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ISSN : 1742-9471@SPRING 2014 Publisher Lord JC Editor-in-Chief, CEO John-Paul-Majepa Deputy Editor Dr Claude Sumataa

Sommaire 05 Editorial : QUI DE NOS FAIBLESSES ?

Monotoring Editor Mankumbani Antoine Collection Editor Jo Kokolo Kimbwende Dieudonné Johnnyudonné Senior Designer Didier Konde Mbidi Artwork Design Gamaliel Press Group Ltd Marketing Service Pétronnie Kankienza

06 Economie: L’OPTIMISME DE LA BCC 10 Business : OGEFREM, BEL EXPLOIT 2013 16 Business : OCC, MODERNITE EN MARCHE

Reporter Papy Mubama Multimedia Alain Mutshipayi Contributors Bénoit Yulama Mpunge, Dr Claude Sumata, Jean-Marc Céphas, Pastor Mao Zakuani, Romain Matondo, Dr Yves Mwamba, Johnny Kokolo Kimbwende, Maguy Kititwa, John-Paul Majepa, Jean Céphas Public Relations (PR) Mick Djo Lusala Distribution (RDC) Patthy Majepa Orly Majepa Sponsors FOXTROT TRADING CLEANING DM CONGO SPRL

27 Banque

28 Business : SCPT,LA FIBRE OPTIQUE EST LA 34 Développement : BILAN POSITIF DE MATATA 44 Développement : MAMA OLIVE LEMBE FEMME D’ACTION 52 Développement : KIMBUTA ANDRE YANGO

POINTS DE VENTE A KINSHASA *Immeuble Massamba no 2/3, Gombe (Face ex-Kin Mazière) * Immeuble Tshimley, Av Victoire no A41 Matonge, Kalamu *Restaurent Chez Marie-Claire Avenue Kimbondo no374, Bandal Moulaerts * Boutique Coup d’Oeil Avenue Bukama no 171, Huileries, Lingwala

: RAWBANK ET LA CHINA CARD

MEILLEUR GOUVILLE KIN 68 Investissement : DHL GLOBAL FORWARDING 70 Investissement : ONG DEBOUT TSHANGU 78 Diaspora : MARIAGE COUPLE MANDE JB

Paris BIAC / 59. rue Marcadet ,75018 Paris Métro

80 Société : RDC , GUERRE DES BRASSEURS

Office Grande-Bretagne 43 Saltram Close, London N15 4DY, UK Tel : 00447507278324 E: marketing@pyramidesnews.com magpyramides@gmail.com Twitter : @PyramidesMag Facebook.com/magazine.pyramides Linkedin: pyramide37@yahoo.co.uk NUJ: MEMBER OF NATIONAL UNION OF JOURNALISTS PPA: MEMBER OF THE PROFESSIONAL PUBLISHERS ASSOCAITION SUBSCRIPTIONS A free online subscription service is available . Visit our web site : www.pyramidesnews.com/ subscribe

82 Société : PALU, NEW SEC PERMANENT 84 Culture : HOMMAGE MERITE A TABU LEY 85 Culture : HARO SUR THEATRE CONGOLAIS 86 Fashion: PAGNE CONGOLAIS

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SWATA BITUMBA FREDERIC Directeur Général

FOXTROT TRADING CLEANING * Fournitures de Bureau * Informatique * Réfection des Bâtiments

D.M. CONGO SPRL Contact

Avenue Mutombo Katshi No 10-13 Gombe, Kinshasa, RDC Téléphone : 00243(0)999 920167 4

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Éditorial

Quid de nos faiblesses ? John-Paul Majepa Editor-in-Chief

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ienvenues à cette édition spéciale de Pyramides Magazine 2014. Edition spéciale d’autant que l’humanité entière commémore la “Femme” tout au long de ce mois de mars et bientôt la Pâques .

Traversée du désert Sur ces entrefaites, l’Europe accueille le printemps. Et c’est au cours de la saison printanière que la nature paraît enchanteresse, ce qui incite à l’espoir dans toute entreprise humaine. Il sied de rappeler que la publication de ce numéro n’aura pas été facile du tout. Suite aux graves difficultés financières que notre magazine avait connues dans la production de deux dernières éditions de la fin de l’année 2013, difficultés dues à deux coquilles méchantes qui se seraient glissées malicieusement dans l’orthographie des noms de nos clients potentiels, nous étions contraints de tout remettre à plat pour reprendre la présente nouvelle édition. Et comme les vainqueurs n’abandonnent jamais la course, nous revoilà sur l’orbite avec une ferme détermination de ne plus ressasser le passé avec ses mauvais souvenirs. Pull Him Down (PhD) Blague à la poubelle, nous étions à califourchon sur un cheval mort en cherchant désespérément à publier régulièrement Pyramides Magazine tout au long des six printemps de son existence, plutôt que de mettre pied sur terre: “ Qui veut aller loin ménage sa monture ”. L’opportunité pour nous de saluer les critiques, de fois acerbes, nous faites par bien des compatriotes. Au lieu de nous laisser influencer par certains prophètes de malheur, qui n’ont pour seule mission que de rabaisser l’autrui, de surfer sur les lacunes vraies ou fausses, nous considérons que tous ceux qui souffriraient du redoutable syndrome de PhD (Pull Him Down) ne méritent aucune attention de notre part. Au contraire, ils nous auront permis de grandir spirituellement.

Adeptes de l’école de l’Aigle Étant des fervents adeptes de l’aigle, nous avons compris qu’il nous faut traverser des tempêtes dans la vie. Et les obstacles rencontrés nous ont certainement aidé à voler plus haut et à nous rendre matures. Finalement, “l’homme se découvre, lorsqu’il se mesure à l’obstacle ”, d’après Antoine de St Exupéry. C’est parfois au travers d’un conflit que l’esprit humain parvient à se renforcer plutôt que de céder au découragement. Au moment où tout semble perdu, le destin peut basculer. A force de viser haut, nous venons de découvrir qu’il y a mille et une opportunités pour investir en Afrique. Cap sur l’Afrique Mais comment inciter des investisseurs disposant des capitaux frais à descendre en Afrique ? Comment amener progressivement des dirigeants africains à accorder un minimum de crédit à notre support d’informations si nous nous mettions, tous, à nous intéresser aux Relations Publiques au lieu procéder à des analyses cohérentes de la situation sur le terrain ? Au demeurant, il s’agit d’un pari très risqué que de prétendre sortir de nos zones de confort vieillissantes d’Europe et nous concentrer sur un seul objet. Napoléon n’a-t-il pas souligné qu’: “ On ne fait de grandes choses qu’autant qu’on sait se concentrer tout entier sur un objet ”. In fine, la grande question reste la même :“ Comment faire pour garder notre ligne éditoriale apolitique face à une bataille féroce dans la presse politique bénéficiant des subventions de certains gouvernements de l’Afrique Centrale ? ”. Au lieu de paniquer, nous avons cru de bon aloi de défier nos confrères en changeant notre fusil d’épaules. L’idée de la publication d’un nouveau style de magazine spécialisé dans l’information économico-sociale sur le terrain s’est imposée, étant entendu que la période actuelle est principalement consacrée au glamour, à la culture, au business, aux investissements locaux et étrangers, au développement des pays.

Ainsi, notre lectorat aura le loisir de dé couvrir quelques sommités congolaises qui se sont distinguées au courant de l’année 2013 dans les différents domaines socioprofessionnels. Il s’agit d’abord des activités à caractère philanthropiques qui ont été exercées par la Première Dame de la République Démocratique du Congo, Maman Olive Lembe Kabila. La seconde catégorie est composée du DG de l’Office de Gestion Multimodal qui a réalisé un exploit en érigeant un immeuble de huit étages au cœur de la ville de Kinshasa sur fonds propres de son entreprise; du Dg de l’Office Congolais de Contrôle pour avoir modernisé et doté ses services des équipements de haute technologie capables de lutter contre des fraudes; du DG de la Société Congolaise des Postes et Télécommunications pour avoir réussi une grande première dans les annales de notre pays : le lancement de la fibre optique, condition sine qua non d’accession au village planétaire. La troisième catégorie est composée du Gouverneur de la Banque Centrale du Congo qui a su tenir le cap, à peine nommé, et se jeter dans l’avenir avec optimisme en un temps très record. Dans la quatrième catégorie, on trouve l’inamovible Gouverneur de la ville de Kinshasa,“ le Haut Sommet ” avec ses Commandos de la Salubrité Publique qui se battent jour et nuit pour redorer la belle image de Kinshasa Limpopo. Et en apothéose, le bilan élogieux de deux ans du Premier Ministre qui donne de l’insomnie à ses adversaires politiques. Enfin, les lecteurs auront droit à unbon condensé de certaines analyses et autres articles du genre chiens écrasés qui font de notre organe de presse écrite, un magazine de grande différence et non une simple “ éphéméride ” . BONNE FETE DE PAQUES

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Gouverneur de la Banque Centrale du Congo Mr DĂŠogratias Mutombo Mwana Nyembo 6 REVIEW

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ECONOMIE

Banque Centrale du Congo Déogratias Mutombo est décidé de conduire la Banque Centrale Congolaise vers une rentabilisation rigoureuse en 2014

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‘heure n’est pas particulièrement indiquée pour faire le point sur le travail de l’actuel gouverneur de la Banque Centrale du Congo. Mais, voilà qu’au tournant de sa nomination par le Président de la République au mois de mai 2013,

d’aucuns n’avaient perçu dans celle-ci l’amorce d’un contrat tendant à donner à cette Institution nationale une envergure nouvelle. Jadis, victime des avatars de la crise financière et économique internationale, la Banque Centrale Congolaise a failli se voir briser ses ailes par la chute des pouvoirs d’achat et le fléchissement des cours d’échange. Il fallait donc opérer plusieurs tentatives concourant à la stabilisation et à la structuration du cadre macroéconomique. Etant donné les circonstances et les conjectures évoquées ci-dessus, la Banque Centrale Congolaise avait joué la carte qui est la sienne en vue d’obtenir et de maintenir la stabilité au niveau général des prix, conformément aux dispositions de la loi n°005/2002 du 7 mai 2002 définissant et mettant en œuvre la politique monétaire du pays. L’assainissement du système bancaire s’était accompagné des réformes économiques très profondes, lesquelles avaient pu stabiliser le cadre macroéconomique du pays et relancer les activités économiques.

Et de surcroît revitaliser l’activité des banques commerciales dont plus d’une dizaine d’établissements avaient reçu leur agrément, et sont aujourd’hui opérationnels provoquant ainsi une efflorescence d’activités qui a lancé les opérateurs privés de ce secteur à déployer à l’intérieur du pays une diversité d’agences locales. La Banque Centrale Congolaise se tape aujourd’hui la chronique à travers cette remontée spectaculaire ; un punch d’honneur qui redore son blason. Efforts insuffisants Mais il reste encore beaucoup à faire pour le nouveau Gouverneur M’Déogratias Mutombo Mwana Nyembo qui vient de succéder à Jean-Claude Masangu. Il doit coûte que coûte effacer l’hydre du passé et les persistances de certaines pratiques nébuleuses constatées dans les procédures ayant un corollaires à la circulation fiduciaire, au placement des avoirs en banques, à la conservation des billets de banque… La persistance des pratiques qui dépeignent avec un cynisme effarent les méthodes et comportements rétrogrades qui nuisent au bon fonctionnement du système bancaire dans notre pays.

La suite à la page 8 www.pyramidesnews.com

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est regrettable de constater que beaucoup de citoyens et opérateurs économiques congolais s’enkystent dans ces pratiques médiocres. Car les masses monétaires sont tristement trimballées dans la rue.

L’argent, objet de la brocante, se négocie sous l’impulsion des taux habilement fixés par des institutions financières en concurrence avec la Banque Centrale. La thésaurisation bât sur plein avec toutes les implications qui en résultent. Provocant ainsi un dérèglement qui paralyse encore la confiance des populations congolaises vis-à-vis des banques. Une population nourrie de cette culture. Alors que l’humanité emportée par le vent de la mondialisation vit l’heure des traveller’s chèques, des carnets d’épargnes, des cartes de crédit, des chèques postaux, des placements de dépôts et consorts…

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PYRAMIDES MAGAZINE Contactez - ces numéros :

Autres dérapages constatés Aujourd’hui, les trente dernières folles années de la monnaie congolaise laissent très peu de bons souvenirs à une population qui n’a plus foi à une monnaie flottante et dépréciative à la fois. Le franc congolais a perdu l’une de ses fonctions traditionnelles ; celle d’intermédiaire d’échange et de valeur numismatique en dépit de la stabilité macroéconomique. La monnaie congolaise demeure toujours enserrée dans l’élan du dollar américain. Pour se protéger contre les effets néfastes de l’inflation, les opérateurs recourent à une technique, celle de libeller des prix des biens et services en dollars et en monnaie nationale. C’est donc une “ officialisation “ de la dollarisation de l’économie congolaise. L’heure du Renouveau Il est donc très tôt de dégager les grandes lignes de l’action que le gouverneur Déogratias Mutombo se propose d’appliquer pour revenir au bout de ces dangers. Mais les options fondamentales qui constituent le support et le cadre de sa méthode de travail relèvent de sa détermination de mobiliser le personnel de la Banque Centrale Congolaise et leurs potentialités aux actions consistant à surmonter toutes les difficultés inhérentes au bon fonctionnement de l’institution vers la voie du renouveau. Et, ce, sans tambour ni trompette, un sacré principe aux anglophones . Il sied de noter que le nouveau gouverneur n’est pas trop médiatique. Il tient à demeurer très circonspect tant dans son comportement que dans son travail voulant ainsi impliqué l’ensemble du personnel dans la vie de la Banque. L’opinion doit savoir qu’avec Déogratias Mutombo, le rideau tombe. Une autre ère commence où toutes les pistes envisagées sont incitatives au changement, au renouveau et à la conversion des mentalités. L’existence de cet homme aux ressources insoupçonnées, de ce cerveau puissant soumis à la lucidité d’une intelligence exceptionnelle, exalte une prédilection pour le travail bien fait afin de donner un éclat, une luminosité aux enseignes de la Banque Centrale du Congo. C’est dans cette entreprise de l’Etat où ce fils-maison a fait un parcours exaltant couronné par une étrange consécration, celle qui consiste à orienter inéluctablement la Banque Centrale du Congo vers des objectifs traditionnels, universellement connus et observés dans une rentabilisation rigoureuse, laquelle fera de l’institution d’émission des monnaies de la RD Congo, un organe ayant comme mission primordiale à la fois d’être le caissier de l’Etat, le conseiller du Gouvernement en matière économique et financière, le gestionnaire des réserves de change de la République, ainsi que l’intermédiaire financier.

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RDC- KINSHASA PETRONNIE KANKIENZA 00243(0)998851010 FREDERIC SWATA 00243(0)999920167 ANGOLA- LUANDA MUTOMBO & ALEXANDER 00244(0)925225576 EUROPE-AMERIQUE MARIE-CLAIRE MILAMBO 0044(0)7507278324 Marketing@pyramidesnews.com Magpyramides@gmail.com Pyramide37@yahoo.co.uk

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ECONOMIE

BIOGRAPHIE DE MUTOMBO DEO Deogratias Mutombo Mwana Nyembo est né en 1964 à Kongolo au Katanga, en République Démocratique du Congo. Après avoir obtenu son diplôme de licence en Économie Pure à l’Université de Kinshasa en 1991, il commence sa carrière professionnelle à la Banque centrale du Congo au poste de chef de bureau à la direction de change. En mars 2003, il est promu Directeur adjoint chargé des Opérations à la même direction, après avoir été nommé successivement Chef de Bureau Principal, Chef de Service Adjoint et Chef de Service.

Deux ans plus tard, il devient le Responsable Adjoint de la Direction de la Comptabilité. En 2008, Deogratias Mutombo est nommé Responsable de la Direction des Services Étrangers. C’est depuis septembre 2012 qu’il occupe le poste de Directeur des Opérations Bancaires et des Marchés. Poste qu’il occupait encore lorsque le chef de l’État l’avait nommé Gouverneur la Banque Centrale du Congo en mai dernier. Quelle belle carrière !

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BUSINESS

Coupure du ruban symbolique par le Président Kabila Kabange entouré du DG Anatole Kikwa Mwata Mukambo, qui est aux anges pour la présence personnelle du Chef de l’Etat.

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BUSINESS CEREMONIE INAUGURALE DE L’ULTRAMODERNE IMMEUBLE DE L’ OFFICE DE FRET MULTIMODAL PAR LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE , JOSEPH KABILA KABANGE

L’immeuble de l’OGEFREM, dont les travaux de construction ont duré 17 mois pour un coût de 7,5 millions de dollars américains, comprend dix niveaux dont www.pyramidesnews.com Edition Mars - Mai 2014 11 sept étages abritant des bureaux, un parking souterrain, un rez-de-chaussée, une mezzanine et cinq salles de réunions. En outre, le bâtiment est doté d’une bibliothèque, d’un restaurant de 40 places et d’une salle polyvalente de 350 places, sonorisée et équipée d’un système d’interprétariat et de traduction simultanée. REVIEW

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BUSINESS

Parmi des Invités de marque, Léon Kengo, Président du Sénat semble être très séduit par le new management de Mr Anatole Kikwa, DG de l’Ogefrem

Ambiance de la cérémonie . No comment

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BUSINESS OGEFREM

Le DG Kikwa a déclaré l’année 2014 comme celle de la confirmation et de la continuité. Après une année de parcours, une entreprise digne de son nom est censée faire un bilan général de sa prestation. A cet effet, l’après-midi du vendredi 10 janvier 2014 était consacré à la cérémonie d’échange des vœux entre le staff dirigeant de l’Office de Gestion du Fret Multimodal piloté par Anatole Kikwa Mwata Mukambo, Directeur Général ad intérim et tous les agents et cadres. Cette cérémonie s’est tenue en la salle polyvalente du nouveau bâtiment de l’Ogefrem.

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rois moments forts ont marqué cette journée, notamment la prière, les adresses du Directeur Général ad intérim et du Président de la Délégation Syndicale. C’était une journée merveilleuse, et très significative pour l’ensemble du personnel de l’Ogefrem.

C’était l’occasion pour Anatole Kikwa, Directeur Général ad intérim de retracer le bilan de l’année qui vient de s’écouler. D’après Anatole Kikwa, 2013 est une année historique pour son entreprise. L’opinion publique a vu et palpé du doigt les résultats des efforts consentis par le comité de gestion de ladite entreprise ainsi que l’ensemble de son personnel. “ Oublier le passé ” Cette courte phrase était dite par le pasteur Nzuzi agent de l’Ogefrem, à qui les organisateurs ont confié la charge de conduire la prière avant le début de la cérémonie. Son exhortation était tirée des livres d’Esaie 43, 18 et Aggée 2,4. A ce titre, l’orateur a exhorté les agents et cadres de l’Ogefrem à oublier tout ce qui a été mauvais dans leur institution. Il les a invités à se pardonner mutuellement. Cependant, il a interpellé le comité de gestion à se tourner vers l’avenir. Cela était dit avec l’idée de lui permettre de travailler une fois de plus d’arrache-pieds pour que les objectifs assignés en 2014 soient atteints, afin que les efforts de 2014 considérés comme la gloire de la seconde maison comme il est écrit dans la Bible soient meilleurs que ceux de 2013.

“ En 2014, nous irons plus loin ” En prenant la parole devant l’assemblée, Anatole Kikwa a donné la quintessence des efforts et actions menés par son entreprise en 2013. Et, il a situé la sphère à laquelle son entreprise doit se placer au cours de cette année. Il a baptisé 2014 “ année de confirmation et de continuité ”. Car, une entreprise doit se prévenir. Les problèmes peuvent surgir mais l’entreprise doit garder sa stabilité. A cet effet, le Directeur Général a promis le démarrage des travaux du port de Kasumbalesa dans la province du Katanga et l’Hôtel Trois Etoiles de Matadi au Bas-Congo. Et enfin doter Lubumbashi d’un siège digne de son nom. Car, il faudrait investir pour les générations futures. Un centre de santé en projet Puisque les soins médicaux coûtent extrêmement cher localement comme à l’étranger. Le comité de gestion s’est donné le devoir de construire un centre de santé de qualité pour son personnel. Pour gagner le pari, le Directeur Général a exhorté chaque membre de son entreprise à mieux accomplir ses tâches et soutenir la Direction Générale pour que le rendement soit meilleur. Les objectifs assignés à l’Ogefrem deviendront réalités grâce aux nouveaux contrats qu’il va devoir signer avec ses partenaires. Il a exprimé son regret pour la disparition des agents et cadres de l’Ogefrem qui les ont quittés l’année dernière ainsi que tous les grands hommes politiques et artistiques congolais. Rétrospective Pour vous rafraichir la mémoire, l’Ogefrem a pu s’acquérir un joli bâtiment qui abrite toutes les directions à Kinshasa et à Matadi ; la signature du contrat avec les pétroliers. Et enfin, l’organisation des assises du Conseil des Chargeurs Africains, etc. Dorcas NSOMUE

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Son Excellence Mr le Premier Ministre Matata Ponyo Mapon très fier de son poulain, le mandataire Anatole Kikwa pour avoir éxécute à la lettre les instructions de la hiérarchie....

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Photo souvenir oblige car c’est pour la toute première fois qu’un Chef de l’Etat de la RDC visite les installations de l’Office de Fret Multimodal. Chapeau bas au Comité de gestion que dirige des mains de maître, Anatole Kikwa Mwata Mukambo REVIEW

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SEM JOSEPH, PRESIDENT LACongo RDC SEMKABILA Joseph Kabila Kabange , Président deDE la RD “…Nous devons nous engager à faire du Congo, ce don beni du ciel : un pool d’intélligence et de savoir-faire; un vivier de la nouvelle citoyenneté et de la classe moyenne; un grenier agricole; une puissance énergitique et environnementale; un pool écono16 Edition Mars 2014 régionale au coeur de l’Afrique…” miquewww.pyramidesnews.com et industriel; une terre de paix et de mieux-être; une- Mai puissance

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L’OFFICE CONGOLAIS DU CONTROLE LA MODERNITE : UNE REALITE A l’instar des Disciples de JésusChrist qui ne faisaient qu’obéir et exécuter des instructions de leur maître à la lettre, Mr Albert Kasongo Mukonzo et son Comité de Gestion viennent de prouver aux yeux de la hiérarchie que la Révolution de la Modernité, ce cri de guerre cher au Raïs Joseph Kabila est devenu une réalité irrévocable. Le Réseau Intranet OCC : Preuve de la Révolution de la Modernité au Port International de Matadi.

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es 19 étapes de la procédure des importations OCC au Port de Matadi viennent d’être réduites à 4 étapes grâce au Réseau Intranet OCC (RIOCC)

Désormais, les déclarants en douanes et autres opérateurs intervenants dans le processus des importations n’auront que quelques interlocuteurs pour finaliser leurs dossiers d’importation au niveau de l’Office Congolais de Contrôle. Cette facilité dans les démarches permet aux agents de l’OCC et aux importateurs de gagner en temps et énergie gaspillés inutilement par des étapes qui dépendaient du travail manuel et du bon vouloir des humeurs des agents véreux. L’idée maitresse ou le principe de base de la Révolution de la Modernité se cristallise dans la mise en place d’un ordre nouveau dans tous les domaines qui entrainent l’émergence d’un Congo moderne. Les Nouvelles Technologies de l’Information et Communication (NTIC) sont au cœur du projet Intranet de l’Office Congolais de Contrôle. Ceci pour deux raisons fondamentales : Primo, avec ses technologies modernes,la possession de l’information n’est plus gage de pouvoir mais c’est sa

diffusion en temps réel à tous les niveaux qui devient l’élément du pouvoir ; car elle entraine la prise des décisions au bon moment. Le meilleur moyen de permettre à tous le personnel de l’OCC d’être en possession de l’information en temps réel, c’est de les interconnectés avec un réseau informatique utilisant une plateforme d’échange et de travail collaboratif : C’est ça l’Intranet OCC ! Secundo, une fois que les entités de l’OCC sont bien interconnectées, les informations arrivent à tous les sites en temps réel et le travail quotidien de contrôle est rendu facile et efficace. Mais l’OCC dans le cadre de sa mission de contrôle des importations doit recevoir également des informations provenant des partenaires tels que la DGDA, l’OGEFREM, la SCTP, le BIVAC, etc. Toutes ces informations sont confrontées avec les données des contrôles physiques des marchandises, conteneurs et véhicules au niveau des postes frontaliers afin de déterminer leur conformité à la législation congolaise. Grâce aux applications fonctionnant sur la plateforme intranet, les informations provenant en temps réel des divers partenaires sont exploitées, comparées avec les données des contrôles physiques et les écarts sont dégagés par les agents OCC au niveau du Port de Matadi : c’est ça l’Intranet OCC ! Cette nouvelle façon de travailler a exigé de la Direction Générale de l’OCC un déploiement des moyens colossaux tant au niveau du personnel qu’au niveau des équipements et matériels. Cette modernisation de l’outil de travail met l’OCC au même diapason que ses partenaires du Guichet Unique et balaye du coup tous les préjugés qui faisaient de cet établissement public le ventre mout du processus des importations au Port de Matadi. Les bénéfices en temps et en argent se font déjà sentir. Dès le lancement de la

nouvelle procédure informatisée des importations OCC au Port de Matadi. Plusieurs dossiers constitués des faux documents ou fausses informations ont été dévoilés. Ce nouveau système combinant l’exploitation de plusieurs informations a permis de mettre à nu certaines fraudes et falsifications des documents originaux ; parmi les documents falsifiés on compte les FERI, les AV, les Factures et les preuves de paiement Bancaire. Dès la première semaine de l’exploitation du système mis en place au port, un réseau mafieux spécialisé dans la falsification des documents a été démantelé. Les auteurs de ces méfaits croupissent déjà en prison pour raison d’enquête. La filière remonterait même jusqu’aux agents travaillant au port. Les arrestations en cascade et le refus de certains dossiers ont eu un tel retentissement que tous les milieux proches des activités portuaires à Matadi qualifient déjà le système de l’OCC de “ MBAZU ” (allusion faite au système de la SONAS qui immobilise les véhicules non assuré). Certains tarissent d’éloges au système mis en place et d’autres n’attendent que l’occasion de donner un coup fatal à ce bébé naissant. Le système fait ses preuves et au jour le jour il s’améliore avec les différents apports des utilisateurs. Rien ne peut plus l’arrêter, la haute Direction de l’OCC est venue le consacré comme nouveau moyen de travail. Les partenaires au niveau du Port ont salué sa mise en place pour une efficacité commune. Le train du changement a déjà quitté la gare et il n’appartient que ceux qui veulent réellement le changement de le rattraper en courant ou au prochain gare ou sinon de le rater pour du bon.

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Albert Kasongo Mukonzo: Directeur Général a.i Objectif : “Faire de l’OCC, une entreprise aux dimensions internationales ”

Mr ALBERT KASONGO MUKUNZO, DG a.i. OCC www.pyramidesnews.com Edition Mars - Mai 2014 “ Faire de l’OCC, une entreprise aux dimensions internationales ”

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BUSINESS

OCC: LE VENT EN POUPE

ACQUISITION NOUVEAUX EQUIPEMENTS Lancement vedette rapide OCC HYDRO

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a mise en service de cette unité flottante a été célébrée à Moanda au Bas-Congo sous la direction du Directeur Général a.i Albert Kasongo Mukonzo.

D’une capacité de 280 CV et dotée de 12 places assises, la vedette dénommée “OCC-HYDRO” avait été acheminée à son port d’attache à Banana au Bas-Congo. L’acquisition de la première unité flottante avait fait l’objet d’une fête dans la ville côtière de Moanda. Accordant beaucoup d’importance à la procédure de déchargement des produits pétroliers dans laquelle l’OCC est un maillon de grande valeur en vue de bien assurer le contrôle des ressources naturelles et énergétiques de la RDC, le DG de cet office Albert Kasongo Mukonzo avait personnellement escorté ce canot rapide de Kinshasa jusqu’à Banana dans les installations portuaires de la Compagnie des Voies maritimes (CVM). Cette unité flottante acquise sur fonds propres permettra désormais à l’OCC de résoudre les problèmes de lenteur souvent rencontrés dans les opérations de prélèvement des échantillons des produits pétroliers et leur certification quantitative.

Inauguration Labo ultra sophistiqué Le DG avait aussi profité de son séjour dans le Bas-Congo pour inaugurer à Boma le laboratoire destiné à la certification qualitative du pétrole brut exporté et des produits pétroliers et pour célébrer l’élévation de la première femme chef d’Agence de l’OCC. Grâce à cette nouvelle acquisition, les inspecteurs pétroliers de l’OCC/Moanda s’adonneront à leur besogne sans anicroche. Car ils apprendront à descendre à l'avenir aux abords de l’Océan Atlantique dès l’annonce d’un navire afin de procéder aux différentes opérations de détermination de quantité des produits importés et aux prélèvements des échantillons destinés aux essais physico-chimiques au laboratoire. Le temps sera ainsi bien géré dans la procédure de déchargement des produits pétroliers. Pour bien prolonger le travail des inspecteurs pétroliers, les dirigeants de l’OCC avaient doté la Direction provinciale de cet Office des équipements de qualité, modernes et adaptés à l’environnement. Et ce fut également dans ce cadre que le DG Albert Kasongo avait inauguré à Boma le Laboratoire de la Certification Qualitative du Pétrole Brut. Equipé des matériels de haute technologie de pointe, ce laboratoire devrait permettre à l’Entreprise d’effectuer des essais sur les échantillons prélevés sur les bateaux

en mouillage, des essais organoleptiques, de composition et d’identification des produits, de fluidité, de combustion, de corrosion et autres. C’est seulement le produit en conformité aux normes en vigueur en RDC qui obtiendrait le “ Green light ” livré par l’OCC, c’est-à-dire l’ordre de déchargement.Equipé de distillateur ASTM, Freezing Point ou Point de début de disparition des cristaux, microseparomêtre, Flash Point, Octane mètre ,etc. Et ce laboratoire compte parmi les meilleurs en Afrique. L’accompagnement et l’engagement du Ministre de l’Economie et Commerce, Jean-Paul Nemoyato, dans la réaffirmation du rôle de l’OCC dans le contrôle en amont des produits pétroliers et d’autres secteurs d’activité avaient été aussi pour beaucoup. Le dynamisme de la Direction générale de l’OCC a également contribué à cette acquisition d’une importance certaine dans le contrôle de qualité et quantité des produits pétroliers. Quand on connait l’obédience politique de la plupart des élus du peuple du Bas-Congo qui avaient trouvé du temps pour aller assister à cette manifestation, il faut dire que le DG de l’OCC venait de marquer d’une manière particulière l’histoire de cet établissement public à caractère scientifique avec ces événements supra.

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Bientôt “ LabOCC ERP ” applicatif permettant de gérer toutes les procédures de Laboratoire L’informatisation de l’OCC, commencée dans les années 90, est restée une utopie pendant longtemps. Plusieurs tentatives n’ont jamais réussies à la sortir de sa léthargie. Quand le projet RIOCC avait débuté, en 2010, beaucoup ne croyait pas qu’il allait faire long feu. Beaucoup le qualifier de “Biloko ya DG Kasongo na Batu na ye” (lisez tout cela c’est le DG et sa clique) puis “Ekosimba te ” (ça ne réussira pas); certains crachaient même sur le projet et d’autres concoctaient les preuves pour constituer des dossiers d’audit ou encore d’accusation… Aujourd’hui, Matadi, Boma, Goma, Beni, Butembo, Kasindi, Maluku, Kinkole, Dirkin (siège), Bukavu et Uvira, etc sont entrain de vivre l’Intranet et ses Applications de gestion des procédures en temps réel. La révolution de la modernité est une réalité à l’OCC !!! Parmi les applicatifs que vous pouvez voir à droit du site officiel de l’Office, www.occ.cd, voici en image le dernier applicatif mis en marche qui permettra de gérer toutes les procédures de Laboratoire “LabOCC ERP”. Signalons aussi qu’il y a un applicatif sur le web qui permet de voir les prix des essaies laboratoire au niveau de l’OCC ; cet applicatif est le “Labo Tarif ” qui parmi les applicatifs clients.

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Photo souvenir pour la posteritĂŠ.

DG Albert Kasongo en train prononcer son discours

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DG Kasongo accompagné du DGA Mbayo en train de suivre des explications fournies par un haut cadre de l’entreprise

Bonne gouvernance oblige !

QUELQUES ACTIVITES DE GRANDE ENVERGURE EXCERCEES PAR LE COMITE DE GESTION DE L’OCC EN IMAGE ET QUI SE PASSENT DE TOUT COMMENTAIRE www.pyramidesnews.com

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Staff de la DG OCC parmi lesquels Mr Jean-Paul , Chargé de Presse

BILAN DE 6 ANS A LA TETE DE Media Plus : Quelles sont vos réalisations depuis 6 ans à la tête de l’OCC ? ALBERT KASONGO MUKONZO : Vous conviendrez qu’il n’est pas aisé d’évoquer soi-même ses propres réalisations. Le risque étant de passer pour juge et partie. Mais, puisque nous devons répondre et vous laisser le loisir de vérifier, rappelons que le 12 janvier 2008, date à laquelle nous avons pris nos fonctions à la tête de l’Office Congolais de Contrôle, a été suivi peu de temps après par la grande crise financière internationale partie des Etats-Unis. Ses répercussions sur l’économie et le commerce international n’ont épargné quasiment aucune nation. Elles n’ont épargné aucune entreprise non plus, spécialement pour celles ayant des activités exposées à la conjoncture internationale. Entreprise du commerce extérieur, dans une économie essentiellement extravertie, l’OCC est de toute évidence vulnérable par la nature de ses missions, la construction de son chiffre d’affaires et la composition de son portefeuille de produits.

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En dépit de cette mauvaise coïncidence, qui a été loin d’être passagère, aggravée de plus par des mesures de gouvernance interne ayant sensiblement réduit les marges de manœuvre de l’Office, nous n’avons épargné aucun effort pour garder la tête de l’Office hors de l’eau. Et sans verser dans l’immodestie, des réalisations n’ont pas manqué au cours des cinq ans et demi que nous venons, ou allons bientôt couvrir aux commandes de l’OCC : extension territoriale des laboratoires, accréditations conquises ou en cours de conquête, renouvellement et mise à niveau constante de la ressource humaine, renouvellement de l’outil de travail, affirmation de la culture qualité dans le personnel et mobilisation générale pour l’accréditation intégrale des activités, multiplication d’initiatives pour asseoir ou développer de nouveaux créneaux (contrôle de l’environnement, contrôle plus outillé des hydrocarbures et des produits pétroliers finis), certification engagée avec résultats des produits locaux (ciment de CILU, à LUKALA, eau de table DASANI d’HYPER PSARO, à LUBUMBASHI, Kit diagnostic parasitologique de la Trypanosomiase de l’Institut National de Recherche Biologique (INRB), à KINSHASA, etc).

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DE L’OCC DU DG KASONGO Plusieurs faits déjà évoqués ci-dessus donnent l’ampleur du travail accompli et de celui qui reste à réaliser. Nous avons ouvert l’OCC aux NTIC adoptées comme instruments modernes de gestion, avec le lancement notamment de l’INTRANET après plus d’une dizaine d’années de tâtonnements ! Nonobstant ainsi des pesanteurs multiples, de source externe et interne, nous avons fait avancer l’OCC sur la pente du progrès, grâce notamment au soutien critique et à l’esprit de sacrifice de son personnel, qui n’a pas baissé de bras malgré plusieurs coups durs portés à l’Office. Grâce aussi à plusieurs personnes de bonne volonté et spécialement aux conditions favorables de sécurité et de paix apportées envers et contre tout par le Chef de l’Etat ainsi que le Gouvernement de la République, à qui nous rendons ici un vibrant hommage.

(ndlr : contraction de KASONGO et NDAMBO). Cette cité sera, sinon est, déjà, le symbole de notre participation à la révolution de la modernité prônée par Joseph KABILA KABANGE. Nous entendons apporter aux travailleurs de l’OCC et à leurs familles, qui le méritent tant, un véritable changement de position sur l’échelle sociale. Pour nous, comme pour la mutuelle syndicale de la CSC (Confédération Syndicale du Congo), directement à la base de cette louable initiative que nous avons résolu de porter à bras le corps, la Révolution de la modernité vient non pas abolir le programme ambitieux des « Cinq chantiers », mais elle vient lui donner tout son sens.

in le Journal Media Plus du Février 2014

Avec la principale organisation syndicale de l’OCC, la coopération privée belge et sud-africaine, nous avons même pu lancer depuis le 19 mai 2012 la construction d’une cité de 1500 habitations de grand standing sur les hauteurs de la NSELE. Régulièrement, nous montons visiter la progression des travaux et encourager ceux qui œuvrent, sans défaitisme, à l’émergence de la nouvelle Cité urbaine KANDA

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Cette femme à la beauté angélique s’appelle SANGA MARGUERITE “ MAGUY ”. Elle a accepté de convoler en noces avec Mr Hyacinthe Jacky de Kinshasa devant l’Officier de l’Etat Civil de la commune de Gombe dans le somptueux cadre de l’Hôtel du Fleuve Congo Cinq Etoiles. Elle profite des colonnes de ce Magazine pour remercier Dieu de lui avoir donné un mari responsable. Elle en a profité également pour remercier très sincerement tous leurs amis et connaissances ainsi que les membres de deux familles pour leur soutien moral, financier et matériel. 26 REVIEW

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FINANCE

RAWBANK LANCE “CHINA CARD” “CHINA CARD" LA CARTE SOLUTION POUR VOS ACHATS EN CHINE

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awbank Sarl et Union Pay International (UPI) ont procédé, mardi 11 mars 2014 au Fleuve Congo Hôtel, au lancement officiel de la carte bancaire “China Card”, une carte à plusieurs options mise à la disposition des commerçants et voyageurs pour leur permettre d’effectuer rapidement et en toute sécurité des transac tions en Chine.

Cérémonie haute en couleur à laquelle ont pris part des personnalités du monde politico économico-financier du pays, ainsi que des clients de la première banque congolaise à offrir des services Mastercard en RDC. D’entrée de jeu, Thierry Taeymans, Administrateur-Délégué de la Rawbank, a révélé à l’assistance que c’est fini donc les problèmes causés par d’autres moyens de paiement, tel que le retard en cas de transfert physique ou électronique des fonds et le problème de change. La “China Card” offre plusieurs options à ses utilisateurs: le retrait des espèces aux distributeurs automatiques UPI, la consultation et l’édition du relevé des transactions et du solde de la carte, l’achat des biens et services sur POS auprès des marchands “China Card vous donne aussi la possibilité de transférer de l’argent au profit d’une autre personne titulaire de la carte China Card. Il suffit d’accéder au site web Rawbank pour effecteur ce transféré” a-t-il appuyé.

Quant au responsable des marchés entreprises, Etienne Mabunda, il a assuré que la carte est rechargeable et peut également servir de preuve de moyens de subsistance pour obtenir le visa à l’Ambassade de Chine. A l’en croire, elle reste jusque là, la carte offrant un tarif imbattable en RDC en ce qui concerne le marché des transferts des fonds.“China Card fait partie de la gamme des produits Union Pay International et est rechargée en Renminbi (Yen)” a-t-il indiqué, soutenu par Jack Chen de l’UPI qui a appuyé que China Card assure Sécurité, Rapidité, Facilité et Simplicité. Il sied de souligner que Rawbank est la 1ère banque en A-frique Centrale à mettre sur le marché la marque UPI et que toute personne possédant une carte faisant partie de la gamme des produits UPI, peut désormais effectuer des retraits dans tous les Distributeurs de billets automatiques Rawbank installés en RDC. Rawbank est une banque commerciale indépendante congolaise (RDC) créée en mai 2001 avec des succursales à Matadi et Lubumbashi.

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Société Congolaise des Postes et Télécommunications, SCPT.

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Le Chef de l’Etat dans les installations de la SCPT, le jour de l’inauguration de la Fibre Optique à Muanda, en RDC

PRESIDENT KABILA LE JOUR DE L’INAUGURATION DE LA FIBRE OPTIQUE

BACKGROUND DU DG A.I.

Né Mbatika Kingudi Placide, marié et père de plusieurs enfants, l’actuel Directeur Général a.i de la SCPT est détenteur de Licence en Électronique et Télécommunication obtenue à l’Université de Londres avant de décrocher le prestigieux diplôme de Master en ElectronicSensor and Intelligent Instrumentation toujours au sein de la même Université de Middlesex située au nord de Londres. En ce qui concerne des fonctions déjà exercées, ce jeune turc est un habitué des télécommunications. Car il a été d’abord Directeur Général de la Compagnie Intelsys basée au Royaume-Uni pendant des années avant de créer une seconde

compagnie Cable and Wireless Communication PLC. Et l’apothéose de ce bon cursus fut son élévation au rang de Chercheur sur les Capteurs Électroniques à Southampton University en Grande-Bretagne et Membre Affilie à l’Institute of Electronic and Electrical Engineers (IEEE) qui regroupe tous les Ingénieurs et Électroniciens de la Grande-Bretagne. Aujourd’hui, cet ancien londonien est Directeur Géneral de la Société Congolaise des Postes et Télécommunications. Noble fonction qu’il exerce à la satisfaction totale de sa hiérarchie.

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Ingénieur Placide Mbatika, DG ai SCPT “...A l’horizon 2016, faire de la RDC, le HUB du Conti-

nent Africain en matière des Télécommunications.” à la fibre optique et, ainsi, continuer à entretenir la fraude à la fiscalité déclarative ( et non imposable). En effet, en matière de technologies modernes, pouvez-vous vous représenter un seul projet sans spécialistes ? Le personnel étant la première ressource de toute entreprise qui se veut émergente, nos ingénieurs ont été recyclés, chacun dans le domaine de son employabilité et suivant les nouveaux besoins de l’entreprise, par Huwei Technologies, China Télécoms, Alcatel-Lucent et les formateurs du Consortium WACS.

Quel a été l’état des lieux de l’entreprise lors de votre nomination à la SCPT ? La relance de la SCPT repose essentiellement sur la construction de trois réseaux des télécommunications, coupés et modernes. Nous avons cité le réseau NGN/CDMA, le réseau National de transmission par câble à fibre optique et la liaison du pays au Câble sousmarin du Consortium WACS par le point d’atterrage de Muanda. A notre nomination, tous ces trois projets étaient en cours de réalisation, mais leur exécution sur le terrain posait problème suite aux nombreuses querelles intestines d’intérêts égoïstes et surtout à l’agenda caché de notre prédécesseur. Ainsi : •Le réseau NGN/CDMA : les équipements étaient installés à l’Hôtel des Postes ; de même le Ring métropolitain et les différents BTS à travers la Ville province. Mais, l’interconnexion n’était pas encore réalisé et tout le réseau était encore inopérationnel ; •Le Backbone National de transmission par câble à fibre optique : La Phase 1 (Kinshasa-Muanda) du Backbone était déjà construite ; •Liaison du pays au Consortium WACS : Les travaux de Génie Civil de la construction du Point d’atterrage de Muanda, confiés à la Société Smart, étaient mal exécutés. Il fallait tout détruire pour recommencer à zéro. Le Beach Man Hole (BMH) n’était pas encore réalisé et la section sous-marine du câble reliant le CLS (Cable Land System) de Muanda au Câble sous-marin mère du Consortium n’était pas encore posée.

Après l’inauguration du CLS Muanda, comment comptez relancer relancer et redresser, à court et à moyen termes, au profit de l’État, la production de cette entreprise longtemps tombée en ruine ? •A court terme : -Des contrats d’interconnexion et de location de capacité sont déjà dignes avec des prestataires de services ; d’autres sont en voie d’être finalisés ; -En ce qui concerne le segment spatial, notre contrat avec V-SAT nous permet déjà de réaliser des appels internationaux avec nos mobiles et de fournir nos services aux prestataires des services ; -La plate-forme de facturation (Billing) est déjà installée ; -Pour l’Internet haut débit : Le problème de router est déjà résolu ; reste la configuration en cours ; -Un Show-room ultra moderne pour la vente de nos différents produits ouvrira bientôt ses portes à l’Hôtel des Postes. •A moyen et long termes : -La construction en cours de la phase 2 (Kinshasa-Kasumbalesa) nous permettra de desservir les grandes villes et autres grandes agglomérations des provinces du Bandundu, des deux Kasaï et du Katanga ; avant de boucler toute l’étendue du Territoire national au terme de la construction de la phase 3 du Backbone.

Une réaction au sujet de compatriotes qui doutent de la compétence des cadres et agents de la SCPT ? C’est un faux débat intentionnellement fomenté et entretenu par les ennemis de la SCPT et du peuple Congolais pour justifier leur désir de ne pas se connecter

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En somme, à l’horizon 2016, notre ambition est de faire de la RDC, le HUB du Continent Africain en matière des télécommunications. De même, la manne ne pouvant plus tomber du ciel, comment comptezvous résoudre l’épineux problème de la paie des arriérés des salaires et du lourd fardeau que constitue la question des agents retraités ? Le non paiement des salaires est une conséquence logique du passage à vide de l’entreprise pendant plus de deux décennies. Avec la mise en exploitation commerciale de nos différents réseaux couplés des télécommunications, c’est le retour à la production financière et pourquoi pas au paiement régulier des salaires décents et des arriérés des salaires aux actifs. En ce qui concerne nos vaillants retraités, l’entreprise ayant le devoir moral de reconnaître leurs loyaux services d’autrefois, il conviendra, le moment venu, de les verser à l’INSS après y avoir payé la caution nécessaire. La SCPT, c’est aussi la Poste Congolaise. Y-a-t-il des réalisations à votre actif dans ce secteur et comment comptez-vous relancer d’autres activités (innovations) de la Poste ? La Poste est le deuxième secteur d’activité de la SCPT. Elle a connu les mêmes difficultés que les Télécommunications. Toutefois, pour redresser l’entreprise, il fallait commencer quelque part. Et nous avons choisi les télécommunications sachant qu’avec les recettes générées par ce secteur, nous pouvons facilement relancer la Poste Congolaise avec des fonds propres. Ce que nous sommes en train de faire.

Lisez la suite à la page 33

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Ainsi, plusieurs actions sont actuellement en cours à cet effet, à savoir : -MEI (Mandat Express International), pour le transfert Électronique d’argent ; -EMS, qui a aujourd’hui ses propres installations ; -Le Courrier d’Entreprise dont les activités commencées avec la DGI sont en train de s’étendre au Gouvernement et autres entreprises et institutions ; -Les contrats de collaboration avec des messageries privées comme Western Union et autres. La construction de la station du Point d’Atterrage de Muanda a-t-elle été en conformité aux normes internationales ? Faut-il vraiment douter de cela ? Tenez : -Les travaux de Génie Civil ont été retirés de Smart dès que nous avons constaté que cette entreprise ne répondait pas aux exigences du Consortium Wacs. Ils ont alors été confiés à l’entreprise DORECO. Il faut arriver sur place à Muanda pour un jugement personnel de valeur sur la qua-lité de cet ouvrage. -La fourniture et l’installation des équipements des télécommunications sont l’œuvre de la Société française Alcatel-Lucent, le Constructeur Officiel de WACS ; -La contre-expertise du travail fait par Alcatel a été effectuée par TATA Communications, une entreprise de réputation mondiale. Au finish, la station de Muanda est cotée comme l’une des meilleures d’Afrique. -La maintenance de nos réseaux est assurée par Huawei Technologies, un prestataire de renommée internationale auquel la grande partie des opérateurs de la RDC font appel ; -Nos ingénieurs ont été recyclés, chacun dans le domaine de son employabilité et suivant les nouveaux besoins de l’entreprise, par Huawei Technologies, China Télécoms, Alcatel-Lucent et les formateurs du Consortium WACS ; -Au niveau du Consortium Wacs, le CLS de Muanda a la responsabilité de superviser la maintenance des Station d’Atterrage de l’Angola, du Congo Brazza et du Cameroun. Et plus de 6 mois après l’inauguration de la station du Point d’Atterrage de Muanda, ou en sommes - avec le fameux internet haut débit sur le réseau SCPT ?

Comme nous l’avons déjà dit plus haut, le problème est d’ordre financier. Il fallait acheter un router de grande capacité. Ce qui est fait actuellement. Il ne reste plus que la configuration en cours. De même, un Show-room ultra moderne pour la vente de nos différents produits ouvrira bientôt ses portes à l’Hôtel des Postes. Quelles sont des sociétés exploitant des de télécoms qui ont déjà signé des contrats avec la SCPT pour accéder sur la fibre optique ? Les choses se précipitent maintenant à une vive allure. Toutefois, en ce qui concerne Tigo, Airtel et Orange, nous avons compris une chose : Ils sont bien désireux d’entrer dans la fibre optique, mais, à l’heure actuelle, ils doivent encore honorer leurs engagements respectifs vis-à-vis du segment spatial. C’est pourquoi, ils utilisent des mesures dilatoires avec de faux fuyants. Toutefois, sans fausse modestie, nous savons qu’avant la fin de l’année, tout le monde va s’aligner sur la fibre optique. A lire une certaine presse, beaucoup de prestataires des services des télécommunications hésiteraient encore pour signer leur adhésion parce qu’ils doutent des capacités de la SCPT, notamment en ce qui concerne : l’alimentation des sites en énergie électrique, la maintenance, les capacités managériales, la qualité de service, la qualité du ring métropolitain, etc. Pouvez-vous les rassurer ? •Nous venons de l’expliquer suffisamment : ce sont des faux fuyants. Le monitoring du réseau est assuré ; la SCPT dispose d’un service de maintenance qui intervient en cas de besoin, suivant le résultat du monitoring ; •Pour rassurer ses partenaires, la SCPT a signé un accord SLA avec Huawei, un prestataire de renommée internationale auquel la grande partie des opérateurs de la RDC font appel. N’est-ce pas que ce SLA est une garantie suffisante ?

ainsi que la contribution dans le WACS ne dépassent pas 31 millions de dollars américains ; -Gestion de la fibre Nous tenons à préciser que la SCPT n’est pas à sa première expérience car la gestion de la fibre optique n’est pas différente de la gestion du réseau transport (Le câble de cuivre, les stations terriennes, les faisceaux hertziens, etc.) ; -Pourquoi pas ? Dans d’autre pays, ce sont les opérateurs historiques qui gèrent la Station d’atterrage. A ce titre, nous pouvons citer Congo Télécom, Namibie Télécom, Cameroun Télécom, Togo Télécom. Pourquoi alors la RDC ferait exception ? Quelle est votre vision pour faire de la SCPT, une industrie des Télécommunications en RDC en l’horizon 2016 ? Autrefois, la SCPT/alors ONTPZ, était la 2ème entreprise du Portefeuille de l’État, derrière la Gécamines, du point de vue de son apport financier au Trésor Public. Nos efforts visent donc à remettre l’entreprise dans sa position d’antan ; Mieux, faire de la SCPT la plus grande pourvoyeuse des finances de l’État. Ce n’est pas là un rêve pieux, dans la mesure où partout dans le monde, les télécommunications brassent des milliards. Faire de la SCPT un géant des télécommunications en RDC et en Afrique et de la RDC, le HUB des Télécommunications du Continent. Conclusion en 3 mots ? Plutôt en 4 mots : Travail, Modernité, Prospérité, Bonne Gouvernance ! Je vous remercie !

Propos recueillis par -Une contre-vérité à relever

John-Paul Majepa La Station d’atterrage de Muanda n’a pas coûté 60 millions de dollars américains et encore moins la contribution de la SCPT dans le WACS. Le coût de construction de la Station d’atterrage www.pyramidesnews.com

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Une photo souvenir pour la postérité . Au 1er rang, le Chef de l’Etat Kabila, le Premier Ministre Matata, le Ministre Kin-Key des PTT, le DG a.i Mbatika de la SCPT. Au 2e rang, le DGA Elanga Bolumbu Godé, le Vice-Premier Ministre, Dir Mondio,

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DEVELOPPEMENT

PM MATATA PONYO MAP MAIS LE BUDGET 2014 : LES ES

L

a conférence du Premier Ministre Augustin Matata Ponyo Mapon tenue le 25 Février 2013 à l’Hôtel du Gouvernement polarise encore l’actualité.

-

Reforme du secteur sécuritaire

L’effervescence que ce point de presse provoque dans le pays est à la mesure des différentes réactions suscitées dans l’opinion publique dans les sens divers.

-

Des performances sur le plan économique avec une stabilité du cadre macro-économique

Le pétulant 1er Ministre congolais aime bien affronter la presse. C’est l’un de ses hobbies, lui permettant ainsi de ses soumettre au règle du débat public que pour rendre compte des questions essentielles touchant à la vie nationale. Sous les voûtes de l’hôtel du Gouvernement, il a pu rassurer les journalistes tant nationaux qu’internationaux sur le bilan et les perspectives de l’action du gouvernement dont il tient le levier de commande.

-

Taux d’inflation de 1%, le meilleur du continent africain

-

Taux de croissance de 8,5% en 2013 (3ème meilleure croissance en Afrique)

-

Stabilité du taux de change monétaire à 920 F le dollar (taux inférieur à 1%).

Bilanélogieux

Ainsi donc, ces records de croissance ayant été un leitmotiv lui permettant de se consacrer au volet social : construction et réfection de 1000 écoles dont 130 sont déjà réfectionnées et 200 le seront bientôt. Sur les 1000 centres de santé à réhabiliter, 130 d’entre eux disposent du matériel. 70 bus suppléeront bientôt aux 300 bus de transport en commun en circulation à Kinshasa.

Le Premier Ministre congolais est un grand bosseur, animé de la soif incoercible de rendre un service actif au pays, et d’y laisser quelques traces ineffables. Quelques points saillants de ses actions démontre la qualité d’un travail gigantesque découlant de nombreuses reformes et initiatives dont on peut éviter de douter de leurs efficacité. Comme en témoignent certaines réactions palpables :

Chiffre qui atteindra le nombre de 500 bus au mois d’Avril prochain. Réveil de la SNCC

Succès héroïques, éclatants et historiques des FARDC sur les forces né-

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gatives ayant entraîné la victoire du Président Kabila sur le plan politique et diplomatique et ayant renforcé son leadership.

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(Société Nationale des Chemins de fer Congolaise). Bientôt nous assisterons à la résurrection de l’activité batelière sur le fleuve Congo, relance du transport ferroviaire à Kin. Si l’on jetait un regard cru sur les autres secteurs de la vie nationale comme la desserte en eau et en électricité, les mines, l’agriculture…, l’énumération risquerait d’être fastidieuse. Le bilan et les perspectives s’annonceraient radieux surtout dans divers projets d’investissement comme les travaux de construction des barrages Zongo II et Inga III, le projet de la cimenterie de Nyumba à Songololo, le projet d’appui à la stabilisation, à la reconstruction et à la relance économique de l’Est du pays, ainsi que le projet d’appui aux infrastructures rurales. Le tout inscrit dans l’agenda de Matata Ponyo et témoignant d’un budget hautement élogieux. Pourrions-nous en mesurer ce que représente ce budget aux yeux des observateurs ? Evalué à plus de 7milliards de dollars américains dans l’ambition du chef du Gouvernement, ceci montre que le cabinet du Premier Ministre tourne aujourd’hui à plein régime dans un contexte de relance et dans une perception réaliste de la gestion de la chose publique. Et le Premier Ministre Congolaise apparait comme le grand conducteur de l’opération. D’autant plus que bien d’innovations auréolent son travail d’échine dont on peut admirer des réalisations sur terrain.

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DEVELOPPEMENT

MAPON JOUE ET GAGNE ! ES ESPOIRS SONT-ILS PERMIS ? . Notamment dans le secteur de la paie des fonctionnaires de l’Etat. Dans ces domaines précis, les bons fruits ont été cueillis.

Laquelle se pratique au gré des vagues d’une timonerie où le capitaine est seul maître à bord après Dieu.

Mais au vu de ce succès gouvernemental retentissant les espoirs sont-ils permis sachant qu’une médaille a aussi ses revers ? Certaines voix tenant compte des tribulations de la population congolaise affirment sans pincerire que ce budget n’annonce pas des signes meilleurs pour le pays, parce qu’il ne tient pas compte d’une planification globale de l’environnement socio-économique. Car croient-ils que ce budget ne déchaîne pas l’enthousiasme du peuple congolais assujetti à la pauvreté, aux taux élevé du chômage, à une scolarité coûteuse, à des frais de santé onéreux, aux salaires insuffisants conduisant à une paupérisation de la masse.

A savoir que la richesse d’un pays ne repose ni sur son or, ni son diamant, mais à la capacité du gouvernement à pouvoir nourrir son peuple ; estimait un ancien Président de la République Démocratique du Congo. Ainsi le panier de la ménagère ne relève pas du domaine de la macro-économie. La dernière mise en garde de la FEC (Fédération des Entreprises du Congo) au gouvernement congolais à la suite de la publication de la loi budgétaire 2014, ne s’inscrit-elle pas dans cette logique ?

A quoi rime donc la stabilité macro-économique en présence d’une fiscalité très inappropriée caractérisée par l’évasion des flux financiers tributaires du boum immobilier qui envahit Kinshasa et l’arrière-pays, le recel et suscitant une thésaurisation de la monnaie nationale et l’utilisation des monnaies étrangères dans le pays ; sans oublier la présence désordonnée du secteur informel et de l’oubli fâcheux de liquider les dettes intérieures. Des prix des biens et des services calculés en dollars, observe un économiste dont les idées n’incitent guère à faire porter le béret de vainqueur à Matata Ponyo en dépit de son opiniâtreté à mieux faire et de sa bonne gestion des affaires.

La FEC faisant savoir que ses contre-vérités entrent dans la réalité socio-économique d’aujourd’hui à travers des incrustations qui ternissent dans un retentissement évident, l’image du gouvernement à la manière des prémonitions et des annihilations qui déforment la vérité. Tout pour le bonheur du peuple congolais Voilà un défi à relever pour le 1er Ministre en face de cette dictée révélatrice élucidée par le Président de la FEC. Propos qui ne sont certes pas une fiction mais qui de l’avis des gens, faussent la réalité des choses. Il est donc de bon aloi que dans la communauté d’intérêts qui unit les institutions du pays que les partis dans leur ensemble procèdent à la mise en ordre d’un ajustement efficace pour que les

objectifs budgétaires de la RD Congo soient cohérents. Ceci pour l’efficacité d’une planification qui tien compte des facteurs mis en évidence par la FEC en vue d’une élévation substantielle du niveau de vie des populations. Mais qu’on ne s’y méprenne point. Le Premier Ministre congolais n’est pas sorti de la dernière pluie. Né sous le harnais des finances, et dont la personnalité est liée à une hyper lucidité remarquable, à un génie vigoureux, à une expertise avérée qui l’aident à concocter des meilleurs plans pour le pays et de les exécuter par la rigueur de son travail. Considéré aujourd’hui comme meilleur 1er Ministre de l’histoire de la RD Congo, le public apprécie son œuvre immense et puissante, laquelle l’a porté au gotha des meilleurs dirigeants du pays. Affectant ainsi de ne rien ménager pour le bonheur du peuple congolais. D’où ses donneurs des leçons et pourfendeurs doivent savoir que l’élaboration du budget tient compte de la rentabilité d’un pays et qu’il est une entreprise collective dans laquelle l’harmonie s’impose comme gage de prospérité et de cohésion nationale.

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CES IMAGES QUI FONT LA FORCE DE MATATA AU PRES DE JOSEPH KABILA

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LA RENCONTRE DE TROIS INSTITUTIONS REPUBLICAINES POUR DISCUTER ET PRENDRE DES GRANDES DECISIONS RELATIVES A LA BONNE MARCHE DU PAYS

NPM : De gauche à droite: Président Kabila Kabange Joseph, Premier Ministre Matata Ponyo Mapon et le Président de l’Assemblée Nationale Aubain Minaku

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MATATA PONYO ADORE LA DESCENTE SUR LE TERRAIN POUR PALPER SES REALITES AU LIEU DE SE CANTONNER DANS SA BELLE TOUR

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Amélioration du transport urbain Le gouvernement a mis à crédit 90 bus Hyundai à la disposition des opérateurs privés

l’entremise de l’Association des Propriétaires des Véhicules Affectés au Transport en Commun (APVCO).

Après la création de la société de transport public, Transco, le Premier ministre a commandé 250 minibus qu’il a mis à la disposition des opérateurs privés du secteur par voie de crédit. Un premier lot de 90 minibus a été présenté le week-end à la place du Palais du peuple. C’est un exploit signé Matata Ponyo, quand bien même d’aucuns douteraient encore de l’objectivité devant entourer le choix des bénéficiaires. Chose promise, chose faite. Mieux, chose réalisée. En effet, la promesse du Chef de l’Etat de permettre aux Congolais de circuler dans le confort et la sécurité connaît un début de réalisation avec la remise officielle par le Premier ministre de 90 bus neufs sur les 250 commandés pour le transport en commun, a eu lieu samedi 29 mars dernier au secteur privé, par

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“ La révolution de la modernité comme l’a toujours dit le Chef de l’Etat, c’est la rupture avec le passé. Et le Chef de l’Etat, initiateur de ce programme, a promis un transport décent, confortable et sécurisé à la population non seulement de Kinshasa mais de l’ensemble de la République Démocratique du Congo. Nous avons lancé le programme Transco qui réussit très bien, mais nous avons pensé aussi qu’il faut, conformément à la vision du Chef de l’Etat, créer une classe moyenne, permettre au secteur privé congolais d’acquérir des bus de qualité ”, a déclaré le Premier ministre Matata Ponyo Mapon. Et là, le gouvernement a, sur fonds propres, sorti un financement pour acheter des bus qui vont être attribués, sous certaines conditions, aux opérateurs privés de Kinshasa, qui vont utiliser les bus de manière confortable en remplacement de fameux 207. Ces bus s’appellent “ Esprit de vie ” contre les anciens bus

qui vont être retirés, progressivement et qu’i s’appellent “ Esprit de mort ”. Donc, la révolution de la modernité, vision du Chef de l’Etat est en marche. “Nous avons donc commandé des bus qui arrivent pour l’ensemble du territoire national, tout comme le programme d’Esprit de vie contre l’Esprit de mort va s’étendre sur l’ensemble du pays ”, a assuré le Chef du Gouvernement qui a lancé un appel aux futurs bénéficiaires de faire montre de bonne gestion. Le Premier Ministre a procédé à la remise officielle de ces bus neufs, samedi 29 mars dernier, au secteur privé, par l’entremise l’Association des Propriétaires des Véhicules Affectés au Transport en Commun (APVCO) en présence des Ministres des Transports et Voies de communication, de l’Economie et Commerce, celui délégué aux Finances, du Vice-gouverneur de la ville de Kinshasa ainsi que d’autres personnalités.

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DES GRANDS DEFIS DE MATATA

VIVE LES NOUVEAUX BUS “ ESPRIT DE VIE ”. ADIEU LES VIEUX BUS 207 “ ESPRIT DE MORT ”

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En tant que Première Dame de la RDC, Olive Lembe Kabila “OLK” est devenue une plaque tournante des oeuvres philantropiques. Sa fameuse fondation “Initiative Plus OLK” continue de se battre pour donner un peu d’espoir aux plus démunis du pays avec des moyens de bord mis à sa disposition par des donateurs. Et mine de rien, ses nombreux projets à vocation simplement et purement sociale ont commencé à transformer des vies de certains compatriotes congolais. Une autre façon de bien assimiler l’Evangile de Matthieu 25:35-40 qui dit :“...Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire; j’étais étranger, et vous m’avez reccuilli; j’étais nu et vous m’avez vêtu; j’étais malade, et vous m’avez rendu visite; j’étais en prison, et vous êtes venu vers moi. Et le roi leur répondit :...Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites...”.

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At finish, il faudrait être d’une mauvaise foi abyssale pour ne pas reconnaître des oeuvres ca-ritatives de l’épouse cher à Joseph Kabila. Et ce, très loin de toute récupération politicienne mais plutôt sur les petits pas de la regrettée épouse de Maréchal Mobutu, Maman Sese et pour quoi pas aussi sur ceux de François 1er, le Pape des Pauvres !

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Maman Olive Lembe Kabila: Toujours plus près de son peuple

Cette jeune maman n’en croit pas à ses yeux que l’Epouse du Chef de l’Etat, Olive Lembe Kabila vienne vacciner son bébé....

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A travers des idées et des initiatives tendant à redorer l’image positive de la nation congolaise.

Les épanchements d’une mère Sans doute, plus que toute autre femme de la RD Congo, Madame Marie Olive Lembe Kabila apparaît aux yeux du public congolais comme la femme la plus bénie et la plus populaire. Ce n’est pas pour sa beauté que ces qualificatifs lui sont attribués (Charme aérien, gaieté d’opérette, front d’une blancheur cuivrée, peau de nymphe…). Mais, il saute aux yeux de tout le monde que des témoignages recueillis sur elle suffisent à rendre compte des traits exaltés par cette dame providentielle qui a créé une légende autour d’elle. Ce n’est probablement pas par hasard que le chef de l’État, le Président de la République Joseph Kabila a daigné fixer son choix sur elle en la prenant comm compagne de sa vie conjugale. Cette dernière ne se montre-t-elle pas à ses côtés comme une alliée fidèle, laquelle a apporté dans sa vie une sève nouvelle, un souffle vivifiant ? Marie Olive Lembe est considérée comme un gisement adulé, une mine d’or dont les différentes facettes de sa personnalité concourent au dynamisme, à la crédibilité et au rayonnement de son mari. Ceci à la mesure des besoins et des espoirs du peuple congolais.

L’harmonie s’impose donc pour elle comme gage de prospérité pour un pays qui aspire à l’émergence, au bien-être de ses habitants, à la paix, à la démocratie, à la bonne gouvernance, à la sécurité et à la justice. Bref, ces vérités radieuses, estime-t-elle, sonnent le glas de la vraie rédemption de la RD Congo sur l’échiquier mondial. L’épouse du Chef de l’État consacre souvent ses prêches dans la réprobation d’une marche affolée du pays qui ne cadrait pas jadis avec les valeurs morales et spirituelles, fondement de l’homme, lesquelles étaient sacrifiées et oblitérées par des virus sociaux très dangereux tristement incubés dans la masse congolaise dans les fluctuations du temps. Elle tient à faire fleurir les vertus nationales. Convaincue que cette initiative lui paraît la plus plausible à servir son pays et à le conduire vers une nouvelle destinée. C’est une démarche qu’elle croit fructueuse, qui crée dans un lien fondamental, des conditions de compréhension mutuelle entre les Congolais, en dépit de leurs obédiences politiques, spirituelles diverses et différentes. La première dame congolaise, ne l’a-telle pas démontré à travers le cortège des événements tant heureux que tristes ayant émaillé la vie de la nation congolaise ?

Un style qui contient du neuf Ayant franchi les portes entrebâillées du Palais Présidentiel en l’an 2006, Madame Marie Olive avait vite pris conscience de casser la Tour d’Ivoire où elle était obligée à s’enfermer de l’abri des regards fouineurs, en dépit des apparitions strictement fugitives. Rompant avec cette vie routinière, elle avait décidé de se baigner dans la masse, de se familiariser avec ses compatriotes, même dans les zones à fortes risques et turbulences sécuritaires ; même aussi dans les milieux à grandes fortifications, offrant ainsi ses services à toutes les couches de la population, apportant à leurs poumons étiolés une fraîcheur nouvelle. Voilà un style de vie adopté par la première dame du pays, un style qui contient du neuf.

Conseillère naturelle de son mari Veilleuse diligente et ange gardien de son mari dont elle est interlocutrice de confiance, l’épouse du Chef de l’État s’était vite retrempée dans les sphères lumineuses des réceptions d’État, des déplacements officiels, des rencontres diplomatiques, des secrets d’État, des manifestations officielles, des sommets internationaux, des divers meetings et campagnes politiques… Bien que les textes constitutionnels ne lui garantissent pas ces tâches, elle a pourtant joué un rôle accru de manière à vendre l’image de son mari, en s’impliquant même dans des attributions parfois protocolaires. Rien ne lui empêche donc de parâtre en public aux côtés du Président Kabila et d’influer par ses idées fécondantes sur des options à prendre. Cette position s’est avérée payante et a joué, à coup sûr, un impact positif.

Ainsi donc Madame Olive Lembe Kabila offre l’échange dans un modèle exclusif, dans une optique innovante, originale, dans un réflexe communautaire et dans une obstination qui apporte sa part substantielle au peuple congolais.

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Car, elle exerce sa part de responsabilité auprès de son mari dont elle est conseillère naturelle. Et elle en acquiert une certaine dignité personnelle. Madame Olive Lembe Kabila ne considère-t-elle pas cette responsabilité comme un legs providentiel dont elle a reçu les lumières pour essaimer le peuple congolais par la propagation de ses rayons dans la perspective de promotion de l’homme congolais? C’est une femme qui a mis ses aptitudes et capacités à profit pour débloquer à sa manière certaines situations sociales. Lors des joutes électorales, elle n’a pas bafouillé devant un micro dans un message best-seller qui a résorbé la différence qui s’était créée entre l’Opposition et la Majorité. Un message dont on ne flétrit point les merveilles, d’autant qu’il aura transcendé les clivages politiques, ethniques et religieux chez le peuple congolais. Cette harangue a rassemblé dans une sorte de parenté les communautés en proie à des rivalités stériles. En retour, des communautés entières lui ont rendu la clé de leurs cœurs, estimant qu’il n’y a pas d’inimitiés entre les adversaires politiques, mais il y a oppositions d’idées dans une indissociable fraternité, dans une parenté d’âmes.

L’onction maritale Les idées de Madame Olive Kabila ont établi une sorte de filiation entre les Congolais et leur mère. Ceci dans un rapprochement qui émerveille. Cette dame incarne ce rapprochement, tant elle est responsabilisée au plus haut point pour rendre un service actif au pays, s’échinant sur des vrais problèmes qui étreignent les masses. Et aussi sur des stratégies qui stimulent la cohésion et l’émergence sociale. Rappelons que ces bonnes intentions sont alliées non pas aux verbes, mais à des actions concrètes qui font le bonheur des Congolais de toutes les ethnies et de toutes les obédiences, lesquelles sont liées à leur sauvetage. A telle enseigne que c’est dans une atmosphère d’émerveillement et d’extase, pleine de rêves, de souvenirs et de témoignages que l’on évoque le nom d’Olive Lembe. Celle-ci fait montre d’un charisme vibrant dans l’attachement du peuple congolais à sa personne.

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DEVELOPPEMENT Ceci à cause d’une série des faits dont la portée dépasse tous les calculs humains, dans l’empressement indulgencié dont elle fait montre afin d’assurer aux familles congolaises des meilleures conditions d’existence. Dans toutes les provinces : de Tshikapa au Mayumbe, à Gdadolite et partout dans tous les coins et recoins du pays, elle a rendu possible les plus difficiles aveux. Une grande estime la protège. Et personne ne peut nuire à la réputation de cette mère dont les œuvres couronnent son admirable activité se rapportant principalement à des engagements ayant souvent trait à l’humanitaire, à la santé, à l’éducation, à la création et inauguration d’écoles, hôpitaux et/ou centres d’aide. Bref, des activités qui tressent aux yeux du public des images Kaléidoscopiques de bonté, de sacrifice, de l’abnégation et du don de soi. Notons que Madame la Présidente de la République n’enveloppe pas son travail des brumes de la politique.

Palette des projets réalisés Ceci se traduit par l’acharnement de la Première Dame Congolaise à venir en aide aux déshérités, aux sans-logis, aux blessés qui peuplent les hôpitaux, et à ceux qui vivent dans les difficultés inextricables de l’existence. Ceux qui ne sachant dévoiler leur détresse muette, s’acharnent dans les souffrances et les désillusions sans fin. C’est une âme généreuse et miséricordieuse qui s’emploie à bander les plaies et les déchirures de ses semblables dans les ligatures de son cœur tout donné. Dieu l’a réquisitionnée pour cette mission sublime où elle exerce un rôle éminemment ingrat, mais le remplit avec un mobile puissant. Combien de fois Olive Lembe Kabila n’at-elle pas élevé sa pieuse âme dans les régions de l’amour les plus pures ? A quoi bon le rappeler, si l’on repassait dans notre esprit les œuvres et les initiatives qui font aujourd’hui la fierté de cette dame dont le cœur est un jardin fleuri où germent les pétales de bonté dans la flamme diligente de ses qualités légendaires et dans la grande hauteur de vue qui la caractérise ? Le peuple congolais a vite pris conscience de la palette des projets réalisés par cette dame, lesquels auréolent le prestige de cette mère à l’âme bien trempée, et inscrivent son nom dans les annales de l’histoire de notre pays. Le

public de ses admirateurs a explosé littéralement dans des convictions hautement exprimées et dans des espoirs joyeusement éprouvés. Au point que les Congolais ne jurent par son nom dans la forte émotivité qui accompagne leur souffrance. (paiement frais de santé, accident, incendie, faim, frais scolaire, maladie, incertitude du lendemain…). Autant des puzzles sociaux jetés à ses pieds et qu’elle s’emploie à résoudre, espérant qu’ils déblaieraient de leurs cervelles, tous les fatras qui les encombrent. Touchée par les voix pleurantes et gémissantes qui parviennent à ses oreilles, son aide jaillit d’un cœur sincère et généreux pour leur ouvrir des portes et des fenêtres d’opportunités et de salut. L’opinion nous renseigne sur le cas d’une jeune fille accidentée sur la route de Kinkole et l’empressement d’Olive Kabila à la conduire aux Cliniques Ngaliema. Et le cas de la demoiselle à qui elle a remis son collier d’or pour l’aider à payer ses frais académiques. Nous serons accusés d’invraisemblance si nous n’évoquions pas son association avec les femmes agriculteurs du plateau de Batéké dans les travaux arables. Et la dotation à cette contrée des fontaines d’eau et des groupes électrogènes par son ONG. La liste n’est pas exhaustive.

Elevée dans la crainte de Dieu. Dans le domaine funéraire, son recueillement au chevet du lit funèbre des artistes décédés est un bel exemple d’altérité et de compassion prouvant ainsi les épanchements les plus tendres d’une mère éplorée affligée par la mort d’un fils du pays. L’on a vu Madame Kabila dans les différents presbytères des Églises, dans sa verve spirituelle et de ses idées fécondantes et par sa voix sibylline, interpeller le peuple congolais sur les carcans qui empoisonnent la vie nationale par le flottement de son cri qui a couru vertigineusement dans les ondes. Message capté avec chaleur, et qui fait oublier le bruit de la terre pour écouter l’harmonie céleste; message utilisé comme soubassement à la recherche de la cohésion nationale tant souhaitée, à l’atténuation des frictions entre frères ennemis du pays, à la construction d’un mur de solidarité dans un dialogue fondé sur l’unité dans la diversité. Bref, à l’érection d’une société de raison.

Âme dévote et sacerdotale, l’épouse du Président de la RD Congo, a eu plusieurs fois l’occasion d’organiser sous sa houlette des prières générales pour l’avènement d’une paix durable en RDC. Dans ce même registre, Madame Olive a présidé les manifestations commémoratives de la construction à Goma d’une cathédrale qui sera le lieu de recueillement pour les fidèles catholiques de cette ville. Ceci après avoir effectué une visite auprès du Souverain Pontife au Vatican et après avoir assisté aux obsèques de l’ex Président Sud-Africain Nelson Mandela. Ceci montre que cette pieuse dame a été élevée dans la crainte de Dieu. C’est cet esprit de piété qui la conduit souvent à visiter les hôpitaux, les taupinières des pauvres, les maisons des lépreux, les homes des vieillards où des dons, ses aides, ses legs constituent un gage substantiel à leur survie. Les actions d’Olive Kabila s’allongent également dans les constructions d’écoles, d’habitats, d’hôpitaux, de marchés et d’autres bâtiments publics. Une philanthrope à l’humeur accommodante, qui ne recule devant aucun sacrifice, c’est Olive Kabila qui aime à balayer les fumiers de Lazare qui encombrent les fortifications, à résister devant les odeurs malodorantes, in commandantes qui se dégagent dans ces maisons miséreuses, et y faire exhaler les valeurs de la vie. Se montrant disponible à la nation congolaise, et dans ses interventions sur la condition de la femme congolaise, la Première Dame Marie Olive en vraie apologue, a toujours souhaité l’éternelle vitalité de la femme congolaise, estimant que celle-ci doit s’imposer à tous les esprits attentifs afin de croire à cette réalité, en dépit des impondérables liées à nos traditions et coutumes. Les défricheurs culturels congolais avaient eu à mesurer le niveau de sa conscience patriotique lorsqu’il lui a été convié d’accompagner à Bruxelles la délégation congolaise lors de l’exposition Yambi à Bruxelles en l’an 2010. Il est bon de souligner que l’œuvre de la Première Dame de la RD Congo est agréée d’investissements qui se réalisent dans une propension soutenue vers la recherche d’un meilleur confort et d’un mieux-être.

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INFATIGABLE FEMME DE TERRAIN

EPOUSE DU CHEF DE L’ETAT ET MERE DE FAMILLE RESPONSABLE www.pyramidesnews.com

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Un mieux-être dont le retentissement a réuni dernièrement sous son spectre un total de 800 hommes de troupes participant à une manifestation présidée par elle dans laquelle ils avaient célébré leurs noces. Ces noces sont à ses yeux un grand appel aux couples à adhérer aux valeurs de la conjugalité. Une conjugalité qu’elle estime comme gage du bien-être familial. Directives préceptes et dispositions légales à respecter pour assurer la bonne marche de la société, estime-t-elle.

Les noces de coton En initiant cette fête des noces, Madame Marie Olive Kabila pense qu’elle leur a passé le fil d’Ariane pour suivre cet exemple. Elle qui totalisera bientôt 8 années de vie conjugale avec le chef de l’État congolais. Mariée civilement le 16 juin 2006 et religieusement le 17 juin de la même année, Olive Lembe Kabila, s’apprête à célébrer bientôt ses noces de coton (10 ans). Espérant que les autres y tireront des leçons sanitaires dans une explosion de joie, d’amour véhément, de fidélité. A l’exemple d’elle qui vit avec l’homme de sa vie qu’est le Président Kabila Kabange. Le cœur de Madame Olive Lembe Kabila puise dans ces noces, une grandeur qui dépasse les frontières du plus noble amour.

Initiative Plus Les actions de Madame la Présidente sont très visibles, et résultent sur le terrain. Son conjoint a mis à sa disposition une rente qui lui apporte des possibilités efficaces dans l’organisation optimale de son travail de promotion sociale des populations. C’est une noble mission dont la substance opérationnelle relève d’un bureau disposant d’un cabinet, d’un secrétariat, d’un service général et d’un service de presse. Organisme dénommé “Initiative Plus-OLK” que dirige son épouse au prix d’inlassables efforts avec un personnel dévoué qui travaille sous son ombre. Il est bon d’indiquer que les portes de ce bureau ne sont point fermées au public, elles sont une brèche ouverte aux Congolais. Précisons que la première dame ne reçoit que les plaintes parfaitement justifiées.

Bouquet en panache Des actions d’ OLK constituent donc un grand bouquet en panache et s’inscrivent dans les priorités du quinquennat actuel du chef de l’État consistant à chasser de notre pays les réminiscences d’une vie primitive, rudimentaire et dont les ouvrages qui jaillissent de nos lotissements sont des vitrines affleurantes de la révolution de la modernité, faisant du Raïs congolais, un probe travailleur, une icône historique et émouvante, laquelle a permis de faire de notre cher et beau pays, un univers remarquablement recrée.

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Honorable Henriette Wamu recevant Mbilia Bell dans son office

MBILIA BELL : MEILLEURE CHANTEUSE DE TOUS LES AGES A l’initiative d’un jury organisé par notre magazine, basé sur un sondage d’opinions minutieusement mené auprès des mélomanes congolais, un hommage va être rendu à la chanteuse Mbilia Bel Ce n’est pas surprenant que de nombreux suffrages aient été portés sur cette cantatrice choisie comme la meilleur chanteuse de tous les âges en République Démocratique du Congo, du moins depuis les années coloniales jusqu’à nos jours. Rien d’étonnant que cette dame virtuose de la chanson ait attiré l’attention d’un public résolument hypnotisé par ses prouesses artistiques en prouvant que dans le royaume d’Orphée, la femme est reine. L’exploit extraordinairement étonnant au centre duquel se trouve cet artiste phénoménale est à la mesure de ses dons et aptitudes inégalables et inégalées dans le domaine précis du chant et de la scène. Très belle vocalise, sensualité du corps du corps, excellentes qualités chorégraphiques, bon feeling, grande capacité

d’adaptation et d’interprétation, qualité de bon compositeur… Toutes ces qualités font déceler le potentiel réel de ses talents multiples et confèrent une valeur ajoutée à sa notoriété toujours grandissante. Durant toute sa carrière musicale, Mbilia Bell a fait palpiter la fibre féminine dans la musique congolaise moderne. Ceci prouve que la femme congolaise n’éprouve aucune peine à se trouver aux côtés de son collègue mâle en lui rappelant sa présence farouche, sa vitalité, son génie créateur et la variété des ses dons artistiques qui font sa grandeur pour construire cette cathédrale musicale que chaque génération laisse inachevée depuis les époques successives de Wendo, Adou Elenga, Lucie Yenga, Kallé Jeef, Franco, Abeti Masikini, M’pongo Love et consorts. Bref, tous ceux et celles qui se sont lancés sur toutes les routes du pays et du monde pour accrocher leurs admirateurs à la chaleur de leurs voix et à la qualité des

œuvres émanant de leur génie vivant. La musique de Mbilia Bell est l’une des plus pénétrantes de notre temps, réputée qu’elle est par son excellente qualité, laquelle retrempe les mélomanes dans l’atmosphère voluptueuse des mélodies diverses et raffinées. Voilà qui parait dicter aujourd’hui le choix des mélomanes congolais excédés d’admiration pour les œuvres émanant de ses talents. Ils admireront dans l’apothéose d’une grandiose manifestation qui présentera au public congolais le grand trésor artistique dont Mbilia Bell est doté à travers les œuvres que cette chanteuse émérite a pu produire de plus beau et de plus exquis, lesquelles viennent de la hisser prodigieusement sur le promontoire de la meilleure chanteuse congolaise de tous les temps.

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Kimbuta Kimbuta Yango Yango André: André: Meilleur MeilleurGestionn Gestionn Un personnage proverbial

IL IL

va fêter son Jubilé

Un personnage proverbial de Diamant le 16

Juin 2014 sauf imprévu. popularité va fêter son Sa Jubilé de toujours grandisDiamant le 16 Juin atteint les 2014 sante sauf a imprévu. hauts sommets la ville de Kinshasa Sa de popularité toujours jusqu’à la foisgrandissante aux confins ades falaises atteint les hautsdes sommets bordant les plateaux Bateke qu'au tréfonds des eaux fluviales du Pool de la ville de Kinshasa jusqu’à la fois Malebo. C'est dire qu’au haut sommet aux confins des falaises bordant les de la ville de Kinshasa trône un perplateaux des Bateke qu'au tréfonds des sonnage proverbial. Il s'agit bel et bien eaux fluviales du Pool Malebo. C'est d'André Kimbuta Yango, gouverneur dire qu’au haut sommet de la ville de de la ville-province de Kinshasa. Kinshasa trône un personnage proverbial. Il s'agit bel et bien d'André Kimbuta Yango, gouverneur la ville-province Kimbuta, est un de personnage que la rede Kinshasa. nommée place incontestablement au gotha des hommes populaires de la capitale de la RD Congo. Ce n’est pas Kimbuta, est un personnage que la reen vain que le pseudonyme de “ Haut nommée place incontestablement au Sommet “ lui est collé. Ce titre emblégotha des hommes populaires de la matique traduit merveilleusement la capitale de la RD Congo. Ce n’est pas concordance existant entre l’homme et en vain que le pseudonyme de “ Haut son sobriquet, à telle enseigne qu’on Sommet “ lui est collé. Ce titre embléne saurait évoquer le coup du hasard. matique traduit merveilleusement la concordance existant entre l’homme et son sobriquet, à telle enseigne qu’on ne de En effet Kimbuta apparaît aux yeux saurait le coup du hasard. sesévoquer administrés comme le héros d’une épopée dont apparaît les exploits En effet Kimbuta aux titanesques yeux de se sont imposés dans l’espritd’une des Kises administrés comme le héros nois tant il est vrai que sa notoriété épopée dont les exploits titanesques se pris desdans proportions sont ait imposés l’esprit extravagantes des Kinois à travers les activités et lesaitœuvres tant il est vrai que sa notoriété pris témoignent de son charisme des qui proportions extravagantes à trav- vibrant, lié à son énergie, sonqui génie ers les activités et les œuvres té- et son sens d’altérité. Autant des qualités moignent de son charisme vibrant, lié greffées à son qui se à son énergie, son personnage génie et sonetsens décantent chaque jour dans la flamme d’altérité. Autant des qualités greffées diligente de sonetêtre. à son personnage qui se décantent chaque jour dans la flamme diligente de son être. Un baroudeur à

l’esprit cartésien Un baroudeur à l’esprit cartésien

La qualité du travail de l’actuel Gouverneur de Kinshasa ne se mesure La qu’aux qualité nombreux du travail de l’actuelqu’il Gouservices rend verneur Kinshasa etneà se mesure à sesdeadministrés la nation conqu’aux nombreux qu’il rendluià tégolaise toute services entière, lesquels ses administrés à la nation congolaise moignent deetsa gratitude, toute entière, lesquels lui témoignent de sa gratitude, de sa disponibilité et du sérieux de son âme toute trempée.

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de sa disponibilité et du sérieux de son âme toute trempée. Ce sont ces quivertus l’aident allonger le cercle Ce vertus sont ces quiàl’aident à allonger de sa popularité. Très jeune, le cercle de sa popularité. Très Kimbuta jeune, s’affirmait déjà comme tête de Kimbuta s’affirmait déjà comme têtepont, de tanttant dans les les mouvements associatifs pont, dans mouvements assoque que sportifs, consacrant sa viesa pour ciatifs sportifs, consacrant viela promotion de ses Kimbpour la promotion de semblables. ses semblables. uta affectionne contactsdirects, directs, Kimbuta affectionne les les contacts frontaux avec autres,flirtant flirtantavec avec frontaux avec leslesautres, rompantunununivers universrenfermé renfermé euxeux en en rompant resserrer les coudes dans sursur soi, soi, resserrer les coudes dans une uneeffrénée quête effrénée d’amitiés, de partquête d’amitiés, de partage. Et age. Et une c’estcoopération dans une coopération c’est dans qui casse casse les frontières opaques entre les qui frontières opaques entre individus, individus, ainsiamour le parfait filant ainsi lefilant parfait avecamour ses avec sesPour alter rappel, egos. Pour rappel, ne son alter egos. son œuvre œuvre nepas reste-t-elle reste-t-elle attachée pas à laattachée création àetla et au fonctionnement pluau création fonctionnement de plusieurs de assosieursculturelles associations culturellesde et Kinsporciations et sportives tives? de Kinshasa ? shasa temps pasoùloin où Kimbuta Le Le temps n’estn’est pas loin Kimbuta et les et les siens, dans un enthousiasme siens, dans un enthousiasme revigoré, revigoré, avaient éveillé réflexe un certain réavaient éveillé un certain chez flexe chez les Kinois pour contrecarles Kinois pour contrecarrer et démystidémystifier préjugés de ceux fierrer lesetpréjugés de les ceux qui voulaient qui voulaient faire d’eux un prototype faire d’eux un prototype catalogué dans catalogué dans la société congolaise. la société congolaise. Aujourd’hui, ces Aujourd’hui, ces préjugés sont loin de préjugés sont loin de s’imposer grâce s’imposerdont grâce Kimbutaavaient dont lesfait acà Kimbuta lesàactions tions avaient fait tâche d’huile dans tâche d’huile dans le passé. Au centrele passé. Au centre admiration qui d’une admiration qui d’une assiège les esprits, assiège les esprits, Kimbuta s’est Kimbuta s’est vu dès lors confier la re-vu dès lors confier responsabilité sponsabilité d’unelagrande Equiped’une de grande Equipe de Football, le plus Football, le plus populaire de Kinshasa. populaire de Kinshasa. L’Association Sportive Vita L’Association Club, une Sportive Vita Club, une équipe dyéquipe dynamique, ambitieuse grâce namique, ambitieuse grâce à laquelle à laquelle il s’était rendu disponible et il s’étaità rendu disponible et merveilpopulaire populaire Kinshasa, dans des à Kinshasa, dans des merveilles inoules inoubliables. bliables.

Une performance qui ne doit Une qui ne doit rien auperformance hasard rien au hasard L’on relève chez André Kimbuta, une exL’onsouplesse relève chez André Kimbuta, une trême dans les négociations, extrême souplesse dans négociale génie de persuader et celuilesd’user du tions, le génie de persuader tact pour parvenir au bon résultat. et celui d’user du tact pour parvenir au bon Convertisseur des masses et avocat des résultat. Convertisseur des masses et causes nobles, il a entraîné beaucoup avocat des causes nobles, des Kinois à sa suite en s’engageant dans des actions dont dépend leur survie.

il a entraîné beaucoup des Kinois à sa suite en s’engageant dans des actions dont dépend survie. de Autant de beauxleur rôles jouésAutant dans les beaux rôles jouéspour dansselesretrouver labyrinthes labyrinthes kinois un kinois retrouver jour à la jour à lapour tête se d’une grandeun ville métrotête d’une grande ville métropolitaine politaine qu’est Kinshasa, sur le désir qu’est Kinshasa, sur le désir exprimé exprimé par les députés provinciaux paront lesparticipé députésauprovinciaux qui ont qui scrutin. Placé au participéil continue au scrutin. Placédeaugrimper somsommet, toujours met, il continueaux toujours deil grimper progressivement cimes où est perprogressivement auxune cimes où il qui est ché. Ainsi s’accomplit popularité Ainsi s’accomplit neperché. s’est jamais érodée au filune despopuans. laritéperformance qui ne s’est qui jamais fil Une ne érodée doit rienauau des ans. Une Ce performance qui ne doit hasard, dit-on. n’est pas par hasard riendans au hasard, dit-on.deCeson n’est pas par que l’obstination destin, cet hasardàque dans de d’or son homme inscrit sonl’obstination nom en lettres destin, homme inscrit son dans les cet arcanes de laà province villenom de en lettresEn d’or dans arcanes de la Kinshasa. effet, lesles Kinois se souviprovince villeà travers de Kinshasa. Enqui effet, ennent de lui sa vision foles Kinois se souviennent de lui à travcalise les masses vers la promotion de ersvie saetvision quimilieu. focalise les masses leur de leur Le Gouverneur la promotion de légende leur vieauettour de devers Kinshasa à crée une Le témoignages Gouverneur de deleur lui milieu. dans les quiKinshadépeisa à une créevie une légende au tour de degélui gnent exemplaire, pleine dans leset témoignages nérosité d’amour dansqui la dépeignent fascination une vie exemplaire, de généqu’exercent ses idées pleine chez les kinois rosité tous et d’amour rangés derrière dans lui. la fascination qu’exercent ses idées chez les kinois rangés tous derrière lui.

Ambitieux programme

Ambitieux programme

Se sentant responsabilisé au plus haut point et se prêtant volontiers à ses nouSe fonctions, sentant responsabilisé plus velle André KimbutaauYango hautpar point et sedeprêtant dicté le souci donner volontiers à la capitaleà ses nouvelle André Kimbuta Congolaise lesfonctions, moyens de sa politique, dictéune par nouvelle le souci de donner à a Yango impulsé dynamique. la capitale Congolaise les les moyens de Celle de toucher du doigt réalités impulsésur une nouvelle desalapolitique, ville en sea basant la politique dynamique. Celle de du doigt des cinq chantiers, telletoucher qu’édictée par réalités de la ville en seJoseph basant Kasur leles Chef de l’Etat le Président la politique cinq chantiers, bila Kabange.des C’est-à-dire en s’attelant à l’œuvre des reconstructions de la villeprovince de Kinshasa, laquelle tientl’Etat lieu telle qu’édictée par le Chef de d’une visibilité pour un Congo nouveau. le Président Joseph Kabila Kabange. C’est-à-dire en s’attelant à l’œuvre des reconstructions de la ville-province de Kinshasa, laquelle tient lieu d’une visibilité pour un Congo nouveau. Suite à la page 56 Suite à la page 56

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tionnaire tionnairede delalaVille Villede deKinshasa Kinshasaen en2013 2013

AndrĂŠ Kimbuta Yango Meilleur Gouverneur www.pyramidesnews.com

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DEVELOPPEMENT tiers à travers les axes qu’ils comportent, ont suscité des résolutions généreuses en matière d’infrastructures de santé et de l’éducation, d’eau et d’électricité, du logement, de l'emploi, des sports…Des signaux positifs sont à mettre au crédit du Gouverneur de la ville-province de Kinshasa qui, dans des actions entreprises, a merveilleusement initié une optique innovante, originale doublée d’une rigueur classique se basant sur une stratégie tendant au réalisme, au pragmatisme et qui se dépouille de tout aspect folklorique. Divers ouvrages palpables et visibles font depuis la fierté de la Villeprovince. Ceci grâce aux divers financements et partenariats tant nationaux qu’internationaux. Les Kinois passionnés du renouveau, se délectent de ces ouvrages qui font revêtir leur ville-province d’une nouvelle robe (élargissement des chaussées, bitumage, compactage et asphaltage des routes, entretien des routes, arrangement des sites érosifs, construction des bâtiments publics, construction et curage des caniveaux…)

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olitique reposant sur l'ambitieux programme de refondation et de la dynamique de construction d’un grand pays émergent.

Il sied 'affirmer qu’aujourd’hui quelque chose a changé dans la vie de la villeprovince de Kinshasa. L’on perçoit déjà une amélioration quantitative et qualitative des infrastructures urbaines dans un constat de fierté et de beauté. Mais cette fièvre rénovatrice requiert à la fois la vision d'un leader et l’utilisation efficiente des fonds, une condition sine qua non pour se consacrer de manière optimale à cette tâche nationale. Souvenonsnous qu'il y a peu la ville de Kinshasa ne disposait pas de portefeuille assaini. Il faudrait désormais recourir aux ressources disponibles. C’est grâce à la pathologie du terrain que l’on est arrivé à l’établissement d’un ordre nouveau. La conclusion s’est imposé inéluctablement dans un assortiment des décisions notoirement super pratiques tendant à mettre à profit les potentialités de la villeprovince.

Le boom immobilier et l’assainissement de la ville

Voilà qu’une tentative généreuse ayant conduit le Gouverneur Kimbuta à créer la DGRK (Direction Générale des Recettes de Kinshasa) est considérée aujourd’hui comme une pourvoyeuse des recettes budgétaires de la ville. Une structure prompte à servir le bien-commun de la population de Kinshasa, et qui s’affirme comme gage de prospérité d’une ville aux perspectives et aux motivations nouvelles. La création de la DGRK n’a-t-elle pas permis de mettre sur pied un ensemble d’engrenages tant financiers, administratifs, culturels et des rouages qui tournent en plein régime dans une sphère d’actions fonctionnant régulièrement ?

Aujourd’hui Kinshasa reflète des plus en plus son romantisme du passé. On voit fleurir et hérisser de superbes lotissements où se zèbrent des jolies artères qui passent devant des nombreux bâtiments, fruits du boom immobilier. L’impact est à présent visible, la résultante de la mise en œuvre effective d’un plan directeur de salubrité de la capitale congolaise. La ville-miroir de Kinshasa s’est résolument engagée dans une parade effrénée d’actions palpables, ce, dans le cadre de son assainissement. Il est heureux de constater partout dans la ville la présence des ouvriers commis à la tâche de nettoyage les voies publiques et de procéder aux curages de caniveaux. Ceux-ci s’emploient dans cette besogne quotidienne à la grande satisfaction des usagers de la route. Les engagements pris avec les ONG s’occupant de ce travail par la RATPR (Régie d’Assainissement des Travaux Publics de Kinshasa) s’inscrivent dans cette perspective globale de redonner à la ville-province le sourire qu’elle aura perdu jadis. Dans ce contexte précis la construction des stations de collectes et de gestion des déchets et ordures ménagers a redonné de l’espoir aux Kinois, car disposant désormais d’un support indispensable à combattre l’invasion de la

La DGRK est une initiative qui fait présentement la fierté de la ville-province de Kinshasa, de sorte que cette initiative est explorée par d’autres provinces qui l’ont copiée, considérant que cette expérience leur ouvrirait la voie vers le développement. L’opinion kinoise semble désormais acquise aux efforts de la création de la DGRK qui, s’inscrivant dans le vaste programme de reconstruction de la ville et de la réhabilitation des infrastructures urbaines, est un plan fort ambitieux qui restaure le Kinois dans les crédibilités nouvelles. Ainsi donc grâce à cette fructueuse initiative, les cinq chan-

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saleté, à s’occuper de l’assainissement de leurs milieux respectifs. Ce n’est pas tout. C’est avec joie,constate-t-on que beaucoup de rivières de Kinshasa, encrassées des flottilles et des brindilles sont l’objet d’un curetage profond et beaucoup d’égouts se trouvent curés, empêchant à la ville-province d’être noyée lors des pluies. Il est aussi bon de constater que la ville s’équipe en véhicules et en matériels appropriés pour les travaux d’assainissement.

Cap sur les zones périphériques de Kinshasa Le Gouverneur André Kimbuta tient à ce que cet ambitieux programme d’assainissement atteigne également les zones à grandes fortifications où l’on dénombre des sites campagnards, érosifs, sablonneux où des gens marchent sur du fumier, sur les crasses, et où les voies sont impraticables, où les populations vivent dans la promiscuité, habitent des chaumines miséreuses, les arrondissements où les populations ne bénéficient ni d’eau, ni d’électricité. Des problèmes qui étreignent les Kinois En matière sociale, une cascade d’œuvres se rattache à cette politique dont les enjeux et les orientations se définissent en la construction de logements, d’écoles et d’hôpitaux. Les habitants de Maluku avaient vivement salué l’action de l’Hôtel de ville, laquelle a consisté à la construction d’une morgue moderne leur destinée. Cette morgue a déjà été inaugurée par le Gouverneur de la Ville. Dans le domaine de la santé, l’Hôtel de Ville de Kinshasa ne lésine point pour le développement d’un système sanitaire unifié et intégré, notamment dans le cadre d’un programme élargi de vaccination appuyé par des services de prévention, de promotion sanitaire et de traitement curatif. Considérant que la population doit jouir d’une bonne et saine santé pour l’amélioration de sa condition de vie. Quoi qu’il en soit la santé étant un des domaines sensibles du social, le chemin parcouru permet de regarder l’avenir avec optimisme, en dépit de quelques insuffisances constatées, lesquelles sont inhérentes aux œuvres humaines. suite à la page 60

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DES ACTES PARLENT MIEUX QUE DES LONGS DISCOURS !

La joie de se retrouver dans la cour du “ Haut Sommet ” de la Ville-province de KInshasa. Quelle belle camarilla ?

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LA PROPRIETE DE LA VILLE EST UNE AFFAIRE DE TOUS LES KINOIS !

L’équipe choc de la Salubrité Publique de l’ONG Debout Tshangu à pied’oeuvre

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E NPM: Mme Bisewo Ibula Béatrice , chargée de l’Assainissement du District de Tshangu et Superviseuse de l’Embellissement du Boulevard “ Kimbuta ”. Elle est aussi Présidente de l’ONG Solidarité Estudiantine pour la Promotion des Femmes en Détresse, SEPROFED

www.pyramidesnews.com Edition Mars - Mai 57 NPM: Mr Toussaint Mika, Chairman de l’ONG Debout Tshangu entouré de ses Commandos de la Salubrité Publique sous une 2014 pluie diluvienne. Quel bel example à suivre pour des gens qui ne veulent pas aller au boulot sous prétexte de la dame pluie ! REVIEW

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Comme on peut s’en rendre compte, le tarif a été abaissé à la grande joie du public.

Le transport

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armi les grands problèmes qui embrassent les masses kinoises, l’on dénote celui de transport. Villeprovince de tous les superlatifs, ayant une population estimée a

Autre majeur défi : l’agriculture

près de 10 millions d’habitants parmi lesquels on dénombre beaucoup de citoyens venus de la campagne et des milieux sous urbanisés, la ville de Kinshasa s’encombre d’une grande frange des populations victimes du paradis kinois. Cette population constitue une grande masse incontrôlable. La ville-province pâtit de cet engouement qui nécessite qu’on déploie des actions de sauvetage en matière de transport urbain. Le Gouverneur Kimbuta qui a vu jeter à ses pieds ce lourd fardeau n’a pas tardé à donner une réponse à ces préoccupations. Dans ce contexte, son cabinet vient de doter la ville de Kinshasa d’un arsenal des moyens de transports pouvant impulser une dynamique nouvelle dans ce domaine névralgique de la vie nationale. Aujourd’hui, les Kinois sont en droit de remercier celui qui, moyennant la grâce et l’appui fidèle, leur a épargné des vertiges redoutables autrefois ressentis étant donné qu'ils vivaient un enfer en miniature (assauts généralisés des gens pour se trouver une place dans les boites à sardines, les clients s’arcboutant sur les carrosseries des bus…) L’on s’étonne aujourd’hui de voir dans les artères de Kinshasa des bus et de voitures pimpant neufs dotés de tous les affûtiaux modernes nettoyant les grandes avenues. Ceux-ci s’ajoutant aux 200 bus de la société Transco , lesquels ont été achetés sur fonds propres du Gouvernement de la République. Bénéficiaires potentiels de ces joyaux, les Kinois savourent inéluctablement cette action extraordinairement bienfaitrice de leur Gouverneur. Nul ne s’aviserait de croire que c’est un défi social et économique gagné la houlette de Monsieur Kim-buta “ le Haut Sommet ”. Toujours à propos de ces bus, les Kinois ne s’alarment pas outre mesure sur le prix des billets de transport fixé par l’exécutif urbain.

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Sur le plan agricole, il faut noter que les signes sont perceptibles. Et bien d’indices montrent que l’agriculture, secteur prioritaire et vital, a repris du poil de la bête à Kinshasa grâce aux efforts déployés par l’exécutif urbain. Une activité qui s’est vite développée dans la villeprovince et qui s’affiche comme un choix disponible pour beaucoup d’habitants de la capitale congolaise. Si l’agglomération urbaine de Kinshasa se passait jadis comme débouchée des provinces du Bandundu et du Bas-Congo en matière des produits agricoles et d’élevage, les Kinois tiennent à combler ce déficit alimentaire ; et pourquoi ne pas exporter vers d’autres provinces leurs produits agricoles par la relance des cultures rivières. Nous assistons d’ores et déjà à un phénomène d’une espèce jamais connue. Le Kinois entiché de complexe de supériorité par rapport à ses compatriotes de l’arrière-pays se livre à des labeurs rustiques, rentrant ainsi dans les réalités de l’humaine condition. Le programme du gouverneur Kimbuta dans ce domaine précis consiste à inciter les Kinois aux tâches arables, à sa glèbe. A Kinshasa, bien des parcelles et résidences s’encombrent des vergers, des jardins. Toutes les zones boisées de la ville-province ne sont plus que des terrains en friches. Aux abords et aux encablures des cours d’eau, s’allongent des cultures maraîchères, transformant ainsi la ville-province en un lotissement Urbano-rural. (Voir la banlieue de Kinshasa, le plateau de Bateke, Nd’jili Cecomaf, Nd’jili Brasseries Masina, Kingabwa, Mbinza, Lutendele, MontNgafula, Kinkole, Nsele, Dumi,Kingakati, Bandalungwa, Kimuenza,etc). En se frottant à ces coins formidables ou l’on retrouve des espaces arables, l’homme vit en parfaite influence avec la nature. Les cultivateurs sont unis non pas pour une prédation des richesses, mais pour que le fruit de leur travail aide à la survie des autres. Pas d’urgences des besoins, tout se fait au rythme de temps et des saisons dans ces espaces conçus pour privilégier le naturel; pour profiter des atouts que leur offre

la nature (rythme pluviométrique, fertilité du sol, respect des équilibres écologique). Une agriculture liée à l’élevage (porcins, bovins, volaille…) en ce qu’elle procure un complément de protéines que la nature met spontanément à la portée de l’homme. Chacun travaille à la force de son poignet pour offrir aux autres, une alimentation, saine, naturelle, à usage humain, ce, dans le dessein d’avoir in fine, un pécune substantiel à sa vie. Le Gouverneur de Kinshasa, dans le cadre de la relance agricole prônée par le gouvernement de la République, a mis tout en œuvre pour ouvrir des horizons nouveaux à ces agriculteurs en fournissant le (matériel nécessaire pour la mécanisation et la promotion de leur travail: dotation des tracteurs, des moulins des décortiqueuses, des égraineuses, des souleveuses et des semences : un lot des machines constituant le don du Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange à toutes les provinces du pays pour la relance de l’agriculture en RD Congo. Kimbuta a juré sur ses grands dieux de réaliser ces rêves humanitaire et social en collaborant avec ces intrépides défricheurs de la bande kinoise.

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Transkin : Des bus pimpants pour contribuer tant soit peu à l’épineux problème de transport des Kinois

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Bus Transkin, oeuvre du Gouvernorat de Kinshasa

Sécurité à Kinshasa

temps montrent bien que cet état d’esprit pathologique qui avait contaminé notre jeunesse semble s’évaporer. Voici une énorme épine enlevée du pied du gouverneur Kimbuta. Ceci montre bien que celui-ci joue un rôle incontournable dans une ville-province où il a les commandes. Aujourd’hui les actions pernicieuses de Kuluna ne sont plus permises à Kinshasa.

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entant toujours bouillir en lui l’impatience d’une transformation de sa ville-province, et ayant toujours plus d’armes dans sa tirelire, voilà le gouverneur Kimbuta

au sein de la société kinoise pour se guérir de la pi-toyable condition des valeurs inversées auxquelles se livre une grande frange de la jeunesse congolaise, et combien sont singulières les voies par lesquelles Kimbuta, dans une coalition gigantesque avec les services de l’ordre publique (Police et Armée), s’emploie avec une maîtrise souveraine, et dans une investigation de grande envergure à casser le mythe des “Kuluna”. Cette pègre aux longs tentacules, cette racaille qui écumait Kinshasa dans ses coins et recoins. Nanti d’une mission délicate de sécuriser ses citadins qui vivaient sous l’impulsion de la terreur et qui étaient plongés dans une capitulation effroyable, comment arrêter cette fronde qui était dans les cœurs des Kinois et des touristes en villégiature à Kinshasa ? La solution à ce problème très angoissant vient d’être trouvée avec l’opération appelée “ Likofi ”. Les 60effetswww.pyramidesnews.com escomptés ces derniers

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Kinshasa Makambo Ceux qui connaissent Kinshasa et qui y ont vécu dans le passé savent que cette entité politico-administrative de la RD Congo est une ville-province idyllique attractive et accueillante. Une ville métropolitaine de grand renom jadis appelée Léopoldville. Touristes étrangers rêvaient de s’y exiler un jour, tant les œuvres de ses chansonniers clamaient les félicités et les merveilles de la vie. Kinshasa était comparable à un monde où l’on croyait voler au devant du bonheur, dans la chaleur envoûtante d’une musique ensoleillée. Vivre à Kinshasa symbolisait l’ambiance des fêtes quotidiennes et l’agrément des vies romancées.“ Oh Kinshasa makambo, mikolo nionso feti na feti nasala ko boni. “ ceci est une invitation du chanteur Kallé Jeef à jouir du paradis kinois. Kimbuta tient à ressusEdition Mars - Mai 2014 citer ces merveilles du passé en décidant

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de cracher sur les démons qui se dressent sur le chemin de ses administrés: allusion est faite ici aux “ redoutables Kuluna ” obstrués heureusement par l’opération Likofi. Il voudrait bien jouer le rôle de rassembleur des fils et filles de sa contrée en maîtrisant les Kuluna. Et il a bien montré qu’il est capable de mener à bon port le bateau Kinshasa. Mais toutes ces avancées ne suffissent pas pour décortiquer une à une les œuvres de Kimbuta. Il est clair qu’avec lui, Kinshasa s’est revêtue actuellement d’une nouvelle robe réunissant presque toutes les conditions d’un redécollage tel que prôné dans le programme de cinq chantiers : Redécollage économique Par un usage rationnel des fonds de la métropole et le brillant aréopage d’opérateurs économiques qui recèle la ville-province. Redécollage social Dans une politique qui met en relief les aspects de la conjoncture tendant à chercher les solutions à travers les initiatives et les structures qui paraissent les plus promptes à servir le bien-commun.

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Vue du “ Boulevard Kimbuta ” dans le District de Tshangu . Ici , des riverains n’ont rien à envier aux habitants d’autres quartiers huppés de la vIlle de Kinshasa car Kimbuta en personne vieille au grain en établissant par exemple du courant électrique permanent...Surtout les weekends ....

Redécollage politique Consistant à transcender les clivages politiques, ethniques et religieux par les liens fondamentaux qui unissent les collectivités par une adhésion mutuelle, en dépit des affinités politiques existant. Redécollage culturel Alerter les esprits exceptionnels, les grands cerveaux et les géants de la pensée dans la vie de la collectivité. Sur ce dernier point l’évidence de cette implication s’est manifestée par la demande expresse du gouverneur Kimbuta à décerner de son vivant à feu Seigneur Tabu Ley, une médaille de mérite en Art en Sciences et Lettres en 2012, ce, au grand Hôtel de Kinshasa. N’est-ce pas Kimbuta qui est parmi ceux qui ont aidé à sonner le glas de la vraie rédemption de l’orchestre Zaiko Langa-Langa en actionnant le mécanisme de son retour sur scène grâce à un appui substantiel aux sportifs et aux artistes à qui il a manifesté un amour désintéressé, inconditionnel et fidèle qu’aux temps de bonheur et dans les moments des souffrances jusqu’au moment consacrant le retour de ces derniers dans leur séjour de gloire. Seule l’histoire de la ville-province le retiendra dans ses annales.

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Le 10 décembre dernier “ rendant hommage à feu seigneur Tabu Ley Rochereau, une figure illustre de la musique congolaise décédée à Bruxelles le 30 décembre 2013, l’Hôtel de ville de Kinshasa a parrainé les funérailles de ce célèbre chanteur dans les combles du Palais du peuple ” dans une grandiose mobilisation qui avait réuni les sommités politiques du pays, les représentants des couches de la population kinoise, les délégués des pays amis et des organisations internationales culturelles, en présence du Chef de l’état Joseph Kabila Kabange. La solennité de cet événement n’avait d’égales que les obsèques grandioses organisées par l’Hôtel de ville de Kinshasa sous la houlette du gouverneur André Kimbuta Yango qui dans une palpitante commisération, dans une épreuve de sacrifice et d’abnégation et du don de soi, a apporté un appoint superbe pour le déroulement de ces funérailles hautes en couleurs.

rées de la miséricorde et d’éclater leurs cœurs dans une explosion d’amour. Ce jour-là, le nom de Kimbuta a été inscrit dans le livre de la miséricorde divine. Gestes ayant galvanisé dans les esprits des gens écœurés des tristes souvenirs sur celui qui fut à la fois son idole, son collaborateur et son collègue. Et dans une solennité rutilante, le Gouverneur Kimbuta lui a conféré une auréole en débaptisant l’Avenue Tombalbaye en Tabu Ley.

Retenons que cette noblesse du cœur du gouverneur n’a pas manqué, à trouver le discours et le témoignage d’éveiller et de susciter chez le public des émotions et sympathies excitantes dans une logor-rhée des pleurs et des gémissements. Cet élan du cœur du Gouverneur a permis d’élever les pieuses âmes dans les régions éthé-

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In fine, le nom de Kimbuta est une légende qui est entrée dans l’histoire de Kinshasa. Des montées, rien que des montées pour “ le Haut Sommet ” qui se trouvant au perchoir de la ville de Kinshasa nous promet bien des surprises dans les jours à venir. Agréables bien sûr… Ainsi, comme disent les Anglophones, “ Come on ! ”

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Joseph Kabila Kabange Commandant Suprême des Forces Armées de la RDC (FARDC)reste attentif et reconnaissant aux faits et gestes de soutien posés par Kimbuta . 62

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Le Gouverneur de la ville de Kinshasa venait d’organiser une marche de soutien à nos vaillants éléments des FARDC suite à leur récente victoire historique sur des rebelles rwandais de M23. Et à la fin de ladite marche, une enveloppe et de tonnes des vivres avaient été remis aux mains du numéro deux des FARDC, le Général d’Armées Didier Etumba.

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DEVELOPPEMENT

Gouverneur Kimbuta était entouré pour la circonstance de deux plus hautes autorités de l’Armée: Didier Etumba et Olenga

Qui dit merci, se montre reconnaissant. Etumba Didier, ci présent, Chef d’Etat Major-Général remercie Kimbuta pour l’acte posé.

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DEVELOPPEMENT

Témoins de ce big event : Mr Toussaint Mika, Conseiller Politique de Kimbuta et autres invités de marque

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DEVELOPPEMENT

Des dames parmi des invités.

Shabani Gaby , le patron de Congo Web faisait aussi partie des invités

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De Gaulle Makayabu Ndenge : Directeur Administratif et Financier.

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INVESTISSEMENT

REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO SPECIALISTE DANS LES ENVOIS DE GRANDS COLIS OU MARCHANDISES LOURDES PARTOUT AU MONDE

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INVESTISSEMENT

T.MIKA :“Levons-nous et bâtiss Je voudrais, avant toute chose, remercier Pyramides Magazine qui nous fait l'honneur de communiquer sur nos activités d'une part et d'autre part nous offre l'opportunité de nous adresser et de saluer en passant nos frères et sœurs de la diaspora. Je me nomme Toussaint Mika,"Infatigable" pour les intimes. Né à Kinshasa il y a 50 ans , je suis marié et père de 7 enfants dont 3 garçons. Fier d'être Congolais, je suis profondément Kinois et m'investis totalement dans la défense des intérêts de la Ville de Kinshasa. Voilà ce qui justifie mes prises quotidiennes des images de la Capitale dans les réseaux sociaux. C'est pour moi ni plus ni moins l'occasion d'effectuer une espèce de tourisme urbain imaginaire ayant pour finalité de présenter à l'opinion tant nationale qu'internationale les coins et recoins de Kinshasa, la capitale de la RD Congo. Vous êtes fondateur de l'ONG "Debout Tshangu". A quand remonte sa création et quelles sont les motivations de votre choix dans l'exploitation de ce domaine pourtant abandonné de tous? Grâce au concours des amis et connaissances, j'ai fondé le 27 février 2005 l'ONG "Debout Tshangu" lequel exerce des activités essentiellement dans la partie Est de la Ville (Communes de N'Djili, Masina, Kimbanseke, Nsele et Maluku). Debout Tshangu totalise neuf ans d'existence. Nous sommes partis d'un constat simple au départ. En effet, Kinshasa, avec plus ou moins dix millions d'habitants, compte au total quatre Districts (Lukunga, Mont Amba, Funa et Tshangu). Le District de la Tshangu renfermant 5 des 24 Communes de Kinshasa demeure le plus étendu. En guise d'illustration, la Commune de Maluku couvre, à elle seule, 80 % de la superficie de Kinshasa. Par ailleurs, la densité de la Tshangu est incontestablement la plus élevée de la Capitale: la Commune de Kimbanseke, par exemple, héberge plus d'un million d'habitants au travers de ses 35 quartiers. Paradoxalement, Tshangu reste à ce jour le moins nanti de tous en infrastructures

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(routes, réseau électrique, adduction d'eau, écoles, hôpitaux etc.). Le niveau de vie de la population est relativement bas. Pourtant, Tshangu est considéré comme le poumon humain de Kinshasa, ce, dans divers secteurs: agricole, tourisme, sportif, culturel, main- d'œuvre pluridisciplinaire etc. Nous avons estimé impérieux de faire le plaidoyer de ce District qui nous a vu évoluer depuis l'âge de 7 ans. Nous faisons partie intégrante de Bana Tshangu. C'est dans ce cadre qu'il convient de comprendre et de justifier la dénomination de l'ONG. "Debout Tshangu". Il s'agit d'une exhortation à l'adresse de tous les Natifs et Ressortissant de la Tshangu: "Levons-nous et ensemble travaillons pour le développement de notre District" Il convient néanmoins de préciser que Tshangu connaît un retard de développement pour aussi des raisons historiques. Kinshasa, la Capitale, a vu le jour dans le District de Lukunga, â Kintambo. On comprend aisément la qualité des infrastructures dans les communes qui forment ce District: Gombe, Kintambo, Ngaliema, Barumbu, Kinshasa et Lingwala. Le District de la Funa est essentiellement industriel avec la ceinture de Limete. C’est normal que son urbanisation soit aussi de bonne qualité. Le District de Mont Amba, avec en pointe la Commune de Lemba, est un quartier universitaire. Des infrastructures de qualité y sont également répertoriées. Le District de la Tshangu, qui n’existait pas à l’époque, ne comprenait que la Commune de Ndjili. D’aucuns affirmaient jadis que “Kinshasa esuka na Ndjili”. Autrefois, Tshangu ne constituait qu’une vaste zone annexe. C’est vraisemblablement l’une des raisons pour laquelle l’aéroport international porte le nom de Ndjili alors qu il est situé dans la Commune de la N’Sele. Si vous avez compris ces explications, vous comprendrez aussi les motivations du plaidoyer que Debout Tshangu mène pour le développement de ce District. Par ailleurs, affirmer que ce domaine est abandonné de tous n’est pas correct. Les autorités nationales et urbaines ainsi que les opérateurs privés se sont investis depuis quelques années, Dieu merci, dans les infrastructures de la Tshangu telles que le Marché de la Liberté, les

Hôpitaux, les Usines, les Hôtels, les Sites touristiques, les Aires de jeux, les Villas modernes etc. Kinshasa est en train de migrer vers la Tshangu. Cela constitue pour nous “Bana Tshangu” un vrai motif de satisfaction. Quels sont les objectifs poursuivis par votre Organisation ? L’encadrement de la jeunesse désœuvrée par les travaux d’assainissement de l’environnement, la promotion de la femme par la formation pluridisciplinaire, le renforcement de la solidarité par l’organisation des manifestations sportives et culturelles, l’appui logistique et moral aux personnes de troisième âge, l’assistance aux orphelins et aux personnes vivant avec handicap, l’encadrement des mamans maraîchères et la promotion de la Tshangu par le désenclavement médiatique constituent les sept objectifs poursuivis par l’ONG “Debout Tshangu”. Cette dernière est plus connue dans les activités statutaires susmentionnées au travers les opérations “Ndeko, Sunga mama veuve” (octroi des kits alimentaires aux veuves”, “muana Tshangu, muana kelasi” (octroi des kits scolaires aux enfants des écoles de la Tshangu), “opération Bceco” (en contrat avec le Bureau Central de Coordination), “Debout Tshangu” s’implique aussi dans le balayage et l’entretien d’un tronçon du Boulevard Lumumba dans la Commune de Kimbanseke en direction de l’aéroport de Ndjili. Ces activités, et bien d’autres encore, ont contribué de manière significative à asseoir la renommée de “Debout Tshangu”. Parlez-nous en peu de mots de la structure de votre ONG. Comment parvenez-vous à la gérer au quotidien en dépit de vos nombreuses occupations? Nos statuts, en voie de révision, prévoient une Assemblée Générale des membres et un Comité Directeur. Ce dernier comprend 4 vices Présidents, un coordonnateur et son adjoint, un chargé du projet et son adjoint, un chargé des stratégies et ses adjoints, un chargé des finances et son adjoint et des conseillers.

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INVESTISSEMENT

âtissons le District de Tshangu”

Toussaint Mika “Infatigable ” Président ONG Debout Tshangu

Les attributions des uns et des autres sont consignées dans le règlement d'ordre intérieur. Sur le plan opérationnel, chaque Commune de la Tshangu dispose d'une représentation pilotée par un Comité. Ce dernier gère les affaires de l'ONG dans les quartiers et communes de son ressort. Comme indiqué ci dessus, cette structure statutaire a montré ses limites au regard de sa lourdeur. Des réformes sont envisagées pour une plus grande fluidité dans la gestion des tâches avec un management resserré autour d'un Président, d'un Viceprésident, d'un Secrétaire Général et des Coordonnateurs Communaux. À la veille de sa première décennie, l'ONG adoptera ces réformes. Pour gérer une telle machine, il est essentiel de déléguer au maximum les compétences, contrôler et suivre les activités, dégager les responsabilités et évaluer l'impact des décisions prises. C'est ce que nous faisons et cela marche plutôt bien. Quels sont les grands défis de votre Organisation?

Dix ans le 27 février 2015, "Debout Tshangu" est appelé à asseoir une organisation parfaite de ses structures et chercher à imposer son leadership en matière d'accomplissement des objectifs statutaires, particulièrement en ce qui concerne l'encadrement des veuves de la Tshangu. Nous voulons réussir absolument ce pari : celui de former de manière pérenne les veuves de la Tshangu dans les métiers de subsistance du foyer. En effet, après la disparition généralement prématurée du papa, c'est la maman qui, seule, porte le poids du ménage. Élever les enfants de bas âge, les éduquer et les scolariser pour en faire des hommes dignes de la société. J'en suis un exemple, parmi tant d'autres et je pense que des orphelins de père comme moi, ressentent le sentiment de gratitude que j'exprime vis à vis des veuves. C'est à la fois un défi personnel et un challenge de l'ONG que de réussir ce projet phare de la décennie "Debout Tshangu". J'espère y parvenir bon an mal an. Sur le plan général, l'ONG s'engagera toujours dans les activités de prise en charge de la jeu-

nesse, ce, par le biais des activités de salubrité et d'assainissement des quartiers, avenues et rues de la Tshangu. Des projets de promotion de l'activité scolaire sont également programmés pour accroître tant soit peu les chances d'accès de la jeunesse à la formation scolaire. L'idée d'une "bourse Debout Tshangu" est à l'étude actuellement pour les enfants de l'école primaire. Dans le domaine du sport, nous pensons, désormais, organiser chaque année le tournoi de la Tshangu avec des prix conséquents en football, karaté, judo, marathon et nzango moderne. Notre rêve, dans le domaine maraîcher est de disposer des vastes étendues à cultiver. Bien entendu, nous n'oublions pas notre plaidoyer permanent en faveur du développement structurel de la Tshangu. Plus d'images de la Tshangu dans les médias permet de désenclaver cet important District. Pour nous, l'avenir de Kinshasa passe irréversiblement par la Tshangu

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L’UN DES MEILLEURS MARIAGES DE L’AN 2013 AU ROYAUME-UNI

Sandra Sungu escortée par son père , Timothée Sungu pour le grand jour

Couple Sandra Sungu et Maduwa Swedi Pascal

Mme Sabine Sungu à côté de son beaufrère, JohnPaul Majepa, très ravie de voir sa fille ainée se marier

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Couple Sandra et Pascal Maduwa Swedi entouré des garçons et filles d’honneur...

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LONDRES : VIVE DES JEUNES MARIES !

Couple Jeannette Matondo et LéviEdition Munzama. le jour où ils se sont mariés, ils marchent toujours la 76 www.pyramidesnews.com MarsDepuis - Mai 2014 main dans la main...Quel love plus ! REVIEW

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BOUTIQUE COUP D’OEIL ou L’ART DE BIEN S’HABILLER

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JEAN-BEDEL & CANDY PINA MANDE WEDDING OF YEAR 2013

TOP MARIAGE DE L’ANNEE 2013 EN EUROPE En attendant le mariage religieux qui aura lieu au courant de cette année, Jean-Bedel Mande , cet ancien Juriste de l’Université de Kin devenu par la force des choses, Account Manager au sein d’une multinationale a décidé de convoler en noces avec la très charmante et élégante Candy Pina Mande. Cette dame de grande valeur est détentrice d’une Licence en Business Management issue d’une Université britannique. Hormis ce titre académique, Mme Candy est aussi détentrice d’une autre Licence en Décoration (Design intérieur et Décor).

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Ce qui lui a permis de monter sa propre entreprise internationale qui ne cesse de lui ouvrir largement des portes avec des grandes chaînes hôtelieres comme comme Radisson Blue,Hilton, Sheraton, etc.. D’ailleurs, c’est son entreprise qui a décoré toute la salle de leur mariage sans y oublier le design des habits des mariés. Pour en savoir plus sur cette grande entreprise,visiter le site www.cpmdecor.com et Facebook Page: cpmdecor&design ou sur notre tweeter account Cpm décor. Comme nous l’avons déjà écrit au

début de cet entrefilet, leur grande fête de mariage religieux pourra intervenir avant Noël 2014. Connaissant bien ce couple qui est maniaque sur le plan ordonnancement des fêtes, je parie que tout ira de mieux en mieux. En termes clairs, le couple Candy Pinda et Jean-Bedel Mande nous ont promis des grandes surprises au sujet de ce que tout le monde attend. Car ça sera une Fête à la taille de la tête du cheval. Préparez vos donc manteaux.

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La vie est belle semble JB souffler à l’oreille de sa belle femme

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LORSQUE LES BRASSEURS CONGOLAIS S’EMPOIGNENT

Excès publicitaires et concurrence déloyale Les brasseries congolaises se tapent la chronique avec les shows publicitaires qu’elles entreprennent depuis plusieurs années. L’émerveillement, l’euphorie et l’ivresse accompagnent leurs actions dans un bel éventail d’innovations stupéfiantes inspirées par les événements. Un enjeu très important qui a comme visées l’écoulement des produits de ces brasseries sur le marché avec une égale ferveur. Elles s’acharnent à filer le parfait amour avec le monde des consommateurs de leurs boissons par le maintien d’une clientèle attachée à leur guise et aussi par la recherche d’une grande rentabilité de leurs chiffres d’affaires. Un business plan conçu dans la perspective d’atteindre une croissance commerciale très significative.

Sous la pression de la concurrence C’est dans l’apothéose des foules en délire, des battages médiatiques, d’affichages placardés sur les murs, des musiques alternées de message, des slogans, des calicots, des drapeaux et des camisoles aux finie broderies que le public s’immerge dans les flots mousseux de ces boissons notamment les deux bières légendaires en vogue en RD C qui se disputent le leadership à cause de leurs grande dégustation et consommation. Leur pouvoir attracteur réside dans leurs vertus détressante nutritive, voluptueuse et tonifiante. Bières à l’arôme enjôleur et éthéré ; elles paraissent comme des icônes émouvantes, potentielles et omniprésentes sortant du lot de la gamme des produits présentés par ces deux brasseries. Deux bières réputées par leur excellence et qui par leur débordante vitalité, attirent d’innombrables phalanges des disciples de Bacchus en RD Congo, lesquels sont appâtés à leurs fringales. Car leurs griffes sont empreintes des traces indélébiles, et leur éclat ne s’est jamais étiolé.

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L’on comprend dès lors, le zèle déployé et les stratégies peaufinées de part et d’autre sous la pression de cette concurrence. Laquelle exerce autant de magnétismes sur les férus de la bière pris à l’hameçon par les plaisirs gutturaux qu’elles suscitent.

Une publicité qui dépasse les bornes Il est navrant de constater que ce cocktail délicieux a fait craquer le cadre publicitaire dans la mesure où il a provoqué une guerre de suprématie entre les deux brasseries congolaises. Lesquelles sont engagées dans une lutte suprême qui a compromis à maints égards la longue préoccupation de ces deux entreprises tentaculaires vivant en chiens de faïence dans un héroïsme abimé, orchestré par un grouillement étonnant des bobards qui les enkystent dans la médiocrité. A quoi bon de chanter la volupté d’une bière dans un galimatias terrible en titillant ostensiblement son concurrent par des propos dénigrants, des mots ronflants et démentiels ? A quoi bon utiliser un vocabulaire proche de la chiennerie pour les besoins de cette cause? Rendant ainsi l’atmosphère dans nos milieux comme des arènes en ébullition, avec des outrances et excès frôlant la démence. L’on se trouve dès lors, dans un environnement gangréné par des bières qui se livrent un combat sans issue où il n’y a ni vainqueur, ni vaincu. Car l’adage dit “ les goûts et les couleurs ne se disputent pas ”. En d’autres termes, cela fait l’affaire de ceux qui se gavent des plaisirs livresques; de ces puissances déchainées d’argent issues de la bière qui se lancent à conquérir leur clientèle par un abject exploit réalisé avec des procédés aux inclinations malveillantes, aux antivaleurs tristement affichées. Une bataille qui séduit des vicieux avec des implications psychologiques sur les masses portées à avaler une publicité rendue de manière funeste. Une publicité sans éclat qui contredit la vérité et présentée dans une outrecuidance qui dépasse les bornes de la raison.

Froides pièces d’un échiquier Honte de vertu. Fier du vice. En RDC, les valeurs morales ont perdu leur sens réel. Devrons-nous souligner ici l’aspect démoralisant de cette publicité qui est loin d’une démarche commerciale proprement dite et sans conformité avec les dispositions légales requises, avec tous les risques de dérapage qu’elle comporte et les abominations qu’elle entraîne. Une publicité qui rappelle le caractère borné de notre époque, rançon de division et de lutte. Sans doute, ne la savons-nous que trop peu, les auteurs innombrables de ce drame complexe se recrutent parmi la gente féminine, les sportifs, les artistes musiciens, les artistes dramatiques et autres gens qui sont les véritables froides pièces d’un échiquier que ces brasseries manipulent à leur guise. Même les cadres de société et les membres recrutés dans les organes de presse, font partie de cette sarabande habilement échafaudée pour cette conquête oiseuse. Les zouaves bien domestiqués constituent des cloisons de solidarité à la solde de chaque brasserie où se recrutent des gens bien domestiqués qui s’illustrent dans un degré d’activisme et de volontarisme béat comme une escadrille des soldats bien rangés et préparés par un surcroit de félicité en vue de conquérir une clientèle dans l’hystérie collective des sympathies naissances, des extases humaines, des concerts musicaux, des fraternels banquets, des rencontres sportives et dans les ribotes glanées de sourires, des embrassades organisées dans une sorte d’intimité domestique. Sachant que le Congolais est un accroc de la bière, et toujours bien ancré dans l’air du temps et des circonstances, la consommation d’une bière lui procure l’équilibre indispensable à ses tendances vitales et psychologiques.

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SOCIETE

LA TERANGA ET COASTEMEN :CES OUESTAFRICAINS PLUS PROCHES DES CONGOLAIS

LE MYTHE DE CONGO ZOBA Au début du siècle dernier, un en- aujourd’hui parsemé des noms à résochevêtrement d’intellectuels, de nance sénégalaise, malienne…tels que techniciens et d’ouvriers sénégalais Diop, Aminata, Fatoumata, Awa, Diouf, et ouest - a-fricains s’était mis à la Samba et consort, lesquels consolident disposition de l’administration colo- cette union perpétuelle entre les deux niale belge pour développer le tissu nations négres, consolidée dans le sang. admi-nistratif, industriel et économ- Des gens aux Djellabahs et boubous rayonnants qui se plaisent à partager les ique du Congo.

main d’œuvre venue de la Sierra Léone, de la Côte-de-L’or (actuellement Ghana) et du Nigeria, recrutée par les entreprise au moment de la pénétration coloniale à l’intérieur du Congo. C’est-à-dire les ressortissants des pays anglophones de la côte occidentale de l’Afrique.

cultures de leurs aïeuls ,goûtant ensemble dans une bassine les délices gutturales de thiabou diem ou de dakhine ,riz cuisiné avec du poisson, le mafé ou le soupou Kandja et le siam qui rappellent les productions rizicoles du Sénégal, tout cela se mêle aux mets congolais auxquels ils ont apporté des appoints de leur terroir, c’est cela la Teranga ,la grande communauté Sénégalo-congolaise.

Implantées au Congo, ces entreprises vont installer leurs sièges dans notre pays, devenant ainsi les premières grandes sociétés coloniales. Dans le secteur de l’administration publique,l’Etat colonial congolais engagera prioritairement le personnel parmi ces ressortissants. D’où parmi eux, l’on dénombre beaucoup qui ont fait leurs études dans leurs pays d’origine, en Angleterre ou en Amérique. Il est important de signaler qu’avant l’établissement des entreprises coloniales, aucune école n’existait au Congo, sauf quelques enseignements missionnaires qui étaient dispensés. Cette arrivée de la main d’œuvre africaine occidentale produira vite un phénomène d’acculturation chez les populations congolaises influencées par les idées et par la manière de vivre des ouest-africains.

Ceux-ci ont été de véritables hommes de terrain, qui dans l’osmose de leurs relation avec nos compatriotes ont constitué une grande palette de compétences venues à la rescousse d’un jeune pays qui avait besoin de leur expérience professionnelle. Les sujets sénégalais avaient vite répondu à l’appel du colonisateur belge, non seulement par une noble volonté empreinte de bienveillance, mais aussi en versant même de leur sang pour défricher les terres congolaises. Le résultat de leur présence dans notre pays se traduisait en termes d’enceintes portuaires, des usines et de chemin de fer construits dans une expertise et expérience de type occidental. La RDC, imprégnée de générosité, leur avait offert un havre de paix en leur accordant un baiser de l’hospitalité. Ils s’y étaient établis en partageant leurs frisons avec nos populations. Nombreux d’ entre eux ont installé dans nos cités, des boutiques, des échoppes et des étalages de leurs affaires jusqu‘a s accoupler avec des dames congolaises. Avec une affabilité et une humilité qui captivent les milieux sociaux. Aujourd’hui, les deux peuples partagent leur existence dans une perpétuelle amitié tissée dans une relation de consanguinité et de confraternité qui a pris corps depuis la vieille époque coloniale. Il est heureux de constater que cette cohabitation a crée une grande communauté hybride, écartelée entre le Congo et l’Afrique de l’ouest, et partant, se réclamant ainsi appartenir simultanément à ces deux nations. L’espace congolais est

La teranga est le symbole de ce pays d’Afrique occidentale composé d’intellectuels, d’ouvriers et de commerçants aussi chrétiens que musulmans. C’est une dénomination wolof qui signifie le meilleur accueil. Ce mot incite les sénégalais à savoir bien accueillir les étrangers comme le faisaient leurs ancêtres. De mbar, Tivarouane, gossas, Rufisque, Foundigue, jusque dans toutes les préfectures et capitales départementales de ce pays, on se sent chez soi comme dans tous les coins et recoins de la RDCongo. Le relief, le climat, les infrastructures, les cultures, les mœurs. Le tout ponctué par l’amour, l’entraide, la fraternité et par l’unité des cœurs. A Kinshasa, les mamans de la teranga se sont regroupées dans une mutuelle pour que cette légende puisse se perpétuer, en vue de la promotion, de la conservation, de la vulgarisation et de l’exaltation des valeurs supérieures du Sénégal aux côtés de celles de la république démocratique du Congo. Cette association est dirigée par Mme Fatoumata, Présidente.

Tout d’abord sur le plan intellectuel. L’inaccessibilité des congolais à la science et à l’instruction avait crée des complexes tels que ces ouest-africains se sentaient libres devant les blancs qui avaient les mêmes diplômes qu’eux. Alors qu’au Congo, aucun noir ne pouvait se prévaloir avoir fait les mêmes études que les blancs. En 1931, feu président sénégalais, Léopold Sédar Senghor était déjà agrégé des Lettres.

Suite et fin sur notre site www.pyramidesnews.com

Les coastmen La teranga, englobe également cette www.pyramidesnews.com

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Honorable Willy Makiashi à la tête du Secrétariat Permanent du Parti Lumumbiste Unifié, PALU Il y a peu, le Patriarche, Antoine Gizenga Fundji, secrétaire général et chef du parti Lumumbiste unifié a annoncé publiquement la désignation de Monsieur Willy Makiashi comme secrétaire permanent du Palu en remplacement de Madame Marie-Laure Kawanda. Il est reproché à cette dernière d'insubordination et d'incompétence grave. Selon des sources concordantes contactées par notre rédaction à Kinshasa, le bras de fer entre Madame Laure Kawanda et le Chef du parti Lumumbiste unifié est le fait de son départ du Ministère des transports et voies de communications. L'opinion se rappellera que Madame Kawanda a été révoquée par ordonnance présidentielle de ce ministère pour faute grave. Depuis lors, Madame Kawanda évolue comme un électron libre au sein du Palu. Elle n'écoute personne et ne se réfère qu'à son ancien directeur du cabinet, qu'elle voulait propulser au rang des ministres dans la nouvelle équipe du gouvernement de cohésion nationale promis par le Président Joseph Kabila.

d'Antoine Gizenga. Lors de son discours après la remise et reprise, l'honorable Willy Makiashi a rendu un hommage aux pères de l'indépendance, notamment Simon Kimbangu et Patrice Emery Lumumba qui, selon lui, restent des modèles du patriotisme congolais. Les raisons du bras fer entre Madame Marie-Laure Kawanda et le Palu sont multiples, selon Madame Kawanda, le Palu est dirigé par les pende, groupe linguistique et sociologique de Patriarche Antoine Gizenga. Elle évoque aussi certaines promesses d'argent qu'elle aurait reçu de la part du chef de l'Etat pour payer les militants du Palu, ceux-là même qui gardent le siège et le chef du parti depuis des années. Mais selon le règlement d'ordre Intérieur du Palu, à son article 142, toute fonction exercée au sein du parti est non rémunérée, elle est bénévole. Cet argumentaire est soutenu par le nouveau secrétaire permanent du parti qui indique qu'au sein du Palu, ce qui compte, c'est d'abord votre engagement et votre loyauté envers le parti. Et, donc, c'est un mensonge de faire croire aux militants que le Président de la République allait leur envoyé de l'argent. La plupart de temps, c'est l'honorable Willy Makiashi lui-même qui prenait en charge les A5. Sur l'autre chapitre relatif à l'existence des pende au sein du gouvernement et à la direction du Palu, le nouveau secrétaire permanent du Palu a fait savoir qu'au sein du gouvernement actuel, il y a trois membres du Palu qui sont dans cet exécutif dont deux ne sont pas de Kuilu. Le Ministre des mines et celui en charge du budget ne sont de la province de Bandundu et donc pas de groupe linguistique lié au chef du parti. Dans l'ancienne équipe, il y a eu des Ministres comme Dovel Mpango et Michel Lokola qui sont originaires de la province du Kasaï-Oriental du groupe ana-mongo du Sankuru a ajouté l'honorable Makiashi. Willy Makiashi n'a cessé de déplorer

L'honorable Willy Makiashi est un cadre universitaire et jeune du Palu qui a fait montre d'un dynamisme et d'une loyauté envers le Chef du parti Lumumbiste unifié. Il a fait preuve de son engagement au sein du parti et a un esprit fédérateur car il sait respecter tous les anciens et ainés du parti. Il est l'un des meilleurs députés élus de cette législature de 2011. Il est en harmonie avec la base et avec tous les anciens secrétaires permanents et cadres du parti, à savoir: Dovel Mpango, Adolphe Muzito, Mayobo Goofroid,… C'est son point fort. Ce jeune juriste aux convictions lumumbistes toutes tranchées, a toujours prêché l'unité du parti et le respect du président de la République Joseph Kabila, qu'il considère comme l'héritier politique de M'zée Laurent Désiré Kabila et de Patrice Emery Lumumba. On l'a vu en pleine brousse dans son Kuilu natale entrain de parler du chef de l'Etat et

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l'opacité dans laquelle Madame Kawanda gérait le parti surtout pendant les concertations nationales. Antoine Gizenga a mis toute sa jeunesse en danger pour bâtir un parti à la dimension du Palu. Comment comprendre que quelqu'un, Madame Marie-Laure Kawanda soit-elle vienne mettre en cause les efforts de tout un demi siècle. Au sein du Palu, on soupçonne que Madame Kawanda abriterait certains éléments armés non autrement identifiés dans sa résidence de limete et elle risque d'être poursuivie comme auteur moral de la mort d'un membre du Palu, mort survenue le jour de la remise et reprise entre le nouveau secrétaire permanent du Palu et le délégué de Madame Kawanda qui avait séchée la circonstance. Certains collaborateurs de Madame Kawanda seraient déjà entre les mains de la police et d'autres transmis déjà au parquet qui leur reproche le fait de détenir des armes à feu ayant causé la mort à un membre du Palu. Malgré ça, le nouveau secrétaire permanent du Palu prône l'unité du parti et la collaboration entre son parti et tous les autres partis de la gauche. Il rend hommage au président de la République, Joseph Kabila qui vient de chasser les ennemis de la paix de la partie Est du pays et encourage l'armée nationale à déployer beaucoup de vigilance pour qu'une telle aventure ne se reproduise plus. Il ne cesse de témoigner au Président de la République l'amitié du parti et la gratitude sur ses engagements envers le Palu.

Benoit Yulama

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SOCIETE

Honorable Willy Makiashi, Secrétaire Permanent du Parti Lumumbiste Unifié www.pyramidesnews.com

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CULTURE

TABU LEY: UN ECLAT QUI EST LOIN DE S’ETIOLER

Adieu Seigneur Ley

Rien de plus émouvant que le souvenir de ce musicien émérite que la terre a repris dans ses entrailles, le 10 décembre dernier dans le lugubre emplacement où se dresse le talus terreux du cimetière ‘’Ciel et Terre’’ de la Nsele. C’est dans cette taciturne hôtellerie où son corps git.

un esprit d’excellence et de méritocratie. Un plébiscite au regard d’un destin heureux et comblé qui s’était épanoui par un travail continuel et harassant de tous les jours exercé dans un rayonnement extraordinaire. C’est un nom prédestiné qui de son vivant a porté l’étendard de la musique congolaise.

Aujourd’hui l’artiste Pascal Tabu Ley, Seigneur Rochereau séjourne dans les thébaïdes de la mort. Plus que jamais, il demeurera l’un des personnages les plus fascinants de la musique congolaise moderne. Reconnu parmi les grandes voix africaines du XXème Siècle, il est considéré comme un grand maître, un inspirateur par excellence qui s’imposait au tout premier rang des musiciens congolais. Car Tabu Ley fut un génie qui, tout au long de ses conquêtes étendues, a enrichi la musique congolaise de ses prodigieuses inventions, de ses apports merveilleux et du charme vivant de sa poésie. Un vrai créateur qui a apporté une touche originale à la musique congolaise en traçant les sillons d’un genre musical distinct dont la polyvalence révèle une fécondité qui ravitaille les générations actuelles à travers les sortilèges d’une œuvre volumineuse. Tabu Ley Rochereau fut un vétéran qui approvisionnait de sa science tous ceux qui intégraient le giron d’un art qu’il considérait comme un leg provisionnel. Plus de 3000 chansons auréolant une carrière de plus de 50 ans, laquelle exalte

VEDETTE INTERNATIONALE DE LA CHANSON

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Premier africain à exporter la musique africaine moderne en France sur la prestigieuse scène de l’Olympia à Paris ; premier africain à affronter le plus difficile public du monde, à le conquérir et à gagner le pari par son passage dans le plus célèbre music-hall de la planète de l’époque. Devenant ainsi l’ambassadeur de la musique africaine moderne. Tabu ley traça la voie pour les talents inconnus africains en leur donnant l’occasion de suivre son chemin. Bruno Cocatrix, à l’époque Directeur de l’Olympia avait exprimé son entière satisfaction lors du passage de Rochereau à l’Olympia du 12 au 29 décembre 1970. Et de s’exclamer en ces termes : “ Tous les pays ont leurs vedette ; il arrive parfois, mais cela est extrêmement rare qu’un continent ait la sienne propre. C’est le cas Rochereau, citoyen du Congo qui est devenu vedette internationale pour le continent africain. Avec le succès incontesté et incontestable du seigneur Rochereau, j’ouvre la porte de l’Olympia

à tous les artistes africains de talents ”. D’après les annales de ce music-hall, c’était une première. Il y avait un monde incroyable. Et des agents durent demander du renfort pour contenir le public et des spectateurs venus de tous les coins d’Europe. Dès lors, la musique congolaise s’était hissée au diapason international avec Rochereau et sa troupe de l’African Fiesta national les rocherettes et rocherets. Il y a lieu de noter que Rochereau avait assez de répondant pour offrir au public parisien un spectacle auquel il a été tout à la fois au montage, à la mise en scène, à la choré-graphie, à la présentation … Un atout qui lui a permis de sillonner le monde avec des spectacles accrocheurs, séduisants et inoubliables. Soulignons que l’expansion des activités de l’orchestre était soutenue par le feu Jean Grégoire Ngwango alias Selija, le big manager, l’homme qui avait assuré toutes les tractations pour la concrétisation de ce spectacle de l’Olympia CHANTRE IDYLLIQUE Tabu Ley incarne donc cet artiste congolais qui a déverrouillé les accès de sa musique à tout artiste peintre de l’amour. Mais un amour d’un autre genre. Car fondé sur l’estime et l’admiration de l’être cher.

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CULTURE LU POUR VOUS !

HARO SUR LE THEATRE CONGOLAIS Le théâtre congolais est malade. Malade de ses euphories truffées de sortilèges inutiles, de l’humour bon enfant, de l’esprit persifleur, des propos sardoniques et flatteurs, de la fine ironie, des pamphlets et des éloges allant jusqu’au sarcasme. Tous ces amalgames ne suffisent pas pour expliquer dans toute sa quintessence l’ampleur du drame. Toujours à la recherche d’une voie et d’une formule, ses identités demeurent jusqu’aujourd’hui ambiguës. Le théâtre congolais doit retourner à ses origines en opérant une remise en question de son état, de son évolution, pour balayer les écuries d’Augias qui encombrent sa marche en avant. Il est temps pour l’art dramatique congolais de réaliser un véritable choix symptomatique de ses repères en remanient ses fondements pour se rendre plus utile et plus accessible au public. Ce dernier, blasé par ses bricolages inutiles, semble avoir perdu de son équilibre devant le suc vénéneux qui se dégagent des scènes que les coryphées de l’art dramatique congolais nous proposent dans leurs différents feuilletons exhibés sur les tréteaux ou sur nos divers écrans de télévision. Le mal est très profond, en dépit de la force expansive et communicative de cet art en RDC. Mais les gens d’esprit ne sont pas de cet avis. Ils n’en trouvent pas une pédagogie, une éthique, à cause des mêmes mets, des mêmes gesticulations langagières et scéniques présentes dans chaque production, lesquels donnent au théâtre congolais une considération peu reluisante. La dramaturgie congolaise s’engage lamen-

tablement sur une pente raide et dans une déliquescence qui risque d’éclabousser sa notoriété. Déboussolé et désorienté par les velléités et les incartades qui ne font pas bon ménage avec les exigences de l’art dramatique, ce théâtre est devenu un monde atypique des vociférateurs en mal de gloriole et d’un vedettariat rétrograde. Le libertinage scénique, les gesticulations désordonnées des acteurs, rareté des vrais auteurs dramatiques, amateurisme, expression langagière médiocre, créations bâclées, manque de technique appropriée, indiscipline sont autant de dérapages qui font que le produit de leur travail ne reçoit qu’un accueil réfrigérateur chez les intellectuels. Cette image caricaturale et décrédibilisant traduit un mode où se développe le règne de la facilité et du moindre effort. Un cocktail où les frivolités gagnent en puissance sur les choses sérieuses. Dans le cas précis de l’art, peut-on parler du progrès ? D’où cette terrible méprise et l’impression si déroutante des critiques qui ne croient pas fermement à l’existence d’un vrai théâtre congolais. Heureusement dans ce champ d’illogisme quelques fleurs à travers leurs pétales ont pu sauver cette baraque de l’effondrement. Dans cette poignée l’on décèle la présence dans nos arènes théâtrales d’un petit nombre de professionnels sortis de l’INA (Institut National des Arts) et de défenseurs du théâtre classique. Ceux-ci tiennent la dragée la plus haute à ces imposteurs de mauvais goût qui nous roulent dans la farine. Citons-en quelques noms célèbres :

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Dr Ilunga Casimir

Livres Les “Médias écrits de la diaspora congolaise” passés à la loupe. L’ouvrage Médias écrits de la diaspora congolaise de Bruxelles, Londres et Paris est rédigé par Casimir Ilunga, Dr en Sciences de l’Information et de la Communication de l’Université Paris 2. L’auteur souligne qu’en Europe, les Congolais à l’instar des autres membres de la diaspora souffrent de la sous-représentation dans les pays d’accueil. “ Les actions et évènements de ces minorités ne sont rapportés qu’à l’occasion des circonstances malheureuses comme des crimes ou des évènements sportifs et musicaux qui impliquent les membres de ces minorités ”, indique-t-il. Ce qui pose le problème de la visibilité dans les médias des pays d’accueil. Selon Casimir Ilunga, cette situation entraîne la naissance des médias communautaires qui évoluent à l’ombre des médias traditionnels. Tout au long de cet ouvrage, l’auteur se propose de répondre à la question de savoir dans quelle mesure les médias ethniques des Congolais en Belgique, France et Grande-Bretagne favorisent, dans leur configuration actuelle, la participation citoyenne . En d’autres termes, explique-t-il, il cherche à savoir si, dans leurs conditions actuelles, ces médias communautaires(dits“ethniques ”) constituent un élément de réelle communication face aux enjeux de l’heure concernant la citoyenneté des immigrés ou s’ils ne sont qu’un élément du renforcement du prestige de leurs initiateurs. Cependant, l’auteur relève que ces médias ont une existence précaire qui ne leur permet pas de jouer leur rôle de véhiculer des messages horizontalement et verticalement. Les raisons de ce rendez-vous manqué sont diverses : “ elles vont de la production à la réception de ce produit médiatique ainsi qu’à l’environnement dans lequel il évolue ”, indique Casimir Ilunga. Ces journaux serviraient les intérêts et les préoccupations de leurs journalistes plutôt que ceux de leurs lecteurs, alors qu’ils prétendent le contraire avec ostentation. Pour Francis Balle, qui préface le livre, c’est sans doute dans la dénonciation de cette maladie infantile du journalisme que réside l’ultime originalité et l’apport le plus précieux de la recherche de Casimir Ilunga-Kasambay. “C’est aussi ce qui lui donne, à partir de l’examen d’une situation très particulière, une portée universelle et un enseignement qui mérite, à ce titre, d’être entendu. ” JPM

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FASHION / BEAUTE

Le pagne congolais : des modes qui se contrastent

Le port du pagne prend dans notre pays les proportions d’un culte. Le boom du pagne est en effet, à la mesure de son impact dans la société congolaise. Depuis l’époque coloniale, le pagne a dicté sa loi dans l’habillement de la femme congolaise. Des manifestations furent organisées pour présenter des styles d’habillement du pagne à travers une cascade des défilés de mode, des fêtes d’élégance, des concours de mannequins pour promouvoir de nouveaux tissus, présenter des dessins en vogue. Ces manifestations étaient dotées de nombreux prix, et réunissaient à la cité et dans des grands palaces les célèbres professionnels de la mode, les industries textiles, les couturiers du pays, les artistes venant de tous les horizons du pays. C’étaient de belles occasions pour s’offrir des instants de joie, de gaieté, de retrouvailles et d’admiration de toutes les beautés que la nature a dotées les femmes de notre pays à travers ce que leurs physiques dégageaient en se recouvrant des pagnes taillés à leurs mesures, aux dimensions de toutes les parties de leur corps. Et cela, sous la bannière de grandes célébrités des arts et de la musique dont le plus en vue était maître Ngombe Baseko, alias

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maître Taureau. Aujourd’hui, le pagne a conquis toutes les femmes congolaises au point de devenir un habit de prédilection. Le pagne a crée un foisonnement des modes qu’il est difficile de classifier et d’identifier.

Des collections de Chanty mode La maison de couture “Chanty mode ” a tenté, dans une expérience qui avait séduit le monde vestimentaire dans le souffle motivant de ses recherches, de réaliser une audacieuse collection rassemblant plusieurs manières de porter le pagne. L’événement a eu lieu en 2005 dans le magnifique “ Salon Congo ” du Grand Hôtel Kinshasa dans une marche reluisante des jeunes filles qui avaient défilé sur les tréteaux de cette salle, avec une ostentation qui a suscité et émergé les envies des femmes congolaises et étrangères présentes à la fête. Beaucoup d’entre elles s’en sont sorties avec un grain de folie et un goût de sublime. Tellement que les échantillonnages présentés avaient aidé à combler bien de lacunes dont elles sont l’objet dans le port du pagne. C’était pour elles une occasion exploratoire qui leur a propo-

sé les meilleures options, les suggestions si simples éclatantes et des conceptions originales présentées dans un savoir-faire impeccable. Des styles et de modes contrastant et suscitant l’osmose entre la femme et le plaisir de s’habiller. Des collections initiées par Chanty Mode qui respirent l’alchimie entre les créations d’inspiration coloniale et actuelle sous le signe de l’exubérance. La touche personnelle de Chanty Mode a apporté la gaieté dans la salle et a suscité des pulsions de charme et de coquetterie chez toutes les femmes qui ont gagné le cadre majestueux de Salon Congo. La maison Chanty Mode avait prouvé à l’assistance qu’elle est bel et bien un monument émouvant de la mode congolaise. Dans les entrailles de cette maison, nous avons été gagnés par l’émerveillement suscité au travers des diversités nous proposées lors de cette manifestation festive. Le port du pagne se contraste selon les périodes, les âges, les couleurs de la peau, la religion et même la taille. Nous y reviendrons. JKD

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