JRAD SARRA I PORTFOLIO ECOLE NATIONALE D’ARCHITECTURE ET D’URBANISME DE TUNIS
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Mac Tunis, Av Habib Bourguiba, Tunis
Challenge 48h : Un Espace pour tous : Autiste et Artiste La Marsa, Tunis
Café bibliothèque Hay el khadhra, Tunis
24 Logements semi-collectif Gammarth, Tunis
Concours : Master plan de Sidi Salem BIZERTE 2050, Tunis
Séminaire de structure : Musée à l’Avenue Mohamed V, Tunis
Projet de fin d’étude : La revivification Urbaine et Architecturale du centre ancien « Hara Sghira »
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PROJET I
Musée d’Art Contemporain de Tunis
Figure1 : Vue aérienne, source Google earth
Symbolique de l’Avenue Habib Bourguiba L’avenue Habib Bourguiba est un lieu symbolique pour les Tunisiens c’est l’artère principale et le centre névralgique de la capitale. Elle est le témoignage de la mémoire collective du peuple Tunisien. C’est là où se sont passées les manifestations de la révolution tunisienne en 2011. 4
Figure2 : Façade principale du Musée
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Essai de concrétisation des concepts : Croquis et des maquettes conceptuelles
Notre parti architectural prend forme grace à ces deux paramètres 1. La lumière Alternance entre plein et vide, jouer sur les hauteurs entre les trois blocs ; le bloc intermédiaire est le plus haut. 2. La texture L’importance du choix des matériaux (béton brute et du verre)
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Modélisation 3D : REVIT + Lumion 8
Figure 4 : Vue 3D depuis le rez de chaussé
Figure 5 : Vue 3D depuis la salle d’exposition
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PLAN RDC
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FAÇADE PRINCIPALE
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P R O J E T
II Challenge 48h Conception d’un Espace pour tous : Autiste et Artiste
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CHALLENGE 48H Conception d’un Espace pour tous : Autiste et Artiste
Figure 6: Vue aérienne, source google earth
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L’Autisme c’est quoi ?
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ELEMENTS GRAPHIQUES : LES PLANS
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1. S.D.B 5
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2. Wc
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3. Cantine 4. Bureau Responsable
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5. Salle d’apprentissage 6. Jardin 7. Cafétéria
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8. Débarra
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8. Cinéma
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9. Billetterie 10. Salon 11. Cuisine 12. Chambre
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13. SDB
AMBIANCES INTERIEURES Modélisation 3D : Sketchup + Vray
Vue 1 : Salle d’apprentissage
À la suite de plusieurs recherches effectuées sur la qualité spatiale pour les enfants normaux ainsi que pour les enfants autistes, voici les points qu’on a jugé importants et qu’il faut en tenir compte lors de la conception : • Des codes couleurs propre à chaque espace pour aider les enfants à s’orienter. • L’aménagement la salle d’apprentissage doit être flexible car cet espace peut contenir plusieurs activités qui demandent un aménagement différent. • La création des niches ; les autistes préfèrent parfois s’isoler et ces petits coins seront leurs refuges.
Vue 2 : Salle d’apprentissage et la cantine, avoir un espace ouvert et communicant.
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P R O J E T
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III Ce projet est le fruit d’une Interaction sociale, il émane des besoins des usagers de la cité. En effet, entre analyse urbaine, enquête socioéconomique, témoignage des habitants et professionnels on a pu aboutir à un programme fonctionnel. Objectif de ce projet : Initier les étudiants à l’approche participative : agir dans l’espace public en intégrant la population locale dans leur processus créatif.
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Café Bibliothèque à la Cité khadra, Entre culture et loisir pour une cité plus attractive. 1. Enquête
Schéma 1 : approximative des différentes tranches d’âge
Schéma 2 : Absence des espaces culturels et de loisir dans le quartier
2. Parti Architectural
3. Le site d’intervention et son environnement immédiat
Figure 7 : Vue aérienne, source google earth
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contactenocontacteno
l’Ombre et la Lumière.
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Figure 8 : Vue de dessus de la maquette
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P
ROJET IV
PROJET 4
SMART SIDI SALEM, Master Plan– BIZERTE 2050. Concours : Master plan Sidi Salem BIZERTE 2050
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ModĂŠlisation 3D : REVIT + Lumion 8
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Figure 9 : Vue depuis le jardin de Sidi Salem, ModĂŠlisation 3D Revit + Lumion 8
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Figure 10 : Vue depuis la croisette de Sidi Salem, ModĂŠlisation 3D Revit + Lumion 8
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Figure 11 : Vue depuis le parcours de santĂŠ, ModĂŠlisation 3D Revit + Lumion 8
Figure 12 : Master plan de Sidi Salem
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Figure 13 : 3D du quartier de Handloss après notre intervention, stimulation des masses (plein) par rapport au vide patio (jardin parta gé)
Figure 14 : Réaménagement de la placette publique qui relie Handlouss et le nouveau quartier
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Figure 15 : Distribution des espaces verts sur le master plan
Figure 16 : Exemples d’espaces verts
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PROJET V :
24 Logements semi – collectifs à Gammarth 1. Site
2. Programme Fonctionnel Superficie du terrain du projet : 5500 m² Cos : 0,35 Hauteur maximale : R+2 DPM zone Gammarth = 50m
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3. Parti Architectural : L’idée forte du projet était l’adoption de l’approche écologique. Comment arriver à concevoir 24 logements actifs ?
Qu’est-ce qu’une construction active ?
a. Une très bonne isolation thermique et une haute étanchéité à l’air : l’utilisation de matériaux performants pour la toiture et les murs.
Schéma 4 : Composition d’un mur en pierre source internet
b. La récupération et l’utilisation optimale de l’eau de pluie
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c. L’emploi des murs végétalisé comme ‘’ Séparation fictive’’ pour l’intimité des voisins
d. Tous les logements bénéficient d’un éclairage et une aération optimale
Figure 17 : Une vue aérienne qui montre l’implantation du projet par rapport au site
Figure 16 : composition d’un mur végétal
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Eléments graphiques : Plan niveau O
Plan type S+2
Plan type S+3
Plan niveau -1
Plan type S+1
Légende
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ROJET VI Musée.National. O.Q Dans le cadre du séminaire de structure, le projet du Musée Nationale des objets du quotidien a été lancé afin d’initier les étudiants à l’approche structurelle.
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Musée National des Objets du Quotidien 1. Contexte de l’intervention
Figure 18 : Vue aérienne, source google earth
2. Contraintes imposées
3. Concepts
Figure 19 : Plan terrasse montant les deux corps du projet
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Figures 20 : Stimulation de la maquette avec une source lumineuse
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Figure 21: Maquette qui montre la structure du projet
C’est un travail encadré par des Architectes, des ingénieurs (génie civil, béton), 7 jours de travail et de sérieux dans une belle ambiance et d’échanges entre les étudiants.
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Eléments graphiques :
Coupe B-B
Façade Latérale
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Le dernier projet est le projet de fin d’étude. C’est un modèle de plan de gestion qu’on a proposé pour classer le centre ancien de la Hara Sghira. Dans le cadre du dossier d’inscription de l’île de Djerba sur la liste du patrimoine mondial l’UNESCO. Qui s’intitule : « Djerba, témoignage d’une île–jardin au système urbain éclaté et refuge de minorités » Figure 22 : Photo du fort Ghazi Mustapha à Houmt Souk, Source Dossier de classement octobre 2019.
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H
ara Sghira
La « Hara Sghira » est un quartier juif qui s’est construit non loin de la synagogue « El Ghriba ». Le tissu urbain de ce quartier est composé par des rues différentes, étroites et sinueuses. Le caractère dense accentué par des cheminements parfois très étroits est représentatif d’un mode de vie communautaire qui cherche avant tout la sécurité.
Les musulmans et les juifs partageaient une assise naturelle et culturelle assez riche et un mode de vie conservateur. L’occupation exceptionnelle du territoire de l’ensemble de l’île témoigne d’une adaptation créative qui semble aujourd’hui être menacée de disparition ou d’atteinte grave à son authenticité et à son intégrité.
Figure 23 : Vue aérienne de Erriadh, source google earth
Figure 24 : Carte du centre ancien de la Hara sghira et sa nouvelle périphérie, source dossier d’inscription
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Avant L’activité commerciale et les services se concentraient dans le centre du quartier là où il y’a le plus de mouvement. Le Centre constituait un lieu de rencontre et d’échange contrairement au reste du quartier, qui a un caractère résidentiel, Si on se promenait dans les ruelles, on sentait la stagnation. Vers les années 70, la construction d’un nouveau marché a transféré la fonction commerciale de la placette mais les petits commerces continuent à exister.
Etat des lieux
Noyau attractif commercial : Boutique+ marché hebdomadaire
Création du marché municipal ➔ Centre plus attractif
Schéma 5 : Schéma explicatif de l’évolution fonctionnelle du centre ancien Hara Sghira, source auteur
Figure 25 : Carte des fonctions Hara Sghira aujourd’hui qui montre la domination des services à la périphérie, source dossier d’inscription
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Figure 26 : Photos de l’état de l’ancien marché municipal, source auteur.
Années 80 L’ancien quartier juif connait une mutation architecturale, sociale et économique. Il s’est vidé de sa fonction économique primordiale qui s’est déplacée tout au long du nouvel axe principal de la ville. Cette mutation a engendré : -
Des lieux abandonnés Une forte urbanisation dans la périphérie en dehors du centre ancien accentuée par la genèse du nouvel axe commercial.
Schéma 2 : Migration du noyau vers la périphérie, source auteur.
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PROBLEMATIQUE Le cœur de la « hara sghira » est passé d’un lieu de vie dans le quartier d’hier, à un lieu de mémoire noyé dans la cité d’aujourd’hui. Comment réussir à réactualiser ce lieu tant marginalisé et à l’intégrer dans l’ambiance urbaine actuelle ? « La vie humaine renferme à parts égales tradition et création nouvelle. Il est injuste de jeter la tradition à la poubelle en disant que les vieux est obsolète et qu’il convient de le remplacer par du neuf. La continuité est un élément indispensable dans la vie de l’homme. Les villes anciennes peuvent être en parfaite harmonie avec une planification moderne et son interaction avec la nature » Comment la réutilisation du patrimoine peut être un espoir de vie de ce lieu et un acte d’adaptation aux besoins de la société d’aujourd’hui ? Les politiques de valorisation des centres anciens sont-elles toujours efficaces ? Ou doit-on penser à tracer de nouvelles stratégies de sauvegarde et de valorisation durable et plus efficace ?
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Après cette la période creuse, on assistait enfin à une prise de conscience de la valeur patrimoniale de ce centre ancien. D’où l’apparition de plusieurs tentatives de valorisation - Valorisation à travers l’ART
- Valorisation à travers Le patrimoine Restauration, restructuration et reconversion des anciennes maisons : en maison d’hôte et plusieurs autres opérations ont été établi.
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- Valorisation à travers La sensibilisation et l’implication des citoyens petits et grands.
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Vers une requalification d’un lieu Revivification urbaine et architecturale du centre ancien la Hara Sghira I. Emergence Nous cherchons à travers ce projet de fin d’étude, de proposer une tentative de valorisation du centre ancien par son intégration dans une dynamique socio-économique. Grace aux analyses et aux enquêtes déjà effectués on a pu tirer les recommandations et les besoins des habitants en premier lieu puis ceux des visiteurs en deuxième lieu. Nous proposons ainsi la création d’un circuit qui anime l’espace public (ruelles et placettes) et qui donne une seconde vie aux espaces abandonnés tel que l’ancien marché municipal (1), l’école hébraïque(2), l’ancienne maison juive(3) et la synagogue(4). Dans le cadre de ce mémoire on va se concentrer que sur la restructuration de l’ancien marché ainsi que le réaménagement de la grande placette et des ruelles.
II. Revivification urbaine Modélisation 3D Revit + Lumion 9
Figure 26 : Plan masse de la zone d’intervention
L’intervention sur l’ancien marché municipal
Marquage ponctué tout au long du parcours + revêtement au sol + mobilier urbain
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La grande placette réaménagée
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Parcours proposé Comme on a déjà évoqué dans notre analyse, la placette constituait un lieu de vie et le centre névralgique du quartier qui se transforme aujourd’hui en un lieu de stationnement pour les visiteurs ainsi que pour les habitants. Avec une infrastructure pauvre et un mobilier urbain presque absent le cœur du noyau ancien a perdu son âme et son charme. Notre idée été de rendre tout d’abord le circuit (en bleu) en une zone piétonne pour pouvoir ensuite réaménager les ruelles et les placettes selon une logique de rendre ces espaces publics apte pour abriter des activités du quotidiens (d’attractions et d’échanges) afin de peupler l’espace et de prolonger cette durée, mais aussi elles peuvent être un support des activités festives (temporaires).
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Lieux abandonnĂŠ Circuit
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Notre circuit commence bien évidement par les ruelles, leurs traitement s’est fait au niveau des quatre parois : - le revêtement au sol : Pierres locales taillées. - le revêtement des murs : Peinture à chaux et quelques Street-art. - La quatrième paroi (le plancher ou la toiture) est ponctuée par des éléments de moucharabié dans le but de créer le jeu l’ombre et la lumière et de marquer le parcours du circuit proposé. - On a aussi pensé à intégrer l’élément végétal dans notre intervention.
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Figure 29 : l’ancienne place de l’indépendance réaménagée
Figure 31 : l’ancienne place de l’indépendance réaménagée
Le réaménagement de la placette est basé sur l’idée que les usagers peuvent s’approprier l’espace pour se détendre et profiter de la fraicheur que les grands arbres apportent. Petit et grand, simple passant ou visiteur, résident ou étranger tout le monde passent par cette placette pourquoi ne pas en faire un lieu de pause, de méditation là où l’architecture et la végétation s’épousent parfaitement.
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On a pensé aussi 1. A un espace de stationnement des vélos qui est encastré dans banquettes publiques. 2. A dégager l’espace central tout en travaillant l’ensemble avec une trame régulière dans le but de créer des scénarios pour les différents statuts des usagers. 3. A animer le parcours qui traverse la placette avec l’utilisation de la lumière comme traitement au sol.
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N
III. Revivification Architecturale
Le projet Plan RDC
Existant qu’on a conservé Existant qu’on a démoli
Notre intervention par rapport à l’existant
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Le projet ElĂŠments graphique :
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Partie pour artiste RDC Exposition+ Ateliers Etage hĂŠbergement
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Partie pour le Souk RDC Boutiques Etage ateliers d’artisan + Espace de vente
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La grande placette C’est là où on peut profiter pour se ressourcer ; profiter du soleil, de la bonne restauration juive ainsi que du bon poisson et de la Boukha typiquement préparée par les femmes juives !
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Figure 32 : Vue depuis le marché
Marché - Bloc vente d’épices -Bloc vente de fruits et légumes
-Bloc vente de volailles et de viandes
Bar
Bloc poisson RDC : Vente à la criée + restaurant
Restaurant participatif Espace d’apprentissage Espace intérieur Espace extérieur
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‘’ Architecture should make us feel different, if not, engineering should be enough ‘’ Daniel Libeskind
Chaque projet est une trace que l’architecte laisse dans ce monde. C’est un patrimoine des générations futurs, il faut donc se consacrer entièrement dans son travail et donner tout son cœur.
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