La Morphosyntaxe du Quotidien

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Mi cuaderno de espaĂąol


Maurice Tardif



Gaston Bachelard

«

L

a science, dans son besoin d’achèvement comme dans son principe, s’oppose absolument à l’opinion […] L’opinion pense mal […] Avant tout, il faut savoir poser des problèmes et quoi qu’on dise, dans la vie scientifique les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce ‘’sens du problème’’ qui donne la marque du véritable esprit scientifique. » (p.16)

D’après moi, avant de devenir science, toutes les idées ont été une opinion empirique, qui a été développée avec le but d’être prouvée scientifiquement. De cette façon-là, après avoir été consolidée comme science, on oublie son principe et sa création. Quand Alexandre Fleming a découvert la pénicilline, cela n’a été qu’un accident, pourtant il avait une opinion, il avait idéalisé un projet avant de l’exécuter. Le travail immatériel comme le travail matériel est considéré propre de l’humanité, parce qu’on a l’intention de créer et de transformer les choses à notre faveur. À partir de cette réflexion, c’est clair que l’opinion est importante, parce qu’elle nous permet subjectivement, d’avoir des notions de quoi faire pour

concrétiser l’objectification et puis atteindre la science. Il faut savoir poser de problèmes pour que quelqu’un puisse en résoudre ou même nous que les posons, puissions les démystifier. Dans la vie, à tout temps, on s’interroge sur les diverses choses à notre entourage, on veut expliquer à nous-mêmes et aux autres le pourquoi de chaque petit détail être de telle manière. On fait cela parce que c’est à nous, c’est notre génie, parce qu’on est un être pensant, qui se questionne toujours, qui réfléchit, tout simplement parce qu’on est humain. Ce sont les problèmes du quotidien qui donnent raison à la vie, qui nous donnent la motivation de rechercher quoi qu’on dise, quoi qu’on pense ou quoi qu’on fasse. Il est sûr, les problèmes ne se posent pas d’euxmêmes, c’est nous qui les cherchons et c’est nous qui voulons les étudier, par conséquent, les résoudre. Tout compte fait, pourquoi on devrait laisser de côté notre opinion pour faire science ? Serait-on incapable d'être impartiaux dans notre jugement à tel point de modifier ce qu'on dit c'est la science ? Où sont les risques ? Comment pourrions-nous nous libertés de la subjectivité si on est une espèce subjective ? Comment pourrionsnous affronter les défis les plus difficiles, si on ne pense pas de forme humaine avec le désir de par exemple, sauver le proche ? Enfin, c'est une impossibilité, à mon avis, de ne pas être conjugué à la réalité quotidienne, de la même façon c'est une impossibilité de ne pas avoir dans la science, ni que cela soit un par cent, de subjectivité et d'opinion. On crie pour des conditions à survivre et pour améliorer le monde, on crie pour justice et pour paix, car on a l'esprit scientifique et un cœur au cerveau à la fois, ce que nous faisons plus sophistiqués à l'heure d'interroger et de faire le travail de savant.



On dirait Amir Tu me dis de regarder la vie en couleur

On dirait, que dans ce monde étrange

Quand il fait noir tout autour de moi

On dirait que t’as toujours été là

Sur le dos j’ai trainé pas mal de douleur Toi tu me portais à bout de bras

Nan, nan, nan je n’ai pas toujours été sûre de moi J’ai douté tellement de fois Nan, nan, nan, je ne sais pas ce que je ferai sans toi Oh yeah

Tout, tout, tourne autour de toi Toi t’es la seul qui voit la beauté bien caché derrière les visages Tout, tout, tourne autour de toi Toi tu sais lire en moi, promets-moi de ne jamais tourner la page

On dirait, qu’on à tous un ange On dirait, on dirait bien que c’est toi

On dirait, qu’on à tous un ange

On dirait, que dans ce monde étrange

On dirait, on dirait bien que c’est toi

On dirait que t’as toujours été là

On dirait, que dans ce monde étrange On dirait que t’as toujours été là

On dirait, qu’on à tous un ange On dirait, on dirait bien que c’est toi

Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh

On dirait, que dans ce monde étrange

Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh

On dirait que t’as toujours été là

Tu me dis que mon rêve est juste à coté

Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh

Que j’ai juste à tendre la main

Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh

Toute ma vie je peux la passer à t’écouter La douceur est ton seul refrain

On dirait Oh oh oh oooooh oh oh oh oh oh ooooooh

Nan, nan, nan ce n’est pas toujours facile pour moi J’ai prié tellement de fois Nan, nan, nan, je ne sais pas ce que je ferai sans toi Oh yeah

On dirait, qu’on à tous un ange

On dirait


Voyagez oĂš vous voulez. La vie surprend, jamais vous attend.

Bon voyage !


Profitez-en !


Les visions de langue et de la grammaire Valérie Spaïth

Vision juridique C’est laquelle obéit la loi, qui est transcendantale, qui propose une grammaire déductive de la règle.

Vision structurale C’est le coup de cœur de tous les professeurs, car ils adorent son système de grammaire inductive, où j’observe, je décris et je répète.

Vision constructiviste Celle-ci c’est la révolution, c’est la langue en contexte, c’est l’interaction pure, c’est l’expression subjective, c’est un binôme de l’autre, c’est la grammaire en communication.


La

Belle Saison

À jeun perdue glacée Toute seule sans un sou Une fille de seize ans Immobile debout Place de la Concorde le Quinze Août Jacques Prévert, Paroles (1945)

Le 15 août 2016


Les prépositions à | au | à la | aux - la marque le lieu - la destination - le complément

de | du | de la | de l’ - l’origine dans l’espace - la cause - la manière - la durée - la caractérisation - le complément du nom et du verbe - l’appartenance

en - la composition - la date - l’espace - indique une relation - la manière - le moyen - forme le gérondif

dans - marque l’espace où l’on est

pour - la destination - la circonstance - le but - le moment où qqch doit se faire

avec sans - l’accompagnement de - marque la privation qqn - le manque - le fait d’être muni de - l'absence qqch - l'exclusion - la manière

jusqu’en - une limite - un moment qui sert de repère - un degré extrême - un état

Je vais à Paris, au Japon, aux États-Unis.

Voulez-vous un chocolat, j’en ai un ? Avec vous, j’éprouve du bonheur et de la folie.

Je vais t’aimer jusqu’à la mort.


Tout d’abord, j’ai appris les prépositions en français, en portugais et en espagnol, sur feuille séparée avec les règles et l'usage. Après cela, on devait faire des exercices pour les pratiquer. À mon avis, la façon dont j’appris les prépositions n’a pas été si difficile, au contraire, j’ai trouvé ce processus d’apprentissage très logique et clair. Donc, c’est vrai qu’il faut montrer l’usage en contexte, mais s’il n’y a pas de règles, moi en tout cas, je ne comprends pas bien la fonction et du coup je n’arrive pas à bien maitriser.


Grammaire Règles d’usage

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Règles d’emploi



MORPHOLOGIE | SYNTAXE Selon Pellat et Fonvielle (2016), la grammaire décrit le fonctionnement général de la langue et en étudie les éléments constitutifs. Il y a de différents domaine, selon la nature des faits étudiés, en allant des sons au sens, des éléments les plus simples aux plus complexes. La morphologie étudie la forme des mots, de deux points de vue : (I) La morphologie grammaticale : la variation des formes des mots, selon les catégories du genre, du nombre, de la personne, du temps, par exemple. (II) La morphologie lexicale : les procédés de formations des mots. Ces auteurs nous proposent neuf classes de mots : le nom, le déterminant, l’adjectif qualitatif, le pronom, le verbe, l’adverbe, la préposition, la conjonction et l’interjection. La syntaxe étudie les relations entre les mots dans la phrase.

Ils nous proposent aussi l’étude de la phrase simple et la phrase complexe. D’après eux, la morphosyntaxe est un domaine mixte, qui associe la morphologie (grammaticale) et la syntaxe pour étudier les variations de la forme des mots selon leurs fonctions. Ces domaines de l’étude de la langue ne sont pas strictement cloisonnés. On les distingue pour des raisons méthodologiques, car on ne peut pas tout étudier en même temps. Pour Cuq (2003), la morphologie est la partie de la linguistique qui a pour objet l’étude de la norme et de la construction des morphèmes. Il sépare la morphologie en deux domaines : (I) La morphologie dérivationnelle : les phénomènes d’affixation (la préfixation et la suffixation) et la composition (la création des nouvelles unités lexicales). (II) La morphologie flexionnelle : la variation en genre

et en nombre de l’adjectif et du substantif (la flexion nominale) et la variation en personnes (la variation verbale) Selon Cuq (2003), la syntaxe dans son acception traditionnelle comprend l’ensemble de règles qui régissent la combinaison des mots dans les phrases de la langue. Nous pouvons distinguer deux approches syntaxiques : (I) La microsyntaxe : proposition d’analyse des éléments de la phrase : S + V + C « Le guidon de la moto | de mon frère | est cassé. » (II) La macrosyntaxe : proposition d’analyse de l’énoncé et de la période complète y compris le contexte et le discours. « Il y a mon frère une moto tu sais sa moto le guidon bon bien complètement cassé » En tant qu’enseignants du FLE, selon Cuq (2003), nous pouvons choisir des énoncés qui privilégient soit la microsyntaxe soit la macrosyntaxe.

CUQ, Jean-Pierre (2003). Dictionnaire de Didactique du Français. Langue Étrangère et Second. Paris : CLE International – ASDIFLE PELLAT, J-C ; FONVIELLE, Stéphane ; GREVISSE, Maurice (2016). Le Grevisse de l’Enseignement. Paris : Magnard.


La complexité de la langue

J

e me demandais à propos de la complexité de l’étude de la langue française, si elle me donnait du plaisir, la réponse est oui, parce qu’on est toujours confrontés avec plusieurs sorte d’écritures, qui sont soit d’autrefois, soit du présent, et cette richesse nous permet de savoir reconnaitre de quoi il s’agit le contenu que d’autres nous posent. De plus, quand on apprend des apprend des structures verbales, on est capable de communiquer sans faire beaucoup d’efforts. Cela fait la vie, la lecture, et le processus d’apprentissage possible, en raison d’être pluriel et façonné à nos besoins, tandis qu’être inéligibles et pensants. Finalement, retenir tout cela ce n’est pas souvent facile, mais on peut se débrouiller et chercher des informations toutes prêtes sur des outils pédagogiques, comme par exemple, les conjugueurs en ligne ou même le Bescherelle. Enfin, tout est possible si on veut, la complexité ne peut pas nous empêcher de nous faire parler et comprendre les messages.



FONCTIONS DE L’ADJECTIF

L

QUALITATIF

’adjectif qualitatif est épithète quand, placé à côté d’un nom dont il indique une qualité, il forme corps avec lui : (I) Une jeune fermière. Jeune est épithète de fermière. (II) Le facteur trouve la lettre perdue. Il la trouve. Perdue est épithète de lettre. Un nom ou un adjectif est attribut quand il indique la qualité donnée ou reconnue soit au sujet, soit au complément d’objet, par l’intermédiaire du verbe. Il peut être introduit par une préposition. Il y a deux types d’attribut :

(I) Attribut du sujet : introduit par un verbe d’état, un verbe passif, ou certains verbes intransitifs L’attribut du sujet est un élément indispensable. L’adjectif a la fonction d’un attribut et appartient donc au groupe verbal : (I) L’homme paraissait fatigué, sa démarche était lourde. (II) Le vase est beau. (III) Pierre agit comme fou. (II) Attribut du complément d’objet : introduit par un verbe comme croire, juger, penser, faire, appeler, laisser, trouver, estimer, nommer, et rendre. Il peut

être introduit par une préposition (pour) ou par une conjonction (comme) : (I) On l’a pris pour un fou. Fou est attribut du complément d’objet. (II) J’ai trouvé vos idées intéressantes. Je les ai trouvées intéressantes. L’adjectif est apposition quand il est placé auprès d’un nom ou d’un pronom dont il indique une qualité, il est séparé par une virgule. (I) Jeune, elle marchait d’un pas alerte. Jeune est apposition du sujet elle.

DUBOIS, J & JOUANNON, G. (1956). Grammaire et Exercices de Français. De la 6ème à la 3ème. Paris : Librairie Larousse, p.56 et 57.


Astérix a dit à Obélix que le deux était là pour chasser les sangliers. Obélix lui a demandé de regarder. Il a commenté qu’Idéfix faisait de progrès. Idéfix a demandé à Obélix de lui laisser faire son travail tranquille. Obélix lui a répondu qu’il n’avait pas de travail à faire là et puis il a ajouté qu’il faisait peur aux sangliers.


Le discours (in)direct et libre

L

e discours rapporté représente un discours attribué à une autre énonciateur qui est insérer dans le discours, tenu par le locuteur (énonciateur) de base, qui rapporte ce discours autre (qui peut d’ailleurs être le sien, tenu à un moment antérieur). La représentation du discours d’autrui présente trois formes principales : (I) discours direct ; (II) discours indirect ; (III) discours direct libre. Le discours direct représente, à première vue, la forme la plus littérale de la représentation du discours d’autrui qui est présente tel quel, comme une citation. Le discours direct est inséré dans un autre discours, avec des marques explicites : il est encadré par des guillemets ou, en cas de dialogue, chaque réplique est introduite par un tiret. Les temps verbaux sont repérés par rapport au moment de sa parole : le présent correspond au moment de son énonciation. Le discours indirect se caractérise par sa dépendance syntaxique. Il se place dans une proposition subordonnée, qui est complément d’un verbe principal signifiant « dire » (rapport de paroles) ou « penser » (rapport de pensées). Le discours indirect est indiqué par un mot subordonnant (que, si, etc.). Il y a la mise en subordination : « dire que », « demander si », « demander de ». Il y a la transposition des personnes. Il y a des changements des temps du verbe, qui est réglé par la concordance des temps : si le verbe principal est au présent ou au passé. Le discours indirect libre transpose les paroles ou les pensées d’un personnage en les intégrant complétement au récit, sans subordination. C’est un procédé essentiellement littéraire.

PELLAT, J-C ; FONVIELLE, Stéphanie ; GREVISSE, Maurice (2016). Le Grevisse de l’Enseignent. Paris : Magnard, pages 380-381 (chapitre : le discours)


Avant tout, par hasard le dernier week-end j’ai travaillé le discours rapporté en espagnol, en raison d’avoir fini mon mémoire sur ce thème-là. Ensuite, je trouve cela un bon sujet pour apprendre, car on ne comprend pas quand on retransmet un message ou une parole, on fait le discours direct ou le discours indirect. En plus, lorsque l’on met à jours des nouvelles du quotidien, on veut enseigner l’autre ce que l’on a appris et lui repasser les informations, alors il s’agit du discours rapporté. Tout compte fait, la plupart des gens n’aperçoivent pas l’importance de ce sujet-là, du fait que c’est hyper normal l’usage, de façon que nous l’emploie dans notre vie sans nous rendre compte. Enfin, c’est très ravissant de comprendre dont on parle tous les jours ; soit par les réseaux sociaux, soit avec quelqu’un.

Le discours rapporté, à mon avis


Le Portrait Calogero Il mélange au fond de sa tasse

Pourquoi "parent" ne prend pas d'"s"

Du miel

Des câlins il en voudrait tellement

Il regarde par le vasistas

Ne serait-ce qu'un par an

Le ciel À chaque fois que passe un avion

Il rêve couché sur un parquet

Il se dit que c'est peut-être elle

Dans les bras de sa mère

Qui passe au-dessus de sa maison

Dessinée à la craie

On lui a dit qu'elle était au ciel

Tous les soirs en secret Ce dessin il le fait

Il rêve couché sur un parquet

Trait pour trait

Dans les bras de sa mère

À partir d'un portrait

Dessinée à la craie Tous les soirs en secret

Il rêve couché sur un parquet

Ce dessin il le fait

Dans les bras de sa mère

Trait pour trait

Dessinée à la craie

À partir d'un portrait

Tous les soirs en secret Ce dessin il le fait

Il rêve couché sur un parquet

Trait pour trait

Dans les bras de sa mère

À partir d'un portrait

Dessinée à la craie Tous les soirs en secret

Il rêve couché sur un parquet

Ce dessin il le fait

Dans les bras de sa mère

Trait pour trait

Dessinée à la craie

À partir d'un portrait

Tous les soirs en secret Ce dessin il le fait

Perdu au fond de sa classe

Trait pour trait

Il s'emmêle

À partir d'un portrait

Il se débat avec le coriace Pluriel

Trait pour trait

Puis il explique à sa maitresse

À partir d'un portrait


La vie est trop belle !



Peu importe les dÊfis, le ciel c’est la limite de la vie.


Je T'emmène Avec Moi Baptiste Giabiconi Petit matin, vent glacé comme un mauvais chagrin dans les rues qui t'enlacent, une ombre passe, on est si pressés À qui parler ? Tu ne rêves que d'un nouvel été Trop de questions qui dansent dans tous les sens, où vas-tu aller ? Je t'emmène avec moi, c'est un jour parfait pour tout oublier, pour tout inventer Je t'emmène avec moi, c'est un ciel parfait pour tout effacer, pour recommencer hé hé Qui sait pourquoi la vie nous s'emmène dans ses coins-là, quand on se croit perdu inattendu un nouveau départ Et si demain, si l'ami l'inconnu, c'était toi, qui rallumes une flamme, dans un regard, une nouvelle histoire chéhé (x3)

Je t'emmène avec moi ! héhé (x3) Je t'emmène avec moi, c'est un jour parfait pour tout oublier, pour tout inventer Je t'emmène avec moi, c'est un ciel parfait pour tout effacer, pour recommencer Je t'emmène avec moi héhé (x3)


Le discours rapporté

Q

Notes ! →



À la bibliothèque Central il y a un exemplaire du livre 1000 difficultés courantes du français parlé, de Roland Godiveau. Il y a un exemplaire du livre 350 ans de théâtre au Canada français, de Jean Beraud. Il y a un exemplaire du livre 3 aspects du français contemporain, d’Albert Doppagne, dont la maison d’édition c’est Larousse. Il y a une boite avec des activités de français sur internet en feuilles séparées, de l’auteur Davies Nancy, dont la maison d’édition c’est CLE International. Il y a une thèse sur l’Analyse du contenu linguistique de manuels utilisés au Brésil pour l'enseignement du français aux débutants, de l’auteur Maria Angela de Faria Rezende. Il y a deux Grands Dictionnaires de l’ancien français, d’Algirdas Julien Greimas, dont la maison d’édition c’est Larousse. Il y a une méthode didactique sur L'apprentissage du français aujourd'hui, de Jean Marie Zemb. Il y a trois exemplaires d’Apprendre à écrire, de Blanche Cognet et Marcelle Janet, qui sont études de moyens d'expression, exercices sur des textes et essais, auxquels sont utilisés en classes de grammaire. Il y a le Cahier de vocabulaire et d'exercices de français : 11ème année des lycées, de Margarida Duarte Costa. Il y a une linguistique appliquée : Cent pages sur la linguistique et l'enseignement du français aux étrangers, de Jacques Olivier Grandjouan. Il y a un exemplaire du livre


Chanson dans la classe de français : Langue étrangère, de Louis Jean Calvet. Il y a le livre Cours de français : Méthode structurale, de Jose Nogueira Starling. Il y a le Dictionnaire de didactique du français langue étrangère et seconde, de l’ouvrage coordonné par Jean-Pierre Cuq. Il y a trois exemplaires de Dictionnaire de langue française, d’Emile Cittre. Finalement, il y a des échantillons de toutes les sortes de livres, mais il y a plusieurs dictionnaires, bien comme de livres de littératures, comme par exemple poèmes, que de grammaires en FLE.


1ère groupe

2ème groupe

3ème groupe

Tout d’abord, j’ai appris les verbes en les conjuguant plusieurs fois. Ensuite, la professeure nous demandait de corriger nos fautes en les reconjunguant trois fois, afin d’atteindre le bon résultat. À mon avis, je trouvais cela une bonne technique. Malgré la répétition et l’apprentissage par cœur, beaucoup de verbes sont restés dans mon esprit, grâce à tout cela. Enfin, je peux dire que c’est bien de conjuguer. Quand on sait des règles et les exceptions, par exemple, on a une base pour autres conjugaisons. Évidemment, il faut que l’on ait la connaissance du présent de l’indicatif, soit pour former l’auxiliaire du passé composé, soit pour former le présent du subjonctif.

Verbes en -ER Je mange Tu manges Il mange Elle mange On mange Nous mangeons Vous mangez Ils mangent Elles mangent --------------------Je parle, tu danses, on chante, elle vient, nous allons, vous irez, ils sont, elles vont, je reste, tu vas, il sait, mais elle, elle ne veut pas, comme moi, qui n’ai pas voulu tout faire hier.


LA VISITE DE L’ACUFC Avant tout, j’ai trouvé une superbe classe, à laquelle on n’était pas toujours habitué. Cela a été tout à fait une excellente expérience. En outre, par rapport au niveau de langue, j’ai déjà eu l’occasion de remarquer l’accent du Québec « en direct », par contre, l’accent canadienfrançais pas du tout, ce qui m’a beaucoup plu. Après, j’ai pu remarquer d’autres sortes d’articulations phonétique et phonologique, dont j’ai envie d m’approprier un jour, car j’ai aimé la façon dont ils ont parlé. En ce qui concerne un projet de vivre ailleurs, j’en ai un, ou bien, j’en ai plusieurs… je rêve de visiter plein de pays à l’étranger – faire effectivement le tour du monde. D’abord, j’ai l’intention de connaitre les pays hispanophones, après les francophones, etc. enfin, à mon avis tout cela a été très ravissant et aussi étonnant. Merci à la professeure de bous avoir permis cette incroyable expérience.


Les notions de base pour l’analyse de la phrase Pour moi, même en portugais, cela me donne du souci. Je fais l’analyse de la phrase basée sur le procédé de définitions de termes et de la substitution ou le remplacement, ce qui est plus logique pour moi. Le processus d’effacement, je n’ai jamais pensé à l’utiliser, mais je vais le faire à partir de ce moment. Je vais tout revoir mes doutes pour que ce soit le plus clair, parce que je veux tout à fait comprendre ce sujet.


Mon style d’écriture

La façon dont j’écris est complexe, à mon avis, cela est dû à l’enchainement d’idées qui me vient à l’esprit au moment où j’écris – je suppose. En fait, je n’ai jamais pensé à cela. Je me rends compte maintenant grâce à l’intervention de la professeure. Ensuite, en ce qui concerne mon style, je peux l’exemplifier par les propositions suivantes : (I) « D’après moi, avant de devenir science, toutes les idées ont été une opinion empirique, qui a été développée avec le but d’être prouvée scientifiquement [...]. » (II) « Tout d’abord, j’ai trouvé ce thème très différent, de plus il m’a beaucoup étonné, en même temps que j’étais bouleversé avec les possibilités que l’on a, face aux visions de langues telles que : la vision juridique, la vision structurelle, la vision constructiviste […]. » (III) « […] à mon avis, la façon dont j’apprends les prépositions n’a pas été si difficile, au contraire, j’ai trouvé ce processus d’apprentissage très logique et très clair […]. » (IV) « […] puis, lorsque j’ai pu me mettre au courant de multiples sortes de grammaires qu’il y en a, je me suis rendu compte, que j’ai besoin de les avoir pour mieux étudier et un jour, peut-être, devenir un professeur de français qui maitrise bien la grammaire et la langue. Tout compte fait, c’est bon de savoir que j’ai un style, ma propre manière d’écrire. En fait, nous n’avons pas seulement de style physique, mais aussi style d’écriture. Cela est un problème des fois, je dois le corriger afin de ne pas me perdre.


À mon avis, le système de la phrase et des propositions en français c’est pareil au système du portugais. Il faut, bien sûr, savoir reconnaitre toutes les classes grammaticales pour que l’on puisse comprendre et pratiquer cette analyse. En fait, j’ai des problèmes en ce qui concerne le français, en raison du fait de ne pas l’avoir comme langue maternelle, mais je crois qu’au fur et à mesure, j’aurai une bonne approche de tout cela. Ce système est donc un moyen académique, soutenu, utilisé pour bien écrire et aussi pour avoir bon niveau de langue. Je suis d’accord avec son importance, néanmoins cela on n’utilise que dans l’école, dans la normalité de la langue écrite, ce qui est super bon pour reconnaitre ce que l’on utilise tous les jours, cependant au quotidien, on n’a pas besoin de ce système pour commencer un dialogue.


La nominalisation

E

n ce qui concerne la nominalisation, j’ai déjà pu la travailler auparavant. J’ai étudié ce sujet-là à partir de la transformation de l’adjectif et de la transformation

du verbe. À mon avis, je trouve ce processus très important au moment de parler, étant donné que l’on l’emploie souvent à l’oral et à l’écrit. Donc, avoir ce type d’apprentissage en français, cela vaut beaucoup la peine. En plus, j’ai déjà eu l’occasion de pouvoir apprendre tout cela avant, par contre il y a d’autres éléments qui peuvent s’ajouter maintenant et je peux les apprendre pour la première fois, c’est pourquoi je suis content de ce fait. Enfin, l’application de la nominalisation quotidiennement est très enrichissante de façon à nous faire communiquer plus facilement sans avoir du souci.


Autoévaluation Par rapport à l’expression écrite – question II – le problème était le manque d’attention, mais surtout, de ne pas mettre au propre et de ne pas gérer le temps. Ensuite, j’ai pu observer dans mon

test que le contenu de l’unité un, questions trois, cinq et six, j’ai eu des problèmes en ce qui concerne les célèbres et bénis « Épithète, Attribut du sujet et Complément », en fait je ne sais pas pourquoi je n’apprends pas cela, c’est frustrant quoi ! Puis, concernant l’unité deux, questions quatre et sept, je ne peux que confirmer à nouveau le manque d’attention, car ce qui est étrange, c’est que je sais cela dans ma langue maternelle. Tout compte fait, mes difficultés sont concepts mal compris, dont j’ai besoin de réétudier pour mieux comprendre. Il y a eu une évaluation formative qui a été notée, je sais qu’une évaluation de ce type n’est pas notée, mais pas grave, on a besoin des notes, c’est le système. D’ailleurs, je pense qu’elles représentent mes efforts, parce que je devrais étudier plus. Enfin, je ne me rappelle pas la note du premier test, par contre ce dont je suis sûr, ce que j’ai eu une meilleure performance.


J’AI APPRIS LE PARTICIPE PASSE PARTICULIEREMENT QUAND J’AI ETUDIE LE PASSE COMPOSE, EN FAISANT BEAUCOUP D’EXERCICES. APRES, J’AI VU LE PARTICIPE PRESENT AU MOMENT OU J’ETUDIAIS LE GERONDIF.


La vie sans morphosyntaxe c’est atroce Tout d’abord, lorsqu’il y avait des occupations, j’ai éprouvé de l’angoisse et de la tristesse, puisque j’ai eu peur de perdre le semestre, par conséquent de tout refaire pendant l’année prochaine. À cause de tous ces effroyables sentiments, qui m’ont rendu tout à fait déçu, je n’ai pas du tout pu profiter rien le mois dernier. Malgré les occupations des bâtiments, nous – du cours d’espagnol – nous sommes débrouillés afin de trouver la meilleure solution concernant les dommages causés sur notre processus d’apprentissage en raison de cette manifestation dont les seuls lésés ce sont nous, les étudiants. En effet, nous avons réussi à étudier et clore des disciplines à la fois. En ce qui concerne la reprise de notre cours ce mois-ci, puisque la discipline me plaît, je vais la poursuivre heureusement, sinon je n’y participerai pas, du fait que je n’étais pas en grève. Honnêtement, mes attentes par rapport à la Morphosyntaxe, sont déjà atteintes, ce qui me donne la pêche c’est l’ambiance détendue et surtout la possibilité de pratiquer le français. Tout compte fait, je suis obligé d’affirmer que mes matins de lundi à mercredi ont été tout à fait ennuyantes, floues et incompréhensibles sans avoir nos classes de Morphosyntaxe, il manquait quelque chose en fait.



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