rentrée 2019
Ce qui subsiste après la lecture, c’est l’extraordinaire vitalité des jeunes laisséspour-compte et leur propension à créer, recréer des rituels qui rendent possible une communauté : les rhums arrangés, les bagarres, la console, le tressage, les histoires. C’est le rythme de la langue, des langues croisées, et le mystère de certains paysages. Ça ne devrait pas pouvoir être beau, avec une histoire pareille, et pourtant ça l’est, sans afféterie, sans maquillage. C’est un grand livre. Alice Zeniter
la brune au rouergue