ourlés du mascara Smoky Extravagant de Make up For Ever. Pour les lèvres nous avons utilisé un rouge Lolita Lempicka mélangé à un rouge à lèvres rose foncé sur le centre de la bouche pour un e et encore plus pulpeux. astuce vous pouvez jouer avec le liner et choisir sa couleur ! ci nous avons choisi du vert, fa on vert sapin pour rester dans le thème mais vous pouvez tout aussi bien opter pour du violet, du bleu... A vous de choisir. e plus Ajoutez un gloss ultra rouge par dessus votre rouges à lèvres pour un e et glossy et brillant jusqu’au bout de la nuit (exemple le Rouge Allure loss de Chanel en teinte Pirate).
Le shopping beauté de Scarlett Bluebird Fond de teint Face and Body de Make up for ever, chez Sephora, ,50 Palette Everything Nice de Too Faced, chez Sephora, 4 Rouge à Lèvres Lolita Lempicka, sur la e boutique de la marque, 2 Mascara Smoky Extravagant de Make up for Ever, chez Sephora, 22,50 Blush Soft Touch de Kiko, ,50
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Yann Thibault
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Portfolio
Yann Thibault
P H O T O G R A P H E Entré dans le « Vintage » un peu par hasard mais grâce à de belles rencontres, Yann Thibault a rapidement réalisé le potentiel graphique que représentait cet univers. Après avoir effectué un parcours photographique classique, portraits et reportages, les shootings « pin up » et « vintage » ont été pour lui une véritable découverte humaine. «Travailler avec des passionnés garanti des moments inoubliables et le résultat escompté au-delà des espérances.» En ce qui concerne la technique des prises de vue, Yann utilise différentes sources de lumières artificielles même en extérieur. Celles-ci n’ont qu’un seul but, recréer un éclairage semblable aux vieux films de l’époque. Il travaille ensuite en post-production ses clichés avec différents éditeurs d’images pour finaliser le rendu et obtenir une ambiance cohérente avec ses sujets. La série présentée dans ce numéro de Pure Vintage Magazine a été réalisée avec la participation active de la styliste Néné Chérie et des modèles qui ont bien voulu se joindre à ce projet. La photo de couverture réalisée spécialement pour ce numéro a été, elle, réalisée avec le concours de Nella et François comme modèles. Facebook Yann Thibault Shooting
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Yann Thibault
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GREG
© Knuckle ED
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Rencontre
K nuckle Ed était chez
B E R R A B S H G OP E R G J’ai entendu parler de la boutique de reg lors du concert des Atomic Cats (cf intervie ). Je me devais de tester cette nouvelle adresse. Je me suis donc rendu au salon la semaine suivante pour une coupe « Executive contour ». En n un coi eur qui connait les classiques! Ce qui surprend quand on passe la porte du salon, c’est l’atmosphère qui règne dans ce lieu, la déco, la musique, la lecture. Mais c’est avant tout le travail de qualité de reg qui m’a convaincu de vous présenter cette très bonne adresse. Barbier depuis 2 ans, reg se met à son compte il y a 1 ans à Bourg en Bresse reg a commencé sa formation dans un cfa, en suivant un cursus cap « coi eur homme barbier », puis a obtenu un brevet professionnel. l apprend le métier chez Monsieur Rozier, meilleur ouvrier de France, qui lui transmet tout son savoir sur le rasage traditionnel. Après avoir fait ses armes chez di érents coi eurs hommes, il achète un ancien salon à l’abandon et ouvre en 2001 son propre Barber Shop. Le succès ne se fait pas attendre, la clientèle est au rendez vous. L’activité du salon touche tout ce que l’on peut attendre d’un barber shop, coi ure, rasage, taille de barbe et vente de produits de rasage et de coi age. L’amoureux du rasage traditionnel pourra se procurer ici tout « l’outillage » nécessaire, le greaser trouvera sa « pomade », et le barbu de quoi entretenir sa barbe.
La clientèle, masculine uniquement, est très variée, mais reg a bien s r une préférence pour les adeptes des coupes Rock’n roll. Si vous passez chez reg, n’oubliez pas de jeter un il dans l’arrière boutique. Une collection impressionnante d’anciens matériels de rasage est exposée dans des vitrines ou à m me le sol. Un vrai musée ! reg Barber Shop, c’est un lieu magique, o on se sent bien, dans une ambiance rock et détendue.
reg arbier
, rue de la république 01000 Bourg-en-Bresse 04 74 22 50 68
Lors de ma visite, reg a réalisé une taille de barbe et un rasage au couteau, dont vous pouvez voir quelques étapes en photo. Le rasage se décompose en plusieurs étapes • La première serviette chaude • Le savon • Le rasage en descendant • A nouveau le savon • Le rasage en remontant • Le baume après rasage • Le talc
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L’interview de Knuckle Ed
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C’est au festival d’Attignat au Printemps dernier, que j’ai rencontré The Atomic Cats pour la première fois. J’ai adoré leur univers musical qui dépoussière le vieux rock’n’roll, et leur extraordinaire énergie sur scène. Ils passaient en concert au « Galway Pub » de Bourg en Bresse en octobre, l’occasion pour moi de leurs donner rendez-vous pour une interview exclusive pour Pure Vintage.
Interview
Knuckle Ed : Bonjour à vous trois et merci d’accepter cette interview pour Pure Vintage, pouvez-vous vous présenter pour les lectrices et lecteurs qui ne vous connaîtraient pas encore ? « Salut, Hugo : contrebassiste, chant lead et harmonica » « Jean Mi : guitare et chant » « Thierry dit Toutou : Batteur »
The Atomic Cats ? Pourquoi ce nom ?
Comment définissez-vous votre musique ? Jean Mi : Rock’n’roll Hugo : On fait du rock’n’roll, même si on nous met toujours l’étiquette rockabilly Jean Mi : C’est à cause de la contrebasse… Hugo : …et puis un peu du look. C’est avant tout du rock’n’roll basé sur le blues.
Hugo : Evidemment influencé par le rockabilly, le nom est parti d’une blague lancée par un des premiers guitaristes du groupe. Et du coup le nom a été conservé.
Alors, quelles sont vos influences ?
Depuis combien de temps existe le groupe ?
Jean Mi : Pour moi Rockab’, même country, hillbilly.
Hugo : Le groupe a trois ans et demi. En fait au départ, je ne souhaitais pas refaire un groupe, j’ai commencé simplement avec un guitariste. Puis Toutou nous a rejoints. On faisait un ou deux concerts pour s’amuser de temps en temps et c’est là qu’on a rencontré Jean Mi. Du coup tout a changé, tout s’est accéléré. Toutou : En fait la formation actuelle a trois ans.
Donc Jean Mi a remplacé l’ancien guitariste ? Hugo : Oui c’est ça, il a remplacé le premier guitariste. Au départ je voulais essayer avec deux gratteux mais Jean Mi prend tellement de place (NDLR : musicalement) et en plus il ne souhaitait pas vraiment travailler avec un autre guitariste. Il avait raison cela aurait été trop compliqué.
Hugo : De Dr Feelgood à Elvis en passant par John Lee Hooker.
Thierry : Moi c’est plutôt blues, rock, heavy.
Je suppose que vous avez tous joué dans d’autres groupes avant ? Hugo : Oui, j’ai été pendant sept ans, avec Toutou, dans un groupe qui s’appelait les Money Honey, un groupe de rockabilly/boogie de Dijon. Jean Mi : Moi j’ai fait plein de groupes, mais les derniers temps, j’étais dans un trio psychobilly et je jouais aussi avec «Guitar Slingers» un groupe londonien de psychobilly. Toutou : Moi j’ai fait plusieurs groupes aussi, rock français, chanson française mais toujours dans la composition.
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© Photos : Knuckle Ed
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Interview
Le Galway Pub est un pub irlandais situé au 17 rue de l’Etoile à Bourg en Bresse. Vous y serez accueillis par Laura «Miss Atomic» et Eric, passionnés de vintage, pour des soirées de fous, avec musique live tous les weekends. Un bar festif et chaleureux dans la tradition irlandaise. Laura «Miss Atomic» vient tout juste d’être élue nouvelle Egérie Glamour 2014 lors du concours organisé par Pin Up your life. Félicitations !
FACEBOOK : Galwaypub Bourg
Vous avez dû commencer la musique assez tôt ?
Votre répertoire comprend des reprises et des compos, quels sont les thèmes de vos compos ?
Hugo : Non, pas du tout, j’ai débuté à 21 ans. J’ai commencé par l’harmonica, l’instrument que je détestais le plus au monde. Mais on m’en a offert un, alors je m’y suis mis… et puis Dr Feelgood m’a rapidement fait changer d’avis…
Hugo : Dans le répertoire actuel il y a pas mal de reprises qu’on a mis à notre sauce et quelques compos. Là, on est en train de se poser et de travailler de nouvelles compos. Les thèmes restent les thèmes basiques du rock, «j’aime les voitures», «les filles sont belles»…
Toutou : Alors moi si je compte à partir du moment où je suis monté sur scène cela fait 27 ans que je fais des concerts. Jean Mi : Je suis tombé dedans quand j’étais petit. J’avais un oncle guitariste qui m’a donné des cours; à 6 ans j’avais déjà une guitare dans les mains. Hugo : Jean Mi, c’est son métier. Il est guitariste.
Appréciez-vous d’autres genres musicaux ? Jean Mi : Oui on peut écouter du AC/ DC, de la country… Hugo : Tout ce qui est vraiment rock’n’ Roll. De toute façon cela s’entend quand on joue, on nous dit même qu’on a quelques influences limite punk. J’ai grandit avec les Wampas et les autres groupes punk français donc forcément…
D’où vient cette impressionnante énergie quand vous êtes sur scène ? Jean Mi : C’est vraiment lié aux trois personnages, on est à fond… Hugo : On s’entend tellement bien, on est tellement à l’aise, on a tellement confiance dans les gars… Jean Mi : … En fait on démarre à fond et on accélère tranquillement… Hugo : … Et même quand ça va très mal, au moins on rigole…
Jean Mi : Ce n’est pas vraiment des thèmes engagés…
Et vos inspirations musicales pour vos compos ? Hugo : Le blues… Jean Mi : C’est un peu nos façons de jouer personnelles qui créent cette sorte de sauce… Hugo : C’est ce mélange de type de jeu qui est intéressant. Toutou n’a pas du tout un jeu rockab’ puisqu’il vient plutôt du hard rock, Jean Mi a un toucher plus country …c’est l’association de tout cela qui sort cette musique.
Knuckle Ed : Pour nos lecteurs/rices musicien(es), pouvez-vous nous parler matériel ? Jean Mi : Hugo joue sur «King double bass»… Hugo : C’est la Cadillac des contrebasses, c’est génial ! Jean Mi : Je joue sur une Gretsch Custom shop, une pièce unique que j’ai eu la chance de trouver, branchée sur ampli Chord. Et je viens d’être contacté par Reverend guitars qui souhaite m’endorser. Très peu d’effet, j’utilise seulement la guitare pour passer d’un son clair à un son crunch.
Toutou : Au niveau batterie, j’ai un set simple avec des choses qui me plaisent. Une grosse caisse Tama des années 80, qui a voyagé autant que moi, une caisse claire Gretsch ou une piccolo Mapex suivant les scènes et un jeu de cymbales de provenances diverses.
Avez-vous des projets ? CD ? Tournée ? Hugo : Oui CD, ça y est… Jean Mi : L’enregistrement est prévu en février, à Londres, chez Diablo Records à Camden Town Hugo : Logiquement sortie en mars… Jean Mi : …Et non, pas de tournée mais on joue déjà beaucoup… Hugo : Le groupe est encore jeune et on enchaîne déjà souvent trois concerts par semaine, on est même obligé de refuser des dates.
Pour finir, un petit mot pour nos lectrices et nos lecteurs ? Jean Mi : Passez nous voir si on passe dans le coin ça nous fera plaisir…
Comme le dit Jean Mi, si vous avez l’occasion de passer les voir, n’hésitez-pas, vous ne serez pas déçus. Du rock’n’roll, de l’énergie et des mecs adorables, simples et proches de leur public. Merci les gars !
FACEBOOK : The Atomic Cats
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Événement
Camille vous dit tout sur
E P G A A R T T N I Y V organisé par
Monsters hot Rockers www.facebook.com/monstershotrockers
20 / 21 SEPTEMBRE 2014 à thilouze (37) Pour la troisième année consécutive, l’association Monsters Hot Rockers organisait une grande «Vintage Party». Pendant deux jours, animation musicale, voitures anciennes et stands vintage en tous genres ont pris possession du stade de la Baronne à Thilouze, près de Tours, pour faire vivre aux festivaliers un retour dans les années 50.
Rendez-vous les 5 et 6 septembre 2015
RéE T N E ITE U T A GR
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Angelina danseuse russe de rockabilly et arc membre des onsters
Événement D ès l’ouverture, malgré une météo incertaine, les passionnés étaient au rende us. ute a urnée n p u ait pr ter des différents stands et expositions présents sur le site. D es coiffeurs aux boutiques de robes et accessoires rocka billy en passant par les stands de vinyls, toutes les bonnes adresses de la région centre et au-delà ont répondu présentes pour ce w eek- end.
Alexis, le président de l’association Monsters Hot Rockers accompagné de sa femme Sandra
Radikal Hair Shop proposait tout au long du weekend des coupes adaptées à chacun. Sur la photo : Ale andre le coiffeur et Tony son client
Marion, Solange et Nathalie (dans l’ordre de gauche à droite) ont pris en main Thierry pour un relooking coiffure Retrouver les dans leur salon ou sur internet prisedetete-lemans com
e gauche droite annick, udovic, aurent et oan A chaque festival son personnage incontournable et pour cette vintage party il y a aucun doute, ce personnage c’était aurent e passionné de chemises a a ennes possède plus de e emplaires ce qui fait de lui le plus grand collectionneur au monde.
livier, votre rédacteur musique préféré, était lui aussi présent pour ce eek-end
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Événement
S amedi soir, J ohn Guster and the R hythm S torms étaient les preiers en a er a scène a ec un style rocka billy 50’ s suivi de a diffusi n du de e rges ucas erican raf ti. Un cinéma en plein-air, dans l’esprit drive-in, qui a su nous replonger dans les années soixante.
La j ournée de dimanche fut riche en animations. D ès 10h les voitures anciennes et les deux roues ont pris place sur le site pour le plus grand plaisir des connaisseurs et des amateurs. T oute la j ournée, boissons, hot-dogs et barquettes de frites étaients disponi es p ur se restaurer. Un stand qui a de l’importance car avec une entrée, un parki ng et un camping gratuits, les consommations sont le seul moyen pour l’association de récolter des fonds.
L’après-midi, les groupes se sont succédés sur la scène de concert. Little R ina and the frenchies ont fait sw inguer le public sur un son des années 40’ s 50 ’s puis R oy T hompson and his M ellow K ings ont pris le relais. M algré l’absence d’un membre du groupe, ils nous ont offert une heure de pur rock’ n’roll et de blues comme on les aime. La j ournée a été clôt urée par le très attendu B all and Chains. P our leur première scène franç aise, ce groupe italien a choisi T hilouze et on les en remercie. ittle Rina and the frenchies
Roy Thomson and his Mellow Kings
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Évènement
Cette année, les organisateurs de l’événement se sont surpassés en organisant un concours de Vélo Chopper. Le principe ? Fabriquer un vélo qui possède les caractéristiques d’une moto chopper avec une fourche très longue et un style personnalisé. Quinze candidats ont présenté leurs vélos face à un public admiratif du travail de ces amateurs.
Jérôme, grand gagnant du concours Chopper Bike
Monsieur le Maire de Thilouze qui remet un prix lors du concours de Vélo Chopper
Grâce à l’implication de nombreux bénévoles ainsi qu’au soutien de la commune et à la participation de tous les passionnés, la troisième édition de la Vintage Party a été un grand succès. Un petit festival convivial et familial qui a tout pour devenir un grand événement de la culture vintage.
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Camille a rencontré
La Pin-up du Trimestre
Avec ses cheveux roux et son regard malicieux ce n’est pas un hasard si Céline, jeune parisienne de 24 ans, se fait aujourd’hui appeler Kitsune (esprit surnaturel issu de la mythologie japonaise, ce renard a la réputation d’être très intelligent mais également très espiègle). Ce n’est pas un hasard non plus si Pure Vintage Magazine l’a choisie pour être la pin-up de ce nouveau numéro. Rencontre avec Kitsune Foxy Red
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La pin-up du trimestre
facebook com o y Red itsune
Dans la peau d’une Pin Up Interview de Camille Bazin
Camille : Comment est née ta passion pour les pin-up et les années 50 ? Kitsune Foxy Red : Mon père a toujours été fan de cette époque et à la maison j’avais l’habitude de voir a car il adore le rock’n’roll, Elvis et les Etats Unis. Un jour je regardais un vieux lm qui se passe dans les années 50 avec lui et là, ce fut un déclic. Les femmes étaient si belles, si féminines, bien habillées, coi ées, maquillées. Je voulais leur ressembler.
Comment en es-tu venue à la photo ? J’ai eu la chance un jour de tomber sur un photographe qui aimait ma fa on d’ tre et ma personne. l m’a donc proposé de faire des photos de moi. C’était il y au moins ans, à l’époque j’avais un look plus « goth ». Puis ensuite pour ce qui est du style pin up, c’était en été 2010, en vacances chez des amis à Toulouse avec une amie qui débutait. a a été la révélation, et ainsi de suite j’ai commencé à collaborer avec beaucoup d’autres photographes et prendre de plus en plus con ance en moi.
Tu te décris comme une pin-up du 21e siècle, u est ce ue cela si nifie ou toi ? La pin up évolue avec le temps ! n ne peut pas revenir dans les années 50. l faut vivre avec son temps et mettre a au go t du jour. Pour ma part, je suis tatouée et beaucoup de gens me font des ré exions en disant qu’avant les pin up n’étaient pas tatouées. n veut toujours comparer mais on n’est pas plus ou moins sexy. l m’arrive de tomber, à la télévision, sur des émissions o les présentateurs décrivent des bimbos comme des pin up et je trouve a dégradant de tout mélanger. l faut juste rester glamour et soi m me.
© Éric Bourel
Si je te dis « féminité » que me réponds-tu spontanément ? La femme ! Toutes les femmes devraient tre féminines et devraient prendre soin d’elles.
Tu fais principalement de la photo mais on a pu aussi voir quelques apparitions dans des clips, aimerais-tu te tourner vers la comédie ? J’aimerais tellement ! C’est un r ve de petite lle, j’aurais vraiment aimé que mes parents m’inscrivent au thé tre. Je recherche des occasions d’appara tre à l’écran. Un jour qui sait...
l y a ient t ans tu as ou e t une outi ue a ec ton fiancé l est tatoueur et toi coiffeuse, peux-tu nous parler de votre petite entreprise ? n voulait ouvrir notre tattoo barber shop comme aux Etats Unis, à l’ancienne. Mettre notre passion commune et nos métiers dans un seul et même endroit. Je suis coi euse perruquière, j’avais envie d’avoir mon propre lieu pour coi er les gens. Un lieu pour tre libre de faire ce que j’aime avec la décoration que je veux. Notre shop fonctionne très bien et nous avons la chance d’avoir des gens qui nous suivent et des clients qui viennent de loin pour nous.
Subb Pictures subbpictures book fr
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La pin-up du trimestre
Comment vis-tu ta passion des années 50 au quotidien ? Chez moi, notre shop, nos voitures, nous ! Les gens sont souvent surpris de nous voir habillés comme ça et aimer ça! Ce que j’aime par dessus tout c’est danser ! Les mercredis soir au Balajo c’est rock’n’roll avec DJ Turky à Bastille ! Je vous le conseille, vous ferez un bond dans le temps !
Si tu avais le choix, voudrais-tu vivre à une autre époque ? ui et non, je dirais plutôt dans un autre pays. Sans internet, j’aurais été triste dans les années 50 ! (rire) Le pays de mes rêves c’est les EtatsUnis ! Ce n’est pas très original, mais après y avoir été deux fois, je m’y sens plus chez moi qu’en France. Comme on dit «Le rêve Américain».
Des projets pour 2015 ? Normalement oui ! Je vous invite à me suivre sur ma page Facebook ! Vous pourrez y trouver tous mes nouveaux projets !
Crédits : Robe rouge + jukebox : Florian Fromentin www.florianfromentin.fr Portrait noir et blanc www.shakti.book.fr Tenue « militaire » : Alain Simeray www.alainsimeray.com Petite robe bleue : Subb Pictures www.subbpictures.book.fr Robe cintrée avec fleurs rouges, arrière plan sombre : Antoine Kohl (photo miniature en couverture)
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Burlesque
www.levelours.com
les
dessous de
etty B A GOG O
5 ans de fièvre par Betty A Gogo
La Glitter Fever, c’est la soirée burlesque organisée depuis 2009 (5 années déjà !) par l’effeuilleuse Miss Glitter Painkiller principalement sur Paris (Le Globo, Le Folie’s Pigalle, le Zèbre, les 3 Baudets, le O’Sullivans Backstage, La Flèche d’Or, le Théâtre Adyar, Le Badaboum...).
- Kitten de Ville © Claire Dem
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La Machine, Miss Glitter Painkiller et Canelle Doublekick © Claire Dem
Kitten de Ville, Kiki Beguin, Miss Glitter Painkiller, Valentina del Pearls © Emmanuel Vaney Le samedi 29 novembre, à l’occasion de son cinquième anniversaire, cette soirée aux tendances rock, glamour, sexy et déjantée était de retour sur la scène du Badaboum à Bastille pour sa 17e édition avec aux côtés de sa pétillante maîtresse de cérémonie, des artistes burlesques de la scène française et internationale.
Sucre d’Orge, Tom de Montmartre et Valentina del Pearls © Claire Dem
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Burlesque
- Kiki Beguin -
Š Claire Dem
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- Miss Glitter Painkiller Š Emmanuel Vaney
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Interview
Miss Glitter
Betty A Gogo a rencontré ...
Painkiller www.missglitterpainkiller.com
Bonjour Miss Glitter Painkiller. Je souhaite avant tout te remercier d’avoir accepté de m’accorder un peu de ton temps pour réaliser cette interview. Pour commencer, peux-tu nous dire quelques mots sur toi afin de permettre à nos lecteurs de mieux te connaître? Miss Glitter Painkiller : Je suis donc effeuilleuse burlesque depuis 9 ans, je donne des cours et j’organise des soirées. J’ai monté mon agence de booking d’artistes, « Le Velours » il y a quelques années. Je voyage beaucoup et je suis obsédée par ce qui brille et la lingerie. J’ai récemment appris que tu étais arrivée dans le monde du burlesque il y a près de 10 ans! Peux-tu nous raconter ton parcours dans ce milieu, depuis tes débuts jusqu’au jour d’aujourd’hui? Ouh là là, il va falloir rajouter des pages! J’ai commencé dans la troupe « Kisses Cause Trouble » en 2005, puis j’ai ensuite co-fondé ma troupe, les « Bump N’ Grind Honeys » avec Cerise Diva Champomy. Nous avons fait pas mal de shows pendant deux ans, puis nous nous sommes lancées en solo en 2009. C’est là que j’ai commencé à donner des cours et à organiser des soirées. En 9 ans (et je n’ai que 22 ans) j’ai fait vraiment beaucoup de dates : des shows à New York et au Japon, mais aussi dans des bars cracras ou presque vides. J’ai été invitée pour inaugurer un cabaret dans les Antilles, fait la première partie du groupe Eels que j’adore, et puis parfois, je peine à expliquer à certains organisateurs que le burlesque est un divertissement à part entière, qui demande beaucoup de travail et d’investissement, et qu’une nana qui se déshabille avec un spot dans la tronche (ou pas d’ailleurs) près du pipi-room, ça ne devrait pas exister. Le burlesque est mon style de vie, il est indissociable de
moi. C’est un travail, une passion, et par par-fois une purge, car plein de doutes et de déceptions. C’est un milieu très fraternel contrairement à sa réputation, et malgré la diffculté de poursuivre une carrière je ne laisserais ma place pour rien au monde! La Glitter Fever existe depuis 2009. Qu’est-ce qui t’a décidé à passer « de l’autre côté de la scène » et à devenir organisatrice de soirée? A l’époque, quelques soirées émergeaient mais je ne me retrouvais pas dans leurs styles. C’était plutôt classique et d’ailleurs, on me raillait pas mal à cause de mes tatouages et de mon style plus moderne. Heureusement les choses changent! J’ai donc décidé d’organiser une soirée avec des performeuses venants d’univers très différents. J’ai cassé ma tirelire pour faire venir Kitten de Ville, mon idole du burlesque, et nous avons ensuite passé toute une semaine ensemble! C’est la marraine de la soirée, elle a performé à trois d’entre elles. Ce fut une superbe expérience mais aussi très diffcile car étant journaliste à la base, j’ai un peu tout fait au feeling, et donc, c’était perfectible! J’ai connu quelques déconvenues mais nous avons trouvé notre vitesse de croisière à La Flèche d’Or à Paris, où nous avions une soirée mensuelle. J’ai pu réaliser mon rêve de soirée : des lumières de malade et une ambiance de concert rock! Je continue actuellement au Badaboum à Paris, une super salle de concert et de clubbing où nous nous sentons comme des rock star et pouvons accueillir 500 personnes! J’essaie d’exporter la soirée en province : nous avons eu une date à Toulouse en novembre et nous serons à Nîmes pour une date qui me tient très à cœur le 12 février. Le 29 novembre, ta soirée fêtera ses cinq ans au Badaboum à Paris, donc on peut dire que ce sera une soirée
spéciale pour toi ; un peu émue peutêtre? Je ne pense pas être très sentimentale, mais c’est toujours beaucoup de travail en amont car j’organise tout seule, je présente et je fais également un numéro. En général, j’essaie de rester concentrée mais je crois que là je vais me lâcher, pourquoi pas slammer dans le public ou arracher mon soutien gorge. Ah non... ça je le fais déjà tout le temps..! Nous réserréservons quelques surprises au public qui a déjà acheté ses places en masse, et ça c’est bien pour mon ulcère! Un petit mot aux spectateurs qui ont dores et déjà prévu d’assister au spectacle? Je sais qu’une dizaine d’artistes sont prévus sur scène, on peut donc s’attendre à un show très varié? Oui il y aura la base des artistes de la Glitter Fever : Valentina del Pearls présente depuis la première, Kiki Beguin le petit bonbon, La Machine le boylesque le plus sexy de la terre et moi-même. J’ai invité Sayuri Gei, mon amie de Bruxelles qui va présenter un nouveau numéro très inspiré, Paris Lahaine la jolie bordelaise, Miss Botero qui a présenté la soirée à ses débuts, Tom de Montmartre le créatif qui a la main lourde sur les paillettes et enfin Dottie Gooseberry et Zouzou Beretta, que je verrai sur scène pour la première fois, sans oublier la star des stage kitten : Jimmy El Nacho! Pour cloturer cette interview en beauté, as-tu quelque chose à ajouter? D’autres projets dont tu souhaiterais faire part à nos lecteurs? 2015 sera mon année : nouveaux numéros, nouveaux costumes, de nouvelles rencontres et collaborations et beaucoup de voyages. Et des Glitter Fever près de chez vous!
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Moteurs
Harley Davidson Electra-Glide 1965 par Knuckle Ed
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Depuis 1948, le vénérable moteur Panhead a quelque peu évolué. Mais c’est en 1965, qu’un tournant de l’histoire de Harley Davidson se déroule, la fin d’une ère, l’arrivée du démarreur électrique, mais aussi, la fin du moteur Panhead. Il sera remplacé dès 1966 par l’arrivée du Shovelhead.
Elle reste un modèle très rare dont la cote actuelle aux USA est d’environ 25000$-30000$
L’évolution du moteur Panhead durant toutes ces années restait un mystère pour les non-initiés puisque les changements touchaient principalement les entrailles de la bête. Mais en 1963, l’installation de conduites d’huile extérieures apparut, afin d’améliorer la lubrification des culasses. (le système existait déjà sur les Knucklehead, disparut à l’arrivée du Panhead et fut repris sur les moteurs Shovelhead pour disparaître à nouveau sur le moteur Evolution).
C’est vraisemblablement un modèle « King of the Highway », qui a traversé les années tant bien que mal. A la fin des années 80, Laurent importe des HD depuis les USA : des Evolution, beaucoup de Shovelhead, des Panhead et quelques rares WL, Servicar, Knucklehead.
n peut noter également un grand changement du coté gauche de la moto, en effet l’utilisation d’un démarreur obligea Harley Davidson à remplacer définitivement le carter de chaîne primaire en tôle emboutie par un carter en aluminium. L’arrivée d’un démarreur électrique fut accompagnée d’un passage du circuit électrique de 6v à 12v qui entraîna l’utilisation de batteries de plus grandes dimensions. Ce qui obligea Harley Davidson à abandonner le bac huile/support de batterie « Horseshoe » pour passer à un support de batterie latéral. n notera peu de changement au niveau carrosserie si ce n’est l’apparition d’un insigne « Electragilde » sur le garde boue avant. Etaient disponibles plusieurs options, notamment la finition « chrome finish » avec un certain nombre de chromes et de pièces polies, et la finition « King of the Highway » reprenant l’option « Chrome » avec, en plus, un pare-brise, des sacoches polyester, d’un porte-bagages, des pare-chocs, des clignotants, un échappement à double silencieux …. n pouvait également conserver, en option, le système embrayage au pied/ vitesse à la main, très apprécié des forces de police.
L’Electra-Glide, que je vous présente, a été importée des Etats-Unis il y a une trentaine d’années par Laurent, dont c’était le métier à l’époque.
Au cours de ses voyages, Laurent rencontre Al, à Philadelphie, qui lui fournit une majorité de ces motos. Al offcie dans un entrepôt qui contient en permanence entre 100 et 200 HD. En plus des motos à vendre, Al possède une collection personnelle qui comprend notamment : • Un Pan 48 tout d’origine. • Deux Electra Panhead 1965 • Un Hydra Glide pourvu de plusieurs centaines de lampes, de deux autoradios et même d’une télévision. • Un chopper à la gloire d’Hitler avec une grande croix gammée en bout de sissy bar et une peinture de guerre. à cette époque, Laurent roule déjà avec un Panhead, un Duo glide, mais l’envie d’une Electra 65 ne fait que s’accroitre avec le peu de machine d’origine sur le marché et la position ferme d’Al de ne rien vendre de sa collection personnelle. A chacune de ses visites, Laurent tente de négocier l’achat d’un des deux Pan 65 mais pour Al, comme pour beaucoup de connaisseurs, le Pan 65 est un must qu’il faut préserver. Quelques années plus tard, motivé par un achat immobilier Al annonce à Laurent qu’il est prêt à en discuter.
L’Electra-gilde est avant tout une moto de « touring » qui pèse 320kg, sa cylindrée est de 1200 cm3. Elle coûtait à l’époque 1500$ …
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Les négociations commencent vers 16h devant un cheese cake pour se terminer vers 7h pour le breakfast ! Laurent repart avec une vingtaine de Harley et les deux Electra 65 tant convoitées. La première part immédiatement à Nice, chez un ami et Laurent conserve la deuxième équipée des vitesses au réservoir et de l’embrayage au pied, emblématiques des Harley anciennes. D’après Laurent : « Le Panhead est un pur bonheur à rouler : coupleux, onctueux, increvable... Le châssis est incroyablement confortable avec ses suspensions et sa selle suspendue. Les freins restent assez effcaces. » Il rajoute : « J’ignore combien de miles cette moto avait parcourus aux USA avant de venir ici, mais moi, j’ai beaucoup roulé avec, des parcours de plusieurs centaines de kilomètres qui se sont toujours bien passés. A une époque j’allais même travailler à 70 km de chez moi presque chaque jour. Elle m’a toujours ramené à la maison ». Mais avec le temps, tout s’use quand même : les vitesses devenaient difficiles à déverouiller et le moteur démarrait moins aisément. Il avait perdu de la compression et aussi de la puissance. Le garde boue arrière était légèrement tordu, le circuit électrique nécessitait du travail. Elle méritait une grosse remise en état, qui a été réalisée récemment par le Zombie Workshop, un atelier spécialisé dans les vieilles Harley.
Old Harley never die.
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Moteurs
© Knuckle Ed
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Découverte
t e u Jo s e l l e x u de Br
Les portes à peine franchies, on est plongé dans un délicieux (limite délirant !) bric-à-brac. On y retrouve des milliers de jouets répartis en plus de 160 vitrines faisant la richesse de cet endroit magique dont la collection en perpétuelle évolution est enrichie grâce aux dons publics et aux achats réalisés sur ses propres deniers. Pour son conservateur (Monsieur Raemdonck), le musée doit rimer avec s’amuser ! Et il tient à ce que le lieu soit et reste un espace ludique. Toutefois des limites ont dû être fixées. En effet, la collection de voitures à pédales se trouve maintenant accrochées aux murs et hors de portée des enfants car ils avaient vite fait de s’adonner à des courses de stock-car dans les allées du musée ! Notre coup de coeur est allé à la collection de robots et des véhicules métalliques (tin toys). Ces jouets mécaniques, peints de couleurs vives ont fait le bonheur des enfants il y a quelques dizaines d’années. Apparus à partir de 1850, grâce à la révolution industrielle, ces objets en fer blanc ont remplacés rapidement ceux en bois ou en papier. Ils ont été développés jusqu’aux années 50 où ils ont cédé progressivement leur place au plastique (bien meilleur marché à produire). Aujourd’hui nous assistons à une renaissance des tin toys et les entreprises qui ont survécu fabriquent des répliques plus ou moins fidèles des anciens modèles. Le musée en a, d’ailleurs, dédié un espace vente. Nous remercions Monsieur André Raemdonck et son équipe pour leur disponibilité et leur accueil, et qui le temps d’un après-midi nous ont ramené en enfance.
www.museedujouet.eu
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Musée du jouet de Bruxelles
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Livres
s les yeux danans lesdeyeux de
dBettie Rose
Bettie Rose
Pour inaugurer cette nouvelle rubrique de Pure Vintage Magazine, nous vous proposons de découvrir un grand classi ue de la fin des années . Rien n'est trop beau ou « The Best of Everything » pour la version originale est un roman écrit par Rona Ja e, publié en 1 5 (et adapté au cinéma en 1 5 ).
de Rona Jaffe
de Rona Jaffe
Dès sa sortie, il conna t un succès fulgurant et provoque l'engouement des femmes américaines qui se reconnaissent et s'identi ent à ces jeunes secrétaires venues d'horizons di érents. Nous avons donc choisi de vous en parler aujourd'hui car en tant qu'amoureux des années 50, ce roman vous séduira... Vous partirez à la découverte de femmes très di érentes ayant chacune sa propre ambition et qui évoluent au c ur m me des années 50. Les descriptions vous feront sourire, parfois m me vous laisserons envieux, voir nostalgiques.
L'histoire :
Les jeunes secrétaires de l histoire sont toutes venues d horizons différents, sont employées dans une grande maison d'édition new-yorkaise, et leurs rêves et doutes re ètent ceux de toute une génération de femmes. Si la ville semble leur offrir d infinies possibilités professionnelles et amoureuses, chacune l’ambitieuse, la naïve, la divorcée…- doit se battre avec ses armes pour se faire une place dans un monde d'hommes. « Un roman passionnant et édifiant sur ce ue fut la vie de ces femmes ui allaient finalement révolutionner ce ue l’on n’appelait pas encore la condition féminine. » Florence Dalmas, Le Dauphiné libéré. « Ce récit peut se lire soit comme un roman un peu désuet, mais plein de charme, soit comme le document d’une époque. Dans un cas comme dans l’autre, on se régale. » Pascale Frey, Elle.
Notre avis :
C'est un vrai régal ! Si un lecteur n'a pas la passion des années 50, il trouvera peut tre l'ensemble un peu désuet ou alors le verra t il comme un document témoignage du monde du travail tel qu'il se présentait aux femmes à l'époque. Les fans de la série Mad Men ne devraient pas avoir de diffcultés à s'imaginer les décors et les personnages, même si ici, l'histoire prend place dans une maison d'édition. Nous suivons 5 femmes, provenant toutes de milieux di érents et ayant toute une destinée di érente. Toutes sont à la poursuite de leur but, toutes souhaitent réussir que ce soit professionnellement ou pour faire un bon mariage. Nous suivons leur quotidien dans l'e ervescence de Manhattan, dans le monde impitoyable de l'édition mais plus généralement du travail, monde régi par les hommes et par quelques rares femmes. Les personnages sont attachants, on rit avec eux, on pleure, on espère, on retient sa respiration, on s'attache, on les aime, on les déteste... Rona Ja e nous fait vivre un vrai moment du quotidien des femmes des années 50 et c'est un pur bonheur que de les suivre tout au long des 500 pages de ce livre.
La note de Bettie Rose pour Pure Vintage : 4,5/5
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Moteur
par Knuckle Ed
Moteur
les moteurs de
knuckle ed
CADILLAC Fleetwood
sixty special
1956
Le premier modèle Sixty Special sort des usines de Détroit en 1938, déjà équipé d’un moteur V8 5.7l de 130cv, c’est un modèle intermédiaire entre les Cadillac d’entrée de gamme «Series 60» et les séries «Senior».
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Moteur
LA CAD 56
La Cadillac de Christian est un modèle 1 5 Fleet ood Sixty Special. Son père possédait ce modèle quand il n’était encore qu’un gamin et Christian tenait à retrouver une voiture identique. l roule en voiture américaine depuis 1 5, mais il lui a fallu chercher et patienter 10 ans pour trouver cette fameuse Cad 5 .
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C’est par hasard, il y a deux ans, lorsqu’un de ses amis importe des USA un lot de voiture, qu’il tombe en n sur l’objet tant convoité. l craque totalement devant l’auto et conclut l’a aire. Restaurée il y a une trentaine d’année aux États Unis, l’auto est en très bon état, une simple révision et la belle commence à user ses pneus sur les routes genevoise.
Moteur
n palace sur roues anc blanc), aux intérieurs chargés de chromes et de cuir ui préfi ure nos berlines contemporaines les mieux équipées. Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Moteur
AILERONS INSPIRÉS DE L’AVIATION Le premier modèle Sixty Special sort des usines de Détroit en 1938, déjà équipé d’un moteur V8 5.7l de 130cv, c’est un modèle intermédiaire entre les Cadillac d’entrée de gamme « Series 60 » et les séries « Senior ». Le modèle évolue durant plusieurs années et c’est en 1948 qu’un changement important apparaît. Inspiré par la dérive des avions Lockheed P-38 Lightning, Bill Mitchel, designer chez General Motors, redessine l’arrière des voitures, c’est la naissance des fameux ailerons de la marque qui auront leur apogée en 1959.
ÉCHAPPEMENT INTÉGRÉ
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CLIMATISATION
Les modèles 5 sont équipés du nouveau V 5cu (5. L) de 2 5 chevaux d’une bo te automatique 4 vitesses Hydra-Matic. Cette auto, datant bient t d’une soixantaine d’années, est équipée de freins assistés Bendix, de vitres électriques, sièges électriques, air conditionné, changement de phares automatique, antenne électrique et bien s r de la direction assistée ! L’empattement est de .4 m pour un poids d’environ 2 tonnes. La voiture sera vendue à 1 000 exemplaires au tarif de 4,5 . n peut noter quelques nouveautés les sorties d’échappement incluses dans le nouveau pare choc, la grille de calandre fa on «Eggcrate» redessinée, un insigne Cadillac sur la calandre coté conducteur et un insigne Sixty Special sur les ailes avant.
L’air conditionné utilise un original et ingénieux système. Derrière la lunette arrière, deux petites bouches récupèrent l’air extérieur. Cet air est refroidi directement dans le co re par deux radiateurs-évaporateurs alimentés par le compresseur de «clim» qui lui se trouve, comme d’habitude, sous le capot moteur. L’air ainsi refroidi est ré injecté dans quatre plafonniers via deux gros tubes transparents passant à travers la plage arrière. Christian a déjà parcouru plus de 20 000 km en deux ans, et n’a rencontré aucun problème mécanique; sa Cadillac avale les kilomètres avec une facilité et un confort digne d’une grosse berline moderne.
© Photos : Knuckle Ed
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Événement
l a v ti s fe
s e n i a c i R des ème
16
2014 ) r a V ( c chin < o r B e r r Le Brus e s de Pi eur
> Album
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en coul t u a h s o phot
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Événement
par Fride Courtin
The Runaway Dogs
The
ild oogie ombo
Little Roman & the Dirty Cats
The Spunnyboys
ruiser Rock’n’roll lub Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Événement
La première JAMBOREE dans l’entité de Soignies (Belgique) s’est déroulé en juillet dernier sous chapiteaux avec un demi-millier de personnes venu assister aux différentes étapes de ce premier show façon « américaine ».
Le moins que l’on puisse dire c’est que ce 1er Jamboree de Soignies a tenu toutes ses promesses. En effet, en argot américain, le terme « Jamboree » est synonyme de festivités, de réjouissances bruyantes et même de beuveries autour d’un feu (selon le très sérieux xford Dictionary). Et ce dimanche de juillet, malgré la menace des orages, les différents groupes (The Runaway Dogs,The Wild Boogie Combo, Little Roman & the Dirty Cats, The Spunyboys, Jake Calypso) ont mis le feu à la scène et ce dans une ambiance d’enfer. Ce meeting organisé par Didier et son équipe du comité des fêtes de la ville de Soignies, et animée par l’omniprésent DJ Boule, mérite sa place sur notre planète Rock’n Roll. D’ailleurs les « Nordistes » ne s’étaient pas trompés et avaient fait le déplacement en masse pour participer à la fête. En parallèle, l’élection de Miss Soignies était organisée sur le site. Les organisateurs avaient donc en toute logique et pour notre plus grand plaisir instauré le thème « Vintage » comme fil conducteur à leur concours, même si les prétendantes au titre du jour ont quelques fois été un peu dépassées par l’ambiance festive du jour !
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Évènement
Dj Boule
Stéphane
Stéphanie, Armelle et Amanda
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ereux pour L’abus d’alcool est dang
Prochain amboree 25 et 26 juillet 2015
avec la santé, à consommer
modération.
Évènement
Yann-Eric
boree Photos Soignies am Fride Courtin
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Évènement
Les organisateurs David GOMINA,Vincent, Marco, Roro,Lascar, Philippe, Ed et G+®g+®
A PARMAIN
Pin Up Miss-You y était
Le festival Rock’n’Roll, Kustom et Tattoo du Nord de Paris (Parmain-95)
et
Septembre
www.facebook.com/Kustom.Festival.and.tattoo
Les 20 et 21 septembre 2014 s’est tenu à Parmain comme depuis 9 ans, dans le 95, l’un des plus grands rassemblements de la culture Rock’n’Roll, Kustom et Tattoo du Nord de Paris. Je suis touours heureuse et fi re d en tre la Pin-Up depuis 3 ans déjà… Le N RTHS DERS C.C, Car Club du nord de PAR S dans le Val d’ ise, passionné de véhicules US kustom, hot rod, de Rock n’ Roll 50’s et 0’s (qui compte comme membres Vincent, Marco, Roro, David omina, Lascar, Philippe et égé) et le Freak’s Club pour l’évènementiel (dont David omina, Lascar en sont les fondateurs) se sont associés pour créer ce festival.
n y a retrouvé tout ce qui pouvait satisfaire tous les passionnés et amateurs ! Au programme, diverses animations durant le eek end et 20 tatoueurs venus de toute la France, une pierceuse. Plus de 0 stands au rétro market v tements, fripes , goodies, gomina, goodies, créateurs bijoux et v tement Pin Up, vinyles, objets déco, coi eurs vintage homes et femmes, pièces auto, pinstriping L’espace coi ure rétro barber shop pour ladies et greasers avec Alex et Loulou Pidooh. Cascades en BM par Je y STARS. Dé lé Pin up « organisé par Crazy shop Lily’s Rock ». Sho Burlesque de Bloody Mary et Emy Lox. Concours de Tatouage. Cars et Bikes Sho en américaines pré , kustom, hot rod et bikes vintage.
Concerts live bands
Dix groupes internationaux sont venus animer ces deux jours The Sub ay Co boys The rradiates Mumblin Caveman Carolina Rhythm Rockets (All) Jittery Jack (Usa) Wise uyz (Ukr) The rradiates (Fr) «surf music» Mumblin Caveman «one man band» (Fr) Jamy and the Rockin’ Trio (Fr) The Atomic Cats (Fr) Silver Moon (Fr)
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VICKIE THUILLIER © CLAUDE BENSIMON
© CLAUDE BENSIMON
STEPHANIE DELLEUZE, LOULOU PIDOOH © CLAUDE BENSIMON
ALEX HAIRCUT’S © CLAUDE BENSIMON
ROLL’N RELAX et MISS YOU
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© CLAUDE BENSIMON
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Barbershop © CLAUDE BENSIMON
HAPPY STARS © PHOTO MIRAGE
Emy LOX © CLAUDE BENSIMON © photo de gUNt PhOtO
© PASCAL BrISSArt
© CLAUDE BENSIMON © CLAUDE BENSIMON
MISS YOU, IKSS DELYS, MARIA KONTELI, CHARLOTTE CANDAT © DIDIEr BONIN
© PASCAL BrISSArt
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Pure
VINTAGE
il
par Lily Hope
Rencontre avec une passionnée toujours à la recherche de trésors cachés.
Célia , 22 ans est étudiante en cinéma d’animation. Silhouette longiligne, coiffure de pin-up, liptisck rouge incendiaire et lunettes rondes vissées sur le nez, cette jeune femme à la personnalité ien affirmée et au loo personnel inimita le m a ou ert les portes de son appartement parisien. Un voyage dans le temps et un certain goût pour les mélanges où se côtoient mobilier vintage chinés au coins des lo s et fi urines fa on man a soi neusement alignées. Célia a une certaine idée de l’élégance et met un point d'honneur à porter du rétro de la t te aux pieds, du tailleur jupe crayon à la gu pière, tout y passe. Cette fan d'histoire des années 40, une décennie vestimentaire qu'elle ma trise parfaitement et qui l'inspire au quotidien, peut en un seul coup d’ il di érencier une robe authentique d'un modèle plus «cheap» dégotée pour trois francs six sous dans une friperie du coin. La coupe magistrale, la matière noble, elle m'explique que c'est à cela que l'on reconnait une belle pièce d’époque. Et Célia n'hésite pas a investir lorsqu'elle croise le regard d'une robe aux accents divinement rétro tout droit sorti d'un lm de Lauren Baccal. Des pièces 100 vintages, uniques en leurs genres et con us pour durer qu'elle a ectionne tout particulièrement.
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Rencontre
Comment est né ton goût pour le vintage ? A vrai dire c’est en grande partie du à ma grand mère. Toute petite, déjà, elle me trimbalait dans toutes les brocantes u’elle trouvait et j’adorais ça. Étant elle-même une grande connaisseuse des objets anciens en tout genre (de Louis II aux années environs), elle m’a appris à les reconna tre, leur donner un prix et surtout à les apprécier. Ils sont chargés de souvenirs qui certes ne me sont pas propres mais qui engendre en moi des tas d’histoires. Cela m’a toujours fascinée. Ton coup de cœur de la saison ? Il y a deux expositions que j’ai beaucoup appréciées cette année. La première est l’exposition qui s’est déroulée au Musée du quai Branly : Tiki pop. Je l’ai trouvé assez complète dans le sujet u’elle abordait. Étant une admiratrice de l’art a a en (Tikis, meubles en matières brutes), cette exposition m’a beaucoup marquée ! la deuxième n’était pas contournable pour les connaisseurs et amoureux de la mode « vintage « (et de la mode tout court). Je parle bien sur de l’exposition ayant pour thème la mode des années 50 au Palais Galliera. Si tu devais donner un conseil de style à ceux qui nous lisent ? Je leur conseillerais de choisir des pièces qu’ils apprécient vraiment sans prêter attention aux goûts des autres. Néanmoins, il faut toujours prêter attention à la facture des pièces, leur coupes, leur ualité et à la façon dont on va les porter. Une pièce que tu ne pourrais jamais porter ? Personnellement ce serait les tristement célèbres «UGG». C’est un véritable tue l’amour. Ou bien les costumes masculins trop grands. La mode n’est pas forcement confortable, ne l’oublions pas ! Après c’est le parti pris de chacun. Tes meilleurs spots pour chiner ? Ce serait les puces de Clignancourt, les fripes rue Roi de Sicile. J’adore l’odeur des vieilleries qui stagne là-bas. Et puis on y trouve des choses fantastiques, c’est toujours un bonheur de tomber sur une pièce inattendue. Où puises-tu ton inspiration ? Dans absolument tout. C’est une façon de voir la vie et de la vivre. Cela passe par les dessins animés (évidemment), d’anciennes photographies, des films, des vieux bouquins ainsi que dans la vie de tous les jours.
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Mode
Évolution de la mode féminine entre les années 20 et 60 MystiMiss vous dévoile comment dater un vêtement féminin vintage par le style.
Je dis par le style car il y a d’autres méthodes pour dater un vêtement : les matières, la fabrication et les méthodes de coutures em loyées les éti uettes s il y en a Je reviendrai bien sûr sur ces autres méthodes dans de prochains articles, car pour le moment, intéressons-nous d’abord à la base de la connaissance en mati e de costume ui est de ou oi date un tement a son style sa cou e sa sil ouette J’ai sélectionné la période entre 1 20 et 1 0 car c’est celle qui vous intéresse le plus, chers lecteurs passionnés de vintage. Au delà, je n’ai pas besoin de vous faire un dessin pour la mode hippie des années 0, encore moins celle des années 0 sortez dans la rue, c’est celle qui est tendance en ce moment... en n soi disant... bref, je n’ai rien à vous apprendre concernant ces années là. Par contre, avant, oui ! Bon, j’espère tout de m me que vous allez reconna tre certaines choses, vous dire ah oui a j’ai déjà vu etc..., ce que je veux vous apprendre dans cet article, c’est pouvoir dater au premier coup d’ il un v tement ou du moins situer sa période avec le plus de précision possible. Je vous dis de suite que l’histoire du costume comme l’Histoire en général n’est pas une science exacte! Comme dit ma mère, allergique à l’Histoire (on se demande de qui je tiens alors ) «on y était pas!» quoique là, il s’agisse de périodes assez récentes, nous avons donc encore des témoignages directs de nos grands parents ...n’est ce pas maman Ah ah! Bref, assez rigolé, entrons dans le vif du sujet, car je vous sens déjà impatients de tester ensuite vos connaissances dans une virée shopping vintage! Bah oui, a sert aussi à a la connaissance! Promis, je vous dis pourquoi à la n. Pour que vous compreniez mieux l’évolution de la silhouette féminine, je vais vous expliquer les choses au travers de v tements comme les robes, jupes ou hauts, base de l’habillement de la femme. Je ne parlerai pas des pantalons et autres, car c’est d’autres histoires à vous raconter plus tard. Je commencerais par vous dire que les dates seraient de bons repères, 1 20, 1 0, 1 40, 1 50, 1 0... si cela était aussi simple. Hors il n’en est rien hélas. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer. C’est là une bonne maxime de la femme et de tout son univers ! Certes, on peut se donner en t te une certaine silhouette en rapport avec telle ou telle date, mais je suis ici pour mieux vous préciser les choses, a n d’écarter les erreurs trop communes. Tel est le but aussi de ce magazine, n’est ce pas Donc, sans rentrer dans le détail (chaque période aura bien s r plus tard son article spécial) voici présenté l’évolution de la mode féminine de 1 20 à 1 0.
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Mode
1920-1926 epuis la fin de la premi re uerre mondiale de 1914-1918, un grand bouleversement apparu dans le costume féminin, soit le raccourcissement de la jupe et l’abandon des corsets. Les choses se sont faites progressivement mais dans un laps de temps assez court, accéléré par la Grande Guerre.
1920 Art Déco
1925 Paul Poiret
Mais avant donc, l’état d’esprit de l’époque se voulait à la modernité développement du sport, go t de l’aventure, des Arts Nouveaux, des dernières technologies industrielles, etc... La femme devient plus active et indépendante, et la guerre l’obligeant à faire le travail des hommes partis au front, ceux ci furent donc sous le choc à leur retour.
Elles se dé rent dé nitivement des corsets au pro t d’une simple gaine porte jarretelle. Les robes furent simpli ées à l’extr me, la taille glissant jusqu’aux hanches et s’e a ant complètement, faisant ressembler les robes à un tube o l’on en lerait la t te et les bras. Et elles coupèrent leurs cheveux courts. Un drame donc pour les hommes qui ne trouvèrent plus les charmes féminins, la ar onne était là. Les rands Couturiers tel que Poiret, Doucet... disparaissent face à des femmes tel que Jeanne Lanvin, les sœurs Callot, Chanel... La mode s’inspire tout d’abord de l’Art Nouveau, avec ses courbes empruntées à la nature glori ée (en réaction à l’industrialisation à outrance), jusqu’en 1 25 ou a lieu à Paris l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes. L’Art Déco fait son entrée, en réaction à l’Art Nouveau (bah oui, c’est toujours une question de bataille les modes...), avec un retour à la rigueur, au classicisme et à la symétrie, le tout bien stylisé, géométrique, cubiste.
Pour gagner en liberté, en praticité et en économie, les femmes avaient donc encore raccourci leurs jupes, et ce, jusque sous le genoux.
1920 Chanel
1925 1925-26 Maison Agnès Soeurs Callot
1925 1926 Garçonne, Paris Jean Patou
1925-26 soeurs Callot, Metmuseum
1926 Jean Patou
1920
1925
1925-26
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Mode
1927 - 1938
1927 Les soeurs Callot
1927 Paul Poiret
Sous l'in uence de Mme Vionnet et de ses recherches de coupe en biais, la silhouette se redessine peu à peu plus près du corps. La taille commence donc à reprendre très doucement sa place. Mais les tenues restent et resteront à jamais plus pratiques et confortables face à la vie moderne et son quotidien. Cependant, les robes deviennent plus moulantes, surtout pour le soir, généralement avec un grand décolleté dans le dos. Et alors, au grand dam des féministes, la gaine revient pour garder un ventre plat. Les cheveux rallongent un peu et les chapeaux dégagent de plus en plus le visage d'un côté, d'un air penché.
1930
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Ginger Rogers
al ré l euphorie des nnées olles les crises financi res sont ien l et pour relancer l'économie, il faut rebooster le marché de la Mode, bien appauvrie depuis la mode minimalisme des robes. Donc, pour remettre plus de « matières » et aussi forcément plus de travail, on s’ingénie à relancer la mode des jupes plus longues. ifficile est la t che face la nou elle li erté de la femme ais le lamour du cinéma, la magie du Music Hall vont aider pour beaucoup car l'on cherche à « copier » ses vedettes, comme Greta Garbo, Joséphine Baker...
1927 Jean Patou
1928
1928
Coupe près du corps
Après 1 2 , la réalité des temps durs prend le dessus tout de m me, et se fait ressentir les couleurs sont plus ternes, les coupes plus sages.
Fin des années 30, l’ourlet remonte un peu
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Jean Harlow
Dans le domaine de la mode, un retour logique au glamour féminin s'amorce donc, suite probablement aussi à une certaine lassitude d'une mode androgyne. Les modes extr mes sont toujours les plus brèves. Dans le monde de la Couture dominé désormais par des femmes, celles ci retrouvent peu à peu le go t de la féminité. Concrètement, de timides pans asymétriques ou des quilles s'ajoutent aux robes. Puis, en n, l'ourlet se stabilise en 1 0 au niveau des mollets.
1929 Madeleine Vionnet
1929
Metmuseum
L'extravagance passée devient de mauvais go t. la n des années 0, les robes recommencent à raccourcir légèrement... L'orage gronde...
1935 Madeleine Vionnet
1936
Sobriété de la robe de mariée de Wallis Simpson, 1937
Mode
1939-1946 C'est la Deuxième Guerre Mondiale. La guerre la plus terrible et la plus meurtrière. Tout le monde est touché. Tout est mis à contribution pour la guerre. Le monde de la Mode n'échappe pas évidement et la créativité se limite seulement à chercher des moyens d'arriver à faire quelque chose avec presque rien.
1940 Jacques Fath
upe et blouse
La silhouette de la femme a les épaules plus carrées, plus larges, en rapport notamment aux vestes d'hommes empruntées en guise de manteaux. La taille est cintrée et ceinturée tout de m me. La Femme veut rester femme. Les jupes sont de nouveau au plus court, sous le genoux donc, la décence minimale. Comme à la n des années 0, elle reste un peu évasée. Tout est réduit au plus pratique, au plus chaud.
1940’s
1940’s Crepe dress
Les maisons de Haute Couture parisiennes ferment pour la plupart, comme Chanel. Certains comme Lucien Lelong et Elsa Schiaparelli résistent pour maintenir la Couture Fran aise sous l' ccupation. Chacune y va de ses trucs et astuces pour rester belles et soignées. n se débrouille soi m me, on ra stole plus que l'on ne coud, puisqu'il y a pénurie de tout. Et évidemment la mode du début jusqu'à la n de la guerre reste inchangée.
1940’s
1945 Uniforme US Air orce Metmuseum
1940’s
Jean Harlow
Un phénomène encore inexpliqué, que l'on retrouve d'ailleurs tout au long de l'Histoire du Costume a encore lieu les coi ures prennent de la hauteur en période de guerre. Si quelqu'un parmi vous a des suggestions ! De plus, on allongent encore la silhouette court vêtue par l'apparition des chaussures compensées. Malgré tout, la femme a su rester digne et élégante et c'est ce qui a agréablement ravi les américains après le débarquement.
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Mode
1947-1957 a uerre est finie. e monde doit se reconstruire. Il faut relancer l’économie coûte que coûte. Tout est mis en œuvre, tous contribuent avec une volonté incroyable. On veut faire table rase de ces années d’horreurs. On veut du positif, de la gaieté, retrouver la joie de vivre ! Et bien sûr, la Mode va participer à cet effort collectif. Pour relancer la Couture Française, et d’une manière générale, toute l’industrie de la mode, Monsieur Christian Dior va alors créer (et surprendre en une nouvelle silhouette de la femme, très féminine, glamour à souhait, désirable et séductrice... plaisant aussi bien aux hommes qu’aux femmes ellesm mes. Le succès fut immédiat et fulgurant, la presse new-yorkaise l’appela le new look . Monsieur Dior crée donc «des femmes- eurs, aux épaules douces, aux bustes épanouis, aux tailles nes comme des lianes et aux upes larges comme des corolles . a silhouette s’inspire aussi de la mode du econd mpire, au temps des crinolines, période ou les volumes étaient les plus aboutis, en harmonie féminine parfaite... vous ai-je
1951 Norman Norell
Robe de la Princesse Margaret par Jean Dessès 1951 V&A Museum
s Robe Pièces McCall
Robe Venus Christian Dior
1947 Tailleur Bar, Dior
1950 Christian Dior
déjà dit que la mode est toujours un éternel recommencement our cela donc, un maximum de tissu possible est utilisé dans le volume de la jupe, qui est rallongée jusqu’à mi-mollet. Cependant, (et peut être pour ne pas frustrer celles qui n’ont vraiment pas les mo ens , une autre silhouette vient en parallèle. La upe n’est
1953 Givenchy
1947 Balanciaga
5
douard oubat
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1950 Jacques Fath
plus du tout évasée, mais droite, à hauteur de mi-mollet toujours, avec souvent un détail ou une coupe asymétrique pour agrémenter au début. Elle souligne quand même le galbe des courbes de la femme, accentuée donc par l’étroitesse de la jupe. Pourrait-on dire alors la femme tulipe La taille est très affnée par un bustier renforcé
1953 Jacques Fath
(donc plus de tissu encore), nécessitant par la même occasion une nouvelle lingerie (pour faire revivre l’industrie de la lingerie . La féminisation et la gr ce de la silhouette passe aussi par les épaules basses, arrondies, plus e acées. ini la carrure très carrée d’avant Pour équilibrer l’ensemble, la tête se fait petite et mignonne, la nuque dégageant le cou gracile. xit les coi ures en hauteur, la guerre n’est plus. Les pieds aussi se font léger et ns, les gros compensés de la mode précédente Les accessoires reviennent en force aussi gants, sacs,... il faut bien relancer toute les machines de la mode Les années furent l’apogée de la outure et de l’élégance, et donc, e le répète et s’il le faut des milliers de fois une ode bien .
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1949 Frocks
1956
Mode
1958-1960 1958 - Yves Saint Laurent pour Christian Dior outure ubble ress
1958
1958 - Yves Saint Laurent pour Christian Dior
1958
1959 - Yves Saint Laurent pour Christian Dior
1960
1960’s
1958
1958 Balloon Coat, ubert de ivenchy
1958 Lanvin Castillo Paris
1959 - Yves Saint Laurent pour Christian Dior
L’après-guerre ayant entraîné un incroyable baby-boom, c’est toute une génération de jeunes qui va bouleverser le monde à l’aube des années 60. N’ayant pas connu la misère des guerres précédentes, cette jeunesse presque majoritaire, méprise la frénésie de la société de consommation des adultes. Même s’il y a d’autres guerres, elles sont « loin » et les jeunes ne se sentent pas concerné. Ils ont d’autres occupations comme leurs loisirs, leur propre société composé de di ers roupes au in uences sou ent musicales) et idéologies diverses. Donc, cette jeunesse dégo tée du confort et de la belle vie que pr ne leurs parents (bah, ils ne sont jamais contents... c’est a la jeunesse !) adopte par contradiction la tenue des classes les plus pauvres, et se crée des codes vestimentaires suivant leurs appartenances à tel ou tel groupes. La mode féminine devient donc plus simple, moins sophistiquée. La silhouette se fait plus souple et moins «étriquée». Des formes nouvelles et originales commencent à appara tre en Haute Couture, comme les formes boules, trapèze, ... La taille est moins prononcée, et parfois remonte m me sur le devant. La poitrine redevient plus naturelle. Le volume des jupes reste ample mais plus en rondeur. Pour cela, on utilise moins de tissus, mais qui ont en revanche plus de maintien. l en va de m me pour les jupes droites. Dans l’ensemble, les découpes et les détails très couture sont de plus en plus simpli ées. L’ourlet raccourcit juste en dessous des genoux. Les accessoires comme les gants et les chapeaux commencent à ne plus tre «essentiels». Pour les chaussures, la ballerine devient une sérieuse concurrente au talon.
La coi ure se simpli e et semble moins travaillée la mise en plis des boucles de maman est remplacée par un brushing donnant plus de volume aux cheveux. La garde robe féminine devient aussi de plus en plus conséquente, avec des tenues très diverses, l’industrie du pr t à porter s’est généralisé et devient accessible à toutes les bourses. Nous sommes à l’aube du monde moderne tel que nous le connaissons.
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Événement
s in ce 1997
GOODWOOD La chevauchée de Charles Chojnacki
2014 Circuit mythique à une heure de Londres, dont la première course fut organisée en septembre 1 4 . Ce circuit a vu courir des légendes telles que Jim Clarck, raham Hill, Mike Ha thorn, Bruce Mc Laren (qui y trouva la mort) Et bien d’autres Depuis 1 , le GOODWOOD REVIVAL est LE lieu du vintage, une véritable machine à remonter le temps, de 1 0 à 1 date d’arr t des compétitions sur le circuit. En jours sur et autour de ce circuit toutes les époques se croisent, se mélangent dans une atmosphère particulière, parfois anachronique mais réglé comme une partition. Pendant que les anc tres à 4 roues se mesurent sur le circuit, les Spi re 4 , Mustang P 51 ou forteresse volante s’approprient le ciel au dessus du site. Les spectateurs eux m mes sont en v tements d’époque. Les attractions, échoppes et restaurants sont dans le ton. Comme beaucoup de visiteurs sont des passionnés nombre d’entre eux sont venus avec leur joujou de collection, ce qui fait que le parking lui m me vaut le détour à lui tout seul. Deux jours minimum sont nécessaires, mais ne vous faites pas d’illusion pour la prochaine édition qui aura lieu du 11 au 13 septembre 2015 il n’y a plus une chambre d’h tel dans un rayon de 0 km, reste le camping ou élargir le périmètre...
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Événement
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Évènement
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Évènement
© Photos : Charles Chojnaki
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Pin Up Miss You
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vous souhaite une belle annĂŠe 2015 ! Octobre n Novembre n DĂŠcembre 2014
Rétro Insolite
us ie vous prend de vo nv l’e si s, ur jo s no De le histoire, vous avez divertir avec une cet ordre : aller au choix et plutôt dans DVD, cinéma, regarder un e télé, ou regarder un la à lm fi un er rd rega les sur le net, et pour vidéo en streaming uin endre un bon bouq férus de lecture, pr us no c.). Notre époque et a, ng ma , BD , an om (r ns lle pléthore de moye a habitués à une te la fiction que nous de er nc la ba us no pour fut us attention. Ce ne n’y prêtons même pl pas toujours le cas.
A
u début du vingtième siècle, si vous vouliez frémir le soir devant une histoire, il fallait lire. Vous n’aviez absolument aucun autre moyen, et ce jusqu’à l’avènement de la radio, dans les années 1930. Le souci, c’est que pour un ouvrier moyen en ces temps reculés, joindre les deux bouts sans faire dans la fantaisie était déjà une gageure. Alors, pensez, investir dans une radio… Encore fallait-il avoir l’électricité ! Dans les années 20, par exemple, même aux USA, les foyers ruraux ou en périphérie des villes étaient rarement raccordés au réseau électrique. Et une radio basique coûtait dans les 100 dollars. Sachant qu’une famille moyenne gagnait environ 230 dollars par mois, ça vous donne une idée de l’investissement.
Il fallait lire, donc, mais encore fallaitil qu’un type de publication à la fois abordable et universel puisse exister. Et, de fait, ce furent les «dime novels», littéralement les romans à deux sous (le dime est une pièce de 10 cents). Ces publications étaient plutôt austères : couverture cartonnée de couleur, sans illustration au départ, contenant une centaine de pages environ.
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Rétro Insolite
Elles connurent un succès grandissant à partir de la Guerre de Sécession, c’est-à-dire l’époque de la propagation de l’alphabétisation à travers tout le territoire américain, jusqu’à la fin du dix-neuvième siècle. A partir de cette période, grâce à l’essor industriel et les nouvelles machines qui en découlèrent, elles furent supplantées par les premiers Pulp Magazines.
remaniements et un passage en parution mensuelle. Mais ce qui caractérisait ce type de publication, c’était d’une part son format (18 cm x 25 cm) et d’autre part (et surtout) le type de papier sur lequel il était imprimé et qui allait lui donner son nom.
Le premier Pulp à paraître fut «The Argosy», publié à New York par Frank A. Munsey en 1882. Après des débuts plutôt discrets en format hebdomadaire et orienté vers un public masculin adolescent, le tirage de ce magazine prit son essor véritable en 1896, après quelques
En effet, dans le souci de proposer un magazine le moins cher possible, le papier qui le composait était grossier, aux bords irréguliers et non massicotés. C’était une pâte de fibre de bois (pulpe) traitée dans un bain d’acide, rapidement séchée et enroulée sur de grandes bobines.
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Il jaunissait rapidement et se décomposait assez facilement en une pluie de confettis sur le lecteur qui avait la mauvaise idée de vouloir le relire trop souvent ! Mais malgré ce genre de désagrément qu’on pourrait penser rédhibitoire de nos jours, le fait que ce genre de magazine était proposé à 10 cents (!) balayait toutes les objections. Munsey avait l’habitude de déclamer : «Nous voulons des histoires. De vraies histoires, pas d’esquisses, pas d’études éculées et mollassonnes de la nature humaine, pas de faibles contes mollassons sur la nature humaine, pas de faibles
Rétro Insolite
contes sentimentaux maladifs, pas de jolis écrits. Nous voulons une fiction dans laquelle il y ait une histoire, une force, un conte qui signifie quelque chose, bref : une HISTOIRE !». Et, de fait, c’est ce que contenaient les Pulps et le public en avait pour son argent. Ces magazines valaient tout simplement plus par la valeur des histoires qu’ils contenaient que par la matière sur laquelle ils étaient imprimés ! De plus, contrairement aux dimes novels, les Pulps contenaient la plupart du temps trois ou quatre histoires distinctes, pouvant s’étaler sur plusieurs numéros, et permettant par la même occasion de proposer différents thèmes de lecture. Mais l’engouement et la demande croissants de la population envers les Pulps magazines provoqua l’apparition de parutions aux thèmes nettement plus ciblés. Il y eut les Pulps Western, les Pulps de Science-Fiction, les Pulps de genre Roman Noir, sentimentaux, sportifs, d’aventures exotiques, etc… Sans oublier les Pulps érotiques ou mixtes (action / érotique). Bref, tout un chacun pouvait s’y retrouver et dans le genre qu’il affectionnait. Ce vaste mouvement devint petit à petit un marché très florissant et toute une économie se mit en place autour du phénomène Pulp. La raison d’être de ces parutions étaient les histoires, il fallait donc des écrivains ! Même si le genre était souvent dédaigné et dénigré par les « vrais » artistes, il n’en reste pas moins que cela représentait une source de revenus facile et rapide pour qui était capable de torcher une romance ou tout autre scénario en une journée. C’est ainsi que des noms illustres firent leur apparition sur les couvertures : Raymond Chandler, Agatha Christie, Joseph Conrad, Arthur Conan Doyle, Francis Scott Fitzgerald, Rudyard Kipling, Jack London et de nombreux autres. Les illustrations aussi participèrent à l’élan du genre. Il fallait sans cesse titiller le lecteur et certaines couvertures étaient de véritables œuvres d’art. Parfois, c’était la couverture elle-même qui était le point de départ de la fiction. L’auteur devait s’inspirer de la scène représentée et créer son récit en fonction de l’atmosphère qui en découlait. Peu à peu, l’image gagnait du terrain : la couverture évolua vers une impression sur papier glacé, le
reste étant toujours logé à la même enseigne : la « pulpe », cette fameuse texture qui buvait littéralement l’encre dont on la recouvrait. Il fallut trouver de nouvelles techniques pour que les illustrations soient à la hauteur de la fiction malgré ce handicap. Les zones d’ombres étaient créées par des hachurages successifs et dans des sens divers, ou alors on utilisait la technique du pointillisme. Et si les détails manquaient de mordant, les illustrateurs en étaient rarement la cause, mais bel et bien ce papier de piètre qualité, parfois parsemé d’éclats grossiers de fibre de bois, sur lequel ils étaient obligés de travailler. Les Pulps prospérèrent jusqu’à la deuxième guerre mondiale, époque autrement tragique pour le reste du monde, mais qui eut pour effet, en ce qui concerne ces parutions, de les stopper net. Les pénuries de matières premières et l’augmentation du coût de fabrication que cela engendra firent que cette méthode d’impression n’était plus rentable. Le prix de revient était au final aussi élevé que les magazines traditionnels en papier glacé et plus personne ne s’y retrouvait. Les éditeurs qui désiraient survivre n’avaient d’autre choix que de passer à une catégorie supérieure d’impression, avec les coûts supplémentaires que cela impliquait, et d’adapter le contenu en conséquence. Et pour enfoncer un peu plus le clou, ils devaient contrer la concurrence de l’émergence de nouveaux genres : la Bande Dessinée, le Livre de Poche et… la télévision ! Le démantèlement de l’American News Company en 1957, qui était le réseau principal de distribution des Pulps, fut le coup de grâce. Même si le genre avait périclité bien avant, laissant la place à de nouvelles publications pour homme, les « Men’s Adventures », l’absence de ce type de soutien logistique scellerait à jamais le sort des Pulps.
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En virée avec Fride Courtin
Évènement
Auvelais 2014 BELGIUM ... l’atmosphère rétro des années 50 et 60
...Tonight www.customshow.be Accès totalement gratuit Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Événement
s r u o j x u e D mbreville Sa de s ne eu s de on ais e iqu m na dy ette année, la s nombreuses activités, se i rm pa , et ce en ist d’e s an s se te f llaboration co en o Sh ll Ro ’n ck Ro m to us le elle a organisé avec arnabus arage moins ue Cette ois la t te d a fic e n en était as ring Alan featu » ttes Rube le mythique groupe « The célèbres ses à tous e entr Williams (reconnaissable o et ont nous ls lanc cas uettes et costumes ès succ ds gran leurs de une superbe prestation live usic oul la de ds ainsi ue uel ues standa
Alan Williams
THE RUBBETTES featuring Alan Williams
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Festival
l l o R ’ n ’ k c o R
COUNTRY COOKING
HOT CHICKENS Hervé Loison e affche musicale. ne des me à leur habitude, une bell com tés, coc con groupes ient ava s nou édition, ils cèdent tout le week-end. Les Pour cette 5 nique des groupes qui se suc scé urent lité ass qua et la d est fon à ting ner mee don particularités de ce if n’hésitent pas à se plus nombreux et très récept en s plu de lic pub un par s transcendé pleinement le spectacle. ème
Alexx & THE MOONSHINERS
BACKSEAT BOPPERS
HOT CHICKENS Hervé Loison
DJ Boule Wild Bombers
Adolphe SEX et ses machines Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Événement
Pistons & Chromes
RADIKAL BUGZ - LENY RADIKAL BUGZ
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Gang de Pin Ups
Carré V.I.P.
lé Pin up était A noter également qu’un dé n p’tit coin de assuré gr ce à « ron Fist » et « U « Hair Sens » Parapluie » pour les tenues et à pour les coi ures.
Johnny Cadillac
AMÉLIE & Michaël
Élodie
Étienne
Étienne & Christel
Pauline
Maie-Lenn
Frédéric & Tiki Cash
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Événement
ACE CAFE
La chevauchée de Charles Chojnacki
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LONDON
Si vous passez par Londres avec un cœur de « Rocker » une visite au mythique « ACE CAFE » est un must. Il a ouvert ses portes en 1938 et accueillait les voyageurs et routiers 24 h sur 24 sur la ceinture circulaire du nord de Londres. Détruit durant la guerre, reconstruit en 1949 c’est à cette époque qu’il commence à être fréquenté par toute la faune des rockers qui faute d’abuser d’alcool (A contrario des Mod’s) roulaient le plus vite possible de cafés en cafés (Cafe Racer). Appelés aussi les « Ton-up Boys » ceux qui atteignaient le « ton » soit 100 m/h (160km/h) ils ont fait beaucoup pour la notoriété de l’Ace.
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Événement
Dans les années 50 la production des motos Anglaise est au top, Triumph, BSA, Norton… Le « Ace » devient le lieu de rendez-vous des Ace Boys. Après une pause entre 1969 et 1994 ou il a été exploité par un garage, il retrouve les bikers en 1997 et grâce à l’acharnement de Mark Wilsmore, en 2001 cet endroit de légende redevient le lieu où se retrouvent lors des rassemblements, tout ce qui compte des nostalgiques de ces années-là. Aujourd’hui même s’il n’est plus ouvert 24h/24 il y a encore tous les jours sur le parking les bobber et cafe racer qui sont toujours là, les pilotes aussi sont parfois d’époque, comme leur blousons et le son du Rock’n Roll…
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Événement
© Photos : Charles Chojnaki
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Événement
par Fride Courtin
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Festival
Cette année, les gars du Bratz Monkeys Car & Bike Club ont organisé leur premier meeting. Nous nous sommes donc rendus à Heist-Op-Den-Berg (entre Anvers et Hasselt) pour y prendre part. Et c’était une première pour votre magazine de couvrir un événement en terre flamande et de troquer la langue de Voltaire pour celle de Vondel ! N’en déplaise à certains, la différence n’est pas uniquement linguistique, elle est également culturelle. Là où le peuple wallon est amical, chaleureux et parfois un brin laxiste ;) celui du Nord de la Belgique est rigoureux et perfectionniste, et cela se ressent dans l’organisation mais aussi dans l’ambiance. Ce rassemblement fut magistralement organisé et ni les orages violents ni la pluie qui ont inondé le terrain n’auront eu le dessus sur les organisateurs.
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Finalistes au concours Pin Up
Lucy - Gagnante Pin Up
Nous avons pu y admirer de superbes voitures impeccablement lustrées et étince étincelantes sous le soleil et ensuite ruisselantes sous le déluge, mais aussi assister à une élection de pin-up. Les prétendantes au titre étaient départagées par un sonomètre qui mesurait l’enthousiasme du public et c’est Lucy (co-organisatrice du Rockabilly Swamp en Hollande) qui est repartie avec le titre.
Candidates au concours Pin Up
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Événement
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Événement
Smooth and the Bully Boys
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Notons également que c’est le groupe belge Smooth & the Bully Boys qui aura eu le privilège de clôturer l’événement par un set de plus de 3 heures de pur rockabilly.
Événement
En ce qui nous concerne, le rendez-vous est déjà pris pour l’année prochaine. La date annoncée pour la seconde édition est le 2 août 2015 et les organisateurs nous ont promis une affiche musicale des plus alléchante.
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Camille on the road
A 56 ans, cet ancien chauffeur routier aurait pu se contenter de son potager pour occuper ses journées, mais c’était sans compter sur la passion d’Yvan pour les caravanes anciennes, la décoration vintage et la rénovation de meubles anciens. 102 /
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l n’est pas difficile, en voyant la maison d’ van Barbé, de se rendre compte qu’il a une véritable passion pour les années soixante. Du sol au plafond, mobilier, peintures et tapisseries vous replongent 50 ans en arrière. Sa maison mais également son jardin, o il entrepose ses caravanes anciennes qu’il achète et restaure avant de les vendre ou de les ajouter à sa collection personnelle. «J’ai acheté ma première caravane en 99 . C’était lors du Tour de Bretagne, j’ai vu une caravane ancienne à vendre j’ai donc appelé et je l’ai acheté pour presque rien car le propriétaire voulait la casser et je l’ai ensuite restauré. On peut parfois trouver des caravanes très rares pour 50€ sur internet car les gens veulent s’en débarrasser et ne connaissent pas la valeur de leur bien.» Depuis, van Barbé sillonne les routes de France avec sa femme, fait du camping et ne manque pas de s’arr ter dans les vide-greniers et les brocantes pour dénicher de nouveaux trésors pour sa maison. Membre du Rétro Camping Club de France, il aime partager sa passion lors des expositions comme par exemple au salon « Rétro Passion Rennes » o il se rend chaque année. Plus qu’un amour pour les caravanes c’est tout un mode de vie qu’ van a ectionne et quand on lui demande si il aimerait un billet aller simple pour retourner vivre dans les années 1 0 c’est sans hésiter un grand oui qu’il nous répond, « A cette époque il y avait une réelle liberté, maintenant on ne peut plus rien faire ». Une liberté qu’ van essaye de retrouver, sur les routes, au volant de sa coccinelle ou de son fourgon Citro n lors d’évènements comme la reconstitution des embouteillages de Lapalisse qui avait lieu dans les années 50 0 sur la mythique nationale . Avec seulement quelques meubles chinés et un peu d’huile de coude il n’est parfois pas si compliqué de se construire son coin de paradis à domicile.
DĂŠco
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© Stéphane Thouanel / Modèle : Céline Choukette Doll
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Festival
l l o R ’ n ’ e
RÉTRO
u g i l Pou
Visite guidée en images © Photos : Gregory Dutein
Le 12 et 13 juillet dernier avait lieu la seconde édition du Retro Pouligue’n’Roll dans la commune du Pouliguen en Loire Atlantique. Deux jours à vivre au milieu des voitures anciennes, pour beaucoup américaines sur un fond de musique rock’n’roll. Des stands sympas (créations, vêtements, frippes, meubles, plaques, décoration...), expositions de véhicules, campings, concerts, animations, la bonne ambiance était au rendez-vous tout le week-end et le soleil aussi. Côté musique l’ambiance fut assurée par quatre groupes vraiment sympas qui ont fait danser l’assemblée dans une ambiance joyeuse et festive. L’occasion aussi pour quelques membres de l’équipe de parler de Pure Vintage magazine.
Rendez-vous l’année prochaine, les 11 et 12 juillet pour la 3e édition. 106 /
Bettie Rose Octobre n Novembre n Décembre 2014
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Festival
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Rétro Pouligue’n’Roll
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Festival
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Rétro Pouligue’n’Roll
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Musique
Hudson MAKER L'histoire (récente) de HUDS N MAKER est d'abord une belle amitié entre ces trois larrons que sont Alban, Francky et Tof. Ce trio de Rennes s’est formé en 2012. Leur répertoire composé à ses débuts de nombreuses reprises (Carl Perkins, Johnny Cash, Jiants,..) s’est très vite enrichit de compositions personnelles inspirées par Alban, le leader du groupe. Dès lors, ils enchaînent les concerts et partagent l’affche avec des artistes renommés tel qu’Hipbone Slim, Bob Wayne et en février prochain, Chris Almoada et Dave Phillips. Leur 1er CD « Crazy Train » est sorti en juillet 2014, et pour le printemps 2015, Hudson Maker nous prépare déjà un nouvel album et en Vinyl cette fois ! Un groupe bien sympathique, passionné qui vont feront passé d’excellente soirée. Alors s’ils passent dans votre ville, ne restez pas sur le quai de la gare, sautez dans le « Train Fou »
Album : Hudson Maker « Crazy Train » Label : Beast Records
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Interview
Sandy Lee Let the good times Rolls ! par Olivier Motteau
préparés et la connexion fut immédiate. Nous avons commencé la session d’enregistrement après un déjeuner. Il y avait une si bonne humeur dans ce studio, que tout s’est passé merveilleusement. C’était super. Je suis vraiment fière de nos résultats.
Sandy, ton disque vient de sortir dans les bacs et à cette occasion, je voulais que les lecteurs de Pure Vintage magazine fassent ta connaissance. Peux-tu en quelques mots te présenter ?
« Rockabilly Queen » est une série de 5 talentueuses chanteuses venant de 5 pays différents (Angleterre, Irlande, France, Hongrie et Allemagne). Que penses-tu de cette série ?
Eh bien, je suis née et j’ai grandi à Augsburg en Bavière. Et après avoir passé mes diplômes, je suis allée à Munich pour étudier la comédie à l’Actors School « Ruth vonZerboni ». Depuis 5 ans, je vis à Nuremberg avec mon mari. A quand remonte tes premiers pas sur scène et comment es-tu arrivée à la musique et le rock’n’roll en particulier ? Quand j’avais 13 ans, j’ai chanté à une party d’anniversaire chez des amis de mes parents. Le musicien a trouvé mon chant si bon qu’il a dit qu’il voulait être mon professeur. Ainsi j’ai appris la technique du chant. Ensuite j’ai aussi étudié le classique et j’y ai développé beaucoup de technique aussi. Puis j’ai chanté dans beaucoup de groupes de ci de là. Et j’ai chanté beaucoup de «vieux succès». C’était la première fois que je chantais cette sorte de musique. Mais le rock’n’roll me vient surtout de mes parents, parce que j’ai grandi avec Elvis Presley et Marilyn Monroe. Puis j’ai obtenu une bourse pour étudier à l’université de Jazz de Augsburg. Mon professeur était une chanteuse bien connue aux États-Unis. Son nom est Holy Ross, elle était la chanteuse du groupe «Manhattan Transfert» de NewYork. Mais ce que je désirais le plus était d’avoir un Rockabilly Band. Cela n’a pas été facile. J’ai fait beaucoup de studio en Allemagne et en Autriche avant de trouver, et désormais je ne ferais rien d’autre. Comment défini-tu ton style ? Authentic!:D Quelles sont tes influences musicales ? Oh, il y en a beaucoup ! J’aime Ruth Brown, Imelda May, Nico Duportal, Ray Collins Hot Club, Elvis Presley et Marilyn Monroe, ce sont mes favoris et j’essaie au maximum de m’en inspirer.
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Quels sont les groupes et chanteurs, chanteuses actuels que tu préfères ? Nico Duportal & His Rhythm Dudes, Brian Setzers Orchestra, Ray Collins Hot Club, Imelda May, Kitty, Daisy&Lewis, mais aussi des groupes comme Paul Ansell Number 9 et Delta Bombers.
Je pense que c’est une grande idée! De mon point de vue, ça soutient mon opinion de la culture Vintage, cinq grandes voix venant de partout en Europe, ayant le même style de vie et partageant la même motivation pour la Rockabilly music. Et à propos, pour tous ceux qui pensent que les femmes ne devraient pas chanter de Rockabilly «Check this out !!!» (Vérifiez-ceci !!!) Tu t’es produite l’année dernière au festival d’Attignat, que penses-tu du public français ?
Qu’est-ce que tu aimes dans la culture vintage ? J’aime ce style de vie, le feeling, la musique, les spectacles et inutile de le dire, les coiffures et les robes bien sûr. Les garçons sont de véritables gentlemen et vous appartenez à une grande famille. Cela n’a pas d’importance d’où vous venez, parce que vous appartenez à la Vintage family. Et alors vous n’êtes jamais seuls.
C’était un plaisir d’être là ! Quelle bonheur d’être sur scène au «Good Rockin’ Tonight» à Attignat ! Tout était parfaitement organisé dans une atmosphère très familiale. (Salutations à «Blue Monday», Jacky et Lilliane). Les gens s’amusent et ils le montrent.
Sandy, tu es venue enregistrer en France dans le studio Rydell’s Records, raconte nous ta rencontre avec le producteur Steve Rydell ?
Ecoutez les Rockabilly Queens de Steve Rydell ...And let the good times Rolls !
J’ai eu le plaisir de rencontrer Steve au festival «Good Rocking Tonight 2013». Il m’a parlé de la serie « Rockabilly Queens » et m’a demandé si j’étais intéressée de chanter quelques Chansons pour le volume 5. Et j’ai pensé, «Oh bien, la grande idée, le producteur est agréable, le pays également, bien sûr je viendrai !» Comment s’est déroulé l’enregistrement et tes relations avec les musiciens de studio que tu rencontrais pour la première fois ? Tout d’abord, c’était très bien organisé. Tous les musiciens ont fait un travail très professionnel. Ils étaient bien
Un dernier mot pour la fin ?
Musique La sélection d’Olivier Motteau
ROY ORBISON «Hillbilly Rock» Après Johnny Carroll et Ric Cartey, Pierre Maman, Mr Crazytimes records nous régale une nouvelle fois avec la reproduction du mythique EP LONDON 1089 français sorti en 1957. Il s’agit de quatre morceaux de pur rockabilly enregistrés chez Sun records par le grand Roy Orbison. Un must pour les fans et vinyl addicts ! Label : Crazytimes records Disponible en EP
K’PTAIN KIDD «Feelin’» Tony Marlow revient avec un nouvel album de 14 titres sous la forme d’un hommage à la légendaire formation anglaise de Johnny Kidd & the Pirates. Label : Rock Paradise Disponible en CD
THE OL’BRY « Boppin’ n’ Shakin Ces cinq jeunes parisiens pleins d’énergie sortent leur 2e album. Label : Rock Paradise Disponible en CD
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Musique La sélection d’Olivier Motteau
THE FRENCH ROCKABILLY SCENE «Volume 6» On ne présente plus cette compilation Rockers Kulture qui chaque année s’enrichit de nouveaux talents, une véritable encyclopédie pour les amateurs du genre toutes tendances confondues. Label : Rock Paradise Disponible en CD et LP 25 cm
CHARLIE HIGHTONE « Small but loud » Nouvel album de Charlie Hightone, du Rockabilly sauvage, viril et efficace. Pas de temps mort, les titres s’enchainent parfaitement. A ne pas rater ! Label : Sleazy Records Disponible en CD et LP 25cm
Musiciens, groupes, artistes solo, envoyez-nous vos titres mp3 au format numérique ou CD. Ils intégreront la playlist de notre nouvelle webradio PURE VINTAGE RADIO, une station que nous souhaitons très orientée scène francophone.
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Radio
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otre projet webradio voit enfin le jour, nous y plaçons beaucoup d’espoir et un investissement conséquent y sera consacré pour son essor. Il existe d’excellentes émissions sur des stations FM ou même des webradios étrangères mais pas de radio française spécifiquement rockabilly, rock’n’roll et hits 50’s/60’s, et qui plus est, avec la vocation de promouvoir les artistes francophones. Bien sûr, vous retrouverez également une programmation musicale avec les meilleurs titres internationaux d’hier et d’aujourd’hui mais tous ces groupes, chanteurs et chanteuses qui sillonnent la France et toute la francophonie, méritent d’être diffusés en radio, telle sera notre mission. La première phase est un programme musical, puis vont venir l’habillage sonore d’identification, les rubriques, les premiers reportages durant les festivals dès le Printemps et si la logistique le permet nos premiers directs et interviews qui se feront depuis Attignat (01) du 23 au 25 avril 2015 durant le festival Good Rockin’ Tonight pour lequel Pure Vintage Magazine est partenaire.
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Nous recherchons spécialement pour cette occasion un animateur bilingue (anglais-français) afin d’assurer les interviews avec les artistes internationaux. Nous recherchons d’une manière générale des podcasteurs pour des rubriques de courte durée ou des émissions complètes, équipés en matériel d’enregistrement de voix seule ou déjà mixée prête à diffusion. Vous pouvez contacter à ce sujet, Fabrice Berreur > fabrice.purevintage@gmail.com Vous pouvez écouter Pure Vintage Radio depuis le site internet ou sur votre téléphone mobile. Et pourquoi pas si vous êtes équipé d’une connexion internet et d’une sono, diffuser dans votre boutique, bar, restaurant... le programme musical que nous vous proposons, complètement dans le ton et le style que vous chérissez.
www.purevintageradio.com