Esprit positif

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UN ESPRIT

POSITIF

Guide pratique pour affronter les réalités quotidiennes JULIÁN MELGOSA


Plan général Chapitre 1 : J’apprends à vivre

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Le pouvoir de la pensée.................................. 16 La pensée positive .......................................... 20 Le développement global de la personne ...... 24 L’estime de soi ................................................ 28 Se servir de tous ses sens ! .............................. 32 Une sexualité saine......................................... 38 Les techniques simples de relaxation............. 40 Une bonne communication........................... 44 Vivre dans la joie et l’optimisme ................... 48

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Chapitre 2 : Les problèmes centrés sur le moi (I)

L’insomnie....................................................... 86 L’ hypocondrie ................................................ 92 Les phobies ...................................................... 94 L’anxiété .......................................................... 96 La dépression..................................................102 Les traumatismes psychiques .........................110 Le stress ..........................................................112 Les obsessions et les compulsions..................118

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Corrélation corps-esprit ................................. 52 Dépassement de soi : désapprendre ............... 56 Les règles de base pour être malheureux ....... 58 Une intelligence émotionnelle réfléchie........ 60 Vivre dans l’espérance.................................... 64 Le désir d’être heureux ................................... 70 Les causes des troubles mentaux.................... 74 La prévention des maladies mentales ............ 76 Les obstacles à la santé mentale..................... 80

Les complexes.................................................122 La boulimie.....................................................124 L’ anorexie nerveuse.......................................126 La peur panique .............................................128 Les addictions.................................................130 La ludopathie .................................................138 La dyslexie ......................................................140

Chapitre 3 : Les problèmes centrés sur le moi (II)

Le contrôle des pensées automatiques...........146 Comment affronter les différentes peurs .......148 Le contrôle de l’état d’esprit...........................150 Les problèmes de l’adolescence......................152 La crise des valeurs et d’idéologie ..................154 Les problèmes d’identité ................................156 L’homosexualité et le changement de sexe ...160 Le sentiment de culpabilité............................164 Potentialisation de la mémoire ......................166

Le manque de confiance en soi......................170 Le narcissisme.................................................172 Les superstitions .............................................174 Les problèmes du troisième âge .....................176 Les troubles psychosomatiques......................180 La surconsommation (l’achat compulsif) ......186 La lassitude et la fatigue chronique ...............188 La psychologie de la convoitise .....................190 Le perfectionnisme.........................................192


de l’ouvrage Chapitre 4 : Mes problèmes avec les autres La colère et l’agressivité.................................. 198 La timidité ...................................................... 200 La jalousie....................................................... 204 La haine .......................................................... 208 Le harcèlement moral au travail (mobbing).... 212 Le harcèlement sexuel.................................... 218 La violence conjugale..................................... 222

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Le syndrome de Stockholm............................ 226 Les troubles de la sexualité............................. 228 La compétitivité ............................................. 230 La cleptomanie ............................................... 232 La solitude affective ....................................... 234 L’envie ............................................................ 236 Vivre le multiculturalisme.............................. 238

Chapitre 5 : Comment affronter les crises (la résilience) Page 240 La maladie ......................................................244 La mort ...........................................................248 L’adversité.......................................................252 La douleur et la souffrance.............................254 Les accidents...................................................260 Le terrorisme ..................................................262

La crise économique ou le chômage ..............266 Le divorce .......................................................270 Les familles monoparentales..........................274 La violence scolaire et urbaine .......................276 Les catastrophes .............................................282 Les guerres ......................................................284

Chapitre 6 : Les thérapies La psychanalyse..............................................292 La thérapie comportementale (behavioriste) 296 La psychothérapie cognitive ..........................302 Les nouvelles écoles........................................310

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La thérapie de groupe.....................................316 La thérapie familiale.......................................318 L’usage des médicaments ...............................320 L’exercice physique ........................................322

Préface........................................................................................ 8 Introduction................................................................................ 10 Bibliographie .............................................................................. 326 Index alphabétique ..................................................................... 328 Sources des illustrations .............................................................. 331


UN ESPRIT

POSITIF Guide pratique pour affronter les réalités quotidiennes

16

ATTENTION AUX PENSÉES OBSESSIONNELLES !

1.01

e de la pensé Le pouvoir » comporte ut, on peut agéré. quand on ve it un peu ex Le dicton « quoiqu’il so é, rit ord, la prévé rec de ttre un ba une part ur po trae, sait qu Il faut aussi Tout sportif suffit pas. coup ysique ne même, beau De . paration ph ée ns i ntal et la pe émotions qu vailler le me lisons, des nous que nous réa ladies dont ma s de des actions s. sent et même nos pensée nous envahis origine dans uvent leur ontre les efsouffrons tro suivante m ge pa nla L’e e de s pensées. Le graphiqu fluence de la tances…), igines et l’in fets, les or , les circons ), ns, les lieux ge agressive… s (le e eu ag tour suspici se, e, les ist nt tim so té (op passé du es nc personnali rie pé la perirs et les ex s. Ensuite, les souven nos pensée veut, ce i suscitent mme elle le ressorts qu e imles dirige co un et re oir gè av sonne les on qui peut e une réacti qui entraîn . ale les portance vit dont nous s et la façon Nos pensée ets très dient des eff uis od pr e gérons graphiqu nouveau le vers (voir à mentionné).

té e la proprié rait revendr ts et pea qu’il pour e à ses enfan tiques, pens ttr me ns ou la tra signait un par la suite plus tard, il Deux jours tits-enfants. nnes . contrat deux ancie verre avec vif a boire un prirent un • Éloïse all uréat. Elles ala cc oses ba ch du de mille camarades n ntre, parlant co tio ua ren sit r tte ce leu plaisir à oque et de ara t à cette ép Éloïse comp ayant attrai la maison, r à su r a ou rd ret tta s’a actuelle. De amies. Elle celle de ses et conclut sa vie avec la question de t, ur tô to ssi le fit ’elle. Au des détails, ureuses qu ient plus he , mêlée de qu’elles éta nde tristesse cet d’une profo réussite et re op elle fut saisie ant sa pr ern nc jours. co t plusieurs déception an nd pe ec persista relations av état d’esprit de bonnes te entretenait t une dispu • Victoire ant, elle eu nd pe Ce e. ag son entour

Vous arrive-t-il parfois d’être incapable de cesser de penser à quelque chose ? Libérez-vous de cette tendance par les étapes suivantes (voir aussi les p. 146 et 306) : • Identifiez les pensées qui vous angoissent. • Dès le premier signal de l’approche de pensées indésirables, dites (ou criez si c’est nécessaire) : ÇA SUFFIT ! • Distrayez-vous en occupant votre esprit avec des pensées plus édifiantes. Entretenez toujours une attitude positive en occupant votre esprit avec des sujets agréables et édifiants. Et souvenez-vous que c’est seulement lorsque vous transformerez en habitude le recours à cette technique de contrôle, que vous parviendrez à réussir « à expulser » de votre esprit les pensées impor96 tunes de façon instinctive et sûre.

La pensée t portemen et le com ctions au-

de réa Sauf en cas s répéou d’action tomatiques ts sont mportemen s titives, les co équence de ns co la t souven èdent. i les préc pensées qu su cas iz les trois Considére : s nt va ns une se rendre da • Avant de Maumobilière, agence im tout du s ait pa ns pe ne e ric e un par conclur qu’il finirait du l’ambiance achat, mais vens de té ili lieu, l’amab ognifiques ph deurs, les ma les rtements et pa ap s de s to t très de paiemen conditions èrent l’encourag attrayantes aen év tte ce laturécongruence à considérer Vers r chez lui, il lité. De retou va x au a jet, rêv fléchit au su exons des îles cances da

2.04

L’anxiété

de l’identité

La personn e anxieuse éprouve un néral d’app sen réhension et de préoccu timent gétère considé ventifs d’app pation qui rablement lication fac alla normali ile qui peuv préoccupa ne surgisse té de sa vie tions les plu ent éviter qu l’anxiété et . Les s fréquentes e en calmer les relations int sont liées au • Parlez de symptôme erpersonne s: x lles, au trava vos problèm à la santé et il, es. Recherc aux finances au futur en vialité interp he , z général. Ce la ers au contrôle convionnelle étr t état échap de la perso sieurs perso oite avec un pe nne qui en nnes avec les e ou plutendance à est affectée quelles vous la déforcer tager et en et a . L’anxiété pouvez parrichir vos ex sans manif peut apparaî périences. estations ph viv an t Les personn seules cour tre ysiologique accompagn ent un plu es s apparentes ée d’éviden devenir an s grand ris ou ces somatiqu xieux. Si tel tir à la crise que de es jusqu’à ab est votre cas de panique maintenir un ou, essayez de (pour de plu mations vo e bonne rel s amples inf ir la p. 128). ati ami/e qui sup on avec un orLes symptô parent ou se trouven plée à vos be mes de l’anx t dans le tab soins de co iété • Exercez leau du bas mpagnie. -vous à la de page. L’anxiété, ain relaxation co mp . si ag La que la dépre ne toutes les tension ac blèmes de ssion, sont formes d’a indispensab santé ment les pronxiété et il ale les plus le de savoir courants et est comment vont en au s’adonner gmentant. Malhe à ureusemen t, les conditions de la vie act uelle semblent fav oriser ces pr blèmes qu oi occasionn ent beaucoup de souffra nces pour ceux qui en sont atteints et leu rs proches.

Commen t peut-on la préven ir Incongruence du moi

Congruence du moi

L’identité se compose de trois éléments : • l’identité perçue (l’image de soi), • l’identité idéale (l’objectif souhaité), • l’identité réelle.

Assez fréqu emment, les symptôme s des troub les de l’anxiété de meurent à l’état latent jusqu ’à ce qu’un facteur stress ant déclenc he la crise. Il ex iste des soin s pré-

Plus la congruence entre les trois est importante et plus la personne jouira d’une identité personnelle plus au- Le s ty pe s d’ an xi ét é thentique. Mais s’il existe une incongruence notable, il y aura un plus grand risque d’identité anomale et de et le ur s sy déséquilibre émotionnel. Toute personne a besoin de se percevoir de façon juste et équilibrée, et d’établir des m pt ôm es Généralis ée objectifs atteignables vers lesquels se diriger. • Sensation d’inquiétude ou « de ner • Fatigue vosité » • Difficulté à se concen trer • Irritabilité • Tension mu sculaire • Altération s du somme il • Diminution d l

Accompag née de cri ses de paniq ue

• Palpitation s • Respiration accélérée • Sueur froi de ou étouffe ments • Sensation d’effroi • Étourdisse ment


UN ESPRIT

POSITIF

CET OUVRAGE SINGULIER FOURNIT DES OUTILS FACE AUX DÉFIS QUE BIEN SOUVENT NOUS NE SAVONS PAS COMMENT AFFRONTER. IL S’AGIT D’UN VOLUME DE 331 PAGES QUI, EN GUISE DE MANUEL, OFFRE UN TRÈS VASTE CATALOGUE DE SITUATIONS PROBLÉMATIQUES QUI SURVIENNENT À TOUT LE MONDE. POUR AFFRONTER CES SITUATIONS, DE PRÉCIEUSES TECHNIQUES D’AIDE DE SOI ET DES RÉFÉRENCES À DES PSYCHOTHÉRAPIES PROFESSIONNELLES, AINSI QU’UN BON NOMBRE DE TRAITEMENTS NATURELS SONT EXPLIQUÉS.

ATTENTION À LA JALOUSIEUPLE CO DANS LA RELATION DE

s nicieux de la jalousie dan Voici quelques effets per le couple : uemment associée à l’in • La jalousie est très fréq bien ai ser le je le, idè inf fidélité (« Si elle est

252

5.03

L’adversité

plus »). ent. se détériore sensiblem • La relation conjugale aît. par dis ive cat signifi • La communication agressivement et les eng pro nt tei s’é ur mo L’a • . gements disparaissent témoignage négatif un ent oiv reç s • Les enfant eloppent une attidév et le de la relation familia pétrer dans la génératude qui tendra à se per tion suivante.

200

Personne n’e st exempt de suivants so s épreuves. nt une sour Les domaine ce commune s à un résult • Les rela à l’adversité at parfait ou tions : Les : immédiat. problèmes ment en rai conjoint (vo C’est précisé sé son de l’adv rie ux avec le ir p. 270), ersité que tan av ces sont en ec la famill les amis. les circons notre défav e ou avec eur, et il n’e liste d’atte • Le trava nd st pas réare des solut il : La perte ion s parfaites. • Ne pas se de l’emplo diminution i (voir p. 26 lamenter su des revenus 6), la r le passé. tion autom , les blocage veloppemen C’est une réa atique et pe s dans le dé t de la carri crn ici n’i ère eu m se de dire, po profession rte quel malh • La sant face à nelle. é : Une mala eur : « J’aur Pourquoi n’a die sporad ais pu l’éviter… rompt la vie i-je pas fait ique qui in au normale, ou tre ter terment ? » Se sur le passé maladie gra le diagnosti lamenest une sourc ve (voir p. c d’une peut s’éviter e d’irritation 244). en contrôlan que l’on • Les finan t la pensée. du passé pe ces personn Le uv s ell erreurs ent être co es : La perte nus, de mau nsidérées co source d’app de revevais placem mme une rentissage po ents, la fai nances fam ur éviter les du futur. M llite des fiiliales (voir problèmes ais elles ne p. 266). • Les accid do ive dé nt jamais êtr rées comm ents : De la e une source e consicirculation (voir p. 26 de frustrati , domestiqu • Considér 0). on. es… ez la finitu 4.02 de L’ampleur de a l’a pa s dv de mal qui ersité. « Il des épreuve dure cent an n’y s varie beau plus divers verbe castilla s », déclare ifiée encore coup, mais n. L’expérien un proest la manièr encaisse les ce nous en bien que les e dont chac malheurs. sei gn co un e nt Ce qu rariétés soien rtains supp e, ficultés avec départ, elles ortent les dif t alarmantes déterminati perdent pe on, alors qu au dépriment. u à peu de la personne e d’autres Qu’est-ce qu leur intensit se reprend se i nous habil é, les obstacle pr og et res fin ite sivement en s avec force alement ell à affronter main e trouve de de caractèr La , e et équilibr s solutions. • Ne pas s, transpirationréponse se trouve dans e? généraliser. ion, palpitation la résilience citéesà affro Un acciden ce d’autr nter les dif nxiété : agitat ou la capasen l’a est pré lié en ., t à fic es ou un domain ultés avec une perte ent, etc embarsuccès. e défini de présence d’autr et nous de honte, bégaiem ptômes sont Que notre exist l’inhibition en vons évite ence mme ces sym faire face situations soLa timidité est r de l’appliq autres. Par personnes. Co à l’adversi évite et fuit les nise. uer à tous ide ren ex pé tim ten em s se Le e de ple t es. int les , Il en té la perte de co ? personn grande épreu lui inflig rassants, la cra l’emploi est e ti- nvient de : ve ; mais m nné qu’elles personn finit do e une La nt nn c. éta rso bli • pe les pu êm la vo Co cia e ainsi, no ns conserv m prendre qu rler en it sultat : pa do Ré e de e. ’ell us er igu ne psqu in gê po fat e l’adversit tact notre s d’a u• La rage lor mille, les am Tobsrelation av ut le monde sions et de la é est univ s des occasion tement son cou ec la fais, les valeu erselle. doit passer ne profite pa mide perd for auditoire. L’o rs et les au qui nous pla dif ultés. par des pein par s’isoler et upe ou à un tres choses nt En fait, à reg isent et no es et des mefic iveno . sser à un gro ess ial dre exc soc s’a us nt ard ge réc vie ssa er ma de us onfortent. is notre ento • Considér prenti est tel qu’il urage, comprend tro rle auen trouvero ez ce qu’il tacle naissant nt du timide personne pa pires condition ns toujours d’autres da y a de posit versité. Tout x Le comporteme s. Compren btenir que la ns de if dans l’a e expérienc noieu ddifficile d’o dre cette réa us aider à m blème très sér damentales : e pro co fon m s nt un ais rar on nt tilit d’e ati iante est am e vie é ieux suppor lle, nous po de peut nifest e timide reère, . La personn ter notre ch uvons extra groupe. Cela l’expérience de la personn • Ne pas être trop s rencontres arg n s ire de de t sio e. les en fes ter leçons de et em tex pro de la vigue exigeant en e la de pré s squ • L’évit lor yen Fa ur. mo ex ce ve pé les En rs nous-mêm à l’adversité riences diffic se rappelan r tous ables) vail public. , chacun do t les iles du passé es. mide tente pa toires incroy e quiert un tra chur nous appr e po it fai (du début à etbltou is par des his enons pres la fin) s, une fête idité est vaste blèm ons réparer le mal ou ré re son possique toujou excuses (parfo choses. À la ntre… sans s’effo un rendez-vou soudre le ance de la tim à mo rs ort er le de ist mp us fin L’i ass gr no s an pr e de des ondrer si l’o l’épreuve, la pour ne pa emplie d’u n ne parvien es vitales, comm personne ren ne énergie n. t pas plusieurs facett aît particulière ou une réunio son caractèr ement timide ré suivant : qui a rendu e plus résist nne excessiv dans l’encad rso Pe pe rle an de s La t. s ue é. de la Sagesse • L’anxiét s physiologiq

La timidité

symptôme manifeste les es Conséquenc es individuell

par sa malheureux de Le timide est loerve la personne condition. Il obs e et aspire à être t entreprenant

es Conséquenc nelles interperson on réente pas de faç Le timide n’alim appauoins sociaux et bes ses ière gul nir. es à les entrete vrit ses aptitud tes amoui t des conquê

Antique « Il est celui es qui nous con Conséquenc sole dans tou s de lle la part de Dieu tes nos afflict professionne , nous pu ion ission

s, afin

s consoler ceu « Re que par la con x qui se trouv nner de gardez comme un suj solation dont voué à abando que l’épre et de joie com ent dans l’a nous som Le timide est uve de votre ffliction ! » plète les div nels foi produit la (2 Corinthien mes l’objet hés profession ers ouc es ép déb reu ux ves auxquelle s 1.4) patience. » nombre r ulie rég t (Ja s vou tac cqu s pouvez êtr es 1.2-3) un con e exposés, sac qui requièrent hant personnes. avec d’autres eféralement les tâches gén ê


J’apprends à vivre RECHERCHE 28

1.04

i L’estime de so

Les avantages physiqu es d’un esprit positif

David Sobel et Robert Ornstein (2000) ont rec ueilli des preuves empirique s des avantages de la pensée positive, de l’optimism e et de la sensation de maîtrise de soi dans les dom aines suivants de la san té : r • Le su syst ème immunitaire. La saliv de soi e humaine contient de l’estime des substances chimiqu L’influence es qui nous protègent des ment infections. Leur niveau rde protection est plus élev le comporte porte à la pe ap i é so les de jou e rs où tim nou es s e nou r s nn sen leu bo ton va e s : heu e Un reux et satisfaits que ceux où nous som psychologiqu tre -ê en t bi ec me un sp s tristes. sonne sécurité, re • Le cancer. Dans une sentiment de fis. Au étude, on a appris à personnelle, fronter les dé af un ur po gro e upe rc de patients atteints du ns de soi et fo les amis et da cancer à penser de famille, avec façon positive et constru e tim es e travail, dans la nn ctive ; on leur a aussi ene bo ux qui ont un seigné des techniques résultats. la société, ce de relaxation. Les anticor t les meilleurs en ps nn de tie ces ob pat le i ien ts se sont révélés beauco de so t une faib up plus ac, ceux qui on tifs que ceux des autres ur po Au contraire is un m pat ien ts. se sentent dé • La longévité. On a estime de soi et sont donné à un groupe de s problèmes personnes âgées vivant en affronter le maison de retraite l’oc chec. casion de faire leur choix conduits à l’é es ise va à au pro pos de petites choses t, une m (le type de petit déjeun Concrètemen la t en em er, meilleur jour pour fecte négativ voir un film, etc.). En faisant time de soi af ières : cela, ils se sentirent plu plusieurs man de e s nn sati rso sfai pe ts et plus heureux. Une n. sio es année et demie plus uire à la dépr tard, le taux de mortal • Peut cond oité de ce groupe était olaire et pr de 50% inférieur à ceux qui rendement sc n’avaient pas eu la pos • Affecte le sibi lité l. de choisir (voir l’encadré . fessionne es ell de nn la p. 73). so ions interper • Les suites postopéra lat re les re rio toires. On a recueilli des • Dété donà la boulimie. études ré- nées de la personnalité de patients sou à l’anorexie et pendant, des mis à des • Contribue Ce s drogues. i. tre so au opé de et e en rati ol ons égoc du lco estim n cœ d’ l’a ur s no en de ce les ns ur ge rép io so sa arti at ssant en deux caotiv urrit • Est liée à l’u nnent des m s autres tégories, les optimistes et les t que ce qui no centes mentio pessimistes. En comen faveur de ment, on a di -paraison avec les rts déployés va fo c’est sa situa es ef Traditionnelle s n, nn ai de , bo m s es pes hu simistes, les optimistes triqu idéal et de i chez l’être se rensi, avoir mirent plus rapidement posséder un l’estime de so te). nce sociale. Ai et le fait de de leur opération, fure on, sa reconnaissa de la p. suivan ais et ré m e ad vé lle nt nc be éle l’e mo e n r ins tio atteints de complicatio , un (Voi ce rs. an ch leu la de s ns et reprirent ausside ce, tôt leurs activités et leur travail sont de l’intelligen n bo un et s passe-temps. de luxe une voiture • La santé en généra l. On a demandé à des participants d’élaborer une liste d’événements pos itifs et négatifs qui, selon eux , leur arriveraient dans les prochaines années. Deu x ans plus tard, en exa minant l’état de santé de TIME DE SOI ES ’ L DE N cha IE cun d’eux, on a découLE SOUT roba-vert que, comparés à ceux qui avaient une façon s paroles d’app quemment de pes fré sim z iste ce on de on • Pr se sentir ragement. voir l’avenir, les ent enclins à tion et d’encou s. nt particulièrem rent excessivement ns vos message da ifs sit Les enfants so pa optimistes qui po m yez se co So • ’ils se qu à t e fai nc da inférieurs, du mparaisons. s qui ont ten envisageaient ites et de • Évitez les co is et camarade , plus beaux os de leurs lim avec leurs am ts, plus malins ntez pas à prop for s positivement le isa plu pla e m Ne m • considérer co . itéur lpabil fut leurs défauts. de moyens. présenntiment de cu enter l’eset ayant plus mation du se iles pour augm for ut la nt ez so en s taie nt év r. Pr nt moins de iva eu • su m s hu eil e ns nn co bo s Le s d’être de s enfants : symptômes de • Efforcez-vou time de soi de maladie.

se prendre en

charge


J’APPRENDS À VIVRE COMPORTE LES PRINCIPES DESTINÉS À UNE VIE MEILLEURE, PAR LE DÉVELOPPEMENT INTÉGRAL DE LA PERSONNE, DE L’ESTIME DE SOI, DE LA PENSÉE POSITIVE ET D’UNE INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE SAINE. significative.

ATTENTION A LA

TENDANCE À LA REPARTIE

Une des barri ères la plus fré quente à une écoute est la bonne tendance à la • Regardez-le réplique, qui préparer men dans les yeux consiste à talement la ré . ponse alors qu • Imaginez qu cuteur parle en e l’interloe vous avez à core. Cela prod rendre compt ui ta t une rupture de la commun ils de tout ce e en détotale que l’on vous ication, on ne dit. reçoit plus de sinon les seuls • Pe ns ez messages, que tôt ou ta que l’on envo rd il deviendr ie. Évitez cette en suivant les vous n’avez pa a évident qu tendance conseils ci-ap s écouté. e rès : • Prenez la fe • Co nv ain quez-vous qu rme résolutio ’il n’est pas co n d’écouter. ser vagabond • Considérez rrecte de laiser votre pensée que votre répo lorsque d’autre nse sera seulem parlent. quate lorsque s vous ent adévous compren drez complètem « Celui qui ré message de vo pond avant d’ ent le tre interlocute avoir écouté fa ur. de folie et s’a it un acte ttire la confus ion. » (Proverb es 18.13) 40

1.07

de relaxation Les techniques simples méthodes très efficaces Il existe aujourd’hui des et plus des gens plus souple pour rendre le travail titives sique et les tâches répé digne. La fatigue phy breuses nom très de s dan aru ont pratiquement disp qui , nombreux sont ceux professions. Cependant et souhaigue fati de , tion trac se plaignent de con prier faut, dès lors, s’appro tent s’en libérer. Il tiques de repra et ples sim ues quelques techniq RECHERCHE laxation.

J’APPRENDS À

Les effets ps salutaires La relaxation du cor de la musi mis au sou nt que est forteme ain hum e ism gan L’or Deau nodes mbreuses ét e des douleurs au nive udes démon stress ce qui impliqu es,né effe halé trent les ts bé ainsi que des cép fiques de la ac, om l’est de ou s musique da muscle di sm ve lque rs que ci do Voi ns e… aines de la cardiaqu me ryth du ion sa érat nté. Voyons quelqle l’alt ue: ne relaxation corporel s exemples. bon une r pou seils con La musique de et a été utilisée co mme moyen s’agit d’un moyenclirapi nique pour • La respiration. Il : crispation. la et re colè la cre • vain Atténuer la accessible pour en do tout uleur chez t profondément, tients en gé des Pratiquez-la en respiran en expi- riatrie atteints d’ar pale thorax) puis(M cCaffrey, 20 thrite dilatant le ventre (pas 03 , ). fois On cinq a exposé les rticipants étez quatre ou pa à rant doucement. Rép ce tte es Fait e. ét ude à une séance de respiration normal ensuite revenez à une oùmusique de 20 minut orte par jou r, puis on les es par jour, peu imp a cela cinq ou six fois co s m dan gr ail, ou voiture, au trav pe témoin qui re parés à un vous vous trouvez : en sta it s en da vou vir de ns nt on un nement silen s votre lit ava cieux pend une salle d’attente, dan ceque tem lqu’ ant ps.un. Les personn en parlant avec es âgées qu bé coucher, et ce, même né fic ser iai quis i en d’es s t de la mus , efforcez-voutenu ique ont ob Lorsque vous respirez unce e ré aux duction de tan pas d’impor ez cord la n’ac do 66 et ule rire % ur de (selon eux) un sou et de 50% (se pent. chercheurs) lon les sujets qui vous préoccu pa llequsorter rapport au groupe tém que te oi por n N’im e. i conser vait • L’exercice physiqu le même ni peracit capde e au doéule ptée à votrve ur. d’activité physique, ada on • Le xati rela tr une ai te orte m app , en âge t du stress sonnelle et à votre r de gn s enseits prat au niique veau primair L’exercice doitanse e (Cheek et physique et mentale. al., 2003 ; cun à cha ). Un être adapté groupe de ch a effectrela de façon régulière et doit er cheurs au une étude se ué xer viennentgnàan sur des ense en effet, certains par tspou en tra ir d’au itemen que s alor nse t ps inte rt yc hologique clinique à ca moyen d’un spo use du stres it . suff le quil tran s. ade re La çut une thér moitié tres une promen apie accom pagnée de ture prousiqpéra ue, l’a L’eau et samtem utre moitié • Le bain qui délasse. , la mus ha th on bit ér xati ue apie rela la lle (sans mus ue sur duisent un effet bénéfiq groudou tonifieique). Le premier pe ache réduit ou une ple plu sim s bain sig Un nif ire. icativement cula son stres eressur quel’alt le second rapie, basé les muscles. L’hydrothé • Contrô d effet groupe. r l’anx a unlegran et froide, iété lors d’ giograph nance de l’eau tiède une anre. coillai rielle etiecap rona ion arté rienne (Cam bell et al., 20 min calmant sur la circulat p03). Daé-ns ce contenu , parréleur tte alisée à l’hôp étude Les bains d’eau de mer , ital rne étion inte géné des de ral de Kingstonsécr (Ontario, Ca ral, stimulent les glan nada m i

) on a

i d

VIVRE


Les problèmes centrés sur le moi (I) 2.01

L’insomnie

92

2.02

L’hypocond rie

es se plaignent de De nombreuses personn prennent beaues tain Cer ir. ne pas bien dorm meil, d’ausom le ver trou à ps coup de tem par interou tôt trop t illen res se réve ffrent d’un enmittence. D’autres sou . Diverses semble de symptômes en ce que statistiques coïncident ulation se 30% à 40% de la pop ffisante plaint de la qualité insu seuledu sommeil, alors que nosment 3% à 4% sont diag me tiqués cliniquement com insomniaques.

L’hypocon driaque inter n’importe prète de faç quel sympt on irréaliste ôme physiq lée est perçu ue. Une cé e comme un phae possible brale, un m tumeur cé al de ventre rélui fait pens du colon, ou er à un canc de la toux er à la tubercu breuses pe lose. De no rsonnes an m xie uses et peu bien que n’é sûres d’elle tant pas av s, éré dans un plet, tende diagnostic nt à posséde co mr quelque qui peut êtr trait de ce e corrigé pa type r une bonn tale, selon e attitude m les conseils ende cette un ité thémati que. Que fa

02

• Allez ch ez votre m édecin de co lui de vos nfiance, pa craintes et rle anxiétés. Si grave, acce ce n’est pa ptez-le com me tel et n’ plus le diag interrogez nostic. pa • Ne chan gez pas de médecin, consultation et n’ all ez en consultati pas d on comme liez faire vo si vous al s courses. • Si vous so uffrez d’un stress excessi ganiser vo f, tentez d’o tre vie de m ranière plus car le stress tranquille peut aggrav , er la situatio • Si votre n. activité est ennuyeuse, maintenir cherchez à occupé/e vo us par une au votre goût tre activité , ou de servic de e humanita • Une rela ire. tion d’aide es t fondamen conjoint, vo tale. Votre tre ami ou un conseil être la solu ler peuven tion pour t donner lib sentiments re cours à vo et trouver s l’équilibre • Favorisez nécessaire. un style de vi e sain. Ne ne buvez pa fumez pas s, alimentez et -vous bien, comme il fau reposez-vous t… cela vous apportera le et la foi en votre prop bien-être re organisme régénérateu en tant qu r de la sant e é.

ire de ce problè

2.05

me ? Assez fréqu emment, l’h CONFIEZ-VOUS ypocondrie dans un co prend racin nflit psychi Á VOTRE M e que. Donc, ÉDECIN de voir s’il ex il est importa iste quelque 124 nt perturbation maladie da 0 Éta nt do ns l’enfance : un2.1 nné sa tenda e longue , des conflit nc tions conjug e rigoureuse et l’hypocondri s dans les rel ales, de la méticuleuse aque est fru aculpabilité, , stré et fâché d’infériorité decin ne do un sentim lorsque le mé nne pas l’im et d’inaptitu ent portance qu ladie. de, des cra de ce problèm i est du in tes e à sa mae, ou souven … Parler manière d’ Si ce dernier ir traumati sant, est un lui suggère en qu’il e soucier pour confiance dis attaquer la racine. ce qui, en réa est en train de trop se Un ami de posé à écou lité, est « pe le patient est ter tout en pect et la co u de chose offensé et se gardant le nfidentialité », rend à une tation médic res pe ut autre consu être la solut ale pour voir Si le pr lob ion si aill , de lèm . eurs on trouv son ennui. e persiste, il troubles es autr des ce e la cause ter éren est un psycholog nécessaire de Si L’insomnie, à la diff vo co us ue avez tendanc ou unfille nentnsulC’est-à-dire ren ive. app ps lis s ject yc er sub es hi e e de à atr ant jeun s vous soucie trasnqde e. On peut ladie, prene r, plu uillisants et r trop de la a une claire compos Chaquelejou z une décis entutimaplsus so en s an l’ob s xio ion ferme : elle confiance en e : de t relativement bien, mai lytserv iques, mais boutlim croyez et ay celaiqu tement uv l’a s’avè inut porplus qu’il y a ceux qui dormen com le ez rience et la pré vis du médecin. Pense ile. en disent dormir nt S’il n’exist utent cerequ’e lles raie dev ls qu’i z que l’expéce pa e pas de ca ration du pra ou éco es, ami s leur qui se plaignent de z fai us che tic re c’e e illés ien son pr . De le forment à ofprat travail. heure éve st un signes qu ondeique une en t tre sen ap pas met pa bie la qui à e ren n x le cas n’est alor te, cen Et si après les copluet mieux, et ceu rri pasque et commen getr pa gravceu examens il est r les cons e et xpedécas de cus qu’ils sont restés ut se eils su cune maladie, démontré qu ment plus ivants : a cert au lit et qui sont convain ’il n’y a réjouisse ce fait, ilà ycau se aine pas

La dépressio n

En ortant pour la santé. Le sommeil est très imp de sérieux e raîn ent e tinu con être privé de façon plus, on et de mémoire. De problèmes de concentrati le jour suince nole som la de ne l’insomnie occasion dimanque d’entrain et une vant, de la lenteur, un s entraînant par aire unit imm nses minution des défe . De d’être sujet à la maladie conséquent le risque ntes signalent réce s ique ntif scie es fait, des recherch et la le sommeil de qualité une corrélation entre 88). p. la de ré cad l’en r longévité (voi

La boulimie

mir. C’est peut-être puisque l’apparence physique ne trahit sieurs heures sans dor tectés, fausses ne que se sont créées de s la personne atteinte et très souvent on de cette subjectivité, jourcadré de tou r l’en (voi nie som ble. l’in trou de ce ur er croyances auto peut diagnostiqu fil i aux hommes, le pro la p. contiguë). Bien que cela arrive auss de boulimie est celui inte atte e onn pers la type de : d’une jeune femme qui d’une adolescente ou ubea ger ntrôlés de man • Souffre de désirs inco abitude, durant ces D’h . fois le seu une en coup se tissement po repas très caloriques, ur réagir av crises, elle ingère des ant que la vienne plus solution ne difficile à tro rêter à satiété. s’ar de le de pab inca t uv sentan er. La

a dépressio n est un flé au modern de la santé e dans le ca mentale. C’ est le mal te des cons qui figure ultations ps à ychiatrique ogie cliniqu s et de psye. Et il est en hausse a dépression : on estime dépression occupera la engendre : deuxième pla uses de mala • Un état ce parmi die et hand d’âme d’un icap dans le urs de l’ann e intense tri nent des ple monde ée 2020, im stesse. Surv urs et le sen médiatemen aladies card ientiment de dé souvent sa t après iovasculair sespoir, trè ns savoir po es (Riu, 20 s 04). c ses variatio ur qu oi . • Un manqu ns correspon e d’ entrain po dantes, la dé ffecte les en ur toute ac aucune mot fants, les jeu prestivité. Plus ivation. M nes, adultes âgées ; les ho ême pas po tés ou la co et permmes et les ur des activ mpagnie de femmes ; les s classes in ipersonnes memférieures, m • Perte de préférées. oyennes et l’appétit et gions riche éle du poids. Il vées ; s et pauvres cun appétit . n’ L’O y a plus aude cent mill MS estime à n’importe qu’il ions de perso quelle heur même pas pour les plats nnes dépres monde. e du jour sives les plus délic certains cas ieux. Dans le patient ép uver une fo rouve un ap sif. rte contrarié pétit excesté ou une pation, ou grande se sentir str • Altératio essé par l’e ns du som ’implique xcès de m eil pas nécessa . L’insomni fréquente, en irement la e est la plus anmoins, co re que souv dépresces altérat ent la dépress compagne ions émot d’un excès être l’avène ion s’acionnelles de sommeil ment de ce ra teu r. non régéné lle-ci, et il s’a lant de ma git d iè

• Emploie des procédés inappropriés pour éviter que la nourriture te méthode la plus fréquen ne la fasse grossir. La isde provoquer le vom (80%-90% des fois) est s gé. Les autres manière sement après avoir man d’une surdose de laxa de faire sont l’ingestion ore de lavements, ou enc tifs, de diurétiques ou et physiques excessifs la pratique d’exercices compulsifs.

auz-vous au lieu de vous attrist er !

sées) Action interne (les pen

n ez pas. Prenez soin de • Ne vous sous-estim vous-même. Admette de ime l’est er inu pas dim ra nez-vous des objectifs vos points forts et don vos points faibles. Pen r liore amé r pou les sonnab e également des problèm sez que les autres ont connaissez pas). les ne s vou ent lem (seu La culpabilité (d l abilisez pas à l’excès. N


Les problèmes centrés sur le moi (II) 2

Les problèm es

3.04

liés à l’adol escence

La période de l’adolesc ence tend difficile de à être la pl toutes les ét us apes de la e garçons et vie. Beauco de filles de up cet âge caus lèmes en la ent des profamille, à l’é cole et en so ut, ils en so ciété. Et, su uffrent. rEn même te mps, l’adole sc ence se cara s aspects trè s positifs qu ctérise par i, s’ils sont or blement, se ientés conv révèlent bé enéfiques po nombrons ur tous. Nou sept problè s mes plus fré t apparaître qu ents qui pe à partir de 11 uou 12 ans et ons quelqu es options nous sugpour les aide r.

stime de soi

es complex es d’infério rité (voir p. e estime de 122) et une soi (p. 28) sont très co dolescents urants chez , spécialem ent chez le équences se s filles. Les traduisent par une ba ficacité scol isse aire, par des pr ob d’esprit et lèmes relationnel s, ainsi ar l’incapac ité d’exécut er des s et respon sabilités. parents, le s maîtres et s en généra l se doiven t er toute le ur attentio n pas sous-est imer les ca et les succès de l’adoless observatio ns positives , façon inop inée et indi oduisent un effet spécia l sur ent. HE

L’interact ion famil iale La dyna

LE COMPLEXE CHÉ D’INFÉRIORITÉ CA réaction comt en réalité, une es e ism iss rc na Le soi infime qui à une estime de pensatoire face ter. essaie de s’occul croisez un nartre existence vous vo de s Si au cour raire, tendezïssez pas. Au cont cissique, ne le ha en a besoin. il r ca re et aimable, cè sin ain m e un lui acceptent les narcissiques n’ us to t, en m lle re Natu ns nous poumais tout du moi pas d’être aidés, vons le tenter.

mique fam iliale tend à ment lorsqu changer radi e les enfant cales atteignent l’adolescence la puberté . À ce stade, et les parents ter leur mét doivent réor hode éducat ienionnelle. Le qui a peut style autorit -être fonctio aire, nné à l’âge échouera av de l’enfan ec des adoles ce, cents. À prés tion de sugg ent, il est qu érer, consul ester, donner car par les à compren contraintes dre, Les effets du manque le garçon ou rebeller et la fille peut prendre de s chemins se devons, to indésirable utefois, prév s. Noustend à devenir la proie personne instable enir qu’eLa les aspects n ce qui co que les pare ncerne effets désagréables suivants : nts considdes damentaux èrent comm , ils doivent e fon• Manque d’efficacité. Elle ne exiger avec d’affection ta ct et pas que l’adole beaubien son travail et coup scent les re réalise spses ecte . devoirs ; pas par manque Rendemen de capacité, mais plutôt du t scolaire fait qu’elle ne compte pas Il est très na turel que lesur la nécessaire confiance s jeunes de âge passen cet t par une cren soi. ise sociale émotionnel ou le qui fa•itDépendance osciller les affective. Elle sultats scol rébesoin d’encouragements aires. Lesa pa rents doivent essaye Cette situation r d’être constants. près de l’ado lescent pour handicape cette personne lui proc urer du sou- peu confiante, tien dans puisque, les momen étant ts de découragem elle ne peut faire grand-chose ent, décept ion ou par elle-même lorsqu’il es t absorbé pa r defragile. cupations qu s oc- Derrière une ap• Le Moi i s’interpose nt danormale parence (quelquefois les études. ns Avec patienc e et pertoute-puissante) se cachent des sévérance, ils doivent rappeler à leurs enfant s que les de voirs scolaire doivent être s prioritaires. Il est aussi trè s

malheureu x, adolescen ts conflictu els

étude (Hay et al., 2003 ) réalisée à uze ans de l’Université 132 famille de Cardiff (G s résidant da rent appliq ales, Royaum ns le sud de ués pour s’e e Uni), ont Londres. Un nquérir de effectua un e série de qu l’incidence suivi estionnaires de s pr ob lèm ouvailles la et un entre es de dépres plus surpre tien sion et leurs na nt m durant les e fut que les effets sur la faenfants dont trois mois su iva es actes de les nt l’accouch violence qu ement, avaie mères avaient souffert e ce d’ nt ux une dépres à 11 ans qu peut s’inter dont les mèr sion atre fois plus préter de di es n’avaient fférentes m de probabilit pas soufferts tion, la tend anières, mais é de de dépressio resse et les in di n qu so post-partum es sérieux à e clairemen ins opport uns au bébé . t le besoin l’adolescenc de donner e. depuis ses en temps premiers jo urs de vie po ur éviter

de confiance en soi complexes d’infériorité, et une hyper sensibilité aux critiques et actions des autres. • Conduite de dérobade. En considérant les tâches à réaliser, la personne peu confiante est encline à les éviter, car elles lui inspirent de l’angoisse. • Tendance à la timidité et à la solitude. Elle reste silencieuse ou s’isole. Elle agit de la sorte pour éviter que les autres ne découvrent son « incapacité ». • Tendance à la culpabilité. Elle éprouve du remords pour des fautes d’origine incertaine et ceci rend notablement plus difficile n’importe quelle tâche ou fonction.


DEUX CHAPITRES SONT CONSACRÉS AUX PROBLÈMES CENTRÉS SUR LE MOI, ÉTANT DONNÉ QU’UNE GRANDE PROPORTION DES CONFLITS ET DES PROBLÈMES QU’AFFRONTE L’ÊTRE HUMAIN A À VOIR AVEC LUI-MÊME. SONT EXPLIQUÉES LES CAUSES QUI PROVOQUENT LA DÉPRESSION, LES TROUBLES ALIMENTAIRES, LES PROBLÈMES D’IDENTITÉ ET L’INSÉCURITÉ, PARMI BEAUCOUP D’AUTRES, TOUT EN DONNANT DES CONSEILS PRATIQUES POUR LES RÉSOUDRE. Les effets du narc

issisme

Le narcissique sou ffre des conséque nces suivantes de • Rejet social. Tou son trouble : t le monde fuit sa présence. Person cer une conversati ne ne veut être son on même fortuite. ami, ni amorEt ceux qui l’appro par être dégoûté s de constater qu chent par dépit, ’il n’arrête pas de finissent • Un faible rende se vanter un seul ment. Que ce soi instant. t dans ses études, cissique n’obtien l’emploi ou la pro dra pas beaucou fession, le narp, puisque son tem sur le besoin de ps et ses efforts se briller, et non de concentrent produire. Par aill un objectif élevé, eurs, lorsqu’il ess la crainte de la dé aie d’atteindre route l’enfonce da compétence. ns un abîme de do utes et d’in• Problèmes ém otionnels. Sous la personnalité na instable, solitaire rcis siq ue se cache un suj , qui s’obstine à cac et fragile, her sa vulnérabilité pression en prena . Il peut être en pro nt conscience de ie à la déce qu’il n’est pas ce qu’il feint de pa raître.

3.08

abilité p l u c e d t n Le sentime é culpabilit ffronter la a est t re iv en su m à voie Com t fondée, la on

ec un senilité es nir le pard s vivent av Si la culpab s cas, d’obte ses personne lpabilité eu cu e br m un no é, et, selon le er nd De ig fo rr n co s no la lit de n. lpabilité à des conf gue de r la réparatio ment de cu s conduits et effectue rt à sa collè euse. Cela le sa coup de to au be usse ou dout a us : en ruinant pe a ca et ty in rs ar ce eu M de m s ru ades 2), tendance colportant ent de culp (voir p. 12 im en é l, nt rit ai se rio av un tr fé ître d’in s à se libéCela fit na complexes pa n. t , si tio 2) us ta 19 ré pu p. ré le ne à isme (voir ofond, et el se présente perfectionn bilité très pr à ce qu’elle i constante, ment jusqu’ avec toutes so ur hy rle de to d’ pa n ce if et tio ut de éc rer alléga pardon c l’état cons es. i demande ses calomni l’échec (ave son amie, lu crainte de ur démentir po diss ne ée on , rs e) n fond ou les pe per vigilanc la faute no s autres. et i concerne ée envers le compliqué qu ur us es e ce pl t m un En es dé t s su té es • exigence ée, le proces de culpabili t nn en tio te im or ui nt op nd pr ns : le se e d’une co gouPar ailleurs, usieurs actio t à l’origin up trop ri demande pl lité. Un utile qui es hes beauco la convivia t oc x exan pr ressource ris ap vo e s ôm x et sociau ie, fa er le pt au it ch m ili Év flé sy m ré • fa le et t nt ages le es correcte ts contribue . Les entour souabilité réel an es lp ès aç tr us cu re en de de m e t os ou sentimen (quelque ch que consét exigeants ssi te en ris er au le em al et iv ec i ce ss av so ce en e ci de ué d’une cons réprobation cience étriq . à une cons quelle sert de l’immoralité lpabilité. haitable), la délits et de e fausse cu tels s es un de d’ in ir t sa s en en pa qu s messages prév nt ées avec de n permet de ences ne so ci ns tio ns pe ec s co rf s le pe le er utes . » « La • Contrôl Toutefois, to nique j’ai pu ). urs sont l’i J’ai fait ce ré inférieur re « er ad e s nc Le qu l’e « r » (voi ce monde. n’est pas de sage. » l’apprentis culpabitiation de iments de de rler s sent à avoir Pa . de er ai ch e nous • S’épan de confianc r une i ge am ar un ch t et à dé lité avec s sur le suje sentiment. ce idées claire r s le pa e tension créé NSCIENCE , aide partie de la r aux autres LORSQUE LAT..CO r. Pardonne t ulne bu on le . rd t es pa i TI ce qu • Savoir SE PERVER soi-même, r ne on rd e à se pa . rs une norm ner culpabilité ue pas toujou nsciences é à pardon time de la e ne constit s co de e u est dispos ist ie La conscienc D ex Il y comieu. ie. ; up D s ch co à de flé au ir ré an be ur gr s te • Reco les plus de condui ses et d’autre veau échancetés p scrupuleu nt pas au ni même les m beaucoup tro se pardonne crae ne le i . qu e es ro m qu at s m cip lic lle ré co t la nt pris ce trop indé . icts attenden s péchés so ige ; en str vo ne bi p t Si la tro es « e : nt ut m to n so humai Ceux qui nsent que blancs com viens vales laxistes pe viendront urpre, ils de mpter sur de des autres. Et moisi, ils de mme le po sable de co in co pr en es s sp ug de di , in ro nt .18) ntes 1 so da ïe ls en sa s’i Il est donc sc (E » an est ures et tr me la laine. rselle. Ce n’ leurs extérie dront com ation unive es d’approb son disciple cipes éthiqu Paul avertit ant fléque l’apôtre nnes qui, ay rso pas en vain pe s ue elq nt aux qu ie e ira qu cr e es , pr Timothé conscience r 1 Tioi re (v op es pr rd tri leur es absu ire des chos fa de ts an croy 3). handicamothée 4.2, insensibles, flétries sont équent, es ns nc co r cie pa ns ns et, Ces co transgressio t. de en nt m ta r rte pa pées compo être guide du ne peuvent

Perles de la

Sagesse An

tique

rdonnées, uités sont pa dont les iniq ains 4.7) ux om ce x (R » eu ! ur « He uverts chés sont co pé les nt do et


Mes problèmes avec les autres ERCHE

RECH DANS MES la haine La prévention de straté PROBLÈMES AVEC LES Gerst propose les s adolescents, Dacia de t an ven ine ha lits dus à la AUTRES, L’AUTEUR ir l’escalade de dé bales e En vue de préven r leurs capacités ver : ) 05 20 t, ers les jeunes à utilise t en des au aid e qu -ci si ux ain Ce gies suivantes (G . e DÉCRIT LES s conflits e au monde adult s de résolution de ent entre eux et fac ntr co ren 1.Des programme ’ils qu s PROBLÈMES s des problème do de négociation lor façon naturelle et ie ne vient pas de s. ité tor à de bons sen elquefois l’empath INTERPERSONNELS nt Qu ge ie. ura co ath en mp i l’e qu potentialiser cumentaires, etc. 2.Des plans pour photographies, do s. LES PLUS COMPLEXES, s récits, histoires, éviter des préjudice r leu à e cèr être nourrie par de sin re les décisions co s et une disposition olescents à prend tre ad au les les t s en ver aid en -ci lles ments Ce EN ANALYSANT ement. . ns ort lsio mp l’e pu et de pour contrôler les ester de la colère 3.Des techniques et non verbaux d ire avant de manif ux à-d ba stver c’e s n ge rtu ssa MINUTIEUSEMENT po op ute active des me eur. rectes, au moment er aux jeunes l’éco ents du contradict d’écoute. Enseign mais aussi les sentim es, rol rationn pa TOUTES SES ts les en t en 4.Des techniques em lem opter des comport ndre à lire non seu haine. les adolescents à ad la autres. Leur appre er de tiv et Mo e lèr es. co lèm la de CARACTÉRISTIQUES ionnelle de prob à la manifestation 5.La résolution rat nelle qui conduit mposante émotion co la t an inu ET EN PROPOSANT dim en DES SOLUTIONS DIRECTES, R LE COLÉREUX LES EFFETS DE LA COLÈRE SU mi a APPLICABLES à cause DANS NOTRE leurs familles et amis • subissent la fuite de les avantages sé pas ; le s ère dan act u car end is de leur mauva Bien que l’on ait déf ENTOURAGE flicère, aun au moyen de la col tion conjugale plus con de relâcher la pressio entretiennent une rela as• dép us our enc ues les risq PERSONNEL, jourd’hui, il est clair que tuelle ; parveives ntage auquel on peut age de substances noc sent de loin le petit ava PROFESSIONNEL • sont plus enclins à l’us ées aux perpar Com res. niè ma …) ; nir par de mauvaises qui (tabac, alcool, drogue excès itudes paisibles, celles ET SOCIAL. s élevé de manger en sonnes qui ont des hab • courent un risque plu nt : s’exaspèrent fréquemme victime de propension à être s plu fois tre qua ont • ne ; de maladie coronarien nes ; nd risque de mourir jeu • courent un plus gra chaès apr lité abi ents de culp • éprouvent des sentim ; s ent tem por cun de leurs em

ds. et de souffrir de surpoi fois : colère, pensez-y à deux Avant de vous mettre en préde et sus ces pro le er rrêt il est encore possible d’a urs. venir de grands malhe


Comment affronter les crises (la résilience) RÉSILIENCE : VOICI UN CONCEPT INTÉRESSANT FAISANT ALLUSION À LA CAPACITÉ D’AFFRONTER ET DE DÉPASSER L’ADVERSITÉ. UN CHAPITRE ENTIER EST CONSACRÉ À ANALYSER EN PROFONDEUR DIVERSES SITUATIONS DE GRANDE DIFFICULTÉ QUI PEUVENT ARRIVER À TOUT LE MONDE, ET L’ON EXPLIQUE LA MANIÈRE DONT LA PERSONNE AFFECTÉE PEUT RÉSISTER ET REFAIRE SA VIE EN FONCTION DE SA CAPACITÉ RÉSILIENTE. LES SYMPTÔMES QUI PEUVENT FAVORISER

266

LA VIOLENCE

nts (spécifiquement si vous en v quelques-uns des symptômes suiva Si vous observez chez vos enfants ils qui sont donnés dans ces p conse les ment pratique plus particulière plus de trois), cherchez à mettre en t: pour prévenir le comportement violen L’adolescent Enfant à l’école primaire

5.07 La crise éco nomique ou le chômage

envers les parents, pr • Se montre extrêmement rebelle et de concentration. Bien des pe • Souffre de problèmes d’attention rsonnes passe fesseurs et autres adultes. où l’argent nt par des cir ende provoquer d’autres se fait rare constances . • A l’habitude de faire du mal et pour quelq • Ne respecte pas les droits des autres maines. On sent d’autre ues jours ou fait les ajuste s situations fants. sedrogues. de ments et les usage m quats et fin fait vo ou au l rc l’alcoo va de e ise ou la mort • Prend s comme le sacrifices ad alement on d’un être ch édi•- A tendance à se battre avec d’autres enfants. surmonte la tée peut au er. La perso Néanmoins situation. ssi passer pa nne affec• Manque les cours sans motif. , parfois les r des mom tion, de fru t de mauvaises notes. mmen consta beaucoup t ch Obtien en os • ts es ment. stration et d’exaspéra se compliq plus et l’on • Se plaint de trop d’être traité injuste de ue on si désespoir, riodes d’es nt arrive à un tique dans pérance et suivis de pé • Perd le contrôle de lui-même et se montre très vexé e situation laquelle on réputation. ise mauva de d’ in jeunes es cr iti qu d’autr ià at do i s’ouvre. ive face à un • Se joint it beaucoup que l’on po e porte lui fait des farces. ssède. Dans plus que ce de telles cir personnes Les effets ne son attitude. de cause à constances ts enfan sont exposé autres les se limitent • Est rejeté par , les es à la dété santé men pas au père ils atteignen rioration de tale et pour ou à la mère t aussi les en la l’éviter do : • Est cruel avec les animaux domestiques. fants. L’enc pratiques qu contiguë m ivent mettre adré de la pa elques mes on tre co lorsqu’il en mment les ge ures fermes aussi de la pas patient et est extrêmement frustré enfants so Dans d’autre . perte d’em uffrent • N’est s cas, le prob ploi du père choses. les faire bien à pas e a perte du lèm . n’arriv En e fondamen outre, dans travail et le tal est les cas de ch fait de se tro mage pour indiquent ômage, les uver au ch une longue une recrud statistiques ôescence de durée. La pe conjoint et t un choc ém violence en rte de pédophili de l’emploi otionnel fo vers le e en rt. Non seul sion que pr u’il impliq ement parce ue une inte oduit le chôm vers les enfants. La pres rruption de age condui tements, do ssi parce qu revenus, m t à nt ce ’il implique s be comporaucoup pour ais à une activ une réction d’un raient être év 5.02 ité professio aspect psyc ité s grâc 24 e8 nnelle adéq hologique émotionn uate. el motivé par le nque d’activ ité, de struc ture comtementale, de sécurité, d’estime oi, de sens de la contrib ut ion, de eraction so ciale et du dévelopent personn ourir el. parer à m jet ent se pré travail supp m éviter le su om er, C ns ns da pe lée à une m e ne pas y . Très tôt ultitude esoins psyc un dialogu s préfèrent universelle ais in té s M rta ali tre e. ré hologiques Ce au e bl s un sagréa l’afmort de et émoels et pour La mort est ’il est très dé beaucoup à moins de la qu us er té e no cela sa perte rc es aid ssi m pa en m au ut so anous devient ue toujours r la mort pe la vie nous nter cette ré qu’un jour traumatique pondéré su prêt à affro apprenons . voulez être ivants, en personnes et conseils su nter. Si vous ter. fro les s on ez e on ffr ér as os l’a id à sp ph di conséquen aurons ble, cons aladie en ralisée, nous lité inévita ces frez d’une m nous soit si géné si vous souf avancé : i éveille en r s qu lie trè ie Bien qu’elle e cu hologiqu rv âg rti su pa un la es rt instinct de si vous avez ine mesure, al adéquat. tous d’un fo terminale ou ns une certa crise finan ement soci vivre et, da cière peut un environn i intime est ez am le désir de ch un er provod’ Ch hez celui qu • rent ou rmort. plii en est atte ainte de la pagnie de pe ence d’un pa relative sim cr e és m pr co un int les la La ec ns suivante ez av 5.03 cherch à eft la mort t, pour s: de vous et 252 amentale. Re Cependan ès rtains voien . nd pr és Ce fo au ct r fe af ste inte fatigue et de osées à re nt à peine s personnes par une cra la faiblesse sonnes disp cité et en so ec vous. Ce ente. Parfois, ariations de e activité av eur, du naée les tourm fectuer un poids bonne hum d’autres, l’id . la re de êt re us ett pl ée nsm : ne tra um lle és nt tie umeur luna pr ive en la ist r do ex tique urmentée pa ie de vivre. mort ou, t précisécore sont to des. Vos jour turel et l’env somnie D’autres en de la vie à la médiat. C’es vos habitu du passage routine et avec les cupation parfait ou im circonsue t d’ s oc tre iq n le e lta vo ys e su tio un ez ph r ré ra qu r iv é pa à un rtes de mém ées • Su douleu dversit de la sépa es réaqu’ils oire t être marqu ge 250 ison de l’a r la tristesse il n’est pas matérielles s. Les domain suite à la pa nées doiven ment en ra peut-être pa défaveur, et des épreuve possessions nque d’at dversité : nt en notre ites. te n’est exempt ou d’avec les l’a so e et nt rfa à ers es nn io e pa ch nc n rso un ns ta es m Pe tio êtr de lu com tration. le ndre des so acère eux. une source rieux avec liste d’atte C’est une ré laissent derri ivants sont oblèmes sé r le passé. ts de la crsu ns : Les pr e ou avec ise écson dire, face à lamenter su ill tio se m de la s fa re se pa la om eu Le Ne ec ique p. 270), av • • rnici arables à ce l’éviter… oir atique et pe uxcoqu nt njeoipr J’aurais pu tion autom od(v uienmalheur : « p. 266), la porte quel ent ? » Se lam r m im oi les amis. n’ tre (v au oi t pl je pas fai de l’em que l’on urquoi n’aiil : La perte d’irritation es dans le dé Po va ce ag ur oc tra so bl e Le les urs • s, ssé est un ée. Les erre elle. des revenu ter sur le pa lant la pens professionn diminution mme une r en contrô la carrière te co de vi s rt ée s’é te en ér in ut id i em pe cons velopp ique qu lèmes uvent être adie sporad une iter les prob du passé pe é : Une mal iagnostic d’ sage pour év • La sant ais être cons d’apprentis ale, ou le di ce jam rm t ur no en so e iv vi do . elles ne rompt la oir p. 244) futur. Mais frustration. (v e du de ve av ce re gr ur e de so perte maladi me une Il n’y nelles : La dérées com s fidversité. « ces person la faillite de itude de l’a pro• Les finan placements, déclare un idérez la fin », is ns s va an Co au • nt m ce de ue i dure 266)

La mort

L’adversité


Les thé rapies ENFIN, AU CHAPITRE CONSACRÉ AUX THÉRAPIES, ON EXPOSE UN CATALOGUE DES PSYCHOTHÉRAPIES LES PLUS UTILISÉES À L’HEURE ACTUELLE, REGROUPÉES PAR ÉCOLES ET PAR COURANTS, COMME LA PSYCHANALYSE, LA THÉRAPIE CONDUCTISTE OU LA PROGRAMMATION NEUROLINGUISTIQUE, ENTRE AUTRES. L’

RECHERCHE

émoire Exercice et m

252

5.03

L’adversité

jet est la reertes sur le su uv co dé s re iè capacité men Une des dern physique et la e ic irc ic rt xe l’e pa s e lation entr recrutèrent de Sharp (2003) s soutale. Woo et us âgées, et le s personnes pl de uves re et ép es es un rs je s ve pant iques et di ys ph s ce ci er mirent à des ex ent des tests mentales. e sur le rendem ic rc xe uls l’e de aines, mais se L’influence s tous les dom pa es a ct un fe je s af le n’ t, ètemen mentaux rticulier. Concr npa do en s le ns -u er es el quelqu tés à se rapp ci pa ca s ur le améliorèrent s. par catégorie s à l’exernées classées âgées soumise s ne on rs es pe s le , dans les épreuv De leur côté lleurs résultats ei m de nt re cice obtin rbales. de mémoire ve

(é d r d i

Personne n’ est exempt des épreuve suivants so s. Les domain nt une sour es ce commun à un résulta • Les rela e à l’adversit t parfait ou tions : Les é: immédiat. pr ment en ra oblèmes sé conjoint (v C’est précisé ison de l’a rie ux avec le oir p. 270) dversité qu ta , nc av es sont en no ec la famill les amis. e les circons e ou avec tre défaveur, et lis te d’ il n’est pas attendre de • Le trava réas solutions il : La perte parfaites. • Ne pas se de l’emploi diminution (voir p. 266) lamenter su des revenu , la r le passé. tion autom s, les blocag veloppemen C’est une ré atique et pe es dans le dé t de la carri acrnicieuse de n’importe ère professio • La sant dire, face à quel malheu nnelle. é : Une mal r : « J’aurais Po ur ad qu ie oi pu l’éviter… sporadique n’ai-je pas fai rompt la vi qui intere normale, t autrement ter sur le pa ou le diagno ? » Se lamen maladie gr ssé est une ave (voir p. stic d’une source d’irr peut s’évite itation que 244). r en contrô • Les finan l’on lant la pens du passé pe ces person ée. Les erre uvent être nelles : La nus, de mau urs considérée perte de re source d’ap vais placem s comme un veprentissage ents, la faill nances fam e pour éviter du futur. M ite des fiiliales (voir les problèm ais elles ne p. 266). es • Les acci do ivent jamais dérées com dents : De être consime une sour la circulatio (voir p. 26 ce de frustratio n, domestiq • Considér 0). n. ues… ez la finitu de de l’adv L’ampleur a pas de mal ersité. « Il des épreuv qui dure ce n’y es varie be plus diversi nt ans », dé verbe castilla aucoup, m fiée encore clare un pr n. L’expérien ais est la manièr oencaisse les ce nous en bien que les e dont chac malheurs. se ign co un e que, ntrariétés so Certains su ficultés avec départ, elles pportent les ient alarm déterminat pe an di rd te fent peu à pe s au ion, alors qu dépriment. la personne u de leur in e d’autres Qu’est-ce qu se reprend tensité, se i nous habi les obstacle progressive et finalemen lite à affront s avec forc ment en m t elle trouv er e de caract ain La réponse e des solutio ère et équi se trouve da • Ne pas ns. libre ? généraliser ns la résilie cité à affro . Un accid nce ou la ca nter les diffi es t lié en pat ou une pe à un domai cultés avec rte ne défini de succès. et nous de notre exist vons évite Que faire ence ysique r de l’appliq face à l’ad autres. Par ue l’exercice ph r exemple, la à tous les versité ? “ Il est Il convient perte de l’e grande épre s concernant p de temps. he de : yt mploi est un M uve ; mais beaucoup tro re de d fai e en ur pr m • Compren po la êm vo ps Ce e ainsi, no ns conserve 3. “ u de tem dre que l’a us pour ” Bien que peninvestir un pe dversité es mille, les am intact notre relation Tout le mon s par jour. Ce é aux jeunes. t universe vrai qu’il faut te rv se av inu de doit passe ré ec is, m , t la ge gt les en lle l’â m fa vin valeurs et C’est seule . ec rte on r par des pe qui nous pl difficultés. 1. “les autres choses rcice intense diminuent av xercice, envir eille agilité, pe ines et des l’e En fait, à re aisent et no cu re on , oxe ce pr garder notre us réconfor xerci ités d’e nous en tro • Considér les po tessi commencer un entourage, rmettra d’écontbil nt, grâce à l’e uverons to ur . pe i da po qu ez rd ce ta ce r, x p uj eu qu eu ours d’autre pires conditi ’il y a de po n’est jamais tro mbr es e hum versité. Tout s dans de ilsitif dans l’a ons. Compr jourd’hui de no d’autres tâch de poids, bonn e expérienc endre cette nous aider d-rcice. Il existe au nnes pour effectuer e contrariaam d’exe mais d’elle, réalité peut à mieux su cité. gr ntem e pour les perso iser du temps ica eset amère, m iqu nous pouv eff ys no pp et ph or té ce te idi rci r • Ne pas êt ons extraire notre char l’expérience asse mus mes d’exe grande rap ge. re trop exig lesram prog leçon et de la vigu s. Même la m d’être. Prat s de avec une plus eant envers eur. En se ra Face à l’adv expériences la n’a pas lieu rs qui , 70 et de 80 an nous-mêm s de ppela ersité, chac difficiles du nuyant. ” Ce de plu nt 60 e chez les senio es. en les t rticiper d’au pé es pa lop un doit faire s C’ ve pa “ ite ble pour ré dé no ssé Fa 4. it. us apprenon (du début às’est trouvée son possiparer le m s presque laire la fin) é qui vous distra vous vous entende rveillance. cu vit su cti al ou réso us l’a so blème… sa ez ch to ce qu uj os rci ours de gr qué de l’exe es. À la fin udre le pr ns s’effond e. ” andes de l’épreuve oavec lesquelles t prati rer si l’on ne trava dommageabl emplie d’un , la peon tres personnes parvient pa rsonne rena ou faites-le en x et peut être e énergie pa s pag de la musique e, le jogging z la rticuliè2. est daîtngereu son caractèr sm te C’ de et cli “ m », cy , t re le en an e qu bi us i a rendu e plus résis plets, comm Perles de la Rendez-le am tant. mes. CeLes sports com Sage es. s risques mini t. L’encadré «

sse Antique

rtent de tation compo

r un sport,

ou la na « Il est celui de pratique qui nous co us avez peur casionne nsole dans de la part de pendant, si vo xercice vous oc toutes nos aff l’e Si Dieu, nous t. en m lic tions, afin qu puissions co z mal un simple sie z fas he us « Regardez arc vo m ns e e ole pa qu r la consola r ceux qui se comme un su tion dont no trouvent da ite de , il est possible ur jet de joie co lim que l’épreuve ule la do us int ns la te so l’a at de mm mp ffliction ! » lète les divers es l’objet de votre foi vous ayez (2 Corinthien produit la pa es épreuves chanles r ment ou que rte s 1.4 ve po auxquelles tience. » (Ja ou ap ) m z donc vous pouvez cques 1.2-3 ) être exposés a plus é, et vous deve y cit il pa e, ca ièr tre , sa an vo m chant riés. De toute caop tre gements appr nt assis dans vo aladie en resta s. de risque de m îner votre corp tra en ur po rtant napé qu’en so

lan des idé vous donner nda contiguë, peut le pratiquez pe us vo ue trop. ” Si rme, très légè fo 5. “ Ça fatig en z re se ps, vous .R un certain tem ra régénératrice cette fatigue se s’améli eil m m ment fatigué et so du e la qualité com pelez-vous, qu ce qu’en fin de , de manière à avec l’exercice s reposé/e. vous serez plu


LE LIVRE, STRUCTURÉ DE FAÇON TRÈS PRATIQUE, EST FACILE À CONSULTER. CHAQUE THÈME COMMENCE PAR UNE MISE EN SCÈNE CLINIQUE DU CAS QUI AIDE LE LECTEUR À COMPÉNÉTRER DANS LES SENTIMENTS ET LES ATTITUDES INTIMES DU ‘PATIENT’. APRÈS UN RÉSUMÉ DES FAITS LES PLUS IMPORTANTS DU CHAPITRE, ON TROUVE UN EXPOSÉ SCIENTIFIQUE DU SUJET TRAITÉ, CONCIS, MAIS RIGOUREUX ET CLAIR, QUI COMPREND DES TABLEAUX DE RECHERCHE, D’AIDE DE SOI ET DE CAS PRATIQUES. L’INFORMATION SE RAPPORTE À DES PHRASES DE JÉSUS ET À DES PERLES DE LA SAGESSE ANCIENNE ET SE BASE SUR CES DERNIÈRES. DIFFÉRENTS TESTS SONT PROPOSÉS POUR QUE LE LECTEUR PUISSE DIAGNOSTIQUER ET CONFIRMER TOUTE ÉVENTUELLE SOUFFRANCE. ncés suivants :

E

PRATIQU ent du comportem Modification caprice caractériel un dans le cas d’ t fars été un enfan

C

A S

pondez Vrai ou Faux

selon que vous êtes d’accord

Suis-je opti miste ou pes 1. J’aime pens simiste ? er à ce qui a été agréable da

2. J’aime rega ns le passé. rder l’avenir avec espoir. 3. J’ai tendan ce à voir ce qu i positif en to ute chose. 4. Il faut met tre un peu d’ humour dans ce qui est tra 5. Mon passé gique. a été une cata strophe. 6. Je suis malc

toujou quatre ans, a angé à la Alfred, âgé de choses ont ch anmoins, les Né contrôle r. ve éle à e cil red perdait le Alf re. frè hanceux/se. tit pe n nt. Certains naissance de so p fréquemme tro up co au tes. En 7. Je porte malhe be for s trè es lèr de lui-même co s ur. cinq à six petite ts, en 8. jours, il piquait « Méfiance es ment, ses paren t mère de sûre l’appétit. Finale ychologue. ps e un à l outre, il perdait té. » pe nseils, firent ap ou deux Évaluation recherche de co : à la maison un dit ren vie se la ue serva Comptez 1 po La psycholog parler, elle ob int pour chaq ns beaucoup eut deux en-Com ue V des quat après-midi. Sa ptez 1 point ues notes. Elle elq re premiers én t qu ru is pr pa Il et . pour chaque nfant l’e oncés. ec de la famille av F des énoncé un ts et ren ier pa sif les s restants. ten ec ’in t qu sai In fai tretiens av te ne rp d ré tation : d’Alfre is re pr mè ap la ait e av qu évident iés. Alfred ents inappropr celle- 7 à 8 po sa mère quand De ses comportem ints l’attention de r par ire De 5 à 6 poin att ait uv ait de se jeter Définitivement qu’il po ffis ts su lui Il . ’il bébé qu e du De 3 à 4 poin dir ait Tendance à l’o de up cc re optimiste. enco ci s’o ou ts , ds ptimisme. pie s man er de ma tap sa de e, Tendance au et nc re ter nséque co En pessimisme. er. fng d’a s ma up pa co it au ula be vo ec ne ait av frère et s’occup laissait le petit malaise. t se bafection de son comportemen s dification de ce ses de cri mo s de de n ion pla rit Le pa jectifs : 1. La dis rmale. sait sur deux ob mentation no ali ELIGION ET SUPERSTITION e un à r ou ret s: a colères. 2. Le ient être suivi it nseils qui deva ua co piq les l u’i ici à sq vo Et à Alfred lor er attention s1. Ne pas prêt lères. co de moses cri ses chaque jour un Voltaire disait que la « superstition est à la reliver en exclusivité ntrant que la 2. Lui consacre mo dé lui ire en seul, tenlui la gion ce que l’astrologie est à l’astronomie : la fille é ur inu po t dim en m ment en n’avait aucune , ils ne écervelée d’une mère très prudente ». nue du bébé lui. Seulement ur po ts ren e pa rès un dresse de ses x et gentils ap eu tu ec aff e La foi religieuse peut s’utiliser comme soutien er. êtr s ng nses pouvaient pa refusait de ma ou quand Alfred pedu dans l’incertitude. Dieu promet : « Je suis avec in so ent. e de ses colères dr à pren r à collaborer s en vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde » (Mat3. L’encourage s’oublier. de t rai ett rm l re: le tit. Cela lui pe rtance lorsqu’i thieu 28.20). nnner de l’impo ma do de lui re s ett pa une rm pe 4. Ne ger. Ne pas lui ait de ’il qu Cet énoncé vient du Créateur et Sustentateur de rte so fusait de man as, de heures de rep cer le plan ger entre les l’univers et vaut la peine d’être accepté. Méditez prié. Commen pro ap nt me l’appétit au mo préférées. ces paroles, essayez de prier Dieu et de lui raconnt ses recettes bons « de n en lui prépara tio cumula système d’ac lorsqu’il ter vos anxiétés et incertitudes ; confiez-vous en int po n bo 5. Utiliser le recevrait un eait points ». Alfred ns de petites tâches, mang lui pour que lui, et non les superstitions, vous guide da ait obéissait, aid crises, etc. de à bon port dans tous les aspects de votre vie. s pa it s ua re san vent bien, ne piq e semaine entiè u’il tiendrait un red irait Alf n, . Par bie nt 6. En plus, lorsq ea s tout en mang ée ens un faire de caprice eux une journ ins jouer avec nse » chez ses cous e. ns de récompe objectifs t-être tière en guise qu’il atteint ses onna si bien hutes miquels rec s de t Le plan foncti eu y e semaine. Il considéré dès la premièr problème fut tique rès un mois, le ssible Perles de la Sagesse An nimes, mais ap . tion si comme résolu

se prendre en charge

V

De 0 à 2 poin ts Définitivemen t pessimiste.

R

lui de tous vos soucis, car « Et déchargez-vous sur vous. » (1 Pierre 5.7) lui-même prend soin de

F


ESPRIT POSITIF, EST UN GUIDE PRATIQUE POUR TOUTE SITUATION. L’INTÉGRATION DE SES MÉTHODES DANS LA ROUTINE PERSONNELLE SE TRADUIRA, SANS AUCUN DOUTE, PAR UNE VIE PLUS SAINE, PLUS ÉQUILIBRÉE ET PLUS HEUREUSE.

Perles de la Sagesse Antique « J’ai constamment l’Éternel sous mes yeux ; quand il est à ma droite, je ne chancèle pas. Aussi mon cœur est dans la joie, mon esprit dans l’allégresse, et mon corps repose en sécurité. » (Psaume 16.8-9)

UN ESPRIT

POSITIF

Phrases de Jésus « Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11.28)


UN ESPRIT

POSITIF

Un esprit positif fournit des outils face aux défis que souvent nous éprouvons des difficultés à affronter. En un seul volume, ce manuel propose un catalogue complet de situations problématiques que chacun d’entre nous rencontre. Les difficultés et les différentes façons d’y réagir sont analysées avec aménité et rigueur technique par un auteur qui est déjà un communicateur émérite, ayant derrière lui des décennies de réussite en tant que professeur et écrivain. Pour affronter ces situations, l’auteur présente des techniques précieuses de prise en charge personnelle qui font référence à des psychothérapies professionnelles, ainsi qu’un grand nombre de traitements naturels. Un guide pour une santé totale de l’esprit, accompagné d’orientations et de remèdes pratiques qui, dans de nombreux cas, sont d’application immédiate, sur : les principes d’une vie meilleure, les problèmes avec soi, les problèmes avec les autres, la résilience (concept intéressant faisant allusion à la capacité d’affronter et surmonter l’adversité) ainsi que les principales techniques thérapeutiques regroupées par les différentes écoles et courants. « Que le lecteur possède ou non le savoir des sciences du comportement, je pense qu’il ne regrettera pas d’avoir lu ce livre admirable. Cela ne lui épargnera pas la souffrance, mais empêchera le mal de s’emparer de son esprit » (extrait du Prologue de José Luis Pinillos, de l’Académie royale espagnole).

JULIÁN MELGOSA est docteur en Psychologie, ancien recteur de la AIIAS (université internationale située aux Philippines), ancien professeur à la Open University (Royaume-Uni) et actuellement doyen de la Faculté d’Éducation de Walla Walla University (Washington, USA). Auteur de Vivez sans stress, Pour élever votre enfant (co-écrit avec Raúl Posse), Les adolescents et leurs parents, et L’itinéraire du couple (co-écrits avec Annette D. Melgosa), tous ces ouvrages publiés aux Éditions Safeliz en espagnol, anglais et d’autres langues, ont connu de multiples rééditions et réimpressions.

ISBN 978-84-7208-124-6

9

788472 081246


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