Croquis Projets plastiques Character design Cinéma Arts Appliqués Architecture Infographie Photographie
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À partir des mots «cloisonnement», «cadre» et «provocation», j’ai dégagé une problématique visant à montrer la religion comme un cloisonnement de l’esprit. J’ai donc dénigré un à un les plus grands symboles de la religion chrétienne (Jésus, Dieu, le pape, la Vierge Marie). Ces éléments sont dans un cadre en forme de croix sur laquelle sont placés des barreaux symbolisant une prison. Le tout est posé devant un monastère.
Le court-métrage est un hommage au tableau de Jérome Bosch, La Tentation de St. Antoine. J’ai choisi de scénariser cette oeuvre et d’en faire un court-métrage d’animation racontant l’histoire originale de St. Antoine, lui dans sa maison d’ermite. L’écriture n’a pas un point de vue manichéen, les intentions du court-métrage peuvent être tournées vers
St. Antoine comme vers les démons. La vidéo est mise en scène dans un dispositif de présentation qui représente une boîte décorée d’un cadre baroque et dans laquelle des personnages imaginés en papier sont disposés. Le dispositif est donc en contraste avec la vidéo puisque celle-ci utilise des techniques modernes (animatiion numérique) et montre des images animées tandis que la boîte, avec son cadre baroque, contient des images fixes. Ceci contraste avec les installations des Petits Théâtres Optiques de Pierrick Sorin, puisque dans son cas, l’installation est ancrée dans la vidéo.
Ce projet est un remake d’Olympia d’Édouard Manet ainsi que de La Naissance de Vénus de Botticelli. C’est également une critique de la télévision : le personnage, qui représente le stéréotype de la ménagère, est en contradiction totale avec ce qui l’entoure, des éléments récurrents de la télévision rajoutés en infographie, mais qui pourtant sont des modèles
de mode de vie pour elle. Ce projet est en filiation avec Vénus Anadyomène, poème de Rimbaud : il dénigre la plus grande figure de beauté qu’il existe dans l’art : Vénus. Le fond de l’installation rappelle les oeuvres de Wesselmann ou Richard Hamilton, et plus largement le mouvement Pop Art.
En observant la ville, j’ai pu remarquer deux parties d’un petit lieu de la ville tout près mais très différents : l’un n’est quasiment pas visité mais est très intéressant architecturalement tandis que l’autre est beaucoup plus sollicité mais plus banal. C’est pour cela que j’ai choisi d’illustrer une histoire sous forme de storyboard décrivant un personnage cloisonné par des murs invisibles. Celui-ci est le miroir des habitants qui ne sortent jamais de leur lieu de vie. Les décors du storyboard sont des photos de l’endroit peu fréquenté cité plus tôt tandis que la planche finale est affichée à l’autre endroit cité. C’est également un hommage au storyboard, un procédé rarement reconnu malgré son importance.
Ce storyboard est issu du scénario de L’Exorciste écrit par William Peter Blatty. Le découpage des plans est réalisé par moi même.
LA PIÈCE - Épisode 01 À partir du synopsis imposé suivant : « Sur une place publique, une personne isolée se rend compte qu’elle est observée. Alors qu’elle voit le temps s’écouler, elle se rend compte progressivement qu’elle ne pourra pas sortir de cette place. »
J’ai réalisé un court métrage sous forme de photo-roman racontant l’histoire d’un sans abri à qui l’on ne donne jamais de pièce. Lorsque, pour une fois, quelqu’un lui en donne une, un homme aux lunettes noires la convoite. Après un jeu de regard entre les deux personnages, le sans abri cède et tente de s’échapper en courant. Lorsqu’il veut quitter cette place, il n’a plus l’argent nécéssaire pour en sortir et reste prisonnier du lieu.
Pour voir l’épisode n°2
Pour voir la vidéo : Ce court métrage est réalisé sur le modèle de La Jetée de Chris Marker.
Création de logotype dans le cadre d’une assciation caritative visant à aider les plus démunis. Cette association veut promouvoir des notions de partage, d’entraide. C’est pour cela qu’elle s’appelle Un Piatu in Più (en corse, Une Assiette en Plus). J’ai donc choisi de symboliser le rassemblement en utilisant le cercle en fond et j‘ai joué avec la typographie tout en utilisant les couleurs «noir» et «blanc», couleurs du drapeau.
Création d’un logo pour l’Association Française d’Arachnologie, abrégée en ASFRA. Cette association a pour but de promouvoir les études et la recherche sur les araignées. J’ai donc choisi de représenter une araignée de face comportant a
ses extrémités les couleurs bleu et vert, représentant respectivement la science et la nature. Au centre la couleur est orange, ce qui donne un caractère plus ludique à l’association. Un cercle jaune est placé derrière pour adoucir les formes du logo.