Babel, a Riverdale Country School student magazine featuring essays in Mandarin, Spanish, and French

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Riverdale Babel serves to foster multicultural and linguistic awareness among the Riverdale student body, as well as provide students with an opportunity to practice writing in foreign languages within a schoolwide publication setting. In this publication, you will find essays, poems, and short stories from various levels of Mandarin, French, and Spanish classes. We would like to especially thank Profe Polise, Sr. Hager, Dr. Baidal, and Mr. Guo for their dedicated assistance, as well as all of the contributors and anyone else who helped along the way. We hope you enjoy this year’s edition! –Edward Landzberg and Marlowe Dalton




李老师的教育理念 Rachel Horne ’20 李老师是在西安出生,长大的。她从幼儿园到高中一直住在郊区,上的是公立学 校。她的很多同学们都是农民的孩子,来自乡村和城市的家庭。李老师的父母花很多时间 工作,来支付她的学费。他们觉得教育是最重要的。父母让李老师一天画画儿,一天学书 法,常常做这儿做那儿。因为在中国高考非常重要,所以在十二年级的时候,李老师的生 活只是学习,而她和她的同学做什么都是为了高考。每个月,学校都会给学生们一次高考 模拟练习。考完以后,每个学生都会被排名。李老师的高考成绩很好,所以高考之后,她 去了北京上大学,学的是商业管理。 李老师觉得标准化考试是相对比较好的基本技能考试。她觉得什么考试都不可能全 面地评估一个学生。在目前的中国,因为学生只有通过高考才能进入大学,让每个学生每 天只学习,这样并不太好。现在,高考还是看成绩。她觉得中国的教育体系还没准备好, 会,如果中国试试用简历和推荐信,不一定会起作用,甚至会更不公平。为了更平等,中 国目前还是得用数字。 李老师觉得数学、科学、英文、历史都很重要,不可以只学一科。她觉得每个人的 第一要务应该是不断通过学习提高自己,并帮助别人跟你一起成功。她觉得一个人什么时 候都应该心怀他人。李老师觉得背东西也会很有效。因为要是你记住所有的东西,你就可 以提高你的水平。李老师说到,“最好的老师是一个心灵的工程师”。 她称好的老师为“心 灵的工程师”,这是因为她觉得,作为教育工作者,老师不应该只教授知识和技能,而且 应该教学生怎么做一个好人,怎么善待他人,回报社会。 要是她有孩子,她会教她的孩子很多东西, 因为教育太重要了。好的孩子做什么 都会很努力,也会很幸福。在她看来,幸福跟他人、跟世界都有着深层的联系。幸福对李 老师来说却有着很多不一样的意思。她觉得幸福是从生活的经历中来的。幸福并不等同于 快乐,幸福是要从跟他人的关系获得的。幸福的人往往有着很深厚的关系,也会帮身边的 很多其他人成为最好的自己。具体到子女教育而言,好的父母应该以身作则。比如说,要 是你告诉孩子别总看手机,你也不应该总看手机。父母既是孩子最大的粉丝,又应该告诉 孩子他们真实的想法,从而帮助他们实现教育理想,找到幸福。 对我来说,李老师说的话很有意思,也很有道理。我最喜欢她对“心灵的工程师”所 作的相关阐述。我觉得要是每个老师都能成为这样的好老师,每个学生就会更想学习。我 也觉得最好的老师特别在乎每个学生本身,而不会觉得学生们只是一个个的数字。我认为 ,这是因为李老师在学校的时候曾经被当成一个数字,她才会理解为什么数字并不好。在 中国,教育非常重要,很多家长都很注视子女的教育。李老师的父母也不例外,所以她也 很理解教育为什么特别重要。李老师的教育理念特别有意思,因为她是在中国出生,在中 国长大的,但她是一位美国的老师,所以她懂得在中国怎么教育孩子,也懂得在美国如何 教育孩子。


探访新城市 Rachel Horne ’20 上个夏天我去了柬埔寨北部的Anlong Veng,这座城市对我而言是完全陌生的地方 ,所以我去那里以前特别激动! 我在Anlong Veng一共待了四天。我和白玉婷是跟我们的暑期班一起去的。我总喜 欢去新的地方,因为我爱看别的国家和城市的生活,我喜欢对比观察有什么一样的,有什 么不一样的。我旅行的时候拍了一些照片,可是我并没有拍太多照片,因为我觉得要是我 不停地拍照片,我就不能好好了解我看到的人和物。在这个新的城市里,我了解到很多人 竟然是以前红色高棉(Khmer Rouge)的士兵。这让我们有一点儿紧张,但也觉得很有意 思。 有一天,我们开车开了一个小时,到达了一片很大的树林。在那里我们竟然遇到了 好几位和尚。我们跟着这些和尚走,走了一个半小时看到了一棵巨大的树。我们帮和尚们 授予了这棵树成为一位和尚,这样别人就不可以来砍那棵树。这次的经历非常新奇,因为 我目睹了一个很有意思的保护树木的方法。与此同时,我也觉得这件事本身非常有意思: 树木可以成为和尚,但是女人却不可以成为和尚。还有一天,我们有一个小时自己去买早 饭。可是,因为我们不会说柬埔寨话,我学到了当你跟别人打交道时,不用说话,用其它 途径沟通也是可以的。 探访过这座城市以后,我学到了很多东西,也改变了很多!在树林里,和尚们为了 世界什么都愿意做,让我也想一想,我可以为世界做些什么呢?




Comment l'Indifférence de Meursault affecte son Humanité Charles Onesti ’19 L’Etranger​ d’Albert Camus ​raconte son récit à travers le journal intime ​d’un Français d’Algérie qui s’appelle Meursault. Meursault habite modestement et il travaille dans un bureau. La personnalité de Meursault est très déroutante. Il semble être toujours apathique et la moitié de ses actions sont sans une raison spécifique. L'indifférence de Meursault lui donne une apparence mécanique et insensible. Meursault est difficile à comprendre parce qu’il ne se conforme pas aux règles sociales qu’il pense artificielles. ​Bien que l'indifférence de Meursault vient d’une vision du monde plus réelle et authentique que celle épousée par les bourgeois, son indifférence est vraiment un défaut moral parce qu’il remplace l'humanité de Meursault avec un comportement qui semble souvent inhumain. En observant les instances où Meursault explique ses actions et son comportement, on se rend compte que Meursault est très réaliste et souvent son point du vue a beaucoup de véracité. Au début, Meursault reçoit un télégramme qui lui dit que sa mère est morte récemment. Sans beaucoup de chagrin, Meursault note, “Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas.” Le fait qu’il ne peut pas se rappeler le jour de la mort de sa mère indique qu’il est détaché émotionnellement. L'absence d'émotion continue à l’asile quand on lui demande, lors de sa conversation avec le concierge, s’il veut voir Maman une dernière fois: “‘ Vous ne voulez pas [voir Maman]?’ J'ai répondu : ‘Non’... il m'a regardé et il m'a demandé : ‘Pourquoi ?’… J'ai dit : ‘Je ne sais pas.’ Évidemment Meursault ne suit pas la norme sociale de regarder le corps de sa mère décédée. En outre, il ne pleure pas pour sa mère mais il s'endort pendant la veillée. Meursault ne donne pas d’explication sur son indifférence apparente jusqu'à plus tard en parlant avec son avocat quand il constate: “Sans doute, j'aimais bien maman, mais cela ne voulait rien dire. Tous les êtres sains avaient plus ou moins souhaité la mort de ceux qu'ils aimaient.” Même si l’opinion de Meursault est pessimiste et choquante pour l’avocat, elle est aussi vraie. En général, les personnes rejettent l'idée que dans le passé il y avait une fois où ils n’aimaient pas les personnes les plus proches. En revanche, l'indifférence de Meursault indique qu’il n’est pas affecté par cette illusion et que par contre il en voit sa véracité et soutient le sens désabusé de la réalité qu’elle représente. Un autre exemple du réalisme de Meursault se manifeste dans sa


conversation avec son patron qui lui offre une opportunité d’avancer sa carrière à Paris. A cette proposition, Meursault répond: “...oui mais dans le fond cela m'était égal. Il m'a demandé alors si je n'étais pas intéressé par un changement de vie. J'ai répondu qu'on ne changeait jamais de vie.” Meursault laisse passer l'opportunité parce qu'il comprend qu’un changement de lieu n’implique pas un changement de personne. Alors, bien qu’il soit indifférent, Meursault voit le pire des choses. Donc, même s’il vit sans illusion, son indifférence lui fait mener une vie vide. Le manque d'émotion dans la personnalité de Meursault le rend moins humain. Les émotions comme l’amour, l’ambition et l’optimisme sont fondamentaux à l'humanité. Cette proposition explique pourquoi Meursault est presque mécanique et même inhumain dans ses sentiments et actions. Par exemple, quand Meursault est confronté avec l’injustice et la brutalité dans le cas de Raymond et sa maîtresse, Meursault ne fait aucun effort pour défendre la femme. En effet, il aide Raymond à se venger contre elle sans penser au caractère abusif de leur relation. Pendant un déjeuner avec Marie dans l’appartement à côté de Raymond: “La femme criait toujours et Raymond frappait toujours. Marie m'a dit que c'était terrible et je n'ai rien répondu… Marie et moi avons fini de préparer le déjeuner. Mais elle n'avait pas faim, j'ai presque tout mangé.” Le fait que Meursault ne dit rien et qu’il ne perd pas son appétit comme Marie montre un manque d'humanité chez Meursault. Quand les autres personnes manifestent des émotions, Meursault ne réagit pas. Son indifférence est vraiment un vice que lui donne un caractère troublant. Même si la philosophie de Meursault lui permet de voir la vérité du monde, l'indifférence qui accompagne sa philosophie refoule toutes les autres émotions et ainsi le rend moins humain. Cette caractéristique se manifeste dans son manque d’amour pour Marie et dans son ambivalence envers la violence et l’injustice. Ce sera intéressant de voir si la personnalité de Meursault change dans la deuxième partie du livre.


Le Vietnam et son Influence Francophone Anonyme Le Vietnam est une république communiste en Asie du sud. L’histoire du Vietnam est riche et compliquée, et trouve ses origines parmi les plus anciennes civilisations du monde. Gouverné par les Chinois pendant un millénaire, les Vietnamiens ont retrouvé leur indépendance de la Chine en l’année 939. En 1887, le Vietnam a été colonisé par la France, et est resté sous leur règne pendant presque un siècle avant qu’ils déclarent leur indépendance en 1945. La culture française et l’histoire de leur colonisation a toujours une grande présence au Vietnam aujourd'hui et se trouve présente dans leur nourriture, vêtements, architecture et plus. L’histoire du Vietnam remonte à des milliers d'années au peuple du Van Lang, qui s’est installé dans la région 2877 ans avant J.-C. À l'origine principalement situé dans le nord du Vietnam moderne, les premiers vietnamiens se sont battus entre eux et avec des groupes rivaux. En 111 avant J.-C., le Vietnam a été conquis par l'empereur chinois Wudi de la Dynastie Han. Le Vietnam est resté sous le règne chinois pendant plus d’un millénaire quand, en 939 après J.-C., le général Ngô Quyền a mené une rébellion contre les Chinois et les a vaincus à la bataille du Bạch Đằng. Pendant les siècles suivants, le Vietnam fleurit et grandit, et différentes dynasties occupent plusieurs parties du Vietnam moderne. Au 17ème siècle, le Vietnam commence à s'engager dans le commerce et les relations avec plusieurs puissances européennes comme le Portugal, les Pays Bas et la France. Autour de cette époque, des missionnaires français ont commencé à répandre le catholicisme, mais le gouvernement vietnamien s'est senti menacé, et il les a rejetés. En représaille, la France a commencé à capturer des villes dans le nord et sud du pays. Peu à peu, l’influence que le gouvernement vietnamien avait s’est affaiblie, et éventuellement, en 1887, l’Indochine Française a été officiellement établie. La colonie apportait beaucoup de richesses à la France par le commerce international et l'établissement de plantations de thé, tabac, café, et plus. La France a continué d’étendre sa colonie, et il a envahi les régions du Laos, du Cambodge et de la Thaïlande dans les années suivantes. Particulièrement, au début du 20ème siècle, il y a eu plusieurs rébellions contre le règne français, mais aucune ne réussit. La France a plus de difficultés à garder le contrôle de la colonie pendant les années 1940 avec la deuxième guerre mondiale. Le Japon l’envahit au début de la guerre et arrête le contrôle français dans la région.


Les vietnamiens déclarent leur indépendance en 1945, mais la séparation n’est pas officialisée jusqu’à la conférence de Genève de 1954. Avec cette conférence, l’Indochine Française est divisée en deux: le Cambodge et le Laos, et le Vietnam est divisé entre un nord communiste et un sud démocratique. Inquiet par la propagation du communisme en Asie du Sud-Est, les États-Unis l’envahissent en 1955. La guerre se termine en 1975 et le Vietnam est unifié comme un seul état communiste. La guerre a dévasté le pays; des estimations vont de 1 million à 4 millions de morts vietnamiens. Quelques années plus tard, le Vietnam envahit le Cambodge et établit un gouvernement communiste là. Depuis lors, le Vietnam s'est remis de ses guerres et est devenu un pays avec une grande économie et une population encore plus grande. Maintenant, avec le nord et le sud unifiés, le pays a une gamme diversifiée de climats et de géographie. Situé en Asie du Sud-Est, le Vietnam a la Chine au nord, et le Cambodge et le Laos à l’ouest. À l'est se trouve l'océan Pacifique, avec lequel le Vietnam partage un littoral de 3 300 km. Il y a une superficie de 331 000 km², semblable à la superficie de l'Allemagne. De cette superficie, il y a 123 000 km² de forêt et 68 000 km² de terres arables. Il n’y a pas quatre saisons, seulement une saison de pluie et une saison sèche. Il tombe 1821 cm de pluie au cours de 156 jours par an. Les deux grandes fleuves sont le Mékong et le fleuve Rouge. Les deux ont des deltas très grandes, où la terre est extrêmement fertile et les deux plus grandes villes se trouvent – Hanoi dans le nord avec le delta du fleuve rouge, et Hô-Chi-Minh-Ville dans le sud avec le delta du Mekong. Il y a des montagnes aussi, dont la plupart sont situées au centre et très au nord du Vietnam. Avec une altitude de 3 143 mètres, le Fansipan est le point culminant du pays. La température la plus chaude jamais enregistrée était 42,7° C et la plus froide était -6,1° C. Le Vietnam est peut-être le plus célèbre pour ses très belles îles au nord-est dans l’archipel Cát Bà. Ces 367 îles sont connues pour leur apparence dramatique et leur hauteur en contraste avec la mer plate. Elles sont visitées par près d'un million de touristes par an et sont devenues une grande partie de l'économie locale. Le tourisme est aussi une grande partie de l'économie à une échelle plus grande. Avec 13 millions de touristes par an, l’industrie du tourisme est une grande partie de l’économie qui vaut $26 milliards. Il y a un PIB total de $241 milliards, et un PIB par habitant de $2 860. Tout cela fait du Vietnam la 47ème plus grande économie dans le monde. Il y a une croissance du PIB de


7,1% par an, mais le pays a $130 milliards de dettes. Le taux de chômage est de 2,2% et le taux de pauvreté est de 8%. Au Vietnam, on utilise le đồng vietnamien, qui est l'une des monnaies les moins valorisées au monde – un đồng vaut 0,000038 euros! Il y a une valeur d'exportation de $244 milliards et une valeur d’importation de $238 milliards. Les industries principales incluent l'électronique, les textiles, les produits agricoles, les produits de transport et le tourisme. Avec tout ça, le Vietnam n'est pas considéré comme un pays riche ou pauvre, mais est plutôt en voie de développement et qui améliore la qualité de vie de ses habitants. Avec un indice de Développement Humain (IDH) de 0,694, le Vietnam semble d’être plus où moins au milieu – cet IDH place le pays 116ème au monde. Chaque année, la population grandit de 1,1%. Il y a une espérance de vie de 73 ans, et l’indice de fécondité est de 1,8 enfants par femme. La seule langue officielle est le vietnamien, et il y a un taux d’alphabétisation de 94,5%. Avec 97 millions habitants, il y a une densité de population de 300 habitants par km², qui est comparable au Royaume Uni. De ces 97 millions habitants, 73% de la population est non-religieuse ou appartient à une religion ethnique, 12% est bouddhiste, et 7% est catholique. Le Vietnam est très divers – tandis que 85% de la population est d'origine vietnamien, il y a plus de 50 groupes ethniques. La capitale est Hanoi, mais la plus grande ville est Hô-Chi-Minh-Ville, qui a une population de 8,5 millions. Comme indiqué auparavant, le Vietnam a déclaré leur indépendance le 2 septembre 1945. Tandis que cela n'a pas été officialisé jusqu’en 1954, les vietnamiens célèbrent leur fête de l'indépendance le deux septembre. Depuis 2018, leur président est Nguyễn Phú Trọng. Le gouvernement a aussi un premier ministre, mais le président est le poste le plus important dans le pays. La culture française a encore une influence visible dans le Vietnam. Ce qui est peut-être le plus évident est qu’au Vietnam on emploie l’alphabet latin. Même s’il est entouré par des pays qui utilisent des alphabets natifs, le Vietnam est l’un des rares pays asiatiques qui utilisent l’alphabet latin et des mots avec des racines latines, qui ont été à l'origine pris du français. 470 000 vietnamiens ont une certaine compétence en français, en partie parce qu’il y a plusieurs écoles et universités francophones à travers le pays. Même aujourd’hui, il y a presque sept millions d’habitants catholiques au Vietnam, et 350 000 vietnamiens vivent en France. L’autre grande influence française est celle de l’architecture. Dans des villes comme Hanoi, Da Nang,


Hai Phong et Hô-Chi-Minh-Ville, des églises, des bâtiments du gouvernement, et d’autres sont construits dans le style français ou ont été construits par les français eux-mêmes. Les plus célèbres de ces bâtiments incluent l'opéra de Hanoi et la cathédrale de Hô-Chi-Minh-Ville. Beaucoup de la cuisine vietnamienne a aussi des influences françaises. Peut-être le plat le plus populaire avec une influence française est le bánh mì, un sandwich contenant des légumes sur une baguette. Certes, la France a systématiquement opprimé et a soumis les vietnamiens au règne colonial, mais il y a eu aussi des effets bénéfiques. Les français ont introduit les systèmes d'assainissement dans les villes à travers le pays, et ils ont mis en place des écoles et d’autres établissements éducatifs qui enseignent encore à ce jour. En 1990, François Mitterrand est devenu le premier président français à avoir visité l'ancienne colonie. La France et le Vietnam entretiennent de bonnes relations à ce jour, malgré les conflits qu'ils ont eu entre eux dans le passé.


Louis Vuitton: De la Misère à la Richesse Kofi Samuels ’20, Josh Abramson ’20 et Justin Aguirre ’20 Louis Vuitton est né en 1821, en France. Quand il avait seulement 14 ans, il est parti de son village pour aller à Paris. Il a marché 400 km pendant plusieurs années. À Paris, il est devenu l’apprenti d’un layetier-emballeur-malletier. En 1854, il a ouvert son premier magasin, et en 1870 son fils a continué à fonder la maison Louis Vuitton. En 1892, au moment de la mort de Louis Vuitton, la marque était très grande et connue dans le monde. La vie de Louis Vuitton est une histoire de persévérance et de créativité. Il a affronté les circonstances, et a eu une vie magnifique. Son nom n'était pas important quand il était né, mais maintenant le nom Louis Vuitton est synonyme de Mode et de Grand Luxe.

C’est l’histoire de Louis Vuitton. Écrit ici est le récit de comment il a changé le monde avec un seul coffre grand. Louis naît dans la région du Jura Il sait qu’il n'y a pas d’opportunité là. Donc, il décide de partir de ce village Pour chercher le travail de ses rêves. Il marche beaucoup, pas de chaussures aux pieds Et les gens qu’il rencontre, ils ne lui donnent pas de l’aide. Il n’est pas important combien d’années, Il lui faut pour atteindre ses rêves. Il arrive à Paris avec son espoir Il cherche un homme qui peut l’aider car L’homme a besoin de personnel ici. Louis Vuitton est devenu apprenti. Le maître de Louis a beaucoup d'information Et Louis a beaucoup de détermination


Pour la première fois après sa naissance Il a un bon moyen pour gagner de l’argent Le maître est un homme qui s’appelle Maréchal Et les boîtes qu’il crée sont élégantes et royales Il combine le cuir avec le métal Pour créer un produit monumental Et Louis apprend les moyens et techniques Et il crée un nouveau type de valise Avec un couvercle plat, pas un couvercle rond Et avec sa valise, il change le monde Il fait les valises pour l'impératrice Eugénie Et elle lui donne ses vœux, comme un génie Elle ouvre les portes de la prospérité Et toute la France découvre les valises qu’il fait Donc Louis a créé une grande enterprise Mais il est vieux et au monde il fait la bise. George, son fils, préserve son héritage Il développe la marque et améliore son image. Louis physiquement ne vit plus Mais son esprit peut encore être vu Maintenant, il est connu dans cent cinquante pays. “Bien sûr, monsieur, je connais Louis!” Posez la question à n’importe quelle personne Et on vous répondra aussitôt “Oui, je connais Louis Vuitton!” Louis voulait construire un grand empire C’est une histoire que beaucoup de gens vont relire Il représente le luxe, l’ambition et la détermination Et c’est une lueur d’espoir qui rayonne, finalement.


Critique de Candide Grace Gallen ’20 “...Tout est nécessairement pour la meilleure fin… Il fallait dire que tout est au mieux.” Est-ce que vous pensez que vous êtes un optimiste ou un pessimiste? Est-ce que le verre est à moitié plein ou à moitié vide? Si vous voyez le verre à moitié plein, vous êtes peut-être un optimiste. Si vous voyez le verre à moitié vide, vous êtes peut-être un pessimiste. Si vous voulez penser à votre perspective sur la vie, ​Candide ​est un bon livre pour vous. Tout au long de l’histoire du monde, les philosophes se disputaient au sujet des idées sur l’optimisme et pessimisme. Au dix-huitième siècle, il y a eu un mouvement philosophique d’optimisme. Pendant ce temps, Voltaire a écrit son livre, ​Candide​. ​Candide e​ st un commentaire sur le mouvement de l’optimisme. Dans ​Candide, ​Voltaire critique la théorie philosophique de l’optimisme et il exprime aussi le sexisme de l’époque. Il y avait beaucoup de sexisme dans le dix-huitième siècle et aussi aujourd'hui. On voit ce sexisme dans le traitement de la personne Cunégonde, l’amour de Candide. Une des lignes finales dans le livre est “Cunégonde était, à la vérité, bien laide; mais elle devint une excellente pâtissière...” Puisque Cunégonde n'était pas belle, elle n’avait pas de valeur dans l’avis de Candide, Voltaire, et dans l’avis de la personne qui lit. Mais elle peut se racheter avec ses dons domestiques, comme être une bonne pâtissière. Je pense que c’est sexiste qu’elle doive être belle pour Candide pour avoir de la valeur et aussi c’est sexiste que le moyen qu’elle doit utiliser pour racheter sa valeur est ses dons dans la cuisine. Une autre chose sexiste dans ​Candide​ est que Candide doit sauver Cunégonde et elle ne peut pas rien faire pour elle-même. Quand elle est la propriété des deux hommes, Candide doit la sauver. Quand elle est une laide servante, Candide doit la sauver. C’est un peu ridicule que Candide doive sauver la situation chaque fois. Cunégonde peut se sauver et elle n’a pas besoin de l’aide de Candide tout le temps. Le mouvement de l’optimisme est un thème très important dans le livre. L’optimisme veut dire que toutes les choses qui se passent sont les meilleures choses. ​Candide ​est un critique de l’optimisme. Beaucoup de choses terrible se passent avec Candide. Les choses mauvaises qui se passent sont de plus en plus exagérées. Candide a été expulsé de son pays, il a été forcé de combattre dans la guerre, il a survécu une tempête sur un bateau, il a survit un tremblement de


terre, un tsunami et aussi un grand feu. Il a été attaqué par le frère de Cunégonde, il a même été mangé par les Oreillons. Il a été jusqu'à tuer beaucoup de fois dans le livre et tout le temps il était séparé de son amour. Comment est-ce qu’il reste toujours optimiste? Voltaire veut dire que la théorie de l’optimisme est un peu ridicule. Rester toujours optimiste est presque impossible. Chaque fois que ce qui arrive à Candide devient plus exagéré, la théorie de l’optimisme devient une plus grande blague. Le personnage de Martin, lui, reste toujours pessimiste. Candide et Martin ont des avis extrêmes dans leurs théories de la vie. Voltaire veut dire que ni l’optimisme ni le pessimisme sont vrais. En conclusion, Voltaire a critiqué le mouvement philosophique de l’optimisme dans Candide. ​Il pensait que l’optimisme était un peu ridicule et il a fait une blague sur cette idée. Voltaire n'était pas un optimiste ou un pessimiste mais peut-être était-il un réaliste. Le sexisme est un thème très présent aussi dans ​Candide ​et on peut voir cela dans le traitement de Cunégonde et sa marginalisation pendant le livre.


Le Garçon Sous Le Soleil Ryan Katiraei ’20 Le garçon faisait briller ses chaussures Il pleuvait Le garçon faisait briller ses chaussures Avant de partir à l’école Le garçon faisait briller ses chaussures Après avoir joué au basket le garçon faisait briller ses chaussure Tard le soir, le garçon faisait briller ses chaussures Il neigeait et le garçon faisait briller ses chaussures À l'extérieur, le garçon faisait briller ses chaussures Après avoir baladé les chiens Le garçon faisait briller ses chaussures Il y avait du soleil Et le garçon faisait briller ses chaussures Après, il les a amenés chez le cireur de chaussures Sept années ont passé Et le garçon continue à faire briller des chaussures Cependant, il ne pense jamais à cela Il continuera à faire briller ses chaussures





La gringa en el bosque Jennifer Frank ’20 “JFK a SJO, 8:30 A.M.,” decía la pantalla con los datos del vuelo de Nueva York a San José, Costa Rica, en el aeropuerto. La familia tenía diez minutos antes de que el avión despegara. Ellos son una madre, Samantha, un padre, Jeff, y su hija que tenía ocho años, Tatiana. Como siempre, ellos estaban atrasados. Entonces, corrieron por el aeropuerto en busca de su puerta de embarque. Afortunadamente, llegaron a tiempo y abordaron el avión. Éste era el primer viaje de Tatiana fuera de los Estados Unidos, así que estaba muy emocionada. Cuando el avión finalmente aterrizó, ella pudo sentir el aire caliente en su respiración. Decidieron alquilar una casa en vez de quedarse en un hotel porque pensaban que sería más auténtico y menos turístico. Durante los primeros tres días, visitaron las tiendas y jugaron en la playa. Todas las actividades le hicieron sentir cansada. Entonces, cuando sus padres decidieron ir de excursión en el bosque, ella prefirió quedarse en la casa. Los padres salieron en su excursión temprano por la mañana. Ella esperó, esperó y esperó. El sol se había puesto, pero sus padres no habían regresado. Preocupada, asustada y sola, Tatiana decidió que la única manera de encontrar a sus padres era ir al bosque. Le dio un beso de despedida a su osito de peluche, agarró una linterna y comenzó su búsqueda. Estaba oscuro, pero Tatiana sabía que necesitaba ser valiente. Parecía que habían pasado horas, y ella estaba tan cansada que decidió dormir. Suponía que iba a tener más éxito con la luz del día. Encontró un lugar donde podía dormir. Estaba al lado de un árbol, y Tatiana usó un tronco como almohada. Los chirridos de los grillos la arrullaron para dormir, como su madre hacía cuando era una bebé. El sol se levantó y los rayos brillaban a través de las hojas, haciéndola despertar. Al abrir sus ojos, se dio cuenta que tenía una manta de hojas. Tatiana se levantó, miró a su alrededor y vio un grupo de chozas. Muy cuidadosamente, caminó hacia ellas. Fue entonces cuando vio a un niño corriendo hacia ella. “¡Hola! Me llamo Mateo. Anoche te vi y me parecía que tenías frío así que te cubrí con una manta.”


Tatiana no entendía esta lengua extraña. Después de un minuto pensando en qué podía decir, ella dijo: “Hola….¿Inglés por favor?” Pero el niño no hablaba inglés. Ellos usaron muchos gestos, y finalmente, ella pudo comprender que él era miembro de una tribu. Caminaron a su choza donde la madre de Mateo, Gabriela, estaba cocinando el desayuno. -“Mami, ella se llama Tatiana. Es la chica que te conté que vi anoche durmiendo afuera.” -“¿Por qué está en el bosque?” -“No sé, y ella no habla español pero su nombre es Tatiana.” -“Bueno, ella puede desayunar con nosotros y la presentaremos al resto de la tribu más tarde.” Mateo se sentó al lado de Tatiana y ellos desayunaron. Tatiana no había probado esta comida antes, claramente era una comida nativa. No hablaron, pero usaron más gestos de mano. Él averiguó que Tatiana era de los Estados Unidos, pero todavía Mateo no sabía por qué estaba en el bosque. A medida que se comunicaban con gestos de sus manos, su conexión creció. Después de sólo dos días, se convirtieron en mejores amigos. Tatiana se adaptó a la vida de la tribu y se sentía ya casi como una parte de la comunidad. Tatiana aprendió más español, y finalmente fue capaz de hablarle sobre sus padres y cómo ellos se habían perdido en el bosque. Por fin, Mateo comprendió por qué ella parecía tan preocupada. Inmediatamente, corrió hacia sus padres para ayudar a Tatiana. Mientras que Gabriela se reunía con los otros miembros de la tribu, el padre de Mateo preparó provisiones y herramientas para la búsqueda. Ellos comenzaron la búsqueda, pero empezaron a perder la esperanza porque cinco horas habían pasado y todavía no habían encontrado a sus padres. Tatiana empezó a llorar, cuando oyó un grito. Ella no estaba loca - las otras personas lo oyeron también. Parecía que el grito venía de cerca del río. Tatiana corrió, y las otras personas la siguieron detrás de ella. Eran ellos. Sus padres. Estaban allí. Estaba claro que ellos estaban heridos, por lo que no podían regresar a la casa, pero por lo menos estaban vivos. No podían caminar, y por eso los miembros de la tribu los llevaron a sus chozas. Los padres de Tatiana estaban muy agradecidos por la ayuda y felicidad de ver a su niñita. La tribu curó sus heridas y le enseñaron su forma de vida. Cuando los padres se


recuperaron y fueron capaces de caminar de nuevo, querían regresar a casa. Sin embargo, Tatiana quería quedarse con Mateo y la tribu. Tatiana se negó a salir. ¡Mateo era su mejor amigo y necesitaba quedarse! Era difícil, pero sus padres finalmente la convencieron de regresar a la casa. Tatiana le dio a Mateo un gran abrazo y ella dijo “adiós,” porque, por fin, podían entenderse. Ella le prometió que nunca iba a olvidarlo y se fue. Veinticinco años más tarde, Tatiana y su nuevo esposo decidieron ir a Costa Rica para su luna de miel. Estaban caminando en la playa camino al restaurante para una cena romántica. El sol se estaba poniendo y las olas se estrellaban en la orilla. Todo era perfecto, hasta que ella vio la silueta de alguien que le pareció familiar. Él tenía el pelo negro y rizado, y había cambiado mucho. A medida que se acercaba, ella lo reconoció: Era Mateo.


El mundo de abajo Andrea Dammert Duenas ’20 Amanece un sábado muy esplendoroso. El sol está brillante y listo para un día alegre lleno de sonrisas. Como es el fin de semana, me despierto tarde. Antes de levantarme de la cama estiró los brazos y el cuello, bostezando por un buen minuto. Salgo de la cama, me limpio los dientes, me cepillo el pelo y me lavo la cara. Voy a la cocina para tomar un vaso de agua, me siento en mi silla favorita al costado de la ventana y me pongo a leer las noticias en mi teléfono. Estoy mirando por la ventana y veo un pájaro. Mejor dicho: es un pajarito. Tiene las patas negras, un pico negro y sus plumas eran de color marrón en su lomo pero su pancita era de color blanco. No sé por qué pero lo sigo mirando hasta que los párpados se me empiezan a cerrar. Vuelo sobre toda la ciudad. Las casas grandes y chicas, los edificios altos y bajos. Veo el parque donde los niños de todas edades juegan. Los bebés cerca de sus madres, los niñitos intentando correr con las piernas cortas. Veo las canchas de deportes y en ellas equipos jugando fútbol, baloncesto y volley. Veo la playa. Las olas del mar que revientan contra la orilla. La arena que se calienta cuando está en la línea del horizonte. Veo a la gente en la playa, disfrutando su tiempo con amigos y familiares. Sigo el tráfico de los carros. Escojo un carro rojo porque me llama la atención, lo sigo hasta que me distraigo por una fiesta de cumpleaños. Hay una mesa con un mantel rosado pero yo me enfoco en la comida: tienen caramelos, pizza, pastel de chocolate y helado. Y de repente noto que yo estoy en la mesa y poquito a poquito me voy acercando a la comida. Estoy por llegar pero los adultos que están más atentos me ven y me empujan de la mesa. Agito mis brazos y salgo volando. Paso por una casa y veo unas caras familiares. Bajo a decir hola pero ¡PUM! Choco, no he visto la ventana. Estoy tratando de levantarme pero siento algo detrás mío. Volteo mi cabeza, veo dientes blancos rodeados de pelaje negro antes de que me encierren en la oscuridad.


El cumpleaños Edward Landzberg ’20 Otra vez más esperando a mi madre en el coche, con el motor encendido, en un inusual y caliente día de febrero. Como siempre llega tarde o me hace esperar en el coche porque se ha puesto a hablar con una vecina pesada sobre cualquier tontería. Pero hoy eso va a cambiar; ésta es la última vez que espero, la última vez que tengo que acompañar a mi madre o a mi padre a hacer mil recados. A partir de ahora podré ir en mi propio coche, sin depender de nadie, sin tener que esperar a nadie. Hoy es mi cumpleaños dieciséis y, cuando mi madre por fin termine de hablar con la vecina, iremos a la oficina de tráfico. ¡Voy a obtener mi licencia de conducir! Mi madre finalmente se despide de la vecina e iniciamos la ruta hacia el DMV. Nunca me había dado cuenta de lo lento que conduce mi madre. En realidad, creo que lo hace a propósito para hacerme rabiar. Llegamos y no me lo puedo creer, la cola es enorme. Me dan el número 132 y sólo van por el 59. Creo que voy a volverme loco. Ahora mismo quiero matar a mi madre por hablar por lo que parecía una eternidad, por no ir más rápido, y a todas las personas que llegaron antes que yo. La espera me parece interminable, los minutos se alargan. Hace un calor horrible porque tienen la calefacción muy alta. Además el señor que está sentado a mi lado creo que no se ha duchado en un año, huele horrible. Después de dos horas, número 130… número 131… Por fin, ¡mi turno! Inmediatamente, después de que el señor antes de mí termine, me levanto pero de repente la mujer que me iba a atender se va. La miro y me dice: “necesito un café.” Pienso: ¿¡Qué!? ¿Después de todo lo que he esperado se va a tomar café? Debe ser un chiste. Luego de los quince minutos más largos de mi vida, la mujer dice: “número 132.” Corro al mostrador antes de que se vaya de nuevo. Le entrego los papeles y ella empieza a registrar mi información en la computadora. Nunca pensé que hubiera alguien que pudiera teclear más lento que mi madre, parece que se mueve en cámara lenta. Me mira extrañada y me


dice que por alguna razón no puedo obtener mi licencia. Llama a un compañero para que le ayude. Yo, mientras tanto, exclamo: “hoy cumplo 16 años y según las leyes del estado, con 16 años puedo obtener mi licencia”. Llaman a otros empleados y a otros colegas, no consiguen averiguar cuál es el problema, pero por alguna razón el programa no acepta mi nombre. ¡Por Dios, es mi peor pesadilla! Finalmente viene el director a ver cuál es el problema y después de un largo momento, con una voz consternada me dice: “Según nuestro programa, Alejandro González, usted, tiene 4 años y no puede obtener su licencia”. Le contesto: “¿De verdad parece que tengo cuatro años?” Contesta: “De acuerdo a las leyes del estado, un ciudadano puede obtener su licencia en su cumpleaños dieciséis”. “¡Claro! ¡Y hoy cumplo dieciséis!”. “No. Usted nació el 29 de febrero del 2000, así que su decimosexto cumpleaños no será hasta el año 2064, lo siento mucho”.


Un día en la playa Jacob Kibel ’19 Arena caliente. Conchas rotas. Gaviotas misiles en el océano. Olas que rugen. Ni una sola nube en el cielo. El olor a sal en el aire. Palmeras tan altas como rascacielos, mecidas por el viento. Pescado en saltos, saltos y saltos mortales también. Intacta. Indemne. Sin detrimentos de los humanos. En aislamiento total de los terrores del resto del mundo. Todo vive en paz. Sólo un día normal en la playa. Fragmentos lisos de cristal de mar brillan en el sol. Fragmentos ásperos de coral descansan en la arena. Intacta. Indemne. Sin detrimentos de los humanos. La playa vive su vida en aislamiento total de los terrores de los humanos. Todo vive en paz. Sólo un día normal en la playa.


Sor Juana Inés de la Cruz, una mujer que rompió barreras Sophie Peretz ’19 “Privatio est causa appetitus,” dijo Sor Juana Inés de la Cruz cuando estaba justificando su motivación para estudiar y aprender. Sor Juana nació en 1651, en Nueva España, la cual era una colonia del Imperio Español. Ella era una religiosa y estaba dedicada a su educación. Además, ella vivió durante la Inquisición española, una época de persecución de los no católicos que empezó en España durante el reinado de Fernando e Isabel. Ellos querían purificar España, y luego sus colonias, así asesinaban a los judíos, los musulmanes, y otros herejes para combatir la herejía. También, ellos quemaban libros que creían que eran heréticos. Además, Sor Juana vivió en el Siglo XVII, conocido como el Siglo de Oro del Imperio Español porque las artes y la literatura prosperaban. Pero, en este siglo, había una creencia que las mujeres no debían aprender y que las mujeres eran inferiores y “domésticas.” Para responder al sexismo, Sor Juana escribió muchos textos que cuestionaron y atacaron el patriarcado. Específicamente, escribió una carta que se llamaba “Respuesta de la Poetisa a Sor Filotea de la Cruz,” una respuesta al obispo Manuel Fernández de Santa Cruz que dijo que las mujeres no debían estudiar la filosofía ni las ciencias, y ella escribió “Sátira filosófica” para atacar el sexismo. Sor Juana Inés de la Cruz era “la pionera indiscutible” porque usaba sus destrezas excepcionales de escribir para atacar y cuestionar el patriarcado. En el poema “Sátira filosófica,” Sor Juana hace un ataque fuerte con sus palabras para llamar la atención a los derechos de las mujeres. Ella les escribió este poema directamente a los hombres. En la primera estrofa, ella dijo: “hombres necios que acusáis a la mujer sin razón, sin ver que sois la ocasión de lo mismo que culpáis.” Sor Juana afirmó que los hombres no usaban la razón y que ellos actuaban sin pensar. También, ella dijo que ellos no tenían respeto por las mujeres y eso implicó que los hombres eran obstáculos para el avance de las mujeres. Su ataque a los hombres y el patriarcado refleja que ella era feminista. En este tiempo, era muy peligroso para las mujeres cuestionar el patriarcado, pero su pasión feminista en obtener más derechos para las mujeres cambió el sistema sexista poco a poco. En la carta “Respuesta de la Poetisa a Sor Filotea de la Cruz,” Sor Juana probaba su dedicación a la defensa de las mujeres y el feminismo. La carta es una autobiografía que tiene la


estructura de una memoria, una súplica, y finalmente, una exposición. En el comienzo de su carta, Sor Juana justificó su pasión del aprendizaje y su pasión para obtener la igualdad entre los hombres y las mujeres. Específicamente, ella mencionó: “sabiendo ya leer y escribir, con todas las otras habilidades de labores y costuras que deprenden las mujeres, oí decir que había Universidad y Escuelas en que se estudiaban las ciencias.” En este tiempo, la universidad sólo era para los hombres. De niño, ella quería fingir ser un hombre para poder ir a la escuela. Ella defendía los derechos de las mujeres porque ella implicaba que el intelecto no tenía sexo, y por eso, que las mujeres y los hombres eran iguales. Es importante que ella haya sido joven cuando toma esta decisión porque demuestra su poder, su pasión, y su influencia; por estas razones, ella es “la pionera indiscutible” y una feminista influyente. Al final de su poema “Sátira Filosófica,” Sor Juana lanzó un gran ataque contra los hombres para demostrar que los sexos eran iguales. Ella cuestionó la superioridad de los hombres por sus palabras: “bien con muchas armas fundo que lidia vuestra arrogancia, pues en promesa e instancia juntáis diablo, carne, y mundo.” En esta estrofa, ella dijo que los hombres probaban que eran arrogantes y que estaban juntos con cosas del infierno. Su ataque contra el sexismo, los hombres, y el patriarcado demuestra que ella es una feminista que nunca va a dejar de luchar. En conclusión, Sor Juana Inés de la Cruz usó sus talentos literarios para ser una feminista indiscutible al atacar el sexismo que la inquisición promovía. Por sus textos, ella lanzaba ataques violentos, pero no físicamente violentos. Ella me inspiró para luchar contra el sexismo que yo enfrento. Yo he tenido muchos trabajos en las finanzas que es una ocupación muy masculina. Como Sor Juana, yo he encontrado a algunos hombres que piensan que las mujeres no deben tener esta ocupación y que las mujeres deben ser “domésticas.” En el futuro, usaré el método de Sor Juana para luchar contra el sexismo. Específicamente, voy a cuestionar el sistema sexita escribiéndoles cartas a las personas que tienen el poder como las personas en el gobierno. Como Sor Juana, voy a usar ataques con las palabras y no con las manos. ¡Es tiempo para hacer un cambio en la sociedad, y el movimiento que Sor Juana empezó va a continuar dándoles ayuda a las mujeres! ¡Vamos a lograr este cambio!


La belleza de una sociedad nueva Marlowe Dalton ’20 Cuando los españoles conquistaron a los indígenas en el siglo XVI, eran más elevados en la sociedad que los indígenas porque eran más ricos y poderosos. Las sociedades en las Américas se transformaron por los españoles cultural y socialmente después de la conquista. Edgar Saner Flores es de México y él es un artista callejero, ilustrador y diseñador gráfico. Su trabajo contiene referencias iconográficas mexicanas, aztecas y mayas. Él demuestra también la influencia de las costumbres mexicanas a través de sus figuras que llevan máscaras, y sus obras están exhibidas en las galerías mundialmente. En su obra, ​La conquista,​ Saner emplea el color, la naturaleza y los objetos violentos para sugerir que la violencia fue necesaria para crear la belleza de una nueva sociedad mestiza entre los españoles y los indígenas. A través de su decisión sobre los colores, Flores demuestra la creación de una sociedad nueva. El rojo en las plantas simboliza la violencia, la sangre, la pasión y la ambición de los conquistadores. Además, el rojo es un componente importante de la violeta. Elvioleta es una mezcla del rojo y el azul. Por eso el violeta representa una creación nueva de los colores y simboliza una mezcla de la violencia y el nacimiento de la nueva sociedad. De la misma manera que no hubiera habido la creación de la violeta sin el rojo, no habría habido una nueva creación de una sociedad mestiza sin la presencia de la violencia y la sangre. Así la violencia es muy importante para este crecimiento. Flores usa la naturaleza para ilustrar la transición de una sociedad desordenada a una sociedad bella y ordenada. En esta imagen, la mala hierba está desordenada y caótica alrededor de la escena. La mala hierba simboliza la violencia y la destrucción que ocurrieron durante la conquista. En contraste, las flores están ordenadas y muestran una creación magnífica y hermosa. Literalmente las plantas bellas brotan de la mala hierba desorganizada. Entonces las flores que florecen de la mala hierba representan una nueva sociedad bella y preciosa que florecen de la violencia. El crecimiento sale de la adversidad y de la violencia de la misma manera en que las flores salen de la mala hierba. Finalmente debe haber el desorden antes del orden para que una sociedad pueda funcionar. Por lo tanto la violencia fue un elemento muy importante para esta creación de la nueva sociedad mestiza.


Sobre las plantas, Flores incorpora una puesta de sol para mostrar la luz al final del túnel. La luz tiene muchos significados en la imagen. Primero, la luz tiene una importancia literal como “dar la luz” a un hijo o una hija. Pero hay un significado metafórico también porque la luz en la imagen ilustra el nacimiento y la creación de una sociedad nueva. Como las madres experimentan un dolor fuerte para dar a luz, debe haber una fuerza para “dar a luz” a una sociedad. Esta fuerza es la violencia porque ilumina la luz y la nueva vida que está ilustrada en el fondo. Además el sol no puede brillar sin la oscuridad. La oscuridad también simboliza la violencia porque como el sol necesita la oscuridad para brillar, una nueva sociedad necesita la violencia para destacar y demostrar su belleza. Por eso la luz es una representación de un día nuevo y un capítulo nuevo de la vida en las Américas. Así los ojos están atraídos a la luz y miran hacia arriba a un nuevo amor mestizo entre los grupos diferentes que se derivó de la violencia de la conquista. Las espadas se pueden interpretar como un aspecto crucial del crecimiento, aunque no sea obvio al principio. Las figuras en la imagen se están besando y se están apuñalando con las espadas. Es evidente que las espadas representan una penetración sexual por los aspectos del amor y la violencia. En una penetración literal y violenta, hay un nacimiento inevitable. Aunque no se pueda imaginar un resultado hermoso de la violencia sexual, lo hay. Este resultado bonito es un bebé y es un milagro de la vida. Por consiguiente el nacimiento bello de una sociedad nueva se derivó de la violencia en la misma manera que un bebé hermoso deriva de una penetración sexual y violenta. Por lo tanto las espadas fueron necesarias para componer esta sociedad mestiza. En​ La conquista,​ hay una conexión a La Malinche, quien tuvo relaciones sexuales con Hernán Cortés, un conquistador español. Ella fue la madre de México y se le dio el título, “la Madre de los mestizos.” La Malinche dio a luz a una nueva sociedad en su papel de madre. Por eso hay un paralelo entre la creación de la sociedad nueva que Flores representa en su imagen y el hijo de La Malinche. Ella marcó el comienzo de una nueva sociedad. Por eso se puede observar los vínculos entre la vida de La Malinche y la obra de Flores por sus símbolos superpuestos de la creación.


¿La imagen de las mujeres ha cambiado realmente? Anónimo Sor Juana Inés de la Cruz era una poetisa, monja y filósofa que vivía en Nueva España durante el siglo XVII. Ella estudiaba mucho y era una sabia, pero a la iglesia y a la sociedad no les gustaba el hecho de que una mujer estuviera estudiando. Ella le escribió una carta al obispo; sin embargo, iba dirigida a Sor Filotea de la Cruz porque no era convencional que una mujer le escribiera a un hombre. Si ella hubiera dirigido la carta directamente al obispo, se habría metido en líos. En el siglo XVII, las mujeres eran percibidas como inferiores a los hombres. Ellas no tenían derecho a contradecirlos, incluso de manera respetuosa. Aunque las mujeres no tenían fácil acceso al aprendizaje en el siglo XVII, Sor Juana Inés de la Cruz transgredió su papel como mujer para seguir su deseo de estudiar y aprender. Ella abandonó sus obligaciones maternas y vivió en un convento para estudiar. El convento era como un refugio de aprender. Sin embargo, el convento era el lugar donde Sor Juana podía ser más espiritual y religiosa. Ella tenía una relación muy íntima con Dios porque creía que su “inclinación” para aprender no provino de sí misma”; vino de una “fuerza” divina. Ella creía que “todas las cosas salen de Dios, que es el centro a un tiempo y la circunferencia de donde salen y donde para todas las líneas criadas.” Entonces, ella incluyó muchas líneas de latín porque la Biblia se había escrito en latín y los curas solamente escribían y hablaban en latín. Además, Dios era la fuente de su inspiración para ser muy religiosa, aprender, y romper los estereotipos de su papel de género. Hoy en los Estados Unidos, hay aspectos de nuestra sociedad que corresponden con las restricciones de Sor Juana, pero tambíen hay mucho progreso y más libertades para las mujeres. Sor Juana Inés de la Cruz ayuda a abrir la brecha para las mujeres para progresar y tener el poder y la importancia en la sociedad hoy. Aunque hay muchas mujeres que son fuertes, respetuosas y poderosas, hay todavía algunos estereotipos de género para ellas en los Estados Unidos hoy. La cultura para las mujeres en Nueva España era muy rígida. En el siglo XVII, las mujeres en Nueva España no tenían sus propias identidades. El estatus de las mujeres era definido por sus esposos, familias o por la comunidad; ellas no eran independientes. También, el catolicismo romano en Nueva España formaba las actitudes sociales sobre el rol de las mujeres: eso enfatizaba que los roles de ellas eran ser madres de la familia con la Virgen María como


modelo. ​Además, el marianismo era un ideal muy común en siglo XVII en Nueva España donde el rol de las mujeres era estar en la familia bajo la autoridad de los hombres. Hay poca educación durante esta época para las mujeres, pero ellas podían estudiar la religión. Muchos individuos creían que las niñas debían educarse lo suficiente para leer la Biblia y los devocionales religiosos. Pero ​no era convencional que las mujeres asistieran a las universidades y aprendieran a escribir. Cuando las niñas tenían acceso a una educación, ellas vivían en los conventos con las monjas, como Sor Juana Inés, donde la educación era significativamente limitada. Además, el convento fue un refugio de aprendizaje para Sor Juana. En su carta, Sor Juana mencionó un poco del sexismo durante el siglo XVII en Nueva Hispana. Por ejemplo, ella escribió que “si Aristóteles hubiera guisado, muchas más hubiera escrito.” En otras palabras, si Aristóteles hizo cosas de mujeres, Sor Juana pudo hacer cosas de hombres. Entonces, si cambiara papeles en sociedad, ella podría aprender más. También, para iluminar más limitaciones para las mujeres, ella comenzó su ensayo con la frase: “Muy ilustre Señora, mi Señora.” Su “señora” fue Sor Filotea de la Cruz, quien en realidad fue un obispo. Ella escondió su identidad y nombre real con un seudónimo, “Sor Filotea,” porque ella no podía escribirle a un hombre que fue de la jerarquía más alta de la iglesia. Además, el pronombre posesivo, “mi,” sugiere que ella estaba en posesión masculina. Eso refleja que ella no tenía el poder para escribirle directamente al obispo. En esa época, Sor Juana necesitaba seguir algunas reglas como su rol de género, pero explicaré las otras maneras en que ella transgredió estos límites. Ella no podía tolerar las restricciones para las mujeres; entonces ella persistió en hacer su propio destino. Romper los estereotipos de género es por qué Sor Juana era una figura inspirada y revolucionaria. De niña, Sor Juana tenía un deseo y una sed para aprender y leer en la biblioteca de su abuelo. Ella sabía que sus estudios eran más importantes que una familia y sus amigos. Cuando era muy joven, Sor Juana Inés se dio cuenta de su deseo de aprender. Desde la niñez, ella tenía mucho talento porque aprendió “leer tan en tan breve tiempo.” Ella hizo los sacrificios y sufrió las consecuencias para seguir aprendiendo durante toda su vida. Además, cuando ella tenía “seis o siete años, ya sabiendo leer y escribir, con todas las habilidades de labores y costuras que deprendan las mujeres, oyó decir que había Universidad y Escuelas en que se estudiaban las ciencias, en Méjico.” Cuando ella creció, puso sus estudios primero y su educación. Entonces,


ella se aisló de la sociedad y entró en el mundo de los libros. Sor Juana Inés quería una vida sin una “ocupación obligatoria que embarazarse la libertad de mi estudio.” Ella decidió que no tendría hijos porque puso su educación primero. Su elección de ir a las escuelas representaba su pasión por el aprendizaje. Así pues, ella “despi[có] el deseo en leer muchos libros varios que tenía [su] abuelo, sin que basten castigos ni reprensiones a estorbarlo.” Entonces, ella rompió las reglas para leer a pesar de los “castigos,” lo que sugiere que ella era valiente y resuelta. Durante toda la carta, Sor Juana Inés muestra su nivel de inteligencia justificando su estudio en las palabras de filósofos y teólogos reconocidos por la Iglesia como “que pudiera decir con mi Padre San Jerónimo (aunque no con su aprovechamiento)”. Ella no sólo quería mostrar sus conocimientos sobre las escrituras y todos los intelectuales de la época, sino que además contra las supuestas causas por las que siendo mujer no podía estudiar. Con estas referencias además muestra su conocimiento del latín. En su respuesta, Sor Juana Inés escribió “​Quid ibi laboris insumpserim, quid sustinuerim difficultatis”​. El latín en esta época era un sinónimo de inteligencia, por eso Sor Juana Inés lo usa tanto en sus cartas, para mostrar su gran formación y conocimiento. Para demostrar más de su dedicación al aprendizaje, se “cortaba el pelo del cuatro o seis dedos, midiendo hasta dónde llegaba antes, imponiéndose ley de que si cuando volviese a crecer hasta allí no sabía tal o tal cosa que se había propuesto aprender en tanto que crecía, se lo había de volver a cortar en pena de la rudeza.” Así, le demuestra su sed de conocimiento a Sor Filotea de la Cruz. Aunque “el pelo crecía aprisa y [ella] aprendía despacio,” ella ilustró su disciplina, dedicación y determinación para aprender más y más en un tiempo fijo. También, el símbolo de su dedicación, cortarse el pelo, era similar a cuando ella se “abstenía de comer queso” porque tenía un gran apetito por el conocimiento y necesitaba la disciplina para controlar su deseo para aprender. Su sed para aprender era inmensa y su coraje para desafiar y romper los estereotipos maternos es por qué Sor Juana Inés de la Cruz era y todavía es revolucionaria. Como mujer, estoy agradecida que otras mujeres y yo tengamos la oportunidad de asistir a la escuela y ser las directoras ejecutivas de las compañías. Las libertades para las mujeres han expandido inmensamente desde del tiempo de Sor Juana de la Cruz. Es verdad que puedo estudiar y leer todo lo que quiero sin las restricciones. También, tengo la oportunidad de participar en los equipos de los deportes como tenis y golf. Sin embargo, hay todavía presiones


sutiles para las mujeres aunque los roles de género para las mujeres han cambiado desde del siglo XVII. Por ejemplo, hay presiones y luchas en relación con los deportes para las mujeres y para mí. Los muchachos tienen expectaciones muy altas para ellas (y para mí). Siento que necesito ser la mejor jugadora para tener respeto de los muchachos. Siento que necesito justificar mis habilidades porque si me equivoco, me van a juzgar mucho los muchachos de mi edad. Todavía, nuestra imagen refleja que nosotras somos muy pequeñas, débiles y pasivas. Pero, eso es incorrecto para la mayoría de las atletas. Generalmente, nosotras somos fuertes, agresivas y trabajadoras. Yo nunca evito un reto, siempre estoy lista para luchar y ganar. No quiero ponerme en un molde de género, quiero sobresalir por mi esfuerzo y determinación. En ​Fiesta, 1980 ​por Junot Díaz, vemos que mami cae en este molde social. Mami hablaba en una voz muy baja y no expresaba sus opiniones muy ruidosamente. Para “oír a mami, había que ahuecar las manos junto a los oídos si se quería entender lo que decía.” Junot representa a mami como un símbolo para las mujeres latinoamericanas que eran tímidas y frágiles. También, como mujer, hay una expectación y presión en la escuela y la universidad en relación con los académicos y ser inteligentes. Siento que necesito justificar mi conocimiento y demostrar que soy digno para tener una imagen acreditada. La frase, “rubia tonta,” refleja los estereotipos para las mujeres en relación con la inteligencia. Es increíble que hoy nosotros todavía pensemos que las mujeres generalmente son tontas y no están determinadas a aprender. Los hombres crearon este estereotipo para establecer su dominio en el mundo de la inteligencia. No soy rubia, pero mi madre es, y ella me dijo que había muchas veces cuando las personas hacían un chiste que ella era una “tonta rubia.” Eso estaba lejos de la verdad. Mi madre es y era una de las mujeres más dedicadas y trabajadoras de su trabajo. En contraste, en ​Fiesta, 1980, ​mami y las otras mujeres latinoamericanas trabajaban mucho en la casa para el resto de la familia como una obligación. Por ejemplo, mami “estaba friendo tostones y el último pastelito” y “al cabo de unas dos horas las mujeres sirvieron la comida y como siempre los únicos que dimos gracias fuimos los pequeños.” Sin embargo, ellas no recibían las gracias o un agradecimiento por sus labores. Además, pienso que nuestra sociedad todavía puede cambiar y mejorar en la manera en que vemos a las mujeres.


En los Estados Unidos, ha habido un gran avance para las mujeres y eso está reflejado hoy más recientemente durante los premios de Golden Globes. Durante los Golden Globes, muchas mujeres ganaron los premios y hablaron de sus opiniones sobre la cultura femenina. Primero, Laura Dern, del programa de televisión, “Big Little Lies,” captó la esencia y la cultura en relación con la expresión. Ella dijo que “many of us were taught not to tattle. It was a culture of silencing and that was normalized.” Fue interesante que ella mencionara implícitamente un poco de la cultura en siglo XVII. Además, ella sugiere que esa cultura del silencio está todavía presente en nuestra sociedad hoy y necesitamos cambiarla. Dern estaba hablando específicamente sobre las mujeres y que sus voces se han perdido. Entonces, Oprah Winfrey recibió el último premio de los Golden Globes. Oprah es un ícono en nuestra sociedad y todo la mira como una mujer fuerte, exitosa y poderosa. ​Cuando ella recibió el premio de Cecil B. DeMille, exclamó que “there are some little girls watching as I become the first black woman to be given this same award.” Eso demuestra que el cambio y progreso desde el siglo XVII. En otras palabras, ella había hecho y reescrito la historia. Oprah dijo que las mujeres estaban reescribiendo la historia juntas. Desafortunadamente, “we live in a culture of broken by brutally powerful men,” Oprah notó. Eso es verdad. Aunque las mujeres se están haciendo más poderosas, los hombres todavía están dominando porque “for too long, women have not been heard or believed if they dare speak the truth to the power of those men. But their time is up. Their time is up.” Oprah comunica que las mujeres de hoy van a cambiar los patrones de la historia. Ahora es el final donde las mujeres permanecen en silencio. Ellas van a expresarse si hay un problema, no van a esconderlo. Este siglo es el siglo para más cambio. Tambíen, Oprah declaró que estaba “especially proud and inspired by all the women who have felt strong enough and empowered enough to speak up and share their personal stories.” Las que están sufriendo deben compartir sus luchas y entonces podemos aprender de ellas para prevenir más en el futuro. Además, Oprah quería que “all the girls watching here, now, to know that a new day is on the horizon!” Las mujeres son nuestros “athletes in the Olympics, and they’re our soldiers in the military.” Ellas son un gran componente de nuestro mundo y han entrado en las esferas dominadas por los hombres. Eso es excepcional.


La fuerza de la sangre​: ¿Era Cervantes protofeminista? Sophie Peretz ’19 La literatura, abarcando todo del amor a la fantasía, es un vehículo fuerte de la resistencia; sin embargo, a diferencia de la resistencia típica que usa la fuerza física, la literatura implementa las palabras. Durante el Siglo XVII, Miguel de Cervantes usó la literatura para exponer la estructura patriarcal y el sexismo de su sociedad. La mayoría de su sociedad veía a las mujeres como personas inferiores de las que podían aprovechar sin repercusiones. No obstante, para combatir estas creencias, en su novela,​ La fuerza de la sangre​, Cervantes retrata a las mujeres en una manera fuerte e independiente otorgándoles el poder que no tenían en su sociedad, lo que implica que él era protofeminista. En un esfuerzo para pintar a Leocadia en una manera poderosa, después de su violación, Cervantes le da el poder de la voz y de la memoria. Cuando Rodolfo viola a Leocadia y ella recupera la consciencia, Leocadia inmediatamente comienza a examinar el dormitorio: “sintió Leocadia que quedaba sola y encerrada; y, levantándose del lecho, anduvo todo el aposento… En un escritorio, que estaba junto a la ventana, vio un crucifijo pequeño, todo de plata, el cual tomó y se le puso en la manga de la ropa, no por devoción ni por hurto, sino llevada de un discreto designio suyo.” Leocadia toma el crucifijo del dormitorio de Rodolfo como la evidencia de la ubicación de su violación. El hecho que ella toma control de esta situación por buscar alguna evidencia prueba que Cervantes quiere que su audiencia la vea como una mujer inteligente que puede pensar rápidamente incluso en un momento de adversidad. Cervantes toma su retrato de ella como una mujer inteligente un paso más allá por incluir otra manera en la cual ella obtiene evidencia de la violación. Cuando ella vuelve a la casa de Rodolfo después del accidente de Luis, ella “finalmente, sacaron a luz la verdad de todas sus sospechas los escalones, que ella había contado cuando la sacaron del aposento tapados los ojos (digo los escalones que había desde allí a la calle, que con advertencia discreta contó). Y, cuando volvió a su casa, dejando a su hijo, los volvió a contar y halló cabal el número.” A pesar de que sus ojos están cubiertos mientras Rodolfo la viola, ella todavía recuerda la ubicación específica de su casa, porque ella ha contado sus pasos. Cervantes muestra que a pesar del intento de la sociedad para retener su poder por literalmente cubrir sus ojos, ella prospera. La decisión de Cervantes de desarrollar a una


personaje femenina poderosa y fuerte sugiere que él es protofeminista y que él ha buscado con su novela criticar el sexismo de su época. Mientras la sociedad de este siglo pintó a las mujeres en una manera débil y inútil, Cervantes contrasta a Leocadia con estas normas y le da el poder para controlar a un hombre. Cuando Leocadia se encuentra con Rodolfo por la segunda vez, ella se siente agobiada por sus sentimientos y se desmaya. En respuesta a esto, Rodolfo se desmaya inmediatamente: “pero el que dio más muestras de sentirlo fue Rodolfo, pues por llegar presto a ella tropezó y cayó dos veces.” La decisión de Cervantes de darle el control de la consciencia de Rodolfo a Leocadia desafía las normas de género de esta sociedad. Mientras Cervantes está en peligro de ser ridiculizado por su sociedad, él continuamente brilla una luz poderosa e independiente en Leocadia, probando que él es protofeminista. Mientras Leocadia tiene el poder de controlar a Rodolfo, en la última instancia, ella tiene la autonomía de guiar su propia vida, también. A pesar de su violación, Leocadia felizmente se casa con Rodolfo. La mayoría de las mujeres en esta sociedad y en nuestra propia sociedad actual está muy afectada por la violación, sin embargo, Leocadia decide empezar una vida y tener hijos con su violador. La novela concluye con una descripción del futuro: “estos dos venturosos desposados, que muchos y felices años gozaron de sí mismos, de sus hijos y de sus nietos, permitido todo por el cielo y por la fuerza de la sangre.” Cervantes podría haber escrito la novela en una multitud de maneras (con la tristeza, con el desengaño), pero decidió terminarla con Leocadia en una nota alta. La violación y el sexismo no tienen la influencia en su vida, lo que le da tremenda fuerza y la misma autonomía que tiene un hombre. La representación audaz de Cervantes de Leocadia sugiere que él es un protofeminista que cree que las mujeres son iguales a los hombres en la inteligencia, la influencia, el autocontrol, y más. El problema de la agresión sexual que ha existido desde el Siglo de Oro existe hoy en gran magnitud. En las noticias políticas recientes, la Dra. Christine Blasey Ford acusó al candidato de la Corte Suprema, el juez Brett Kavanaugh de agredir a ella sexualmente cuando eran adolescentes. Como Leocadia, ella tiene la oportunidad de hablar sobre su experiencia. De hecho, Ford tiene la capacidad de hablar de una manera muy pública, pero los hombres la acallan y reprimen, al igual que Leocadia. Ford recibió amenazas de muerte e inmensos actos de


violencia, ya que los sexistas de todo el país la acusaron de inventar esta violación. En sus opiniones: ¿Cómo podría Kavanaugh, un juez acertado y religioso, violar a una mujer, y si él lo hiciera, por qué debería todavía ser responsable 36 años más tarde? Luego, Kavanaugh fue afirmado ante la Corte Suprema, demostrando que el mismo sexismo que existía durante el Siglo XVII todavía está presente. Depende en la sociedad para determinar quién es culpable, y mientras las mujeres ahora tienen la capacidad de hablar públicamente y defenderse, muchos abogados, jueces, y cuidadosos les culpan a ellas. A pesar de que el hombre es el depredador sexual, estas personas piensan que las mujeres son responsables por las violaciones porque llevan ropa sexy, beben demasiado, y se ponen en la posición de ser abusada sexualmente de otra persona. Esto me lleva a pensar: como una adulta joven que va a la Universidad en un años, ¿tendré los derechos de defenderme legalmente contra el asalto sexual si los necesito?




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