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Cahier publicitaire à Ouest-France du mercredi 9 octobre 2013. Ne peut être vendu séparément.
Caen et agglomération
22 ème édition
Manifes tation gratuite
Une nouvelle génération de chercheurs Pour son édition 2013, la Fête de la Science met à l’honneur les doctorant(e)s. Pas encore chercheurs mais plus tout à fait étudiants, ils sont 800 en Basse-Normandie. Nous vous invitons à faire connaissance avec cette nouvelle génération au travers des portraits de quelques-uns d’entre eux. Ce cahier est également l’occasion de découvrir le programme de la nouvelle édition de la Fête de la Science qui animera la BasseNormandie du 7 au 13 octobre 2013. Plus de 400 acteurs de la recherche et de la culture scientifique vous attendent au Village des Sciences de Caen la mer mais aussi à Vire, Cherbourg-Octeville, Guéprei,… Restez curieux !
Flavie BIDEL Éprouvette, épuisette et sac à dos À 26 ans, Flavie est doctorante depuis 8 mois au “Groupe Mémoire et Plasticité comportementale” (GMPc) de l’Université de Caen Basse-Normandie. Au sein de l’équipe, Flavie s’intéresse plus particulièrement à l’impact des antidépresseurs sur le développement du système nerveux central et les comportements de la seiche. Bien qu’elles ne soient pas dépressives, les seiches sont exposées lors des premières étapes de leur vie à des résidus de médicaments comme l’explique Flavie : “Les stations d’épuration ne sont pas conçues pour leurs traitements, c’est pourquoi on en retrouve dans nos effluents et dans les milieux aquatiques.” Les chercheurs souhaitent donc savoir quel est l’impact de cette pollution sur les espèces qui se développent sur les côtes. Avant d’en arriver là, Flavie a passé un DUT “Génie biologique”, option “Génie de l’environnement” à Caen. C’est un stage à la fin de ce cursus très technique qui lui a donné le goût de la recherche : “J’ai adoré la recherche. J’adore le fait d’essayer de comprendre ce qui se passe dans le monde qui m’entoure. Je suis une curieuse.” Elle a alors enchaîné sur une 3ème année de Licence à l’Université de Metz avant de partir pendant un an à Oslo. “J’étais très mauvaise en anglais (j’ai eu 4/20 au Bac) et c’est une langue qu’il faut absolument maîtriser en recherche. J’ai donc décidé de poursuivre ma formation en Norvège où les cours sont dispensés en anglais. C’est une expérience géniale que je ne regrette pas. Je ne pense pas que j’aurais pu continuer en thèse sans cela. Par contre, je ne parle toujours pas Norvégien !” Retour à Metz pour étudier l’écotoxicologie puis retour à Caen où s’ouvraient les plus belles opportunités pour sa carrière. Aujourd’hui, le quotidien de Flavie se partage entre activités de terrain et analyses en laboratoire. Les 6 mois chauds sont consacrés à l’élevage des
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École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Caen et Centre de Recherche
Fête de la Science 2013
L’ENSICAEN, école publique, a pour vocation de former des ingénieurs de haut niveau scientifique et technique en électronique et en physique appliquée, informatique, matériaux-chimie, matériaux et mécanique (apprentissage) et génie industriel (ITII). L’ENSICAEN dispose d’un centre de recherche de 6 laboratoires associés aux grands organismes (CEA et CNRS) et à l’Université de Caen BasseNormandie et 1 laboratoire commun avec NXP France et Presto engineering. L’ENSICAEN favorise depuis toujours la création de liens forts avec les entreprises au travers de clubs de partenaires, de stages et de son implication forte dans les pôles de compétitivité “Transactions Électroniques Sécurisés” (TES) et “Mov’eo” ainsi que dans l’Incubateur normand et le pôle Nucléopolis. Les 750 élèves ingénieurs bénéficient de cet environnement privilégié et du lien ainsi créé entre la formation, la recherche et le monde de l’entreprise.
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www.ensicaen.fr www.facebook.com/Ensicaen
seiches à la Station marine de Luc sur Mer : changer l’eau des aquariums, surveiller les éclosions, chasser les crevettes pour nourrir les petites seiches, effectuer les différents tests et prélèvements nécessaires, etc. Les 6 mois d’hiver se passent au laboratoire pour réaliser les analyses, communiquer ses résultats et enseigner à l’Université. Une alternance indispensable pour Flavie : “En tant que chercheur, tu dois être polyvalent et moi, c’est ça qui me plait !” L’étude se terminera en 2015 en même temps que sa thèse. Et après ? Flavie s’imagine enchaîner les contrats au gré des sujets de recherche qui lui seront proposés. Une seule chose est sûre : elle fera ses valises pour l’étranger. Une condition indispensable pour satisfaire son tempérament de curieuse !
+ de portraits sur www.relais-sciences.org
Jonathan RENOULT Au travers de l’objectif, le monde Son Bac L en poche, Jonathan s’imagine juriste mais son projet tourne court. Déçu par les enseignements et peu préparé à la liberté qu’offre les études universitaires, Jonathan s’éloigne rapidement des bancs de la fac préférant aller dans des librairies ou au cinéma. C’est à ce moment-là que son goût pour le cinéma est apparu. Finalement, ce n’est que deux plus tard qu’il s’inscrit à l’Université de Caen Basse-Normandie. “Après mon expérience en droit à l’Université de Rouen, ma mère a eu un peur que je reprenne des études à la fac, je me suis donc dirigé vers un BTS Assistant de gestion.” Une expérience qu’il ne regrette pas : “Ces études m’ont appris à me cadrer.” À 27 ans, Jonathan débute sa seconde année de thèse au Laboratoire “Lettres, Arts du Spectacle, Langues Romanes” (LASLAR) de l’Université de Caen Basse-Normandie. Ses recherches portent sur la représentation des groupes de victimes au sein du conflit israélo-palestinien. Un thème complexe mais passionnant : “En observant la façon dont sont représentées les victimes, on peut
voir comment se construisent les nations. Le cinéma réussit parfois à faire en 1h40 ce que les états n’ont pas réussi en 65 ans.” Jonathan terminera sa thèse dans 2 ou 3 ans. Et après ? Pourquoi pas devenir enseignant-chercheur ? + de portraits sur www.relais-sciences.org
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Université de Caen Basse-Normandie : Univers des possibles Unique université de la Région et siège de Normandie Université, pôle de recherche et d’enseignement supérieur (PRES), l’Université de Caen Basse-Normandie (UNICAEN), dont les 5 antennes à Alençon, Cherbourg, Lisieux, Saint-Lô et Vire maillent le territoire régional, est riche de sa pluridisciplinarité, véritable levier de développement. Avec plus de 1 600 enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs et plus de 1 200 personnels des bibliothèques, ingénieurs, administratifs, techniques, et de santé, l’UNICAEN accueille chaque année plus de 24 000 étudiants auxquels elle offre un large éventail de formations, générales et professionnelles, de la licence au doctorat, en sciences, technologies, santé, droit, économie, gestion, arts, lettres, langues, sciences humaines et sociales : 18 DUT, 24 Licences, 43 Licences professionnelles, 27 Masters avec 90 spécialités, 2 filières d’ingénieurs, 61 spécialités de doctorat, des formations en médecine, pharmacie, orthophonie, et 7 écoles doctorales.
Atelier du chercheur
Les jeunes chercheurs face au public !
L’Université de Caen Basse-Normandie est le pôle scientifique le plus important de la région avec 7 écoles doctorales et 43 unités de recherche dont 22 unités associées aux grands organismes de recherche : CNRS, INSERM, CEA, INRA. L’Université développe des recherches fondamentales et technologiques avec des partenaires industriels et des pôles de compétitivité, et participe à la création d’entreprises.
Organisé depuis 2006 par Relais d’sciences avec le soutien de la Région Basse-Normandie et des Etablissements d’Enseignement supérieur, l’Atelier du chercheur est chaque année l’occasion pour de jeunes scientifiques de l’Université de Caen Basse-Normandie de partir à la rencontre de collégiens et de lycéens dans les établissements scolaires régionaux afin de présenter leur métier, d’échanger sur leur parcours et de partager leur passion pour la recherche.
www.unicaen.fr
Pour la première fois, l’Atelier du chercheur sera également présent sur le Village des Sciences de Caen la mer. Tout au long du week-end, les doctorants se mettront au défi de présenter leur thèse en 20 minutes ! Pour cette édition 2013, une trentaine de jeunes chercheurs issus de tous les domaines de recherche (électronique, biologie, droit, neurosciences, géographie, cinéma, physique des particules) ont accepté de prendre part à l’expérience. L’Atelier du chercheur est sur www.relais-sciences.org
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Centre National de la Recherche Scientifique
En Normandie, le CNRS est présent sur Caen, Le Havre et Rouen au travers de 42 unités recoupant l’ensemble de ces thématiques scientifiques. Au total, près de 1 800 agents dont plus de 850 chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs CNRS travaillent au sein de ses laboratoires pour répondre aux besoins de l’économie et de la société.
www.cnrs.fr
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Fête de la Science 2013
Avec plus de 34 000 personnes, dont près de 12 000 chercheurs, le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) est le plus important organisme public de recherche à caractère pluridisciplinaire en France. Il a pour mission principale de produire du savoir et de le mettre au service de la société. Le CNRS mène des recherches dans l’ensemble des domaines scientifiques, technologiques et sociétaux en s’appuyant sur plus de 1 100 unités de recherche et de service réparties dans toute la France.
Village des Sciences de Caen la mer
Le Village d
30 opérations pour découvrir les sciences parmi lesquelles... La chimie pour tous Laboratoire de Chimie Moléculaire et Thio-organique (LCMT)
Atelier du chercheur
L’équipe du LCMT proposent de petites expériences de chimie pour illustrer l’importance de la chimie dans notre vie quotidienne.
Relais d’sciences
Les doctorants de l’Université de Caen Basse-Normandie se mettent au défi de vous présenter leur thèse en 20 petites minutes !
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Les chercheurs de l recherches dans le d et en particulier sur
Le parcours de l’innovation : Wikigo Synergia, Normandie Incubation et Ganil
Lauréate 2012 du concours de l’innovation en Basse-Normandie “Y’a d’l’idée !”, la société Wikigo a développé une application pour smartphone destinée à faciliter l’utilisation des transports en commun pour les voyageurs réguliers et les personnes à mobilité réduite.
Archéologie et scan 3D Institut national de Recherches archéologiques préventives (INRAP)
Les équipes de l’INRAP présentent les technologies du scanner et relevé 3D mises au service de l’archéologie sur les sites de fouilles ou sur les mobiliers archéologiques.
Des animations pour les plus jeunes Le petit peuple de l’océan
Explorateurs du numérique
C’est la fin des haricots !
Les petits labos de
De l’océan au microscope, mettez-vous dans la peau d’un biologiste et découvrez l’incroyable diversité de la vie contenue dans une simple goutte d’eau de mer !
Devenez un vrai acteur de la toile en découvrant tout l’univers qui se cache à l’intérieur d’un ordinateur. Visitez le musée de Mme Ploc et créez ta propre musique de film pour “Mission H2O” !
Prenez votre stylo pour nous raconter des instants partagés autour d’un bon repas et imaginer ce que nous mangerons tous demain. Quel aliment ou quelle recette pourrait-on bien inventer ?
Endossez la blouse des ex datez, observez, identifie des objets archéologique les vestiges du passé !
Atelier proposé par La Cité de la Mer.
Atelier proposé par Les Petits Débrouillards Normandie.
Atelier proposé par “C’est quoi ce Baz…Art ?“.
Atelier proposé par le Musée de Vieux la Romai
des sciences s’invite sur la Presqu’île !
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Départ Navette
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Village des Sciences
Le Cargö
12 - 13 octobre 2013 / 10h - 18h
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Hôpital G. Clémenceau
Arrivée Navette
Les Rives de l’Orne
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Captil, l’empire des sens numériques
et ailleurs… Ciné-débat Aux sources du cinéma Le Café des Images propose une soirée autour de la tachycinéradiographie, technique associant cinéma à grande vitesse et radiographie, qui a permis d’analyser les mouvements rapides des chevaux. Le Café des Images, Square du Théâtre, Hérouville Saint-Clair. Lundi 7 octobre à 20h.
Portes ouvertes René Collignon, l’anthropologie au 19ème siècle À travers des vestiges archéologiques et des restes anthropologiques, une histoire des progrès scientifiques depuis la phrénologie jusqu’aux sciences humaines.
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Groupe de Recherche en Informatique, Image, Automatique et Instrumentation de Caen (GREYC)
Présentation en avant-première de “Captil”, projet lauréat du Prix Musée Schlumberger 2013 (voir p. 6).
Muséum Emmanuel Liais, Rue de l’Abbaye, Cherbourg-Octeville. Du 8 au 13 octobre, de 10h à 12h et de 14h à 18h.
Expédition La nuit, tous les papillons ne sont pas gris ! À la tombée de la nuit, réunis avec des spécialistes autour d’une source lumineuse et d’un drap blanc, observez les papillons venus par dizaines se poser à vos pieds ! Site de la Lande du Tertre du Bizet, Lonlay l’Abbaye. Vendredi 11 octobre à 20h.
N : Recherche et on de l’environnement
Découverte
rotection et de Sûreté nucléaire (IRSN)
l’IRSN invitent à découvrir leurs activités et domaine de la protection de l’environnement, r tout ce qui touche à l’analyse de l’eau.
e l’archéo
xperts de l’archéologie : ez et manipulez es… Faites parler
aine.
Exp’EAU
Navette gratuite Venez au Village des Sciences en bateau avec
Pendant tout le week-end, le Trip Normand vous emmène gratuitement au Village des Sciences à bord de ses navettes. Avant de découvrir le Village, profitez ainsi d’une balade sur le canal !
Embarquement Quai de Normandie. Navettes toutes les 15 minutes. Départ : 10h30-17h - Retour : 11h-18h
Une exposition-expérience autour de la gestion de l’eau dans les Marais du Cotentin et du Bessin. Comment fonctionnent les portes à flot ? Comment régler une vanne ? Et toute cette eau, à qui sert-elle ? Maison du Parc, Saint-Côme du Mont. Du 8 au 13 octobre, de 9h30 à 13h et de 14h à 17h30.
Le s Fo n d a m e nt a l e s Si la science était un monde à explorer, où iriez-vous ?
Quel territoire choisiriez-vous d’explorer ? Quelles forces seriez-vous prêt(e) à affronter ? Pour vous, que reste-t-il à découvrir ?
Rendez-vous sur le Village des sciences pour contribuer à la grande carte des territoires inexplorés de la recherche scientifique.
tout le programme sur www.relais-sciences.org
Stéphanie FOUGEROLLE Le virus de la recherche À 28 ans, Stéphanie a débuté en septembre sa thèse au Laboratoire Frank Duncombe. Si elle est aujourd’hui convaincue d’avoir trouver là sa voie, il n’en a pas toujours été ainsi : “Après le bac, j’ai tenté une 1ère année de pharma qui n’a pas été concluante. L’année d’après, j’ai travaillé comme cavalière mais cela ne m’a pas plus. J’ai donc décidé de reprendre mes études.” Stéphanie s’inscrit en biologie à l’Université de Tours. Le déclic pour la recherche vient plus tard : “Quand j’étais en licence, mon cheval a fait une rechute de piroplasmose. J’ai voulu comprendre, je me suis mise à lire de nombreuses publications scientifiques.” Elle découvre l’infectiologie et en fait sa spécialité. La thèse de Stéphanie porte sur le virus de grippe équine et son vaccin : “Le vaccin de la grippe équine fonctionne mais certains poulains répondent moins bien. Hors, dès que le virus se déclare dans une écurie, c’est toute l’activité de la filière qui est bloquée.” Un sujet très sensible lorsque l’on sait que les courses hippiques génèrent chaque année plus de 9,5 milliards d’euros de jeux en France*.
Signe de l’importance de son sujet, les travaux de recherche de Stéphanie** sont réalisés dans le cadre de la Chaire d’excellence d’immunologie équine de l’Université de Caen Basse-Normandie. Sa thèse est ainsi encadrée par l’un des plus grands spécialistes mondiaux en immunologie, Romain Payot, Chef d’immunologie à l’Animal Health Trust (Newmarket), et Stéphane Pronost, Chef du service Virologie/ Biologie moléculaire au Laboratoire Frank Duncombe. * Source : haras-national.fr. ** Ces recherches sont co-financées par le Conseil Général du Calvados, le Conseil Régional de Basse-Normandie et l’Union Européenne.
+ de portraits sur www.relais-sciences.org
1 an après…
Cérébro : prévenir et guérir les AVC Il y a tout juste un an, l’équipe “Sérines protéases et Physiopathologie de l’Unité neurovasculaire” (SP2U) recevait le Prix Musée Schlumberger 2012 pour “Cérébro”, un dispositif original dont “le but est d’expliquer comment reconnaître un AVC et savoir quoi faire lors de cet accident”, comme l’expliquait alors Véronique Agin, Enseignant-chercheur en charge de la communication de l’équipe. Un an après, où en est-on ? Depuis la Fête de la Science 2012, les membres de l’équipe ont travaillé au déploiement d’une application mobile avec les ingénieurs de la société Datexim. “Nous voulions que n’importe qui puisse s’approprier Cérébro et l’utiliser pour faire de l’information et de la prévention auprès du public, où qu’il se trouve” indique Cyrille Orset, l’un des 4 chercheurs de l’équipe impliqués dans le projet. Mise en ligne en mars dernier pour la Semaine du Cerveau, l’application est actuellement présentée à Bordeaux par le centre de sciences d’Aquitaine, Cap Sciences.
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Plateforme biomédicale Cyceron CYCERON est une plateforme d’imagerie biomédicale implantée à Caen qui a la particularité de regrouper différentes techniques d’imagerie pour permettre l’exploration la plus diversifiée possible des organes. CYCERON a constamment été modernisé depuis sa création et regroupe aujourd’hui un ensemble unique d’instruments adaptés à l’imagerie à l’échelle de la cellule, de l’organe et jusqu’au corps entier. Adossé à ce large éventail d’équipements scientifiques sur un site unique, CYCERON est également source de synergie en hébergeant des équipes de recherche, chacune avec sa propre thématique, pour étudier le fonctionnement et les dysfonctionnements d’organes comme le cerveau et le cœur. La recherche menée à CYCERON est à la fois fondamentale pour mieux comprendre les mécanismes biologiques en jeu dans le fonctionnement de nos organes et appliquée pour l’étude de pathologies comme l’accident vasculaire cérébral (AVC), les traumatismes médullaires, la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie ou les tumeurs cérébrales.
www.cyceron.fr
Le projet “Cérébro” a également permis aux chercheurs de s’adresser au public scolaire : “Nos recherches intéressent habituellement un public âgé, plus concerné par le problème des AVC.”, précise Cyrille Orset. “La tablette tactile constitue un élément d’attractivité qui nous a permis d’ouvrir le dialogue avec des publics plus jeunes.” L’équipe SP2U étaient ainsi présente, avec les 2 autres lauréats du concours “Têtes chercheuses”, aux rencontres académiques “ÉcolySciences” qui ont réunis plus de 400 collégiens à Caen en mai dernier. Au final, “Cérébro” se révèle une “aventure positive” pour les chercheurs qui avouent avoir encore de nombreuses idées pour améliorer le projet : “Nous voudrions acquérir un projecteur pour pouvoir faire des démonstrations à des groupes et les commenter en direct. Nous avons également pensé à une version web pour que “Cérébro” soit encore plus facilement accessible, notamment dans les collèges et les lycées.” En attendant ces nouveaux développements, de nouveaux rendezvous sont déjà prévus. Après son passage sur le Village des Sciences de Caen la mer les samedi 12 et dimanche 13 octobre, les membres de l’équipe SP2U participeront avec “Cérébro” à la Journée mondiale de prévention des AVC organisée le 15 octobre 2013 au CHRU de Caen.
Retrouvez toutes les Têtes chercheuses sur www.relais-sciences.org
Têtes chercheuses
Captil, Prix Musée Schlumberger 2013 La Fondation Musée Schlumberger et Relais d’sciences ont lancé en 2010 le concours “Têtes chercheuses”. Destinée aux équipes de recherche de Basse-Normandie, cette initiative a un objectif simple : soutenir les scientifiques qui souhaitent parler de leurs recherches (et de leurs découvertes) au public.
Fête de la Science 2013
C’est le Groupe de Recherche en Informatique, Image, Automatique et Electronique de Caen (GREYC) qui est le lauréat du Prix Musée Schlumberger 2013 avec son projet intitulé “Captil”. Porté par Jean-Marc Routoure et les membres de l’équipe “Electronique” du GREYC, “Captil” est un dispositif interactif où le spectateur devient acteur pour mieux comprendre comment une machine est capable de percevoir son environnement et d’adapter ses actions, comme peut le faire un aspirateur automatique qui évite les meubles du salon. “Captil” sera présenté en avant-première sur le Village des Sciences de Caen la mer les 12 et 13 octobre 2013.
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Plus d’informations sur www.relais-sciences.org.
Entrepreunariat
Le parcours de l’innovation La recherche n’existe pas que dans les laboratoires, elle est aussi dans les jeunes entreprises innovantes qui vous entourent en Basse-Normandie. Pour la 6ème année consécutive, une dizaine d’entreprises bas-normandes sont réunies sur l’espace Entreprises du Village des Sciences de Caen la mer pour illustrer, au travers de témoignages et de rencontres les liens entre la recherche et l’entrepreneuriat. Les entreprises présentes cette année seront : Ivamer (Recherche et développement en biologie marine), Datexim (Démonstration de réalité augmentée), Wikigo (Présentation d’une application mobile qui propose une nouvelle expérience de la mobilité urbaine), W2Next (Solution de distribution de médicaments personnel, sécurisé et automatique), Digital Airways (Nouveaux usages et nouveaux produits), Adymic (Jeux sur mobiles et tablettes), C. TexDev (Présentation de l’application CommunicoTool qui permet aux enfants autistes de communiquer), You–I (Réalité augmentée au travers d’un jeu de tir à l’arc virtuel), NearForge (Technologie NFC et nouveaux usages) et Leech Lab (Présentation de la sangsue médicinale et de l’hirudothérapie). Cet espace Entreprises est le fruit d’une collaboration étroite entre Synergia, Normandie Incubation et le GANIL.
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Grand Accélérateur National d’Ions Lourds Unique en Europe, le Grand Accélérateur National d’Ions Lourds (GANIL) est l’un des 4 grands laboratoires mondiaux pour la recherche en physique nucléaire. Laboratoire au service de la communauté scientifique internationale, le GANIL accueille chaque année plusieurs centaines de chercheurs et contribue ainsi à de nombreuses découvertes. Spécialisé dans la physique des “noyaux exotiques” (noyaux qui n’existent pas à l’état naturel sur Terre), le GANIL va se doter d’un tout nouvel équipement : SPIRAL 2. Ce système de production et d’accélération de noyaux exotiques de seconde génération devrait permettre de mener des études scientifiques jusqu’alors impossibles. SPIRAL 2 est en construction sur le site du GANIL et doublera la superficie actuelle des installations qui passera de 11 000 m² à environ 20 000 m². La phase 1 du projet devrait se terminer mi-2013.
www.ganil-spiral2.eu
Thibaut PREUX Des territoires et des hommes Thibaut, 23 ans, est originaire de Cherbourg-Octeville. Il a intégré le laboratoire “Littoral, Environnement, Télédétection, Géomatique” (LETG-GEOPHEN, UMR 6554*) en octobre 2012.
Les recherches de Thibaut portent sur l’évolution du paysage de bocage en Normandie depuis 40 ans, un sujet qu’il a pu choisir et travailler avec son directeur de thèse : “En géographie, les sujets sont rarement imposés.”L’idée de cette étude est de comparer l’évolution du paysage de 4 territoires laboratoires de 15 000 hectares (Pays d’Auge, Bessin, Sud Manche et région de Vire) pour comprendre comment les transformations de l’agriculture peuvent influencer les paysages de bocage. Les enjeux environnementaux liés à l’évolution de ces paysages (érosion, pollution des eaux, biodiversité) constituent également un élément important du travail de Thibaut et un axe majeur du laboratoire. Pour effectuer ce travail, Thibaut doit maîtriser de nombreux outils et posséder de nombreuses connaissances. “Dans notre laboratoire, les thèses sont construites en multipliant les approches qualitatives et quantitatives, le travail en laboratoire et les explorations de terrain. La justesse
du propos vient du croisement des regards.” Il doit ainsi aussi bien savoir se servir d’un logiciel de traitement d’images satellites que connaître le fonctionnement d’une exploitation agricole ou maîtriser l’art de l’entretien pour aller à la rencontre des agriculteurs. Un élément essentiel pour Thibaut : “Le récit des agriculteurs permet de rendre la thèse plus vivante. Ces témoignages fournissent les clés de compréhension aux observations statistiques.” À terme, la méthode et les données produites par Thibaut devraient permettre de lancer de nouvelles études et notamment des modélisations sur les évolutions futures du paysage. Quant à Thibaut, il souhaiterait partir en post-doctorat à l’étranger puis trouver un poste où il se partagerait entre enseignement et recherche. “La recherche en circuit fermé est un risque. Même chose pour l’enseignement. L’enseignement oblige le chercheur à être le plus clair possible dans sa pratique. La recherche permet à l’enseignant de valoriser les pratiques les plus actuelles.” * Le laboratoire LETG est une unité mixte de recherche (UMR) de l’Université de Nantes, l’Université de Caen Basse-Normandie, l’Université Rennes 2, l’Université de Brest et le CNRS.
Lire son interview sur www.relais-sciences.org
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Fête de la Science 2013
Après son Bac ES, Thibaut hésite entre histoire et géographie. Il choisit finalement la géographie sur les conseils d’un professeur. Un choix qu’il ne regrette pas. La géographie se révèle être une discipline enrichissante et variée, très loin de ce qu’il s’imaginait depuis les bancs du lycée : “Au lycée, on fait de la culture générale sur le monde. À l’Université, on s’intéresse à l’Homme et à son environnement.” S’il se passionne pour cette discipline, Thibaut n’est pas particulièrement intéressé par la recherche. C’est l’opportunité de réaliser un mémoire qui le convainc. Ce travail lui donne envie de poursuivre son cursus. Master 1, Master 2 et aujourd’hui Doctorat.
Merci !
Relais d’sciences remercie l’ensemble des scientifiques, ingĂŠnieurs, techniciens et mĂŠdiateurs qui se sont mobilisĂŠs pour cette 22ème ĂŠdition de la FĂŞte de la Science en Basse-Normandie ainsi que tous les partenaires techniques, financiers et mĂŠdias. Adymic t "HFODF EF M &BV 4FJOF /PSNBOEJF "&4/ t "HFODF .BODIF &OFSHJF t Agence Nationale de Gestion des DĂŠchets Radioactifs - Centre de Stockage de la Manche (ANDRA Manche) t "HFODF /BUJPOBMF EF 4Ă?DVSJUĂ? 4BOJUBJSF EF M "MJNFOUBUJPO EF M &OWJSPOOFNFOU FU EV 5SBWBJM "/4&4 t "MJNFOUT #JPQSPDĂ?EĂ?T 5PYJDPMPHJF &OWJSPOOFNFOUT "#5& t "SDIJWFT GSBOĂŽBJTFT EV ĂśMN t "3%* 1IPUPHSBQIJFT t "SU *UJOĂ?SBOU t "TTPDJBUJPO EFT 1SPGFTTFVST EF #JPMPHJF (Ă?PMPHJF "1#( #BTTF /PSNBOEJF t "TTPDJBUJPO EFT 3BEJPBNBUFVST EV $BMWBEPT "3"$ t "TTPDJBUJPO 1BUSJNPJOF (Ă?PMPHJRVF /PSNBOE "1(/ t #JCMJPUIĂ’RVF EF $BFO t #VSFBV 3Ă?HJPOBM EFT &MĂ’WFT *OHĂ?OJFVST #3&* #BTTF /PSNBOEJF t $BCJOFU E Ă?UVEFT FOWJSPOOFNFOUBMFT i1FUFS 4UBMMFHHFSw t $FOUSF E &UVEFT FU EF 3FDIFSDIF TVS MF .Ă?EJDBNFOU EF /PSNBOEJF $&3./ t $FOUSF E &UVEFT 4QPSU FU EFT "DUJPOT .PUSJDFT $FTBN4 t $FOUSF E *NBHFSJF FU EF 3FDIFSDIF TVS MFT "òFDUJPOT -PDPNPUSJDFT &RVJOFT $*3"-& t Centre d’Initiation aux Energies Renouvelables (CIER) t $FOUSF *OUFSEJTDJQMJOBJSF EF 3Ă?BMJUĂ? 7JSUVFMMF $*3&7& t Centre de Recherche FO %SPJU 1SJWĂ? $3%1 t $FOUSF EF 3FDIFSDIF FO &DPOPNJF FU .BOBHFNFOU $3&. t $FOUSF EF 3FDIFSDIF FO )JTUPJSF 2VBOUJUBUJWF $3)2 t $FOUSF EF 3FDIFSDIF TVS MFT %SPJUT 'POEBNFOUBVY FU MFT &WPMVUJPOT EV %SPJU $3%'&% t Centre de Recherche sur les Ions, les MatĂŠriaux et la Photonique (CIMAP) t $FOUSF EF 3FDIFSDIFT "SDIĂ?PMPHJRVFT FU )JTUPSJRVFT "ODJFOOFT FU .Ă?EJĂ?WBMFT $3")". t $FOUSF /BUJPOBM EF MB 3FDIFSDIF 4DJFOUJĂśRVF $/34 t $FOUSF /BUJPOBM EF 3FDIFSDIF 5FDIOPMPHJRVF TVS MFT .BUĂ?SJBVY $/35 .BUĂ?SJBVY t $FOUSF 1FSNBOFOU E *OJUJBUJWFT QPVS M &OWJSPOOFNFOU du $BMWBEPT $1*& 7BMMĂ?F EF M 0SOF t $FOUSF 3Ă?HJPOBM EF %PDVNFOUBUJPO 1Ă?EBHPHJRVF $3%1 #BTTF /PSNBOEJF t $FOUSF 6OJWFSTJUBJSF EF .JDSPTDPQJF BQQMJRVĂ?F Ă‹ MB #JPMPHJF $."#*0 t $IBNCSF E "HSJDVMUVSF EV $BMWBEPT t $JOĂ?NBUIĂ’RVF GSBOĂŽBJTF t $3&" 4QFDUBDMFT t $ 5FY%FW t %BUFYJN t %Ă?QBSUFNFOU EF M 0SOF $( t %JHJUBM "JSXBZT t %JSFDUJPO %Ă?QBSUFNFOUBMF EFT 5FSSJUPJSFT FU EF MB .FS EV $BMWBEPT %%5. t &DPMF TVQĂ?SJFVSF E *OHĂ?OJFVST EFT 5SBWBVY EF MB $POTUSVDUJPO EF $BFO &4*5$ t EcomusĂŠe de la Baie t &TQBDFT FU 4PDJĂ?UĂ?T &40 t Etablissement 1VCMJD -PDBM E &OTFJHOFNFOU FU EF 'PSNBUJPO 1SPGFTTJPOOFMMFT "HSJDPMFT EF 4BJOU -Ă™ 5IĂ’SF &1-&'1" 4BJOU -Ă™ 5IĂ’SF t 'BC-BC $BFO #BTTF /PSNBOEJF t 'FSNF QĂ?EBHPHJRVF E &TDVSFT t 'POEBUJPO .VTĂ?F 4DIMVNCFSHFS t (SBOE "DDĂ?MĂ?SBUFVS /BUJPOBM E *POT -PVSET ("/*- t (SPVQF i.Ă?NPJSF FU 1MBTUJDJUĂ? DPNQPSUFNFOUBMFw (.1D t (SPVQF E &UVEF EFT *OWFSUĂ?CSĂ?T "SNPSJDBJOT (3&5*" t Groupe de Recherche en Informatique, Image, Automatique et Instrumentation de Caen (GREYC) t *EFOUJUĂ? FU %JòĂ?SFODJBUJPO EF M &TQBDF EF M &OWJSPOOFNFOU FU EFT 4PDJĂ?UĂ?T *%&&4 t *NBHFSJF FU 4USBUĂ?HJFT UIĂ?SBQFVUJRVFT EFT 1BUIPMPHJFT DĂ?SĂ?CSBMFT FU UVNPSBMFT *45$5 t *OTUJUVU EF #JPMPHJF 'POEBNFOUBMF FU "QQMJRVĂ?F *#'" t *OTUJUVU EF 3BEJPQSPUFDUJPO FU EF 4Ă&#x;SFUĂ? /VDMĂ?BJSF *34/ t *OTUJUVU 4VQĂ?SJFVS EF 1MBTUVSHJF E "MFOĂŽPO *41" t *WBNFS t -B $JUĂ? EF MB .FS t -BCPSBUPJSF EF $IJNJF .PMĂ?DVMBJSF FU 5IJPPSHBOJRVF -$.5 t -BCPSBUPJSF EF $SJTUBMMPHSBQIJF FU 4DJFODFT EFT .BUĂ?SJBVY $3*4."5 t -BCPSBUPJSF EF .BUIĂ?NBUJRVFT /JDPMBT 0SFTNF -./0 t -BCPSBUPJSF EF .JDSPĂ?MFDUSPOJRVF FU 1IZTJRVF des Semiconducteurs (LaMIPS) t -BCPSBUPJSF EF 1BUIPMPHJF &RVJOF -1& t -BCPSBUPJSF EF 1IZTJRVF $PSQVTDVMBJSF -1$ t -BCPSBUPJSF EF 1TZDIPMPHJF EV %Ă?WFMPQQFNFOU FU EF M &EVDBUJPO EF M &OGBOU -B1TZ%& t -BCPSBUPJSF 'SBOL %VODPNCF t -BCPSBUPJSF 6OJWFSTJUBJSF EFT 4DJFODFT "QQMJRVĂ?FT EF $IFSCPVSH -64"$ t -F #POIFVS FTU EBOT MFT "TTJFUUFT t Le CafĂŠ des Images t -F $IJFO RVJ 'Ă&#x;NF t -FT $SPRVFVST EF 1PNNFT t -FFDI -BC t Les Petits DĂŠbrouillards Normandie t -FUUSFT "SUT EV 4QFDUBDMF -BOHVFT 3PNBOFT -"4-"3 t -JUUPSBM &OWJSPOOFNFOU 5Ă?MĂ? EĂ?UFDUJPO (Ă?PNBUJRVF -&5( (&01)&/ t .BJTPO EF M *NBHF EF #BTTF /PSNBOEJF t .JDSPFOWJSPOOFNFOUT $FMMVMBJSFT FU 1BUIPMPHJFT .*-1"5 t MobilitĂŠs : Attention, Orientation et Neurobiologie $0.&5& t .PSQIPMPHJF $POUJOFOUBMF FU $Ă™UJĂ’SF . $ t .VTĂ?F BSDIĂ?PMPHJRVF EF 7JFVY MB 3PNBJOF t .VTĂ?F EF /PSNBOEJF t .VTĂ?F &NNBOVFM -JBJT t .VTĂ?F NBSJUJNF EF M Ă”MF 5BUJIPV t /FBS'PSHF t /FVSPQTZDIPMPHJF DPHOJUJWF FU /FVSPBOBUPNJF GPODUJPOOFMMF EF MB .Ă?NPJSF IVNBJOF 6.3 4 t /PSNBOEJF *ODVCBUJPO t /VDMĂ?PQPMJT t 0FTUSPHĂ’OFT 3FQSPEVDUJPO $BODFS 0F3F$B t 1BMĂ?PTQBDF i- 0EZTTĂ?Fw t 1BSD /BUVSFM 3Ă?HJPOBM EFT .BSBJT EV $PUFOUJO FU EV #FTTJO t 1BT E ÉOFT t 1BWJMMPO EFT &OFSHJFT t 1IPYBTPOF t 1MBUFGPSNF CJPNĂ?EJDBMF $:$&30/ t 1MBUFGPSNF E JNBHFSJF CJPNĂ?EJDBMF $ZDFSPO t 1SFTUP &OHJOFFSJOH t 3Ă?HJPO #BTTF /PSNBOEJF t 3FMBJT E TDJFODFT t 3JWJĂ’SF FU #PDBHF t 4Ă?SJOF QSPUĂ?BTFT FU 1IZTJPQBUIPMPHJF EF M 6OJUĂ? OFVSPWBTDVMBJSF 41 6 t 4JHOBMJTBUJPO &MFDUSPQIZTJPMPHJF FU *NBHFSJF EFT -Ă?TJPOT E *TDIĂ?NJF 3FQFSGVTJPO .ZPDBSEJRVF &"̓ t SociĂŠtĂŠ d’Investissement en Cultures lĂŠgumières horticoles de Basse-Normandie (SILEBAN) t 4ZOEJDBU NJYUF EV .POU 4BJOU .JDIFM t 4ZOFSHJB t 6OJPO 3Ă?HJPOBMF EFT *OHĂ?OJFVST FU 4DJFOUJĂśRVFT 63*4 #BTTF /PSNBOEJF t 6OJUĂ? EF 3FDIFSDIF i3JTRVFT .JDSPCJFOTw 6 3. t 6OJWFSTJUĂ? EF $BFO #BTTF /PSNBOEJF t 6OJWFSTJUĂ? 3FOOFT t 8JLJHP t 8 /FYU t :PV‰*
Relais d’sciences
Science et Culture, Innovation en Basse-Normandie En Basse-Normandie, la FĂŞte de la Science est coordonnĂŠe par Relais d’sciences. MĂŠdiateur rĂŠfĂŠrent entre la communautĂŠ scientifique et le grand public, Relais d’sciences est chargĂŠ de la diffusion de la culture scientifique en Basse-Normandie. Ă€ l’image de ses “OdyssĂŠesâ€? et de sa dernière exposition “Zoomâ€?, Relais d’sciences dĂŠveloppe des actions culturelles innovantes entre sciences, art et innovation pour susciter la curiositĂŠ du public pour le monde qui l’entoure. Cette dĂŠmarche a ĂŠtĂŠ rĂŠcompensĂŠe en 2011 par le Prix Diderot de l’Initiative culturelle, Prix national de la culture scientifique et technique. Relais d’sciences poursuit aujourd’hui cette dynamique au travers du projet interrĂŠgional “InmĂŠdiatsâ€? qui vise, en collaboration avec 5 autres centres de sciences, Ă renouveler les modes de diffusion de la culture scientifique et technique grâce aux nouvelles technologies numĂŠriques.
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