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Revue culturelle curieuse qui sort tous les quinze jours - gratuitement.
n째2 - 13 novembre 2015
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EDITO Bonjour (on l’a dit), Le 29 octobre -Précisément- le premier numéro de la revue Q entrait dans le jeu avec un vernissage aux fines saveurs Franc-Comtoises. Merci les Matheny et Tant & Si Bon ;) Le lendemain, Q était disponible dans les belles enseignes de Besançon, à minuit il l’était déjà sur vos terminaux intelligents. A priori nos premiers lecteurs étaient plutôt ravis, nous aussi. Le premier bouclé, c’était déjà l’heure du numéro 2. On a essayé d’être meilleur, d’améliorer, et on compte sur vous pour nous faire vos retours, hashtag larevueq. Plus qu’une dynamique, pour cette nouvelle quinzaine on a eu des visions futuristes en imaginant la fusion des 2 derniers cartons automnales Bisontins, à la sauce BBQ. On tente de se lancer en think tank, à notre petite échelle. Afin de vous prémunir en vue d’un nouveau festival, on vous partage les modes d’emploi de Clément, qui saura aussi vous conseiller contre l’espionnage moderne de vos fichiers (secrets) intimes. Quitte à être plongé dans l’obscurité hivernale, on vous réserve une sélection lumineuse hashtag memento, parmi lesquelles une juste dose de bon cinéma, noir, brillant. Un album de chanson française planant, ouais ouais ouais ouais ouais. Toujours à planer, un spectacle de danse contemporaine qui s’annonce en haut de la vague, et un barillet de rappels. Voilà. Le numéro 2, bonne lecture, bien à vous, Andrea Florian Thibault @larevue
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EXiB DÉTONATION + LUX + par Florian Guinchard
24 Septembre 2015, la Friche, c’est parti pour Détonation, le festival de musiques actuelles porté par La Rodia pour sa rentrée. Trois jours de concerts en écho aux festivals estivaux, sans leur température. 9 Octobre 2015, toujours à la Friche, c’est parti pour LUX, une fête de la science drapée de transversalité artistique, portée par l’Université de Franche-Comte et l’institut FEMTO-ST. Globalement, difficile de ne pas voir ici deux belles réussites en ce début d’automne Bisontin. Deux succès, coup sur coup, qui nous ont donné envie de penser plus loin, plus gros, plus fou, plus SXSW* que NSFW en fait.
SXSW Le SXSW, pour *South by SouthWest (le sud par le sud-ouest), est un festival multidisciplinaire, avec musique, cinéma, art, technologie… Multi-médias jusqu’à l’OS donc. À l’origine, un festival né en 1987 à Austin -capitale du Texas USA-, consacré à la musique, avec dès la première édition un succès dépassant les attentes de l’organisation. Derrière ce nom, une référence évidente au film d’Hitchcock North by Northwest, et de films, il en devient rapidement question, puisqu’en 1994 des productions audiovisuelles et des conférences «Interactive» (multimédia, tech…) rejoignent l’offre, la proposition du SXSW. Un des premiers fest’ qui s’est lié aux technologies innovantes, chose qui lui a, d’année en année, donné de plus en plus d’aura, jusqu’à aujourd’hui et leurs adoptions massives. Pour « anecdoter », le réseau social Twitter, lancé en 2006, remportait un prix au SXSW millésime 2007 -le nez creux les gars. Aujourd’hui le réseau devenu monstre, permet à ses millions d’utilisateurs de taunt l’organisation du SXSW si une conférence déplaît à certains « twittos ». En 2015 le festival compte parmi les plus importants de la planète, ouvre toujours le printemps, aussi est devenu une marque forte et un emblème d’une ville, d’un état souvent associé au pétrole, et 4
pourtant incubateur de plusieurs grosses firmes de la technologie -Texas Instruments ;). La cité créée en 1835 compte grosso modo un million d’habitants (deux avec l’agglo), elle est une ville universitaire majeure, donc avec plein de jeunes et de bars. Besançon X 10 à la louche. 1/10ème, généralement le rapport volumétrique moyen entre la France et les USA. Nos scientifiques se sont donc penchés sur une équation: (Détonation + LUX) x SXSW / 10 = ? Projection & conjectures. Soit, une programmation musicale fatale, des films de qualité, de la science et de la tech, des arts, et métiers. Soit, la smac La Rodia, les 2Scènes / le Kursaal / Ciné VH & BA, l’Université de Franche-Comté, les entreprises innovantes du territoire, Silicon Comté, le FRAC de Franche-Comté, les commerces & artisans Bisontins, la Ville de Besançon. Soit, la Friche des Prés de Vaux, la Cité des Arts, le centre-ville, la Citadelle, le Campus, les salles obscures. Soit, l’arrivée de l’automne. Soit, tous ceux qu’on a pu oublier mais qui ont toute pertinence pour co-réaliser cet événement -on s’excuse d’avance (#malin). Exercice. Étudier l’équation. On pourra commencer par chercher des solutions sur qui peut faire quoi et comment. Réaliser une ébauche de réflexion. Ensuite, aux acteurs de résoudre l’équation. Pour une programmation musicale éclectique de qualité, on fait
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confiance à La Rodia. Artistes émergents plus que têtes d’affiches, genres musicaux variés, feront la bonne affaire. Plus Tony que Sosa, plus Deerhunter que Black M hein. Comme l’axe de ce type de festival c’est la convergence, le mix, on demandera l’intervention d’autres médias, artistes. VJing, danse, installations artechnologiques pour un décorum qui détonne. À la Friche, à l’intérieur (il y fait plus chaud), même si l’acoustique peut laisser à désirer, le lieu conférera une atmosphère parfaite, cosyindus’. À La Rodia -à deux pas- des conférences sur le sujet musical, avec les camarades du Bastion, du Conservatoire… Le thème est vaste, de sa nouvelle consommation par les ondes wi-fi, à ses financements réinventés, en passant par les nouveaux moyens de productions toujours plus accessibles.
mettrait en place quelques choses interactives, histoire de pouvoir regarder des morceaux de concerts live depuis le boulot, sur son smartphone (pendant les pauses). Avec le Kursaal, le cinéma Victor Hugo, celui des Beaux-Arts, Besançon est en mesure de diffuser. On vous parle dans ce numéro de la spéciale Melville organisée par les 2Scènes (cf. MEMENTO), si c’est pas une preuve qu’on apprécie le cinéma à Besançon, on ne répond plus. Et pourquoi ne pas chercher aussi conseils chez les voisins du festival Entrevues, dont la compétence et l’expérience semblent bien assises. Des rétrospectives, un focus sur la production indépendante, jeune, et ici aussi plein de conférences sur les nouveaux usages de la production audiovisuelle, la mutation de ce média sous l’égide de la « mini-caméra qui broadcaste » qu’on a désormais tous -enfin la plupart- dans nos poches ? Oui oui, celle qui permet aussi de lire notre revue en version digitale :)
Pis, aujourd’hui c’est quoi un concert ? Une scène, des artistes, un public en face. Les nouveaux entrants au paradigme ? Des iphones, des Snapchat, Periscope, Instagram, et un deuxième, troisième, (…)ème, public, à distance mais pas moins touché. Donc bon, on 6
Multimédia, digital, numérique, application… Sans faire de dessin, on comprend bien le dessein. Nous sommes en 2015, avec un peu de recul on se rend compte que si tout va très vite dans la technologie, nous sommes encore au tout début du cycle digital. Les médias vidéos comme musicaux, ont été déjà bien transformés, notamment dans leurs usages, pour autant on parle toujours de film, ou d’album, deux notions renvoyant à des techs du 20ème siècle… Des conférences avec les acteurs locaux du secteur -on a Silicon Comté, Austin a Silicon Hills- pour en discuter, imaginer le futur avec ces nouvelles technologies, les décrypter pour mieux les dominer. On peut aisément penser que ça serait infiniment cool d’avoir ça à Besançon. Après tout, pourquoi pas ? En latin media (pluriel de medium), signifie l’intermédiaire, ce qui fait lien -au milieu-, et si nos vieux postes de télévision/radio, nos journaux, revues, étaient des valeurs sûres quant à la fabrication du lien dans l’information-communication, que dire d’un smartphone. Multi et/ou plurimédia de nature, communiquant 24/7, récepteur et émetteur, il est l’ultra-média, au dessus c’est la télépathie à la rigueur. La revue Q est un média, son concept est de faire lien entre les différentes sphères culturelles et commerciales, pour en sélectionner le meilleur. Et là, on vous écrit un petit dossier imaginant du lien entre différents festivals de Besançon, qui convergeraient vers un « gros ». Plus qu’à espérer vous en parler plus longuement, lors d’une future conférence au EXiB - « L’Est par Besançon »… NB. Austin tremble déjà.
www.larodia.com/detonation www.lux-2015.org www.sxsw.com 7
09 67 55 09 87 49 rue Bersot 25000 Besanรงon Nosity NOSITY_SHOP
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&CHEMISES Une sélection de pièces disponibles à Besançon. Manteau Martin Margiela, disponible chez Les Appartements de Juju
Chaussures VANS,
disponible chez MOLLY
Chapeau Coustillères,
disponible chez Tête en l’ère
Lampe WAaf disponible chez NOSITY
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EXHIBITION CLÉMENT BOUTON Artiste pluridisciplinaire, Clément vous présente ses modes d’emploi. Une série que vous pouvez découvrir plus en détail sur son internet.
www.behance.net/clementbouton
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x10 000
joints d’herbe. Un par minute. Tranquille q
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bouteille d’eau de Javel
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fer à repasser de type p
quoi.
professionnel
les modes d’emploi :
ENTRER GRATUIT EN FESTIVAL / Les festivals c’est votre dada. Vous adorez la musique, la convivialité, la kétamine, les doses de cheval
vous êtes ruiné et vous voulez danser.
Pssst, approchez, faites pas la mijaurée : ce soir c’est
gratuitement que vous rentrez.
5 semaines avant le festival, écoutez Bob Marley.
Beaucoup, beaucoup. Posey, vous roulez joint sur joint,
vous vous enfumey. Petit à petit vos poils poussent, s’allongent sur vos cheveux, vos avant-bras, votre
poigney. C’est des dread-locks qui apparaissent : vos
poils de bras sont allongés, tout crépus, tout emmélés.
A l’aide d’un fer à repasser vous les aplatissez et autour du poignet les entourez à la manière d’un beau colliey.
Un peu d’eau de Javel et le tour est jouey ! Vous voilà affublé d’un laisser-passer orange fluo, d’une entrée
gratuite, d’un beau braceley même pas payé.
Durée : le temps d’un mail
Facilité
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beau citron jaune
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pinceau
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sèche-cheve
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ordinateur de la marq
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les modes d’emploi :
FAIRE LA NIQUE À LA NSA/ En 2015 Steevy du Loft c’est vous : chacun de vos gestes est épié, vos mails sont lus, vos appels écoutés. Vous en avez ras le bol, vous voulez niquer la NSA et vous avez raison. Voici comment opérer. Avant la dactylographie d’un e-mail, prenez soin d’enduire chacune des touches de votre clavier de jus de citron. Un pinceau à poil peut être utilisé à cet effet. Vous pouvez aussi, avant de taper une touche, tremper vos doigts dans le jus de citron fraîchement pressé. Écrivez votre mail puis envoyez-le à son destinataire. Celui-ci, à l’aide d’un sèche-cheveux, décryptera votre message en chauffant son écran. L’encre-citron invisible apparaîtra sur son écran sous l’effet de la chaleur. La NSA n’a rien pu lire. Vous l’avez niquée. Bien joué.
Durée : le temps d’un mail
eux Babyliss Facilité
que à la pomme
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Scène de muSiqueS actuelleS de BeSançon
lou doillon
+ elvis perkins
sam. 5 déc. Location 26/23€
Infos et réservations www.larodia.com - 03 811887 86 00 La Rodia - 4 av. de Chardonnet à Besançon
MEMENTO Une sélection des meilleurs sorties par nos soins. Tu ne peux plus rien rater de bien grâce à nous. Jean-Pierre Melville, au Kursaal Waves à l’Espace (2Scènes) Le Monde Chico, PNL Ouin & Ouinyles #2, PDZ HF Thiéfaine, Micropolis
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JEAN-PIERRE MELVILLE LES 2 SCÈNES Jean-Pierre Melville. Le maître. Le cinéma d’après-guerre. La nouvelle vague. Celui où cadre et point étaient sens. Un cinéma de stars, Belmondo, Ventura, Delon, et bien d’autres. Que des belles gueules, que des beaux plans. Même extrêmement beaux ! Le cinéma de Melville, c’est le cinéma, joué, tourné, chorégraphié, mis en scène. Regarder un film du maître, c’est voir de la matière, des formes, des mouvements, toujours parfaitement découpés, cadrés, montés. Parler de cette filmographie, parler du cinéma, mais pas celui sur fond vert... Moderne, bien plus que beaucoup de films d’attractions actuelles, les movies de JP Melville puent la noirceur, la violence psychologique. Si le cinéaste apparaît clairement très influencé par le cinéma américain de l’époque, il ne réalise pas du cinéma américain made in France, mais bien du cinéma de France. Pour (re)découvrir l’oeuvre de Melville, les 2Scènes nous ont concocté une belle sélection diffusée au Kursaal, et si on vous encourage à tous aller les vivre en salle, on vous incite vraiment à ne pas rater le Samouraï et l’Armée des Ombres. Dans le premier, un plan de Melville sur un Delon en trench ferme direct la partie. L’homme le plus classe du monde, c’est lui, Abitbol dans les cordes. L’histoire suit Jef Costello, un tueur à gages solitaire poursuivit. Le film est culte -avec un grand A-, du Drive de Refn au jeu vidéo Hitman, la personnalité de Costello est encore présente. Un « à voir absolument », rien que pour la séquence en face à face avec
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un Delon pistolet braqué sur lui, impassible, surpuissant de charisme. Le deuxième, l’Armée des ombres, fait partie d’une trilogie sur la France sous l’occupation, et suit un Lino Ventura -deuxième homme le plus classe du monde ex-aequo- entre séjour en camp d’internement, Londres, et le sud de la France, en bon cadre de la résistance. Un film très noir, fait de choix moraux difficiles, où Lino ne perd jamais un gramme de sa stature taille patron, malgré moult embûches. Porté par une photographie exceptionnelle, on pense à ce plan où les soldats du reich l’escortent, filmé avec tellement de justesse que n’importe quel plan d’un Star Wars ne pourra jamais effleurer. En résumé, des claques comme on savait les mettre :) Bonus Track : MELVILLE PAR DENITZA BANTCHEVA L’auteur de “Melville, de l’oeuvre à l’homme”, Denitza Bantcheva, nous présentera Un Flic, et nous offrira son analyse de l’immense Le Samouraï. HÂTE ! www.les2scenes.fr @les2Scenes Du 12 au 24 novembre au Kursaal.
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103 Rue des Granges
WAVES SI vous hésitez entre aller à un concert ou s’aventurer voir un spectacle, Waves est la réponse à votre problème. Peter Von poehl et son post rock planant rencontre les chorégraphies minimalistes des pointures de la danse Héla Fattoumi et Eric Lamoureux. Émotion garantie. Un voyage à l’océan où vous plongerez dans les eaux profondes avec un banc de danseurs contemporains. Et si vous n’aimez pas la danse contemporaine allez y tout de même, vous n’aurez qu’à fermer les yeux et surfer sur les ondes de la musique de ce suédois virtuose. www.les2scenes.fr @les2Scenes 27 et 28 novembre à l’Espace (2Scènes).
DANS LE BARILLET OUIN & OUINYLES #2 Le 17 Novembre au PDZ, on déguste des ouins en écoutant des ouinyles. La première était chanmée, la deuxième sera sûrement déjà complète à la lecture de ce rappel… O&O c’est bien :) THIÉFAINE Hubert-Félix tourne toujours et vient défendre son dernier album à Micropolis le 20 Novembre. Ça sera bien, comme d’habitude, et le public attendra certainement sa petite valse sur La Fille du… De l’amour, du l’art, du Thiéfaine. 22
LE MONDE CHICO PNL Si nos télés ne jurent que par un rap d’anciens à la discographie qui s’arrête à deux albums cultes pour plein de médiocres... (Papy Akhenaton, Mamy NTM...). Le genre a su grandir et nous offrir bien d’autres choses. En 2015, deux garçons des Tarterets nous l’ont mise (la tarte). Du rap qui parle de rue, mais plein de sentiments nique sa mère. Des références à Dragon Ball Z, au Roi Lion, et des déclarations d’amour au bonheur d’une bonne tartine de Nutella. De l’huile de palme, aussi des palmiers en Espagne à travers des clips à la photographie ultra HD, super chiadée, mais pas que, l’Italie a le droit de cité avec la Scampia comme toile de fond, ou encore l’Islande filmée comme si elle était la planète de Piccolo (Petit Coeur) ounga ounga ! PNL c’est la fusion, comme dans DBZ, de Booba époque Temps Mort et Véronique Sanson. Le quotidien de quartier, conté avec vulgarité et des voix qui s’envolent à l’autotune sur des productions planantes. Du rap nuageux, surtout du rap sur un nuage magique direction Porte de Mesrine, le M à la bouche chico. Leur premier album Que La Famille plaçait le duo sur la carte, le nouveau et ses 17 pistes l’assoit définitivement. Deux sorties en une année, un phénomène, et une tournée qu’il ne faudra surtout pas rater, tant ça se chante, ça se chante...Le Monde Chico s’ouvre sur «le monde ou rien» et se termine avec le morceau «Dans la soucoupe». On a compris, le monde n’a pas suffit, direction d’autres plus lointains, à trois lunes. PNL, Le Monde Chico
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INS @dreoux 24
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INDEX DTX EXiB. - P4-7 &CHEMISES - P9-11 EXHIBITION - P13-17 MEMENTO - P19-23
Directeur de publication : Florian Guinchard Rédacteur en chef : Florian Guinchard Rédaction la revue Q : Florian Guinchard, Thibault Lecointre, Chloé Ratte Direction artistique & édition : OLF - itsolf.co Contributeurs, remerciements : Andrea Ferrari, Anne-Laure Percier, Clément Bouton, Simon Nicolas, La ville de Besançon, Tant & Si Bon, Tête en l’ère, Nosity, Les Appartements de Juju, Molly, Nicolas Boisselier, Coopilote. Photographies : OLF - itsolf.co Visuels : PNL, Les 2Scènes, Andrea Ferrari. Développement commercial : Thibault Lecointre Imprimé à Besançon, France. Studio du square, 15 rue Proudhon. 1000 exemplaires tous les 15 jours. Gratuit. Prochain numéro : vendredi 27 novembre Disponible en version digitale pour smartphones, tablettes, PC. Contact : bonjour@larevueq.fr
Q - curation par OLF fait partie de la coopérative d’activités COOPILOTE Besançon Siret : 44298140300045 code APE 7022Z ISSN : Dépôt légal en cours. La rédaction décline toute responsabilité quant aux opinions formulées dans les articles, celles-ci n’engageant que leurs auteurs. Remerciements : nos annonceurs, mécènes, nos lieux de diffusion. Toute reproduction, intégrale ou partielle est strictement interdite sans autorisation.
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03.81.81.20.73 // contact@studio-du-square.fr
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