Après la trilogie de Lewis, le nouveau roman écossais de Peter May Dès le 3 septembre 2014 en librairie
Peter may
L’île du serment
Traduit de l’anglais par Jean-René Dastugue
entre l’écosse et le QUÉBEC, le nouveau roman de peter may joue avec le destin
K
irsty Cowell a-t-elle poignardé son mari à mort, cette nuit tourmentée sur Entry Island, à l’extrême-est du Canada ? Tous le croient, tout l’accable et pourtant Sime Mackenzie, le policier chargé de l’interroger, ne peut se résoudre à l’accuser. Mais l’étrange sentiment de familiarité qu’il éprouve à son égard n’est-il pas une arme dangereuse offerte à une femme manipulatrice ? À moins que les rêves étranges qui le ramènent à la vie de son aïeul, émigré des Hébrides en terre de Québec au xixe siècle, ne recèlent une part du mystère ? Comme envoûté, Sime va devoir choisir entre les exigences de l’enquête et son propre destin. Un chemin qui a toutes les chances d’être sans retour… Dans ce nouveau roman, Peter May revient à son Écosse, magnifique et persécutée, dont les paysages semblent inspirer la tragédie. Avec une forte intensité émotionnelle, il tisse une énigme policière qui est aussi une grande histoire d’amour.
3 septembre 2014
le parcours de Peter May
14 x 20,5 - 296 pages env. - 20 € env. ISBN : 978 2 8126 0685 4
Octobre 2014 La trilogie écossaise 26 €
En réimpression
Dans un seul volume Collector, les trois opus de la trilogie de Lewis : L’Île des chasseurs d’oiseaux, L’Homme de Lewis et Le Braconnier du lac perdu. Avec un texte inédit de Peter May sur l’histoire de cette série policière.
L’Écosse de Peter May
©Patrice Normand/Opale
9 782812 606854
Écrivain écossais, Peter May habite depuis une dizaine d’années dans le Lot. Il a d’abord été journaliste avant de devenir l’un des plus brillants et prolifiques scénaristes de la télévision écossaise. Le Rouergue a publié sa série chinoise avant d’éditer la trilogie de Lewis (parue d’abord dans sa traduction française avant d’être publiée, avec un immense succès, en anglais), déjà 160 000 ex. vendus.
Pourquoi ses romans nous fascinent tant ? Parce que les sentiments y sont exacerbés. Est-ce la latitude, la sauvagerie envoûtante de paysages façonnés par les tempêtes, est-ce la cruelle histoire de ses habitants ? Depuis que ses romans ont pris pour cadre l’île de Lewis, Peter May nous a emportés dans un torrent d’émotions et attachés pour longtemps à ses personnages, à son Écosse. Parce que la mémoire y est un horizon obsédant. Après les secrets des expéditions rituelles vers L’Île des chasseurs d’oiseaux, après la mémoire en miettes du vieil Homme de Lewis, après l’adolescence retrouvée du Braconnier du lac perdu, Peter May remonte le temps pour retracer dans L’Île du serment l’émigration forcée des habitants des Hébrides vers le Nouveau Monde. Parce que personne ne nous avait emmenés jusque-là. Après les îles des Hébrides, Peter May nous fait découvrir les singulières îles de la Madeleine, un archipel du golfe du Saint-Laurent.