4 Projets Plastiques
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Croquis fondamentaux
Chara-design
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46 DĂŠcors
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50 Bande-dessinĂŠe
Infographie
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52 Module de crĂŠation bidimensionnelle
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Workshop : L’addiction à l’oeuvre Comment mettre en place une citation du mouvement du corps dans la peinture par le biais d’une performance ? Il s’agit de la réalisation d’une performance impliquant ainsi le corps en mouvement dans notre projet. C’est ainsi d’une forme de filiation avec les oeuvres, où figurent des corps dénudés ou couverts d’un drapé, mais également d’une rupture par la représentation via la danse. La rupture se fait donc par la notion de la performance, le corps est en réel mouvement.
une forme d’art total. La chorégraphie s’accompagne d’un drapé, travaillant ainsi l’idée de transparence via le tissus léger. L’utilisation du drapé permet ainsi de questionner les notions de spectre et de mouvement. Au montage, sont mises en parallèle les peintures dont les mouvements s’accordent à la chorégraphie. Par une superposition au rythme, des apparitions soudaines, elles apparaissent dans leur totalité ou par une sélection de détails. Le tout est projeté avec un filtre bleu qui donne un aspect fantomatique.
Il s’agit d’une citation de ces oeuvres, d’un hommage. Un passage du figuratif au réel, s’inscrivant dans une gestualité, un mouvement parfois emprunté aux oeuvres parcourant les pièces. Par conséquent, notre projet s’inscrit dans les notions du corps en mouvement, de la frénésie, la répétition, l’accumulation, l’épuisement ainsi que la limite du corps. Ainsi le travail se base sur une chorégraphie mêlant hasard et recherche, des mouvements saccadés aléatoires aux gestes retranscrits des oeuvres à la performance. La recherche de chorégraphie s’inscrit dans le domaine du spectacle,
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Filiation et rupture En quoi l’utilisation de matériaux insolites peut-elle être la description du parallèle entre traditions et modernisation en Corée du Sud? Ce projet est une filiation avec les traditions coréennes, utilisant le hanbok comme liaison et traitant le Jeogori (haut de l’habit) avec du tissus. La présence de l’hymne national coréen, écrit en Hangeul, sur la chima (jupe). Néanmoins, la jupe n’est pas traitée en tissu comme à l’usuelle, au contraire l’utilisation de poches à perfusion questionne la transparence de l’habit, comme sa transparence dans la société coréenne depuis le XXIème siècle. Également une question sur l’habit, le tissus ainsi que le corps. Il questionne son absence dans le projet.
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Sa présentation se fait par un dispositif appelant à la suspension au centre d’une échelle ; représentation de l’ascension économique de l’Asie dans le monde. C’est également un moyen de montrer l’importance du travail dans cette société, où le but est de monter les échelons. La robe est parcourue de luminaires rappelant la modernité et appuyant sur la notion d’absence de corps. Ce projet s’installe donc dans la question de filiation, avec la culture et l’utilisation du hanbok, et de rupture, par le biais d’un dispositif de présentation de l’échelle ainsi que l’utilisation de poches transparentes. Il y a également une idée de prévention suite à l’avancée de la Corée sur le plan technique, médicale et nucléaire.
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Hommage et citation Ce projet se base sur; comment la notion d’assemblage et de parure peut être une citation de l’histoire maoïste khmère et chinoise.
C’est une filiation avec le costume de l’Apsara, l’histoire et la culture choisie. Néanmoins, les matériaux utilisés contrastent avec la tradition créant une forme de rupture. Les photos Le projet prend donc la forme d’une couronne ajoutées sont des images des victimes du génocide d’Apsara, couronne que portent les danseuses royales khmer, de Phnom Penh sous les khmers rouges ainsi que les photo de Pol Pot, ayant dirigé la guérilla des cambodgiennes. Il s’agit ainsi d’un assemblage de Khmers rouges durant la guerre civile. Ce projet a cartons, de collage de photos et de la création des fleurs de la couronne par l’assemblage de pellicules pour objectif d’être présenté avec un tableau de Mao, de film ; afin de questionner la notion d’histoire, de représentant ainsi le leader communiste de la Chine mémoire ainsi que l’idée d’absence d’images filmées de 1949 à 1976. Cet aspect de communication des de cette période khmère, suite à la suppression de idéaux maoïstes aux autres pays de l’Asie du Sud-Est toute image du cinéma cambodgien ainsi que films s’inscrit dans la question de l’oeuvre et le monde. pouvant nuire à l’idée du communisme. Cela rentre Les notions d’assemblage et de collage se retrouvent également dans le tableau, avec des affiches de aussi dans la notion de parure : l’idée de couronne, propagande de la Républqiue de Chine sous Mao, d’habillage de la tête, du costume traditionnel, le vêtement. retravaillées avec du pastel sec.
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Scénographie Le projet se base sur la problématique du chemin de l’oeuvre et de la réflexion à travers le carnet d’artiste. Il consiste en la réalisation d’un carnet de recherches sur une potentielle mise en scène de théâtre, d’une pièce totalement imaginaire. C’est ainsi à travers un travail purement graphique aux jus, aux traits et avec l’utilisation de techniques mixtes que j’effectuerai une recherche des costumes ainsi que des décors autour de la scène.
Il s’agit ainsi de présenter le chemin du projet, son évoution autour de la scénographie. Ce projet regroupe ainsi les notions de story-boarding et chara-design au niveau des recherches sur les personnages. Il s’agit donc d’un travail de trait, du corps figuré mais également du vêtement, de l’éclairage.
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Déambulation dans un tableau Ce projet questionne l’interprétation tridimensionnelle d’une oeuvre bidimensionnelle; et par conséquent de la notion de filiation et de rupture. Ainsi le projet prend la forme d’une installation s’inspirant de l’univers onirique dégagé dans les différents tableaux de Bosch. C’est une décomposition par plans, afin de les mettre en scène dans une installation suspendue, in situ, dans des escaliers, pour questionner l’espace du sensible. Il s’agit d’un accrochage, une suspension afin de créer un nouvel espace, un aspect de théâtralité.
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Ce projet met en avant les notions de superpostion (c’est-à-dire une succession de plans dans une dynamique narrative et plastique), de point de vue et de calques afin de développer une ambiance spéciale. Le spectateur est appelé à déambuler dans le projet. La notion de perspective s’inscrit également dans le projet de par la présentation du sujet. Le projet se forme de six panneaux transparents, tirés de nappes transparentes, avec différents plans peints dessus, représentants des monstres difformes sortis d’un univers onirique. Les créatures démontrent la part d’hybridation retrouvée dans les tableaux.
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Hybridation Ce projet se développe autour de la notion de l’hybridation et du mouvement. S’en suit ainsi la réalisation de plusieurs dessins à l’encre de Chine, représentant sur chacun une évolution, une mutation de l’homme à l’animal. L’idée de mouvement dans ce projet se traduit par l’idée de changement du corps, sa mutation est vue comme un mouvement. La projection est sur le corps d’une personne, une hybridation entre l’animal et l’humain.
Le projet questionne ainsi la narration, la scénarisation, comme un dispositif séquentiel. Ce travail présente la question du chemin de l’oeuvre avec l’évolution de ce premier par rapport au mouvement. Le changement du corps devient alors un mouvement à part entière, on note ainsi l’implication du corps de l’artiste dans l’oeuvre. La question du corps mis en scène est aussi relevée par la présence de la personne en face du travail, par la projection sur un dos. Ceci rappelle également le tatouage et la marque sur le corps.
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