Alors que nous entamons la saison estivale, nous sommes ravis de vous présenter cette nouvelle édition de notre revue interne. Ce semestre a été riche en événements et en réussites pour les sociétés du groupe. C’est donc avec fierté que nous souhaitons partager avec vous quelques-uns des moments forts de ces six derniers mois.
Un dynamisme maintenu malgré les défis
En dépit d’une situation économique compliquée dans le secteur de la construction, nous avons pu faire preuve de résilience et d’adaptabilité. Nos efforts ont été récompensés par un afflux de nouvelles commandes, parmi lesquelles des projets ambitieux et d’envergure. Cela témoigne de la confiance que nos clients continuent de placer en nous, et de notre capacité à répondre à leurs attentes avec professionnalisme et excellence.
Réalisations prestigieuses en Belgique et au Luxembourg
Parmi les projets récemment achevés, nous souhaitons mettre en lumière plusieurs réalisations remarquables en Belgique et au Luxembourg. Ces projets, achevés non seulement dans les délais impartis, mais également avec une qualité exceptionnelle, illustrent notre engagement constant envers l’excellence et l’innovation.
Intégration de MSP Bois
Nous avons également franchi une étape significative avec l’intégration de MSP Bois, marquée par des projets emblématiques tels que le nouveau contrat « Wonen in Vlaanderen » en construction modulaire bois et le carport de Pairi Daiza. Ces projets démontrent notre capacité à intégrer des solutions innovantes et durables, tout en répondant aux exigences spécifiques de nos clients.
Mise en lumière du dépôt
Nous tenons à mettre en lumière le travail remarquable effectué par les hommes et les femmes de nos ateliers. Leur expertise et leur dévouement sont au cœur de nos succès. Le dépôt, véritable centre névralgique de notre activité, a une fois de plus démontré son importance stratégique. Les équipes y réalisent un travail de grande qualité, souvent dans l’ombre, mais toujours avec un professionnalisme exemplaire.
Résultats financiers record
Nous sommes particulièrement fiers de nos résultats financiers record cette année. Grâce à l’engagement et à la détermination de toutes nos équipes, nous avons atteint un chiffre d’affaires cumulé de 495 millions €, avec une marge nette après impôts de 14 millions €.
Ces résultats exceptionnels sont le reflet de notre stratégie de diversification et de notre capacité à naviguer avec succès dans un environnement économique difficile.
Conclusion
Pour conclure, nous souhaitons remercier chacun d’entre vous pour votre engagement sans faille. Vos efforts collectifs permettent au groupe de continuer à prospérer et à se distinguer dans un secteur compétitif et en constante évolution. Nous vous souhaitons à tous un excellent été, riche en moments de détente et de joie.
Continuons à travailler ensemble pour rendre nos entreprises toujours plus innovantes, durables et humaines.
Bons congés !
Marc-André Gennart
CEO CIT Blaton
Wim Claesen
COO CIT Blaton
Eric Doff-Sotta
CEO CIT Blaton et CBL
Georges Kara Directeur Général CBL
M37 / M39
Agents doubles
Un chantier exigeant et ambitieux, entre aménagements extérieurs impressionnants, techniques inhabituelles, attention accrue pour les détails et quelques aléas de dernière minute.
Par François Castel Project Manager
Une chose est sûre : aucun détail n’a été laissé au hasard dans ces deux nouvelles résidences. De la qualité de la pose des carrelages aux raccords de plinthes, en passant par les menuiseries intérieures, les aménagements extérieurs ou encore les meubles sanitaires sur mesure, tout a été étudié, analysé, réfléchi. Un degré de minutie extrême peu fréquent pour CBL, qui s’est lancé une fois de plus le défi de répondre à toutes les exigences et volontés du promoteur.
En plein cœur du quartier des affaires sur le plateau de Kirchberg au Luxembourg, deux immeubles viennent de sortir de terre. Les lots distincts M37 et M39 comportent respectivement
sept et huit niveaux et comptent, en tout, 35 appartements. Deux projets côte à côte construits en parallèle, qui ont été menés entre juillet 2021 et septembre 2023. Deux ans de travaux qui sont passés très vite sur ce chantier qui n’a pas toujours été évident, comme le souligne notre Project Manager chez CBL, François Castel : « Nous avons travaillé avec des matériaux que nous n’avons pas forcément l’habitude d’employer et nous avons dû nous plier à un niveau de détails supérieur à ce que l’on peut faire ordinairement. Tout ça dans un délai plutôt court quand on compte le terrassement et le gros œuvre. »
130 000 briques
CBL a notamment travaillé la brique, un matériau très commun dans nos contrées belges, mais encore peu utilisé au grand-duché. Plus de 130 000 briques ont été posées une à une, collées avec du mortier et découpées sur l’échafaudage. Un boulot colossal et fastidieux, surtout quand on ne dispose pas encore de beaucoup d’expérience.
« Le phasage a duré six à sept mois. Sur un chantier de 24 mois, c’est une grosse part du processus. Surtout que cette étape a dû être terminée en période hivernale », soutient François.
Les deux façades de 1 800 m² et de 750 m² ont été construites avec ces
« Sur le plateau du Kirchberg au Luxembourg, deux nouvelles résidences de très haut standing illustrent une fois de plus tout le savoir-faire de CBL »
CBL a pu créer un véritable petit parc arboré à l’arrière avec des zones pavées et des espaces de relaxation. Une trentaine d’arbres de 3 à 4 mètres ont été plantés.
briques maçonnées avec un vide ventilé, détaille François Castel. « Le vide ventilé s’avère plus qualitatif et pérenne dans le temps. Les résidences de standing ne se contentent plus d’un simple crépi. Elles se tournent davantage vers la pierre naturelle, la brique ou les façades métalliques, même si ces dernières sont plus rares. » François ne peut s’empêcher de souligner l’importance de la pré-étude, une étape cruciale et fatidique pour le bon déroulement du chantier. Une « vraie gymnastique », pour le PM, qui se rappelle des nombreux allers-retours avec le bureau de contrôle au sujet du système d’ancrage. Malgré toute cette préparation en amont, des aléas peuvent toutefois arriver.
Trois semaines avant de démarrer, les équipes apprennent que la brique choisie ne pourra finalement pas être livrée dans les temps, suite au covid et à la guerre en Ukraine, qui ont impacté toute la chaîne de production. Une autre brique, plus claire, servira de remplaçante. Le début des travaux se voit postposé de presque trois mois.
Un contrecoup que CBL parvient à surmonter : la livraison se fait malgré tout dans les temps impartis.
Un extérieur majestueux
Autre particularité de ce chantier : les aménagements extérieurs n’ont pas été laissés de côté et occupent une vraie place dans le projet. Grâce à une enveloppe budgétaire supplémentaire, CBL
a pu créer un véritable petit parc arboré à l’arrière avec des zones pavées et des espaces de relaxation. Une trentaine d’arbres de trois à quatre mètres ont été plantés.
Les entrées des résidences, elles, se voient magnifiées avec deux arbres de douze mètres et des haies de plus d’un mètre. Une hauteur non négligeable, qui donne un aspect fini très rapidement. Comme si cet écrin de verdure était présent depuis plusieurs années. Un système d’arrosage automatique complet pour toutes les plantations a également été installé, de même qu’un dispositif de tonte autonome.
Un travail titanesque : « Nous avions juste un canal d’approvisionnement entre les deux résidences pour sortir
Client M37 sa????
Architecte Moreno Architecture & Associés
Bureau d’études ICB / Période 2021-2022
Lieu Kirchberg (L u / Surface 6 000 m²
Éq UIP e de C h A nt I e R
François Castel Project Manager
Julio d a Silva Carvalho Conducteur
Sebastien Callerame Conducteur
tous les matériaux stockés et livrer tous les cailloux, pavés, arbres… », se souvient encore François. Comme pour le reste de ce projet, ces aménagements extérieurs se veulent supérieurs, luxueux et très qualitatifs.
Au millimètre près Si les équipes ont été quelque peu challengées au niveau des extérieurs, elles reviennent en terrain connu pour tout ce qui concerne l’intérieur avec des chapes rapportées et du plâtre projeté. Les carrelages, eux, faisaient 1 m 20 sur 1 m 20, un format non standard. « Avec ces dimensions, c’est plus de manutentions, il faut être davantage de carreleurs et de poseurs pour les installer. » Les menuiseries ont également demandé davantage de travail qu’à l’accoutumée. « Nous avions des menuiseries affleurantes, c’est-à-dire vraiment dans la continuité du plâtre. Il fallait donc combiner des joints creux périphériques avec de l’affleurement toute hauteur. » Un niveau de finitions très élevé, pour lequel il faut respecter à deux millimètres près les mesures pour être à même d’installer les portes. CBL s’est aussi chargée d’installer des cuisines haut de gamme fabriquées en Italie, ce qui fait rarement partie de
ses cahiers des charges. « Nous livrons plutôt des projets avec finitions, mais sans ameublement », assure-t-il. « Cela ajoute des contraintes supplémentaires en termes d’approvisionnement et de livraisons. Il faut aussi garder le chantier propre pour ne pas encrasser et abîmer les cuisines en fin de projet. » Une rigueur similaire a dû être appliquée au niveau des sanitaires, avec des parois de douche sur mesure, des douches italiennes, du matériel haut de gamme… « Tout cela amène des contraintes supplémentaires. Il a fallu une fois de plus se montrer très précis dans les mesures lors de l’implantation des éléments. » Vraiment rien n’a été laissé au hasard, pas même le parking qui a été pensé dans les moindres détails, pour devenir un lieu presque chic avec cette peinture noire qui recouvre le plafond et une partie des murs.
Faire face aux contraintes Ce chantier, notre dynamique PM le décrit comme exigeant. « Quand nous regardons le projet maintenant, nous nous disons que tout est très beau, mais nous ne nous posons pas de questions plus particulières. Cela dit, tout au long du chantier, nous avons dû faire face à énormément de contraintes. » François Castel insiste sur le fait que derrière chaque petit détail, il y a beaucoup de réflexion et de travail. « Nous avons dû faire plusieurs mock-ups pour vérifier que notre façon de penser et de faire était la bonne avant de nous lancer. » Pour autant, CBL est parvenue à satisfaire toutes les demandes. La preuve : les équipes n’ont eu que peu de remarques au moment de la livraison, malgré le fait que les réceptions étaient très poussées. « Le client se dit très satisfait. Il nous a d’ailleurs confié une nouvelle résidence dans une autre commune… »
The Louise
La modernité à l’état pur
Après presque trois ans de travaux, l’équipe d’eric Cantillon, directeur de projets, a peaufiné les derniers détails pour finalement clôturer officiellement le chantier de la tour Louise à Bruxelles le 6 mai dernier. Revenons sur les temps forts de ce projet.
« On a complètement démantelé le bâtiment, il ne restait plus que l’ossature de base »
Client Patrizia????
Architecte A2RC
Bureau d’études VK Engineering ACMG
Période 2021-2024 / Lieu Bruxelles (BE)
Surface 40 000 m²
Par E ric Cantillon Directeur de projets
Un processus inversé Comme l’a précisé Eric Cantillon, il ne restait plus que l’ossature du bâtiment : l’intérieur de la Tour Louise ainsi que les façades ont été démolis de A à Z. Mais contrairement à ce que l’on aurait pu s’attendre, nos collègues ont travaillé de Z à A. En effet, ils ont d’abord démoli les étages supérieurs pour terminer par les étages inférieurs et ont également reconstruit le bâtiment de haut en bas, et non de bas en haut, comme à l’accoutumée. Pourquoi ? Pour évacuer tous les déchets sans endommager les étages fraîchement rénovés. Une stratégie pour le moins ingénieuse ! des défis relevés haut la main
Un chantier – d’envergure, qui plus est – s’accompagne toujours de son lot de défis. Ici, la principale difficulté n’était autre que la logistique. Le bâtiment est situé en plein centre-ville et est entouré de logements, ce qui a considérablement compliqué la livraison des matériaux et l’évacuation des déchets. En outre, les rues sont très proches du bâtiment. La sécurité constituait dès lors un point d’attention essentiel, car rien ne pouvait tomber au sol, au risque de blesser un passant.
Notre équipe de choc a également dû faire face à un autre défi de taille : le bâtiment n’est pas classé, mais est repris au patrimoine. Les façades ont donc été refaites à l’identique.
Éq UIP e de C h A nt I e R
Serge Wiame Project Manager TS Anas Bensassi n our Assistant Project Manager
Vincent d ernoncourt Conducteur e ric Cantillon Directeur de projet
Abderrahmane Sinbat Assistant administratif de chantier / Ivan t ielemans Conducteur tomasz Zegunia Conducteur
Mario Ribeiro de Sousa Conducteur
Wesley d e Blander Assistant Project Manager
Pour ce faire, nos collègues ont reproduit les anciens profilés au millimètre près et ont utilisé le même type de vitrage – offrant, certes, une bien meilleure isolation thermique – afin d’obtenir le même aspect qu’à l’origine. Un travail sur mesure réalisé dans les règles de l’art !
Un bâtiment vert
Le client ayant fait le choix d’un bâtiment carboneutre, les plans initiaux ont été modifiés pour supprimer toutes les chaudières – sauf une – et les remplacer par une grande pompe à chaleur, bien plus écologique. La Tour Louise présente également des toitures végétales ainsi que des panneaux photovoltaïques.
Étant donné que ce choix d’un bâtiment durable a été opéré après le début des travaux, nos collègues se sont vu accorder une prolongation de délai. C’est pourquoi le chantier a été livré en mai 2024 au lieu de septembre 2023, comme prévu initialement.
La tour Louise en quelques chiffres Du haut de ses 90 mètres, la Tour Louise présente une surface de 28 500 m² hors sol et compte 24 étages – si on peut dire, car comme dans tout bâtiment d’assurance ou de banque, le 13e étage n’existe pas, superstition oblige ! La tour possède également deux annexes de quatre et six étages respectivement. Pour couronner le tout,
trois sous-sols renferment un parking pour voitures, un parking pour vélos, des locaux techniques et des vestiaires, pour un total de 9 880 m².
Une grande quantité de béton ayant été coulée sur place, les éléments préfabriqués étaient peu nombreux sur ce chantier : 280 colonnes et poutres ainsi que 1 662 m² de hourdis. À l’exception toutefois des escaliers ! Étant donné qu’ils ont tous été remplacés, pas moins de 328 éléments préfabriqués ont été acheminés pour construire les nouveaux escaliers.
et maintenant ?
Les clés de la Tour Louise ont été remises entre les mains de Solar, qui appartient au groupe Patrizia, un fonds d’investissement allemand. L’objectif ?
Louer le bâtiment à des entreprises. Patrizia vise principalement des bureaux d’avocats, des conseils et des banques, entre autres, car le bâtiment est situé à deux pas du palais de justice sur l’avenue Louise.
Les collaborateurs qui occupent les lieux bénéficient d’une technologie de pointe leur permettant de gérer le bâtiment, zone par zone. Chacun peut ainsi régler le degré de luminosité ainsi que le chauffage de son emplacement, descendre ou remonter les stores…
Le tout depuis une application sur son smartphone. Pratique, n’est-ce pas ?
Après de longs mois de chantier, les blocs A et B de l’hôpital Sint-Lucas à Gand sont à nouveau opérationnels. Le résultat d’un travail de coordination exemplaire de la part d’eddy de neve et de son équipe.
AZ Sint-Lucas
Rénovation profonde des maternités et services psychiatriques
« La plus grande difficulté de ce chantier aura certainement été de rénover de fond en comble une partie de l’hôpital tout en laissant les services hospitaliers en activité »
« Dans une pièce capitonnée pour l’isolement de personnes en grande difficulté psychiatrique, les éviers, les robinets, les poignées de portes et même les systèmes d’accès sont rigoureusement sélectionnés et posés pour éviter tout “accident” »
Renaissance pour la maternité à Sint-Lucas
En effet, la rénovation complète du premier bloc et la démolition puis reconstruction d’un deuxième bâtiment ne se sont pas faits sans un planning millimétré. Nous avons d’abord démoli la moitié du bloc A en gardant l'autre moitié en service pour permettre le passage d’un service à un autre. Quand nous avons reconstruit la moitié qui a été démolie, nous avons fait de même avec l’autre partie.
La plus grande difficulté de ce chantier aura certainement été de rénover de fond en comble une partie de l’hôpital tout en laissant les services hospitaliers en activité.
des bâtiments coupés en deux Il aura fallu créer des chemins d’accès spécifiques durant toute la durée du chantier pour garantir l’accès au service de néonatalogie et aux urgences pédiatriques. Lorsqu’une partie des bâtiments était retournée à l’état de gros œuvre, les services continuaient de fonctionner dans l’autre moitié du bâtiment. Il fallait garantir l’accès,
mais aussi l’hygiène de ces accès et la propreté du chantier dans son ensemble.
Ce sont au final 7 500 m² qui auront été complètement rénovés. Ces deux ailes accueillent un service psychiatrique, des unités de soins, la maternité et la néonatalogie ainsi que le service de médecine nucléaire.
Un client exigeant pour un chantier technique
Des couloirs colorés, des zones d’accueil ouvertes et des chambres de naissance confortables. Un soin particulier est apporté à l’aménagement des espaces de vie et de travail. Derrière, on retrouve une technique complexe de gestion électrique, électronique ou de flux d’air pour les hospitalisations. Pourtant, rénover ces bâtiments existants n’est pas une mince affaire, nous explique Wouter Vanhuysse. En témoignent les murs qu’il faut consolider, déplacer ou reconstruire afin de créer de nouveaux espaces. Notre client veille ici à la parfaite exécution du chantier afin de répondre à toutes les exigences.
Rien n’est laissé au hasard
En visitant l’aile psychiatrique de l’hôpital, on se rend compte également que les choix de matériaux et de réalisation ne sont pas pris à la légère. Ainsi, dans une pièce capitonnée pour l’isolement de personnes en grande difficulté psychiatrique, les éviers, les robinets, les poignées de portes et même les systèmes d’accès sont rigoureusement sélectionnés et posés pour éviter tout « accident ». Même le sol de la chambre d’isolement est souple.
Les naissances illuminent la ville Pendant le chantier, la maternité n’a cessé de fonctionner et d’illuminer la place Sint-Veerle. En effet, à chaque naissance, un interrupteur disposé dans le couloir de la maternité est actionné par les sages-femmes et fait scintiller les lampadaires de la place pour annoncer la bonne nouvelle à tous les Gantois.
Pépite au manteau royal Prince
Par Hugo Paillon Project Manager
Une situation rêvée avec une vue imprenable sur un écrin de verdure en plein centre-ville. Façade exceptionnelle, appartements spacieux, nombreux plateaux de bureaux… Le nouvel immeuble Prince a décidément tout pour lui. Celui-ci a été pensé dans les moindres détails pour offrir aux occupants un lieu de la plus haute des qualités. Malgré quelques défis, CBL est parvenue à répondre à toutes les exigences du client pour livrer un immeuble ultra haut de gamme.
« Nous travaillons toujours sur des réalisations très qualitatives.
Mais là, nous sommes vraiment allés dans le détail. »
« On se croirait à Central Park »
C’est sans doute le commentaire qui revient le plus régulièrement quand on évoque ce nouvel immeuble. nous sommes pourtant bien loin de ce grand espace vert new-yorkais. Situé sur le boulevard Prince, en plein cœur de LuxembourgVille, un nouveau complexe haut de gamme vient de voir le jour. en face de celui-ci trône le Parc Municipal, véritable écrin de verdure pour les habitants de la capitale.
Pour profiter au mieux de cet emplacement idéal, de grandes baies vitrées de six mètres de haut ont été installées sur la façade avant. Grâce à celles-ci, tous les occupants peuvent jouir de vues imprenables et immersives sur le parc. Outre les éléments en verre, la façade a été réalisée en béton architectonique et constituée d’un mur-rideau habillé d’une structure métallique rapportée. Une devanture singulière et unique qui participe au caractère exceptionnel du lieu. « Cela ajoute à la beauté du bâtiment, qui se veut très clinquant. La façade joue avec le contraste du béton blanc avec la résine métallique. Une fusion qui en jette. Le bâtiment est vraiment magnifique », confie Hugo Paillon, Project Manager chez CBL –désignée entreprise générale pour ce grand chantier.
Prince est un bâtiment mixte qui se dresse sur sept étages. Celui-ci fait au total plus de 4 000 m². Les six appartements spacieux se situent aux cinquième et sixième étages. Les plateaux de bureaux, eux, s’étalent sur les cinq autres étages. Un parking en sous-sol sur deux niveaux vient
compléter l’ensemble. Ce dernier est desservi par un monte-voiture, étant donné qu’il n’y a pas de rampe de parking.
Jusque dans les moindres détails
Ce luxueux édifice a été pensé dans les moindres détails. Tous les éléments ont été discutés et réfléchis en amont, en concertation avec les différents intervenants du projet : Eaglestone, Monceau Assurances et ArCHi2000 & Associés. Une manière de travailler légèrement différente pour CBL qui a su s’adapter à toutes les demandes rigoureuses et qui s’est efforcée de correspondre à cette vision d’excellence. « Cela nous fait sortir un peu des sentiers battus », souligne Hugo. « Nous travaillons toujours sur des réalisations très qualitatives. Mais là, nous sommes vraiment allés dans le détail. »
Une bonne anecdote ? Notre Project Manager se souvient notamment que ses équipes et lui devaient, par exemple, penser à la position du robinet de la terrasse… Il devait être implanté par rapport à une ligne de béton pour que
la petite valve du robinet soit alignée à celle-ci quand elle est fermée. « Au final, tous ces petits détails participent à rendre l’ensemble harmonieux. Des détails que personne n’est vraiment susceptible de remarquer en fin de compte. Sauf les personnes qui travaillent dans le bâtiment, évidemment. » CBL a également contribué à l’aménagement intérieur, toujours composé de finitions et matériaux nobles. En plus de poser les cuisines, nos collègues se sont occupés d’installer les dressings que l’on retrouve dans toutes les chambres des appartements et de fixer les meubles sanitaires sur mesure. Les équipes ont également travaillé sur des habillages de poteaux en bois. Des éléments qui participent, eux aussi, à donner du caractère au lieu. « Les parties communes sont très qualitatives. Tous les murs des entrées sont en habillage chêne, il n’y pas de peintures sauf au plafond. Tous les murs de halls d’entrée sont sous la forme de claustra habillage chêne qui font six mètres de haut et qui sont vraiment beaux », souligne-t-il.
ZNA
Une unité de soins de qualité mais sous haute sécurité
CIt Blaton est heureux d’annoncer la fin des travaux de construction du nouveau centre universitaire de psychiatrie pour enfants et adolescents à Anvers, pour le compte de notre client ZnA (Ziekenhuis netwerk Antwerpen).
Client ZNA????
Architecte Blad & Verstraeten
Bureau d’études De Klerck Engineering
Période 2022-2023 / Lieu Anvers (BE)
Surface 3 000 m²
Éq UIP e de C h A nt I e R Ali Özdemir Conducteur Stefan Chatzikonstandis Assistant Project Manager / Wim d e Greef Project Manager (pas sur la photo)
Le nouveau centre se compose de quatre unités de vie distinctes, chacune dotée de chambres individuelles, d’espaces de vie communs, d’une unité de soins dédiée et d’un jardin fermé avec galerie couverte. Ces espaces ont été conçus pour offrir aux jeunes patients un environnement sûr, confortable et propice à leur rétablissement.
Une unité de soins de qualité Mais sous haute sécurité
La particularité de ce chantier réside dans les mesures de sécurité renforcées
qui ont été mises en place. Les portes et fenêtres sont équipées de systèmes anti-effraction et d’autres dispositifs de sécurité, tandis que des installations techniques de prévention du suicide ont été intégrées dans les unités de vie.
Un réseau de caméras de surveillance complète le dispositif, permettant une surveillance constante des patients tout en respectant leur vie privée.
« Nous sommes fiers d’avoir réalisé ce projet complexe qui répond aux besoins spécifiques des jeunes patients en matière de soins et de sécurité », déclare
Ali Özdemir. « Ce centre très moderne contribuera à améliorer la qualité de vie de ces enfants et adolescents pris en charge par ZNA. »
CIt Blaton fait preuve d’expertise dans la réalisation de structures médicales complexes
L’exécution de ce chantier confirme l’engagement de CIT Blaton à construire des structures médicales de pointe qui répondent aux exigences les plus strictes en matière de qualité, de sécurité et de confort.
Hôtel Nelson
Belle preuve de notre créativité
Le site de l’ancienne caserne Léopold à Gand est sur le point de vivre une deuxième jeunesse. Un projet multifonction au sein duquel le groupe nelson avait confié à CIt Blaton la rénovation d’une aile du bâtiment pour y construire un hôtel. Un chantier terminé qui démontre une fois de plus toute notre expertise et notre grande créativité.
Le projet, porté par la Province de Flandre-Orientale en association avec des partenaires privés, consistait à transformer le site de l’ancienne caserne Léopold en un quartier urbain animé, durable et confortable. « Il a été demandé aux équipes de CIt Blaton de rénover l’aile du bâtiment, de réorganiser les circulations verticales ainsi que d’ajouter deux étages pour une surface totale de 7 230 m² », explique Guy delcour, Senior Project Manager chez CIt Blaton.
Par Guy Delcour Senior Project Manager
« L’intention était d’y aménager 108 chambres, ainsi qu’une piscine extérieure, deux grandes terrasses et un bar sur le toit avec une vue panoramique sur Gand. Le bâtiment devait pouvoir également accueillir un restaurant au rez-de-chaussée. »
Un projet complexe et surprenant
« Au niveau du gros œuvre, de nombreuses créations de baies et deux cages d’ascenseurs avec rempiétement au sous-sol ont été réalisées. Au-dessus du troisième étage, la charpente de la toiture a été adaptée et deux niveaux supplémentaires ont été ajoutés, en tentant de préserver au maximum la toiture actuelle », détaille Guy. Pas une mince affaire pour les équipes de CIT Blaton dépêchées sur place :
« Nous avons dû déshabiller le bâtiment presque entièrement. Nous avons également remplacé complètement deux des cinq structures de toit et modifié radicalement la toiture des autres bâtiments. En effet, nous devions y créer de grands volumes extérieurs pour aménager les deux terrasses ainsi que des espaces techniques. » Les ardoises naturelles du toit ont été restaurées, voire remplacées à certains endroits, de manière à isoler les toitures
par l’extérieur. Les ardoises naturelles existantes ont pu être maintenues grâce à la mise au point réalisée par Oleksandr Kostenko apportant une solution d’isolation par l’intérieur et amenant une plus-value financière, esthétique et durable. « Nous avons également fourni de nouvelles dalles de plancher aux quatrième et cinquième étages, mesurant respectivement 400 et 350 m². En plus des deux nouvelles cages d’ascenseurs, nous avons installé plusieurs nouveaux escaliers en béton et paliers intermédiaires. Ces derniers ont d’ailleurs été coulés sur place par nos équipes avec une finition en polybéton », se félicite Guy. Un projet d’une grande complexité dont nos ouvriers, équipes de chantier et support engineering ont été les chefs d’orchestre.
Parfaits dans notre rôle
Très tôt, CIT Blaton a dû élaborer des solutions concrètes pour répondre aux défis du chantier. « Il est vrai qu’en raison de la grande complexité du projet, nous avons réalisé l’ensemble des modifications structurelles avec nos propres équipes spécialisées », explique-t-il. « Ces travaux ont été particulièrement difficiles, car il a fallu réaliser de nombreux travaux sous les
toitures en ardoises maintenues. Les charpentes métalliques supportant ces toitures étaient initialement supportées par des maçonneries et à l’issue de nos travaux, elles furent supportées par les nouvelles dalles construites. » Un travail de fourmis, avec des sorties limitées et la construction de structures intérieures permettant la destruction des structures préexistantes. « Au niveau du phasage et de la technicité, ce chantier était très intéressant à mettre au point. Nous avons pu réaliser cet excellent travail notamment via l’expertise de notre propre bureau de stabilité. Certaines des phases du chantier étaient délicates, nous nous posions des questions sur le transfert des efforts entre les différentes phases. Notre salut est venu de nos modèles et projections 3D permettant des simulations très précises. » Les travaux de démolition, de la menuiserie extérieure en aluminium, de la charpente et de la peinture extérieure ont été confiés à d’autres entreprises. Un travail de coordination que CIT Blaton a aussi assumé avec professionnalisme : « Cette coordination ne s’est pas toujours déroulée sans heurts. La combinaison des moyens techniques les plus récents avec les plans architecturaux
Client Nelson Operation???? Architecte B2Ai, 360 architectes, Sergison Bates Bureau d’études SWECO, Crea-Tec Période 2022-2023 / Lieu Gand (BE) Surface 7 230 m²
Éq UIP e de C h A nt I e R Guy d elcour Senior Project Manager Koen d evarrewaere Project Manager Oleksandr Kostenko Assistant Project Manager Olivier d e troyer Project Manager TS René Rosé Conducteur
« De manière objective, c’était un défi passionnant et réussi pour les équipes de CIT Blaton »
– datant du XIXe siècle – a obligé notre équipe de chantier à se creuser un peu la tête. Une rénovation de cette ampleur réserve chaque jour des surprises. » Des ajustements très réguliers tout au long du processus de construction étaient donc nécessaires. « C’est peut-être aussi pour cette raison que la réalisation de l’hôtel Nelson s’est déroulée exactement comme nous l’avions prévu. Après tout, nous sommes réputés pour notre créativité face à de tels défis, le tout en respectant les délais. » Une belle réussite ! Le bâtiment a été livré étanche au vent et à l’eau à la mi-février. Le propriétaire du bâtiment assurera le suivi des travaux de finitions et techniques spéciales. « En plus de la très bonne collaboration
sur le chantier, que ce soit avec le maître d’ouvrage ou avec notre bureau engineering, nous pouvons dire aussi que ce chantier est une très belle réussite technique. Tous les collaborateurs ont travaillé ensemble pour trouver les meilleures solutions. De manière objective, c’était un défi passionnant et réussi pour les équipes de CIT Blaton. »
Visite du chantier en vidéo
Victor Hugo / Unilux
Une poésie luxembourgeoise
Un tout nouveau complexe résidentiel et commercial vient d’être inauguré en plein cœur de Luxembourg-Ville. Un chantier de haut standing qui n’a pas été de tout repos, et qui s’est d’ailleurs avéré un casse-tête à gérer sur plusieurs niveaux : un emplacement contraignant, des imprévus et des défis techniques de taille ! Grâce à leur expertise, les équipes de CBL sont toutefois parvenues à affronter et digérer tous les obstacles dressés sur leur route.
Imaginez plutôt : une longue avenue à quelques pas d’un centre-ville, un ballet de voitures ininterrompu, un flux permanent de passants, plusieurs lignes de bus.
Soit toutes les pires conditions réunies pour y installer un chantier.
Par Hugo Paillon Project Manager
Qu’à cela ne tienne pour CBL : nos collègues sont parvenus à dépasser toutes ces complications pour mener à bien le projet Unilux au profit du promoteur Unibra. Ce tout nouveau complexe comprend un rez commercial et sept étages résidentiels de 49 logements dans le prestigieux quartier du Limpertsberg. Un bâtiment qui mêle aujourd’hui luxe et modernité, élégance et style, mais qui a donné du fil à retordre à nos équipes.
La démolition de la superstructure de l’immeuble principal et de l’immeuble voisin, entamée en août 2021, a été particulièrement ardue. Hugo Paillon, Project Manager chez CBL, évoque un « véritable défi technique » compte tenu de l’emplacement contraignant : « Nous avons mis de nombreux dispositifs en place comme la pose de barrières pour absorber la poussière, un arrosage en permanence avec des canons à eau, l’envoi de balayeurs pour nettoyer les rues et d’un “homme trafic” pour garder à l’œil la circulation et l’arrêter si besoin. » Une surveillance renforcée essentielle pour le bon déroulement des travaux.
Hugo Paillon garde en mémoire cette situation particulièrement exigeante et inhabituelle : « Nous avons dû louer le trottoir et les places de parking. Même en faisant cela, nous avions seulement cinq mètres devant la façade pour être en mesure de travailler avant de se retrouver sur la route. » Avec aussi peu d’espace pour manœuvrer, il faut s’organiser. Pour assurer le bon acheminement des matériaux, une logistique et un planning stricts ont été établis et transmis à tous les sous-traitants et fournisseurs. Une façon d’anticiper au mieux les livraisons et éviter que deux camions n’arrivent en même temps. Autre particularité du projet : un parking souterrain commun avec la résidence voisine, qui ne devait en aucun cas être affecté par ces travaux.
Boulot d’orfèvre
Quelques imprévus sont également venus rythmer le chantier et le prolonger. En effet, une longue phase de désamiantage a retardé les travaux de six mois. « Il n’y a pas d’équipe en interne pour le désamiantage, c’est un procédé vraiment très pointu avec par exemple des douches toutes les deux heures et un bureau de contrôle chargé d’analyser le taux de fibres amiantées. Une procédure très stricte », confie Hugo. En plus de cela, les équipes ont dû faire face à quelques faillites de sous-traitants, comme celle de l’électricien en plein milieu des travaux d’encastrement ou celle du poseur et fournisseur de terrasse en bois. Le chantier aura finalement duré de janvier 2021 à août 2023.
Un autre grand défi a été la réalisation de la sublime et remarquable façade. Avec ses grands balcons vitrés, son revêtement en pierre et surtout cet habillage ajouré en aluminium imaginé par le cabinet Moreno Architecture & Associés, connu pour ses réalisations complexes et créatives. « Le bardage est composé de tubes en aluminium anodisé d’une couleur or, c’est vraiment la marque du projet. C’était très compliqué à exécuter. Ce sont des tubes qui passent sur tous les nez des balcons et des façades, allant du premier au sixième étage. Les balcons ont, de plus, une forme trapézoïdale qui donne une sensation d’un effet de relief. » Notre PM laisse entendre n’avoir jamais fait cela auparavant, il explique : « Nous avons dû gérer la dilatation de l’aluminium en plus de devoir faire attention lors de l’installation des balcons, qui devaient venir se glisser de manière très précise dans les emplacements réservés. »
Une réalisation de A à Z Tous les aléas, complications et particularités du chantier n’ont
cependant pas entaché la motivation de CBL à accomplir sa mission. Une mission qui s’est avérée plutôt inédite : une fois n’est pas coutume, notre filiale du grand-duché a livré des appartements presque tous meublés. « C’est un vrai projet de A à Z. D’habitude, nous nous arrêtons souvent à la peinture. Dans ce cas-ci, la plupart des appartements étaient aménagés. C’est du boulot, mais c’est très sympathique à faire », reconnaît Hugo Paillon. CBL s’est en effet chargée d’installer les lits, les têtes de lits, les meubles télé, les dressings… Des meubles uniques réalisés avec des matériaux haut de gamme et des finitions soignées qui participent au caractère opulent, exclusif et luxueux de la résidence. « Nous avions deux millions de menuiseries bois à l’intérieur des appartements », souligne-t-il. Les armoires, les cloisons et le mobilier ont été notamment réalisés en essence de bois noble, comme le chêne ou le noyer. CBL s’est également occupée d’installer les cuisines. « Celles-ci allaient de 35 000 à 200 000 €. Nous étions vraiment sur du très qualitatif. Au niveau de la logistique, on ne s’imagine pas le nombre de caissons, mais c’est énorme à livrer. Tout s’est finalement très bien passé, nous avons mis en place les livraisons de manière parfaite », assure-t-il. Le projet Unilux, situé dans la rue Victor Hugo en plein cœur de Luxembourg-Ville, est donc une vraie réussite en termes de logistique et de technique. Ces appartements de prestige ont, sans surprise, déjà tous trouvé preneurs. CBL a, une fois de plus, prouvé son ingéniosité face aux obstacles rencontrés, sa grande capacité d’adaptation lors de situations nouvelles et sa détermination sans faille pour ce projet d’envergure. Hugo Paillon se réjouit : « Le client est TrÈS content ! »
Bienvenue dans la (grande) famille ! CBL Parachèvement
« Nous avons tellement agrandi le service que nous devons occuper les ouvriers en externe »
Pas moins de 64 ouvriers qualifiés et conducteurs expérimentés forment la grande famille du parachèvement chez CBL. Leur force ? Un savoirfaire unique leur permettant d’être réactifs, flexibles et efficaces. Rencontre en coulisses avec Yuce Oguzcan, heureux conducteur de travaux en parachèvement chez CBL.
É q UIP e d ebout de gauche à droite :
Ioanna Kara / Stéphane Olivier / Armando Cabete / Dominique Ragache / Thomas Orlandini Assis de gauche à droite : Mara Totaro / Yuce Oguzcan
« nous assurons un contrôle qualité et sécurité que les autres entreprises n’appliquent pas forcément »
« La conjoncture économique et la situation du secteur de la construction font que nous avons aussi développé un nombre plus important de partenariats en externe. Nous sommes pour l’instant actifs à 60 % en interne, 40 % sur des chantiers externes pour un total de 10 millions de chiffre d’affaires. »
Une entreprise dans l’entreprise
« L’équipe Parachèvement, nous la considérons chez CBL comme une grande famille où règnent une bonne collaboration et une grande solidarité », nous dit Yuce. Les cadres sont égale-
« Nous avons plusieurs services dans le parachèvement : chape, plâtre projeté, placo, façade isolante et carrelage. Nos cinq équipes sont actives en interne chez CBL, mais également sur des chantiers de plus petite envergure pour des clients résidentiels, des collectivités ou des gestionnaires immobiliers », se félicite Yuce. Car c’est important à souligner CBL est la seule entreprise au Luxembourg qui compte un service interne dédié entièrement aux parachèvements. Les équipes de Yuce ont par ailleurs travaillé sur les chantiers Twist à Belval et Canal 44 à Esch-sur-Alzette, sur plusieurs chantiers de Gasperich ou encore sur le Moonar de Niederanven.
ment très indépendants, gèrent leur planning eux-mêmes et sont considérés comme des petits patrons de leur propre entreprise. Yuce sourit : « C’est simple, nous sommes comme une petite entreprise dans l’entreprise. » Alors que la partie gros œuvre de CBL compte plus de 120 collaborateurs, les cinq équipes du parachèvement en totalisent 64. « Nous avons tellement agrandi le service que nous devons occuper les ouvriers en externe, avec des clients très satisfaits de notre travail. Dans cette optique, nous avons tissé des liens avec des entreprises dites concurrentes et nous répondons de plus en plus aux
marchés publics. Nous comptons bien continuer dans cette direction. »
toujours dans les règles de l’art
La place occupée par le parachèvement au sein de CBL amène parfois son petit lot d’inconvénients, comme nous l’explique Yuce : « En interne, il est plus facile de nous taper sur les doigts que sur ceux des sous-traitants, et ils ne se retiennent pas (rires) Malgré tout, j’adore la diversité que cela apporte à nos projets. L’ambiance est excellente et impacte positivement la qualité de nos interventions sur chantier. Cela fait trois ans que je suis dans le service, et je peux dire que le travail y est très bien fait, reconnu aussi bien en interne que chez les clients externes. » Pour Yuce et ses hommes, la réactivité est essentielle. « Notre expertise est multiple et nous sommes appréciés pour notre grande rapidité. Tout cela est dû précisément à l’importante flexibilité de nos équipes. »
Une rapidité et une efficacité qui ne sont donc plus à démontrer : « Nous allons plus vite que les autres, c’est un fait. Et quand nous allons plus vite, nous gagnons du temps et donc de l’argent. Nous travaillons aussi toujours dans les règles de l’art : nous assurons un contrôle qualité et sécurité que d’autres entreprises ou soustraitants n’appliquent pas forcément. » Une grande famille, qui plus est consciencieuse !
Les escaliers de la Manufakture
L’orfèvrerie au cœur du dépôt
La Manufakture est un site unique en europe. Bientôt, elle abritera l’activité principale de notre client Abattoir, à savoir la découpe de viande. Un tel centre au cœur d’une métropole est en effet exceptionnel. Son emplacement dans la capitale a énormément de sens par la proximité des clients, leur caractère multiculturel et la diversité des entreprises y exerçant. Le site accueillera par ailleurs un parking de 350 places et une piscine sera construite sur le toit !
avid Van d e Voorde Assistant Project Manager
Oleksandr Kostenko Assistant Project Manager
Arnaud d eworm Project Manager TS
Johan Laenen Conducteur
Parcourez
l’ensemble de la chaîne de préfabrication marche après marche
Pour ce chantier, l’architecte Baukunst avait dessiné deux escaliers en colimaçon en béton apparent, posés en miroir. La production de ces escaliers a été attribuée à notre atelier de préfabrication. Au final, ce sont 28 volées d’escaliers avec nez antidérapants et éclairage LED intégré qui seront ainsi produites au dépôt.
démonstration de notre savoir-faire
Plusieurs éléments ont dû être finement étudiés par le bureau d’études de CIT Blaton avant de lancer la production. Définir la séquence des volées d’escaliers (2 x 14 pièces en miroir), choisir la meilleure façon de réaliser le coffrage de ces pièces, affiner le dessin pour inclure les éléments tels que les nez de
marche ou bandelettes LED sont autant d’étapes qu’il a fallu étudier, en collaboration avec l’équipe de la préfabrication. Différents tests de béton ont été réalisés également afin de définir le meilleur mélange qui permette d’obtenir le résultat escompté. La première pièce est sortie des ateliers et a été validée par le bureau d’architecte Baukunst. La production peut être lancée.
Ferraillage
Pour commencer la réalisation de ces escaliers, rendez-vous dans l’entrepôt de ferraillage. Sur la base d’un modèle, nos collègues préparent le ferraillage en fonction de la volée qui sera réalisée et donc du nombre de marches qu’elle comptera.
Bétonnage
La structure est ensuite posée sur le coffrage en métal qui a été construit préalablement. La solution d’un coffrage en bois n’a pas été retenue, car elle ne permettait pas de garantir la qualité continue de la production.
Finition
Il s’agira donc de sortir du coffrage une pièce parfaitement finie en béton apparent. Ce sont des mains d’orfèvre qui s’agitent sur les pièces de béton fraîchement coulées pour leur donner une allure agréable à la vue et au toucher sans la moindre aspérité.
F ERRAILLAGE
Bé TONNAGE FINITION
Visite du chantier en vidéo
De gauche à droite et de haut en bas : Manchel Gilles / Swaelens Jean-Claude / e h arras n oureddine / h emeleers Michaël / Mircos Mikael / Lesens Pierre h enri / Mernone n icolas / Pirrera Carlo / Ferreira Meneses Alberto / d uray Fabrice / Vasile Roberto / q uerriaux Serge / Itterbeek Michael / Gatore n obel / n ollet Frédéric / e Merkhachef Ahmed / Boutouba Omar
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Repos et décoffrage
Nous laissons la pièce sécher et poser pendant trois jours. Pendant l’hiver, elle sera mise sous bâche et réchauffée afin de garantir le séchage. Au retour du week-end, c’est le moment du décoffrage. Un moment de tension pour les équipes qui doivent soigneusement délivrer la pièce de son emprise et découvrir la qualité de leur réalisation. Ouf, elle a parfaitement pris et l’aspect de ce béton est impeccable. Beau travail !
Basculement et stockage
Il faut à présent emmener la pièce à l’aide du treuil vers l’extérieur du dépôt
où les ouvriers, très prudents, vont retourner la pièce de plus de 4 tonnes dans un bac à sable. Et ce n’est pas un jeu d’enfant ! La magnifique volée ainsi produite va être stockée avec d’autres pièces de la série en attendant d’être posée sur le chantier.
Pose de l’escalier Rendez-vous sur le chantier de l’Abattoir à Anderlecht. Le camion de CIT Blaton, chargé la veille de plusieurs pièces, rejoint le site pour mettre les pièces en place. Nous faisons appel à une grue mobile pour manœuvrer ces éléments avec une dextérité exception-
nelle. Les ouvriers et le contremaître du chantier sont là pour poser la volée au millimètre près tout en faisant extrêmement attention de ne pas ébrécher ces pièces uniques réalisées par les collègues.
Ascension collective
Le colimaçon prend forme et a fière allure. La construction de ces escaliers est le fruit d’une forte collaboration entre les équipes du bureau d’études, des ateliers du dépôt et finalement des équipes de chantiers.
« Une belle histoire qui repose sur l’expertise, l’expérience, la confiance et le savoir-faire de CIt Blaton, marche après marche. »
B
POSE DE L ESCALIER
en proie à l’amiante The Dome
Surprise de taille
très mauvaise surprise pour nos collègues occupés sur le chantier the dome, en plein cœur de Bruxelles : le bâtiment contenait bien plus d’amiante que ne le mentionnait l’inventaire amiante. Mais nos collègues restent positifs, comme toujours ! Faisons le point sur la situation avec david Laterre, directeur de projets.
Un désiamantage prévu mais pas en suffisance !
La construction de ce bâtiment datant de 1872, la présence d’amiante n’est en rien surprenante. Une phase de désamiantage avait donc été prévue en phase de soumission. Mais la surprise venait en réalité du plafonnage, qui regorgeait d’amiante et qui n’avait malheureusement pas été repris dans l’inventaire amiante.
Par David Laterre Directeur de projets
Pour gagner du temps et ne pas faire augmenter le budget outre mesure, une cartographie complète du bâtiment a été réalisée afin d’exclure les zones non contaminées. Au total, 12 000 m² de plafonnage ont dû être désamiantés.
Un processus minutieux
Une fois que Bruxelles Environnement approuve la demande de permis d’environnement, la phase de désamiantage peut commencer.
Avant toute chose, plusieurs sas de décontamination sont installés et les zones à traiter sont rendues hermétiques pour ensuite être mises en dépression à l’aide de gros ventilateurs. Pourquoi ? Tout simplement parce que le désamiantage constitue une tâche délicate, l’amiante étant une substance extrêmement nocive. Aucune particule ne peut s’échapper. Les personnes chargées du désamiantage doivent d’ailleurs porter un équipement à usage unique. Il s’agit d’une tenue complète, les couvrant de la tête aux pieds. Pas le moindre bout de peau en vue !
Le nerf de la guerre
C’est alors que le désamiantage à proprement parler peut commencer. Équipés de leur tenue spécialement conçue à cet effet, les ouvriers entrent dans la zone à désamianter et retirent l’amiante dans sa totalité. Pour ce chantier-ci, la disposition des lieux a contraint nos collègues à désamianter l’ensemble du
plafonnage à l’aide d’outillage à main, à savoir des marteaux-piqueurs, des ponceuses et des sableuses. Une fois leur tâche accomplie, ils entrent dans un sas de décontamination et jettent leur tenue avant d’entrer dans un autre sas pour y prendre une douche. Rien n’est laissé au hasard et les risques sont écartés le plus possible.
La surface à traiter étant bien plus grande que prévu, cette phase a duré du mois d’août jusqu’à la mi-avril, soit six mois de plus que prévu dans l’inventaire initial. Au total, une quarantaine d’ouvriers étaient présents, chaque jour, pour compartimenter les zones, les décaper et ensuite tout nettoyer et évacuer les décombres.
Un travail de titan ! D’autant plus que le bâtiment est situé dans une zone piétonne, en plein cœur de la ville de Bruxelles… des contrôles rigoureux
Chaque jour, un bureau de contrôle externe contracté par De Meuter, le désamianteur, vérifiait notamment le travail effectué ainsi que la qualité des filtres utilisés pour mettre les zones à traiter en dépression. L’objectif ?
S’assurer que de l’amiante ne s’échappait pas des zones hermétiques et qu’aucune infraction n’était commise à l’égard du permis délivré par Bruxelles Environnement.
Place à la suite !
La phase de désamiantage étant achevée, voilà une belle épine hors du pied de nos collègues ! Ils peuvent à présent se concentrer sur la suite des travaux, à savoir la démolition intérieure. David Laterre nous explique : « Nous gardons uniquement les façades et deux cages d’escaliers, tout le reste sera démoli. Nous sommes donc en train d’étançonner les façades pour pouvoir démolir l’intérieur. Les démolitions ont déjà commencé parce qu’une partie du bâtiment est déjà stabilisée. » L’objectif est d’entamer les travaux de reconstruction à partir de fin août, début septembre. La fin des travaux est, elle, prévue pour avril 2026.
« Au fil des années, les calculs ont changé et de nouvelles normes ont vu le jour »
Client VDD Project Development Vervoodt r.e.????
Coussée & Goris architecten
/ Lieu Bruxelles (BE)
Terrassement du Niederkorn Mall
« Au final, près de 15 000 m³ auront été excavés, transportés et revalorisés ! »
Préparer
le
terrain
pour accueillir les fondations d’un projet important en plein cœur du sud du Luxembourg, la commune de differdange s’apprête à accueillir un nouveau centre commercial d’envergure : le niederkorn Mall. Ce projet ambitieux, qui devrait ouvrir ses portes en 2027, promet de dynamiser la zone et de créer de nombreux emplois. Mais avant de poser la première pierre, il y a un travail préparatoire crucial à effectuer : le terrassement. Celui-ci est exécuté par les équipes de CBL.
Par Guillaume Mellinger
Conducteur gros-œuvre
Rencontre avec Guillaume Mellinger, conducteur de travaux en gros œuvre. L’objectif est d’excaver 15 000 m³ de terre pour y construire le premier lot du nouveau complexe commercial et hôtelier. Il était prévu au départ de creuser jusqu’à 70 cm pour y trouver la bonne terre sur laquelle nous pouvions commencer la construction. Lorsque Guillaume a suggéré l’idée de couler un béton de propreté à la place de la plateforme en concassé pour le radier, il a fallu regarder la qualité de la terre d’un peu plus près. Les différentes strates de terre ne sont pas si planes et la terre sur laquelle il était prévu de construire à ce niveau s’avère trop meuble. Voyez la photo (3), on y distingue facilement les différentes couches de terre.
L’étude de sol qui avait été réalisée à l’époque semblait ne pas correspondre au terrain actuel. Une nouvelle étude est commandée pour s’assurer de la bonne tenue de l’édifice. Il faudra alors creuser jusqu’à 1,50 m environ.
Revalorisation des terres Bonne nouvelle, les terres excavées étant de très bonne qualité, Guillaume a trouvé un moyen de les revaloriser. En effet, un chantier pas trop loin d’ici a besoin de terre, car il se situe sur un ancien site industriel dont les terres sont polluées. Plutôt que d’envoyer ses terres en décharge, l’équipe de CBL a donc convenu de les déverser sur cet autre chantier (une fois les autorisations conformes obtenues par le ministère).
Le chantier de terrassement du Niederkorn Mall est un véritable défi technique et logistique. Il faut effectuer les rotations parfaites entre les huit camions et la disponibilité de la grue chenille de 36 tonnes pour les charger. Au final, près de 15 000 m³ auront été excavés, transportés et revalorisés !
« Ce chantier se situe à quelques jets de pierre des bureaux de CBL »
Le futur quartier Brooklyn
en bonne voie
d’ici quelques mois, le quartier Bonnevoie à Luxembourg comptera, dans un premier temps, 44 appartements supplémentaires. et le moins que l’on puisse dire, c’est que les travaux du chantier Brooklyn, dirigés par hugo Paillon, Project Manager, et supervisés par tristan hauden, conducteur de travaux, vont bon train !
Un projet en plusieurs lots Le projet Brooklyn se décline en huit lots, destinés à des logements résidentiels, mais aussi à des immeubles de bureaux. Pour l’heure, seul le premier lot – et une partie du deuxième, comme nous le verrons ultérieurement – a été attribué. Et bonne nouvelle : c’est CBL qui s’en charge !
Entamé à la mi-octobre 2023, le lot 1 consiste en la construction de 44 appartements répartis sur deux îlots – l’un de 27 et l’autre de 17 appartements – qui partagent un même sous-sol, mais qui ne sont pas reliés hors sol. Le sous-sol se compose de trois niveaux un niveau de cave et deux étages de parking. Quant aux deux îlots, ils compteront chacun, à terme, quatre étages hors sol. Dès septembre 2025, les nouveaux résidents pourront prendre place dans les appartements flambant neufs, allant du studio de 30 m² au penthouse de quelque 110 m².
déroulement des travaux
Dans le cadre du projet Brooklyn, CBL s’occupe du gros œuvre, du parachèvement et de la réception. « Le gros œuvre sera terminé fin juillet 2024 », estime Tristan. « Nous avons terminé les soussols en béton selon le procédé ZEMENTOL® et sommes à présent au r+3. Il nous reste donc un étage à construire pour la partie gros œuvre. » Nos collègues ont déjà entamé les techniques et le parachèvement début
juin. Cette étape, qui s’achèvera en juillet 2025, comprend le clos couvert, c’est-à-dire les châssis, les façades et l’étanchéité du bâtiment, ainsi que le parachèvement intérieur, à savoir notamment les cloisons, le plâtre projeté et la peinture. Viendra ensuite la réception. L’équipe procédera alors aux derniers ajustements éventuels demandés par le client, Eaglestone, et le lot 1 sera officiellement réceptionné en septembre 2025.
Comme indiqué précédemment, parallèlement au lot 1, l’équipe d’Hugo et de Tristan a réalisé une partie du lot 2, à savoir le local trafo, qui comprend la basse tension permettant d’alimenter l’ensemble des lots. Cette construction de 165 m² sur deux niveaux de sous-sol a été livrée pour le 15 mars 2024, comme prévu. Qui sait ? Eaglestone décidera peut-être d’attribuer le reste du lot 2 à CBL…
Une particularité qui vaut le détour « Nous avons réalisé une cuve blanche selon le système ZEMENTOL® », explique Tristan. Ce procédé garantit en réalité l’étanchéité des bétons sur l’ensemble du sous-sol. « Entre deux reprises de bétonnage, nous posons des bandes d’étanchéité. Une personne accréditée ZEMENTOL® contrôlait chaque jour notre travail pour ensuite nous donner le feu vert pour procéder au coulage du béton », précise notre conducteur de travaux.
La partie la plus intéressante à ses yeux ? Le butonnage qui a été réalisé. À 10 mètres de profondeur, les poussées exercées par les parois sont considérables. Afin de maintenir le tout en place, l’équipe a donc installé des butons par phases avec l’entreprise Entrapaulus, qui était également présente sur le site. Et ce n’était pas une mince affaire !
Jusqu’ici, tout va bien « Il n’y a pas de défi en soi », se réjouit Tristan. « Pour l’instant, tout se passe bien. Nous avons même un peu d’avance ! Il s’agit quand même de la construction d’un bâtiment de 5 500 m² en pleine ville, mais nous avons suffisamment de place et les voisins sont très compréhensifs. » En voilà une excellente nouvelle ! Le seul petit bémol, c’est que le chantier n’était pas prêt le 15 octobre, au lancement des travaux. L’entreprise Entrapaulus, qui s’occupait de la démolition des anciens hangars sur le site, de la dépollution des sols, des terrassements et du butonnage, était encore présente sur le chantier, obligeant ainsi nos collègues à travailler par phases, ce qui n’était pas prévu. Mais heureusement, tout est rapidement rentré dans l’ordre.
Le principal défi de ce chantier consiste donc à satisfaire pleinement le client, Eaglestone, dans l’espoir qu’il attribue d’autres lots à CBL début 2025. Il n’y a plus qu’à croiser les doigts !
Par Hugo Paillon Project Manager
Chantiers ouverts
écluse Royers
L’écluse Royers un chantier vertigineux
des explications s’imposent. Ce projet aussi singulier que titanesque consiste à agrandir l’écluse Royers, construite en 1907, la faisant ainsi passer de 180 à 230 m de long et de 22 à 36 m de large. L’objectif ? Accroître la capacité de l’écluse afin de garantir un passage plus fluide et d’accueillir des barges plus grandes et plus nombreuses.
Une chance unique
Les visiteurs ont pu plonger en plein cœur des travaux. Presque littéralement, d’ailleurs ils ont eu l’occasion de descendre dans l’ouverture d’une trentaine de mètres creusée pour agrandir l’écluse. Voilà une chance inouïe, qui ne se présente pas tous les jours Qui plus est, accessible à tous – tant aux poussettes qu’aux
personnes à mobilité réduite –, le site a fait le bonheur de petits et grands qui, en dépit d’une météo variable, sont repartis avec des étoiles dans les yeux. Merci à nos collaborateurs, qui ont fait de cette visite un moment unique en famille et qui ont donné des explications claires et détaillées à tous les visiteurs. Une journée mémorable !
Le Chwapi
1 000
VISITEURS
un chantier unique
Le 26 mai dernier, à l’occasion de la Journée Chantiers Ouverts, près de 1 000 personnes ont eu la chance de visiter le chantier du Centre hospitalier de Wallonie picarde (Chwapi), à tournai.
Malgré une météo capricieuse, les visiteurs étaient émerveillés et subjugués par l’ampleur du projet ! en effet, à l’horizon 2026, toutes les activités hospitalières du Chwapi seront rassemblées sur un seul et même site : le Site Unique, l’actuel Site Union.
Le Site Unique en chiffres
Le Site Unique du CHwapi occupera une superficie de 150 000 m², dont 100 000 m² sont en cours de construction. Il réunira ainsi quelque
2 700 collaborateurs et accueillera pas moins de 708 lits en hospitalisation classique et 140 lits en hospitalisation de jour, avec un parking souterrain de 1 000 places. Un projet colossal, donc !
Une visite bien ficelée Un parcours fléché emmenait les visiteurs à travers les gigantesques espaces du site et des zones dédiées à des projets, comme le hall d’accueil, la future cuisine ou encore le futur centre de formations et de conférences.
Vidéos, projections en 3D et photos parsemaient ce parcours, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Un grand merci à l’équipe du chantier d’avoir fait découvrir les coulisses de ce projet à nos invités. Une chose est sûre : ils s’en souviendront !
BRUSK à l’état brut
Le 26 mai dernier, lors de la Journée Chantiers Ouverts, le chantier du futur centre d’exposition BRUSK à Bruges était accessible au public. À terme, ce site de pas moins de 20 000 m² abritera notamment deux grandes salles d’exposition destinées à accueillir des œuvres internationales. Un projet d’envergure ! 1 500 VISITEURS
À la découverte du chantier
Quelque 1 500 visiteurs ont exploré les espaces qui deviendront, plus tard, les salles d’exposition et découvert le premier étage fraîchement bétonné, le futur centre de recherches ainsi que la future bibliothèque. Le chantier n’en est encore qu’au stade du gros œuvre, mais grâce à nos experts présents sur le site, les visiteurs ont désormais une image claire en tête du futur centre d’exposition BrUSK. Les plus créatifs d’entre eux s’y voyaient déjà exposer leurs œuvres d’art ! Merci à nos collègues d’avoir inspiré nos invités !
Le service QSE
de CBL
Comme son nom l’indique, le service qSe gère tout ce qui a trait à la qualité, la santé-sécurité et l’environnement, mais il s’agit avant tout d’une équipe de quatre personnes à l’esprit d’équipe inébranlable. et nos collègues sont catégoriques sur un point : les aspects qSe relèvent de l’entreprise dans son intégralité, pas uniquement de leur service.
d ebout de gauche à droite
Roger Piccolo et Jean-Christian Spite
Assis de gauche à droite
Philippe Hénin et Claude Thinus
Un esprit d’équipe à toute épreuve !
Le service qSe de CBL se compose donc de quatre collaborateurs : Claude thinus, Roger Piccolo, Philippe hénin et Jean-Christian Spite. Ils occupent tous la même fonction, mais chacun est référent dans un domaine spécifique. Ainsi, Claude est le point de contact pour les aspects liés à la qualité, Jean-Christian est la personne de référence pour tout ce qui a trait à l’environnement, et Roger et Philippe sont, quant à eux, les interlocuteurs privilégiés en matière de santé-sécurité.
« Le terme “non-conformité” a mauvaise presse, mais nous, nous le tournons en opportunité »
Nos collègues apportent une structure et un cadre dans ces trois domaines, notamment à travers de la documentation, des procédures et des sensibilisations. Toutefois, le cœur de métier de CBL est et restera la construction, et le QSE est l’affaire de tous. « À nous quatre, nous sommes en quelque sorte les gardiens du temple, mais chacun est responsable des aspects QSE sur son chantier », insiste Claude. roger renchérit : « S’il y a une fuite sur un chantier, ce n’est pas de la faute de Jean-Christian ; si un mur n’est pas droit, ce n’est pas de la faute de Claude ; et si quelqu’un se blesse sur un chantier, ce n’est pas de la faute de Philippe ni de la mienne. » Leur intention n’est bien évidemment pas de se dédouaner, mais d’inclure tout le monde. Car, a contrario, lorsque tout se passe pour le mieux sur un chantier, ce n’est pas grâce à eux, mais aux travailleurs présents sur le terrain. « Il ne faut surtout pas oublier les collaborateurs qui s’occupent des chantiers », dit Philippe. « Ce sont eux qui construisent les bâtiments dont les clients sont contents. Le service QSE apporte juste une pierre à l’édifice. »
Un éventail de tâches
L’objectif principal du service QSE de CBL est l’amélioration continue des aspects liés à la qualité, la santésécurité et l’environnement au sein de l’entreprise. Nos quatre collègues sont tenus d’assurer le maintien des procédures en place chez CBL,
certifiées ISO – 9001 pour la qualité, 14001 pour l’environnement et 45001 pour la santé et la sécurité. Mais aussi de veiller à ce qu’elles soient respectées dans tous les services de l’entreprise, entre autres en diffusant des procédures et des documents, ainsi que lors des visites de chantiers. Une règle n’est pas respectée ? Ils doivent alors procéder à des corrections, en amenant les personnes concernées à se poser les bonnes questions afin d’éviter que le problème ne se reproduise. Le service QSE a donc aussi pour rôle de sensibiliser les collaborateurs aux aspects liés à la qualité, la santésécurité et l’environnement. Nos collègues organisent ainsi des réunions avec les chefs d’équipe, des Project Managers ou encore du personnel d’encadrement afin d’atteindre tous les échelons de l’entreprise. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’un Project Manager n’a pas le même rôle qu’un conducteur de travaux, qu’un chef d’équipe ou qu’un ouvrier. Prenons l’exemple d’un échafaudage : le Project Manager a plusieurs règles à respecter lors de la commande de l’échafaudage ; le conducteur de travaux doit suivre des instructions bien spécifiques lors de la réception ; et l’ouvrier est tenu de porter un certain équipement de sécurité pour utiliser l’échafaudage. Chaque intervenant reçoit donc des instructions bien particulières et il est du ressort du service QSE de communiquer les bonnes informations aux bonnes personnes.
Toutefois, pour être en mesure d’informer adéquatement tous leurs collègues, les collaborateurs du service QSE doivent être eux-mêmes bien informés sur le sujet. Et pour ce faire, ils effectuent une veille réglementaire pour s’informer des nouvelles règles en vigueur en matière de qualité, de santé-sécurité et d’environnement. Une fois qu’ils disposent des textes auxquels CBL doit être conforme, ils évaluent le degré de conformité de l’entreprise par rapport à ces nouvelles normes. Les décisions reviennent évidemment à la direction, mais en leur qualité de travailleurs désignés, ils peuvent – et doivent – la conseiller et l’aiguiller en matière de santé-sécurité. Pour ce qui est des procédures, chaque service est libre de décider de sa propre méthode de travail. En effet, nos collègues du service QSE sont spécialisés dans leur domaine, mais pas dans tous les domaines de l’entreprise. Qui de mieux placé que le département Comptabilité pour établir les procédures en matière de comptabilité, par exemple ? Le service QSE aide simplement les différents services et départements à documenter leurs règles et procédures, et veille au bon respect de ces dernières. « Nous proposons un cadre, une structure, mais le QSE, c’est l’affaire de tout le monde », précise Claude. « Tous les problèmes du monde ne viennent pas du QSE et le QSE n’a pas la solution à tous les problèmes du monde », ajoute JeanChristian. C’est un travail d’équipe !
Les certifications, gage de rigueur Comme mentionné précédemment, CBL dispose des certifications ISO 9001 pour la qualité, 14001 pour l’environnement et 45001 pour la santé et la sécurité. Elle possède également depuis peu, pour son siège, la certification WELL, axée sur le bien-être au travail. En ce qui concerne l’aspect environnemental, CBL détient aussi la labellisation SDK (SuperDrecksKëscht®), qui garantit une gestion écologique des déchets. L’entreprise possède cette labellisation pour son siège et, ponctuellement, pour certains chantiers.
Ces certifications sont toutes délivrées sur la base de divers audits, portant soit sur l’ensemble des activités de l’entreprise, soit sur une activité bien particulière. Elles témoignent de la volonté de CBL de veiller à la qualité de ses chantiers, à la santé, à la sécurité ainsi qu’au bien-être de ses travailleurs, et au respect de l’environnement.
Zoom sur le suivi des chantiers Étant donné que Claude, Roger, Philippe et Jean-Christian ont notamment pour tâche de veiller à ce que les règles en vigueur soient appliquées sur les chantiers, ils sont régulièrement amenés à les visiter. Cet aspect de leur métier est crucial, et ce, pour une raison des plus évidentes : « Le cœur de métier de CBL, ce n’est pas de faire de la paperasse, mais de sortir des bâtiments de terre », nous dit Roger. Ils doivent donc se tenir au fait de ce qu’il se passe sur les chantiers afin de diffuser des instructions et informations conformes à la réalité sur le terrain.
Étant donné que CBL emploie de nombreuses personnes destinées à travailler sur les chantiers, la santésécurité occupe une place prépondérante au sein du service QSE. C’est pourquoi la moitié de sa charge de travail est consacrée à cet aspect. En effet, pour rappel, sur les quatre collaborateurs du service, deux sont plus particulièrement affectés à la santé et à la sécurité des travailleurs : roger et Philippe. À ce titre, ce dernier précise : « J’ai constaté une nette progression des mentalités et du respect des règles en matière de sécurité sur nos chantiers. »
Sur un chantier, le risque le plus élevé n’est autre que la chute de hauteur. Nos quatre collègues se sont donc, par exemple, attelés à la rédaction de plusieurs documents relatifs aux travaux
sur échafaudage. Le Luxembourg est un pays certes très petit, mais très diversifié sur le plan culturel. On y trouve effectivement des Luxembourgeois, mais aussi des Belges, des Français, des Allemands ou encore des Portugais. Et bien entendu, chacun apporte ses propres expériences et connaissances en matière de travaux de construction ou de rénovation. Il est donc indispensable que tout le monde suive les mêmes règles, en l’occurrence celles applicables au Luxembourg.
Retour d’expérience
La notion de retour d’expérience occupe une place centrale au sein du service QSE. En effet, c’est sur cette base – ainsi que sur la base des nouvelles législations – que les procédures sont modifiées.
Par exemple, de chantier en chantier, les travailleurs acquièrent de l’expérience, rencontrent diverses difficultés et décident, pour les prochains projets, d’appliquer une autre procédure que celle qui a été établie. Le QSE intervient alors pour adapter la procédure en fonction du retour d’expérience des projets. Le but ? Éviter que ces mêmes difficultés ne surviennent sur les futurs chantiers et tirer des leçons des anciens projets en vue de l’amélioration continue, qui est, pour rappel, l’objectif principal du service QSE.
De même, lorsqu’un problème de qualité se pose sur un chantier, nos collègues en déterminent l’origine afin d’adapter la procédure en vigueur ou de rappeler les bonnes pratiques si nécessaire.
CBL s’est d’ailleurs considérablement améliorée sur ce point. La direction organise des débriefings, auxquels assistent la direction, les Project Managers, les conducteurs de travaux… Durant ces débriefings, les collaborateurs des chantiers présentent les points positifs et négatifs qu’ils ont observés sur leur chantier. Le service QSE en profite alors pour fournir des informations relatives aux indicateurs clés de performance (KPI) pertinents définis par la direction de CBL, communiquer les nouvelles règles à suivre… Ces débriefings sont extrêmement utiles, dans le sens où ils permettent d’apprendre la culture d’entreprise aux plus jeunes et de la rappeler aux plus anciens.
L’amélioration continue au centre de tout
Dans une démarche d’amélioration continue, nos collègues du service QSE de CBL se tiennent systématiquement informés des nouvelles législations et réglementations en vigueur ainsi que des innovations en matière de qualité, de santé, de sécurité et d’environnement. Ils s’abonnent donc à diverses newsletters, assistent à des forums pour rester au fait des meilleures technologies disponibles et s’informent sur les nouveautés mises en place dans les autres pays d’Europe. En outre, ils établissent chaque année, à l’attention de la direction, un rapport d’activité portant sur leurs trois domaines de travail. L’objectif ? Vérifier l’évolution, tant positive que négative, de CBL dans ces trois domaines et permettre à la direction de prendre les décisions qui s’imposent. Les audits auxquels CBL est soumise fournissent également un aperçu général de la situation : l’entreprise s’estelle améliorée ou, au contraire, a-t-elle régressé ? Respecte-t-elle toujours les normes ISO ? Les auditeurs sont des personnes externes à l’entreprise et évaluent bon nombre de sociétés par an, donc ils sont capables de situer précisément CBL par rapport à d’autres acteurs du secteur et de pointer du doigt les domaines qui présentent le plus de risques. en parlant d’audits… « Jean-Christian et moi réalisions des audits auparavant, donc nous avons des contacts plus faciles avec les auditeurs », confie Claude. « Ce ne sont pas nos amis, bien sûr, mais nous parlons un langage commun, ce qui facilite grandement les choses. Comme nous étions du métier, nous n’avons pas peur du terme “non-conformité” parce que nous savons que c’est pour un mieux. Certes, il est vrai que ce terme a mauvaise presse… » Et Jean-Christian ajoute : « Mais nous, nous le tournons en opportunité. » Quelle belle vision des choses
Le service QSE de CBL en quelques mots ? Esprit d’équipe, positivité et amélioration continue.
« Le QSE, c’est l’affaire de tout le monde »
GARe d’OttIGnIeS
Clients SNCB, T u C Rail
e n association avec Artes
Période 2024-2026
Lieu Ottignies
Chaque jour en semaine, c’est plus de 400 trains qui passent en gare d’Ottignies afin de transporter plus de 22 000 voyageurs vers Bruxelles, Louvain, Namur ou encore Liège.
CIT Blaton, en association avec Artes, va réaliser d’importants travaux d’infrastructure et d’aménagement afin de rendre le lieu plus agréable et plus performant qu’il ne l’est actuellement. Plusieurs installations sont au programme, telles que la construction de la passerelle principale reliant l’ensemble des quais de la gare au centre-ville et la gare des bus, mais également le plateau des Villas et le quartier Limelette.
Nous devrons assurer l’accès, depuis les passerelles principale et secondaire, vers les quais par l’installation d’escaliers, d’ascenseurs et d’escalators. Nous poserons également l’auvent de couverture – au niveau de la ligne 161 –des passerelles principale et secondaire, ainsi que d’une partie des quais. Il s’agira aussi de construire les locaux vélos aux entrées de la passerelle principale, côtés Limelette et Villas. Le marché comporte également la construction
d’un quai double N5-N6 en rénovant les accès de ce quai, l’installation des plateformes des futures voies N4-N5-N6 et la prolongation de la passerelle secondaire avec deux nouvelles travées. Fin des travaux en 2026.
La particularité de ce chantier ? La gare reste en activité pendant la durée du chantier ! Les équipes travaillent donc également de nuit.
tIROU
Un nouvel édifice s’érigera bientôt boulevard Tirou, artère historique de Charleroi, qui donnera par la même occasion des allures plus modernes à cette entrée de la ville.
TIROU 1 sera visible non seulement des piétons du boulevard, mais aussi des nombreux automobilistes qui empruntent le Ring de Charleroi chaque jour. En consortium avec BPC, nous réaliserons les travaux de gros œuvre fermé du « flatiron building carolo » s’élevant sur 15 niveaux, comprenant un rez-de-chaussée et 14 étages. Ce bâtiment comptera des espaces de stationnement sur deux étages en sous-sol. Des bureaux ou
commerces seront répartis sur les 14 niveaux supérieurs, avec également 23 appartements distribués sur sept niveaux. La finalisation du gros œuvre fermé est prévue pour mai 2025, les aménagements intérieurs commenceront quant à eux à partir de septembre 2025. Ce projet ambitieux vise une certification BREEAM Excellent, garantissant de très hauts niveaux de performance dans plusieurs
domaines environnementaux. Cette certification se base sur différents facteurs tels que la santé et le bien-être, le recours aux énergies vertes, aux matériaux et transports durables, la gestion des déchets, etc. La conception de l’immeuble a également pour objectif de le rendre le plus accessible possible aux personnes à mobilité réduite. Un projet dont nous sommes déjà très fiers !
the LOOM
CIT Blaton est fier de participer à la construction d’un des prochains grands projets de la capitale.
Situé en plein cœur du quartier européen de Bruxelles, rue de la Loi, le futur chantier LOOM est unique en son genre. Avec comme objectif la création d’un écosystème urbain de qualité, le projet LOOM vise surtout à transformer trois immeubles de bureaux existants en un projet innovant à usage
mixte : des bureaux et espaces de travail, pas moins de 48 unités résidentielles en coliving, ainsi qu’une gamme complète d’autres services et d’installations.
Cette transformation se veut la plus écologique possible, en se reposant dès sa conception sur les
principes de l’économie circulaire. En effet, la structure existante des bâtiments sera maintenue, et une attention particulière sera portée à ce que les éléments démolis ou démantelés soient récupérés, réutilisés ou recyclés.
APB
Client APB – Association Pharmaceutique Belge Architecte BEAu – Bureau d’études en Architectures urbaines Bureau d’études VK architecten (part of SWECO) Bureau d’études techniques Exilab (part of SWECO) ontwerp labo Bureau d’études de stabilité BESP Bureau d’études acoustique De Fonseca Climatex EPB
Le projet STAY comprend la rénovation des bureaux des bâtiments Archimède 9, 11 et 13 à Bruxelles, avec le transfert du laboratoire existant vers une nouvelle construction au 137, rue Stevin. La préservation d’une maison de maître historique le long de la rue Archimède constitue le cœur du projet, entouré de nouvelles sections s’intégrant harmonieusement à
l’édifice existant. À l’arrière du site, un nouveau laboratoire sur quatre étages est prévu, accompagné de deux jardins aménagés.
PROJet One
Client
Dans le cadre du projet ONE, le géant chimique britannique Ineos construit dans le port d’Anvers un site industriel pétrochimique d’envergure unique.
L’objectif : convertir l’éthane en éthylène, une matière première utilisée notamment dans la fabrication du plastique. C’est tout simplement le plus grand investissement du secteur chimique depuis près de 25 ans. Et notre entreprise, en association avec Franki Foundations, va participer à une partie des travaux. Nous avons été mis-
sionnés par Ineos pour la construction d’un bassin de rétention et de tous les travaux civils souterrains qui y sont liés. Le projet ONE prévoit en outre toute une série d’installations, comme des pompes et des tuyaux pour le transport de l’éthylène, des réservoirs de stockage, un réseau de distribution électrique, un réseau de
traitement des eaux et bien d’autres services. Sans compter les kilomètres de routes pavées, de chemins piétons, de systèmes souterrains et d’éclairage. Il va sans dire que notre intervention sur le bassin de rétention jouera un rôle clé dans la mise sur pied de cet immense projet chimique qui se veut le plus durable d’Europe.
Il y a de plus en plus d’étudiants à Gand ! Pour répondre à cette demande toujours plus importante, CIT Blaton y construira de nouveaux logements de qualité.
Sous l’impulsion d’Immogra, maître d’ouvrage sur ce projet, un nouveau campus étudiant à grande échelle va voir le jour. Au total, 209 résidences étudiantes de très haut standing vont être construites. Deux nouveaux bâtiments prendront place : le premier
le long de la Nieuwewandeling pour 145 étudiants, le deuxième adjacent à un entrepôt existant pour 64 étudiants. Ce deuxième bâtiment comprendra en outre des abris à vélos et des salles de stockage. Un nouveau bâtiment est également prévu pour
trois appartements sociaux. Enfin, le projet prévoit également la rénovation de deux bâtiments qui seront convertis et équipés pour répondre aux besoins fonctionnels du campus.
CLIFFORd ChAnCe
Client Clifford Chance Luxembourg
Architecte ARCHi 2000 & Associés
Project Manager Beissel & Ruppert
Bureau de stabilité Beissel & Ruppert
Bureau techniques spéciales
BSC ingénieurs-conseils sa Bureau de contrôle Secolux
Période 2024-2026
Lieu Luxembourg-Ville
Un beau chantier de rénovation attend
CBL Ce tout nouveau projet, situé sur le boulevard Grande-Duchesse
Charlotte à Luxembourg-Ville, concerne un immeuble de bureaux ayant actuellement pour locataire le
bureau d’avocats Clifford Chance
SCS. Le bâtiment de quatre niveaux, bientôt réaménagé, sera composé d’un parking au sous-sol, d’un rez-de-jardin comprenant notamment un espace fitness, trois salles de réunion ainsi que des locaux techniques et de stockage. D’autres locaux seront dédiés au personnel : une buanderie, une salle de prières et une salle de soins. rien que ça.
CBL, désignée entreprise générale, va également construire un tout nouvel escalier interne hélicoïdal en complément des cages existantes, partant du patio central et composé d’une verrière et d’un mur-rideau. Au rez-de-chaussée, avocats et clients pourront profiter de sept salles de réunion, de dix zones de bureaux, d’une
terrasse sur structure accessible depuis une des salles de réunion et depuis l’escalier extérieur de la terrasse du rez-de-jardin. Trois magnifiques autres étages comprendront notamment des plateaux de bureaux, des salles de réunion, des bibliothèques, une cafétéria et une magnifique terrasse périphérique sur trois façades. Ces dernières seront principalement réalisées en pierres. Bref, un relifting de choix !
Un tout nouveau projet immobilier, soutenu par CIT Blaton Real Estate Development, va voir le jour aux abords du canal à Anderlecht. Le chantier « The Quay » impliquera la construction de six immeubles, d’un parking en sous-sol et d’une nouvelle voirie publique pour les piétons et cyclistes entre le quai Fernand Demets et la rue de Birmingham. Ces nouvelles installations comprendront plus de 18 656 m² de logement, 3 566 m² de surface productive et pas moins de 3 495 m² seront attribués aux surfaces
commerciales. Les six immeubles comprendront en effet 95 logements, 160 kots étudiants et du commerce. Le parking en sous-sol proposera 182 emplacements pour voitures et 11 emplacements pour motos ainsi que deux places de parking PMr en surface. Toutes les constructions seront réalisées sur un terrain privé situé précisément entre le canal et les voies ferrées.
La Résidence 7 e Art
Un chantier digne d’un film !
des appartements, une piscine naturelle, un cadre paisible… Voilà ce que deviendra très prochainement l’ancien cinéma Multiscope Palace de tournai. entamé en 2022, le chantier de la Résidence 7 e Art commence doucement à toucher à sa fin. en effet, le gros œuvre devrait être terminé d’ici fin 2024 et les travaux de parachèvement devraient quant à eux prendre fin début 2025. Petit tour d’horizon avec david d’Adamo, conducteur de chantier.
Un chantier sous eau
« Nous avons d’abord installé des pieux sécants tout autour du site et avons ensuite placé des pieux de refoulement. Étant donné que les terres étaient inondées, nous avons posé des cannes à intervalles réguliers – qui sont toujours visibles dans le parking actuel, d’ailleurs – pour pomper l’eau », nous explique David. Les pieux étaient initialement contrôlés deux fois par semaine afin d’en vérifier la stabilité. rien à signaler ? Place au radier, dans ce cas des collaborateurs dévoués
L’équipe de David a coulé les 800 m³ de béton pour les fondations en une seule fois afin de partir sur une bonne base. « Nous avons bétonné de 3 h du matin jusqu’à 22 h 30 et avons poli le béton de 20 h à 7 h du matin le lendemain », se souvient notre conducteur de chantier. Bien entendu, étant donné que nos collègues ont travaillé de nuit, ils ont dû demander des autorisations à la ville de Tournai afin d’être couverts pour les nuisances sonores. Les voiles de béton ne sont pas arrivés préfabriqués sur le chantier, mais ont été coulés sur place. En revanche, les balcons des appartements étaient préfabriqués. Il aurait été bien trop difficile de les couler sur place,
Giunta Contremaître
« Nous avons bétonné de 3 h du matin jusqu’à 22 h 30 et avons poli le béton de 20 h à 7 h du matin le lendemain »
« CIT Blaton cherche systématiquement la solution la plus avantageuse financièrement pour ses clients »
car ils présentent une légère pente pour permettre à la pluie de s’écouler. L’avantage du préfabriqué, c’est que les balcons sont arrivés tout faits, avec la pente idéale et il n’y avait « plus qu’à » les poser. Nos collègues ont gagné un temps considérable !
Zoom sur les matériaux
Pour le chantier de la Résidence 7 e Art, nos collègues ont donc utilisé du béton, mais aussi du silico-calcaire. Ce dernier est moins onéreux que le béton et CIT Blaton cherche systématiquement la solution la plus avantageuse financièrement pour ses clients. Ils ont également construit quelques structures en poutres métalliques. Quant à la charpente, elle est signée Mobic De quoi contribuer à la réussite de nos partenaires locaux. Puisque la résidence vient se juxtaposer à un bâtiment existant composé notamment de zinc en hauteur, nos collègues utiliseront également ce matériau pour harmoniser les deux bâtiments. Pour les cloisons intérieures, les plaques de plâtre habituelles ont cédé la place à des panneaux CVI, bien plus pratiques à installer.
Une complication à la belge
L’un des deux principaux défis de ce chantier n’est autre que… la météo Il est vrai que la Belgique n’est pas connue pour son soleil radieux, mais plutôt pour ses pluies diluviennes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que nos collègues du projet de la résidence 7e Art sont servis ! Il pleut énormément depuis le début de l’année, ce qui entrave considérablement l’avancée du chantier. Pourquoi ? Tout simplement parce que le bâtiment n’est pas encore étanche. « Quand nous savons qu’il va faire beau, nous planifions tout pour donner un coup de boost aux travaux », nous confie David. Mais il faut bien l’avouer, la situation est loin d’être idéale.
L’idée de base était de mettre une chape mousse en toiture, mais pour ce faire, il est crucial qu’il fasse sec pendant une semaine, car il faut compter cinq jours de séchage. S’il pleut, la mousse se décolle et le travail fourni est réduit à néant. Toutefois, les conditions météorologiques actuelles nous offrent tellement peu de journées sèches que David envisage de proposer un autre revêtement. « Conserver la chape mousse en toiture ne fera que prolonger la durée nécessaire pour assurer l’étanchéité du bâtiment. Si de l’eau s’infiltre, il ne sera jamais étanche », s’inquiète-t-il.
Un site difficilement accessible L’autre défi de taille est l’emplacement du chantier. Il se trouve en effet dans une rue étroite à sens unique et, pour couronner le tout, il est entouré de bâtiments existants. Inutile de préciser que la logistique est très difficile à organiser. Mais nos collègues ne se laissent pas abattre : ils possèdent des autorisations pour le stationnement et pour le déchargement des camions, mais afin de ne pas trop bloquer la rue, ils trouvent d’autres solutions, dans la mesure du possible et dans le respect de tout le monde.
Et ces solutions se résument en réalité en un mot réseautage. Tout a commencé dès le montage de la grue… Un véritable casse-tête tant l’espace manquait ! David n’a pas hésité à s’arranger avec une habitante pour monter la grue sur son parking. Il a également trouvé un accord avec l’entreprise Dufour pour stocker l’isolation dans l’un de ses dépôts. Et lorsque des matériaux arrivent sur le chantier, mais que la zone de chargement et de déchargement est occupée, notre conducteur de chantier s’arrange notamment avec un ancien collègue de CIT Blaton qui travaille justement sur un chantier à deux pas de la Résidence 7e Art. Le hasard fait bien les choses !
Et, a contrario, lorsque notre ancien collègue n’a pas suffisamment de place pour décharger ses matériaux et que la zone de chargement et de déchargement de notre chantier est libre, David lui offre son aide. Donnant, donnant et maintenant ?
La priorité, à présent, est de rendre le bâtiment étanche. Nos collègues sont prêts pour la suite : tout le technique – pour l’électricité, l’HVAC et les sanitaires – est passé, il leur reste donc à poser la chape mousse dans les étages, placer, une fois qu’elle est sèche, les membranes acoustiques ainsi que le serpentin pour le chauffage au sol, et couler la chape. Toutefois, tant que le bâtiment n’est pas étanche, ils ne peuvent pas entamer cette phase.
Un projet haut en couleur
La Résidence 7e Art comptera 48 appartements, allant du studio de 55 m² au penthouse de 230 m². Chaque appartement comportera une petite cave au sous-sol ainsi que ses propres compteurs d’électricité, d’eau et de gaz. Un parking souterrain accueillera les véhicules de l’ensemble des locataires, ce qui constitue un avantage non négligeable puisque le bâtiment est situé en plein centre-ville. Quatre
cages d’escaliers et trois ascenseurs desserviront les différents étages. Autre point crucial : l’ensemble du bâtiment sera accessible aux personnes à mobilité réduite.
La cerise sur le gâteau ? La grande piscine naturelle dans le patio. Pour l’anecdote, étant donné le manque de place sur le chantier, l’emplacement de la future piscine accueille actuellement la grue ! Le ferraillage du bac de rétention est déjà posé, le béton est donc prêt à être coulé. Cependant, en raison – à nouveau – de la météo, David a pris la décision de commander un chapiteau, qu’il placera au-dessus du futur bac de rétention pour laisser sécher le béton. À chaque problème sa solution !
L’équipe de chantier y versera ensuite 18 big bags de charbon.
L’objectif est d’y installer des plantes par la suite afin d’assurer la filtration de l’eau. Une chose est sûre : le résultat sera splendide ! La suite au prochain épisode.
Par David D’Adamo Conducteur de chantier
MSP Bois
Maisons modulaires
Le concept Jenganest trouve sa place en Flandre mais aussi en Wallonie
Sélectionnée en 2023, CIt Blaton fait partie d’un accord-cadre pour l’installation de logements modulaires (Modulair Wonen 2023 – MW2023), établi par Wonen in Vlaanderen, service public du gouvernement flamand. Avec dethier et Skilpod, nous sommes un point de contact privilégié des communes et CPAS pour l’achat et le placement de maisons modulaires dans ces entités. Préfabois, membre de MSP Bois, construit les modules sur la base d’un design réalisé par le bureau d’architecture Aché Terra. Ce concept, nommé « JengaNest », a été présenté en février à Tour et Taxis.
CIT Blaton travaille avec des modules fixes en 3D produits entièrement hors site et assemblés sur place en un rien de temps. En connectant judicieusement différents volumes modulaires, nous créons des espaces ouverts pour des terrasses, des lieux de rencontre, etc. Nous avons enregistré à ce jour six demandes de prix.
En plus de ce contrat en Flandre, la Wallonie a libéré des subsides européens pour la construction de logements sociaux modulaires en ossature bois. Récemment, huit dossiers ont été introduits.
Bien connu pour ses projets axés sur le bien-être animal, le parc Pairi daiza œuvre aussi activement en faveur de l’environnement. Il s’est fixé pour objectif de fonctionner totalement à l’énergie verte d’ici 2032 –une ambition honorable ! C’est pourquoi un immense carport photovoltaïque trône à présent fièrement sur le parking du célèbre parc. Un chantier signé Préfabois ! Retour sur ce projet extraordinaire avec Benoit helleputte, directeur opérationnel de l’entreprise.
Pairi Daiza
Le plus grand carport photovoltaïque du monde !
Faire une visite virtuelle de Jenga n est
Marjan d h ose, Stefaan t iberghin (Aché terra), Geert d e Kegel, e ric d off-Sotta, Patrick Moutschen (Mobic – Préfabois)
Un chantier en deux phases
Préfabois a réalisé le carport de Pairi
Daiza en deux phases : la première a été entamée et achevée en 2020 et la seconde en 2023. L’entreprise a collaboré pour ce faire avec Perpetum, une société belge spécialisée dans le développement de structures de complexes photovoltaïques. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le résultat est fabuleux
Pairi Daiza est à présent totalement autonome en électricité. Le parc produit même un peu plus d’électricité que nécessaire, mais ne cesse de s’agrandir ; ce surplus s’avérera donc rapidement très utile. Qui sait ? Cette volonté de s’étendre annonce peut-être une troisième phase… L’avenir nous le dira ! Revenons sur les points forts de ce chantier d’envergure.
Un carport durable, à bien des égards La principale particularité de ce chantier réside dans le matériau utilisé, qui n’est autre que le bois. Mais sous une forme bien particulière ! Nos collègues ont en réalité utilisé des grumes. Ce sont des troncs d’arbre auxquels ont été rabotées les branches, la souche et la tête. Rien de plus naturel ! Le bois a donc subi très peu de modifications, ce qui permet de réduire considérablement l’empreinte carbone et les coûts. Ainsi, nos collègues ont utilisé des grumes – fournies par MSP Bois – pour les poteaux et les poutres, et y ont ensuite posé des traverses en lamellé-collé – fournies, elles, par Stabilame.
En plus d’être durable sur le plan environnemental, ce carport photovoltaïque est durable dans le temps, grâce au traitement du bois par autoclave. Cette technique, qui permet de protéger le bois contre l’humidité et les champignons, consiste à insérer le bois dans un séchoir afin d’ouvrir toutes les petites fissures qu’il pourrait contenir, puis d’injecter le produit de traitement dans le bois en mettant ce dernier sous pression dans un environnement clos. Tous les bois du carport photovoltaïque de Pairi Daiza, tant les grumes que les traverses, ont été soumis à ce traitement. Ils resteront donc intacts des années durant, même des décennies !
« En traitant les bois de cette manière, nous avons pu utiliser une essence de bois locale peu onéreuse qui n’aurait pas pu être exposée à l’extérieur sans ce traitement. Certains bois résistent à l’humidité, mais ce sont des bois plus exotiques, qui sont plus coûteux et qui viennent de très loin », explique Benoit, ce qui va bien entendu à l’encontre des principes de Préfabois, qui a à cœur de choisir du bois local. Le directeur opérationnel de l’entreprise ajoute : « Nous nous fournissons en bois dans un périmètre de 200 km autour de notre scierie, située à Étalle, près d’Arlon. Nos bois proviennent donc de Belgique, du Luxembourg, de France ou d’Allemagne. » L’équipe a ainsi utilisé du douglas pour les grumes et de l’épicéa pour les traverses.
Une usine miniature sur le site
L’autre particularité de ce chantier est la méthode de travail de nos collègues de Préfabois. Ils ont tout d’abord coulé les fondations en béton et ont ensuite installé les structures portantes en bois, c’est-à-dire les poteaux et les poutres (en grumes, donc), sur lesquelles ils ont posé les traverses ainsi que les panneaux solaires. Et c’est pour cette dernière phase qu’ils ont eu recours à une méthode de travail pour le moins particulière : ils ont créé une sorte d’usine miniature, directement sur le chantier.
Les palettes de panneaux solaires défilaient sur des tapis roulants au sol et onze ventouses prenaient les panneaux solaires pour les installer sur les traverses. À l’aide d’une grue, les ouvriers de Préfabois installaient ensuite l’ensemble sur les poteaux. Cette technique leur permettait, d’une part, d’éviter de travailler en hauteur et, dès lors, de limiter considérablement les risques, et d’autre part, de maintenir une cadence de travail très élevée. En effet, ils posaient 800 panneaux solaires par jour et n’étaient pas plus d’une quinzaine sur le chantier. Un rythme impressionnant !
des robots pour une précision accrue Bien entendu, chaque arbre étant unique, les grumes utilisées sur ce chantier étaient toutes différentes. « Nous avons donc mis en place un système de robots, conçus par Imax Pro, qui fait partie du consortium à l’origine de
Préfabois », nous explique Benoit. « Le robot scanne entièrement le tronc d’arbre et en fonction des plans qu’il a reçus, il creuse les entailles dans le bois, exactement au bon endroit. Que le tronc soit plus large ou plus étroit, l’entaille aura quand même la profondeur requise pour que la structure soit parfaitement alignée. » Le recours à des robots est fréquent chez Préfabois, mais chaque projet requiert une programmation et un fonctionnement bien spécifiques. L’entreprise a donc dû programmer les robots minutieusement pour mener à bien ce projet. Cette étape ne fut pas de tout repos, mais une fois la programmation achevée, tout a fonctionné à merveille jusqu’à la fin des travaux.
Une histoire de calculs
Les grumes étant des troncs d’arbre pratiquement à l’état brut, rien n’est parfaitement droit. Mais comment construire une structure bien droite avec des matériaux qui ne le sont pas ? Voilà un défi que nos collègues ont surmonté d’une main de maître, comme toujours. Ils ont tout d’abord réglé chaque poteau à l’aide d’une station totale, en pied et en tête de poteau, et y ont ensuite posé des traverses rectangulaires en lamellécollé – qui sont parfaitement droites – destinées à accueillir les panneaux.
L’ensemble est donc bien aligné !
La principale contrainte de ce chantier était l’approvisionnement
des matériaux dans le délai imparti.
« Évidemment, nous ne nous sommes pas contentés de poser des troncs d’arbre. Tout a été calculé en amont par des bureaux d’études », précise Benoit. L’équipe devait donc trouver suffisamment de troncs d’arbre présentant la forme adéquate, le tout dans un délai serré. Ce n’était pas une mince affaire ! Les troncs devaient être aussi droits que possible, avec une portée de 12 m 50, et présenter le moins de défauts possible. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin !
tout est bien qui finit bien
Le chantier est à présent terminé : le carport photovoltaïque de Pairi Daiza est parfaitement fonctionnel. Couvrant une surface totale de 200 000 m², les 93 786 panneaux solaires présentent une capacité solaire de 39,5 MWc et produiront annuellement 39 800 MWh d’énergie verte, ce qui équivaut à la consommation moyenne annuelle de 11 350 ménages. Ces panneaux solaires permettent ainsi à Pairi Daiza d’éviter d’émettre 13 930 tonnes de CO ² par an.
Des chiffres impressionnants qui font de cette structure le plus grand carport photovoltaïque du monde – rien que ça !
Le carport du célèbre parc de Brugelette a même remporté le Prix du Public de l’infrastructure durable 20222023 des Green Solutions Awards. Une belle récompense pour ce magnifique projet d’envergure !
Une tendance se dessine
Les projets de ce type ne font que commencer pour Préfabois L’entreprise établit en ce moment même plusieurs offres de prix pour des carports photovoltaïques, principalement en Belgique, mais aussi dans le nord de la France. Ces structures se répandront de plus en plus, car une loi française impose aux commerces d’installer des panneaux photovoltaïques sur ombrières sur au moins la moitié de leurs parkings extérieurs de plus de 1 500 m². Affaire à suivre, donc…
Dans l’intervalle, nos collègues de Préfabois s’occuperont d’autres projets de taille, comme des villages de vacances ou encore des logements modulaires.
électrification du parc automobile en marche !
CBL et CIt Blaton s’engagent pour la mobilité durable
Un engagement fort pour l’environnement ! tant chez CBL que chez CIt Blaton, nous franchissons une nouvelle étape dans nos démarches environnementales en équipant nos bureaux de bornes de recharge électrique. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une stratégie globale visant à réduire l’empreinte carbone du groupe et à promouvoir une mobilité plus durable.
Un déploiement ambitieux
Au total, ce sont 36 bornes qui seront installées sur les parkings des deux entreprises, permettant aux collaborateurs de recharger leurs véhicules électriques de manière pratique et écologique, d’autant plus que l’électricité provient de nos propres panneaux photovoltaïques ou d’un fournisseur en énergie verte.
Cette démarche s’accompagne également de l’électrification progressive de nos flottes de véhicules, démontrant notre engagement en faveur d’une mobilité plus responsable. L’installation de bornes de recharge et l’électrification de nos flottes de véhicules répondent également aux exigences de l’échelle de performance CO²
Une contribution positive à l’avenir En optant pour l’électrification de nos parcs automobiles, nous contribuons activement à la transition énergétique et à la lutte contre le changement climatique. Cette initiative nous encourage à adopter des comportements plus écoresponsables et à nous approprier les enjeux de la mobilité durable.
CIT Blaton avenue Jean Jaurès, 50 1030 Bruxelles
T +32(02) 240 22 11
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