Dossier de presse 26es Musicales de Bastia 10 • 11 • 12 octobre 2013
Relations presse : Raoul Locatelli • 06 81 31 10 19, Stéphane Biancarelli • 04 95 32 75 91 • musicales-de-bastia@wanadoo.fr
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Présentation Un quart de siècle déjà ! 25 années d’enthousiasmes et d’émotions renouvelées, de surprises et de passions, et certes, des heures d’ombre et des vicissitudes, qui jamais pourtant n’ont altéré la trajectoire de ce bateau ivre de musique qu’est le festival bastiais. Somme toute, créer un événement n’est pas le plus difficile. Ce qui l’est, c’est de le faire exister dans le temps, sans en dénaturer l’esprit et ce, dans un environnement culturel en perpétuelle évolution : évolution de l’offre, évolution du coût du spectacle vivant, évolution des habitudes culturelles, du rapport aux médias qui change les attentes d’un public elles aussi en évolution. Les Musicales n’ont pas échappé à la crise et les difficultés financières se sont, hélas, accumulées au point même de compromettre l’édition 2013. Depuis février, nous avons remué ciel et terre pour alerter nos partenaires institutionnels sur la situation périlleuse qui était la nôtre. Nous avons été entendus, certes, car personne ne voudrait voir le plus ancien festival de Corse disparaître, mais, malgré certains entretiens encourageants, les réponses n’ont pas toujours été à la hauteur de nos espérances. Nous nous sommes vite retrouvés au pied du mur avec, pour principal ennemi, le temps qui passait rendant notre travail de programmation de plus en plus difficile. Bien sûr, nous aurions pu baisser les bras et nous arrêter car, après tout, un quart de siècle c’est une belle tranche de vie pour un festival de musique ! Ce serait mal nous connaître : nous avons donc choisi de faire confiance à nos partenaires et au public soucieux de nous suivre dans cette nouvelle aventure où la musique sera reine, où jamais le spectateur ne sera considéré comme un consommateur ni passif ni facile. C’est ainsi que nous avons décidé de prendre, peut être pour la dernière fois, le risque de faire vivre Les Musicales de Bastia, festival historique pour notre ville et notre région. Un festival, loin des grands flux de la saison estivale, où insulaires et touristes de passage, ou venus tout spécialement pour l’événement, peuvent flâner dans une ville belle et secrète et explorer des environs enchanteurs où le beau temps s’attarde… 2013 sera une année charnière, à l’enthousiasme intact, avec à la fois ce qui a fait la source des Musicales, leur identité, et des innovations, avant nous l’espérons, la naissance d’un projet novateur et surprenant pour 2014. La nouveauté 2013 est l’idée d’une carte blanche confiée à un artiste capable d’audace et de créativité, qui proposera un « one shot », autrement dit un concert unique, qui ne sera vu qu’à Bastia. Cette année, c’est le brillantissime Richard GALLIANO, reconnu dans le monde entier, comme le maître de l'accordéon jazz, mais également classique, qui inaugurera cette formule avec des invités d’horizons musicaux différents.
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Présentation
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Puis c’est Anne QUEFFELEC, considérée unanimement comme l'une des plus remarquables pianistes de notre temps, qui sera sur la scène du Théâtre pour un récital dont elle seule a le secret. Enfin, la chanson et les musiques actuelles ne seront pas oubliées, avec une journée non stop qui fera la part belle à des artistes émergents. De fait, le 10 sera placé sous le signe du jazz, le 11 sous celui de la musique classique et le 12 entièrement consacré aux découvertes d’ici et d’ailleurs. Et toujours en filigrane, des artistes insulaires, chanteurs de polyphonie, musiciens classiques ou de jazz et groupes en devenir dans le domaine des musiques actuelles. Une entrée dans l’automne virtuose, sensible, festive…
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S O M M A I R E
Présentation
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Programme
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Biographies SWING IN JAZZ, QUARTET
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RICHARD GALLIANO
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QUATUOR U LIBECCIU
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ANNE QUEFFELEC
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JAKEZ ORKEZTRA
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NEVCHEHIRLIAN
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ANTONE & LES OGRES
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MESPARROW
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Scène(s) ouverte(s) aux jeunes musiciens
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Rencontre professionnelle
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Jury Jeune
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Interventions pédagogiques
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L’association
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Partenaires
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Réseaux
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Infos pratiques
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Photos HD et vidéos des artistes disponibles sur demande. Relations presse : Raoul Locatelli • 06 81 31 10 19, Stéphane Biancarelli • 04 95 32 75 91 • musicales-de-bastia@wanadoo.fr
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P R O G R A M M E Jeudi 10 Octobre 19h00 - Salle Prelà “Swing in Jazz” Apéro concert Avec le quartet François Arnaud : violon, Jean-Marc Jafet : basse, Jean-Christophe Galliano : batterie, Jean-Jacques Gristi : guitare.
21h15 – Théâtre Bastia “one shot” Carte blanche à Richard GALLIANO Avec U Fiatu Muntese et Paul-Antoine de Rocca Serra. Richard GALLIANO Tangaria New Quartet
Vendredi 11 octobre 19h00 - Salle Prelà « Musiques aux quatre vents » Apéro concert Avec le quatuor U Libecciu
21h15 - Théâtre Anne QUEFFELEC, piano
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Samedi 12 octobre 10h00 - Salle Prelà Rencontre professionnelle Autour du thème « Développer son projet musical ». Organisée par le Rézo, en partenariat avec Les Musicales de Bastia et la Ville de Bastia. Inscription au 06 69 10 97 66. (Cf. page 19).
15h00 - Péristyle du Théâtre Scène(s) ouverte(s) aux jeunes musiciens Pour participer, prendre contact avec l’organisation au 04 95 32 75 91. (Cf. page 18).
18h00 - Théâtre (formule Tous-en-scène) Jakez Orkeztra Nevchehirlian
21h15 - Théâtre (formule Tous-en-scène) Antone & les Ogres Mesparrow
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B I O G R A P H I E S Jeudi 10 octobre 19h00 - Salle Prelà “Swing in Jazz” Apéro concert Avec le quartet François Arnaud : violon, Jean-Marc Jafet : basse, JeanChristophe Galliano : batterie, Jean-Jacques Gristi : guitare. Avec les musiciens de jazz, les rencontres sont toujours plus faciles. Ainsi, les trois musiciens issus du Tangaria New Quartet aux côtés de Richard Galliano, offrent, avec la complicité de Jean Jacques Gristi à la guitare, un voyage musical, de Django à Grappelli et de Stéphane à Reinhard. Né à Nice en 1965, François ARNAUD obtient le premier prix de violon au conservatoire de Nice en 1979, ainsi que le premier prix de violon au conservatoire supérieur de Lyon en 1984. Il collabore successivement avec l'orchestre Régional Cannes Provence Côte d'Azur, Nice et l'Orchestre National de Lyon. Passionné par d’autres styles de musiques et surtout par l’improvisation jazz et tsigane dans laquelle il excelle, il est le violoniste que l’on compare souvent à Stéphane GRAPPELLI… C’est tout dire… De 1997 à 2000, il part vivre en Floride et rencontre de nouveaux amis musiciens. il y découvrira la musique de Bluegrass, la Country et la Salsa. De nouvelles expériences qui lui permettront d'enrichir et de compléter ses connaissances musicales. De retour en 2000 sur la côte d'azur, Francois Arnaud se produit avec ses amis musiciens tels que Babik Reinhardt (qui disparaîtra un an plus tard), Christian Escoudé, Jean-Marc Jafet, Jean-Yves Candela, Yoan Sera. 2001 : rencontre le guitariste Corse Jean-Jacques Gristi avec lequel il participera aux festivals de jazz à Montreux, Juan-les-Pins, Calvi, ainsi que de nombreux concerts en Corse. 2011 : Tangaria Quartet avec Richard Galliano, Philippe Aerts et Rafael Mejias. Concerts à Salzburg & Graz. 2012 : nouveau groupe "François Arnaud Quintet" violin summit : violons François Arnaud et Jean-Christophe Gairard, piano Jean-Yves Candela, contrebasse Christian Pacchiaudi, batterie Alain Asplanato. 2013 : tournée Tangaria New Quartet avec Richard Galliano, Jean-Marc Jafet et Jean-Christophe Galliano. Originaire de Nice, Jean-Marc Jafet a débuté dans le groupe brésilien « Les Étoiles ». Dans les années 1980, il se produit dans le groupe de Christian Escoudé puis dans l'Orchestre national de jazz d'Antoine Hervé. Il a fondé en 2000 la formation Trio Sud avec Sylvain Luc et André Ceccarelli, et enregistré avec Richard Galliano, Marcia Maria, Franck Amsallem, Babik Reinhardt, Khalil Chahine, Michel Delpech, Michel Jonasz, et le groupe Offering de Christian Vander. Il est sans aucun doute l'un des bassistes jazz français ayant enregistré le plus de disques et ayant côtoyé le plus de musiciens de jazz.
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Jean-Christophe Galliano a étudié la batterie avec Jean-Paul Ceccarelli au Conservatoire de Nice. Très inspiré par son mentor Jean-Luc Danna, il a participé à la réalisation des musiques de films. Depuis 2013, il a rejoint la « bande des Niçois », François Arnaud et Jean-Marc Jafet, qui forment avec Richard Galliano, le Tangaria New Quartet. Jean-Jacques Gristi est autodidacte. Né d'une famille de musiciens, il choisit la guitare comme moyen d'expression. Il écoute les guitaristes corses qui l'entourent. Mais le choc du musicien a lieu une nuit, dans un endroit mythique : Le Son des Guitares, à Ajaccio. Il entend un enregistrement d'un guitariste gitan, c'est pour l'adolescent la révélation : Etienne Bousquet. Autre rencontre déterminante : Django Reinhardt. Une musique si proche de ce qu'il connaît déjà. Il se lancera à la découverte de l'œuvre du maître et formera un trio de guitares pour rejouer ce jazz manouche qui lui correspond tellement : spontanéité, swing, musicalité. Il s’est ainsi produit avec les plus grands : Biréli Lagrène, Stochelo Rosenberg, David Reinhardt, Angelo Debarre...
Jeudi 10 octobre 21h15 - Théâtre RICHARD GALLIANO Tangaria New Quartet Alors que l'accordéon semblait n'avoir jamais vraiment connu de soliste majeur et que, par les connotations qui l'entourent, il paraissait irrémédiablement éloigné du swing, Richard Galliano est parvenu, avec une détermination sans pareille, à imposer l'idée que son instrument était digne de figurer aux côtés des saxophones et trompettes qui sont au coeur de la musique de jazz. Inspiré par son admiration pour son ami Astor Piazzolla, inventeur du « Tango Nuevo », l'accordéoniste a réussi, en outre, avec son « new musette », à revitaliser une tradition bien française qui semblait ne jamais devoir connaître de renouveau. Né le 12 décembre 1950 à Cannes, fils de Lucien Galliano, professeur d'accordéon d'origine italienne, Richard a débuté l'instrument à l'âge de quatre ans. Parallèlement à son apprentissage, il suit une formation au conservatoire de Nice, étudiant l'harmonie, le contrepoint et le trombone. A l'âge de 14 ans, il découvre
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le jazz au travers de Clifford Brown dont il relève les chorus et s'étonne que
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l'accordéon soit si peu présent dans cette musique. Il s'intéresse alors aux accordéonistes brésiliens (Sivuca, Dominguinhos), découvre les spécialistes américains qui se sont frottés au jazz (Tommy Gumina, Ernie Felice, Art Van Damme) et les maîtres italiens (Felice Fugazza, Volpi, Fancelli), rejetant en bloc le jeu traditionnel qui domine dans l'Hexagone. En 1973, Galliano « monte » à Paris et c’est la rencontre avec Claude Nougaro. Pendant trois ans, il assure la fonction d'arrangeur, de chef d'orchestre et même de compositeur dans un groupe où il côtoie d'authentiques jazzmen. Il participe, en outre, à de nombreuses séances d'enregistrement de variété (Barbara, Serge Reggiani, Charles Aznavour, Juliette Gréco, etc...) et à des musiques de film. Dès le début des années 1980, il multiplie les occasions de fréquenter des jazzmen de toutes obédiences et de pratiquer l'improvisation à leurs côtés : Chet Baker (sur un répertoire brésilien), Steve Potts, Jimmy Gourley, Toots Thielemans, le violoncelliste Jean-Charles Capon (avec qui il signe son premier disque), Ron Carter (avec qui il enregistre en duo en 1990), etc. 1988 : Richard Galliano créé le célèbre " Festival des Nuits de Nacre " à TULLE qu'il dirigera durant 5 années ( de 1988 à1992) en tant que Directeur Artistique (voir DVD de Pierre Barouh " Accordéons "). En 1991, sur les conseils d'Astor Piazzolla qu'il a rencontré en 1983, à la faveur d'une musique de scène pour la Comédie-Française, Richard Galliano fait retour sur ses racines, revenant aux valses musettes, java, complaintes et tangos, répertoire traditionnel qu'il avait longtemps ignorés. Renouant avec l'esprit de Gus Viseur et Tony Murena, il permet à l'accordéon de se défaire de son image vieillotte par un travail sur le trois temps, une autre conception rythmique, un changement des harmonies, qui l'acclimate au jazz. Réalisé avec Aldo Romano, Pierre Michelot et Philip Catherine, son disque-manifeste « New Musette » (Label bleu) lui vaut de recevoir le prix Django-Reinhardt de l'Académie du Jazz en 1993, récompense qui salue le « musicien français de l'année ». S'ensuit une série d'albums dans lesquels Richard Galliano révèle, sur un modèle Victoria qu'il ne quitte plus, une aisance à adapter l'accordéon aux libertés du jazz, virtuose dans le phrasé, totalement décomplexé, d'une grande richesse dans la sonorité, habile à décloisonner les musiques à l'aide d'un instrument qui ignore les frontières. En 1996, il traverse l'Atlantique pour enregistrer son « New York Tango », avec George Mraz, Al Foster et Biréli Lagrène, disque pour lequel il obtient une Victoire de la musique. La réputation de Richard Galliano prend alors une envergure internationale et les collaborations se multiplient. Il s'engage dans des duos, dont certains à l'instrumentation insolite, avec des personnalités aussi diverses qu'Enrico Rava, Charlie Haden, Michel Portal (« Blow Up », en 1997, est un vrai succès commercial avec plus de 100 000 exemplaires vendus), son confrère Antonello Salis (en Italie) ou encore l’ organiste Eddy Louiss (2001). Il est fidèle pendant des années au trio qu'il forme avec Daniel Humair et JeanFrançois Jenny-Clarke (de 1993 jusqu'à la disparition du contrebassiste en 1998), puis renoue avec ce format en 2004 avec une rythmique « new-yorkaise »
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composée de Clarence Penn et Larry Grenadier. Des rencontres plus ponctuelles
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ont également lieu avec Jan Garbarek, Martial Solal, Hermeto Pascoal, Anouar Brahem, Paolo Fresu et Jan Lundgren, Gary Burton... En 1999, avec un orchestre de chambre, il fait entendre ses propres compositions aux côtés d'oeuvres écrites par Astor Piazzolla. Ce travail trouve un prolongement en 2003 dans « Piazzolla Forever », hommage dans lequel Galliano rejoue les pieces de son mentor. D'une rare polyvalence, Richard Galliano possède ainsi les moyens de s'exprimer avec musicalité dans n'importe quel contexte, du solo (tel le « Paris Concert » au Châtelet, paru en 2009) jusqu'au big band (avec le Brussels Jazz Orchestra en 2008). Désormais reconnu comme un soliste exceptionnel, il continue d'explorer un large éventail de musiques, sans se défaire de ce lyrisme qui irrigue son jeu lorsqu'il enregistre les ballades de « Love Day » avec Gonzalo Rubalcaba, Charlie Haden et Mino Cinelu, ni se départir de cette « French Touch » qui lui permet d'établir avec le trompettiste Wynton Marsalis le trait d'union qui relie Billie Holiday et Edith Piaf. Soucieux de transmettre sa riche expérience, il est l'auteur, avec son père Lucien, d'une méthode d'accordéon saluée en 2009 par le prix Sacem du Meilleur ouvrage pédagogique. En 2010, Richard Galliano signe un contrat d'exclusivité discographique avec Deutsche Grammophon. Il enregistre dans la foulée un album consacré entièrement à la Musique de Jean-Sébastien Bach (qui devient avec 60 000 exemplaires vendus la Meilleure Vente Classique de l'Année). En 2011 est sorti un album dédié aux musiques de film du fameux compositeur italien Nino Rota. Avec, notamment, John Surman au saxophone soprano et Dave Douglas à la trompette, Richard Galliano donne ici une lecture résolument jazz des célèbres mélodies de La Strada, The Godfather (qu'il joue au Trombone solo sur la première plage du disque), La Dolce Vita, Amarcord, Otto e Mezzo (Huit et demi)... En avril 2013 est paru son dernier album « Vivaldi », consacré au compositeur des Quatre Saisons dans lequel l'accordéoniste retrouve le quintette à cordes qui l'a accompagné dans l'aventure Bach. Désormais, Richard Galliano est le seul accordéoniste concertiste à avoir le privilège d'enregistrer pour le prestigieux Label Allemand Deutsche Grammophon (au même titre que Pierre Boulez, Daniel Barenboim, Herbert Von Karajan, etc.) Son
rêve
d'adolescent
est
enfin
réalisé
à
l'âge
de...
60
ans.
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Première partie : Bastia “one shot” Carte blanche à Richard GALLIANO Dans la première partie du concert, Richard GALLIANO tisse le fil conducteur de sa carte blanche, articulant l’accordéon solo et les rencontres. Ainsi cette aventure musicale inédite va lui permettre aussi bien de rejoindre l’univers du chant polyphonique avec “U fiatu muntese” que de faire un bout de chemin du côté du classique en compagnie du violoncelliste Paul-Antoine de Rocca Serra et de se mêler au blues “made in Corsica” de Jacky Micaelli. Dans la deuxième partie du concert, c’est le jazz, à travers standards et compositions, qui sera l’invité avec Richard Galliano Tangaria New Quartet, composé de François Arnaud : violon, Jean-Marc Jafet : basse, Jean-Christophe Galliano : batterie Sites : www.richardgalliano.com www.gingaproduction.com/gingadebie5411.html
Vendredi 11 octobre 19h00 - Salle Prelà « Musiques aux quatre vents » Apéro concert Avec le Quatuor U LIBECCIU Lucien AUBERT : clarinette sib, Denys VIGNON : clarinette sib, Marc DURET : clarinette basse, Nicolas PERRAUD clarinette sib Lucien Aubert joue une Clarinette LEBLANC
Le Quatuor U Libecciu tient son nom du vent d'ouest qui caresse la côte Corse, lieu de vie et de création des quatre musiciens. Ils ont choisi un large répertoire plaisant, qui va de la période classique au 21e siècle, en passant par le Jazz. Leur désir est de faire partager les magnifiques combinaisons sonores et musicales que nous offre la famille des clarinettes. Chaque œuvre présentée par un membre du quatuor, donne la possibilité au
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public de découvrir sous un autre angle le répertoire proposé.
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Vendredi 11 octobre 21h15 - Théâtre
ANNE QUEFFELEC, piano Programme communiqué ultérieurement. Considérée comme l'une des plus remarquables pianistes de notre temps, Anne Queffélec jouit d'une notoriété internationale et d’un rayonnement unique sur la vie musicale.
Fille et sœur d’écrivains, passionnée elle-même de littérature, c’est vers la musique qu’elle se tourne dès son plus jeune âge. Après des études au Conservatoire de Paris, après avoir reçu entre autres l’enseignement d’Alfred Brendel, elle remporte des succès aux concours internationaux de Munich (premier prix à l’unanimité en 1968) et de Leeds (prix en 1969). Plébiscitée en Europe, au Japon, Hongkong, Canada, États-Unis… les plus grandes formations orchestrales l’invitent - London Symphony, London Philharmonic, Philharmonia Orchestra, BBC Symphony, Academy of St. Martin in the Fields, Tonhalle de Zurich, Orchestre de chambre de Pologne, de Lausanne, Tokyo NHK Orchestra, Ensemble Kanazawa, Hongkong Philharmonic, Orchestres National de France et Philharmonique de Radio France, Strasbourg, Lille, Philharmonie de Prague, Kremerata Baltica… - sous la direction de chefs tels que Boulez, Gardiner, Jordan, Zinman, Conlon, Langrée, Belohlavek, Skrowacewsky, Casadesus, Lombard, Guschlbauer, Zecchi, Foster, Holliger, Janowski. Nommée « Meilleure interprète de l’année » aux Victoires de la Musique 1990, Anne Queffélec a joué à plusieurs reprises aux « Proms » de Londres, aux festivals de Bath, Swansea, King’s Lynn, Cheltenham, Händel-Festspiele Göttingen ; elle est aussi régulièrement à l’affiche des festivals français tels La Chaise-Dieu, Festival de la Vézère, Radio France Montpellier, Besançon, Bordeaux, Dijon, La Grange de Meslay, La Folle Journée, La Roque d’Anthéron où elle a donné entre autres l’intégrale des Sonates de Mozart au cours de six concerts diffusés en direct sur France Musique confirmant son affinité passionnée avec l’univers mozartien. Anne Queffélec a participé à l’enregistrement de la bande sonore d’Amadeus, sous la direction de Neville Marriner.
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À la scène comme pour ses enregistrements, Anne Queffélec cultive un répertoire éclectique. En témoigne sa riche discographie : elle a consacré plus d’une trentaine d’enregistrements à Scarlatti, Schubert, Liszt, Chopin, Bach, Debussy, Fauré, Mendelssohn, Satie, l’œuvre intégrale de Ravel et de Dutilleux, Mozart, Beethoven, Haendel, gravés respectivement chez Erato, Virgin Classics, Mirare. Son disque « Contemplation » consacré à Bach chez Mirare a conquis la presse et le public. À l’occasion du bicentenaire de la naissance de Chopin, Anne Queffélec nous a offert un parcours original à travers les œuvres de ce compositeur. Son disque ‘’Satie & Compagnie’’ est paru en janvier 2013 chez Mirare. Élu disque officiel de ‘’La Folle Journée’’, il est très chaleureusement accueilli par la presse internationale et a été récompensé d’un « Diapason d’Or ». « Anne Queffélec : la découverte d’une âme ». Münchener Zeitung. Site : www.sartoryartists.com
Samedi 12 octobre 18h00 - Théâtre (formule Tous-en-scène) JAKEZ ORKEZTRA Jacky Le Menn : chant-guitareaccordéon, Celia Picciocchi : violon-chant, Jean Castelli : contrebasse-chœurs, Pierre Michelangeli : batteriepercussions Un nom qui sonne comme une voile qui claque, une poésie baladeuse et une musique colorée aux mélodies irrésistibles : voilà le JAKEZ ORKEZTRA.
Créé en 2007, le groupe sort cette année là, un premier album LEON, qui revendique et signe l'état d'esprit du Jakez : celui d'une auberge espagnole où on abandonne dès l'entrée les frontières stylistiques. Essai confirmé en 2010 avec le deuxième album BYZANCE, et le passage au Printemps de Bourges. La critique salue l’originalité poétique des textes, une musique vivante et expressive, une séduisante présence sur scène, voire une « puissance de feu stupéfiante » (Magazine Francofans n°33).
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Le plus corse des groupes de chanson française continue de balancer entre slam et vieille école du verbe ; mais son nouveau spectacle nous dévoile un JAKEZ ORKEZTRA qui s'énerve toujours plus, et dans une musique qui va maintenant chercher du côté du rock le plus enragé... mais avec les moyens du bord : guitare acoustique, violon, contrebasse, accordéon, batterie et percussions emmènent les auditeurs dans univers musical chatoyant, rythmé, inattendu, frôlant et détournant les tendances. Toutes les tendances. Les membres du groupe sont des musiciens reconnus de la scène insulaire qui laissent exploser leur créativité et leur folie douce. Site : www.jakezorkeztra.com NEVCHEHIRLIAN « Le soleil brille pour tout le monde ? » Textes de Jacques Prévert Frédéric Nevchehirlian : voix-guitare, Jean Lefèvre : violoncelle-guitare-chœur, Gildas Etevenard : batteriechœur
Tant d’années après sa mort, un pan de l’œuvre de Jacques Prévert, peut-être le plus fort, reste méconnu du grand public. C’est le Prévert insoumis, révolté, le Prévert qui décrit avec tant de vitalité son incompréhension du monde qui l’entoure. A l’occasion du documentaire « Jacques Prévert, Paroles d’un insoumis », réalisé par Camille Clavel pour France 5, Frédéric Nevchehirlian met en musique « Tentative de description d’un dîner de tête à Paris-France ». C’est une révélation. La langue de Prévert trouve dans la voix de Nevchehirlian un écho et une modernité insoupçonnés. Eugénie Bachelot-Prévert, petite fille du poète, ne s’y trompe pas. Convaincue par l’interprétation et la mise en musique de Nevchehirlian, elle lui propose de poursuivre le travail en lui ouvrant le catalogue des textes qui n’avaient pas fait l’objet d’une orchestration, dont certains inédits. De là prend forme le beau projet de Nevchehirlian. « Le soleil brille pour tout le monde ? » est ainsi un album et un spectacle musicalement variés : les arrangements tout en acoustique, quoique parfois assez rock, ne rechignent pas à s'aventurer vers des penchants plus pop. Fred nous livre un Prévert intime et engagé, insoumis et amoureux, des chansons entre rock et slam à l’actualité criante.
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C’est précisément dans cette parole nue du poète, porteuse d’un lyrisme authentique, que tient la modernité de Nevchehirlian : restituer la force de l’engagement le plus pur sans sacrifier à une pose, qu’elle soit morale ou artistique. Sites : www.nevchehirlian.com www.internexterne.org/IEX/?nevchehirlian
Samedi 12 octobre 21h15 - Théâtre (Tous-en-scène) ANTONE ET LES OGRES Antoine Sicurani : guitare-chant, Nelson Gotteland : batteriechant, Nicolas Debelle : basse, Jean-Marc Mancini : clavierschant, Gilbert Usaï : sax. Après plusieurs années au sein de Wonderfull Hippies, qui s'arrêtera en mars 2010, Antone Sicurani (guitare et chant), André Tomasso (sax alto et flûte), Philippe Dupin de Majoubert (sax ténor) et Nelson Gotteland (batterie des Ogres, percussions dans Wonderfull Hippies) décident de s'orienter dans une nouvelle direction. C'est alors qu'avec Nicolas Debelle (basse) et Jacques Nobili (trombone), tous deux musiciens du groupe Zamballarana, ils fondent au mois d'avril 2010 Antone & les Ogres. Antone et les Ogres jouent un rock brillant et aérien, métissé et fusionnel, parfois dur, souvent doux. Antone Sicurani est tombé dans le chaudron de la musique quand il était petit. Il monte pour la première fois sur scène à quatre ans, avec A Filetta aux côtés de Jean Sicurani, son père. Aussi lorsqu'il a rencontré « les Ogres », des monstres de la musique, chacun dans leur genre, l'étincelle ne pouvait que s'allumer, car la musique a toujours été naturelle pour lui. En effet, dès 11-12 ans, il commençait à jouer dans des petits groupes de rock. C'est aussi à cette époque qu'il s'occupe de sonos pour la première fois, ce qui l'a orienté vers le métier d'ingénieur du son. Forcément… Quinze ans de musique et une centaine de concerts à son actif, le jeune homme a enfin la sensation de faire corps avec son art.
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MESPARROW Mesparrow est Marion Gaume. Une jeune femme originaire de Tours, qui s’est trouvé un nom d’artiste, ou plutôt de plume («sparrow » = « moineau »), idéal pour une chanteuse prête à s’envoler. Au départ, elle se faisait appeler Miss Sparrow, Mademoiselle Moineau. Mais Marion n’est pas la môme Piaf (même si, petite, elle se rêvait parfois en chanteuse de rues). Et elle n’aimait pas les trois « s » dans Miss Sparrow. Du coup, elle en a enlevé deux, mais elle a gardé les ailes, la Tourangelle. Mesparrow, « moi Moineau ». Dans Mesparrow, il y a aussi « arrow », la flèche. Suivez-là du regard, et surtout des oreilles : elle sort son premier album, elle est sur le point d’atteindre la cible, en plein dans le mille, après une trajectoire en boucles… Marion est devenue Mesparrow lorsqu’elle était aux Beaux-arts de Tours (après cinq ans d’études de piano, de chant et quelques groupes de rock au collègelycée). Normalement, aux Beaux-arts, on n’apprend pas la musique. Mais il n’est pas interdit d’en faire. « Je me suis demandée si je devais choisir entre l’art et la musique. Et je me suis rendue compte que plein de choses étaient liées». C’est donc pendant son cursus universitaire, et dans les soirées étudiantes, qu’elle commence à présenter des performances voix/vidéo. « Des choses très courtes, avec ma pédale de boucles et un micro. Je superposais des respirations, des sons abstraits. En fin d’études, j’ai animé une chorale dont j’étais la seule chanteuse, avec des images de mon visage en boucle et des couches de voix. C’était le vrai début de Mesparrow ». Le moineau déploie ses ailes, puis migre à Londres. « Je voulais juste vivre là-bas, et parler anglais. Je me suis retrouvée en coloc avec des gens que je ne connaissais pas. J’ai commencé par m’enfermer dans ma chambre avec un ampli et ma pédale de boucles. Je fais tout à la voix, quand j’entendais une guitare ou une batterie, je les faisais à la voix. Les chansons sont venues comme ça ». Marion finit par sortir de sa chambre. Elle rencontre des musiciens, fait ses premiers concerts, rejoint la petite communauté anti-folk du 12 Bar Club de Soho. Elle apprend, elle prend de l’assurance, elle rôde son live. Elle tourne un peu, mais aussi en rond, sans le sou. Au bout de deux ans, retour à Tours, où tout va s’accélérer. Sur la foi de concerts tourangeaux impressionnants – seule sur scène, avec son clavier, ses boucles et sa chorale fantôme – elle est programmée au Printemps de Bourges, puis au Chantier des Francos à la Rochelle. Mesparrow n’est plus seule, elle a quitté son nid : elle emballe le public et les médias sans avoir sorti un seul disque, par l’intensité magique de ses concerts uniquement.
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« En général, les artistes sortent un disque et sont attendus sur le live. Moi, c’est le contraire ». Ça valait le coup d’attendre. Mesparrow a enregistré son premier album au studio Black Box, près d’Angers. Les chansons sont celles de la scène, adaptées à l’enregistrement. « Le live, c’est toujours en évolution. L’album, c’est un vrai tournant, il fallait figer les chansons, c’était compliqué pour moi. J’ai donc gardé la ligne directrice de ma musique : la voix en boucle. Puis j’ai ajouté des instruments. Mais des ambiances, des textures, plutôt qu’un gros son de groupe ». Pour habiller ses chansons, Mesparrow fait appel à Thomas Poli (instrumentiste), musicien du groupe Montgomery (et occasionnellement guitariste de Miossec ou Dominique A). Et François, de Frànçois & The Atlas Mountains, est passé pour un beau duo chanté en français. Sites : http://mesparrow.com http://wartiste.com/#19?Mesparrow
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SCENE(S) OUVERTE(S) MUSICIENS
AUX
JEUNES
Samedi 12 octobre 15h00 - Péristyle du Théâtre La musique est une matière qui se palpe, se façonne, s’apprivoise, s’échange, se construit : ces Scènes se veulent être l’espace consacré à la musique dans sa vérité brute, à cette matière pas facile et sublime que cherche à s’approprier avec la plus belle envie, la plus grande rage, et peut-être aussi une certaine timidité, une jeune génération de musiciens bastiais. Entre arcades et péristyle, les Musicales feront donc s’alterner deux scènes, l’une acoustique et classique, et l’autre amplifiée. De quoi se laisser surprendre par la diversité, le talent et l’enthousiasme de ces artistes à découvrir, et à encourager. Pour participer, prendre contact avec l’organisation du festival au 04 95 32 75 91.
RENCONTRE
PROFESSIONNELLE
Samedi 12 octobre 10h00 - Salle Prelà (Possibilité d’une rencontre à Ajaccio le dimanche 13 octobre. A confirmer). Organisée par le Rézo, en partenariat avec Les Musicales de Bastia et la Ville de Bastia. Inscription préalable nécessaire par téléphone auprès du Rézo. (Cf. contact plus bas). Autour du thème du développement de carrière des artistes. Connaître la filière et le rôle des acteurs professionnels qui entourent un artiste. Comment pallier les manques d'entourage professionnel ? Les intervenants partageront leurs expériences et donneront des outils aidant au développement de carrière. Noms des intervenants communiqués ultérieurement.
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Le RéZo Soutien à la création musicale en Corse Constituée d'adhérents reconnus dans le paysage culturel Corse, l'association multiplie ses actions depuis sa création (concerts de repérage, tremplins, aides à la résidence, rencontres professionnelles, formations…). Contact Rézo :
Marc Boxberger – Tél : 06 69 10 97 66 Email : info@le-rezo-corse.com Site : www.le-rezo-corse.com
J U R Y
J E U N E
Samedi 12 octobre à partir de 18h00 - Théâtre (Tous-en-scène) Parmi les talents qui se produisent le samedi au Théâtre à partir de 18h00, un lauréat se verra décerné le prix des jeunes par un jury composé de mélomanes, âgés de 15 à 25 ans. Un prix d’un montant de 500 € sera donné par la CCAS de Corse. Avec le soutien du Contrat Urbain de Cohésion social de la Ville de Bastia.
INTERVENTIONS
PEDAGOGIQUES
Des actions pédagogiques seront conduites durant la semaine du festival à destination des scolaires des quartiers sud et du centre ancien de la Ville de Bastia, autour de la venue des artistes faisant partie de la programmation. Actions soutenues par l’ACSÉ et le Contrat Urbain de Cohésion Sociale de la Ville de Bastia. Écoles à déterminer.
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L ’ A S S O C I A T I O N Les 26es Musicales de Bastia sont organisées par l’association Les Musicales de Bastia BUREAU Président : Raoul LOCATELLI, Secrétaire : Célia PICCIOCCHI, Secrétaire adjoint : Franck DZIKOWSKI, Trésorier : André ASPE, Trésorière adjointe : Marianne DOMINICI ORGANISATION Production et administration : Stéphane BIANCARELLI Régie technique : Auguste CARTA, Jean-Jacques GIL ET TOUTE L’ÉQUIPE DES BÉNÉVOLES !
Association LES MUSICALES DE BASTIA Tél. 04 95 32 75 91 – Email : musicales-de-bastia@wanadoo.fr Espace Sant’Angelo Bureau n°5 – Rez-de-chaussée Rue Sant’Angelo 20200 Bastia
Contact pour le public : 04 95 32 32 30.
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P A R T E N A I R E S Partenaires institutionnels Ville de Bastia CTC - Collectivité Territoriale de Corse Contrat Urbain de Cohésion Sociale de la Ville de Bastia ACSÉ - Agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l’Egalité des Chances Département de la Haute Corse Cap sur la Corse - Office de Tourisme de l’Agglomération Bastiaise SYVADEC - Syndicat de Valorisation des Déchets ménagers de Corse CIV - Conseil Interprofessionnel des Vins de Corse
Partenaires Professionnels SACEM - Société des Auteurs Compositeurs et Éditeurs de Musique
Partenaires Privés Crédit Mutuel Brasserie Pietra SoCoBo - Société Corse de Boissons Air Corsica Air France La Poste SOCODIP - Société Corse de Distribution de peinture Eaux de Saint Georges
Partenaires Média France Bleu RCFM Corse Matin / Nice Matin France 3 Corse - Via stella U Centru - Mensuel gratuit
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P A R T E N A I R E S
S u i t e
Partenaires culturels • CCAS de Corse - Caisse Centrale d'Activités Sociales du personnel des industries électriques et gazinières • Centre Culturel Una Volta • Conservatoire National de Musique et de Danse Henri Tomasi Les Musicales remercient pour les rendez-vous avec la presse et les partenaires • Les Vignerons de Patrimonio et du Cap Corse • Charcuterie San Lorenzo • Fromagerie Ottavi • Confiserie Saint Sylvestre Remerciements particuliers pour l’organisation festival • Personnel du Théâtre Municipal de Bastia • Services Techniques et Voirie de la Ville de Bastia • Association ALPHA
du
R E S E A U X Les Musicales de Bastia sont membres des réseaux professionnels suivants : Le RéZo - Soutien à la création musicale en Corse www.le-rezo-corse.com FFCF - Fédération des Festivals de Chanson Francophone www.ffcf.fr Cercle de midi Fédération régionale PACA et Corse du Chainon-FNTAV (Fédération des Nouveaux Territoires des Arts Vivants) www.cercledemidi.org
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I N F O S
P R A T I Q U E S
INFORMATIONS
Site internet : www.musicales-de-bastia.com Informations pour le public, programme et tarifs : Tél. 04 95 32 32 30
LIEUX
Théâtre Municipal de Bastia, Rue Favalelli. Salle Prelà (1er étage) et grande salle.
SERVICE DE RESTAURATION
Le festival propose un service de restauration dans le péristyle du théâtre municipal avec le traiteur A PIGNATTA, tous les soirs du jeudi 10 au samedi 12 octobre.
TARIFS • Théâtre Concerts Richard Galliano & Anne Queffélec : - Tarif normal : 37 € - Tarifs réduits : • groupe (à partir de 10 personnes) : 32,50 € • Jeunes (jusqu’à 18 ans révolus), chômeurs, RSA : 17,50 € • Salle Prelà : 10 € • Théâtre Tous-en-scène (samedi 12 oct.) : - 18h00 (Jakez Orkeztra et Nevchehirlian) : 10 € - 20h00 (Antone & les Ogres et Mesparrow) : 10 € Forfait pour les 2 : 15 € • Passeport complet : 85 € Possibilité de paiement par PASS CULTURA. Information : www.passcultura.corse.fr
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I N F O S
P R A T I Q U E S
S u i t e
RÉSERVATIONS ET VENTE : • En ligne: www.musicales-de-bastia.com et www.corsebillet.co (règlement par CB). • Dans tous les magasins partenaires de CORSEBILLET.CO : voir sur www.corsebillet.co • Par Téléphone : 04 95 32 32 30 • Au Centre culturel Una Volta, rue César Campinchi, à partir du mardi 1er octobre, du lundi au vendredi : 9h-12h et 16h-19h30. Le mercredi 9h-19h30. Le samedi 5 octobre : 9h-12h. • Pour les concerts salle Prelà et Théâtre Tous-en-scène (samedi 12 octobre) : vente uniquement au Centre Culturel Una Volta et sur place, 1 heure avant le concert.
LES MUSICALES DE BASTIA / FESTIVAL ÉCOCITOYEN Les MUSICALES sont heureuses de s’associer cette année au SYVADEC. Il s’agit de proposer au public l’accès à une éco-zone, point tri aussi bien festif qu’attractif. Le tri sera également assuré à la buvette mise en place par le festival ainsi que dans les loges. La collecte de l’ensemble des déchets, recyclables ou non, sera ensuite assurée par la Communauté d’Agglomération de Bastia.
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