Diabète

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Dr. Ramón Gelabert

Diabète Prévention et traitements


Il y offre une explication détaillée de la maladie, qui inclut sa définition, les différents types de diabète, les causes, les symptômes, ainsi que certaines complications possibles à court et à long terme.

Table 10

Diabète

Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 Types de diabète . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 Causes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 Symptômes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Analyse du sucre dans l’urine . . . . . . . . . . . . . . . 17 Analyse de l’hémoglobine glycosylée . . . . . . . . . 19 Autoanalyse du sucre dans le sang . . . . . . . . . . . 20 Complications à court terme du diabète . . . . . . . 22 Complications à long terme du diabète . . . . . . . . 23 Diabète pendant la grossesse. . . . . . . . . . . . . . . . 24 Comment prévenir et affronter le DM2 et ses complications . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 Pronostic et complications du diabète . . . . . . . . . 27 Les pieds du diabétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28

Traitements scientifiques et naturels

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Diétothérapie

Alimentation des diabétiques. . . . . . . . . . . . . . . . 33 Pyramide des aliments. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Pyramide ovolactovégétarienne . . . . . . . . . . . . . . 34 Aliments recommandés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 Céréales et tubercules (groupe 1). . . . . . . . . . . 38 Légumes (groupe 2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 Fruits (groupe 3) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 Graisses et huiles (groupe 4) . . . . . . . . . . . . . . 46 Légumes secs (groupe 5) . . . . . . . . . . . . . . . . . 48 Fruits secs et graines (groupe 6) . . . . . . . . . . . . 50 Produits laitiers (groupe 7). . . . . . . . . . . . . . . . 52 Aliments à réduire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 Fromages (groupe 8) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 Œufs (groupe 9). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 Aliments à supprimer. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Suppléments alimentaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 Fibres diététiques et GLP-1 . . . . . . . . . . . . . . . . . 62 Plan de régime . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68 Plan de régime de 2 000 kcal . . . . . . . . . . . . . . . 73 Recettes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88


L’ouvrage du Dr Ramon Gelabert oriente le lecteur au sujet de cette maladie de façon opportune, au travers de conseils clairs, complets et directs.

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Phytothérapie

Modes de préparation des tisanes. . . . . . . . . . . . 107 Tisane hypoglycémiante I . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108 Tisane hypoglycémiante II . . . . . . . . . . . . . . . . . 108 Tisane hypoglycémiante III . . . . . . . . . . . . . . . . 109 Tisane hypoglycémiante IV. . . . . . . . . . . . . . . . . 109 Tisane hypoglycémiante V . . . . . . . . . . . . . . . . . 110 Tisane hypoglycémiante VI . . . . . . . . . . . . . . . . . 110 Tisane hypoglycémiante VII . . . . . . . . . . . . . . . . 111 Tisane hypoglycémiante VIII . . . . . . . . . . . . . . . . 111

Artichaut Cynara scolymus

Physiothérapie

Exercice physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113

Hydrothérapie

Technique hydrothérapique . . . . . . . . . . . . . . . . 117

Médication

Antidiabétiques oraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119 Choix des antidiabétiques oraux en cas de DM2 . . 120 Association de l’insuline et des antidiabétiques oraux 122 Types d’antidiabétiques oraux . . . . . . . . . . . . . . 122 Insuline . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 Critères d’insulinisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 Zones d’injection de l’insuline . . . . . . . . . . . . . . 125 Types d’insuline . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 Instruments pour administrer l’insuline. . . . . . . . 127 Technique de l’injection d’insuline. . . . . . . . . . . 128 Dose d’insuline . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 Protocoles d’insulinothérapie . . . . . . . . . . . . . . . 130 Conservation de l’insuline . . . . . . . . . . . . . . . . . 131

Références bibliographiques . . . . . . . . . . . . . . . 132 Abréviations et symboles utilisés . . . . . . . . . . . . 135 Glossaire des termes médicaux . . . . . . . . . . . . . 136 Index alphabétique général . . . . . . . . . . . . . . . . 139 Maladies et symptômes mentionnés par ordre alphabétique . . . . . . . . . . 142

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L’auteur y donne évidemment aussi d’importantes recommandations sur les soins à apporter aux personnes qui souffrent du diabète.

DIABÈTE. PRÉVENTION ET TRAITEMENTS

AUTO-ANALYSE DU SUCRE SANGUIN ment C’est une analyse qui requiert seule eur piqu auto un x, mieu ou, une lancette o(gluc ue roniq élect reil appa petit et un glude mètre) pour mesurer la quantité en cose dans le sang (on peut l’acheter ENTS ET TRAITEM NiaO TI N spéc s VE ique bout RÉ des pharmacie ou dans DIABÈTE. P sa lisées pour les appareils médicaux). Par peut e étiqu diab le e niqu tech licité simp réaliser cette analyse par lui-même (auto

G P S

her eut déclenc p i u q e c , line trices d’insu : Les un DM1. u pancréas a s é s u a c s r un Dommage t déclenche analyse). n e v u e p • s te aivan 1. Périodicité. Elle dépendra des indic maladies su NTSle diabète. ITEME TRA ET rôle ION cont qui ENT ecin RÉV P méd . du ancréas. IABÈTE Dtions diabète : mation du p r le m a fl in : En règle générale on peut applique te lisée lencréati ouPa le petit déjeuner, le déjeuner 3 ladie généra a m : e u critère suivant : q ti yss ucrtio alternance. seis kde en n dîne ropu deIntrod Fibde 3ue nn ncréas. die , co ala • DM1 : Dans le cas du DM1 le taux e m un t les variaes DM2 te du cas bè le fflaecter le pa dia Dans : a Le DM2 t • n ur tion exa beau po r v é varie u nn peut o tio sang le p en dans m glucose ais il leestsang sont : accumula Mdans x. e iau s or ose to ém gluc a m du s im tion m ps n ero satio tem nt enchéd etom ph,éem soH iloDM1 coup d’un jour à l’autre. La réali er sièdans 3 du cle paler le orps, pouva casph c 1 que le s au forte s s s n moin foi e a ièr d tifier aquan r em de pr meotd‘di e fe lise atiques de l’auto-analyse permet d’abord po i uti cré ssiv e, qu ssair néce cele adoc pas ur patirner n’est il pp Ca s quoi du de pour le e c’est sang, u été ll res Ar e mesu c, c les gre ster s die d’aju cin cette variabilité et », ca ager le gnait la .bandelette et on on impréses versnaly mala à trato-a mm sserd’au ue s (régime ou insuline). betesd’eff erieauta drola pant iq ectu « in cl e nif sig e i Fich n qu li ’, les su ique n ns l’appareil pourncréasla: plaçait thérapeut Da à 3e. d 1 rin faire s d’u suffi antité Ilnd ucnstrices d’ida nes. idien es raqud’en quot ro gra nd fait éli : p e dépe de du pa la mesure. Avec DM1 r de • Âg ine cas en m é dicit ale ux pério les icpa La les médica urgap ureils plus modern uner ir éc, rit déje h les petit le pe 1 ins t c ns ty avan da ine de e n sema e uv o par èt tro ti iab ne l’insu (d la 1 avec b DM nts, on 3du 3A . ndelette da es on doit planceD type de traitement suivi en siècles suiva r la M1 e. ba nanc ce ’à ce que,leau alter qu r en u jus mm leà dîne , e ou co e die h Il uner ns l’a ). c ala déje mpp nt m n da tte en ce c . ép é e linod (voir INSULINE, p. 124) line elle d ne référeenc s avantola cuTech s e.: le syndro - areil leûr napiq an- e im- au2. nfrisqu l’eun niqu : plus grands philosophes et médecin ns rm da o nt h me ro a lle s y p Il : ue • sif n s e habitcole inten tio37), Ponction : des surrénale 3 Proto ra-10 cle, un des s et frotter les doig (9é80 atslt 10% pour- 11• siè Agiter les main lan Ibn•SinA e. 5ie,à c’est s gep cenc letis ycém doles , l’Ouzbèke pogl l’ad’hy an ant lm port su g, -o3ùAn éroïce ou mu sie : La zo inen e nd sh bout le u mo es oùstse vers du C sang le vic r e coule d’A d s faire m rmonne ue pour no fera la o iq le ét glu’h us de ab so res d di mesu ien es sept s rét nn faire po è ch faut c nc rso il de tio x quoi pe on n est frottée dop des yse e- isne n n e ns letsmoù s’effectue habituellns ure phen u dadoig t nndes co ucoem lèb y cé h l’ so t avec u ù d da o te , e prégné ducrotion DM: 1. em galiim ga Diabète. Intro éze cose ision du diabè frentuedejour préc soufchaq ec n-epee d’u l’acun rletav sa pa t tion. , nisan e ponc ne la ro s ). men c tis e ine in n ec princ d s n no éd repa 2 m s ie trois la e pe tiq d une des ue (al de ty non s.de avan co Camain rm ol, o eles iabèt o (L eanu oxygénée…) ce b 2 t(dchac ’h e xcès d Tib al3uDM fi un laver se an : ène -Q e , 19 Hygi Al it un 3 Localisationo:nGédné suline éet).etIl avan affecttel’injec- • journ lape l’in dedé roduudu paux e ral pilie ts: rs le m ndan nve ueents ement on pique ulino éqqu t lece ins an des sfufrtume l’acti on luinstr arati pend à Prép pne • Ce re t s ue aît n chaq nn à co se lable su te o es préa fit r è la p nn uline b pa ard p d’ins rso ia rn rti tion ra o pe - à usagcee, s’ e latd M2l’e. xtrémité (à u d eille. de s inBe Dde Cl s dcle plu sont ifau illes ine mte géné lement des Les l’é ue éreale nnte so 3 Aigu sq qu mptômesiè , uaigu ri -ricô sy% Ce n n . u e es95 es té u r cid de q glu é s s u on fr , repas ;s de 40 ans. 90Là de o gle s e e c s) de l’un des doigt lism plu tigu fabo dans un auéta vent e la qui fait dm ue. t trou s suerse s de de plu ele heElles erc une miction uniq

nt des s reuchne faibless s chac heures aprè 20 trois’apse iers protocoles, la main. es sprde de sun em man pluso l’autôde pétit,topiq pcadr m leon ner Tour orsyati .d bétiquesxde s s d la ueur lab lu ce l’é p à des dia , e u • Ré lie (avec 3sPiqûre : Si on ut se ée a n n journ nn u la te de do ac ée ipau Ch repas princ du type DM2. nte dié ilise simplemetntavec uprof ique, fond tétur e en onde fa s cette, la erirm erlan t à ite de poids… pour etra n une m ueur e nleajust uffrent topiq rtseutici somesu tô e m ur e s p e d p co po an ll e é corp es le e n si m m u rm u sait y on no it le re s piq S b z leu de esurr.unLes cette har à l’endroit oisi.paSis r che ée (3 mmnce e faible va se présente ue io àatcons est ntrcid esnetdeille st ousseser à aller ladésir glu co s ’e de 1 : manière adéquate de on utilise un auto , ce qui nch la gluco xe de on M si doitleples cti D tri • Selise ir res e vo e L r su uent À cette mêmbo indiq re. une évuridentspiqueur, presser le autant e sang pouchiffxres les entai èspo . ebas alim af par : cte iv r fe : Ilpar usse gim 1 rté cha réeplus meesuttron repas) ; analyse d le duss 3 DM tôair pnt faire la piqûre. Comment se appo iqu st ee ce m e lor sy ca g n s une s de e sa haut sé d plus les le vie ur, . la s onde es et prof e an é mm • faibl d sit fe les Ré bé e les cco l’o cr l’inje et lte t s de avan es su du et . ce le her mm sang : 2 fluen nt avan u ho : t de se couc ue, l’in u D3M dte. la ponc de • Chaussettes asbè onde ez s’il époqplus plus bas so t chainsi le -cdia grande prof encte TION Goutte rig fréqu l’op nsur ésacri plus(on res-ine du da de déte d tes : Il est s uline la ngts. Pour que l’ant ceux e ten e pa tion2d’ins m ir 3 DM nt u ro tô d nd p vie ré fil. m ou de na e e lyse n, lain es sy soit correcte . (pour ellem L 3 Tissus : coto u rs it u pour ertention) b ique a se peut h . théra n , es t il . actio fa n e une mm ut fe faut un minimum(sde les yp 3 Bandelettenréact zoxid le type d’apnnttihose diaSelon nts et sogo A l,ive. le liter 3 faci bète uite es re, dia gluc nn clai dudo : né rso rôle pede ut plus fréquesang, ounmem le scont teeesutnsuffi 3 Couleur Le : propra olore il faut tenir ) main ue : afin c e e tiq n n ll e sa e ri nte. banri o la r • Gé é place sp rt a c lo mesu 3 elsl ne sort pas onpareil de siuf ier . so nuit) urs : cyc avantffou de sang, il faut alo pr s.laem pend auant ssedans vs ec lesquS’i bles ssure a de nt esang re re p pauin . repéragles aprè p e u rs en • s areil re o l’app g n te e u delet ’un un a er ys-m su nnel plu entio 3:sIlIm conv nt rejeet d so ocol 3 Prot bète ir leégné ’uriner et serr 18) : dia n pas d . ape du ent les p t v Avec doiv nt . n sang s ene fre ré de e i p : elle u u r impr ir q q u 3 Amples risqu l’avo , p é o le Une ep s fr ycém r. uie. urled’hy tilisé on vnsiraon e mine racte contpogl Quand la fectiancie ait Besoin plu ). in e se piqu es de e ri ibl n pt u u ce plus : ly les ils o m pare s. le ture (p a é t cou avan d ir , desre par jour este :suffisante et avoirmesu antités ans, peut Infection v grandes qu p • Facteurs de risqu r il y a deux e st e c if u n d ina ro Un m : p s surp ! oid a pu se ncréas • L ité et a ion ésent p Att u 3 Ob d ta ê b les e co rp ortrell c uire les cellu di ce de m as se 0% (12 27 à d. ur froi m le rie r pé pou ns su usso C) cha Utiliser des (IM identiétéles, ci al) apoê idéles les poids du urs, iate rad les Eviter ECIN D ur de É gl cte fa M un e N m m U co fié entrent en contact TER qui pour le diabétique. E da NSULren bouillotes…ris COux D des N que dre compte A U DIABÈT se U D mie t peu E R t d’ rrai F cou au F on s s, te U pied jet des su u avec la pea N SeOou frotte. 3 Chez les femmes SI Oserr oùIRcela O nts poi V nché. A clelure S dé e brû êtr R une ut uer U pe voq il pro te O de ue bè P dia le risq L’adaptation à une nouvelle paire par la gestation. lente, pour de chaussures doit être te, • Fréquence : suivants : s e m la tô s importan p de lu % m p 0,2 sy teif cte s frot fe par so le af s Il sure t e : bles n 1 n les steainsi 3 DM àu évit nifeer ma er associé e. Quand se ent d’urin u population mondial q é s, fr id s o t. lu p aly3,6% de •la besoin p men e à une perte de era une an d n a 3 DM2 : Il affecte é m ci e o d ss n a eci fois. iale, il at à la ion • - fatigue es ent !re du diabète le médx de sucre est: population mond Att s symptôm le s ff u u % to 15 so u à u n 10 ta o ’o • utine le teint des chiffres de rtitude qu sesedetraro lyns nsforment en n apied r avoir la ce pas e ngaeo de plus de u n ma . o ion u us nus P lat s no s e pu r n qu po che a ts la mar d en , rps. Mais ns da s alim unco jetre uand Q . Ne s l)deàno oment. ol/ s de san•gLe lule celm xm i les pluse rel au rm sai (6 qu pa ces % né /d 20 s el m se rt g des et co ir o s glu celelule avo m p an ine les 0 65 pisc m ns la 1 à ’i da et r 1 e n tre plag à né l) la À r pé l/ • ut u pe mmo co it • supériecomme14le0glu /dlne(7,,8 gse ml’in ncréas de 80 ans. d le pa . ne probèdute. quanutch ouc ine cao rsàl’aiussu sul ucha de e res de ri de é p san su dia le : • un problème apparaît suline s assez sandales et les chausles erd’in • paÉvit u deux

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DIABÈTE. PRÉVENTION ET TRAITEMENTS

DIABÈTE LORS DE LA GROSSESSE

Pour traiter le diabète, des traitements scientifiques existent, lesquels peuvent être appuyés par des traitements naturels, pour atteindre ainsi de meilleurs résultats.

e et tion et se répète parfois entre la 32 taux IABÈTE.de gluc ose la 34e semaine. Un D PRÉVENTIO NE dl T TRAIT r à 140 mg/ rieu EMENTS sanguin égal ou supé de t men dam (7,8 mmol/l), indépen l’heure du jour et de celle du dernier e repas, est considéré comme un risqu LES PIED nnel. DIABgest de diabète ÈTE. Patio RÉVENTION ET S DES D LesTRpose AIT EM déie et EN d TS gluc de s g 100 d avec e e IABÉTI s diabéti • Surcharg ques son sensible QUES s auxune t spéciale à jeun lé si terminations de la glycémie o m n s e c’est po nt dues à la urqu neuropa troi res et oi ilss do x heu s, s deu aprè sion thie, heure Lé de l’œ ivent êtr iltous les: joelle u e exam rs est a v e stion c u in Lessléson n u és é heures aprè ti sions inge c li la irage ad oculairessadu ntessiau néinte cdieab équalet,seconcentrations élevée siree so ssaèt ence mes tinop p nt u s du gluco e la athie,les chez n ré p réalisée m o les fem iroir ou cataractesuretlole inn, caliglse unegu rtif au unm lou- ce qui affecte les nerfs sens co ÉVENTION ET TRAITEMENTS posi puisqnu’e est e e. destest lliva lé 10 persode O’Su 0% si o nnes itifs d n dont le lle peut atteintes de D même p tine qui se M1nost lèsent par man etite, dicéb%oude et 60 etter at u diag te le c n in ce h te écar e qu lle e ou s r de s r p irme e conf o d’ox D r su pou M2 subiront un ssible am ou r un ulc type èrede nutriments dû à des DES TER depudo tam oc ti être ul o doit ai m M Il n l. re ag nne tro ES au e (v atio ub gest M bo o ète les ÉDICAU ir G laire ut de de diab ans de X, p. 13 on 20 diab déste ète. 6). Logiqu LOSSAIREs. de Le e c jeûn te di un ab aprè in, u èt mat ES e n le emenSy estcolan principalee lésion su mptômes : Pe t, si LES PIEDS DES DIABÉTIQU réaliséchtôt sulter unou ca use, der le rte d’acuité visu ez leres. céscipté ieds, on céci s adul urs, médplus tes xde Deu e e 20 8 à 14 heu té. d c in o Covale à it 74 a30 m an u s. m p 20 lu e à n s cé t lesurs citéssupé % devits e. enrerieu vale lavesuialement aux gi res st ré es ou r es • so : égal es pieds des diabétiques sont spéci nt F ent im ompagn quenceputables à la ré es s’acc nopathie diabét éesrécom 2 à 5% des grossessopat ti- Lésions du hie, tousinme :une •ique ensibles aux lésions dues à la neur , pdo es sont considér Tem vantaf pays nt rein les s Dan l. urs. nne éra es atio gest timlees jo ète tuon diab fe d’un qu re ct ’e inés e lle exam d 40 être e nt à : doive l l’ ils 50 nne • eau : tiè La atio % gest est pourquoi lé ète de S sio diab a s de 5% n é, di v tion lopp du ab dica o déve n neuéttriques. Le di de (37 °C voirres’in te présente un • avec un système sanitaire ph pathie d uat, en e. il you abè- tiq ). ue es a dné ous les jours avec un éclairage adéq risLqu es lésiro ave t ac3tuPelale agre diabétiques se la es e tif mèr o s. m des de es : en sess r t pe gros la des rt p sio ca loue une e us n de vi- suffisanc tites to e prnin 20 fois supé3rie tilisant si nécessaire un miroir ou Fro uches, cipale e réna urttàerce t due, nouveau-né san mor le la lu par te t i sa rm s inen de c’est-à term in n fr la al petit e s tio o e po mêm qu n g tt non diabétique i nécess * ratter ppu er. Glyc e pour localiser une lésion itera lé.sioémie Coun mères non ourlaé- vit dialyse ou mm les ns. chez eegr au r1,5% ort n ef rapp fe e t par ulcèr . e c un Le sur o r s uche u pe le C débo ol/l) p au rs (mm s on e dl 3 se mg/ uisqu’elle peut r ne en : T le s di D • e ab ns an s m atio ète de Cplous s la réptin ongles avec form Temps s :op urtde neatjahimea diab s et20 IRE diabétiques. Le taux de mal anitss d’ dro ét le is *dép év iq s pe ue t une possible amputation (voir GLOSSA utuion: prés n tit , : s u va te L de te a iss nt e -nés a ss ea s solco un certai un G** er les 5 les nou mê oNDD ** sangpui uns ADAux per dro mgr r éde de congénitales chez ueme nt, siveau e v n é m la it d’ iv pa at e ie te rti r té a in e ES TERMES MÉDICAUX, p. 136). Logiq le rie telerébnale u que ure de l’œilde(rlaétpeau rampo à 40% desNepeprsas in prég esta . Tre bète olls-issem (dia ues étiq o diab in . ut d es ) doit e) mèr on (5,78 , on 105 so tr pieds ent nt affectés par neosdat ud • (5,23 95 uir Sécha)ge teeindte on détecte une lésion sur les À jeun s d’ mes a un ’o fem ff 10 les D b il chez % je 5% : é à de 1 s su de 0vite. ts poinM celles qu varie nel) cin r le i au plus on s tu t 3 c un méde un 5) ô onsultertion (10,4 A D té 190 • M v s (10) 2 e 180 d so In ac gest uf e re u la st fre s heu nt 1 n dura nt o ru e ical n d’ méd m se g les. u contrôle ents : rviette : t les laver leur cla 165 Commensous do uce et d 3 Cisea mes ) ns. fem (9,08 les lésio des ir a chez ) y s’il e 10% (8,53 voir int 155 , u e atte c x e qui p coutione,: et 2 heures à pointe tous les jours. • Fréquenc erm s arrond pas bless Pour écar3ter petites touches, c’est-à-dire, ical. Parune méd(37 ies pou rôle: tiède (8) et de mieux °C). 145 sansrecont er. (7,8) de l’eau 140 O r res M heu • Températu 3 M 3 E N L on T l, im nne P atio er. R e de cart gest frott É ète sans V diab de E N icion susp IR E unire T o critè de n A ent A • Savon neutre. . F ellem tt F actu entiR n’y aespas :LE elé app onO! NTER t couper* lesIlongl labo rato ire men Com réal u interauTnivea : ise un test en ensus E cons • Lavage e ouerde S form E s et S droit C coup Les O : s M droit et : ts P Cour ose’ • L ICATIONS e de harg pour éviter les er gluc gratt er sans nal si bien que différentes formes 3 Frott‘surc

C

DM2

natio le bout du doigt. au même niveau que diag ic coexistent. Les plus accepde jetsnost lésions. dé• Ne ja et ose gluc de g 50 pointus ou t sont ceux de : avec e d’ob harg • Surcjamais dépasser les 5 mimais ut pas introduire tés internatio Ne nalemen iliser du O n 3 Temps : ne a e dé sèche e heur montrén qu une es. émie glyc talc : ce des ongl de lallisse contre le ion e iq sur les côtés inat s ricain e term affilé Amé x c e s s iv e la t ciatio men pr Asso : at lui-ci ADA ramo le ** r ue m oi d’ nutes pour évite ns ha m e n t la bi 35 q tu à u de : 60 n) i lliva s % fa de O’Su de de : (test nts v vi s ume stion o e peau, c ca Instr inge sa • ri s son ète. s in de 1,2 se Diab aprè es D év M l’ 2 ite a • . p e Avoir l’a de la peau papp • Inspe ritiar unpour surréduit ses co nee nal régi Données et onitidon dies des arron m tesNDD enNatio mplicatcte pe com ux à poin Grou e léd’ Cisea plet *** toutes les fem3mes iornsle. s pied sioau et équilibré (v ns. 3 GG: raète • Séchage il: est réalisé sur is s se q p oi s u . r o : -Unis ’i D m u États IÉT l oi des r empê OTHÉ y ait ns de 30% du le Diab un er. pas t bless cou- s ayan , p. de32 et de celle cher doucechez s z).ones ettesauf tes, total des calo hémRAPIE servi graisses végé cein 3 Avec une ramollie talens po ries joaur tona carton. 3 de m Lime 3 ly in x e ans, liè sa s, des mieu ! s, 25 de à tu re r et ntio rieu perm ré s. des cCo es. Fibres :Atte , cee qui faible (âge infé leur claire om risqu ouns rillons o 15 g/1 000 kc m pures, der des u des cre . limites, es dur dépassaitalles valeu 3 Céseule Si une céde réales n ! fami• Hydra ntionts vasses. Atte complètes,se non obèses, sans anté la te de vé lors r gé gluco au : ta ce ux éran a 3 intol p • et une Pr rè od fr pas ui t É s ui ts. ts vlaititi le lavag plique ererdnost s’aéc liaux de diabète et n’appartenan il faue et iqué voré e on ap une crè t diag irm sesse gros 3H leés s .pieds uileserai me hyd pcelui s :vé lu progé to s une t ta ayan u le -ci sed ique im s re t ethn ratante ric quat e talc pe ou là du he m grou trois er test 10 msinen acides grergés à un le o ter ù répé • Ne jamais utilis•drait c Cont e surla rô as fr u le c m r o t o le on e n tt po e s oi s t e e ssivemain nsatpur ectu e ceid le plus lanés peau ncs.ieU t la s. ,cie men te. ). es e exce usnepo sèch pension au diabète). Ce test s’eff hecirlit (talon éqtuasét cfa sulin meid eaprè paernl’o nts ad e un trerg Oen ut les e an ism le ns. n ili lésio ae. s de n sa e gest e et la 28e semaine de Le o aritio tio s s d rt l’app p pe n rise o e a favo pl rs qui it ils. En e c us on dré INDICEcoDE e ef ne p s entre la 24 fic s a en ac s e su m de ffet, dan rpoim M ntr e re ha l’i dsen(IM aAS r laCO ireSE êche C la t de emp sucpé ELLE, p. s pour bituellenleiv rieur tt pRP eaOR caen • Inspecter les piedpo ) sdo ids no rèm 25, vo s t rédu u se lirm ir enca- e hyàdra alap(IM te l’ ramo14 le ire C s en le ll o des ur tr p it e llies, ta rt po a 18 ramo s e rition d eils, pid et 25).t faciÊtre physique qu’il y ait des•zone enàtrun parvnte ir uissqpo e lési,5 e ueur m ent actif ramollis ns. cela faen dutousole coup sement s c jo il inutures, hématomes, desm ur it s. es pades e le Pr at r jour : march ique d e r un l’ la a ex p p paritier eau et d cice physique er, courir, nage dessses. on rillons ou des creva artères et du modéroén30 d lésio r, skier, jardin c cœur. Marcher er… C’ees s. le lavag t lancl s us à un rythme m par joeuronprapé • Hydrater : aprèpl de la sa nt év é od ie éré ou intens sur- nt le DM2.3 Pour men hydr 10e m e 30 minutes inutatan plique une crèm es àteun rythm er à bien cet ou e exercice on pe modéré ou in (talon leciplus e in frott s pr tense immédia ut marcher tout là où cela pa paux de la journée. tement après • N e chacun des re pa s te). fu plan et m s er ergé . imm s pied les • Éviter d’avoir • Nemett tuellepasrecohabi nsom On ne doit pas er séch m et er tes minu d’ 10 al de cool. plus • Éveite r leatan hydr strete ment de la crèm ss.entre Pratiquer des consciencieusement les espaces exercices de re le ite facil cela les orteils, puisque laxation si né cessaire. entre les orteils. En effet, dans le cas donc et peau la de t men llisse ramo faciet llit ramo se contraire la peau l’apparition de lésions. lite l’apparition de lésions.

28

26


DIABÈTE. PRÉVENTION ET TRAITEMENTS

Diétothérapie

L’alimentation est très importante pour prévenir et contrôler le diabète. La pyramide alimentaire nous aide à comprendre quels types de produits doivent être consommés en priorité.

Légumes (groupe 2)

Les légumes (voir PYRAMIDE

DES ALIMENTS

elle , lep. 35) die pour laqu une mala ÉTARIEN OVOLACTOVÉG diabète RÉGIME UNest e POUR du laire angu e pierr la est e régim du rôledes sources riches en vitamines, minéraux cont sont nche décle le et t, au point que la cause traitemen et fibres. ispréd par sauf 2), type de ment du DM2 (diabète peuvent au • Bienfaits : Les diabétiquesent position familiale, sont dus fondamentalem t ont emen Ils légumes. de intim sortes toutes qui se trouvent et à l’obésité, surpoids prendre enta(alim s recte incor et es calories en et ntairen graisses teneur un faible udes alime liés aux habit s) striel S indu T nts N alime et E ses M grais s, E en sucre AIT des fibres solubles et insotion richecontiennent N ET TR rcice physique. manque et aussi au es (glucides compolysaccharid desd’exe lubles, ibrée permet un ntation saine et équil alime Une de cas en surtout ) idéals plexes, 1 e du poids des in,diabète), Is (group contrôle adéquat du taux de glucose sangudes composés et minéraux des ubercule rcules (voir PYRAM stévitamines, chole de corporel, de la pression artérielle, du taux be TO te. des s et les tu R ÉG IM E OVOLAC diabè ent au (particulièrem liés ues tous phytochimiq rol et de triglycérides sanguins… UR UN bondante er a mang à pas NTS PO s ste consi ne lu s radicaux les tique p neutralisant antioxydants e des diabé Le régim e ont la à suivre ous form ni s s tique p. 35) s diabé s pour » e s tique id diété « nts oxydantes, c des alimelibres qui sont des substances e glu menion doit inclure entaire d t de base de l’ali nt liqués. L’alimentat es comp des régim pour l’ornt nocives potentielleme a n donc s sa o o p m o lète, agréable c comp comp Traiteme être , s ents, e variété d’alim une grand nts scien n fibre e s e ganisme). h c f. tifiques e n. ti chacu s de ins e beso ig aux ont ri pter d s’ada et s s palai au u s t s e n c o ro journalier Apport • princ diabétique:s 5 à pour erecommandé e plètes s d régim d’un t m base n de pour le p o ipes e c Les s e un alim ialecéréale sont es touteactiés à une s mêm Les légumes sont des aliments bénéfiques ayant mand le rég im adulte pour te c recom rations, rations 10 sont éun qui plèles es : Les fait s sp sont com plu s en es pour amidon é le is a a d n ré m nt ntation saine. Le rea é c s, tealime m in s ili tous, car ils sont riches en vitamines, a e pour c m L n m fa o u e une c s e minimum h Le suivr e s modérée. lle re physique désir s vité e s YR ur lenne qui AM e es, car e iennent et poperso nt rich u m q ta s se ti É li a idéals IDEetDsurtout é b . o : b et fibres, s nts minéraux b ia suiva e tifs et le maximum les5objec ré tev ade diabè de cas ES AilsLIsont lus pest le méta rations 11 P régim our lees den ie abétiqu p commandé t p O p . n n t g e e ra n U n t e it é . e sa il R e m th c e M n l’ail, le tN to particulièremen fa lin U li s iser diabétiques, les pour E favor ié n s u su N a s pour e D n el d ll tionn l’i . in nutri e TS RÉGIME e ls équil un coseibre Cependant, rer d e l’ ibres possible estadole e glu rations. l’action d Assu et nature ts etildes ux d10 mela carotte… tade es des l’oignon, O l’ a c ti o n cresson, le st u l’artichaut, le e q t V t fi e 4 n ti enfan O 0 s n le ale ô e L 0 norm ie sance tr 2 c A crois n s une n o C c e lu c id ts T n e e O é iaVÉGÉTA qu’on puisse un jour prendre moins item qui réduisent le sucre du sang. e publi Tra ue les d cents. R une étud bservé q e n t d e s o a faudrait ne il mais d’un rations, 5 s de n limite les o dans , orel g e corp s s t n poid le e is a tenir u Main s m S le a en qui le cérépour e etable donn âge rations, un 10 les ty p e 2 n:s ddépasser accep r contrô ou t qu’ié.l nau tionpas norm ra poids in diseal (avinanles io t t q u e s d e ont un meilleu as et à s r a e v o il plus it t m . de U à des am p le fu ese qsangu rsmaximum12 es 3 nir er gluco usiell’activité est inprendreParve vicoensvtaux oem tes douc guin après les re et C su mportale émie oglyc n’inorm rculees (norm e s e la n b é de d a bles u s tu possi ve)rtoù: n iq proch e e exemple, Par o tense. d itjour s d atiûrisse). les et tubiterd- etaux frule gluco 12 ent in é : 6 à ne rm o- ût m U (hyp e : r du a s a è é chute s les r t li tr n autan é u x Groupe 9 nd tio pour éviter eainsi tic . n gode u dee gluplus bleau LÉGUMES : COMPOSITION PAR RATION defsrcaon cideles, de ae)ubruis15oprend g teFrm jus rations rueits pnaarlier rbeècteomma t une acti- • Ra ent du grouupque g cémi s ergly (hyp ses Œufs (0 à 1 ). e Ju haus ses n m ul o e mie) r ia m s ir n glycé m ir u d a v o li o y n n a jo e C a COMESTIBLE (v e PORTION DE ’u G d t ration) 100 t . s POUR e ET r d r e tubers e de lt dein céréales, l u fruits, e ppo an ca our un adu té a 80 kca 55etg3/jo imum re rEoRb-uopire 7s adéquag de poron peuTtUGle pelles les tales. in , u s m c B n e o s ration L qu’une ti compte se en , . prendre a T doit On r is r E e habit légumes de s (ex- qui ou Aire modéré:e plusecs, ntaire gra lestrmauv um m alime LE S udes aises ès acules g deifier rdeUuRla É R ÉA u nfaits ons et le msax: im aEnTPièProO 1 à 3Mod its de m leau CC laitresta laIOfibre tAles tabse, iers us ti miante ssible de N té physi3qBie ’e de légumes est environ de 100 g (voir tale ra abus s, contiennent légumes T s 6 de comme . u que e R man p o d u grais R é est lycé st po ci-desscès de POScIToION PA doser. (0 à 3 eratio rop p ns a ) e s oton is è mon ommand u HCyeppoegndant,eilx-e a M ). régim tr le m il fau-es bleau LÉGUMES : MESURE PAR RATION, p. 41). G u : COune proportion n rapid TIBLEfood, de forte Er Sfast sosnont M ns. te peoou CULES ratio tiglucides, des sde 6 rations, xilede:raIlseule e r étu ION CO omm u n cert T t Fromune amin • Échange de rations : Par exemple, men R ’u a it e 12 ratio Duers m in u O v n a o ation P q ages (0 s cons itfait de rations une avecprendre de légumes frduG umoins jo nt- de s, au m s 0 G DEdrait e n 0 le te n to d o r te 1 c u ta ti p s o la n p ra lus re m o e Ju p p r d v o 2 o a m c o 1 . n u ri r e ir ls e . p se é e ents) ’i n pren e , n id p d’alim u ss x te 5 types a te m q u tains cpeyra ration de tomate (1 tasse = 100 g = 3,5 in- éra pas dép ontr on On doitet vice nt e est in scepttaerLé sgels(1m prniésversa. gu)vmir l ne faut l’d oût exétimvité pehysiqu- l’on mange eetosndsee3css0(0 n gquel u réales da Bti:6eUne c n é a C ir c e o à t ,5 e v 3 e m si n onces) peut s’échanger contre une ration d ra o (3 ù ’a n’importe de s 4 tio ration o n • Rations co, n (A mum 1 sasn1ts00etgd ERns- ) qpulee, lalecojour elluem de fruits tarienne eîcrchuisle é b s, a m g s e tu é fr e v x onces) B e ra e U d g d’oignons (1 tasse = 100 g =F3,5 ir e T kcal r 25 a tr groupe des légumes ondu aliment Pa d’a ruits se e lé ET ti’ê e cs et grai m raatitioonns et une rad bleau CÉ R ÉALE S ui comm ) q e c s, c = tasse (1 se plus de concombres de . ration ). une ou s e ela et(venviron oir qtauis 5 gATde p. 39 0 g de graisses cules in guum , r lé e Nglucides, ) im s b e d IO e d tu c n u R e s o o d R le PA n t o e E tomates, ti les R que Bien s ra onces). U 100 g = 3,5 anletr 17 po Set -: M2ESg de protéines (voir ci-dessous le taU LbEé les ccoénrcée t unnselefosartneg.pro it ie dCia nda a ath e r n d n u s p e o o fa ti c n n il éti Groupe 3 coglu luciddees, la r elle (anou qui N nrédveengtion IffO s de l’air ns le Graisses e e diabète nsome T tiuoP d ïd Fr A t o u n R it n s s( re o (5 5 R v t àP8A raetio nt da es fla de la co e nsq)ui sou nt proCOMPOSI L N t v : s fi u O I o e n RATION PAR n fTION tr T u e I q ÉGUMES so e S r n s ti e E ro i . O p is u re a P s lle ti q v e E r re ) L ts M L uffri natu sides n so es peCtiO d'eIB formeG tT é EdS fr uits MueEnS ilitL thocyano nB r CO COMESTIBLE agU risq frC iteN POUR s jus dePORTION ET sous leurtio vO R la leDE s ’é E t e it d u u I n e t q fr T U n is e e e R u u T diad tt d le iq ra O e n e b d T r ré d o ti P in a ti s E r rm it a p e ri e u E te S ff m m n p 18 fr u D e o E e t c c c so e L r n ré G e a 19 A io e d s p d par ration tus de g de portion comestible pourls100 guin ÉRÉ sque ure100 g de port fet unrceuéle sanR bétipq nter le ri5 gs de fr uits nature our ia e u d o e m la g b u e EseTauPxOU a ie tu d t p n ts le1s ju opath 5g peuven g pourquoiglucides 0,8-8 g génératioales es alimen la rétin g utr s le sang proés)*d'a 1è5te-2, c5'est sent la ré tincéeré gn(1 ri a o p b v . -3 m fa 1 o n c a s c d ré 65-85 gMacronutrim 0g 0-1 g qu’elle t êgtre a nents ie-1 celodérée. x de sucre ire sde la ugraisses vra 0,5 asculacid sse du ta fr3uitgs reste très m entrati-4on e u c a n h o la c g couche v glu e la 1,5 g qu 2 g de 0,2-3 g de 0,1 ar le jus protéines entatioranissese C. 80 kcal voquée p u Augm g 3 g de

L

P

• •

32

40

:

100

C

L

: 100

ais, kcal s frÉnergie ts (kcal) e vitamines g de fru6it-1 90-120 réales utrimelunlaire d protéàin3 0 on de cé caol u k 0 e r 5 0 c -3 u 2 s par rati réales et tus 0 : 5 se s 2 n is n a ra io s g t tilisa fiture n de cé tenu en

Macron

25 kcal

10-30 kcal

3U

o n n s par rati ul du co ou de co r le calc e graisse u d o g p 1 sé e en utili tia-d).ir É Cr’eastn-à l dheiffrjuesm. oyonodmesoré rdgicimaecs.ha nu aussi 8 )0estmle c (1 ti e ra (M fr o if b e n la u * Le ch sd pical, co ose ou manosrl’déiq uleo et subtro et tuberc M arg l a m ic e p d o tr s. om L’élabora bercule Fruit sous le n mer. Il est très tion des g roupes d a g étique éq n t s lo -E e ’aliments d m u uivalent S le ay s

cal)ompote nergie (k c

Céréales e

t tubercule

Groupe 1

s (6 à12 ratio

ns)


s e

(carottes, betterave)… 3 Les fibres insolubles contiennent habituellement les com posants suivants : cellulose, hém icellulose et lignine qui se trouven t dans tous les aliments d’origine vég étale. u Sources aliment aires : Les sources princiET TRAITEMENTS pales sont le son DIABÈTE. PRÉVENTION des graines de céréales , les fruits à coquilles comestibles et les graines (pépins). Par exemple, s (groupe 6) 30 g de son Fruits secs et graine aines (voir PYRAMIde blé contiennent 12 g de fibr es. gr DuIABÈTE . PRÉVENTION ET TRAITEMENTS Effets secondaires de Les fruits secs et les TOla consomRÉGI ME OVOLAC UN UR PO mation de fibres insolub TS les : DE DE S ALIM EN aisses - perte excessive de vita ) apportent des gr mines et GÉTARI EN, p. 35 VÉ es et des de minéraux par consom mation 4) otéines, des vitamin pr s de , Graisses et huiles (groupe les ta gé vé de son en excès (plu s 50 Les graisses insaturéesde(monoinsaturées g/jour). inéraux. met - crampes abdom inales, Bienfaits : polyinsaturées, voir tableau G RAISSES : MESURE troubles leur importante te légers, diarrhées et gaz : pou r éviFruits secs : Pour 3 PARter RATION , p. 47) sont indispensables à la nuen B, pe ces légers troubles, la con du gr ou somne ur en vi ta m in es trition humaine. Cependant, mation de fibres inso lubles doit on conseille de en calcium et en , m siu magné être augla meconsommation ntée graduellement. de graisses satu- zinc, en forteréduire lyinsaturés ils sont

57

63

gras po

rées, ce qui est expliqué dans le paragraphe acides s au x di ab ét iq ue s en t re co m m an dé m p. 61). AUTRES ALIMENTS À RÉDUIRE (p. 58). ALIM ENTAIR ES, (voir S UPPLÉM ENTS as insaturés, Bienfaits : Les huiles de graines (tourne: Riches en acides gr es in 27 ra G 3 sol,23 pépins de raisin), de maïs et d’olive arition du DM2. ils préviennent l’app à riches en acides gras insaturés préviennent pport journalier recommandé : 0 A ac • adulte ayant une l’apparition du DM2.24 Une consommation 3 rations, pour un pas némodérée de ces huiles permet un meilleur tivité physique modérée. Il n’est its se cs et contrôle du taux de glucose dans le sang cessaire de consommer des fru fférence di la à jours, chez les diabétiques.25 des graines tous les es, fruits

rcules, légum des céréales et tube nseillé de ne pas dé et graisses. Il est co té ivi ct l’a si aximum 4 passer 3 rations, m ure, dans la même jo ns physique est inte né e. n de n’importe Rations : Une ratio oupe des fruits quel aliment du gr viron 90 à secs et graines a en t environ 110 kcal et contien es, 8 à 1 à 2,5 g de glucid g de 2 à 3 et Notre organisme d’huiles de aisses et 10 g deagrbesoin graisses, mais celles-ci doivent provenir des végétaux et non des animaux, c’est pourquoi nous recommandons dans ce GUIDE PRATIQUE DE LA SANTÉ les graisses des fruits AINES GRgraines. SECSet ET secs, d’autres ITS d’olive RUl’huile

Prévention du DM2 : u LaFre RU - IT lea tab le us sso cherche su r protéines (voir ci-de de s N TIO RA R urON is dePA : COMPOSsoITI laboraSECS ET GRAINES ). E IBL toire mME ontrST e que DE PORTION CO ET POUR 100 G les cellules bêta du pancréas , productrices d’ insuline, produisent non seulem ent plus d’insuline, comme le fo nt beaucoup d’antid iabétiques or aux, mais aussi empêch ent que beau coup de cellules bêta meurent40 et au tent le déve entio r ra - n pagm lotib pple ement de no on comes verti ulles cellules pour 100 g de po *g (2) bêta.41 De pl 1-2,5 us, dans 34e gétude sur de 6-un s cellules du 10 (9)* g glucides 8- pancréas humai n, le GLP-1 a g 2-dé67 retardé les 7. Cependant, il est grpossible que l’on gâ ts causés aisses 2-3 (2,5)* g ents gas et a par le diabète au pa29 acronutri ncré Mprenne 4unmjour moins deot4éirations, mais on allongé la vi nes e de pr -11s 0ce(100)** k 90 lules bêtaal 675 kc . Ce qui donne à pe lne devrait pas dépasser les 7 rations, au 170nser aux experts que cela peut l de la ouvrir le teneur calcu ergie (kcal)8 si l’activité physique est intense. maximum le Én ur chem po és in lis uti à moyens une po ible guérs régimes, c’est 2,5) sont les chiffres DM2. ns l’élabss oration de ison du parenthèses (2, 9 et secs da es um lég de • ion * Les chiffres entre rat Apport jour de fruits secs et graines. r pa s ne téi pro en na es et nesgpar ration lier recomman de u1 glucides, en graiss dé iffr: e25mo et 2,5 g de protéi35 de fibes à yen ra le ch pre es, 9 g de graisses im res,ondo ntnd rég s au de n tio ora dire, 2 g de glucid lab m oins 7 g de fib dans l'é res la quantité de kcal solubles et 28 ** Pour le calcul de ines. gra et s g sec its fru de fibres kcal par ration de insolubles. Cett e quantité s’o btient en consomm ant par 100 g de portion comestible par ration exemple : 3 5 fruits pa r jour, une as 0-6 g 0g siette de sala de fraîche, 3 tranches de pain complet 10-100 g 5g et une assie tte de lentilles, ou 0-20 g 0g 3 2 cuillères à soupe de son de blé (fibres insolu 64-900 kcal 45 kcal bles), une ta sse de fèves et 2 orange s (fibres solu bles et insolubles). • Sources al imentaires et types de fibre 3 Les fibres s: solubles sont formées des composants su ivants : inulin e, gommes

F

50 •

Apport journalier recommandé : 4 à 7 rations, pour un adulte ayant une activité physique modérée. Le minimum recommandé est de 4 rations et le maximum de

ET POUR

glucides Macronutriments

graisses protéines

Énergie (kcal)

RATION

R : COMPOSITION PA TIBLE OMES

100 G DE PORTION C

GRAISSES ET HUILES : COMPOSITION PAR RATION ET POUR 100 G DE PORTION COMESTIBLE pour

s les graines sont trè Les fruits secs et nis rga l’o à nt rte appo agréables à manger et pros de x, rau né mi s de me des vitamines, s , du calcium et en plu téines, du magnésium olestérol ce qui est ch ils réduisent le taux de pour les diabétiques. d’un grand bénéfice u


De plus, l’ouvrage inclut un intéressant plan de régime et des recettes attractives pour introduire des changements dans notre alimentation. DIABÈTE. PRÉVENTION ET

TRAITEMENTS

RÉGIME DE 2 000 KCAL DIMANCHE 1

er

JOUR (1 995 KCAL)

PETIT DÉJEUNER

MENTS

. PRÉVENTION ET TRAITE

Groupe d’aliments

Quantité

Aliment 88) E céréales et tubercules crêpes (voir recette, p.LA E RÉGIM D N 2 rations (2 tortillas = 60 g) 9) 88-8 p. légumes te, recet (voir blé de 1 tortilla de maïs ou ⁄4 ration (20 g) e légumes gi er én oignon d’ 1 ⁄2 tasse = 125 g) 1. Quantité 1 ration ( ur légumes jo r pa 1 sauce tomate er m g) 1 e = 50 nsom co à ⁄2 ration ( ⁄2 tassre us no e qu légumes liè urna courgette 1 ration ( ⁄2 tasse = 50 g) quantité d’énergie1⁄2jo La idd ages l’a from de lte vert poivron g) elle ré1 su 1 ⁄2 rations (1 ⁄2 tranche = 45 nts nsons est variable1et et huiles sses grai rta po im Gruyère dépe s, les ur te c. = 5 ml) te petius (1pl fac n s ratio nt 1 re ffé di de huile d’olivetion ctivité phystature, le poids et l’a e, sel étant l’âge, la ysique est important fruits pêc.hePlus l’activité ph 1 deue ré alg g) yaourt + confituresiq m 30 c. = rgie, n (2ne ⁄5 ratiod’é on ati m om 89) p. laitiers ns te, uits co recet prod (voir de e a sucr confiture de pêche sans plus il y ang)ce en (3⁄4 tass ratiopln us one =av125 1s, an 40 s rè mé ap écré e, urt yao le fait qu rgie. e d’éne céréales et tubercules g) ples 75 lait de soja+ flocons mïsoins on consomm e, ma tassse = âgde ns (3⁄5ue 21⁄2 ratio em ex elq qu e légumes secs er ml) gie flocons de maïs sans sucr e = 300 Nous allons donn11⁄4 ration (11⁄4 tass er én d’ é tit an qu Total petit déjeuner lait de soja de calculs de la

Énergie 400

P

107

325

832 kcal

indicatifs ective er dans une persp Traitements sc (kcal) à consomm ites ientifiques et na ids, ceci dans des lim turels. Diétothé de maintien du po ra ME GI RÉ DE N LA P us sso de cir oi INÉE* AT raisonnables (v M RE DE LIÈ U NA IE IL UR M JO NTION EN TIO LA OL NS OM CMA SE LO N LA CO dsA, BLEA est en surpoiT ue iq ét UX RÉCAPIT ab di le ULATIFS D’ÉN ERGI E). Si é tit an D qu E e L un ’ A ec av L e IM gim E ré N TA TION QUOTID il devra suivre un it ra se i qu IENNE DES D rieure à celle IABÉTIQUES de kilocalories infé Ces tablso et au s, id po n ea r ux ni te pe uv ain m en ur t se po rv ir ire au ssa diabétiquelim néce rgie (voir tatbltro ent maigre, elle Gro urs contrôÉne eaup1) d’a po e es Qu ler son alimenta enét être upe si la personn antité. Ils peuvtit ire ra tion quotidienn ph nt s’i ot co l oc nm op me an an ié ou ge qu s et portés 90 dehors de la m e ande il physique dans le sac ou Aliment e plus gren mer un aison etfruitais nsi il om Selon l’âge et le trava ns co le portefeuille m ne a an d’u vr ml) ge in de 180 , so à r = nas e ch be ait ana tass a , ⁄ pe aq dr ( aye n on ut ue on pap ratio lit, e, sp sa 1,5 jo mp ngu rre vo ur ma co co ir de ac i (v e) n co oi qu ulp l’o r m tablea bien de ration celle tal que batido (jus+prgie, s que au nombre de ratio diabétique coch60 il peut de kilp.oc itéaq u 2). Le e quantité d’éneane 91) alorie tivch nnsacde era une case co s et so3-4 id etpetubercules bande ,laorange (voir recette, po plus ou moins grand ales n ue céré so , gr re te ne ou ts) tu rrespondant peti mp r sta co et sa ou ir d’ ai ds e, al ten ns gran âg im t (2 i n n fau co en il so ratio ⁄ i nt ts uo rô de ler l’apport d’én façon à pouvoi c’est pourq n de blé complet l’ouits ergie et l’inngestio 150 r les additionl localories) quebisc n de mkca physique. Total collatio quantité d’énergie (ki acro . 3

3

nutriments.

strait du petit déjeuner. de matinée : elle se sou Groupes * Collation en milieu ÉNERGIE

Groupes d’aliments

les céréales et tubercu légumes fruits graisses et huiles

légumes secs es fruits secs et grain produits laitiers

1 600 kcal/jour s, enfants de 4-8 an es ult femmes, ad d’âge avancé

5-10 4-8 4-6 4-6 0-3 0-3 0-2 0-2 0-1

Dts’ limen NALIÈd’aRE JOUR 1. céré

Nombre de ra nsccola nsommées* ave » tio 1 « 2 ba 3 tid les 4 os re 5 6 7 8 nd ale pre snd et é de tu be rcu 9 10 11 12 ma les om (6-12) ast Il est rec en nti total co g 0 2. légumes (5al/jo kclpe e )mangue d’environ 30 2 200pu fruits. Un10 sfru de3.ur est ne na ba La e. rné (5-8) s,itsam te laurjou tou 12 anvit al/jo po0urkc de 8ine A 2 80 enfants sez B. de pro 4. graisses et huile et, vitamines du groupe s, nts um s te (4ési sce en gn 7) ole sc ma ad ole m, ad riche en tasessiuse poum 5. lég cs (0-3) es, hommes actifs femmes activ 6. fruits secs et graines (0-3) es air nt de sé es mm 7. ho produits laitie rs (0-3) tifs acma ou modéréme8.ntfro ges (0-2) 9. rationsœufs (0-1)

NSOMMATION GIME SELON LA CO

fromages œufs

4

TABLEAU 1

r de son alimentation doit tirer chaque jou

PLAN DE 74RÉ

4

kcal/ ration 80

Total énergie groupe d’alimen ts**

25 60 45 100 100

VALEUR NUTRITIV95E

l 0 7-14 % kca10 kcal Grammes 100 s ent Tota1l én nutrim croue * Ma 220ergie/jour (kc61% Chaq ration consom6-12 al)*** mée est cochée305 5-10 négluc -65%) (45 23% idesad e on da ns 468 le ditionne toutes groupe d’alimen 9 52 5les ts corresp rations consom %) -35 ondant et à la Tosses 16% tal (20 5-8** Legrai éner mées de chaq gie/groupe d’ali 307 fin de la jourue 77 d’alim m% ents. ensts(10 %)chiffre 5-8 ments s’obtient en multiplia 995 groupe d’ali pa-20 100 r éine le prot nt 1 corresponTota le no 4-7 60 = 300 kc ur m l/jo br e de rations de dantl kca à l’énerg al.

6-12

**

0-3*

0-3

ie (kcal/ration) chaque groupe 0-4 . Exemple pour Le Total énergie/ 5 rations de fru jour (kcal) s’obti it : 5 x en t en d’aliments. ad ditionnant tous 0-4 les chiffres trouv és dans le Total énergie/groupe 0-4

T0-A3 BLEAU 2 0-2

0-1

Groupes d’aliments

0-3 0-1 énergie

ration macronutrimen ts

Nombre de ra

tions


Phytothérapie

Les tisanes sont ainsi un excellent moyen pour réduire les taux de sucre dans le sang. L’auteur offre ici une variété de tisanes et la façon de les préparer.

dans les tisanes présentées dans ce GUIDE PRAe si,des par exemple, on enir prév ou r guéri pour usage des plantesaugmente exagérément la qua est s dies grave ntité des plantes e des mêm troubles légers et(plu s du doumala ble de la dose indde le mon iquée), on court dans répan le elle risque une pratique traditionn de due diminuer tellem ent le sucre dans dernières ces t, ndan Cepe . le sang que l’on peut pro entier depuis l’antiquité voq uer x occasionnele, de prestigieu mace pharent nnies, l’industrie lem uneutiqu légère hypoglycéanimie DIABÈTE. PRÉVENTIONdéce ET TRAITEMENTS non souhail’Org e biom le. édicale et mêm centres de recherchetab de ti inves ont S) (OM sation mondiale de la santé et économiques, aines hum Mo,des nombreuses ressources de préparation des tisanes des propriétés rche reche la et te uver Tisane hypoglycémiante déco la Les dans tisanes, préparées en infu I - sion ou en beau de aussi et es plant elles déc oct thérapeutiques de nouv Indications : diabètes de ire types 1 et 2. ion, perme tten t d’e xtra les principes leurs pour ues conn nt lleme ionne ifs des plantes en coup de celles traditact Composition : les dissolvant dans l’eau. 56 .Inf vertus thérapeutiques usion : c’est une manière •Plante douce d’obnt releme amp est les Partie utilisée Quantité teniricina L’usage des plantes méd une tisane à partir des le div erses parpour ce effica très ode méth Eucalyptus feuilles 10 g (2,5 c. à s.*) ties des plantes, comme connu comme une (hy-feuilles, les dans le sang les sucre deles élevé globulus fleus rs, contrôle des taux Eucalyptus sommités (partieles cas aériennes des dans e mêm ; s diabé lespla perglycémie) chez Konjak ntetique s, qui sont habitue rhizome 10 g (2 c. à s.*) llem esent les raétiqu idiab d’ant ou uline d’ins meaux supérie où l’administration Amorphophallus konjak urs ave c ou san s les fleu rs ou es médicina e des l’usag bouton oraux est requise,Myrtille s florplant aux), les perm feuilles 10 g (5 c. à s.*) s ten dres… et de ce qui tige mie, glycé de Lelapro améliore le niveauVaccinium Les plantes médicinales, join céd é est le suivant : et myrtillus tes au traitement uline d’ins s dose les e icativ diététique du diabète , peu 1. La plante est placée dan réduire de façon signif vent réduire la s un réc ipie nt con Décoction : 2 cuillères à soupe (20 g) pour 200 ml som mat ents. ion médicamenteuse et même avec un couvercle fermant de médicam la cor rec le et tem t rem men ent plac traite . le er dan dansbouillir ces s certains cas. Grâce aux tisan effica Faire pendant 5 minutes. Ajouter ensuite Idéale Les plantes les plusd’eau. me nt, une théière es, . on peu s t extr celle e aire comm une elles gran tionn de quantité de prin2.D contrôle du diabète, etradi l’eau cha 1les cuillère à soupe de de bière (Saccharomyces ude sont cipes actifs sanscereverlevure sée sur changer leur s propriétés tou n- la plante prése ment,est tesst récem t (c’e qui ont été découver en mai qu’on app nten )cefraîche (5 g) ou une petite cuillère de levure de vesiae) ant leur structure chimique. elle « infuser ex- »). L’eau LA SANTÉ, où sont DE QUE PRATI UIDE G ce dans doi tées t être légè(5 remg). ent au-uates Eucalyptus bière sèche dessou s du point , la adéq plantes Le reste du liquide se con de n. sons binaid’é bullitio serve dans un Eucalyptus globulus posées les com Quantité la : 3 tasses par jour à prendre une demi-heure et on mais la à arer end prép les roit de frais pour les fois suivantes. manière pratique 3.Ensuite le récipient est cou ver t et lais sé repas à chaque dée. principaux. Boire abondamment En pri nci man recom pe la tisa ne se boi t tou au dose thérapeutiqueavant reples os 10 à 15 minutes. jou rs chaude. prise moins 1 à 2 verres). 4.E nfin (au on sert le liquide dans une tasse. Tisanes tion : c’est une manière éne • Décoc la plus facile et la plus rgique façon Attention ! d’olabte Les tisanes sont nir une tisane à par tir des rmediverses cinales. L’éno médi es Les tisa nes son parles t la meilleure façon de connue de préparer tiesplant de la plante, comme les consommer les plantes les est que leur do-racines, méd es e, l’écorc avantage des plant médicinales. Celesicina rameaux, les bai es… Cependant, les personnes précision absolue. une pascéd iertpro , qui pour cause sage ne requ Tisane hypoglycémiante IILe é est le suivant : de travail, de voyage… diabète il est conseillé n’ont pas la posant, dans 1.1Laetle pla ntedu est placée dans uneuées Indications : diabètespend de types 2.cas sibilité de préparer une cas ser indiq ole s) (dose tités tisane, peuvent quan les dre pren de ou un ust ens ile permettant de faire bénéficier des plantes Composition : mé dicinales sous bouillir. la forme de capsules, ou de gouttes. 2.On verse des Plante Partie utilisée Quantité Les capsules ou les goutte sus de l’eau froide et on s se vendent toutes prêtes en pharma fait chauffer20 le gtou Artichaut feuilles (5t.c. à s.*) cie, parapharma cie, herboristerie… Toutefois, 3.Quand l’eau bout, on ma Cynara scolymus les capintient l’ébullisules indiquées son tion lente durant 5 à 15 min t celles qui Eucalyptus feuilles 30 g (7-8 c. à s.*) utes. con tien nen t les mêmes plantes mé 4.Enfin, on sert le liquide diciEucalyptus globulus dans une tasse. nales que celles des tisa nes. Ginkgo feuilles 20 g (5 c. à s.*) TIQUE DE LA SANTÉ, pui squ

L’

• •

106

• •

Ginkgo biloba

Konjak

rhizome

20 g (2 c. à s.*)

Amorphophallus konjak

108

Décoction : 2 cuillères à soupe (20 g) pour 200 ml d’eau. Faire bouillir pendant 5 minutes. Ajouter ensuite 1 cuillère à soupe de levure de bière (Saccharomyces cerevesiae) fraîche (5 g) ou une petite cuillère de levure de bière sèche (5 g). Quantité : 3 tasses par jour à prendre une demi-heure avant les repas principaux. Boire abondamment à chaque prise (au moins 1 à 2 verres).

* La quantité exacte est donnée en grammes (g) et la quantité approximative en cuillères à soupe (c. à s.).

Artichaut Cynara scolymus

1


ytothérapie

ques et naturels. Ph

Traitements scientifi

iante III Tisane hypoglycém de types 1 et 2.

• •

tes Indications : diabè : n Compositio

Vaccinium myrtillus

Eucalyptus

Eucalyptus globulus

bens Harpagophytum procum

Noyer

Juglans regia

20 g (2 c. à s.*) 10 g (2,5 c. à s.*)

feuilles

10 g (2,5 c. à s.*)

feuilles et sommités florales**

Sauge

Salvia officinalis

20 g (5 c. à s.*)

racine

Harpagophyton

Quantité 20 g (5 c. à s.*)

Partie utilisée feuilles et baies (fruits) feuilles

Plante Airelle

g) pour 200 ml illères à soupe (20 cu 2 : n io ct co Dé uillir pendant 5 ou 50 g/l). Faire bo d’eau (10 cuillérées minutes. e une demi-heure s par jour à prendr Quantité : 3 tasse ipaux. avant les repas princ

Airelle Vaccinium myrtillus

iante IV Tisane hypoglycémde types 1 et 2 et diabète gestationnel. tes

DIABÈTE.

ons : diabè • Indicmati Co position : MENTS • ET TRAITE N O TI N VE PRÉ Plante Oignon

Quantité 10 g (2-3 c. à s.*)

Partie utilisée buclbe émiante ly

V ationnel. diabète gest g t o e p 2 y t e h 1 e s n e type Tis cepaa Allium 25 g (2,5 c. à s.*) : diabètes d ns

icatio rhizome • haldom : n Quan)tité o ti si o jak p kon Amorp utilisée 25 g (4-5 c. à s.* e à s.*) ti •hopC lus ar P ine rac 10 g (2-3 c. fruits, Fenouil te Plan 10*)9 et feuillebsulbe Foeniculum vulgare 0 ml d’eau

KonjakIn

s. Oignon : 2 cuillères à soupe (15 g) pour 20 g (4i--5 c. à 20 m on 5 cti t an pa nd Déco ce pe m lir uil Alliu s bo Faitire g/l).fru illérées ou 35 à 40 ) (10 cu Anis vert (4-5 c. à s.* g re 25eu i-h m de nutesPi.mpinella anisum e e n un e ci dr ra en r àuitprs, itéu:il 3 tasses par jou fr uilon t à chaque Quant etirefeab lesdammen Bo . Fenorep ux ipa inc pr as e r 2 00 ml ar lg t les vu avanFo eniculum (15 g) pou e s). p rre u ve 2 so à pen1 s à prise (au moin cuillères ire b ouillir

: 2 4 0 g/l). Fa Décoction s ou 35 à e ré lé il u c tité i-heure d’eau (10est donnée ENTS mmes (g) et la quan Foeniculum vulgare cteminutes. en gra re une dem que d n tité exa re p * La quan 5 à s.). à t r (c. n u pes par jo cha da cuillères àtasou eRacines : 1 c. à s. = a10bg. ss approximative en damment à 3 n : o Anis vert té g. 4 ti e = n s. ir à a o c. B 8. x. -13 etufleurs : 1 isum au136 illesQ Feu• cip, p. rinAUX Pimpinella an repMEaSsMÉpDIC les TER anREt DES s). e avSAI Tisane hypoglycémian rr e ** Voir GLOS v te V rise (au moins 1 à 2 p Ind ica tio ns : diabètes de types 1 et 2 • et diabète gestationnel. • Composition :

DIABÈTE. PRÉVENTION ET TRAITEM Fenouil

Plante Oignon

Partie utilisée bulbe

Anis vert

fruits

Fenouil

fruits, racine

Allium cepa Pimpinella anisum

Anis vert

Pimpinella anisum

Quantité

ca

Coccinia indi

10 g (2-3 c. à s.*) 20 g (4-5 c. à s.*)

c. à s.*) ica a etéfeu ians te VI et252g. (4-5 mille c Coccinia ind ly g o p 1 y h s e e p n ty a e Tiscoc Dé s d dans le trai-

Foeniculum vulgare

tion :n2s :cui bèeste à soupe (15 acité dia llèr fficur e epo o icati 20 cémiant rches ung) e Ind(10 ch d’eau re s e cuillér rs hypo0glyml et uill diveou 35 à 40 57 effbo nées ,58). SFai n lo g/l o se re é tr n ir pen . o 2 - me le dantm5 minutes. ète de type om t puissant c diab n e u d m t a n ic e d é m tetité : 3 tasses epar Quan d’urnàmprendre e à c lui jou une demi-heure milasairpri st sirep avanteles 59 nci . x. Boire abondamment à cha epau id m a p ro que rp prise (au chlomoins 1 à 2 :verres). n io it tité s o an p u Q m Co tilisée

Partie u

Plante ca Coccinia indi

feuilles

10 g (2-3 c.

à s.*)

e par plante sèch Coccinia indic (5 ag) de e p u poser re so et laisser illérée à ion : 1 cu au chaude


112

L’exercice physique est un autre des grands secrets pour prévenir et contrôler le diabète. Dans cette partie, l’auteur offre de précieux conseils pour l’intégrer dans notre vie quotidienne.

Physiothérapie

na tion…une heure trois fois par sem ai ou tous les deux jours ; 3 courir 30 minut es trois fois par se main ou tous les deux jours, si on ne so uff pas de neuropathi e diabétique. Horaire : 3 Il est préférab le de pratiquer un spo dans des conditi ons de chaleur et d’hu midité modérée s. Lors des sa is on chaudes ou sous des climats chauds évi ter les heures où le soleil est le plus fort 3 Pour pratiquer des sports ou des exercices physiques qui de mandent une ce rtaine intensité, il est co nseillé de laisser pa sser au moins une he ure après manger.

amenexercice physique est un des piliers fond cice exer Un te. diabè du t Ceux qui souffrent men traite taux du de diabète doivent s dose les nuer le type d’exercice adéquat et régulier réussira à dimi s qu'ils doivent pr connaître type de tus melli etes atiquer. Dans (diab ce GUIDE PRATIQUE d’insuline en cas de DM1 DE LA SANTÉ so tes etes diabe (diab DM2 de nt et 11) recomm p. , TE dé DIABÈ s DE les exercices idéa 1, voir TYPES ux, en tenant to ane adérégim d’un gné mpa co acco ; 2) m ujours type pt de e tus melli du degré de la m aladie. Par exempl contrôler le dans une neuropat e, quat, il peut même être suffisant pour hie soumettre les pied diabétique, on ne doit pas diabète. s à une pression ex , que cessive. L’activité physique est bonne pour la santé te diabè de cas en mais l’on soit diabétique ou pas, e du trail’exercice n’est plus une option : il fait parti r plus en senti se à aide actif tenir main Se nt. teme C’est informe, et aussi plus heureux et optimiste. ut chez surto , tique diabé est l’on dispensable lorsque après jour t tatan cons qu’en parce es, jeun les plus doit on lle laque jour qu’il s’agit d’une maladie avec pas ne is parfo peut elle vie, sa vivre jusqu’à la fin de ique phys ance rance ouffr souff la qu’à bien si , ptée être acce ment. Cepropre à la maladie s’ajoute le décourage phyrcice l’exe que est rtant pendant le plus impo in sangu se gluco de taux du ôle contr le sique favorise le pour al cruci et la réduction du poids, ce qui est diabétique. nt que thérapie Cert aine s pers onne s croie nt fauss eme turels. Physio a n t e s e du u q faire à fi nt iste simplemecienti faire de l’exercice cons Traitements s tout, monvélo, nager ou aller au gymnase. Pas du faire des ter des esca liers, nettoyer la mais on, n…sont gazo le re tond n, jardi le er bêch ses, cour en plus et tique diabé des activités parfaites pour le invous nous itre, chap ce dans t, utiles. Cependan rcice l’exe de ter profi de façon eure meill la diquons ernant pour un diabétique et les précautions conc faut glucides qu’il on icati méd la ou l’alim enta tion plément de p su e d n io nt de l’exercice r l’exercice) In. gest prendre en faisa nguin de commence

L’

114

GLUCIDES E D E IR A T N SUPPLÉME N IO T E S E G IN E PHYSIQU IC C R E X E ET Glucose sa l/l) mg/dl (mmo

vant (30 minutes a lucides 10-15 g de g uit) pain ou 1 fr e d e ch n ) a ,5 (1 tr 0 (5 moins de 10 écessaires .: marcher. ation non n ll Faible : 1-2 h co u o t , g n n e in. : footi supplém Moins de 30 m 100 (5,5) e d s lucides lu p . is 25-50 g de g vélo, tenn its) et 1 ou 2 fru in a p e d e ) 0 (5,5 (1 tranch moins de 10 lucides 25-35 g de g fruit) e pain et 1 d e ch n a ) 0 tr -1 (1 Modérée : 100-180 (5,5 .: h 1 cessaires 30 min.tion non né a ll , co e u rs o u t co n tion, ppléme tennis, nata (10-16,5) su 0 0 -3 0 8 lo 1 é v golf, d’exercice ne pas faire (16,5) plus de 300 cides 50 g de glu rre t 1 fruit, 1 ve e in a p e d s rt) (2 tranche it ou 1 yaou la ) e ,5 d (5 e 0 rr 0 e 1 v e 1 its, moins d de jus de fru lucides Forte : 25-50 g de g its) et 1 ou 2 fru in a p 1-2 h.: e d e ) -10 (1 tranch nnis, 100-180 (5,5 football, te lucides me, 10-15 g de g ockey, cyclis fruit)

l’exercice Intensité de pe) (durée et ty

3

3


L’hydrothérapie également est une technique importante pour

Hydrothérapie l’eau hydrothérapie consiste en un traitement par main de et e nism l’orga liser revita de but dans le d’eau cte corre n tenir une bonne santé. Une applicatio améliore produit une stimulation du système nerveux, ique therm ion réact une t indui ine, sangu la circulation cela favoTout re… ulatu musc la ie tonif , peau la dans entièreté. rise la restauration de l’organisme dans son traditions utilisé es apiqu othér hydr s Les traitement alterner le à t isten cons te diabè de cas en t men nelle au moyen froid et le chaud appliqués sur l’abdomen douches. de ou s resse comp de ts, d’enveloppemen rique, empi ère mani de ient liqua s’app s ment Ces traite rche reche une par és mais ils n’avaient jamais été valid es anné ières dern ces t, ndan Cepe scientifique fiable. des réraître appa fait qui ée men été a rche une reche nd Journal sultats surprenants. La revue The New Engla 63 une des publications les plus prestiof Medecine, montré en gieuses dans le domaine de la médecine, a chez les rapie 1999 que l’application de l’hydrothé lement notab iorait amél DM2 personnes atteintes de plus, de ; s poid leur isait rédu et vie de leur qualité de taux le 13% l’hydrothérapie réussissait à réduire de sylée glyco ine oglob l’hém sucre dans le sang et de 1% ou de la indépendamment du régime, de l’exercice line ou l’insu médication, qu’elles s’inje ctent de effets Les . oraux iques qu’elles prennent des antidiabét tiquan déjà nt étaie rapie rothé l’hyd bienfaisants de hydrothéracure la de t débu le après jours 10 s fiable pique.

L’

116

contrôler le diabète. Le Dr Gelabert explique comment en profiter de la meilleure façon.

Le traitement hydrothérapiqu e stimule le système ner veu x et améliore la circulation guine. L’eau a des pouvoir s sanpréventifs et curatifs dans le traitement du diabète. Avec complet de tout le corps on le bain peut diminuer considérablem ent le taux de sucre dans le sang.

Techniques hydrothérap

iques

Bain de tout le corps : 3Indications : pour les diabétiques qui ne supportent pas une act ivité soutenue, qui ne maintiennent pas constant leur poids, et qui ont donc ten dance au sur-

104 °F) ou au maximum 41 °C (106 °F). Les jets d’eau peuvent être aussi alternés, d’abord chauds puis froids , ils peuvent même se faire deux fois de suite et finir avec un jet d’eau froide. 3D

117


118

Enfin, l’auteur explique l’importance de la médication dans les traitements pour le diabète, comme les antibiotiques oraux et l’insuline.

DIABÈTE. PRÉVENTION ET TRAITEM

ENTS

Médication

Choix des antidiabétiqu es oraux en cas de DM2

Le choix des antidiabétiqu es oraux d’une

tieuse, personne atteinte de DM2 demande un temps e diabète n’est pas une maladie infec in- d’essai, jusqu’à ce que une ou ie mon pneu une ple exem par comme le médecin vérifie quel d’antibio- antidiabétique, et fection urinaire, qui en prenant une dose à quelle dose, contrôle le pas nonmieux le tau ssite néce ne il ; plus x de glucose dans le sang. tiques se guérissent sans un court sé- Il exi ste plusieurs options, dont voi plus une intervention chirurgicale qui après ci les plus pératoirecou posto jour à l’hôpital et une convalescence ran tes : est te diabè Le dra. résou plus ou moins prolongée se Première option : metfo ôlée de marmine une maladie chronique qui peut être contr 3 3I Ind ndication : c’est un médic doit on d quan et pas, t ament en géguéri ne qui mais ce effica nière DM1, c’est néral bien toléré et le seul qui a dém ons’injecter de l’insuline comme dans le cas du de vie adé- tré une diminution du risque de mortalité pour la vie. Logiquement suivre un style programme cardiovasculaire chez les dia quat, c’est-à-dire, un régime sain, un bétiques en cinales… surpoids. médi es plant Quand les tr d’exercice régulier, l’usage de és dans ce3 3T pour contrôl Te em mp pss d’e ssa i thé rap eu tiq en définitive suivre tous les conseils donn ue : si réduire de apr ès un doit alors don e période de 2 à 3 mo GUIDE PRATIQUE DE LA SANTÉ, permettra de is le devra cation à pren qu’on line pourcentage d’hémoglob façon significative la quantité d’insu ine glycosylé e du fait que to nécessité de s’injecter, ou de réduire au maximum la (HbA1c) (voir ANALYS E D indications qu ’ HÉM OG LOB INE . oraux iques iabét antid prendre des GLYCO SYLÉE, p. 19) n’est pas inférieur insuline) La médication (antidiabétiques oraux et ou égal à 7% on doit alors les nir préve pour ment passer à la traite ne guérit pas, c’est un deuxième option. mie, glycé (hypo e term court à te diabè du complications fait cou - uxième option : ie, neuroDe hyperglycémie...) et à long terme (rétinopath gly cémi 3 3P Pre rem miièr nécessaire ère e alternative : metformine pathie…). Pour atteindre cet objectif, il est et lise r des à n catio une sulfonylurée d’avoir une information complète sur la médi po ur év u Indication : cette prendre. combinaison est on x mieu cha 2), cun type de ète utile quand il y a défail Dans le cas du DM2 (diab lance de la quand il est mono 3Deuxièm sait comment agissent ces antidiabétiques, thérapie par la metform diaine à le x mieu etc., line, et une gly l’insu de er ajout d’y ssaire néce dose maximale. pas seuu Indicati bète sera contrôlé. Dans le cas du DM1, il n’est u Effets secondaires : le grand inconvéline utilisé, cette com lement nécessaire de connaître le type d’insu etc., mais nient de cette combinaison est qu’elle cter, l’inje d quan agit, elle ent comm r de savoi risq ue d’ technique il est aussi très important d’apprendre la able de pour se l’auto-injecter. Il est indispens ction l’inje de ique techn la de ls détai les aître conn BJECTIFS DE CONTRÔ avec ou LE DE LA GLYCÉM gue serin d’insuline que ce soit avec une de sée expo sera ion rmat l’info un stylo… Toute Normal Glycémie Contrôle de la façon claire et concise dans ce chapitre. Ce(sans diabète) camédi la erne optimal pendant, tout ce qui conc HbA1c* (%) moins de 6% tion du diabète, c’est-à-dire, les doses moins de 6,5 méGly cémie mmol/l et les protocoles, les types de moins de 5,6 4,5-6 à jeun mg/dl moins de 100 80110 Glucemia mmol/l moins de 7,8 4,5-8 postprandiale*** mg/dl moins de 140 80-145

L

O

120

* Voir ANALYSE DE L’HÉMOGL OBINE GLYCOSYLÉE (p. 19). ** Dans le cas de valeurs de la HbA1c (hémoglobin e glycosylée), de la gly postprandiale supérieures à celles indiquées dans la colonne des valeur le contrôle du diabète est insuffisant et donc qu’il faut reconsidérer le pl *** 1 à 2 heures après ma nger.

tuifiques et na ments scient ies, te ai ad tr al s m le s re ne de de suiv que certai an e m tr aî m é. nn co nt re co sa re SANTÉ il faut nnels de IQUE DE LA les professio tidiabétiques, UIDE PRAT la prise d’an édication contrôlée par um ien que ce G im ax m ire au une m els pour rédu e, ont de plus besoin d’ rabèt di le e m m et à un exe co diététique

e s ave c des à un rég im t être traité n ) et ment x ro u v ra e o d e es u u hysiq iabétiq ué cice p line ou antid it être indiq o ication (insu d aments. , n ic d io é at m tr ecin. ’adminis d éd m es d n o u m ar p es ements ent cer les trait périodiquem G U IDE n e ce m e m u o q c r et contrôlé d e i- Quan rra observ ues oraux ntidiabétiq le cteur pou la foncaide extraord


ÉVOLUTION DU DIABÈTE TY

PE

ication naturels. Méd 100 ntifiques et

E

LIN DE L’INSU N IO T C JE ZONES D’IN

Fonction des cellules ß‚

Trai

(%)

tements scie

Diagnostic de DM2

80

ET TRAITEMENTS

0

Prédiabète

-10

Échec des AO Commencer l’insuline

2. Antidiabétiques oraux (AO) Monothérapie avec AO

40

20

DIABÈTE. PRÉVENTION

Échec du régime et de l’exercice Commencer les antidiabétiques oraux (AO))

1. Régime et exercice

60

2 (DM2)

2 AO

AO et insuline

3. Insuline

Diabète 0 Temps approximatif (an

nées)

10-20

n avant 3 jours d’observatio La person utte2deà DM il fa ein ficacnee, att 2 passe ange i- men3ts. Monothérapie avec un tuellement parue eaux chhab nosuv AO : au début dente r ére phases : effect diff d’ Doses d’insuline suline sont très va degnostic d’u india ec du éd m au Pré t dia en n DM2, un seul AO bèt m e in : em Ava d’ id nt s év que de t le an en DM m vi 2 soit diaLes de se stiqué,Il ilrey a est s et soulavent suffisant. vitesgno ne les dose ncseersan d’aut i co bor pe de diabète, la une ced qu pha to ire s cr es 3 De pr ux riables, selon le ty AO : au bout d’un certain n io ptômes apparents ou, ctsym line. insu temps nssted’nt, s’ils ctio é de résistance à l’a exi je gr in s de la de le ce n, io en il fau ut qu ol t généralement une com fré év d’ per ntsonne ne les identifie pas com uvent so binaiso us pl le s me se des do s son de deux AO. sigones de la maladie. Au de l’insuline… Le pr ie ns ap tio cousu rs de oth lincet teér 3 AO et insuline sais et adapta ’in sd phase, laPr : si on ne parvient pas totécodelesyn oaci cap déterminées par es e se lin thétiser l’in e d’insu sul ine qu gi lo io à con ys : l trô ph ra ler n né par le io taux de sucre dans le gé ét les cr cel En sé a du pancréas est suf lule Las bêt , gressives. ntginiluefau 60% fianière co I/kg/jour, san m san U 6 de : 0, à es dra 4 ièr te 0, ajouter de l’insuline : an pou 1 m r rép M uxaux nécessités phydere • pour le D le fait deond tlog dans avan géaux % an m AOles 40 s . et pa sio r a ne n’ iqu e eu es, éj nn c’e -d st rso rqu la pe oi la personne ne 3. Ins é (baavant le petit - quand pou d’en uline : si malgré tout le sente aucun symptôme iatement précéd diabèt pour un individupré éd , ne en t im oy on de m i m dia qu bète. En r. es ur ne dî he r- contrôlé, la sol e n’est tou jou ce hyrspe en pas a m y Dia m il bèt co d e an : on La cap qu s), ution sera acit re uë é liv des aig ulees bêta dimianièr et de mcell un ge le)em trasti viron 70 kg (154,3 sassiv iteon me).nt à base d’insuline énue -d tit pro pe gre l’in le s t rè an ent . ap av t jus I qu’ en à ell 0U ceem qu’appa- Toute cette (habitu mie céptô évoslution est lente et dur avec 30 U I/jour (2 raissent lesgly èle od sym m les me r e has r). ite pro ne pre im dî d’ e bituellement 10 ausa iebèt dia t le rapies es othé ulinstic et à 20 ans depuis le début don nsgno jeuner et 10 U I avan cnesonL’idia zo de la % es n pl 60 fi , n . em ur Le e jo ex lap t s g/ se e de qu s temelq 3 isUseI/k ps uedu diagnostic du dia 2 à 0,cu ues. Voici ent giq ’e bète, selo lestdéb iolo .tCle utysdu rere ph iè • pour le DanMté2rie: u0,re des laetzo40 pré diabète et celui du fessav an ne % ivisdu: contrôle de la glycémie. n l’efficacité su r re st ne e êt : t eu t te s an éj n n DM -d uv lu so tit 2 le p po pro s s pe pre es le la lu le me ol b t p it nt oc ra an avla prot dit est très variable, mais elCel sera té- la nes préfé et tte dernière il npeu entionn : a montre combien il est important de su-situer aux e antérieure dîner. d’itnse e co olnto io pourquoi ce ct Protocale je ursnv in de 10 ans suivre les l’ uisses : zon à r u ir o en p rv e pa é conseils d’un plan thé d à n u’ (vo a ir ÉVALUATION m te ju sq mus coaj rapeuDEse DIA:BÈTE, p. 11). neUEdo é- seres’ externe ; e. ns le sang ù 3DUURISQ supdo urne tiq etLa rmeé-et exe rci ce) ue ct e te o (ré in n rn gim e e rd 1. o xt lin da Rég e ta su n ime os e in re la et n d’ uc p e exe gl ad n zo rcic n ue éq li de : u e iq ua t, : au s e ux un déb e ut du DM2 comme cel pefess u Dose maintenir le tamieux est de se(efantirre 4 s’in ui qui est exposé dans et tre un pla urs du sta co au7ure e au n e ’u gé dl ce Le n d de GUIg/ on rég e ol m s ime pr ; ré 6 u ure eseso 70 et 12 ction est sépa aire ou et d’exer- DE PRATIQUE -dtr s TÉ, pour éviter la déDE en cice ez LAleSAN qru’ir lcontrôlerdile tau ecesu ch pou x doigts au uv ile e inje glycémie m eu tro à ut n d t se u : re es iè en le x n de El ’à m 5 a suc u o 2 r. 1 éjeune re dans térior65ation sq/l). Quand la timètre de bd juol tit-d de le mt m g.jecvers le hau x inet le eusan d’un cen hors du dene méans qulai san té et le rec ou rs treaitdab so enuh nombril et is rd des jour o o b de m nes de plus d’u u n en d s on ’u s dic atiac rs d u s pe 2. on- tou jou rs plu s én erso rs An lu tidi es ieu p abé us -d it pl tiqu a au es ré le y oraux (AO) : si les symp- glycémie basa . ns de ittio tour roca eux doigts ndifi s emeod àmde ent une gique, ou au moins êm nn dû ne libreeau s tie pa zo u tôm t ain a e es es m s n n’ du n u dia ce o t bèt ti e an qu ne sont pas contrôlés dl mol/l]), pour retarder le plus ster la ,8le m it ajupar ôtes (laiss ssib ce dénouement et en alors on do 40 mg/ po[7 e, (1 cic le le er ab rég ex ! pt ime d’ ce n . tout cas et o l) ou l’ex ti ri e erc n b ice, le médecin réduir gimure des en Atte rôleplic u nom lesntcom pas un boneco au rs habitum t pre ations à court et long rne supérie rs scri on te u n’ t alo i jo ex qu e. u e lin ais n to su elle in s zo me ée d’ nt un traite- ter me ject dodse ans la e moin leds es ’eler esst in qunt nts du dia bè te ou qu ’el ses, me do l’insulinede ave née. c des antidia urux. ez les enfa les soi en t deesjo siqu bét ur co eut se form ora p il Les modifiSicatioe ns , bras (sauf ch moe it n, insingra ro io d ut veséd in e . iaire en term m n di u e lin un êm re su m ai ou in n d’ tr n tio . ue ta co iq s) en le un an t gm au e n 4 met une au de u Dos neien nso bosses oueur et ule r, chez nteplus petitsesen er quotidie ucgraisse, q i en do e avant de se couche gé e,tvu ite on n fa ol aut chang pr zo re la êt ou la e s d en a iv p r ie do e hyatroph ue fois, es aucunnt alcatésre ion, mais s qui présentent un aq ue iq iqu enpeuve d rot it: 1àà 2 U I ch int d’inject ét nen ét ab e di th n es les in ’u d e m d’abd’êtr ti o n line.ne doit uand la personne I et nsuon e l’ a b so rp e l’i zone doit dépasse tion3dU rglycémie basale (q pe sorrples able. La on b ri ne l’a va s e è lin tr , su n s mangé dans autre est abdome qu’une seule dose d’in e le matin et n’a pa lèv pide est l’m se ra er s ifi lu od p ie la grt au ement préorption s, la pa , on peut es qui ont immédiat ur rale du brapar jour. En règle générale he té les la e n zo t en e à une uis la suline par dépassem i n’est pas secondair in qu d’ I et U ) 1 dé cé de r te en m mie produit durant la mmol/l) de la glycé hypoglycémie qui se de 50 mg/dl (2,75 s. pa re s le rne). souhaitable avant (hypoglycémie noctu it nu r se ali pas ré On tâchera de ne 3 Deux doses : le petit-déndés sur fo ts en se matinale (avant des ajustem do ne U u de glucose l’après-midi ou une seule mesure jeuner) et une autre om la si er ou le dîner) sanguin. Pour vérifier nuit (avant le goût la ef é ét a édiaire. C’est le dification de la dose d’insuline interm

130

nera toujour s la Le médecin détermi se d’insuline que le médication et la do inpo dre ur parvenir à ma diabétique doit pren dia Le g. de glucose dans le san glucose tenir le taux désiré taux de ntrôle quotidien du bète nécessite un co rmale. sser la no qui ne doit pas dépa


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ET TRAITEMENTS

iques

graph o li ib b s e c n e r é f Ré

; UDLÁCKOVÁ, M. ; KRAJCOVICOVÁ-K uins CHOVICOVÁ, M. of ALA e V nc 9. ide ev o Á, K. (2006). «N PELTONEN, M.; AU BLAZÍCEK, P.; BABINSK ILANNE-PARIKKA, P.; tarians». Europe; 1. LINDSTROM, J.; AMALAINEN, H. rmal weight vege H no K.; in , IO ce EM an H ist ; G. res lin vrier), p. 52-54. SSON, J. (fé RIK , E 1 nº S.; KSO , , AA LA 45 l. NO NNIEMI, S.; L rnal of Nutrition, vo Jou ANEN-KIUKAA an EIN K P.; , N .; HARKONE M.; PATURI, M DIABÈTE. ASSOCIATION (2007). «Position of , A.; MANNELIN, M.; LOUHERANTA ; TUOMILEHTO, 10. AMERICAN DIETETICPRÉVENTIO tal diet apM. , PA n:AITo ETtio ITU US U TR soNcia T.; E, T. TEMENTS inerican Dietetic As SUNDVALL, J.; VALL Am ROUP (2006). G the trition DY nu TU d S an N d S PREVENTIO unicating foo e2 J.; FINNISH DIABETE proach to comm n Dietetic Assoincidence of typ ca the eri in Am n the tio of uc l «Sustained red 4-1 232. formation». 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Diabetes re;ment m lesODo,raM. ousses... SHAH, S. ;ge ’est pas c tes in Japanese me be n dia MO 2 AH e -M s, typ UL of R les pexapable de que l’or ce lui-même R, A.; FAKHA le , ce qui si 296-2 298. ). «Effect of garlic amplea13c.idSHE e TAZA, G. (2012 UR Care, vol. 30, p. 2 a gnifie qu s synthé M lp p S.; r, a H h no r HS a-linolén el and lipid profile in le régime BUK ’on doit le iq lev a p S STUDY GROUP se li ETE u o co m IAB ly e glu D s e in od IVE n : bloré (o taire. satu C Clist va tract on M PROSPECT unc n es k of s».’eAd amidon : acin id(no gatic 4. UNITED KINGDO bourrl aan e g- ras -3rab diaébe ). Sbit an m re control and ris ox su Il all es o d pr c c u 6 h od o rc nº e n , ma blo t , esl. 21 stitue la p légumestal Medicine, vo alimenta (1998). «Tigh cides dig complications tue, vaalléan rincipale à feuilles ires: Exeperimen estibles d d microvascular nic ridan source ...), re) 11. vertes (chou, u régime macrovascular an h Medical 5-7 sp p 70 itis o p. 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Sou03rc95 .21 the development 10 o on I: n tes DO : be ; C e dia ’e s of nt evère, hIDu: 2327 st la secti alimenta atmen s in insuli ne extrém ile de bo on et la sé ires: (En presse. PM erm complication ac ité du co paration gression of long-t 59990002). urrache… rps chiru e New Englandides gra m 30 Th s 11 e ». 29 : us su 14 C llit 76 re e me 18 tes so rgicaleme c be h n ir dia t t u se en p. le , rg an nd re) n s of pe ic t ct mb mo,léS.cu(20 de a le ffe nt. C pte le «E s (se ). la e 14 g 03 st ra nº d 9, 102 o is le u 44, 32 uleur ou ses.ts,KAs TES s qui com sma RAN rico d’ab Medicine, vol. • orei soWA satullon un proce tilisée pour contr I, L.; VENIl nt classolu poJourna•l of ré.ssPeAR 15 lgaris on pla die dans t 44 s evu é complet, 39, ss in s u sa ase s Ph n tu c of a sec, a ct ré in c u l’extrémit ides rasmes. sé par un • rais . s extra 977-986 é affecté em gangrène • aCc- ides aqueou • blanc, 39, 54, 58 zymes of glucogse e, par ex . ST, G.;- M d hepatic key en frais, gins rauli n an s Pharmanolénique, 65, 136 e UNN, E.; FRO emple sa B Di 84 ». 39, F.; tu , tes fflé, AN sou be ré • NN dia A ; s d tal 102 en o 84, : R, H. UB 77, S u NO rim Il 66, 44, b pe C ON s ION e C cot, ex le RIT min a n 6. abri in UT • n Vita ’o N li tidiabétiq B.;86, ntre)p,ap.s 91 oliosm 82,S,84, ais que, voir 80,MA . tab 63, THO n carbo (décemb T.; 78, R, 76, un6-9 - avoine,AR39, WA u e 19 stTru - clles seule MI , 45, GOUGH, N.; S ture l.c 58, nº 12n e -c a rb o n e DVISORY COM• aire miants ora es oraux : Aussi a a-linolénique, 65, 136 ,ovo m109 zie 102 98, lé 94, IABETES CARE A 93, D d u HE d T ppelés hy a la F an n 104 O ux. Ce so ic ir 91, EE s u of 81, em e 79, nnana 77, . lyc le tio 74, is og T 44, COMMITT , nta u yp se o nas r me «H u pogly ). n • ple te oir Acides gras 10 nt des m t im d s les d,ifZ.féQ.; WANG, J. J. 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O x ch e 16 78 tes q ba TEE d 44, c a en be u e ne, to nz d i dia ano ts g as, • fra e th m lu m s wi qui 93 se eu 63, le e c m 61, Rh o n s op 39, of e, se o t pe ts so org p lé ec for sanguin e our traite nt s».tu cu84 an xid letseffd’hyd l advice tio82, g•ra07 arm Phré nutritionale, s.sacat, r le DM2. t qui s’ut esaceutirés, 46, 50, 136 tic ratsa avo be turé43,san66, rodgdia 9320, nº 10 (octobre), p. 786-8 39,, 78, ce è du seig n so -in e l. cin . vo n oto t L ine e m toz 91, dic 137 ep s . 86, a str74, 79, 80, jo 82,ritairem 6 (juin), p. 70a3-7 alories “v m•ale cid07 betic Me scous, 39, 85, 103 oinsaturés, 26, 136, ane, 44, es ban id - cou l. 48, nºent E- et sont so deys, vo calories p es” : On nomme c (p;aHr 93, , K.; BATECH, M. à tempéra d’origine an éga-9, 64, 136, 137 104bcal Biolilog 99, e iA.; x 39 ART, K.; ODA e, ., M. , autr TEW S le alories “v ILA épe rovenant L S.; , ts E.; D L. tu die e ,b n u OJO re ONSTA ria R T rr eta 136 7. P.; e 65, , eg a N 50, ides” le ). m s, «V des alime UH ). K turé 88, d Il 92 ta 84, 13 nsa 66, s peE.; iano u•xceri 67, 74, 34, E. (20 nte 47, 63, 46,, G. dhe se, 39,SER uvent fair polyphe s,P.;36,FRA OOPCHAND, D. maï ch nts ayant l-enriched’apport nutritif, .leR44, 17 o R. alt , He NG st st RRI 137 e nti é rry 136, ve 65, 90, be ro e m 89, Ad t lue tr 82, l o 81, ri «B éga-3, 64, the ès pe 75, é d n p ). e 66, in n a 60, te 13 ri n 44, n e tes s (20 r on, t rg d s be I. citr e 100 le e , igh • dia le étique. E 99,nce of n quantiRté 93,ide plus que ASKIN sang uarglycemia, body we uand inc xemples leur valeu nd ils son e99, xan 136ered éga-6, 64, 65, 136, 137 ce 100, uces hyqpe lo 93olism, and Ca•rdiovasc 92, 98,be 74,tab ssur 97, 39, ries “vide 96, 36, , 93, iv flo d Me gions , ’a floc olo ion • . t li ac trit m soy D arm Nu . e Ph IA n a es gra s” : les bo BÈTE. 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KRISe l’91, carnés, 60 aS.; nt l’insuli c104 TO E, L.; JASTER, B.; idKeALE ED 105 LO 87, a G 39, 86, ; y-e o n 79, oa, G. o err lé 75, , c quin 44, eb u VY ré im iq se, t n RIE v blu frai a e • CG e u ld die s M n . e (oméga en gASra, D. qui prod (2010). «A wi recommandés, 6, 37 «A low-fat vegad’olive. Lke e in uiva),scular ho, ERS,39S. 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Glossaire

A

des terme

s médicau

l

Index alphabétique généra

C

132

136

Maladies e t symptôm mentionné es s p a r C o ét o r ac d id acides gra ose, 13, 23, 67 re alphabé , 136, 137 Créatsinpin oly e,in 27sa tiqu , 13tu 7 rés : Glycosurie, 17 , 18, 137 Dia

taux dans st une gra s complètes, 22, les tissus isse qui • • mandarine, 44, 77, 89 Surcharge orale de glucose Céréale 138 corporels 67, 66, d et dans le se trouve dans 6, e 91 ée, 77, s 74, osyl v 66, 44, e , rt gue so é oglobine glyc man • b n ré plasma sa s, 58 s. ou plus, n Chez les Ils ont d Céréales raffinées, 54, lestérol p nguin on humains 80turée 44,sa eux liai20 on, Ils se tro•u mel ro 137 136, 67, d l’excès de b 23, u èt 13, s e, it d e, idos a oac l’ n Cét vent pord artériosc s leur mo H portant fa cho45 ,le rinique llivan, test de, 24, 137 lé c 57, yp mom ip lé 56, Il • ro 55, P er 52, a c c y 50, ie se u te g 32, a D 13, le d ly m 5, u d , M s, e cé . r eux type ent dans 1s, 10 dt iaebstètue,n 6,im mirie, 21, 22, 23 de risque d Cholestérol , 11 cula , 12 , le e dans l’urine, 13 p s 44 ri , e 14 e , re, n g 32 s. mû , m ra • c la 16 , 136 ip 10 L a in , 123, p e 12 18 la 6, 118, s ali remière23d, 26, 27, 45 aux, selon, 20, es. 2, 123, 124, 13 52die ca4,rd13iov 18-, 25, 2 58, 60, 62, 65, 67, lestéro0,l 13 ou r Glycosurie ,o67n, 112, 118, 12la positionHdyp 7 as7nt e ments qui coPntien, 113,s 11 le li,a65 e,b44 nèfl • so 137 is 27, ine, 12 atin 15, e o nsi o 2, Cré 4, n x ose, g ly ene,t vo clusivem lycé dip 0, 1344, 3 acides pap13 duircS 1, 13 mm harge orale de gluc ie,,su ale hym 74,777, 91 on saturée: 17rt e o- ptô , n aye, 20 t , 21 c g•ra e , o 22 u u s x , D t le ja32u, n41e, 42, M2,o6,m7,é10g,a11-3 Polyphdag ’ori 45, 49, 60 g, in iabète, et, 61 D noïque, l’ e 87 d ie 81, le a , 44, ’œ : , n e, 62 s 13 vo èqu l’ i, v , u 10 a past 14 • ir ia c f, 7, , id n S 15 le 10 a d 70, e , 20, 8, c 63, e 16 18, fo id 31, d 16, 10 7, s 23 , 14, x, o ie 18 e 9, 13, ro , orau 12, c 26 s , 11 e , 11, 20 o P u que 10, , la ic 27, 32 ,sahexa-114, 115,so11m béti ge0,s.11L1,e ch olyneuropcervelleymptô - DM1, sa, p 86, 89, alpha-lin• pêche, 79, , 45 74, 63, 44,o 46e, 76, n m 8, ta at 11 e 49 o é 9, , d h n le 50 ie u 12 122, 136 o o , st 118, 122, , 0, 52 lé « ïq 112, 121, 25 é 12 , 67, b 120, 63 n u 60 ro 65, , 27 2,o12 iq , e62e, t l’acide136, 137chole n 3,» 12 116, 118, 119, 23, 26, 27, 45, , 104 67,u11e1,(i11ls2, se Polyurie,l to ch4,o13 graines d , 65 le0,stéro la 116,tr11o8,u11v9, stérol. Le votairl eSst l et du « m e 1,li93, ym e n 12 n ,3,le12s4,n12 p nides, 123 t 12 124, 130, 131, 137 « 12 d 0, m a ns Iles auvais » cPrédiabèt auvais » tôme nt dans 6, … 130,) 131, 136, 13 20, • prune, 44oix ntoléranse hole éroe, 15, 57, 58, les lipop ones, 124 es - DM2, 6, 7, 10, 11, 13, 14, 15, 16,318,acides-ggra taotimoin, 7 ce l est pré- 113, 121 au n rotéinesProtést n (L g el s lu D 137 , 44, L, initiaco •0,rais éga-613: ,L14, 15, 24, 10 iniburie, de fa lessed, e Lo iteurs des alphaide arac11 vo 23, 26, 27, 32, 45, 46, 49, 50, 52, 60,c62, 27n, 138 ir 9, ’a 13 P le de c 7 ré id w d e h c ia li D id o b n n , sité e èt o 120, o n n secs 119, n e lé its si u 118, iq Fru 124 116, ty iq c 112, u omme le ipin ucosidases, que et -auinsulinod e, l’acide g76, 82, 85, ue, l’a63, 65, 67, 111, RLét oporo te « in p at m s tr 67, L a ) q ép h 66, m a e e26t ,e27st, 45 és 52, u ie u 51, 137 s en , ’i m , io 136, v nde (i l ais » cho n est le prin ls se troudant, 10, 137 a-linolén s d es itinides, 123 121, 123, 124, 126, 130, 131, les huil-eno-nama , 66, 11 , lestérol p icipal resp ent dans in sule s 86, li n99 on de ch o..).dépven 94,s. 93, - nerfs,tivo éta onsaSbtr esds, ormine, 120, 122, 123, 124 23a,c26, 124arce dant, 10le, s13c7éréales, - gestationnel, 13, 14, 15, 24, 109, Doulevuérg le o le ir st e P é l’ o ro ly cumulat de l’obSstyndro s. Le « boneuropatlheie lait d’, 51, 78, 94 nylurées, 122, 123 - reins,re 110, 137 ru m n » chole - abdo•m inhide cacahuète stérol estSym ctioneddees Cau ale,, 23 hro pvo d’, voir ant, 10, 137 opirroNtéép end rtsh p dép arac at è- ing, 16 lino 21 63 h insu 20, ie 17, , in p tive p ye ré e réac tô ux, voir Rét s de densité sentmdes elette ulahuè 10, 137 - mu-sccaca 79, 85, 94 an,s les li51, ant, 47, ir end de dép te, e, in lino é 119, 11 o insu 67, le p 4 63, non at 16, v 13, é hie e-(H poDlyL,din cellules, 11, 12, ipitsiiae,le18 Néphropathie Fatigu-e,châ de 51 Diétothérapie, 6, 26, 32, 137 16,taig 18, 27ne, , 122, 123, 124, 134, 136, 137 , 26, 27, 13 - polyphagie s de , 11 4 93 86, 76, 67, 66, 7 51, , 18 - noisette, de Douleur, Obésité, 10, 13, - polyurie, 14, 32, 123, 12 18 - abdominale, 23, 63 • lait de, 51 ure de, 61, 108

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Vous souffrez du diabète ?

L

e diabète est une des maladies les plus répandues dans le monde. Deux cent cinquante millions de personnes en sont atteintes, mais beaucoup présentent la forme légère de la maladie sans le savoir. Les conseils clairs, complets et précis du Dr. Ramón C. Gelabert vous orienteront pour savoir si vous souffrez de diabète et comment le prévenir. Et si vous vous savez déjà atteint de cette maladie, vous découvrirez comment la contrôler au moyen des méthodes les plus avancées et de traitements scientifiques et naturels.


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