L'Oyapoc et l'Amazone : question brésilienne et française. Tome second

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§ 2302

20

e

LECTURE

VINGTIÈME

Memorandum

( 261 )

LECTURE

Portugais

de

1699.

§§ 1233, 1234, 1789, 1864.

2302.

Quanti le Cabinet portugais adressa au président

R O U I L L É , Ambassadeur de France à Lisbonne, sa réponse du mois de janvier 1699, le Portugal s'était déjà expliqué trois fois officiellement sur la position qu'il assignait à la rivière de Vincent

Pinçon.

Le 14 juin 1637, les lettres patentes du roi P H I L I P P E IV, créant en faveur de B E N T O M A C I E L P A R E N T E la capitainerie brésilienne de la G u y a n e , avaient déclaré que la rivière de Vincent P i n ç o n se trouvait éloignée du Cap d u Nord de trente-cinq à quarante lieues portugaises, ce qui iden­ tifiait le V i n c e n t

Pinçon

avec le fleuve

du C a p

er

d'Orange. (Lecture 17, titre 1 .)

Le 9 juillet 1645, les Lettres patentes du Roi J E A N IV avaient confirmé textuellement la déclaration royale de 1637. (Lecture 17, titre 5.)

E n juin 1688, le commandant du fort brésilien d'Ara-


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L'Oyapoc et l'Amazone : question brésilienne et française. Tome second by Bibliothèque numérique Manioc / SCD Université Antilles - Issuu