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Sa bine Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa in t Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
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© 2013 Rizzoli International Publications. All Rights Reserved.
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Sa bin e Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa int Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
G a by Agh io n 1961
murs qu’il connaissait bien. Au-dessus de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus - Samsa était représentant de commerce - on voyait accrochée l’image qu’il avait récemment découpée dans un magazine et mise dans un joli cadre doré. Elle représentait une dame munie d’une toque et d’un boa tous les deux en fourrure et qui, assise bien droite, tendait vers le spectateur un lourd manchon de fourrure où tout son avant-bras avait disparu. Le regard de Gregor se tourna ensuite vers la fenêtre, et le temps maussade - on entendait les gouttes de pluie frapper le rebord en zinc - le rendit tout mélancolique. « Et si je redormais un peu et oubliais toutes ces sottises ? » se dit-il ; mais c’était absolument irréalisable, car il avait l’habitude de dormir sur le côté droit et, dans l’état où il était à présent, il était incapable de se mettre dans cette position. En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien. Au-dessus de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus - Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien. Au-dessus de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus - Samsa était représentant de commerce - on voyait accrochée l’image qu’il avait récemment découpée dans un magazine et mise dans un joli cadre doré. e de dormir sur le côté droit et, dans l’état où il était à présent, il était incapable de se mettre dans cette position. En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. « Qu’est-ce qui m’est arrivé ? » pensa-t-il. Ce n’était pas la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. « Qu’est-ce qui m’est arrivé ? » pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien.En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il . la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. « Qu’estce qui m’est arrivé ? » pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connais-
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Sa bine Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa in t Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
Sa bin e Weiss — vogu e france —
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1955
Student of the Vienna Academy of Fine Arts, he then worked at the MGM studio Austrian office and creating propaganda posters for the British army. After the war, he worked as a painter at the Yalta Conference and then came to Paris and mingled with the existentialists. He then moved to Eze. Its charm and the music of Pierre Boulez led him to abandon figurative painting in favour of abstract.
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Sa bin e Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa int Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
Karl L a g e rf e l d 1961
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Sa bine Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa in t Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
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Karl L a g e rf e l d 1961
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Sa bine Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa in t Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
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paraison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien. Au-dessus de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus - Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien. Au-dessus de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus - Samsa était représentant de commerce - on voyait accrochée l’image qu’il avait récemment découpée dans un magazine et mise dans un joli cadre doré. la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. pensa-til. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien.
pour entretenir la flamme et la jeunesse de la marque, Chloé chercha des créateurs talentueux, dont les noms font désormais partie de l’histoire de la mode contemporaine, dès 1965, ce fut Clare Waight Keller pour travailler chez chloé.
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Sa bin e Weiss — vo gu e france —
1955
Student of the Vienna Academy of Fine Arts, he then worked at the MGM studio Austrian office and creating propaganda posters for the British army. After the war, he worked as a painter at the Yalta Conference and then came to Paris and mingled with the existentialists. He then moved to Eze. Its charm and the music of Pierre Boulez led him to abandon figurative painting in favour of abstract.
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Sa bine Weiss — vo gu e france — 1 9 5 5 Jean -lo up Sieff — vo gu e france — 1 9 5 9 Ga by à Sa in t Tro p e z — Pa t ri moi n e C hl oé —
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