Raul Meel, "Cantique des cantiques" ["Solomon's Song of Songs"] (French)

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Raul Meel

Cantique des cantiques

2010





Explication au livre actuel Salomon, roi d’Israël (environ 965 – 926 avant JC) Le Cantique des cantiques de Salomon – l’un des quatre livres de la Sainte Bible qui sont attribués à Salomon, « le Sage d’entre les sages ». Le thème de ce poème est l’amour, comme l’indique Vello Salo: « Avant que la honte ne vînt en ce monde, avant Adam et Ève ». Vello Salo donne cette explication : la bien-aimée du Cantique des cantiques est une « fontaine scellée » même envers son amoureux, la personne qui lui est la plus proche. Il en est de même pour le lecteur d’aujourd’hui à propos du Cantique des cantiques : plus la distance augmente entre sa vie, d’un part et, d’autre part, la langue et la sensibilité du poème, plus il lui sera difficile de le comprendre pleinement.



Communication avec les livres Lorsque je lis des ouvrages dont d’autres sont les auteurs, c’est souvent une simple phrase de quelques mots que je considère finalement comme essentiel dans le texte. Et peu importe que je le lise en diagonale, à la hâte ou attentivement de la première à la dernière page. Il m’arrive de me retrouver, non pas avec quelques mots, mais bien plutôt l’ombre de ma soif de lire. D’autres fois, je feuillette lentement un livre et j’essaie de capter les différentes formes sur ses pages ouvertes, les images des textes de ses pages, les formes des lettres de l’alphabet imprimées sur papier. Je peux même parfois entendre dans mon imaginaire les sons et les mots du livre, ou bien le véritable texte sonore...





Cantique des cantiques



Personnages:

La bien-aimée

Le bien-aimé

Le bien-aimé et la bien-aimée

Le amis

Le chœur

Filles de Jérusalem


CANTIQUE I


La bien-aimĂŠe

A La bien-aimĂŠe h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin A h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin A h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin A h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin


CANTIQUE II


La bien-aimée

A La bien-aimée h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin. Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements A h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin. Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements A h ! que ta bouche me couvre de baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin. Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements


CANTIQUE III


Le chœur

R Le chœur é j o u i s s o n s n o u s , soyons dans l’allégresse à ton sujet! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi.» Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi


CANTIQUE IV


La bien-aimée

oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui,

O La bien-aimée filles de Jérusalem, je suis bronzée, et pourtant, je suis belle, pareille aux tentes de Qédar, aux tentures de S a l o m o n . Ne vous étonnez pas si je suis bien brunie, le soleil m’a hâlée. car les fils de ma mère, irrités contre moi, m’ont fait garder les vignes; oui, mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée. mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée


CANTIQUE V


La bien-aimée

O La bien-aimée toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent. O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent


CANTIQUE VI


Filles de Jérusalem

S Filles de Jérusalem i tu ne le sais pas, ô toi, la plus belle des femmes, va donc suivre les traces du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres. va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres


CANTIQUE VII


Le bien-aimé

O Le bien-aimé mon amie, je te trouve pareille, aux chevaux d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent. O mon amie, je te trouve pareille, aux chevaux d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent O mon amie, je te trouve pareille, aux chevaux d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent O mon amie, je te trouve pareille, aux chevaux d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent


CANTIQUE VIII


La bien-aimée

J La bien-aimée u s q u’ à ce que le roi parvienne à son enclos, mon nard exhale son parfum. Car mon bien-aimé est pour moi comme un sachet de myrrhe entre mes seins il passera la nuit. Oui, mon bien-aimé est pour moi un bouquet de henné des vignes d’Eyn-Guédi. mon nard exhale son parfum parfum p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m


CANTIQUE IX


Le bien-aimé

r à c

e

r à c

e

r à c

e

r à c

e

r à c

e

r à c

e

r à c

e

r à c

e

o

o

o

o

o

o

o

o

Q Le bien-aimé u e tu es belle, ma bien-aimée, que tu es belle! Tes yeux ressemblent à des colombes. Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s Tes yeux s s e m b l e n t des l o m b e s


CANTIQUE X


La bien-aimée

Q u e tu es beau, mon bien-aimé, tu es superbe! Q u e tu es beau, mon bien-aimé, tu es superbe! Q u e tu es beau, mon bien-aimé, tu es superbe! Q u e tu es beau, mon bien-aimé, tu es superbe! Q u e tu es beau, mon bien-aimé, tu es superbe! ! ! ! ! !

La bien-aimée


CANTIQUE XI


Le bien-aimé

Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et Les et

N Le bien-aimé o t r e lieu de repos est un lit verdoyant. Les solives de nos maisons, ce sont les cèdres, et les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris


CANTIQUE XII


La bien-aimĂŠe j s u f

M o i u q p

l o

n e u

La bien-aimĂŠe

i u

u s s e d a n s l a p l a i n e d u S a r o n u n l i s d e l a val lĂŠe un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un

i

e s e r


CANTIQUE XIII


Le bien-aimĂŠ c u l

O u i m

o p d r

a e

o m a

n

i r e s o

Le bien-aimĂŠ m m c

e

m i e p a r m i l e s filles un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis un lis

n

t

s s

i

e n s


CANTIQUE XIV


La bien-aimée

C La bien-aimée o m m e un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens. j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; Combien son fruit est doux à mon palais. Il m’a conduite dans la maison du vin, et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour C o m m e un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens. j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; Combien son fruit est doux à mon palais. Il m’a conduite dans la maison du vin, et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour C o m m e un pommier parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens. j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; Combien son fruit est doux à mon palais. Il m’a conduite dans la maison du vin, et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour de l’amour


CANTIQUE XV


La bien-aimée

R La bien-aimée e s t a u r e z m o i avec des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace! -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis


CANTIQUE XVI


Le bien-aimé

O Le bien-aimé filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure, par les gazelles ou par les biches de la campagne, gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, non,


CANTIQUE XVII


La bien-aimée

J’ La bien-aimée e n t e n d s mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les collines. Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici: il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres, et lançant des regards à travers les treillis! J’ e n t e n d s mon bien-aimé, oui, le voici, il vient, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les collines. Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. Le voici: il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres, et lançant des regards à travers les treillis! Le voici: il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres, et lançant des regards à travers les treillis!


CANTIQUE XVIII


La bien-aimée

et

et

et

M La bien-aimée o n bien-aimé me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XIX


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, et les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, et les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, et les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XX


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, et les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, et les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, et les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XXI


La bien-aimée

et On et La

et On et La

et On et La

M La bien-aimée o n bien-aimé me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XXII


La bien-aimée

et On et La Sur

et On et La Sur

et On et La Sur

M La bien-aimée o n bien-aimé me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XXIII


La bien-aimée

et On et La Sur La

et On et La Sur La

et On et La Sur La

M La bien-aimée o n bien-aimé me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent vigne en fleur exhale son parfum Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent vigne en fleur exhale son parfum Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent vigne en fleur exhale son parfum Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XXIV


Le bien-aimé c

o

M Le bien-aimé a l o m b e nichée aux fentes du rocher , cachée au plus secret des parois escarpées , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix ; ar ta voix est bien douce et ton visage est beau . fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix; fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix


CANTIQUE XXV


Le bien-aimé et la bien-aimée P Le bien-aimé et la bien-aimée r e n e z n o u s les renards, oui, les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes, quand elles sont en fleur. Prenez-nous les renards, oui, les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur


CANTIQUE XXVI


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé, il est à moi, et moi, je suis à lui, lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de lis sur les prés pleins de l i s sur les prés pleins de l i s


CANTIQUE XXVII


La bien-aimée

E La bien-aimée t quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés.» E t quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés E t quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés E t quand viendra la brise à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés


CANTIQUE XXVIII


La bien-aimée

S La bien-aimée u r mon lit, au long de la nuit, j’ai cherché, j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je me suis dit alors: Il faut que je me lève, je ferai le tour de la ville par les rues et les places, je chercherai partout celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. Je leur ai demandé: Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu? Les ayant dépassés, peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché, qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a donné le jour. Sur mon lit, au long de la nuit, j’ai cherché, j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je me suis dit alors: Il faut que je me lève, je ferai le tour de la ville par les rues et les places, je chercherai partout celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. Je leur ai demandé: Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu? Les ayant dépassés, peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché, qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a donné le jour


CANTIQUE XXIX


Le bien-aimé

O Le bien-aimé filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure, par les gazelles ou par les biches de la campagne: n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amourj


CANTIQUE XXX


Le chœur

Q Le chœur u i monte du désert comme un nuage de fumée, aux senteurs de myrrhe et d’encens et de tous parfums exotiques? Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël. ls sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat; Chacun a l’épée au côté pour parer aux dangers nocturnes. Qui monte du désert comme un nuage de fumée, aux senteurs de myrrhe et d’encens et de tous parfums exotiques? Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël. ls sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat; Chacun a l’épée au côté pour parer aux dangers nocturnes Qui monte du désert comme un nuage de fumée, aux senteurs de myrrhe et d’encens et de tous parfums exotiques? Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël. ls sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat; Chacun a l’épée au côté pour parer aux dangers nocturnes


CANTIQUE XXXI


Le chœur

L Le chœur e palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin. Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. O filles de Sion, sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o n


CANTIQUE XXXII


Le chœur

O Le chœur filles de Sion, sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o n portant le diadème dont le ceignit sa mère au jour de son mariage, au jour où tout son cœur était rempli de joie O filles de Sion, sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o n l e g r a n d r o i S a l o m o n l e l e

g r a n d g r a n d

r o i r o i

S a l o m o n S a l o m o n

l e l e

g r a n d g r a n d

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S a l o m o n S a l o m o n

l e l e

g r a n d g r a n d

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S a l o m o n S a l o m o n

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g r a n d g r a n d

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S a l o m o n S a l o m o n

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g r a n d g r a n d

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S a l o m o n S a l o m o n

l e l e

g r a n d g r a n d

r o i r o i

S a l o m o n S a l o m o n

l e l e

g r a n d g r a n d

r o i r o i

S a l o m o n S a l o m o n

l e l e

g r a n d g r a n d

r o i r o i

S a l o m o n S a l o m o n

l e l e

g r a n d g r a n d

r o i r o i

S a l o m o n S a l o m o n


CANTIQUE XXXIII


Le bien-aimé

Q Le bien-aimé u e tu es belle, ô mon amie, que tu es belle! Tes yeux ressemblent à des c o l o m b e s dessous ton voile, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres aux flancs du mont G a l a a d . Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis passé aux mains des tondeur, qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire. Voici tes lèvres comme un ruban écarlate, combien ta bouche est charmante! Et tes tempes ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile. Ton cou ressemble à la tour du r o i D a v i d , bâtie comme un arsenal: mille rondaches y sont pendues ous les pavois des héros. Comme deux faons, sont tes deux seins, comme deux jeunes gazelles qui sont jumelles et qui vont paître parmi les lis. Quand viendra la fraîcheur avec la tombée du jour, et quand les ombres s’estomperont, je m’en irai vers la montagne de myrrhe, vers la colline encensée. Quand viendra la fraîcheur avec la tombée du jour, et quand les ombres s’estomperont, je m’en irai vers la montagne de myrrhe,


CANTIQUE XXXIV


Le bien-aimé

Q Le bien-aimé u e tu es belle, ô mon amie, u es parfaitement belle, sans un défaut. Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir du Liban, oui, du L i b a n avec moi. Tu contempleras la plaine du sommet de l’ A m a n a , du S é n i r et de l’ H e r m o n . Là, les lions ont leur retraite, et les panthères se cachent dans les montagnes. Tu me fais perdre le sens, ô toi, ma sœur, ma fiancée, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers. Ton amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin et la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. Que tu es belle, ô mon amie, u es parfaitement belle, sans un défaut. Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir du Liban, oui, du L i b a n avec moi. Tu contempleras la plaine du sommet de l’ A m a n a , du S é n i r et de l’ H e r m o n . Là, les lions ont leur retraite, et les panthères se cachent dans les montagnes. Tu me fais perdre le sens, ô toi, ma sœur, ma fiancée, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers. Ton amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin et la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes


CANTIQUE XXXV


Le bien-aimé

T Le bien-aimé o n amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban. T o n amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban T o n amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban à la senteur du L i b a n


CANTIQUE XXXVI


Le bien-aimé

T Le bien-aimé u es un jardin bien clos, ô toi, ma sœur, ma fiancée. Tu es une source close, une fontaine scellée! Tes rameaux sont un verger, un verger de grenadiers portant les fruits les meilleurs: le henné avec le nard, le nard avec le safran et la cannelle odorante, le cinnamome, et toutes sortes d’arbres donnant de l’encens, de l’aloès et de la myrrhe, et les plus fins aromates. Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n . Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives,


CANTIQUE XXXVII


La bien-aimée

E La bien-aimée v e i l l e t o i , Aquilon! A c c o u r s , Autan! Viens souffler sur mon jardin, pour que ses parfums s ’ exhalent !

p

a

r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s parfums parfums


CANTIQUE XXXVIII


La bien-aimée

Q La bien-aimée u e mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis. Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que mon bien-aimé pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis Que


CANTIQUE XXXIX


Le bien-aimé

J Le bien-aimé e viens, ma sœur, ma fiancée, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait. J e viens, ma sœur, ma fiancée, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait J e viens, ma sœur, ma fiancée, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait J e viens, ma sœur, ma fiancée, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait


CANTIQUE XL


Le amis

M Le amis a n g e z , amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés - Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et


CANTIQUE XLI


La bien-aimée

J La bien-aimée e me suis endormie, pourtant mon cœur veillait. J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends


CANTIQUE XLII


Le bien-aimé

M s m a o t m c t m p c j l t c d r M b s t d g d l n M s m a

M Le bien-aimé a sœur, mon amie, ouvre-moi, toi, ma c o l o m b e , toi, ma parfaite, car j’ai la tête couverte de rosée. Mes boucles sont trempées des gouttes de la nuit œ

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CANTIQUE XLIII


La bien-aimée

J’ La bien-aimée a i ôté ma tunique, comment la remettrais-je? Et j’ai lavé mes pieds: comment les salirais-je? Mon bien-aimé avance sa main par l’ouverture, mon cœur en a frémi et je me suis levée pour aller lui ouvrir. De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte


CANTIQUE XLIV


La bien-aimée

J’ La bien-aimée o u v r e à mon bien-aimé. Hélas, mon bien-aimé était déjà parti: il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts


CANTIQUE XLV


La bien-aimée

O La bien-aimée filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r ! O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r


CANTIQUE XLVI


Le chœur

Q Le chœur u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Dis-nous, toi la plus belle parmi toutes les femmes, oui, qu’a-t-il donc ton bien-aimé de plus qu’un autre pour que tu nous conjures, de façon si pressante? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q u’ a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre?


CANTIQUE XLVII


La bien-aimée

Sa

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. tête est comme de l’or pur Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE XLVIII


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE XLIX


La bien-aimée

Ses sur et dans

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. yeux sont des colombes le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, sont comme enchâssés un chaton de bague Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE L


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LI


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LII


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LIII


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LIV


La bien-aimée

Ses à sur

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. jambes sont semblables des piliers de marbre des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LV


La bien-aimée

Son à et comme

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. aspect est pareil celui du Liban d’une beauté sans égale, les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LVI


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, oui, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE LVII


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé a le teint clair et rose, on le distinguerait au milieu de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil à celui du Liban et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, o u i , tel est mon ami, ô filles de Jérusalem


CANTIQUE LVIII


Le chœur

Nous Nous

O Le chœur ù est allé ton bien-aimé, ô toi la plus belle des femmes? De quel côté s’est-il tourné, ton bien-aimé? Nous t’aiderons à le chercher t’aiderons à le chercher t’aiderons à le chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous

t’aiderons

à

le

chercher

Nous Nous Nous

t’aiderons t’aiderons t’aiderons

à à à

le le le

chercher chercher chercher


CANTIQUE LIX


La bien-aimée

M La bien-aimée o n bien-aimé est descendu dans son jardin, vers ses parterres d’aromates, pour faire paître son troupeau et pour cueillir des lis dans le jardin. Moi, je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi, ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis. ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son


CANTIQUE LX


Le bien-aimé

Q Le bien-aimé u e tu es belle, ô mon amie, comme Tirtsa, tu es superbe tout comme Jérusalem, et redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière. Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres, aux flancs du mont Galaad. Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire. Tes joues ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile. Il y a soixante reines, et quatre-vingts épouses de second rang, des jeunes filles sans nombre. Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Pour sa mère, elle est unique. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Les jeunes filles, en la voyant, disent qu’elle est bienheureuse. Toutes les reines, et les épouses de second rang font son éloge Il y a soixante reines, et quatre-vingts épouses de second rang, des jeunes filles sans nombre. Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Pour sa mère, elle est unique. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Les jeunes filles, en la voyant, disent qu’elle est bienheureuse. Toutes les reines, et les épouses de second rang font son éloge


CANTIQUE LXI


Le chœur

Q Le chœur u i donc est celle qui apparaît comme l’aurore et qui est belle comme la lune, ibrillante comme un soleil mais r e d o u t a b l e comme des soldats rangés sous leur bannière? Q u i donc est celle qui apparaît comme l’aurore et qui est belle comme la lune, ibrillante comme un soleil mais r e d o u t a b l e comme des soldats rangés sous leur bannière? Q u i donc est celle qui apparaît comme l’aurore et qui est belle comme la lune, ibrillante comme un soleil mais r e d o u t a b l e comme des soldats rangés sous leur bannière? ? ?? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?


CANTIQUE LXII


Le bien-aimé

J Le bien-aimé e venais de descendre au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince. J e venais de descendre au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince J e venais de descendre au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince J


CANTIQUE LXIII


Le chœur

ô

R e v i e n s , reviens, ô S

! S

! Reviens, reviens, que nous puissions te contempler. Reviens, reviens, que nous puissions te contempler

Le chœur

u

e

u

e

l

t

l

t

a m i

a m i

ô


CANTIQUE LXIV


Le bien-aimé

P Le bien-aimé o u r q u o i voulez-vous voir la Sulamite, dansant comme en un double chœur?» «Que tes pas sont gracieux dans tes sandales, fille de prince! Le contour de tes hanches ressemble à un collier, œuvre de mains d’artiste. Ton nombril est comme une coupe bien arrondie, où le vin parfumé ne manque pas. Ton ventre est comme une meule de blé bordée de lis. Tes deux seins sont deux faons jumeaux d’une gazelle. Ton cou est une tour, une tour en ivoire. tes yeux sont des étangs, des étangs de Hechbôn, près de la porte Populeuse. et ton nez est semblable à la tour du Liban, postée en sentinelle en face de Damas. Ta tête, sur ton corps, est comme le Carmel et tes cheveux ont des reflets de pourpre. Un roi est enchaîné dans leurs ondulations. «Que tu es belle et que tu es gracieuse, ô mon amour, ô fille délicieuse. Par ta taille élancée tu es comme un palmier. Tes seins en sont les grappes. Alors j’ai dit: Ah, je vais monter au palmier, j’en saisirai les grappes. Que tes seins soient pour moi des grappes de raisin! Le parfum de ton souffle rappelle celui de la pomme, et ton palais distille le vin le plus exquis...»


CANTIQUE LXV


La bien-aimée

Q La bien-aimée u i , un bon vin qui va droit à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent. Q u i , un bon vin qui va droit à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent Q u i , un bon vin qui va droit à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent Q u i , un bon vin qui va droit à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent Q u i ,


CANTIQUE LXVI


La bien-aimée

M La bien-aimée o i , je suis à mon bien-aimé et c’est moi qu’il désire. Viens donc, mon bien-aimé, sortons dans la campagne. Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, et nous nous lèverons au matin, de bonne heure, pour aller dans les vignes, pour voir si elles sont en fleur, et si leurs bourgeons sont ouverts, si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. Là-bas, je te ferai le don de mon amour. Les mandragores exhalent leur parfum. Nous avons, à nos portes, des fruits exquis de toutes sortes, tant anciens que nouveaux. Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés. ! Moi, je suis à mon bien-aimé et c’est moi qu’il désire. Viens donc, mon bien-aimé, sortons dans la campagne. Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, et nous nous lèverons au matin, de bonne heure, pour aller dans les vignes, pour voir si elles sont en fleur, et si leurs bourgeons sont ouverts, si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. Là-bas, je te ferai le don de mon amour. Les mandragores exhalent leur parfum. Nous avons, à nos portes, des fruits exquis de toutes sortes, tant anciens que nouveaux. Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés


CANTIQUE LXVII


La bien-aimée

A La bien-aimée h , que n’es-tu mon frère allaité par ma mère! e rencontrant dehors, je pourrais t’embrasser, sans que l’on me méprise, je pourrais t’emmener, je te ferais entrer au foyer de ma mère, à, tu m’enseignerais, et je te ferais boire du bon vin parfumé de mon jus de grenades. Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace


CANTIQUE LXVIII


Le bien-aimé

O Le bien-aimé filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure, n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille


CANTIQUE LXIX


Le chœur

Q Le chœur u i donc est celle-ci ui monte du désert s’appuyant sur son bien-aimé? s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé ???????????????????????????


CANTIQUE LXX


Le bien-aimé

C’ Le bien-aimé e s t dessous le pommier que je t’ai réveillé, à l’endroit où ta mère t’avait conçu, oui, au lieu même où te conçut celle qui devait t’enfanter C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé


CANTIQUE LXXI


La bien-aimée

M La bien-aimée e t s m o i comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras. L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris


CANTIQUE LXXII


Le chœur

N Le chœur o u s avons une sœur, elle est petite encore, sa poitrine n’est pas formée, que ferons-nous pour elle lorsqu’il sera question de la marier? Si elle est un rempart, nous bâtirons sur elle des créneaux en argent. Si elle est une porte, nous, nous la bloquerons d’un madrier de cèdre Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte


CANTIQUE LXXIII


La bien-aimée

M La bien-aimée o i , je suis un rempart, mes seins en sont les tours. Aussi ai-je trouvé la paix, auprès de lui les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours Aussi ai-je trouvé la paix, auprès de lui les tours les tours


CANTIQUE LXXIV


La bien-aimée

S La bien-aimée a l o m o n avait une vigne à Baal-Hamôn il la remit à des gardiens. Pour en payer le fruit, chacun d’eux lui donnait un millier de pièces d’argent. Ma vigne est à moi, je la garde. Toi, Salomon, tu peux avoir ton millier de pièces d’argent, puis, deux cents pièces seront données à ceux qui ont gardé ses fruits -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à


CANTIQUE LXXV


Le bien-aimé

oh q h l j q h l j q h l j q h l j q h l j q h l j q h l j q h l j

! a a a a a a a a a a a a a a a a

T o i qui habites les jardins, des compagnons, prêtent l’oreille, fais-moi entendre u b i e r d u b i e r d u b i e r d u b i e r d u b i e r d u b i e r d u b i e r d u b i e r d

Le bien-aimé

ta

voix

t

e

i

n

t

e

i

n

t

e

i

n

t

e

i

n

t

e

i

n

t

e

i

n

t

e

i

n

t

e

i

n

! i s s s i s s s i s s s i s s s i s s s i s s s i s s s i s s s


CANTIQUE LXXVI


La bien-aimée

sur

sur

toi

E La bien-aimée n f u i s t o i vite, toi mon bien-aimé, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, les monts embaumés E n f u i s t o i vite, toi mon bien-aimé, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, les monts embaumés E n f u i s t o i vite, mon bien-aimé


CANTIQUE LXXVII


La bien-aimée La bien-aimée

A La bien-aimée A La bien-aimée h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de me couvre de baisers, car ton baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin amour est plus exaltant que le vin A A h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de me couvre de baisers, baisers, car ton car ton amour est amour est plus exaltant plus exaltant que le vin que le vin A A h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de baisers, me couvre de baisers, car ton amour car ton amour est plus exaltant est plus exaltant que le vin que le vin A A h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de me couvre de baisers, baisers, car car ton ton amour est amour est plus exaltant plus exaltant que le vin que le vin


CANTIQUE LXXVIII


La bien-aimée La bien-aimée

A La bien-aimée A La bien-aimée h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de me couvre de baisers, car ton baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin. amour est plus exaltant que le vin. Combien suaves sont tes parfums, Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements Le roi m’a fait entrer dans ses appartements A A h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de me couvre de baisers, car ton baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin. amour est plus exaltant que le vin. Combien suaves sont tes parfums, Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements Le roi m’a fait entrer dans ses appartements A A h h ! ! que que ta bouche ta bouche me couvre de me couvre de baisers, car ton baisers, car ton amour est plus exaltant que le vin. amour est plus exaltant que le vin. Combien suaves sont tes parfums, Combien suaves sont tes parfums, ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. ton nom est comparable à une huile odorante qui se répand. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Voilà pourquoi les jeunes filles sont éprises de toi. Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Entraîne-moi derrière toi! Courons ensemble! Le roi m’a fait entrer dans ses appartements Le roi m’a fait entrer dans ses appartements


CANTIQUE LXXIX


Le chœur Le chœur

R Le chœur R Le chœur é é j j o o u u i i s s s s o o n n s s n n o o u u s s , , soyons dans l’allégresse à ton sujet! soyons dans l’allégresse à ton sujet! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi.» C’est bien avec raison qu’on est épris de toi.» Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! Célébrons ton amour plus exaltant que le bon vin! C’est bien avec raison qu’on est épris de toi C’est bien avec raison qu’on est épris de toi


CANTIQUE LXXX


La bien-aimée La bien-aimée

oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui,

O La bien-aimée O La bien-aimée filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, je suis bronzée, je suis bronzée, et pourtant, je suis belle, et pourtant, je suis belle, pareille aux tentes de Qédar, pareille aux tentes de Qédar, aux tentures de S a l o m o n . aux tentures de S a l o m o n . Ne vous étonnez pas si je suis bien brunie, Ne vous étonnez pas si je suis bien brunie, le soleil m’a hâlée. le soleil m’a hâlée. car les fils de ma mère, irrités contre moi, car les fils de ma mère, irrités contre moi, m’ont fait garder les vignes; m’ont fait garder les vignes; oui, mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée. oui, mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée. mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée mais ma vigne à moi, je ne l’ai pas gardée


CANTIQUE LXXXI


La bien-aimée La bien-aimée

O La bien-aimée O La bien-aimée toi toi que que mon mon cœur cœur aime, aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent. rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent. O toi que O toi que mon cœur aime, mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que O toi que mon cœur aime, mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que O toi que mon cœur aime, mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que O toi que mon cœur aime, mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent O toi que O toi que mon cœur aime, mon cœur aime, dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? dis-moi où tu fais paître ton troupeau de brebis? où tu feras la halte à l’heure de midi? où tu feras la halte à l’heure de midi? pour que je ne sois pas comme une femme errante pour que je ne sois pas comme une femme errante rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent rôdant près des troupeaux que tes compagnons gardent


CANTIQUE LXXXII


Filles de Jérusalem Filles de Jérusalem

S Filles de Jérusalem S Filles de Jérusalem i i tu tu ne ne le le sais pas, ô toi, sais pas, ô toi, la plus belle des femmes, la plus belle des femmes, va donc suivre les traces du troupeau de brebis, va donc suivre les traces du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres. près des huttes des pâtres. va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, va donc suivre les t r a c e s du troupeau de brebis, fais paître tes chevrettes fais paître tes chevrettes près des huttes des pâtres près des huttes des pâtres


CANTIQUE LXXXIII


Le bien-aimé Le bien-aimé

O Le bien-aimé O Le bien-aimé mon mon amie, amie, je te trouve pareille, je te trouve pareille, aux chevaux aux chevaux d’attelage du pharaon. d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent. 1tout incrustées de points d’argent. O O mon mon amie, amie, je te trouve pareille, je te trouve pareille, aux chevaux aux chevaux d’attelage du pharaon. d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent 1tout incrustées de points d’argent O O mon mon amie, amie, je te trouve pareille, je te trouve pareille, aux chevaux aux chevaux d’attelage du pharaon. d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent 1tout incrustées de points d’argent O O mon mon amie, amie, je te trouve pareille, je te trouve pareille, aux chevaux aux chevaux d’attelage du pharaon. d’attelage du pharaon. Tes joues sont belles entre les perles, Tes joues sont belles entre les perles, ton cou est beau dans tes colliers, ton cou est beau dans tes colliers, nous te ferons des perles d’or nous te ferons des perles d’or 1tout incrustées de points d’argent 1tout incrustées de points d’argent


CANTIQUE LXXXIV


La bien-aimée La bien-aimée

J La bien-aimée J La bien-aimée u u s s q q u’ u’ à à ce ce que que le roi le roi parvienne parvienne à son enclos, à son enclos, mon nard exhale son parfum. mon nard exhale son parfum. Car mon bien-aimé est pour moi comme un sachet de myrrhe Car mon bien-aimé est pour moi comme un sachet de myrrhe entre mes seins il passera la nuit. entre mes seins il passera la nuit. Oui, mon bien-aimé est pour moi un bouquet de henné Oui, mon bien-aimé est pour moi un bouquet de henné des vignes d’Eyn-Guédi. des vignes d’Eyn-Guédi. mon nard exhale son mon nard exhale son parfum parfum parfum parfum p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m p a r f u m


CANTIQUE LXXXV


Le bien-aimé Le bien-aimé

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

r r à à c c

e e

o o

o o

o o

o o

o o

o o

o o

o o

Q Le bien-aimé Q Le bien-aimé u u e e tu tu es belle, es belle, ma bien-aimée, ma bien-aimée, que tu es belle! que tu es belle! Tes yeux ressemblent à des colombes. Tes yeux ressemblent à des colombes. Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s Tes yeux Tes yeux s s e m b l e n t s s e m b l e n t des des l o m b e s l o m b e s


CANTIQUE LXXXVI


La bien-aimée La bien-aimée

Q Q u u e e tu tu es beau, es beau, mon bien-aimé, mon bien-aimé, tu es superbe! tu es superbe! Q Q u u e e tu tu es beau, es beau, mon bien-aimé, mon bien-aimé, tu es superbe! tu es superbe! Q Q u u e e tu tu es beau, es beau, mon bien-aimé, mon bien-aimé, tu es superbe! tu es superbe! Q Q u u e e tu tu es beau, es beau, mon bien-aimé, mon bien-aimé, tu es superbe! tu es superbe! Q Q u u e e tu tu es beau, es beau, mon bien-aimé, mon bien-aimé, tu es superbe! tu es superbe! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !

La bien-aimée La bien-aimée


CANTIQUE LXXXVII


Le bien-aimé Le bien-aimé

Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et Les Les et et

N Le bien-aimé N Le bien-aimé o o t t r r e e lieu de repos est un lit verdoyant. lieu de repos est un lit verdoyant. Les solives de nos maisons, Les solives de nos maisons, ce sont les cèdres, et les cyprès sont nos lambris ce sont les cèdres, et les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris solives de nos maisons ce sont les cèdres solives de nos maisons ce sont les cèdres les cyprès sont nos lambris les cyprès sont nos lambris


CANTIQUE LXXXVIII


La bien-aimée La bien-aimée j j s s u u f f

M M o o i i u u q q p p

l l o o

d d l a l a d u d u u u

n n e e u u

La bien-aimée La bien-aimée

i i u u

u s s e u s s e a n s a n s p l a i n e p l a i n e S a r o n S a r o n n l i s n l i s d e l a d e l a val lée val lée un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un

i i

e e s s e e r r


CANTIQUE LXXXIX


Le bien-aimĂŠ Le bien-aimĂŠ c c u u l l

O O u u i i m m

o o p p d d r r

a a e e

o o m m a a

n n

i i r r e e s s o o

Le bien-aimĂŠ Le bien-aimĂŠ m m m m c c

e e

m i e m i e p a r m i p a r m i l e s l e s filles filles un lis un lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis un un lis lis

n n

t t

s s s s

i i

e e n n s s


CANTIQUE XC


La bien-aimée La bien-aimée

C La bien-aimée C La bien-aimée o o m m m m e e un pommier un pommier parmi les arbres de la forêt parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens. est mon ami parmi les jeunes gens. j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; Combien son fruit est doux à mon palais. Combien son fruit est doux à mon palais. Il m’a conduite dans la maison du vin, Il m’a conduite dans la maison du vin, et il a déployé sur moi, et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour l’étendard de l’amour C C o o m m m m e e un pommier un pommier parmi les arbres de la forêt parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens. est mon ami parmi les jeunes gens. j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; Combien son fruit est doux à mon palais. Combien son fruit est doux à mon palais. Il m’a conduite dans la maison du vin, Il m’a conduite dans la maison du vin, et il a déployé sur moi, et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour l’étendard de l’amour C C o o m m m m e e un pommier un pommier parmi les arbres de la forêt parmi les arbres de la forêt est mon ami parmi les jeunes gens. est mon ami parmi les jeunes gens. j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; j’ai grand plaisir à m’asseoir à son ombre; Combien son fruit est doux à mon palais. Combien son fruit est doux à mon palais. Il m’a conduite dans la maison du vin, Il m’a conduite dans la maison du vin, et il a déployé sur moi, et il a déployé sur moi, l’étendard de l’amour l’étendard de l’amour de l’amour de l’amour


CANTIQUE XCI


La bien-aimée La bien-aimée

R La bien-aimée R La bien-aimée e e s s t t a a u u r r e e z z m m o o i i avec avec des gâteaux de raisins, des gâteaux de raisins, soutenez-moi avec des pommes, soutenez-moi avec des pommes, car je suis malade d’amour. car je suis malade d’amour. Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace! et son bras droit m’enlace! -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour --- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis malade d’amour -- car je suis


CANTIQUE XCII


Le bien-aimé Le bien-aimé

O Le bien-aimé O Le bien-aimé filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, oh, je vous en conjure, je vous en conjure, par les gazelles ou par les biches de la campagne, par les gazelles ou par les biches de la campagne, gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non, ne réveillez pas l’amour ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille gn’éveillez pas, gn’éveillez pas, non, non,


CANTIQUE XCIII


La bien-aimée La bien-aimée

J’ La bien-aimée J’ La bien-aimée e e n n t t e e n n d d s s mon bien-aimé, mon bien-aimé, oui, oui, le voici, le voici, il vient, il vient, sautant sur les montagnes, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les collines. et bondissant sur les collines. Mon bien-aimé ressemble à la gazelle Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. ou à un jeune cerf. Le voici: il est là, derrière notre mur, Le voici: il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres, guettant par les fenêtres, et lançant des regards à travers les treillis! et lançant des regards à travers les treillis! J’ J’ e e n n t t e e n n d d s s mon bien-aimé, mon bien-aimé, oui, oui, le voici, il vient, le voici, il vient, sautant sur les montagnes, sautant sur les montagnes, et bondissant sur les collines. et bondissant sur les collines. Mon bien-aimé ressemble à la gazelle Mon bien-aimé ressemble à la gazelle ou à un jeune cerf. ou à un jeune cerf. Le voici: il est là, derrière notre mur, Le voici: il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres, guettant par les fenêtres, et lançant des regards à travers les treillis! et lançant des regards à travers les treillis! Le voici: il est là, derrière notre mur, Le voici: il est là, derrière notre mur, guettant par les fenêtres, guettant par les fenêtres, et lançant des regards à travers les treillis! et lançant des regards à travers les treillis!


CANTIQUE XCIV


La bien-aimée La bien-aimée

et et

et et

et et

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé me parle, et il me dit: me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays, On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, Lève-toi, mon amie, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays, On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, viens donc, ma belle, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie On voit des fleurs éclore à travers le pays, On voit des fleurs éclore à travers le pays, et le temps de chanter est revenu. et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XCV


La bien-aimée La bien-aimée

et et On On

et et On On

et et On On

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé me parle, et il me dit: me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu. et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, Lève-toi, mon amie, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu. et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, viens donc, ma belle, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays et le temps de chanter est revenu. et le temps de chanter est revenu. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XCVI


La bien-aimée La bien-aimée

et et On On et et

et et On On et et

et et On On et et

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé me parle, et il me dit: me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, Lève-toi, mon amie, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, viens donc, ma belle, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu La voix des tourterelles retentit dans nos champs. La voix des tourterelles retentit dans nos champs. Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XCVII


La bien-aimée La bien-aimée

et et On On et et La La

et et On On et et La La

et et On On et et La La

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé me parle, et il me dit: me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, Lève-toi, mon amie, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, viens donc, ma belle, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, Sur les figuiers, les premiers fruits mûrissent, La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XCVIII


La bien-aimée La bien-aimée

et et On On et et La La Sur Sur

et et On On et et La La Sur Sur

et et On On et et La La Sur Sur

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé me parle, et il me dit: me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent les figuiers, les premiers fruits mûrissent La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, Lève-toi, mon amie, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent les figuiers, les premiers fruits mûrissent La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, viens donc, ma belle, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent les figuiers, les premiers fruits mûrissent La vigne en fleur exhale son parfum. La vigne en fleur exhale son parfum. Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE XCIX


La bien-aimée La bien-aimée

et et On On et et La La Sur Sur La La

et et On On et et La La Sur Sur La La

et et On On et et La La Sur Sur La La

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé me parle, et il me dit: me parle, et il me dit: Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent les figuiers, les premiers fruits mûrissent vigne en fleur exhale son parfum vigne en fleur exhale son parfum Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, Lève-toi, mon amie, mon amie, viens donc, ma belle, viens donc, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent les figuiers, les premiers fruits mûrissent vigne en fleur exhale son parfum vigne en fleur exhale son parfum Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle! Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, viens donc, viens donc, ma belle, ma belle, car l’hiver est passé, car l’hiver est passé, les pluies ont cessé, leur saison est finie les pluies ont cessé, leur saison est finie voit des fleurs éclore à travers le pays voit des fleurs éclore à travers le pays le temps de chanter est revenu le temps de chanter est revenu voix des tourterelles retentit dans nos champs voix des tourterelles retentit dans nos champs les figuiers, les premiers fruits mûrissent les figuiers, les premiers fruits mûrissent vigne en fleur exhale son parfum vigne en fleur exhale son parfum Lève-toi, mon amie, Lève-toi, mon amie, et viens, oui, viens, ma belle! et viens, oui, viens, ma belle!


CANTIQUE C


Le bien-aimé Le bien-aimé c c

o o

M Le bien-aimé M Le bien-aimé a a l o m b e l o m b e nichée aux fentes du rocher , nichée aux fentes du rocher , cachée au plus secret cachée au plus secret des parois escarpées , des parois escarpées , fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix ; et entendre ta voix ; ar ta voix est bien douce ar ta voix est bien douce et ton visage est beau . et ton visage est beau . fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix; et entendre ta voix; fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix fais-moi voir ton visage , fais-moi voir ton visage , et entendre ta voix et entendre ta voix


CANTIQUE CI


Le bien-aimé et la bien-aimée P Le bien-aimé et la bien-aimée Le bien-aimé et la bien-aimée P Le bien-aimé et la bien-aimée r r e e n n e e z z n n o o u u s s les renards, les renards, oui, oui, les petits renards les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes, qui r a v a g e n t nos vignes, quand elles sont en fleur. quand elles sont en fleur. Prenez-nous les renards, Prenez-nous les renards, oui, les petits renards oui, les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , Prenez - nous les renards , oui , les petits renards oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , Prenez - nous les renards , oui , les petits renards oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , Prenez - nous les renards , oui , les petits renards oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , Prenez - nous les renards , oui , les petits renards oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur quand elles sont en fleur Prenez - nous les renards , Prenez - nous les renards , oui , les petits renards oui , les petits renards qui r a v a g e n t nos vignes qui r a v a g e n t nos vignes quand elles sont en fleur quand elles sont en fleur


CANTIQUE CII


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé, bien-aimé, il est à moi, et moi, je suis à lui, il est à moi, et moi, je suis à lui, lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis lui qui paît son troupeau sur les prés pleins de lis sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de lis lis sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s sur les prés pleins de sur les prés pleins de l i s l i s


CANTIQUE CIII


La bien-aimée La bien-aimée

E La bien-aimée E La bien-aimée t t quand quand viendra la brise viendra la brise à la tombée du jour, à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés.» sur les MONTS escarpés.» E E t t quand quand viendra la brise viendra la brise à la tombée du jour, à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés sur les MONTS escarpés E E t t quand quand viendra la brise viendra la brise à la tombée du jour, à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés sur les MONTS escarpés E E t t quand quand viendra la brise viendra la brise à la tombée du jour, à la tombée du jour, et quand s’estomperont les ombres, et quand s’estomperont les ombres, reviens, ô toi mon bien-aimé, reviens, ô toi mon bien-aimé, pareil à la gazelle, pareil à la gazelle, ou à un jeune faon ou à un jeune faon sur les MONTS escarpés sur les MONTS escarpés


CANTIQUE CIV


La bien-aimée La bien-aimée

S La bien-aimée S La bien-aimée u u r r mon lit, mon lit, au long de la nuit, au long de la nuit, j’ai cherché, j’ai cherché, j’ai cherché celui que mon cœur aime. j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je me suis dit alors: Il faut que je me lève, je ferai le tour Je me suis dit alors: Il faut que je me lève, je ferai le tour de la ville de la ville par les rues et les places, par les rues et les places, je chercherai partout celui que mon cœur aime. je chercherai partout celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. Je leur ai demandé: Je leur ai demandé: Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu? Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu? Les ayant dépassés, Les ayant dépassés, peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché, Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché, qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a donné le jour. dans la chambre de celle qui m’a donné le jour. Sur Sur mon lit, mon lit, au long de la nuit, au long de la nuit, j’ai cherché, j’ai cherché, j’ai cherché celui que mon cœur aime. j’ai cherché celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je me suis dit alors: Il faut que je me lève, je ferai le tour de la Je me suis dit alors: Il faut que je me lève, je ferai le tour de la ville ville par les rues et les places, par les rues et les places, je chercherai partout celui que mon cœur aime. je chercherai partout celui que mon cœur aime. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais je ne l’ai pas trouvé. J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. J’ai rencontré les gardes qui faisaient le tour de ville. Je leur ai demandé: Je leur ai demandé: Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu? Celui que mon cœur aime, ne l’avez-vous pas vu? Les ayant dépassés, Les ayant dépassés, peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. peu après, j’ai trouvé celui que mon cœur aime. Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché, Je l’ai saisi bien fort, et ne l’ai plus lâché, qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, qu’après l’avoir conduit au logis de ma mère, dans la chambre de celle qui m’a donné le jour dans la chambre de celle qui m’a donné le jour


CANTIQUE CV


Le bien-aimé Le bien-aimé

O Le bien-aimé O Le bien-aimé filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, oh, je vous en conjure, je vous en conjure, par les gazelles ou par les biches de la campagne: par les gazelles ou par les biches de la campagne: n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. avant qu’il ne le veuille. n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amourj l’amourj


CANTIQUE CVI


Le chœur Le chœur

Q Le chœur Q Le chœur u u i i monte monte du désert du désert comme un nuage de fumée, comme un nuage de fumée, aux senteurs de myrrhe et d’encens aux senteurs de myrrhe et d’encens et de tous parfums exotiques? et de tous parfums exotiques? Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n escorté de ses soixante hommes, escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël. l’élite des guerriers en Israël. ls sont tous armés de l’épée, ls sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat; ils sont initiés au combat; Chacun a l’épée au côté Chacun a l’épée au côté pour parer aux dangers nocturnes. pour parer aux dangers nocturnes. Qui Qui monte du désert monte du désert comme un nuage de fumée, comme un nuage de fumée, aux senteurs de myrrhe et d’encens aux senteurs de myrrhe et d’encens et de tous parfums exotiques? et de tous parfums exotiques? Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n escorté de ses soixante hommes, escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël. l’élite des guerriers en Israël. ls sont tous armés de l’épée, ls sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat; ils sont initiés au combat; Chacun a l’épée au côté Chacun a l’épée au côté pour parer aux dangers nocturnes pour parer aux dangers nocturnes Qui Qui monte du désert monte du désert comme un nuage de fumée, comme un nuage de fumée, aux senteurs de myrrhe et d’encens aux senteurs de myrrhe et d’encens et de tous parfums exotiques? et de tous parfums exotiques? Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n Voici le palanquin, le palanquin d e S a l o m o n escorté de ses soixante hommes, escorté de ses soixante hommes, l’élite des guerriers en Israël. l’élite des guerriers en Israël. ls sont tous armés de l’épée, ls sont tous armés de l’épée, ils sont initiés au combat; ils sont initiés au combat; Chacun a l’épée au côté Chacun a l’épée au côté pour parer pour parer aux dangers nocturnes aux dangers nocturnes


CANTIQUE CVII


Le chœur Le chœur

L Le chœur L Le chœur e e palanquin palanquin royal fait sur royal fait sur ordre d e S a l o m o n ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin. avec amour tout l’intérieur du palanquin. Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin du palanquin Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin l’intérieur du palanquin Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. son siège est fait en pourpre. Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur Les filles de Jérusalem ont tapissé avec amour tout l’intérieur du palanquin du palanquin Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n Le palanquin royal fait sur ordre d e S a l o m o n est en bois du Liban. est en bois du Liban. Ses colonnes sont en argent, Ses colonnes sont en argent, son dossier est en or, son dossier est en or, son siège est fait en pourpre. son siège est fait en pourpre. O O filles de Sion, filles de Sion, sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o n sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o n


CANTIQUE CVIII


Le chœur Le chœur

O Le chœur O Le chœur filles filles de Sion, de Sion, sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o portant le diadème dont le ceignit sa mère portant le diadème dont le ceignit sa mère au jour de son mariage, au jour de son mariage, au jour où tout son cœur était rempli de joie au jour où tout son cœur était rempli de joie O O filles filles de Sion, de Sion, sortez et contemplez sortez et contemplez l e g r a n d r o i S a l o m o l e g r a n d r o i S a l o m o l e g r a n d r o i S a l o m o l e g r a n d r o i S a l o m o

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n n n n

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d d d d

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S S S S

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l l l l

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d d d d

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S S S S

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d d d d

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S S S S

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l l l l

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m m m m

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l l l l

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g g g g

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a a a a

n n n n

d d d d

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S S S S

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l l l l

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m m m m

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n n n n

l l l l

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g g g g

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a a a a

n n n n

d d d d

r r r r

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S S S S

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m m m m

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l l l l

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a a a a

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d d d d

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S S S S

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l l l l

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g g g g

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a a a a

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d d d d

r r r r

o o o o

i i i i

S S S S

a a a a

l l l l

o o o o

m m m m

o o o o

n n n n


CANTIQUE CIX


Le bien-aimé Le bien-aimé

Q Le bien-aimé Q Le bien-aimé u u e e tu tu es belle, es belle, ô mon amie, ô mon amie, que tu es belle! que tu es belle! Tes yeux ressemblent Tes yeux ressemblent à des c o l o m b e s dessous ton voile, à des c o l o m b e s dessous ton voile, ta chevelure est ta chevelure est comme un troupeau de chèvres comme un troupeau de chèvres aux flancs du mont G a l a a d . aux flancs du mont G a l a a d . Tes dents ressemblent Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis passé à un troupeau de brebis passé aux mains des tondeur, aux mains des tondeur, qui reviendrait du lavoir. qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire. aucune n’est solitaire. Voici tes lèvres comme un ruban écarlate, Voici tes lèvres comme un ruban écarlate, combien ta bouche est charmante! combien ta bouche est charmante! Et tes tempes ressemblent à des moitiés Et tes tempes ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile. de grenades dessous ton voile. Ton cou ressemble Ton cou ressemble à la tour du r o i D a v i d , à la tour du r o i D a v i d , bâtie comme un arsenal: bâtie comme un arsenal: mille rondaches y sont pendues mille rondaches y sont pendues ous les pavois des héros. ous les pavois des héros. Comme deux faons, Comme deux faons, sont tes deux seins, sont tes deux seins, comme deux jeunes gazelles qui sont jumelles comme deux jeunes gazelles qui sont jumelles et qui vont paître parmi les lis. et qui vont paître parmi les lis. Quand viendra la fraîcheur Quand viendra la fraîcheur avec la tombée du jour, avec la tombée du jour, et quand les ombres s’estomperont, et quand les ombres s’estomperont, je m’en irai vers la montagne de myrrhe, je m’en irai vers la montagne de myrrhe, vers la colline encensée. vers la colline encensée. Quand viendra la fraîcheur Quand viendra la fraîcheur avec la tombée du jour, avec la tombée du jour, et quand les ombres s’estomperont, et quand les ombres s’estomperont, je m’en irai vers la montagne de myrrhe, je m’en irai vers la montagne de myrrhe,


CANTIQUE CX


Le bien-aimé Le bien-aimé

Q Le bien-aimé Q Le bien-aimé u u e e tu tu es belle, es belle, ô mon amie, ô mon amie, u es parfaitement belle, sans un défaut. u es parfaitement belle, sans un défaut. Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir du Liban, oui, du L i b a n avec moi. du Liban, oui, du L i b a n avec moi. Tu contempleras la plaine du sommet de l’ A m a n a , Tu contempleras la plaine du sommet de l’ A m a n a , du S é n i r et de l’ H e r m o n . du S é n i r et de l’ H e r m o n . Là, les lions ont leur retraite, Là, les lions ont leur retraite, et les panthères se cachent dans les montagnes. et les panthères se cachent dans les montagnes. Tu me fais perdre le sens, Tu me fais perdre le sens, ô toi, ma sœur, ma fiancée, ô toi, ma sœur, ma fiancée, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers. par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers. Ton amour est délicieux ô toi, Ton amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin oui, ton amour exalte plus que le vin et la senteur de tes parfums exalte plus que tous et la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. les baumes. Que tu es belle, Que tu es belle, ô mon amie, ô mon amie, u es parfaitement belle, sans un défaut. u es parfaitement belle, sans un défaut. Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir du Liban, Ma fiancée, tu vas venir avec moi, tu vas venir du Liban, oui, du L i b a n avec moi. oui, du L i b a n avec moi. Tu contempleras la plaine du sommet de l’ A m a n a , Tu contempleras la plaine du sommet de l’ A m a n a , du S é n i r et de l’ H e r m o n . du S é n i r et de l’ H e r m o n . Là, les lions ont leur retraite, Là, les lions ont leur retraite, et les panthères se cachent dans les montagnes. et les panthères se cachent dans les montagnes. Tu me fais perdre le sens, Tu me fais perdre le sens, ô toi, ma sœur, ma fiancée, ô toi, ma sœur, ma fiancée, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, tu me fais perdre le sens par un seul de tes regards, par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers. par un seul de tes joyaux suspendu à tes colliers. Ton amour est délicieux ô toi, Ton amour est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin oui, ton amour exalte plus que le vin et la senteur de tes parfums exalte plus que tous et la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes les baumes


CANTIQUE CXI


Le bien-aimé Le bien-aimé

T Le bien-aimé T Le bien-aimé o o n n amour amour est délicieux ô toi, est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin oui, ton amour exalte plus que le vin Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. les baumes. Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban. Liban. T T o o n n amour amour est délicieux ô toi, est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin oui, ton amour exalte plus que le vin Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. les baumes. Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban Liban T T o o n n amour amour est délicieux ô toi, est délicieux ô toi, ma sœur, ma fiancée, ma sœur, ma fiancée, oui, ton amour exalte plus que le vin oui, ton amour exalte plus que le vin Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous Set la senteur de tes parfums exalte plus que tous les baumes. les baumes. Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, Tes lèvres, ma fiancée, distillent un nectar pur, et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. et, sous ta langue, coulent du miel et du lait. Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Et le parfum de tes habits est tout pareil à la senteur du Liban Liban à la senteur du L i b a n à la senteur du L i b a n


CANTIQUE CXII


Le bien-aimé Le bien-aimé

T Le bien-aimé T Le bien-aimé u u es es un jardin un jardin bien clos, ô toi, bien clos, ô toi, ma sœur, ma fiancée. ma sœur, ma fiancée. Tu es une source close, une fontaine scellée! Tu es une source close, une fontaine scellée! Tes rameaux sont un verger, un verger de grenadiers Tes rameaux sont un verger, un verger de grenadiers portant les fruits les meilleurs: portant les fruits les meilleurs: le henné avec le nard, le henné avec le nard, le nard avec le safran et la cannelle odorante, le cinnamome, et le nard avec le safran et la cannelle odorante, le cinnamome, et toutes sortes d’arbres donnant de l’encens, toutes sortes d’arbres donnant de l’encens, de l’aloès et de la myrrhe, de l’aloès et de la myrrhe, et les plus fins aromates. et les plus fins aromates. Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n . d’eaux ruisselant du L i b a n . Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives, d’eaux ruisselant du L i b a n d’eaux ruisselant du L i b a n Tu es la source des jardins, Tu es la source des jardins, un puits d’eaux vives, un puits d’eaux vives,


CANTIQUE CXIII


La bien-aimée La bien-aimée

E La bien-aimée E La bien-aimée v v e e i i l l l l e e t t o o i i , , Aquilon! Aquilon! A A c c c c o o u u r r s s , , Autan! Autan! Viens souffler sur mon jardin, Viens souffler sur mon jardin, pour que ses parfums s ’ exhalent ! pour que ses parfums s ’ exhalent !

p p

a a

r f u m s r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s p a r f u m s parfums parfums parfums parfums


CANTIQUE CXIV


La bien-aimée La bien-aimée

Q La bien-aimée Q La bien-aimée u u e e mon mon bien-aimé bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis. et qu’il en goûte les fruits exquis. Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que mon bien-aimé mon bien-aimé pénètre dans son jardin pénètre dans son jardin et qu’il en goûte les fruits exquis et qu’il en goûte les fruits exquis Que Que


CANTIQUE CXV


Le bien-aimé Le bien-aimé

J Le bien-aimé J Le bien-aimé e e viens, viens, ma sœur, ma sœur, ma fiancée, ma fiancée, dans mon jardin, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait. Et je viens boire mon vin avec mon lait. J J e e viens, viens, ma sœur, ma sœur, ma fiancée, ma fiancée, dans mon jardin, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait Et je viens boire mon vin avec mon lait J J e e viens, viens, ma sœur, ma sœur, ma fiancée, ma fiancée, dans mon jardin, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait Et je viens boire mon vin avec mon lait J J e e viens, viens, ma sœur, ma sœur, ma fiancée, ma fiancée, dans mon jardin, dans mon jardin, je viens récolter ma myrrhe, je viens récolter ma myrrhe, je viens cueillir mes aromates, je viens cueillir mes aromates, je viens manger mon rayon avec mon miel. je viens manger mon rayon avec mon miel. Et je viens boire mon vin avec mon lait Et je viens boire mon vin avec mon lait


CANTIQUE CXVI


Le amis Le amis

M Le amis M Le amis a a n n g g e e z z , , amis, amis, et buvez, oui, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés - Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienMangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienMangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienMangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bienaimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez, oui, buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et buvez jusqu’à l’ivresse, mes bien-aimés -- Mangez, amis, et


CANTIQUE CXVII


La bien-aimée La bien-aimée

J La bien-aimée J La bien-aimée e e me me suis suis endormie, endormie, pourtant mon cœur veillait. pourtant mon cœur veillait. J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends mon bien-aimé frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends mon mon bien-aimé bien-aimé frapper: frapper: J’entends J’entends


CANTIQUE CXVIII


Le bien-aimé Le bien-aimé

M M s s m m a a o o t t m m c c t t m m p p c c j j l l t t c c d d r r M M b b s s t t d d g g d d l l n n M M s s m m a a

M Le bien-aimé M Le bien-aimé a a sœur, sœur, mon amie, mon amie, ouvre-moi, ouvre-moi, toi, ma c o l o m b e , toi, ma c o l o m b e , toi, ma parfaite, toi, ma parfaite, car j’ai la tête couverte de rosée. car j’ai la tête couverte de rosée. Mes boucles sont trempées des gouttes de la nuit Mes boucles sont trempées des gouttes de la nuit œ œ

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CANTIQUE CXIX


La bien-aimée La bien-aimée

J’ La bien-aimée J’ La bien-aimée a a i i ôté ma tunique, ôté ma tunique, comment la remettrais-je? comment la remettrais-je? Et j’ai lavé mes pieds: comment les salirais-je? Et j’ai lavé mes pieds: comment les salirais-je? Mon bien-aimé avance sa main par l’ouverture, Mon bien-aimé avance sa main par l’ouverture, mon cœur en a frémi mon cœur en a frémi et je me suis levée pour aller lui ouvrir. et je me suis levée pour aller lui ouvrir. De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé De mes mains, goutte à goutte, de la myrrhe a coulé de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts de la myrrhe onctueuse a goutté de mes doigts jusque sur la poignée du verrou de la porte jusque sur la poignée du verrou de la porte


CANTIQUE CXX


La bien-aimée La bien-aimée

J’ La bien-aimée J’ La bien-aimée o o u u v v r r e e à mon bien-aimé. à mon bien-aimé. Hélas, mon bien-aimé était déjà parti: Hélas, mon bien-aimé était déjà parti: il s’en était allé, il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts il s’en était allé, il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts il s’en était allé, il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts il s’en était allé, il s’en était allé, et son départ me rendait éperdue. et son départ me rendait éperdue. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Je l’ai cherché, mais ne l’ai pas trouvé. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Et je l’ai appelé, mais il ne m’a pas répondu. Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; Les gardes m’ont croisée en faisant le tour de la ville; es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. es gardes m’ont frappée et ils m’ont maltraitée. M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts M’ont arraché mon châle, les gardes des remparts


CANTIQUE CXXI


La bien-aimée La bien-aimée

O La bien-aimée O La bien-aimée filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r ! annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r ! O O filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O O filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O O filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O O filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O O filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r O filles de Jérusalem, O filles de Jérusalem, oh, je vous en conjure: oh, je vous en conjure: si vous le rencontrez, mon bien-aimé, si vous le rencontrez, mon bien-aimé, annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r annoncez-lui que je suis m a l a d e d’ a m o u r


CANTIQUE CXXII


Le chœur Le chœur

Q Le chœur Q Le chœur u’ u’ a a donc donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? ton bien-aimé de plus qu’un autre? Dis-nous, toi la plus belle parmi toutes les femmes, Dis-nous, toi la plus belle parmi toutes les femmes, oui, qu’a-t-il donc ton bien-aimé de plus qu’un autre oui, qu’a-t-il donc ton bien-aimé de plus qu’un autre pour que tu nous conjures, de façon si pressante? pour que tu nous conjures, de façon si pressante? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? Q Q u’ u’ a a donc ton bien-aimé de plus qu’un autre? donc ton bien-aimé de plus qu’un autre?


CANTIQUE CXXIII


La bien-aimée La bien-aimée

Sa Sa

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. tête est comme de l’or pur tête est comme de l’or pur Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXIV


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau et d’un noir de corbeau Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXV


La bien-aimée La bien-aimée

Ses Ses sur sur et et dans dans

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. yeux sont des colombes yeux sont des colombes le bord des cours d’eau, le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, sont comme enchâssés sont comme enchâssés un chaton de bague un chaton de bague Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXVI


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums exhalant leurs parfums Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, et ses mains, des bracelets d’or et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXVII


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse de la myrrhe onctueuse et ses mains, des bracelets d’or et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXVIII


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes incrustés de topazes Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXVIX


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXX


La bien-aimée La bien-aimée

Ses Ses à à sur sur

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. jambes sont semblables jambes sont semblables des piliers de marbre des piliers de marbre des socles d’or pur. des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXXI


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.


CANTIQUE CXXXII


La bien-aimée La bien-aimée

M M o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de Son palais est plein de et toute sa personne est empreinte et toute sa personne est empreinte Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, oui, oui, tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem. ô filles de Jérusalem.

La bien-aimée La bien-aimée

douceurs douceurs de charme. de charme.


CANTIQUE CXXXIII


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé a le teint a le teint clair et rose, clair et rose, on le distinguerait au milieu on le distinguerait au milieu de dix mille. de dix mille. Sa tête est comme de l’or pur. Sa tête est comme de l’or pur. Ses boucles sont flottantes Ses boucles sont flottantes comme un rameau de palme, comme un rameau de palme, et d’un noir de corbeau. et d’un noir de corbeau. Ses yeux sont des colombes Ses yeux sont des colombes sur le bord des cours d’eau, sur le bord des cours d’eau, ils baignent dans du lait, ils baignent dans du lait, et sont comme enchâssés et sont comme enchâssés dans un chaton de bague. dans un chaton de bague. Ses joues ressemblent Ses joues ressemblent à un parterre d’aromates, à un parterre d’aromates, exhalant leurs parfums. exhalant leurs parfums. Ses lèvres sont des lis Ses lèvres sont des lis tdistillant de la myrrhe, tdistillant de la myrrhe, de la myrrhe onctueuse, de la myrrhe onctueuse, Et ses mains, des bracelets d’or Et ses mains, des bracelets d’or incrustés de topazes. incrustés de topazes. Son corps est d’ivoire poli Son corps est d’ivoire poli témaillé de saphirs. témaillé de saphirs. Ses jambes sont semblables Ses jambes sont semblables à des piliers de marbre à des piliers de marbre sur des socles d’or pur. sur des socles d’or pur. Son aspect est pareil Son aspect est pareil à celui du Liban à celui du Liban et d’une beauté sans égale, et d’une beauté sans égale, comme les cèdres. comme les cèdres. Son palais est plein de douceurs Son palais est plein de douceurs et toute sa personne est empreinte de charme. et toute sa personne est empreinte de charme. Tel est mon bien-aimé, Tel est mon bien-aimé, o u i , o u i , tel est mon ami, tel est mon ami, ô filles de Jérusalem ô filles de Jérusalem


CANTIQUE CXXXIV


Le chœur Le chœur

Nous Nous Nous Nous

O Le chœur O Le chœur ù ù est est allé allé ton bien-aimé, ton bien-aimé, ô toi la plus belle des femmes? ô toi la plus belle des femmes? De quel côté s’est-il tourné, ton bien-aimé? De quel côté s’est-il tourné, ton bien-aimé? Nous t’aiderons à le chercher Nous t’aiderons à le chercher t’aiderons à le chercher t’aiderons à le chercher t’aiderons à le chercher t’aiderons à le chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous

t’aiderons t’aiderons

à à

le le

chercher chercher

Nous Nous Nous Nous Nous Nous

t’aiderons t’aiderons t’aiderons t’aiderons t’aiderons t’aiderons

à à à à à à

le le le le le le

chercher chercher chercher chercher chercher chercher


CANTIQUE CXXXV


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o n n bien-aimé bien-aimé est descendu est descendu dans son jardin, dans son jardin, vers ses parterres d’aromates, vers ses parterres d’aromates, pour faire paître son troupeau pour faire paître son troupeau et pour cueillir des lis dans le jardin. et pour cueillir des lis dans le jardin. Moi, je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi, Moi, je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi, ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis. ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis. ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troutroupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau peau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troutroupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau peau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son son troupeau dans les prés pleins de lis -- ui qui fait paître son


CANTIQUE CXXXVI


Le bien-aimé Le bien-aimé

Q Le bien-aimé Q Le bien-aimé u u e e tu tu es belle, es belle, ô mon amie, ô mon amie, comme Tirtsa, comme Tirtsa, tu es superbe tout comme Jérusalem, tu es superbe tout comme Jérusalem, et redoutable et redoutable comme des soldats rangés sous leur bannière. comme des soldats rangés sous leur bannière. Détourne de moi tes yeux, Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent, car ils me troublent, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres, ta chevelure est comme un troupeau de chèvres, aux flancs du mont Galaad. aux flancs du mont Galaad. Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis Tes dents ressemblent à un troupeau de brebis qui reviendrait du lavoir. qui reviendrait du lavoir. Chacune d’elles a sa jumelle, Chacune d’elles a sa jumelle, aucune n’est solitaire. aucune n’est solitaire. Tes joues ressemblent à des moitiés Tes joues ressemblent à des moitiés de grenades dessous ton voile. de grenades dessous ton voile. Il y a soixante reines, Il y a soixante reines, et quatre-vingts épouses de second rang, et quatre-vingts épouses de second rang, des jeunes filles sans nombre. des jeunes filles sans nombre. Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Pour sa mère, elle est unique. Pour sa mère, elle est unique. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Les jeunes filles, en la voyant, Les jeunes filles, en la voyant, disent qu’elle est bienheureuse. disent qu’elle est bienheureuse. Toutes les reines, Toutes les reines, et les épouses de second rang font son éloge et les épouses de second rang font son éloge Il y a soixante reines, Il y a soixante reines, et quatre-vingts épouses de second rang, et quatre-vingts épouses de second rang, des jeunes filles sans nombre. des jeunes filles sans nombre. Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Mais une seule est ma colombe et ma parfaite. Pour sa mère, elle est unique. Pour sa mère, elle est unique. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Elle est l’enfant préférée de celle qui l’enfanta. Les jeunes filles, en la voyant, Les jeunes filles, en la voyant, disent qu’elle est bienheureuse. disent qu’elle est bienheureuse. Toutes les reines, Toutes les reines, et les épouses de second rang font son éloge et les épouses de second rang font son éloge


CANTIQUE CXXXVII


Le chœur Le chœur

mais mais

mais mais

mais mais

Q Le chœur Q Le chœur u u i i donc donc est celle est celle qui apparaît qui apparaît comme l’aurore comme l’aurore et qui est belle comme la lune, et qui est belle comme la lune, ibrillante comme un soleil ibrillante comme un soleil r e d o u t a b l r e d o u t a b l comme des soldats rangés sous leur bannière? comme des soldats rangés sous leur bannière? Q Q u u i i donc donc est celle est celle qui apparaît qui apparaît comme l’aurore comme l’aurore et qui est belle comme la lune, et qui est belle comme la lune, ibrillante comme un soleil ibrillante comme un soleil r e d o u t a b l r e d o u t a b l comme des soldats rangés sous leur bannière? comme des soldats rangés sous leur bannière? Q Q u u i i donc donc est celle est celle qui apparaît qui apparaît comme l’aurore comme l’aurore et qui est belle comme la lune, et qui est belle comme la lune, ibrillante comme un soleil ibrillante comme un soleil r e d o u t a b l r e d o u t a b l comme des soldats rangés sous leur bannière? comme des soldats rangés sous leur bannière? ? ? ?? ?? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

e e

e e

e e


CANTIQUE CXXXVIII


Le bien-aimé Le bien-aimé

J Le bien-aimé J Le bien-aimé e e venais venais de descendre de descendre au jardin des noyers au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon, pour regarder les pousses dans le vallon, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince. au beau milieu des chars des hommes de mon prince. J J e e venais venais de descendre de descendre au jardin des noyers au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon, pour regarder les pousses dans le vallon, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince au beau milieu des chars des hommes de mon prince Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince au beau milieu des chars des hommes de mon prince J J e e venais venais de descendre de descendre au jardin des noyers au jardin des noyers pour regarder les pousses dans le vallon, pour regarder les pousses dans le vallon, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et pour voir si la vigne avait déjà fleuri, et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. et si les grenadiers étaient déjà en fleurs. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince au beau milieu des chars des hommes de mon prince Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, Je ne sais pas comment je me suis retrouvée, poussée par mon désir, poussée par mon désir, au beau milieu des chars des hommes de mon prince au beau milieu des chars des hommes de mon prince J J


CANTIQUE CXXXIX


Le chœur Le chœur

ô ô

R R e e v v i i e e n n s s , , reviens, reviens, ô ô S S

! ! S S

! ! Reviens, Reviens, reviens, reviens, que nous que nous puissions puissions te contempler. te contempler. Reviens, Reviens, reviens, reviens, que nous que nous puissions puissions te contempler te contempler

Le chœur Le chœur

u u

e e

u u

e e

l l

t t

l l

t t

a a m m i i

a a m m i i

ô ô


CANTIQUE CXL


Le bien-aimé Le bien-aimé

P Le bien-aimé P Le bien-aimé o o u u r r q q u u o o i i voulez-vous voulez-vous voir la Sulamite, voir la Sulamite, dansant comme en un double chœur?» dansant comme en un double chœur?» «Que tes pas sont gracieux dans tes sandales, «Que tes pas sont gracieux dans tes sandales, fille de prince! fille de prince! Le contour de tes hanches ressemble à un collier, Le contour de tes hanches ressemble à un collier, œuvre de mains d’artiste. œuvre de mains d’artiste. Ton nombril est comme une coupe bien arrondie, Ton nombril est comme une coupe bien arrondie, où le vin parfumé ne manque pas. où le vin parfumé ne manque pas. Ton ventre est comme une meule de blé Ton ventre est comme une meule de blé bordée de lis. bordée de lis. Tes deux seins sont deux faons Tes deux seins sont deux faons jumeaux d’une gazelle. jumeaux d’une gazelle. Ton cou est une tour, une tour en ivoire. Ton cou est une tour, une tour en ivoire. tes yeux sont des étangs, tes yeux sont des étangs, des étangs de Hechbôn, des étangs de Hechbôn, près de la porte Populeuse. près de la porte Populeuse. et ton nez est semblable à la tour du Liban, et ton nez est semblable à la tour du Liban, postée en sentinelle en face de Damas. postée en sentinelle en face de Damas. Ta tête, sur ton corps, est comme le Carmel Ta tête, sur ton corps, est comme le Carmel et tes cheveux ont des reflets de pourpre. et tes cheveux ont des reflets de pourpre. Un roi est enchaîné dans leurs ondulations. Un roi est enchaîné dans leurs ondulations. «Que tu es belle et que tu es gracieuse, «Que tu es belle et que tu es gracieuse, ô mon amour, ô mon amour, ô fille délicieuse. ô fille délicieuse. Par ta taille élancée tu es comme un palmier. Par ta taille élancée tu es comme un palmier. Tes seins en sont les grappes. Tes seins en sont les grappes. Alors j’ai dit: Ah, je vais monter au palmier, Alors j’ai dit: Ah, je vais monter au palmier, j’en saisirai les grappes. j’en saisirai les grappes. Que tes seins soient pour moi des grappes de raisin! Que tes seins soient pour moi des grappes de raisin! Le parfum de ton souffle rappelle celui de la pomme, Le parfum de ton souffle rappelle celui de la pomme, et ton palais distille le vin le plus exquis...» et ton palais distille le vin le plus exquis...»


CANTIQUE CXLI


La bien-aimée La bien-aimée

Q La bien-aimée Q La bien-aimée u u i i , , un un bon vin bon vin qui va droit qui va droit à mon bien-aimé, à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent. et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent. Q Q u u i i , , un un bon vin bon vin qui va droit qui va droit à mon bien-aimé, à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent Q Q u u i i , , un un bon vin bon vin qui va droit qui va droit à mon bien-aimé, à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent Q Q u u i i , , un un bon vin bon vin qui va droit qui va droit à mon bien-aimé, à mon bien-aimé, et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent et glisse sur les lèvres de ceux qui s’assoupissent Q Q u u i i , ,


CANTIQUE CXLII


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o i i , , je suis je suis à mon bien-aimé à mon bien-aimé et c’est moi qu’il désire. et c’est moi qu’il désire. Viens donc, mon bien-aimé, Viens donc, mon bien-aimé, sortons dans la campagne. sortons dans la campagne. Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, et nous nous lèverons au matin, et nous nous lèverons au matin, de bonne heure, pour aller dans les vignes, de bonne heure, pour aller dans les vignes, pour voir si elles sont en fleur, pour voir si elles sont en fleur, et si leurs bourgeons sont ouverts, et si leurs bourgeons sont ouverts, si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. Là-bas, je te ferai le don de mon amour. Là-bas, je te ferai le don de mon amour. Les mandragores exhalent leur parfum. Les mandragores exhalent leur parfum. Nous avons, à nos portes, Nous avons, à nos portes, des fruits exquis de toutes sortes, des fruits exquis de toutes sortes, tant anciens que nouveaux. tant anciens que nouveaux. Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés. Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés. ! ! Moi, Moi, je suis je suis à mon bien-aimé à mon bien-aimé et c’est moi qu’il désire. et c’est moi qu’il désire. Viens donc, mon bien-aimé, Viens donc, mon bien-aimé, sortons dans la campagne. sortons dans la campagne. Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, Nous passerons la nuit au milieu des hameaux, et nous nous lèverons au matin, et nous nous lèverons au matin, de bonne heure, pour aller dans les vignes, de bonne heure, pour aller dans les vignes, pour voir si elles sont en fleur, pour voir si elles sont en fleur, et si leurs bourgeons sont ouverts, et si leurs bourgeons sont ouverts, si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. si déjà sont sorties les fleurs des grenadiers. Là-bas, je te ferai le don de mon amour. Là-bas, je te ferai le don de mon amour. Les mandragores exhalent leur parfum. Les mandragores exhalent leur parfum. Nous avons, à nos portes, Nous avons, à nos portes, des fruits exquis de toutes sortes, des fruits exquis de toutes sortes, tant anciens que nouveaux. tant anciens que nouveaux. Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés Pour toi, mon bien-aimé, je les ai réservés


CANTIQUE CXLIII


La bien-aimée La bien-aimée

A La bien-aimée A La bien-aimée h h , , que que n’es-tu n’es-tu mon frère mon frère allaité par ma mère! allaité par ma mère! e rencontrant dehors, e rencontrant dehors, je pourrais t’embrasser, je pourrais t’embrasser, sans que l’on me méprise, sans que l’on me méprise, je pourrais t’emmener, je pourrais t’emmener, je te ferais entrer au foyer de ma mère, je te ferais entrer au foyer de ma mère, à, à, tu m’enseignerais, tu m’enseignerais, et je te ferais boire du bon vin parfumé et je te ferais boire du bon vin parfumé de mon jus de grenades. de mon jus de grenades. Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace Son bras gauche soutient ma tête Son bras gauche soutient ma tête et son bras droit m’enlace et son bras droit m’enlace


CANTIQUE CXLIV


Le bien-aimé Le bien-aimé

O Le bien-aimé O Le bien-aimé filles filles de Jérusalem, de Jérusalem, oh, je vous en conjure, oh, je vous en conjure, n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille. avant qu’il ne le veuille. n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour n’éveillez pas, non, ne réveillez pas l’amour avant qu’il ne le veuille avant qu’il ne le veuille


CANTIQUE CXLV


Le chœur Le chœur

Q Le chœur Q Le chœur u u i i donc donc est celle-ci est celle-ci ui monte du désert ui monte du désert s’appuyant sur son bien-aimé? s’appuyant sur son bien-aimé? s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé s’appuyant sur son bien-aimé ??????????????????????????? ???????????????????????????


CANTIQUE CXLVI


Le bien-aimé Le bien-aimé

C’ Le bien-aimé C’ Le bien-aimé e e s s t t dessous dessous le pommier le pommier que je t’ai réveillé, que je t’ai réveillé, à l’endroit où ta mère t’avait conçu, à l’endroit où ta mère t’avait conçu, oui, oui, au lieu même où te conçut celle qui devait t’enfanter au lieu même où te conçut celle qui devait t’enfanter C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé C’est dessous le pommier C’est dessous le pommier que je t’ai réveillé que je t’ai réveillé


CANTIQUE CXLVII


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée e e t t s s m m o o i i comme comme un sceau un sceau sur ton cœur, sur ton cœur, comme un sceau comme un sceau sur ton bras. sur ton bras. L’amour est fort comme la mort, L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris n’obtiendrait que mépris L’amour est fort comme la mort, L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris n’obtiendrait que mépris L’amour est fort comme la mort, L’amour est fort comme la mort, et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. et la passion est indomptable comme le séjour des défunts. Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, Les flammes de l’amour sont des flammes ardentes, ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. ses flammes de la foudre venant de l’Eternel. Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, Même de grosses eaux ne peuvent éteindre l’amour, et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. et des fleuves puissants ne l’emporteront pas. L’homme qui offrirait tous les biens L’homme qui offrirait tous les biens qu’il possède pour acheter l’amour qu’il possède pour acheter l’amour n’obtiendrait que mépris n’obtiendrait que mépris


CANTIQUE CXLVIII


Le chœur Le chœur

N Le chœur N Le chœur o o u u s s avons avons une sœur, une sœur, elle est petite encore, elle est petite encore, sa poitrine n’est pas formée, sa poitrine n’est pas formée, que ferons-nous pour elle que ferons-nous pour elle lorsqu’il sera question de la marier? lorsqu’il sera question de la marier? Si elle est un rempart, Si elle est un rempart, nous bâtirons sur elle des créneaux en argent. nous bâtirons sur elle des créneaux en argent. Si elle est une porte, Si elle est une porte, nous, nous la bloquerons d’un madrier de cèdre nous, nous la bloquerons d’un madrier de cèdre Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte Si elle est un rempart Si elle est une porte


CANTIQUE CIL


La bien-aimée La bien-aimée

M La bien-aimée M La bien-aimée o o i i , , je je suis suis un rempart, un rempart, mes seins en sont les tours. mes seins en sont les tours. Aussi ai-je trouvé la paix, Aussi ai-je trouvé la paix, auprès de lui auprès de lui les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours les tours Aussi ai-je trouvé la paix, Aussi ai-je trouvé la paix, auprès de lui auprès de lui les tours les tours les tours les tours


CANTIQUE CL


La bien-aimée La bien-aimée

S La bien-aimée S La bien-aimée a a l l o o m m o o n n avait avait une vigne une vigne à Baal-Hamôn à Baal-Hamôn il la remit à des gardiens. il la remit à des gardiens. Pour en payer le fruit, Pour en payer le fruit, chacun d’eux lui donnait un millier de pièces d’argent. chacun d’eux lui donnait un millier de pièces d’argent. Ma vigne est à moi, je la garde. Ma vigne est à moi, je la garde. Toi, Salomon, tu peux avoir ton millier de pièces d’argent, Toi, Salomon, tu peux avoir ton millier de pièces d’argent, puis, deux cents pièces seront données à ceux qui ont gardé ses puis, deux cents pièces seront données à ceux qui ont gardé ses fruits fruits -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à garde -- Ma vigne est à moi, je la garde -- Ma vigne est à


CANTIQUE CLI


Le bien-aimé Le bien-aimé

oh oh q q h h l l j j q q h h l l j j q q h h l l j j q q h h l l j j q q h h l l j j q q h h l l j j q q h h l l j j q q h h l l j j

! ! a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a a

T T o o i i qui habites qui habites les jardins, les jardins, des compagnons, des compagnons, prêtent l’oreille, prêtent l’oreille, fais-moi entendre fais-moi entendre u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d u u b i b i e e r d r d

Le bien-aimé Le bien-aimé

ta ta

voix voix

t t

e e

i i

n n

t t

e e

i i

n n

t t

e e

i i

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! ! i i s s s s s s i i s s s s s s i i s s s s s s i i s s s s s s i i s s s s s s i i s s s s s s i i s s s s s s i i s s s s s s


CANTIQUE CLII


La bien-aimée La bien-aimée

sur sur

sur sur

toi toi

E La bien-aimée E La bien-aimée n n f f u u i i s s t t o o i i vite, vite, toi mon bien-aimé, toi mon bien-aimé, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, les monts embaumés les monts embaumés E E n n f f u u i i s s t t o o i i vite, vite, toi mon bien-aimé, toi mon bien-aimé, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, et sois pareil à la gazelle ou à un jeune faon, les monts embaumés les monts embaumés E E n n f f u u i i s s t t o o i i vite, vite, mon bien-aimé mon bien-aimé


CANTIQUE CLIII


O

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CANTIQUE CLIV


o

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CANTIQUE CLV


O

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LAUL CLVI


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CANTIQUE CLVII


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CANTIQUE CLVIII


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CANTIQUE CLIX


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CANTIQUE CLXI


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CANTIQUE CLXII


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CANTIQUE CLXIII


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CANTIQUE CLXX


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CANTIQUE CLXXI


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CANTIQUE CLXXII


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CANTIQUE CLXXIII


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CANTIQUE CLXXIV


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CANTIQUE CLXXV


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CANTIQUE CLXXVI


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CANTIQUE CLXXVII


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CANTIQUE CLXXX


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CANTIQUE CLXXXI


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CANTIQUE CLXXXII


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CANTIQUE CLXXXIII


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CANTIQUE CLXXXIV


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euqitnaC sed seuqitnac




Sous la veste, le gilet - Manifeste La culture peut produire différentes humeurs dans la société, et la société peut à son tour les percevoir comme corrects ou non. Les bonnes perceptions évoquent les émotions positives et l’enthousiasme collectif d’un peuple. Les humeurs « erronées » attisent les mauvais sentiments et la condamnation, lesquels sont amplifiés dans les médias et les commentaires sur Internet. Il y a donc la culture sacrée et celle qui est vile. La frontière qui existe entre elles est cependant souvent floue, ce qui est aussi le cas dans la vie. D’une part : étant acceptée par les « gens », la culture correcte devient ce qui est classique. D’autre part, les travaux menaçant de traverser les frontières existant entre esthétique et normes morales dominants sont considérés comme dangereux, destructeurs et déconstructeurs. C’est ce qu’on appelle l’Avant-garde et ce terme deviendra un juron pour les détenteurs du pouvoir et les gens en général. En 40 ans, mes travaux ont exposé des exemples de cultures à la fois sacrées et viles. J’ai pu observer qu’à certaines périodes, mon travail était considéré comme vil voire vil à l’extrême, alors qu’à d’autres époques c’était le contraire : j’étais sacré ou hautement sacré, puis de nouveau vil ou du moins suspect... Pourtant, je suis toujours le même artiste, et mes travaux restent eux aussi les mêmes. À présent, j’ai clairement compris que jamais je n’ai été attiré par l’art jugé sacré ou vil (en Estonie). L’art qui exerce sur moi une véritable fascination se trouve sur terre et dans les cieux, dans l’Univers, dans tous les espaces et phénomènes, toutes les choses, créatures, croyances et religions perceptibles dans mon corps et mon esprit. Il s’agit presque de la même expérience que l’observation de la terre, de l’herbe qui pousse dans les prés, des pâturages et des forêts, de la récolte des champs, des buissons, des arbres, des maisons, des bicyclettes, des voitures, des bateaux, des avions, des tanks, des fusées intercontinentales et spatiales, des centrales électriques, des gens, des animaux, des oiseaux, des insectes, des poissons, des serpents, des vagues, du ciel bleu, des nuages, de la pluie, de la grêle, de la neige, de la vapeur, du sable, des pierres, des collines, des marécages, des marais, des champignons, des baies, des étoiles dans le ciel, du clair de lune, des rayons du soleil. Cela peut aussi être comme écouter de l’apaisement du vent, de son sifflement et de son murmure, du silence, du chant de l’hirondelle, du croassement des corbeaux et du cri des mouettes, de l’aboiement des chiens, ou bien encore respirer l’air de son foyer, entendre les sons de sa famille dans ses activités quotidiennes... Finalement, ces instants passés à ne rien faire du


tout et certaines constructions mentales que les devoirs mondains tendent à décourager. Il y a beaucoup de tout et de tous, et tout sera de nouveau là. Qu’importe le temps que cela prendra ? J’essaie toujours d’organiser la vie de centaines de milliers voire même de millions d’abeilles. Et pourtant je sais que je produis la catégorie d’art et de poésie que je souhaite, et autant que je peux.


Poésie visuelle et poésie sonore Dans l’armée soviétique, je servais dans une section de la marine (réiment des activités sportives) dans la région la plus éloignée de la péninsule de Kola, à Severomorsk. Lors de ma seconde année, j’ai réussi à revenir à Tallinn à l’occasion d’une compétition sportive, et j’emportais avec moi une petite machine à écrire. Le 7 novembre 1967, je regardais la neige tomber lentement de derrière les fenêtres à barreaux de la salle de stockage des armes d’entraînement que je devais garder. Je m’ennuyais et voulais rentrer chez moi. Je pensais à l’écriture, à la création de quelque chose, mais aucun mot n’émergeait de la machine à écrire. Je suivis finalement une impulsion qui consistait en la reproduction de signes sur une feuille avec la lettre o et le tiret. Les signes sautaient, allant de haut en bas et formant des lignes. Je faisais se joindre des idées abstraites et figuratives. Dans le même temps, lorsque je voyais les figures conceptuelles apparaître sur les dessins de la machine à écrire, j’arrivais à voir des pois sauteurs sur mon tambour imaginaire et des grains de seigle tomber du tamis à vanner que je regardais lorsque j’étais enfant et qui est toujours présent dans mon esprit. Je remarquais dans les sons de la langue différentes durées et plusieurs degrés de force qui paraissaient vivre leur propre vie visible. En utilisant initialement les termes « tambour » et « tamis », je n’essayais pas de copier les images encyclopédiques de ces ustensiles mais m’efforçais plutôt d’ouvrir l’existence symbolique de tout tambour et tamis présents dans le processus de réflexion de l’homme. Je tentais en outre de reproduire et de transmettre la sensation particulière qui émergeait entre l’image subjectivement généralisée de ces ustensiles et mon activité. Je cheminais à la lisière de la littérature et de l’art figuratif, en aspirant à une synthèse. En général, dans la poésie concrète, je qualifiais de poésie évidente les portraits de mots, d’après le mot latin « evidens » (évident, clairement visible). J’appelais les formes graphiques « dessins à la machine à écrire » (typewriter-drawings). Plus tard, j’utilisais aussi l’expression « dessins-dactylogrammes » (typescript drawing), dont la portée est plus grande que la première. Le « dessin à la machine à écrire » constitue un type de « dessin-dactylogramme » car tous les dessins-dactylogrammes ne sont pas effectués avec une machine à écrire. Dans les dessins techniques, j’utilise l’expression « poésie visuelle ». J’ai en premier lieu commencé à employer l’expression « poésie concrète » pour mes expériences poétiques, alors qu’à présent (que j’en sais davantage sur l’évolution de la poésie expérimentale dans le monde) je considère la poésie concrète comme une


sous-catégorie de la poésie visuelle, basée sur un travail avec le texte et les lettres de l’alphabet dans leur simple forme visuelle ou systématique, et qui distingue la poésie concrète de celle visuelle (photographique, spatiale, conceptuelle, temporelle, etc.). La poésie concrète s’est largement propagée, notamment dans les années 50 et 60, et il est devenu nécessaire de les «égayer ». Lorsqu’à cette période on leur demandait de lire leur œuvre, les poètes voyaient leurs textes imprimés comme les musiciens voient une partition. C’est ainsi que la poésie sonore désormais populaire est apparue : avec des formes simples mais aussi hautement technologiques. Nous pouvons également trouver des traces de poésie contemporaine visuelle et sonore dans le folklore ancien, de nature assez simple. À l’origine, je ne savais rien de mes prédécesseurs. Les relations enseignant-étudiant sont fréquemment surestimées. Je suis pourtant constamment émerveillé de constater que le plus souvent, tandis qu’ils examinent l’œuvre d’un artiste, les gens essaient de trouver quels éventuels prédécesseurs ont eu un impact sur ses travaux, en oubliant parfois même la créativité propre à l’artiste avec ses spécificités. Je ne pense guère que quiconque puisse enseigner à l’autre comment générer et découvrir son art : autrement dit, donner vie à cet art. Un professeur ne peut qu’enseigner de petites compétences artisanales en fabriquant quelque chose et en le présentant au public. D’autre part, un bon professeur peut se montrer encourageant, compréhensif et mettre en valeur la connaissance du monde que possède l’étudiant, ainsi que son estime de soi. Mais voilà qui est totalement différent. L’information vitale concernant la façon dont fonctionnent le monde et les gens semble se répandre dans un champ d’informations générales et impersonnelles, dans lequel ces derniers évoluent (tout comme les oiseaux, ce qu’ont démontrés des tests scientifiques). Ces informations sont à la disposition de tous. Je sais maintenant que les groupes créatifs, les sociétés, les syndicats, les laboratoires, les centres, les instituts, les universités, les galeries d’art, les musées, les maisons d’édition de poésie visuelle et sonore existent et opèrent dans des dizaines de pays. Ils sont encore plus exceptionnels dans les pays dont la langue a une plus grande portée internationale, comme l’anglais, le russe, l’allemand, le français, l’italien, l’espagnol, le portugais etc. En Estonie, rares sont les brèves présentations de la poésie expérimentale internationale du point de vue de la littérature traditionnelle, et elles ne sont pas non plus très satisfaisantes. Dans le pire des cas, des exemples de poésie de ce type ont été réduits à des rébus ou élevés au niveau de curiosités. Une critique répandue


de la littérature traditionnelle peut considérer la poésie concrète et sonore dans son intégralité comme un modelage puéril, tandis qu’une critique plus ouverte d’esprit y trouvera perfection et véracité de la vie, ainsi que des éléments de qualité poétique qui diffèrent de celles ordinaires. Les écrits actuels ne contiennent aucune découverte ni quoi que ce soit de nouveau. Je ne suis pas particulièrement érudit ou cultivé, et je n’ai jamais voulu devenir un jour professeur ou prophète. Il semble que jusqu’à présent j’ai vécu ma vie tel un pionnier, un chasseur qui revient auprès des gens à l’issue de ses voyages solitaires dans des régions reculées, et qui dit des contes inspirés de ses expériences. Je pourrais aussi être une abeille éclaireuse qui, en revenant à son nid d’origine, effectue sa danse en indiquant le type de nectar, de pollen, de résine de bourgeon qu’elle a trouvé et leur localisation. La récompense de cette catégorie de narration et d’abeille danseuse est sa propre audience, et c’est également ce à quoi j’aspire. Il pourrait y avoir des contacts résonnants de la part de ceux qui s’intéressent à la poésie visuelle et sonore, même de façon et de portée plutôt modestes. En vue de cet accomplissement, il n’est guère nécessaire d’imprimer et de promouvoir mes livres par milliers. Il me semble que la culture estonienne des perturbations existe davantage en fonction du style académique de l’instruction et des cours donnés par certaines personnes de pouvoir, plutôt que par des personnes spirituellement évoluées qui font confiance en leurs propres perceptions et mystères de l’édification. On devrait en outre ajouter que la poésie, les chants, la musique, la danse et l’art ne peuvent se passer d’une sensibilité aiguë du rythme : plusieurs processus propres à la Terre et à l’Univers sont régis par des rythmes. Nous imaginons que notre monde tourne de manière homogène de l’infini à l’infini. Et pourtant, ce n’est pas ainsi que le temps évolue : il peut s’écouler avec irrégularité et au hasard, tout en évoluant régulièrement. Il me semble que bien souvent le thème de ma poésie et de mon art s’articule autour du temps.






[“Cantique des cantiques” (in French) and “Un roi est enchaîné dans leurs ondulations / Sulamite” (in French) perform as a unitary couple.]


Copyright: Raul Meel 2016, Tallinn, Eesti



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