LA CITOYENNETÉ
Transmettre les pratiques citoyennes sociales par le jeu
JOUÉE
Projet de diplôme de Rémi Poupinet, Juin 2016
Recherche sur le terrain La carte d’identité citoyenne
Ça signifie quoi, voter ?
Atelier prospectif avec un jeune public Dans 5 ans, la carte d’identité citoyenne s’adresse au moins de 25 ans pour explorer le rôle du citoyen au quotidien. À composer à partir de ses convictions, elle permet de faire valoir ses droits et ses devoirs dans l’espace public. Quelle droits nous confère une carte « Amis nombreux » ? une carte « Propreté » ?
«Aujourd’hui, je vote pour …» la cohésion de mon quartier, je vote pour l’épanouissement de mes enfants, je vote pour une alimentation plus responsables, je vote pour des fêtes ouvertes, je vote pour … «Je vote pour» devient un rituel mensuel, qui nous rappelle ce que nous nous sommes promis.
Comment ?
Remettre le vote à l’échelle humaine. Non pas une fois par an. Non pas pour une idée large et éloignée. Mais pour l’investir tout les jours. Que les actes quotidiens s’imprègnent d’un engagement citoyen. Que les valeurs citoyennes deviennent aussi légitimes qu’ordinaires.
1. Saississez vous du mois actuel. 2. Battez-les images. Elles représentent des «réalités souhaitées». Pour quelle réalités serez-vous prêt à voter pour ce mois-ci ? 3. Insérer les «réalités souhaitées» dans le livret puis légender cette image en écrivant dans l’espace réservé à gauche. 4. Disposez le sur son socle. 5. Lorsque le mois se termine, remplacez-le par le mois suivant.
La place des jeunes dans les associations Participation à la convention pour Agir
Qu’apprécies-tu ou déprécies-tu dans l’espace public ? Appuyés de leurs expériences de l’espace public, les jeunes inventent une nouvelle carte par des symboles qui offrent de nouvelle possibilité. Qu’ils soient au centre de documentation scolaire où dans un restaurant grand public, les jeunes défendent les idées qui les importent.
En rencontrant les acteurs de l’éducation populaire, animateurs & coordinateurs de centre d’accueil jeunesse, nous réfléchissons à l’implication des jeunes dans une association. Les jeunes ont besoin d’être accompagné et de dédramatiser l’engagement citoyen. Aussi, si le jeune commence par consommer, cela est à considérer comme une étape nécessaire pour qu’il puisse être en confiance et commencer à s’impliquer.
Diagrammes générateur d’idée De la connaissance à la pratique citoyenne
De la connaissance à la pratique citoyenne
ÉTHIQUE ET RESPONSABLE
Connaissance citoyenne
Pratique citoyenne
Posture et opportunité de projet
Je sais que …
Dans les faits …
Et si …
Ma ville tient une politique écologique
Le conseil municipal décide de l’aménagement du quartier
m’informer sur la traçabilité des produits alimentaires
constater la vie de personnes précaires
Mes convictions sont partagées par une partie de mon entourage
pratiquer individuellement le recyclage des déchets
EXAGÉRER UN ÉLÉMENT : PLUSIEURS INDIVIDUS ?
Les habitants sont consultés pour nommer le nouveau parc.
SEGMENTER L’OFFRE
«consommer» des pétitions en ligne
Animer un jardin partagé, obtenir le Permis de planter en ville, ou construire un compost ensemble
Les mamans inaugure le nouveau parc avec un festival pour enfant.
rendre lisible : Datavisualiser l’importance de l’économie sociale et solidaire, considéré comme espace de contre pouvoir.
M’alimenter auprès d’agriculteurs locaux.
faire le don du sang
DÉMOCRATIQUE ET CIVIQUE
TRADUIRE LES MÉCANISMES D’UN DOMAINE DANS UN AUTRE.
ÉTENDRE LE SERVICE PROPOSÉ
rendre lisible : Datavisualiser l’importance de l’économie sociale et solidaire, considéré comme espace de contre pouvoir. rendre l’aide bénévole aussi accessible que l’école, et la conseiller comme son dernier livre coup de cœur.
Connaissance citoyenne
Pratique citoyenne
Posture et opportunité de projet
Je sais que …
Dans les faits …
Et si …
Avoir le devoir de participer à la JAPD, Être informé de l’état d’urgence M’informer des orientations politiques des candidats
Différencier les partis politiques
Connaitre les raisons des monument historiques
Se savoir de nationalité française
Ne pas connaitre les mots de la politique
J’accompagne les acteurs pédagogiques à sensibiliser les jeunes à la citoyenneté par des outils d’expression et de création.
de 12-17 ans
Accompagné par un acteur pédagogique de l’éducation nationale (collège, lycée) et poplaire (centre social et culturel, maison de la jeunesse et de la culture).
Participer à la vie de quartier
Échanger avec les acteurs politiques
Manifester
Participer à la fête nationale
Aller voter
Dénonçer les actes malhonnêtes, faire vivre des contre pouvoirs.
ÉTENDRE LE SERVICE PROPOSÉ
SEGMENTER L’EXPÉRIENCE AUX JEUNES
Le service jeunesse de la ville s’agrandit et développe un service civique locale à partir de 12 ans, pour projet de proximité. Les élèves font part de leurs préoccupations en contribuant à un journal de l’école, mener des enquêtes, partager témoignages.
AJOUTER UN ÉLÉMENT SUPPLÉMENTAIRE D’UN DOMAINE PROCHE
Existe-til une manifestation collective numérique ? Aller au-delà de la représentation du cyber-citoyen justicier.
TRADUIRE LES MÉCANISMES D’UN DOMAINE DANS UN AUTRE.
Jeux de rôle : (re)Vivre les épreuves de la société et créer ses propres monuments et rituels. Se familiariser de nouveau avec ce qui est acquis.
SOUSTRAIRE UN ÉLÉMENT
AMPLIFIER UNE SITUATION
Comment voter sans carte d’identité ? Voter en achetant, privilégiant des produits et services qui m’importent.
Les mots de la politique deviennent matière à créer un contre pouvoir : chambre des députés, dépouillement, garde des sceaux, mandat, hémicycle, etc.
Raconter
la jeunesse
Périple La carte d’identité personnelle Aujourd’hui,CONNAISSANCE je vote pour. CITOYENNE
Pour transmettre une citoyenneté concrète
personnelle et quotidienne
confiante
créative et décomplexée
réfléchie
car discutée ensemble et appuyée par des productions
Atelier de création d’affiche métaphore pour exprimer notre engagement.
Prendre connaissance, …
« Qu’évoquent pour vous les évènements qui bousculent la France ? » Nous cartographions les éléments pour saisir le ressenti des jeunes.
Atelier testé avec des élèves pendant le cours d’éducation civique, l’occupation classique de la classe est transformée.
La cartographie des messages La cartographie invite le jeune public à comparer et évaluer la diversité des réactions face aux évènements de Paris. Grâce à une variété de pictogrammes et une légende, le jeune public énonce les informations qui s’en dégagent.
Interactions plus fluides en petit comité.
— Beaucoup de citoyens se sont exprimés, c’est donc un évènement qui a touché les français.
Des discussions se déclenchent quant à la définition de certains termes. Une trace photo existe pour comparer l’ensemble des cartographies réalisées. Au fur et à mesure de l’articulation des cartes les unes aux autres, la légende prend petit à petit forme.
«C’est un citoyen, mais qui utilise, les médias sociaux !», s’exclame Mathias en rajoutant un élément supplémentaire.
« Et si ça avait été autrement ? » Et si ça avait été autrement ? Si ces réactions avaient été éxagérées, ou simplifiées, ou si ça avait été moi ? Ici, les réactions sont transformées pour en saisir les limites. Toutes les réponses sont possibles ! Chacun présente tour à tour son résultat pour prendre connaissance de la diversité possible des messages.
Les consignes nécessitent aussi d’être illustré le propos par des exemples réalisées même temps.
La posture choisie permet de transformer le message.
Les objectifs pédagogiques Expression de la sensibilité et des opinions Il est parfois difficile pour le jeune de connaitre ses propres convictions et la prise de parole est un moyen frustrant pour les exprimer. Pour les illustrer autrement, l’atelier propose des images et des métaphores. Le jeune apprend ainsi à créer un message et réfléchit au sens et à l’effet produit. l’effort de verbalisation et de vocabulaire vient ensuite.
En tirant la carte posture «simplifiée», Mathias nous explique qu’avec moins de personnes pour voter l’état d’urgence, elle aurait été pas acceptée.
Avec l’ensemble des productions, nous remarquons que «si ça avait été autrement» une grande diversité de message existe.
Liberté d’expression, fonder ses arguments sur sa réflexion Les temps d’échange avant et après le projet permettent aux jeunes d’expliquer les intentions de leurs messages pour développer l’autonomie du jugement. ils partagent ensuite ensemble leurs expériences.
« Jouons avec les formes pour illustrer ton message de solidarité »
— On n’y arrive pas, … — Attend, je reviens, je prends d’autres formes.
circulation libre et en autonomie
… pour s’exprimer en confiance.
Les messages et les visuels sont composés à partir de forme et de symbole pour créer des affiches.
Le déroulement 1. Choisir une punchline, soit déjà proposée soit à inventer. 2. Combiner différentes formes et symboles pour illustrer ce slogan de solidarité. Améliore jusqu’à être satisfait. 3. Cadrer la production, isole une partie de ton affiche pour insister sur son effet. 4. Titrer l’affiche en insistant sur un mot clés. 5. Une photo capturera l’affiche ; imprimée, tu pourras l’emporter avec toi.
— Et si on met ça comme ça peut-être … —Ouais, là, on comprend mieux !
« Quelle est donc votre affiche préférée ? » Tour à tour, les affiches réalisées circulent et déclenchent impressions et discussions. Après les explications des créateurs, les intentions sont éclaircies et entendues.
— Mais c’est une métaphore ! — Aa, alors ça va, ça marche.
Jeu de rôle collaboratif pour répondre aux épreuves de la société.
Les objectifs pédagogiques
Explorer nos intuitions personnelles,
La culture humaniste
Les compétences sociales et civiques
Aborder la société par ses monuments et rituels permettent aux jeunes de saisir les enjeux d’intérêt général. En les jouant, ils peuvent envisager l’impact de leurs actions.
En groupe, le jeune public s’éxerce à construire avec les autres. Par l’écoute attentive et l’argumentation, cherche le consensus.
« Vous êtes responsables d’une société qui vous met à l’épreuve ». Après avoir généré l’épreuve de la société, chacun choisi un des 3 aspects à interroger : Qui sont concernés ? Quel est le contexte ? Quel symbole est invoqué ?
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L’épreuve de la société
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«Aujourd’hui, vous accueillez 1000 réfugiés. Face à cela, vous devez faire honneur aux anciens. Ainsi, nous créons un badge.» Lorsque l’épreuve est énoncée, l’imaginaire prend la suite.
«Mais ça va être chaud !» s’exclame Anissa en génèrant le défi à relever.
Ensemble, nous relisons et comprenons les détails de cette situation.
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À partir d’exemples, les règles et le déroulement du jeu sont expliqués.
Les cartes rôles les consignes succintes rythment progressivement la formulation d’arguments et de formes.
Les supports proposent des critères qui définiront l’objet de la société.
« Négocions les apports de chacun »
«Mais pourquoi il faudrait faire honneur aux anciens ? Ils ont fait un truc de fou ?»
Seul ou à deux, les idées résonnent et se spécifient.
… puis mutualiser pour se fédérer.
Le jeune public regroupe les différents aspects qu’ils ont créées pour composer un seul objet, «l’œuvre collective».
« Reconsidérons les artefacts de la société » Cette société vous ressemble. Désormais elle sait vers où se diriger.
Après avoir présenté les réalisations de chacun, deux grands groupes sont formés pour compléter «l’œuvre collective».
«C’est un badge qui doit faire honneur aux anciens. Un collier c’est plus symbolique». « On met quoi dedans ?», «un bâton de berger, parce que ce sont les vieux qui guident la société».
Pour sceller l’œuvre collective aux membres du groupe, chacun signe et sculpte son portrait.
Dispositif interactif pour interroger la représentation des jeunes générations.
Sont-ils responsables ?
Qui sont les jeunes ?
Les citoyens voisins témoignent. Que manquent-ils à la jeunesse ?
Les jeunes posent la question, …
et le témoignage se diffuse.
Est ce que j’adhère à cette opinion ? Qu’est ce que je ressens ?
Quelle est ma réponse immédiate ?
Est ce que je me reconnais ?
un cercle de spectateurs-acteurs investit l’espace d’apprentissage.
L’interactivité permet aux témoignages de toucher plus facilement le public. Face avec les autres citoyens, les jeunes se sentent concernés pour réagir et restent à l’abri de jugement d’autorité.
Face à une situation insatisfaisante, les jeunes réagissent et sont poussés à agir pour faire évoluer la situation. JOANNY Julien, « Quand les jeunes s’insèrent en s’engageant : Apprentissage par le faire et rapport au monde », Revue internationale Ethnographie, numéro 2, Mai 2013 <site : http://riethno.org/numero-2/>
L’interactivité met en condition les jeunes à exprimer leurs émotions. L’émotion peut ensuite être le moteur de l’engagement.
Mais qu’est ce qu’a pu déclenché cette opinion ?
Messagerie instantanée : les causes de l’opinion
Imaginons la discussion qui est la cause de ce témoignage. Sous la forme d’une messagerie instantanée, le jeune public est amené à compléter en binôme les quelques messages qui ont déclenchés cette opinion. Ils poursuivent ensuite la suite de la conversation : Changera t-elle d’avis ? Quels arguments sont-ils trouvés ?
Libre discussion où chacun formule sa question puis la met en scène par une affiche anonyme. Pour aider à cela, une autre question est posée aux jeunes : Quelles sont les questions que tu voudrais poser aux autres jeunes ? Les réponses fusent. Création de micro-affiches anonymes affichées dans la cour ou espace d’accueil des jeunes.
C’est une opportunité pour le groupe de jeunes de se voir et se penser.
Interaction : Les jeunes se sentent concernés
Le jeune public exprime ses réactions émotionnelles en lançant des mots clés. Leurs réactions les amènent spontanément à se positionner et à interroger ce qui leurs importent.
Selon toi, quelle est la préoccupation des jeunes qui mériterait d’être écoutée ?
Cette installation interactive permet aux jeunes de consulter les témoignages de citoyens et de se confronter à la représentation des jeunes.
les premières réactions se déclarent.
De la réaction spontanée à la compréhension d’autrui
Ensemble, les jeunes sont amenés à comprendre les opinions en contextualisent l’opinion pour la saisir dans sa globalité. Depuis la réaction spontanée face à un jugement réparti, les jeunes analysent l’apriori plutôt que de seulement le juger.
Les jeunes sont-ils capable de se penser ? Pas tout seuls.
Qu’est ce qui a pu être dit avant ? Quel est l’échange qui a déclenché cette opinion ? Comment s’oriente ensuite la conversation ? Les positions sontelles changées ? Quelle est la situation ordinaire initiale ?
Les autres jeunes se reconnaissent-ils dans les réponses énoncées ?
Déclencher des échanges. À l’école ou à la maison de quartier, ces espaces deviennent lieu d’apprentissage. Ces affiches multiplient les opportunités d’échange et de construction de soi. Ils considérent alors les autres comme personne égale qui est propice à l’échange.
plateforme coopérative pour une transition locale pour une éducation globale.
Après 10 ans, la réserve citoyenne a permis à des centaines puis des milliers de bénévoles de monde de l’éducation populaire de venir compléter l’éducation nationale. Fort de son succès, d’autres initatives ont permis de construire un système éducatif global.
Agenda
Atelier de retour d’expérience
conférences et discussions
connaitre et se rapprocher des initiatives locales
Notamment, la plateforme Spontanonsensemble, qui facilite la mise en réseau des acteurs pédagogiques autour d’initiatives et d’évènements. Fruit du partenariat entre le laboratoire de l’éducation nationale et le CNAJEP (Comité des relations des associations de Jeunesse et d’éducation populaire), c’est un espace tiers où tous les acteurs pédagogiques contribuent à la transition locale d’une éducation globale.
groupe de travaux soumettre ou contribuer à un projet
Agenda Rares sont les évènements isolés. L’agenda les présente dans un cycle d’évènements. Les preuves en sont multiples :
— Je n’y viens plus les mains vides.
— Ces évènements m’importent car j’y suis attendu.
Les savoirs théoriques et pratiques sont contextualisés Les codes colorés permettent d’identifier les cycles d’évènements. De combien hérite-elle d’évènements ? Partagent t-ils désormais des retours d’expériences ?
Dans un groupe multidisciplinaire, un cycle est constitué de plusieurs évènements : les conférences permettent de partager les connaissances. Les ateliers favorisent la mise en pratique et en écho des savoirs. Enfin, les retours d’expériences enrichissent et assurent les connaissances.
Projets Cette plateforme présente et enrichit les outils mobilisables et suppose la création de nouveaux.
Valorisation des outils Les projets-outils sont augmentés d’un espace numérique qui permet de documenter, commenter et de diffuser le projet. Ce prolongement de l’expérience est principalement accessible à tout les contributeurs du projet, jeunes citoyens aux accompagnants pédagogiques.
Décloisonner les pratiques
Les outils sont valorisés par de nombreux contenus qui permettent aux acteurs pédagogiques d’estimer si cet outil leur convient : Le nombre d’heure nécessaire, le type de public, etc.
En promulgant les projets qui favorisent la transition éducative, la plateforme devient vitrine des réalisations des groupes de travaux. Elle invite ainsi à multiplier les collaborations pour créer de nouveaux outils.
Réseau La communauté éducative est composée d’une variété d’experts du champ qui se fédère autour d’évènement et de projet.
Accueillir la diversité d’acteurs Pour développer des projets transversaux, le réseau s’ouvre à acteurs pédagogiques issu de l’éducation nationale, populaire et nouvelle. Dès l’inscription, chacun profile ses compétences et ses projets.
Identifier les membres d’une éducation durable Lorsqu’un projet se développe vite, il doit pouvoir faire appel à la communauté pour garder son élan. En partenariat avec des professionnels de proximité, l’écosystème économique, culturel et social gagne en qualité et en autonomie.
Pour mieux identifier les autres acteurs, ils sont présentés selon leur proximité et leur projet actuel.
Pour faciliter la mise en relation, la liste des acteurs peut être copiée et gérée avec plus de liberté. Il est aussi possible de consulter les derniers messages envoyés à destination de ces acteurs. L’envoi de vidéo, de documents écrits et d’évènements permet d’enrichir le message.