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OLIBO RÉMI 02.02.1989 remi.olibo@gmail.com 23 cours Vitton -69006 Lyon - FRANCE (+33)6.32.08.78.39
éDUCATION 2015
MASTER II ENSAL - Mention du jury domaine SPAA - stratégies et pratiques architecturales avancées
2014
MASTER I ENSAL domaines SPAA et AVP - stratégies architecturales avancées et architecture, ville et paysages
2011 à 2013
Licence d’architecture ENSAL
2009 À 2010
PCEM1 - médecine - Lyon
2008
Baccalauréat section S - mention
Expérience 2015
Responsable communication du festival Archisound
2014
Responsable communication du festival Archisound
2013 à 2015
Collaboration à l’année pour Aude Dumont architecte Chargé de mission - dessin autonome phases esquisse à pro - perspectives - suivi de chantier
2012
Stage architecture - Didier Dalmas architecte associés - Juin à septembre Esquisses - faisabilités - aménagement intérieur d’ERP - consultation d’entreprise
2004 à 2012
Saisonnier - Société Parquetsol - Juin à septembre Pose de parquet et sol souple - manutention, entretien, livraison
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COMPÉTENCES AUTOCAD ARCHICAD VECTORWORKS
PHOTOSHOP ILLUSTRATOR INDESIGN AFTER EFFECT
3DSMAX RHINOCEROS GRASSHOPPER SKETCHUP ARTLANTIS
ANGLAIS ESPAGNOL ITALIEN
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SOMMAIRE
Préambule
Master II - Position, de la ville au logement
Binôme : Valentin Robe
FEYZIN - à priori
Enseignants : Christophe Boyadjian - Jean-Yves Quay - Marc Bigarnet
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Master II - Projet de fin d’études #1
Binôme : Valentin Robe
Enseignants : Christophe Widerski - Boris Bregman - Boris Roueff
BARTENHEIM - ambiguité
Master II - Projet de fin d’études #2
Binôme : Valentin Robe
Enseignants : Christophe Widerski - Boris Bregman - Boris Roueff
parametric architecture
Master I - expérience pro
Binôme : Etienne Gilly
Enseignants : Hervé Lequay - Walter Piccoli - Philippe Marin
investissement personnel
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Divers
Publications - travaux professionnels
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Avant-propos : Feyzin, sa raffinerie, son organisation. La ville est un paysage complexe, un assemblage d’éléments qui sont la résultante de situations et de conjonctures qui ont évolué très rapidement depuis la création de la raffinerie. Cette vitesse de développement n’a pas laissé à la ville traditionnelle le temps d’assimiler ces changements, créant des superpositions et assemblages de monofonctionnalités. L’idée de travailler la ville de vis à vis en vis à vis en profitant de toutes les situations (accession de parcelles par la mairie, parcelles délaissées…) réactive cet assemblage de noyaux mono-fonctionnels.
Préambule De la ville au logement. Position. Les éléments urbains ont un impact les uns sur les autres, leur maillage permet de travailler le territoire dans un projet global et ponctué. C’est la ponctuation du territoire par l’architecture qui fait la ville, peu importe le tissu dans lequel elle s’insère. Poursuivre l’étalement urbain et la consommation de sol agricole n’a pas de sens aujourd’hui. Il faut arrêter l’urbanisme dilapidaire et s’appuyer sur les tissus existants pour densifier la ville et la réparer. C’est la complexité de la situation qui crée la richesse et la singularité de l’intervention. Il n’est donc pas question ici d’un travail sur la frange ou le délaissé, mais bien le questionnement du coeur d’un tissu en activité.
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l’intérêt de la vie « ordinaire », des situations de tous les jours
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Travailler une architecture offrant des situations singulières et spécifiques à l’habiter, est pour nous une manière assumée de rendre le projet attractif. La richesse du logement aujourd’hui réside dans sa capacité à nous offrir ce qui n’est pas générique, ce qui n’est pas destiné à tout le monde. Ces situations spécifiques et particulières donnent au logement et à son environnement un caractère qui lui est propre. Cette position va à l’encontre d’une « tendance » contemporaine visant à rendre le logement le plus propice possible à l’appropriation par l’usager. Idée qui, selon nous, peut tendre vers une négation de l’architecture (non traitement des matériaux, géométrie et espaces génériques, volonté systématique de rentabilité maximale dans les circulations…) Cette recherche de situation spécifique dans le logement doit selon nous être travaillée en parallèle d’un traitement rationnel quant aux exigences contextuelles (économiques, politiques…). Il y a donc dans notre travail, une attention particulière portée sur l’intérêt de la vie « ordinaire », des situations de tous les jours. La spécificité du logement est donc au service d’un tout rationnel, et crée une plus-value dans la manière d’habiter le lieu.
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Exemple de travail itératif sur la reconversion d’un clos-couvert industriel. axonométries - maquettes béton/carton gris
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Expérimenter la forme, sans tomber dans le catalogage de possibilités. Trouver de la pertinence par la confrontation des possibilités évoquées.
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En France, INSEE : 28 000 zones d’activités. Ces zones sont majoritairement accolées aux tissus urbains, créant des périphéries et entrées de ville mono-fonctionnelles. Ces territoires sont issus de grandes planifications et ne sont jamais considérés comme appartenant à la ville bien qu’accolés à celle-ci. L’architecture est complètement absente de ces zones et l’habiter est donc inexistant. Cette problématique contemporaine du devenir de ces territoires nous intéresse car elle cible autant l’imaginaire hostile que renvoient ces zones d’activité, que leur caractère de nonville, formée de bâtiments autistes les uns des autres.
FEYZIN - à priori Intégrer un habiter immédiat dans une ZI
Comment travailler ces territoires accidentés en y intégrant un habiter immédiat ? Comment percevoir et implanter une architecture du quotidien dans un environnement hostile à cela ? À travers un regard sur la perception de l’objet architectural et de la zone d’activité, ce travail manipule les à-prioris. L’objet architectural est indépendant et apporte une qualité de vie ordinaire sublimée par le grand paysage. L’environnement proche s’efface et s’oublie aux travers des espaces créées, dans un parcours de tous les jours partant de la rue jusqu’à la fenêtre de l’appartement. Le mur, dispositif architectural, s’enroule et s’épaissit autour de l’appartement, créant une plus-value qualitative d’espaces intérieurs.
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Évolution de la façade vis à vis du contexte
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Situation urbaine
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Coupe Nord Sud en regard du paysage
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Photomontage - insertion lointaine
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Photomontage - insertion proche
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Intégration d’un habiter immédiat dans une zone en activité. Existance d’une architecture dans un paysage fonctionnel accidenté. Prise de hautreur du bâtiment pour s’élever au dessus des halles industrielles et profiter, seul, du grand paysage. Eloge d’une vie ordinaire sans tabula rasa, sans modification profondu du tissu. L’architecture fait la ville.
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Maquette d’insertion - béton carton bois - 1:200e
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Plan d’étage courant - dessin initial 1:50e
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Photo - maquette béton/carton des murs épais
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Photo - maquette béton/carton des coursives
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Dispositifs : mur épais accueillant diverses fonctions selon la pièce à laquelle il se rattache, et double mur béton pour les balcons filants.
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Photomontage - coursives avec vue sur le grand paysage, faisant oublier la zone d’activité
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Coupe du bâtiment sur un plot - d’un côté le mur épais, de l’autre la coursive
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Le mur est le dispositif architectural qui vient marquer la transition entre le logement et l’environnement proche. Il s’entoure sur le bâtiment prenant de l’épaisseur selon le contexte. Son dédoublement crée des balcons filants s’ouvrant sur le paysage. Son épaississement donne l’opportunité de créer des pièces supplémentaires, ainsi que des espaces entre aménagés d’une estrade. Cet «entre-mur» permet d’augmenter l’espace habité et change de fonction selon la pièce à laquelle il se rattache. Les surfaces généreuses ainsi créées sont rendues possibles grâce à l’accession d’un foncier très abordable dans ces zones.
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Axonométrie des espaces «d’entre-murs» au niveau des chambres et du séjour
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Façade et matérialité au niveau des murs épais - échelle d’origine 1:20e
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Coupe de façade au niveau des murs épais - échelle d’origine 1:20e
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Maquette d’étage courant - Bois/béton/carton - 1:50e
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La visite avec les élus de Bartenheim a été pour nous une chance de toucher du doigt les problématiques réelles auxquelles est confronté le village. La nécessité de densifier le territoire est un sujet contemporain, la question principale est donc où et comment ? Nous avons voulu aller plus loin que la question de la densification, en nous demandant comment habiter un territoire comme celui là. À cheval entre la ville (administratif) et le village (morphologie), Bartenheim peine à se situer. Son tissu est très marqué par les réseaux viaires, son patrimoine architectural de fermes alsaciennes est présent mais anecdotique. Le tissu « traditionnel » est donc figé sans raisons et se met au service de la voiture, indispensable aux habitants. Les nouvelles commandes se font en périphérie, sur des franges entre pavillonnaire et champs.
Bartenheim - ambiguité Intégrer un habiter contemporain dans un village traditionnel. Encore une fois, nous sommes persuadés que l’évolution de ces territoires passe par une remise en question via l’architecture de son coeur, et non pas par l’aménagement de ses frontières. Nous avons voulu aller contre la solution de facilité qui pousse aujourd’hui le politique à récupérer des terrains à la marge afin d’y construire de grandes opérations. La volonté des élus de re-trouver un « coeur de village » dans ce qu’ils ont eux même façonné comme une ville est contradictoire. Cette idée nous renvoie à des questions de sémantique des « avenues » et autres « parkings » de Bartenheim, en rupture avec l’imaginaire du village qu’ils veulent retrouver.
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Remplissage des parcelles disponibles aujourd’hui
Décalages vis à vis du contexte proche
Percement de la masse extrudée
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Morphogenèse
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Situation urbaine
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Implantation proche - axonométrie
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Cette idée d’implantation au coeur du village nous a conduit à réfléchir la question de la grande forme dans un tissu composé. L’image de la ville médiévale, dans sa complexité, sa richesse de formes, de passages, de proximités, a été le point de départ de la réflexion et ne nous a jamais quitté. Retrouver de la densité dans la complexité et dans le rapport étroit (physique, matériel...) avec l’existant, nécessite un processus précis. Ce processus doit être un cadre qui nous permette de travailler des relations subtiles et des ajustements qui donneront au projet sa place dans la ville de manière pertinente. Notre méthode s’est donc appuyée sur une utilisation maximale de la surface disponible au sol, une sorte de nappe recouvrante, qui viendrait ensuite prendre la forme du contexte. Des décalages subtils, réfléchis et assumés vis à vis de l’existant sont mis en place. Habiter une forme urbaine étendue et épaisse implique un percement de celle-ci (apports de lumière, accès...). L’architecture se fait donc par le remplissage de la forme plutôt que l’assemblage de cellules.
Photomontage
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Maquette bois/carton blanc - 1:200e
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Plan d’étage courant - lien étroit entre le bâtiment et le contexte proche - échelle d’origne 1:50e
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Illustration de l’usage de la fenêtre - jeu de filtre par l’utilisation
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Coupe sur un appartement - échelle d’orinige 1:50e
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Coupe-perspective N/S
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Le projet disposé dans le tissu est ambiguë : c’est une forme de grande dimension, mais qui est tellement insérée dans l’existant que son tout n’est jamais perceptible depuis la rue. Les masques que créent le contexte, la végétation, ne laissent apparaitre que certains extraits du projet, et ce sur différents plans à la fois (proche/voir, loin/ apercevoir, très loin/deviner).
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Plan d’un appartement - échelle d’orinige 1:50e
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Image de projet - traitement de la cour
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L’idée est de cultiver cette ambiguité entre la grande dimension et sa dilution entre les différents plans visuels de l’existant. L’ambiguité passe par un travail sur la matérialité. Cette taille permet au bâtiment d’être parfois vu, parfois aperçu, parfois touché, dans un périmètre assez vaste. Il nous est paru intéressant de mettre en oeuvre une maçonnerie qui pourrait traduire ces différents états de perception. Pour cela, le choix de la brique s’est montré pertinent. Le travail de la matière brut par un enduit à la chaux permet de donner un caractère très uni de loin, de deviner l’appareillage de plus près, et de comprendre l’ensemble une fois au contact du bâtiment. La matière est au service du projet, et le parement en brique nous sert à travailler une épaisseur de mur imposante à l’intérieur. Cette épaisseur aide les dispositifs architecturaux mis en place pour gérer la proximité et l’intimité des logements les uns par rapport aux autres.
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Coupe de façade - échelle d’origine 1:20e
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Façade et matérialité correspondant
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Maquette/coupe du bâtiment - bois/béton/plâtre - échelle d’origine 1:20e
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Les meneaux verticaux des fenêtres sont des lames métalliques profondes qui permettent de couper le vis-à-vis oblique créé par la proximité des appartements sur cour.
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L’architecture paramétrique est une approche nouvelle et innovante d’aborder le projet. L’utilisation d’outils numériques n’est plus réservé à la représentation graphique seule, elle permet d’utiliser des puissances de calculs pour concevoir des formes et des espaces impossible à représenter avec les outils traditionnels. La paramétrisation permet des variations infinies en fonction des variables introduites. Cette approche de l’architecture en lien avec les outils de demain (impression 3D, découpe laser...) est un virage important et irrémédiable vis à vis de la conception traditionnelle, il est essentiel de ne pas le manquer.
ARCHITECTURE PAraMÉTRIQUE Forme et processus de demain
L’outil paramétrique permet de générer des formes, motifs et diagrammes quasi-impossibles à réaliser à la main. L’outil numérique ainsi que ses puissances de calcul sont utilisés via des algorythmes choisis pour interagir sur des objets, formes, organisations spatiales... Créer ainsi une infinité de variante d’un modèle en quelques secondes peut s’avérer être un gain de temps non négligeable. Toutes ces applications sont à inventer et permettent à l’architecture d’accéder à des domaines encore inexplorés.
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dôme facettisé Triangulation d’un dôme paramétré
Ce projet a été publié dans la revue MC2014 et exposé à minatec à Grenoble. Cette exposition, ainsi que cette publication ont été réalisés par le CNRS, en partenariat avec le CEA (IRT Nanoelec) ainsi que le MIT (Massachusetts Institute of Technology) Le dôme est une structure facettisée en Forex, la structure triangulée est auto-portante et maintenue grâce à des connecteurs en PMMA. Les connecteurs sont des clavettes pouvant être démontées afin de déconstruire la structure rapidement. Le dôme est conçu sur Rhinoceros 3D avec le plugin Grasshopper et le moteur physique Kangaroo. Le dimensionnement de la structure est calculée en fonction de la résistance mécanique du Forex et des connecteurs transparents. Le dôme est exposé à l’exposition materialités contemporaines MC2014 sur le site de Minatec à Granoble.
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Maquette d’étude - carton blanc - échelle 1:20e
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Prototype échelle 1:1e depuis l’intérieur
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Prototype échelle 1:1e depuis l’extérieur - système de fixation par clavettes
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Prototype final - ĂŠchelle 1:1 - Forex/PMMA
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Brique 3.0 Processus et prospective
Ce projet a été publié dans la revue MC2014 et exposé à minatec à Grenoble. Cette exposition, ainsi que cette publication ont été réalisés par le CNRS, en partenariat avec le CEA (IRT Nanoelec) ainsi que le MIT (Massachusetts Institute of Technology) Élément d’un travail sur le thème de la robotisation de l’architecture. Ici, une brique 3.0, élément structurel d’un ensemble auto-portant imprimé sur mesure et mis en place par des robots. Ces robots calculent la résistance necéssaire exacte à l’édifice selon ses besoins, et densifient via l’impression 3D in-situ la quantité de fibres de cette brique pour obtenir une géométrie et un rapport poids-structure parfait. Les éléments sont conçus pour correspondre les uns aux autres dans un souci de descente de charges optimal. Ces briques sont inter-changeables et suivent l’évolutivité du bâtiment. L’exercice ici tend à ouvrir le champ des possibles quant à l’utilisation des nouveaux processus de conception, et à mettre en lien direct la conception et la fabrication de demain.
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Photos de la brique - maquette impression 3D - technique stereolithographie dimensison 20x12cm
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Durant ces cinq années, une volonté particulière a été portée sur l’investissement continu dans des projets extra-scolaires. L’architecture est pluri-disciplinaire et ne peut s’apprendre uniquement sur les bancs de l’école et dans les ateliers. Il est nécessaire de s’ouvrir au monde culturel qui nous entoure, ainsi qu’au monde professionnel que nous allons cotoyer. Se forger sa propre expérience au contact de personnes d’autres univers, apprendre des autres disciplines est aujourd’hui un atout non négligeable dans notre apprentissage de la formation. Il faut savoir apprendre de tout et de tout le monde.
investissement personnel Fourre-tout
Ces prochaines pages montrent de manière non exhaustive mon idée d’apprentissage extra-scolaire au service du futur métier d’architecte. Qu’il s’agisse de ma collaboration continue sur deux années complète avec l’architecte Aude Dumont, ou encore la coordination d’une équipe de huit à dix personnes en tant que responsable communication d’un festival, c’est avant tout une volonté personnelle de m’investir. Apprendre à concilier vie personnelle, engagement professionnel, responsable d’équipe, le tout en paralèle de mon cursus scolaire a été une expérience exceptionnelle.
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Affiche principale -teeshirts - bracelets - autocollants - cartes conso
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festival ARCHISOUND 2015 Responsable communication
Archisound est le festival musical de l’école d’architecture de Lyon. Son organisation est à but non lucratif, orchestrée de A à Z par les étudiants eux même. L’investissement est personnel, l’équipe en charge de la communication doit dans l’année scolaire de réaliser tous les supports de diffusion et les supports graphiques du festival. Co-responsable de la communication, le but était de diriger une équipe de sept personnes pour mener à bien production et commande de : bracelets, affiches, stickers, teeshirts, teaser-vidéo, merchandising, dossier de partenariat, dossier de presse...
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A RCHI So U N D
Teaser vidéo :
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https://vimeo.com/125528209
festival ARCHISOUND 2014 Responsable communication
Archisound est le festival musical de l’école d’architecture de Lyon. Son organisation est à but non lucratif, orchestrée de A à Z par les étudiants eux même. L’investissement est personnel, l’équipe en charge de la communication doit dans l’année scolaire de réaliser tous les supports de diffusion et les supports graphiques du festival. Co-responsable de la communication, le but était de diriger une équipe de sept personnes pour mener à bien production et commande de : bracelets, affiches, stickers, teeshirts, teaser-vidéo, merchandising, dossier de partenariat, dossier de presse...
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PUblications Travaux et dessins
Architecture paramétrique - Brique 3.0 et dôme facettisé présentés ci-avant - publiée dans Matérialités contemporaines Materiality in its contemporary forms Dessins personnels publiés dans Fatmag #2
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Projets Missions professionnelles
Projet professionnel de façade d’un cabinet dentaire réalisé par Aude Dumont. Travail d’une tôle perforée au sud devant servir de brise soleil et devant préserver l’intimité des salles de soin de leur proximité avec la rue et les passants. Le diamètre des trous diminue progressivement au fur et a mesure que l’on s’approche d’une courbe définie. Cette courbe est dessinée pour passer en partie basse des fenêtres. De cette façon la zone à hauteur d’oeil des passants est fermée, et la lumière est captée par la partie haute. Un éclairage arrière vient révéler ces percements la nuit.
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We should work for simple, good, undeco- rated things, but things which are in harmony with the human being and organically suited to the little man in the street. Alvar Aalto There is a generic qua- lity to white that we like . Kazuyo Sejima There is a role and function for beauty in our time. Tadao Ando
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OLIBO RÉMI 02.02.1989 remi.olibo@gmail.com 23 cours Vitton -69006 Lyon - FRANCE (+33)6.32.08.78.39
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