Flynn Murtaugh
Si J’étais La Fée Des Prunes De Sucre
Si J’étais La Fée Des Prunes De Sucre
Je traverse une forêt, Où la terre est une couche de lin, Et mes petits pieds tapotent la matière comme un faon, Jeune avec innocence, c’est dans mes yeux, brillants et glacés. Dans la distance, là, il y a un château, Orné des bonbons, enrobé des graines de café, Des bâtons de sucre complets avec des rayures pourpres. Et soudainement je suis dépaysée, Et je commence à penser, Ce royaume convoque du royal.
1/15/18
Flynn Murtaugh
Si J’étais La Fée Des Prunes De Sucre
Si j’étais la fée des prunes de sucre Je m’écorais dans les ballets. Je danserais en me dandinant au rythme, Comme des gouttes de miel, Et J’atterrirais doucement, Doux comme un tourtereau.
Je me réveillerais à un chatoiement de peau, Je danserais en bas des escaliers en colimaçon, Petit-déjeuner… Je mangerais des fruits sucrés en pois, Leurs couleurs comme la daurade.
1/15/18
Flynn Murtaugh
Si J’étais La Fée Des Prunes De Sucre
Si j’étais la fée des prunes de sucre J’aurais les cheveux gracieux, glorieux. J’aurais une voix qui luit dans le sombre, Et je parlerais sans regret, Ma figure comme un croquis dessiné sur un pendentif.
Mon palais se vanterait panaché des bonbons,
1/15/18
Flynn Murtaugh
Si J’étais La Fée Des Prunes De Sucre
De la même façon, si j’étais la fée des prunes de sucre Je me déroulerais avec une apparence des fleurs épanouies, Et mon rire comme un verre débordé, effervescent.
Dans le jardin, les oiseaux battent des ailes sous le soleil, Et la rosée sur les herbes est fraîche, Permets à tes yeux à voir cette imparfaite perfection.
Mon royaume et moi sommes un paysage onirique, Céleste et aérien, Occupé par la fée des prunes de sucre.
1/15/18
Flynn Murtaugh
Si J’étais La Fée Des Prunes De Sucre
1/15/18