ROW nodo
cette emprise partenaire des enfermements, petite possibilité écarlate. Le rubis sur les plumes d’un aigle. Nous nageons par percutions dans les eaux argentées et codées. Dans un lit monstrueux, les scarabés dévorent la chaire de ton pubis depuis le creux de ton épaule. Une promenade fumigène qui encercle ton corps. Plus jamais tes cils ne feront battre mon coeur.
VanitĂŠ. Roulant autour des rayons du soleil, une farandole tourne autour des ampoules. Elle est mauvaise et prie pour que mes griffes embrasse tes seins.
Ces vierges qui récoltent les céréales, celles qui poussent jusqu’aux crètes de la folie. Celles qui, en bachanales, ne savent plus arroser leurs enfants. La peau rieuse, comme les astres qui domine le temps...Chienne qui perd sa virginité sous la brûlure du soleil.
Home again.
Contre ce vent qui met en croix mes sens et l’absolu de mes rêves. Moi et le dehors. Certain qu’il pend entre les étoiles, le sourire de ton sexe.
un couteau posé dans la Terre. Harmonie de la poussière et du grain de la mer. Je pourrais me laisser bercer ici pour toujours. Est-ce ici que nous avions oublié notre anémie?
Le miel sur les genoux du prisonnier ne reviens plus coller les plis de ta jupe entre eux. Il sait que tu n’es plus celle qui part sans revenir. Tu es une savante. Ton visage a trempé les coeurs et les abdomens. Les yeux sur le bout de ta peau viennent nous abandonner ce monde. Nos yeux à nous deviennent des écrans, fous de servir ton monde.
je me retourne et deviens pâle. L’effroi de la hargne, de l’emprise du noeud fait tomber les oiseaux, les uns avec les autres. Le fruit suspendu à mes ailes de mouches ne sont sur le point de fondre entre tes doigts.
Avril est partie. Emmenant avec elle ses elles et son sensuel de poupée. C’est aussi son regard qui me perce au travers de mon miroir. Je ne pense plus. Je ne suis plus capable d’oublier. Qui est l’antidote derrière mon image? J’ai traversé sa hanche sans n’y trouver aucune garde. J’ai éxecuté son paralèlle sans n’y tromper son sacre. J’ai effleuré ses sens sans m’enivrer de son odeur.
Les partenaires les plus audacieux ont couper à travers les veines de ce relief. Ils ont de beaux vêtements, de belles poésies et de nouvelles chansons à jeter à nos fenêtre.
Rogojin