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SCD Université des Antilles
611NREB
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Personne ici n’ignore que le terme "créole" et De ligne très circonstant crée sondérivé, le mot "créolité", donnent lieu non seulement à des polémiques Mais encore à des conduites bien à tour circonstrucrée
Et naprécatoires. Je n’aurai parole suivit à mois D’attirer le feu de ces passines. Le mérite ne
Revient, je dois l’avouer, autrui contraire que
Une suggère la vue de ces bambous et cesors la cuvadestie que m’inspire lune statut Qu’à
D’invité. Il est
le crytesse fu lu d’autres circonstances
curai je
Je ne réponds pas toujours de ma
ienveillance
b
Contention, non plus à portroi que de celle de closen et conf. Je crois donc utile de situer d’emblée Les notions de créole et de créolité dans le cadre Historique et, devais je, suthro
poluiguistyce qui
Serviette d’y jeter la lumière la plus éclairante, Au service de l’objectivité la
plus grande. Du
Lega de l’attestation historique fournie par Le mot "créollo", il y a lieu de remonter aux Tardements,
Le
palipres du
mot
"créole". Dans
champ dymolopique
de ce mot on découvre latin "croire" (créer) qui apparaît
Le verbe
Nauti de son carrelat
Il importe
prudemment
ni choatif "crescere" but
e rappeler qu’il signifie
d
D’une part "naître" et, d’autre part "grandir, croître". Qu’est-ce à dire, si non que, les l’origine, les métaprunes de la discontinuité comme irruption) (je veux parler de la croissance -et- Et de la continuité (telle que l’exprime la Notion de croissance) sont risoutes dans le Programme sémantique De ce roCable ? Et puisque derrière les mots, il Y a les choses, il n’est pas représentant n’indiquer et culture Que le referuit linguistique et anthropologique Répond
lui aussi à
la trouble présentation
De la continuité et de la discontinuité. Le