Programme des Rencontres Régionales de Diffusion Artistique 20 octobre 2009 / 27 novembre 2009 / 12 janvier 2010
Mardi 20 octobre 2009 Théâtre des Treize Vents - Centre Dramatique National du Languedoc-Roussillon – Montpellier 13h30-14h Accueil 14h-18h Présentation des projets 19h Hiroshima mon amour / Compagnie Adesso e Sempre / Julien Bouffier Dans le cadre d’Hiroshima Station
Hiroshima mon amour D’après « Hiroshima mon amour » de Marguerite Dumas Mise en scène Julien Bouffier Avant de quitter Hiroshima, dans laquelle elle vient de tourner un film sur la paix, une actrice française rencontre et aime un Japonais… Dans cette ville détruite par la barbarie humaine, Margueritte Duras nous offre une histoire d’amour, où l’histoire individuelle de ces deux amoureux rencontre l’Histoire et où la question du bonheur individuel se pose face à l’horreur collective. Comme à son habitude, Julien Bouffier nous offre une lecture du texte de Marguerite Duras, faite « d’hybridation » terme cher à sa création. « Hiroshima mon amour est un spectacle nourri de métissage entre vidéo, théâtre et chanson… » Julien Bouffier Scènographie : Emmanuelle Debeusscher, Julien Bouffier - vidéo : Laurent Roujol, Julien Bouffier - musique : Dimoné - lumières : Christophe Mazet - costumes : Marie Delphin - avec : Ramzi Choukair - Dimoné - Vanessa Liautey.
Exposition dans le hall du théâtre Tu n’as rien vu à Hiroshima d’Emmanuelle Riva Avec la participation du cinéma Le Capitole d’Uzès Rencontre à l’issue de la représentation Autour du livre « Tu n’as rien vu à Hiroshima » d’Emmanuelle Riva, Sylvette Baudrot, Marie-Christine de Navacelle, Dominique Noguez.
Vendredi 27 novembre 2009 Théâtre de Perpignan Le programme détaillé de la journée vous sera communiqué ultérieurement Pour cette réunion, possibilité de convoyage au départ de plusieurs villes. Merci de contacter Christophe Burdin au 04 67 66 90 98 ou c.burdin@reseauenscene.fr 20h30 Tête de nuit / Compagnie N.U Collectif / Sébastien Lenthéric
Tête de Nuit Mise en scène Sébastien Lenthéric Trois conférenciers, anges déchus, cherchent à établir de manière loufoque une historiographie de Bruno Schultz. De la tête disproportionnée d’une marionnette, double enfantin de Bruno Schultz, s’échappent des visons d’un monde noir et drolatique que les trois érudits rejoignent. «Sa tête de nuit ouvre l’espace d’un temps différent : c’est une clepsydre qui n’arrête pas son cours. Un monde en décomposition où vie et mort inventent un paradis artificiel. Un monde mythique et pictural. » À travers un théâtre d’images et de sensations, ou la scène est pensée comme une matière proche de l’art contemporain, des arts graphiques et de la performance, le N.U Collectif nous offre un voyage autour des rêves et des fantasmes d’hommes qui créent et recréent leur quotidien. Construction de marionnettes : Sébastien Puech, Carole Allemand - création sonore : Franck Gervais avec : Simon T Rann, Pierrik Malebranche, Sébastien Lenthéric.
Mardi 12 janvier 2010 Le Cratère, Scène Nationale d’Alès Le programme détaillé de la journée vous sera communiqué ultérieurement 20h30 Battement - Batterie / Association Achles / David Wampach
Battement - Batterie Chorégraphie David Wampach Deux pièces au programme de la soirée. La première « Battement » où le simple geste du battement de la jambe est exploré et trouve peu à peu son langage pour aboutir à une séquence théâtrale et tragique entre trois personnages. La seconde « Batterie » est un duo entre un batteur et un danseur, chacun dans son espace, identique à l’autre. Une batterie est un ensemble d’instruments, de cuisine ou de musique, une série de mouvement de la jambe, une bagarre, une querelle, une bataille, ce que l’on recharge, ce qui est à plat. Ici « Batterie » est une interaction des gestes et des corps en mouvement où l’autonomie de chaque langage – musique et danse –prend toute sa dimension. « Il y a, comme dans toutes les créations de ce jeune chorégraphe encore, du dérapage. Comme dans Quatorze, les trois danseurs, sorte de huis clos infernal, communiquent par scansions de syllabes qui sont en fait de la musique avec l’instrument de la danse, le corps. Et comme dans Auto, duo plongeant dans le burlesque de la folie paranoïaque, il y a le rire par l’absurde. » Bérangère Alfort « Battement » avec Montserrat Payro, Sania Lantivic, Tim Darbyshire « Batterie » avec David Wampach, Jérôme Renaud (batterie)