Mag SGP 109 Mars 2016 by Société Genevoise de Photographie

#109

PHOTO Magazine

mars 2016

www.sgp-geneve.ch

Cours

Visite Club

Rallye

Ateliers pratiques Tous à vos manuels

Photobastei Dimanche 13 mars

de printemps Romainmôtier 04 juin

PHOTOG

#109

mars 2016

Magazine

Sommaire

003 Programme du mois 004 Editorial 006 Ateliers 008 Interview flash : Patrick Malo 012 PV séance Assemblée Générale 018 PV séance Concours Münsingen 020 PV séance Photographe invité Timothée Roussel 024 PV séance Photographe invité Tony Crocetta 028 Cours de base 2016 034 Concours internes 2016 036 Expo «Le Remor» 038 Parlons photo 039 Visite club 040 Stages avancés 048 Expositions 054 Exposition Samy 055 Actualité Euro-Photo 056 Rallye de printemps 058 Exposition vue 066 Lu,vu et entendu 075 Hommage 076 Post-it 078 La photo du mois 080 Prochaines séances 082 Contacts 083 Déjà la der

VOTRE PHOTO CLUB

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La Société Genevoise de Photographie a été fondée en 1881 par un groupe de scientifiques, d’artistes... et de financiers. Son premier président, le Dr. Hermann Fol, était professeur d’anatomie et de zoologie ; il pratiquait la photographie appliquée à des buts scientifiques dans son laboratoire de l’Université. Il collabora même

avec le Prince Albert Ier de Monaco, étudiant la photographie en milieu marin. La SGP réunit ses membres dans ces séances durant lesquelles ils partagent leur passion lors de projections, d’expositions, des discussions ou des cours internes. Certains choisissent de se spécialiser en noir et blanc, d’autres en couleur, en laboratoire ou, plus souvent, en photographie numérique.

OGRAPHIE Mars

_______ fondée en 1881 _______

Lundi

19h00 Ateliers 20h30 Faites voir : Le Remor

Lundi

19h00 Ateliers 20h30 Jugement Concours numérique couleur

Lundi

19h00 Ateliers 20h30 Invité : Pierre Bruchez ( PhotoSuisse )

Lundi

Vacances

Programme

de la SOCIETE GENEVOISE DE PHOTOGRAPHIE

Prochain comité : Mercredi 02 mars 2016 à 19 heures.

( Lundi de Pâques )

Maison des Associations Rue des Savoises 15 1205 Genève www.sgp-geneve.ch 3 003

Editorial

Edito

, président idier Rossel

Victime de la mondialisation

Il y a des nouvelles que l’on préférerait ne pas apprendre ... Fin 2015, nous avions vu disparaître Photo Hall, l’un des 3 trois magasins photos de Genève. En février, c’est EuroPhoto qui annonce sa disparition pour le mois de mars et d’après les informations dont je dispose, ce n’est pas le dernier magasin photo romand qui disparaîtra en 2016 ! Il ne restera donc plus qu’un seul magasin photo sur la place genevoise, Photo Verdaine, celafait réfléchir … D’un coté, on entend toujours qu’il y a des clients qui osent entrer dans le magasin, demander des conseils,

voir et toucher le matériel. Il est bien connu que les magasins spécialisés en photo sont de bien meilleurs conseils, avec des vendeurs qui savent de quoi ils parlent. Toutefois, au moment de faire l’achat, ces clients s’en vont au moins chers, sur internet. Quelle impolitesse ! D’un autre coté, il y a cette attitude genevoise ou simplement humaine ? Je ne sais pas. Attitude qui consiste à toujours se plaindre de ne pas gagner assez chaque mois, mais à acheter systématiquement les derniers boîtiers, à posséder un parc d’objectifs à faire pâlir un photographe professionnel mais

« Une photographie n’est pas un accident, c’est un concept. » Ansel Adams

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qui a finalement acheter tout son matériel sur internet. Vous comprenez, c’est moins cher ! C’est vrai, lorsqu’on achète du beurre, pourquoi ne pas garder l’argent du beurre si c’est possible, et tant pis si des commerces de proximité disparaissent. Bien sûr, tous ces comportements peuvent s’expliquer, mais que voulons-nous à la fin ? Sommes-nous prêts à vivre totalement par écrans interposés, avec comme seul vis à vis notre écran d’ordinateurs ? Nous ferons nos courses dans un supermarché virtuel, commanderons notre matériel photo via internet - oups, ça se fait déjà. Nous

travaillerons depuis notre habitation, bref pourquoi continuer à sortir de chez soi ? Ah oui, la bonne raison, c’est au moins pour venir à la SGP ! Même si les cours par internet sont légions, rien ne remplacera le contact chaleureux de votre Photo Club et les débats sur le meilleur matériel au monde ! Bonne découverte de ce nouveau numéro du magazine de la SGP,

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19h00

Ateliers Alors, en manque de moments pour appuyer sur le déclencheur et explorer de nouveaux horizons ?

Création

Les ateliers de la Société Genevoise de Photographie sont organisés pour permettre à chacun, quel que soit son niveau, de progresser dans son expérience photographique.

Depuis les techniques de base, le filé, la profondeur de champ, jusqu’à immortaliser les figures d’acrobatie urbaine de Parkour, le terrain de jeu pour améliorer sa photographie est infini. Nous essayons de varier les sujets pour offrir à chacun un espace de progression.

Les Ateliers permettent à nos membres actifs de venir se perfectionner et d’expérimenter sur le terrain diverses techniques avec leur propre matériel.

Pour adresser chaque semaine vos images aux Ateliers (maximum trois photos), réduisez le fichier JPG à 1400 pixels pour le plus grand côté et nommez-le ainsi : aammjj-NomPrénom-No__ et adressez-le au plus tard avant le jeudi suivant à ateliers@sgp-geneve.ch 006

A intervalles réguliers, une soirée “Retour sur” permet de revenir et discuter sur quelques photos des participants. En discutant cadrage, technique, composition, possibilités, nous essayons de construire une réflexion profitable à chacun. Les ateliers sont ouverts à tous les membres

(cotisation SGP 80.-/an) et ont lieu le lundi soir à 19 heures. Le lieu de rendez-vous est indiqué dans la newsletter qui est envoyée quelques jours auparavant.

Les Ateliers de la SGP sont ouverts à toutes et à tous chaque lundi dès 19 heures. Pour connaitre le thème choisi pour chaque début de soirée, vous devez juste vous inscrire afin de recevoir chaque semaine la Newsletter : ateliers@sgp-geneve.ch 007

Francesca Nessi

Interview flash La caresse du premier rayon - en Toscane, j’ai pu suivre le travail des Butteri, les cowboys de la Maremme. Leurs déplacements étaient rapides, ainsi que les changements de la lumière à l’aube. J’ai réagi vite à l’image transitoire qui s’est offerte à mes yeux, encadrée par un jeu subtile entre brume et perspective atmosphérique. Focale de 200 mm sur APS-C, 200 ISO, 1/500s, f/16 à main levée

Francesca est très active au sein de notre club : elle nous a enchantés avec ses photos en couleur de paysages, et à l’occasion des Faites voir, ses remarques et questions encadrent subtilement et avec humour les projections. En 2015, avec une photo primée et 3 retenues, elle est à la 14ème place parmi les meilleurs photographes couleur de Photosuisse. Qu’est-ce qui te plaît dans la pratique photographique ? Je pratique surtout la photo de paysage, pour moi c’est une panacée. Quand j’ai le moindre souci, je fais des insomnies. J’ai découvert que les paysages m’apaisent et m’aident à retrouver mon sommeil. C’est le cas quand j’y suis immergée, mais aussi pendant le travail de post-production. Je n’hésite donc pas à me mettre à l’ordinateur à 2 heures du matin, s’il le faut.

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Comment travailles-tu ? Quelle est ta pratique ? Que recherches-tu tout particulièrement ? J’ai côtoyé plusieurs photographes paysagistes anglo-saxons. La plupart d’entre eux pratiquent de la photo analogique en moyen et grand format. Ils m’ont appris à optimiser la prise de vue, à soigner chaque détail. Par exemple, l’utilisation de filtres dégradés permet d’exploiter au mieux la gamme dynamique du capteur, et d’assurer ainsi la meilleure qualité possible de l’image brute. Ceci dit, je m’investis aussi dans le travail de post-production. J’utilise Lightroom et Photoshop, j’aime l’instant où je puise dans mon stock de photos pour me mettre au travail sur l’image qui réussit à me captiver. Je trouve du plaisir dans chaque phase du travail photographique, à partir de la planification jusqu’à l’aboutissement

d’une image. J’aime la paix et la joie que je trouve dans ce jardin (pas tellement) secret qu’est la photographie pour moi. Parle-nous de quelques-unes de tes découvertes en photo. C’est la pratique de la photographie de paysage qui m’a fait découvrir la richesse des couleurs des pays nordiques, leur air limpide, l’absence de brume. Une véritable révélation pour moi. La météo de ces pays est pourtant très variable, mais elle n’empêche pas de sortir ! Il y a des astuces pour faire de la bonne photo

même sous la pluie. Ainsi j’ai réalisé qu’un ciel couvert est ce qu’il y a de mieux pour faire de la photo de détail, parce qu’il ne produit pas d’ombres portées. Cela m’a ouvert de nouveaux horizons. Quel bénéfice retires-tu des ateliers du lundi ? Je suis une des animatrices des ateliers. Quand mon emploi du temps le permet, j’y participe. J’essaye de me dire que les sujets qui m’inspirent le moins sont ceux que j’ai le plus besoin d’aborder. J’apprends aussi en tant qu’animatrice :

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ÂŠ Francesca Nessi

Francesca Nessi

Interview flash

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(suite) dans ma profession on dit qu’il n’y a pas meilleur moyen d’apprendre un sujet que de l’expliquer à d’autres. Quels photographes inspirent ton travail ? J’aime beaucoup le travail de nombreux photographes de paysage, comme David Ward, Bruce Percy, Adam Burton, Daniel Bergmann, Michael Kenna. Non seulement leurs images, mais aussi les livres qu’ils ont écrits qui sont fascinants parce qu’ils y expliquent leur démarche. Que retires-tu du club photo ? Qu’en attends-tu ? Les activités de la SGP sont multiples et stimulantes. Les soirées qui nous permettent de connaître le travail de photographes connus autant que le challenge joyeux de participer à un rallye photo. Le club est un melting-pot de cultures et de profils individuels tous âges confondus qui permet de faire des rencontres, de tisser des amitiés qui vont au-delà de la photo. Un milieu très enrichissant.

Quels sont tes projets ? A court terme, j’ai encore un nombre de photos que je veux travailler et mener à bon port. Pour moi, cela implique d’arriver à un tirage ou à une version digitale que je considère aboutie, quoi que j’en fasse par la suite. Quelques-unes partiront aux concours de Photosuisse, ils m’aideront à juger mon travail et à m’améliorer. En même temps, il y a les photos qui n’existent pas encore. Quand je reviens d’un voyage ou d’une sortie-photo, je rêve déjà du prochain départ. J’irai en Irlande le printemps prochain. Ce sera la troisième fois : ses paysages me touchent profondément. Sur le plan de la prise de vue, je cherche tout le temps à développer ma créativité, ce qui, en photographie, signifie apprendre à mieux regarder, à... savoir voir !

Catherine Graf

Quiétude ombragée - La vue de cette allée majestueuse en Toscane m’a coupé le souffle et m’a fait sauter de joie dans mes baskets : l’image était déjà dans ma tête même avant de poser le trépied. Il a fallu un peu de travail sur place pour assurer une symétrie parfaite à l’image, et puis en post-prod pour, entre autres, enlever une voiture garée et un panneau de signalisation. Focale de 200 mm sur APS-C, 200 ISO, 1/13s, f/16, sur trépied

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Séance

Compte-rendu de l'Assemblée gén

C'était à vous de voter

135e Assemblée générale ordinaire du photo club fondé à Genève en 1881

Carré comme sait l’être un format d’image, méthodique et vaste comme le manuel d’utilisateur du dernier appareil numérique, voici le procès-verbal de l’Assemblée Générale 2016 de la Société Genevoise de Photographie. Notre président Didier Rossel ouvre l’Assemblée à 20h40 par la lecture de l’ordre du jour, lequel est approuvé d’emblée, ainsi que la nomination de deux scrutateurs, qui sont Geneviève Féraud et Jean-Claude Irminger. Cinq membres se sont excusés, à savoir : Daniel Collet, Georges Claude, Denis Pierre Meyer, Marcel Mingard, Jean-Michel Revuz. 012

Après approbation du PV de 2015 par l’assemblée, la société a le plaisir de recevoir les membres vétérans suivants : 30 ans : Claudia Läng 40 ans : Heidi Nassenstein, Daniel Charlet, et notre ancienne présidente Magali Perréard qui nous présente quelques-unes de ses photos. 50 ans : Claude Dammron et Patrick Peyer notre ancien trésorier. 60 ans : Georges Claude qui nous envoie un un petit message depuis Marseillan, Marcel Mingard, et Michel Dard qui nous fait partager une anec- dote des anciens temps de la SGP. Tous nos vétérans sont chaleureusement applaudis.

nérale du lundi 25 janvier 2016

Le gentil mot adressé par Georges Claude depuis Marseillan (Hérault)

le nombre d'élèves inscrits au Cours de base 2015. Quel succès !

Je vous remercie pour la lettre qui m’a fait très plaisir. Je ne pourrai pas assister à l’assemblée générale du 25 janvier, étant actuellement dans le sud de la France. Ci-joint une photo de l’embouchure du canal du midi sur l’étang de Thau, à Marseillan. Je lis toujours avec intérêt le bulletin de la SGP, ce qui me permet de suivre la vie de la Société. Sincère salutations à tous les membres. Georges Claude

Nos valeureux vétérans

L'assemblée a salué comme ils le méritent deux membres vétérants, présents ce soir-là, qui prouvent qu'être sociétaire à la SGP ça maintien jeune ! Avec nos vives félicitations pour ce bel exemple.

ans

40 ans : Magali Perréard

Beaucoup de personnes s’investissent dans notre société, ce qui justifie nombre de remerciements de la part du Président : Au Comité . . . . . . . . . . . . 17 personnes Au Cours de base . . . . . . 19 personnes Aux Ateliers . . . . . . . . . . . . 6 personnes Au Magazine . . . . . . . . . . . 8 personnes Aux Expositions . . . . . . . 16 personnes

S’y ajoutent les remerciements à plusieurs membres individuels : Charly et Rosa Prevosto pour les collations, Christiane Margand pour son travail de relation avec les partenaires et annonceurs, puis Colette Harder, Emmanuel Morel, Geneviève Féraud, Jean-Claude Armici, Jean-Michel Revuz, Martin Drevermann, Nicole Leyssen, Pierre Jouvenat et René Nicoud.

60 ans

60 ans : Michel Dard

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Séance

Compte-rendu de l'Assemblée gén

Rapport des activités 2015

Gestion du Comité Didier Rossel Rappel des sept sujets traités durant l’année, et nouvel appel pour des postes à repourvoir en 2016 et surtout en 2017, où il faudra une nouvelle présidence et vice-présidence.

le nombre de nouveaux membres inscrits en 2015 au photo club.

Administration Didier Rossel Gestion des membres effectuée par Madeleine Beboux-Naef, et comptabilité assurée par Claude Ponchant. Un seul décès a touché la société en 2015, monsieur Roger Zwahlen, pour qui une minute de silence est observée. Avec 21 démissions pour 32 admissions, dont 21 via le cours de base, la SGP compte un total de 326 membres, auxquels s’ajoutent les 82 du cours de base qui sont automatiquement membres pour l’année. A noter que le déséquilibre entre les genres commence à se réduire, puisque la SGP compte 123 dames et 203 messieurs. Séances de 20h30 Samy Mayor Récapitulatif de l’ensemble des séances, mois par mois projeté sur écran. Média et communication Eric Boillat Nombreux éléments relevés, ainsi que de multiples publications. Carte de vœux, publication du règlement des concours, liste des thèmes mensuels, publication des meilleures photos du cours de base, magazine mensuel (lequel comprend 668 pages en 2015, une performance impressionnante).

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Remerciements à l’ensemble des personnes engagées (rédaction, graphisme, publicité, diffusion). Edition du Manuel pour le cours de base, papillon de promotion, rallyes divers, affiches pour des expositions ou manifestations, toutes les publications se basant sur le même design. Enfin, journée de l’Assemblée des délégués de Photo Suisse, qui a eu lieu à Genève.

Cours de base Philippe Pédat Très bon taux de participation. Cours complet avec 82 inscrits, dont 48 diplômés et 27 bénéficiant d’une attestation. Cours avancé Jean-Claude Irminger Un cours a eu lieu, mais 3 stages et/ou cours ont dû être annulés par manque d’inscriptions. Ont été organisés 10 stages, 8 séances « Parlons photo » et 3 visites de diverses expositions photo hors de Genève. Ateliers Eric Henry Bref récapitulatif des diverses activités. Concours Jean-Robert Comte Les quatre concours de l’année ont vu 42 concurents au total, certains participant à plusieurs concours. On relève davantage de concurrents aux concours numériques qu’aux agrandissements et portfolios. Le règlement des concours a été simplifié, et les critères de jugement revus et redéfinis avec précision à l’attention des juges.

nérale du lundi 25 janvier 2016 ( suite )

Expositions Miriam Mourey Rappel des objectifs des expos, des activités de la commission, du bilan, des achats de matériel, des RPG de St.-Julien, des diverses opérations de montage et de démontage, accrochage et décrochage des photos. Bref survol des prévisions pour 2016.

c'est l'heure à laquelle débute les "Ateliers" chaque lundi.

Rapport financier Claude Ponchant Le trésorier décrit en détail le rapport projeté sur écran. L’exercice se solde par un bénéfice de Fr 9’921,41, ce qui fait de 2015 une année stable.

Il est prévu de démarrer un provisionnement annuel pour le 150e anniversaire à venir de la SGP, qui aura lieu en 2031. Vérification des comptes Nicole Leyssen et Marc Burkhalter Les comptes sont conformes. L’assemblée approuve les comptes et vote à l’unanimité la décharge du Comité.

Le comité 2016 au complet

De gauche à droite :

Alexander Lowe, Claude Ponchant, Madeleine Béboux Naef, Edouard Perréard, Jean-Claude Irminger, Didier Rossel, Miriam Mourey, Jean-Marc Ayer,Richard Forster, Samy Mayor, Patrizia Cini, Eric Boillat, Eric Henry, Luc Buscarlet, Jean-Robert Comte. 015

Séance

Compte-rendu de l'AG ( suite )

Objectifs 2016

Comité restreint (Didier Rossel) : un second vice-Président est annoncé, en la personne de Jean-Marc Ayer. Comité (Didier Rossel) : récapitulatif des tâches inhérentes à chaque membre du Comité

le montant de votre cotisation annuelle (inchangé depuis 2005)

Budget (Claude Ponchant) : charges Fr 60'000 et produits Fr 62'600, d’où un petit bénéfice de Fr 2'600. La cotisation reste inchangée à Fr 80.-. Le budget 2016 est approuvé à l’unanimité.

Elections Pas d’élections cette année, hormis les vérificateurs des comptes, qui sont Nicole Leyssen et Marc Burkhalter, avec comme vérificateur suppléant Johanna Marbach.

Divers Comme cette rubrique reste vide, notre Président clôt l’Assembéle Générale à 22h10, et tout le monde se retrouve autour de la sympathique collation préparée par Charly et Rosa Prevosto. Michel Gasser

" La vision est l'art de voir des choses invisibles " Jonathan Swift

(évrivain satirique irlandais, né à Dublin le 30 novembre 1667)

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Séance

Compte-rendu du lundi 1 fév

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La séance hebdomadaire porte essentiellement sur le choix du portfolio qui sera présenté au concours de Münsingen, concours ô combien cher au club, mais dont les membres ont pu à quelques reprises mesurer à leurs dépens la difficulté de cerner les critères du jury : qu’est-ce qui va plaire en dehors du cadre technique très strict ? Le traitement esthétique correspond-il aux attentes ? qu’en est-il de la qualité technique ? Certains membres se sont résignés à ne pas toujours comprendre le classement de Münsingen et ont fini par s’abstenir, tandis que d’autres, des téméraires endurcis et fidèles pour la grande majorité, se sont (re) mis au charbon. Cela tombe bien, le sujet 2016 est celui de l’énergie. Alors, pour les deux groupes qui se sont formés pour présenter leurs projets, ça a cogité sévère. Un premier groupe propose 6 travaux sur la même thématique, mais avec différentes présentations en patchwork.

Concours Münsingen

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D’ailleurs le travail de composition est fort apprécié par l’assemblée qui s’imagine facilement les heures passées sur Photoshop, autant d’heures prises sur le sommeil... Pour certains la dominance d’une couleur sera un critère de sélection, tandis que pour d’autres, des proportions de cadrage semblent incontournables et on ne peut se permettre d’y déroger. Le deuxième groupe, eh oui, il n’y a que deux groupes pour

vrier

l’édition 2016, sans rien enlever à la qualité des résultats, présente quant à lui 2 thèmes différents: celui des vitamines, sources d’énergie et celui de la fée électricité représentée par une ampoule centrale. Le thème des vitamines obtient l’inclination de l’assemblée sur l’aspect technique : une parfaite maîtrise de l’éclairage, des temps de pose, de l’éclat des couleurs permet une excellente présentation des tranches de citron, kiwi, fraise, et aussi du comprimé effervescent dans un verre d’eau, le tout sur fond noir avec la dynamique de la chute dans l’eau avec ses bulles. Le thème de la fée électricité, de l’aveu même de l’équipe, est un peu moins bien maîtrisé techniquement. Le fond noir également présent est moins pur que dans l’autre projet, tout comme l’éclat des couleurs. L’idée reste néanmoins très intéressante de cette ampoule qui, à la fois, éclaire bien évidemment, permet de lire, réchauffe, permet à la chlorophylle de faire son travail de photosynthèse…

retiennent l’attention, les 2 projets du second groupe ont à la fois leurs défenseurs et leurs détracteurs, notamment les vitamines ne sont-elles pas « border line » par rapport à la thématique de l’énergie…

Alors voilà, un écart au final assez court par vote à main levée permet à la présentation originale du premier groupe (sur laquelle nous ne pouvons lever le rideau) de l’emporter. Le groupe vaincu, bon prince, souhaite le meilleur succès au groupe retenu, et c’est bien cela l’essentiel, que le La sélection du projet se club soit soudé derrière sa sélection… fait par élimination, alors Verdict final dans quelques mois et rendez chacun des projets a son vous dans cette superbe exposition photo lot de rediffusions pour que annuelle internationale qu’organise la ville la salle puisse se faire son de Münsingen à Pentecôte. propre comparatif, et bien évidemment un cruel choix Emmanuel Morel doit en sortir… Si 2 projets du premier groupe, dont un plus particulièrement, 019

Séance

Timothée Roussel

Compte-rendu du 8 février

Photographe invité

Tim reste l’un des nôtres, même si depuis deux ans il nous a un peu oubliés… mais pour une bonne cause : son projet de créer une revue d’un type nouveau, Revue MosaiC (cf. Mag de février). Quelque 120 pages de textes et photos à paraître deux fois par an, et dont la teneur du numéro 00 nous a été présenté ce soir. Plusieurs voyages répartis sur deux ans ont permis à notre routard (accompagné de son chauffeur-traducteur-aide multifonctions) de parcourir un Madagascar peu connu du grand public dont l’imaginaire se limite généralement aux lémuriens, à la vanille et aux centres de plongée.

De la côte est à la côte ouest, en passant par le centre escarpé et les rizières, sur des routes (routes, vraiment ?) impraticables, quasi inexistantes qui demandent 4 heures pour faire 100km... si les conditions sont bonnes, Tim est allé à la rencontre des humains sur leur vrai lieu de vie, et il nous a présenté un avant-goût de ce que l’on découvrira dans sa revue.

Ce soir, nous avons appris qu’à l’est, les Vezo originaires d’Indonésie, se consacrent entièrement à la pêche et que les hommes peuvent rester jusqu’ à dix heures en mer sans boire ni manger. Nous avons découvert que dans les terres du sud se pratique le pillage légal d’un des plus grands gisements de saphirs au monde. Les saphirs bas de gamme payés quelques malheureux centimes partent pour l’électronique de nos jolis appareils branchés.... Nous avons encore appris que, paradoxalement, l’abondance de la culture et de la 020

consommation du riz aux dépens des cultures maraîchères entraîne des signes de carence alimentaire. Nous nous sommes promenés sur les marchés locaux où foisonnent divers petits

commerces et des «petits bricoleurs : ici, pas besoin de grands discours sur le développement durable ! Tout est récupéré et transformé. On fabrique même ses propres vis et boulons. Les enfants produisent des briques à 2 centimes la pièce. Et je me dis qu’un jour peut-être, ces habiles et ingénieux bricoleurs nous donneront des leçons de survie ! Nous avons longé les canaux, celui du Mozambique, sur la côte ouest, qui protège de la forte houle, et celui des Pangalanes qui longe la côte est et qui s’ensable faute d’entretien.

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Séance

Compte-rendu du 8 février

(suite)

Nous savons tout sur la culture et le commerce de la si réputée vanille de Madagascar, tout sur son long processus de récolte et de conditionnement. Saviez-vous que les gousses doivent être massées une à une tous les jours pendant 3 mois ? Et qu’il faut 700 gousses pour 100ml d’huile essentielle à 3500 euros ?

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Puis, rencontre au nord de l’île des fumeurs de khat (ou qat) : là, les musulmans, majoritaires, venus du Yemen, ont gardé l’usage de la consommation de ces feuilles, quotidienne et légale pour l’instant. Cultivé à la campagne, le khat est vendu frais sur les marchés aux «brouteurs» urbains.

Peut-être connaissiez-vous déjà la décharge de la capitale, véritable catastrophe écologique et humaine : espérance de vie, 40 ans. Mais vous ferez la connaissance du Père Pedro qui a créé pour les 3500 habitants de la décharge de vrais villages... où ne traîne pas un papier ! D’autres images encore sur les rituels de deuil, sur l’importance des zébus, sur la fabrication des barques sans aucun plan et à la main, etc. Tant de choses abordées au fil de cette présentation à retrouver en détails dans les pages de la future revue. Pour Revue MosaiC, Timothée a choisi de ne pas dérouler de discours militant ou moralisateur, L’essentiel passe par le regard de Tim-le-photographe et l’écoute de Tim-le-reporter au plus près des êtres pour restituer leur récit. A notre tour de savoir observer et entendre à travers le numéro 00 à paraître en librairie ce printemps

Joëlle Kohler

www.projet-mosaic.com tiroussel.wordpress.com 023

Séance

Compte-rendu du 22 février

Tony Crocetta Photographe animalier indépendant, infatigable globe-trotter, Tony Crocetta a longtemps sillonné le monde pour traquer, à travers ses objectifs, tous les porteurs de plumes, poils ou écailles ! Il pose un jour ses valises au Kenya, au cœur même du célèbre Masai-Mara -où il réside désormais- pour se consacrer pleinement et exclusivement à la photographie de la grande faune des savanes africaines. Il crée, en 2006, sa société organisatrice de safaris photo au Kenya, «Melting Pot Safaris» qui connait immédiatement un vif succès. Sensibilisé très tôt à la dégradation de notre environnement, il milite activement au sein de l’association

«Noé», dont la mission est la sauvegarde d’espèces animales et végétales menacées et dont il est l’un des membres fondateurs. Il crée par ailleurs avec une poignée d’amis, l’association «Cheetah For Ever», un programme de surveillance rapprochée des derniers guépards du Masaï-Mara, son nouveau cheval de bataille... Tony nous montrera les images les plus marquantes de sa carrière, nous parlera de ses voyages photographiques, du monde des safaris, de sa technique photo bien entendu mais aussi, il juge cela primordial, du rôle militant que doit jouer le photographe animalier, témoin tristement privilégié de la dégradation de la biodiversité à l’échelle planétaire...

Vous prendrez bien un peu de safari … Nous avons accueilli un photographe animalier français, Tony Crocetta, qui vit en Afrique et organise de nombreux safaris photos. Certains de ses clients-amis étaient d’ailleurs présents dans la salle.

« incontournables » , ses principales recommandations sachant que «réactivité», c’est le maître mot - ultra rapides la bête, l’homme et l’appareil !

La présentation a débuté par une très agréable projection mêlant vidéo et arrêts sur image qui vous donne envie de sauter dans la première jeep passant à votre portée… Le hic, c’est que c’est d’abord un porte-monnaie bien garni qui devra être à votre portée ! Tony Crocetta a poursuivi en faisant tourner un diaporama de ses dernières photos du Masaï-Mara pendant qu’il expliquait sa méthode de travail et répondait aux questions de l’assistance (choix de présentation un peu frustrant pour certains). En bref, voici ses 024

1. Une belle optique démarrant à 300mm est une nécessité absolue. Lui utilise un super 500mm à ouverture 4. Un obus ! Pour plus de souplesse d’utilisation et là aussi, de réactivité, l’idéal est d’avoir 2 boîtiers avec 2 optiques différentes : gain de temps et de sécurité. 2. Pour être rapide, il faut être prêt ! Si vous modifiez sans arrêt le couple vitesse/ diaphragme, vous serez prêt mais la fugitve scène à saisir sur le vif vous aura passé sous le nez ! Alors optez pour « priorité à l’ouverture » avec une bonne ouverture (qui vous donnera un joli bokeh) et une bonne sensibilité pour que l’appareil calcule la vitesse la

plus haute possible, n’hésitez pas à corriger l’exposition, et tout ça en mode rafale… 3. Et …. invoquez un peu la chance ! Car si certaines photos étaient des grands classiques du Kenya, comme les très beaux clichés dans la lumière du soir qu’on ne se lasse pas de revoir, de la chance, le photographe en a eu pour d’autres photos particulièrement époustouflantes, tel ce bec ouvert avec, au beau milieu, une grenouille qui saute dedans ou cette lionne portant son petit dans la gueule par la tête, ou encore cette majestueuse échine d’un zèbre d’où un

oiseau multicolore vient juste de s’envoler. Quand on sait combien la faune est toujours en mouvement, on mesure quelle connaissance des bêtes et des lieux il faut pour saisir une scène rare. Mais le clap de fin ne nous a pas laissé le

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Séance

Compte-rendu du 22 février (suite

026

te)

temps d’extirper la formule magique de certains de ses flous-et-nets assez surprenants (bigre, comment a-t-il fait ! ) Il faut dire que notre invité s’est (un peu trop ? ) attardé sur les bases de la photographie et qu’on aurait aimé souvent l’interrompre et interrompre la projection en

arrière-plan pour lui soutirer des explications sur telle ou telle prise imprévue et improbable, des fois qu’à notre prochain safari nous puissions faire la même ! Jael De Nardo

Tony Crocetta a publié le livre «Safari» que vous pouvez vous procurer en le contactant : tonycrocetta@aol.com Si vous montrez de l’intérêt pour ses voyages, les informations complémentaires sont disponible sur le site internet: www.meltingpotsafaris.com

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Cours de base 2016Les leç Vos rendez-vous du mercredi

Le programme de votre COURS PHOTO passe en revue les leçons, avec un mélange de théorie et de pratique, vous faisant découvrir l’univers de l’art photographique. Grâce aux moniteurs, tous passionnés dans leur domaine, vous avez déjà pu constater que leurs explications et conseils complètent le manuel que vous avez reçus. A vous d’y noter les judicieux avis et recommandations que les différents moniteurs ne manquent pas de vous donner. A vous aussi, maintenant que vous avez relu - et compris - le mode d’emploi de votre appareil, de prendre en main votre équipement et de réviser les leçons précédentes en réalisant quelques exercices. Et si cela ne suffisait pas, ou selon ce que vous constatez, vous pouvez toujours poser votre question après la session, un moniteur vous donnera la bonne combine pour réussir votre prochaine prise de vue. A mercredi prochain. 028

VOS COURS

Rendez-vous à 20 heures 30 tous les mercredis

VOTRE AVIS

A paraître dans le prochain Magazine redaction@sgp-geneve.ch

INFORMATIONS

Renseignements complémentaires sur cours@sgp-geneve.ch

çons vues par les élèves

La leçon 3

Base de la photographie

Compte-rendu de la séance du 27 janvier à 20h30 :

COURS PHOTO

Cette leçon, à nouveau très technique, a été une nouvelle étape importante à mon niveau pour sortir de l’univers « mode automatique ». Personnellement, j’aurais même placé ce cours avant le précédent (équilibre de la lumière avec diaphragme / vitesse / iso), du fait qu’il présente le matériel : explication du fonctionnement de ce qui est « dans » l’appareil et qui va orienter le choix de ceux qui n’ont éventuellement pas encore de matériel, et il montre les réglages de base à ceux qui ont déjà un appareil mais sans le maîtriser. La partie sur la balance des blancs a été une découverte totale pour moi, car j’ai la chance d’avoir un conjoint passionné qui m’a prêté son matériel et donné quelques bases, mais aucune sur la balance des blancs qu’il ne gère pas. Je vais pouvoir

à mon tour lui apporter ce réglage avec cette règle relativement simple : adapter la température à la situation. En résumé - et ceci est valable pour les autres leçons déjà suivies - j’apprécie tant le contenu que la forme des cours avec ce côté personnel malgré le nombre important de participants, et l’ambiance grâce à des professeurs motivés et passionnés, qui maîtrisent le sujet en nous en mettant plein les yeux (et les neurones) sans nous en mettre plein la vue grâce à leur côté « abordable ». J’en profite d’ailleurs pour les remercier pour la partie pratique avant cette deuxième leçon où chacun a été disponible et d’une grande aide pour tous. Francine Christen

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Cours de base 2016Les leç La leçon 4

Le menu et tous les réglages

Compte-rendu du cours du 3 février à 20h30 Enfin la dernière partie « base de la photo » du cours ! Il est essentiel de maîtriser et de bien comprendre les bases pour avancer mais il faut avouer que ce n’est pas la partie la plus passionnante. Heureusement, la SGP a eu la bonne idée d’intégrer une séance de pratique avant les cours afin d’apprendre à bien manipuler l’appareil photo et d’assimiler les informations reçues au cours précédent. La combinaison pratique et théorique est vraiment bien faite et permet d’assimiler les bases plus facilement sans se décourager avec trois cours théoriques d’affilée. Les encadrants sont très sympas et répondent à toutes nos questions tout en partageant leurs expériences et avis parfois bien tranchés ! Philippe a une bonne aisance orale et il est très pédagogue donc on suit facilement ses explications, ce qui est important surtout quand on est débu-

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tant. Patrick a un peu moins d’aisance orale mais, comme pour la photo, il lui faut un peu de pratique pour rôder ses cours ; d’ici quelques séances il sera sûrement plus à l’aise. On sent néanmoins que Patrick a une énorme connaissance technique. Ce n’est probablement pas par hasard qu’il s’occupe des thématiques un peu plus complexes !

La SGP a mis en place des cours très complets avec des séances pratiques permettant d’assimiler la théorie plus facilement. L’équipe est super avec des encadrants sympas et passionnées toujours prêts à partager leurs connaissances. A la semaine prochaine ! Alexandre Ribiera

çons vues par les élèves

2 cours pratique em

Allez hop : tout en manuel !

Compte-rendu de la leçon du 3 février à 20h30

Il ne m’aura pas fallu longtemps pour comprendre ce que j’avais entendu à plusieurs reprises : APPRENEZ VOTRE MANUEL.

COURS PHOTO

Aujourd’hui un simple réglage (afficher l’histogramme) que je n’arrivais pas à mettre sur mon Nikon lors du premier exercice m’a fait perdre les pédales pour le reste du cours de travaux pratiques. Au milieu de ce cours où j’avais je l’avoue un peu perdu les pédales, mon voisin m’a montré sur son « vieil » objectif dont tous les réglages sont manuels quels étaient les impacts de l’ouverture et de la fermeture du diaphragme. Eurêka ! me suis-je dit, j’ai compris quelque chose du premier cours. Il me reste à rattraper le reste. Mais comme me l’a justement dit une charmante collègue à la sortie de ce cours : maintenant on va comprendre mieux ce que nous lisons dans notre manuel. Résolution personnelle... lire mon manuel ! Thierry Lyard (archi débutant qui tient le coup)

Plus on note, mieux on se souviendra ensuite...

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Cours de base 2016Les leç

3 cours pratique ème

Le flash et ses réglages

Compte-rendu du second cours pratique du 10 février à 19 heures Pour mon groupe le cours a été donné par Patrizia et Samy avec les appareils Canon. Ils nous ont appris à régler le flash de notre appareil, réglage des distances, réglage des puissances (plus ou moins fort). Ils nous ont montré la différence si l’on met un diffuseur ou pas, un réflecteur ou pas.

COURS PHOTO

Le cours nous a fait découvrir plein de trucs et astuces, par exemple : avec une petite balle de ping-pong, on fabrique pour le flash intégré un diffuseur facile et

très très bon marché qui donne une excellente diffusion de la lumière; avec un bidon d’adoucissant blanc, idem, mais pour les flashes de type cobra. Ils nous ont fait également tester de vrais diffuseurs. Ils nous ont donné également des trucs pour fabriquer des réflecteurs : un morceau de carton sur lequel on colle du papier d’aluminium que l’on a froissé auparavant. On obtient des super réflecteurs et l’avantage est que l’on peut les faire de la grandeur que l’on désire et qu’ils se transportent facilement. Comme pour le diffuseur, on a pu tester un vrai réflecteur argenté et or : le changement sur les photos est flagrant. Ce que j’apprécie dans ces cours pratiques, c’est que tout paraît si facile. Un grand merci à ces passionnés qui nous transmettent leurs savoirs avec des mots simples. François Jaccard

Ces trois cours pratiques (facultatifs) ont été élaborés et conduits par Jean-Robert Comte avec l’appui de bon nombre de moniteurs, vous avez été très nombreux à en profiter.

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La leçon 5

L’art de voir et la composition

Compte-rendu du cours du 10 février à 20h30 La photographie a un seul objectif : raconter une histoire. Pour mettre en page ce que notre œil observe, il faut certes choisir le bon objectif, maîtriser le fameux couple vitesse – diaphragme, savoir quand

image colorée, rythmée, lumineuse et équilibrée. Surtout équilibrée. Car cette notion est le secret de l’image « en or ». La technique la plus connue pour bien composer est celle des « lignes fortes » qui créent les quatre points forts de l’image. Il faut donc vite habituer notre œil à voir ces lignes imaginaires (il n’y a pas de mission impossible, même pour les débutants !) quel que soit le type de photographie (animalière, paysage, portrait, sportive, macrophotographie...) tout en tenant compte des formes, espaces et couleurs qui ont, eux aussi, leur propre langage. L’image doit respirer dans son ensemble. Si on arrive à maîtriser ces règles, on aura atteint l’objectif : renforcer le sujet de notre image. Adriana Perez Ramboux

augmenter ou diminuer les ISO ou choisir le bon angle d’éclairage du flash, mais tout cela serait bien inutile sans l’art de la composition. Lors d’une soirée décontractée et pleine d’humour, Jean Jacques Grasset nous a expliqué les secrets pour obtenir une 033

Concours 2016

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Participez aux concours internes L'une des activités principales de notre photo club est de mettre sur pied une série de concours internes qui intéresse chaque membre, qu'il soit spécialiste du noir/blanc ou orienté couleur. Quatre manches permettent à nos sociétaires, débutants ou chevronnés, de confronter leurs travaux à l'avis des juges tout en admirant et en comparant ceux des autres participants. Heureusement, les thèmes proposés enthousiament tous les photographes, allant de sujets très variés à des thèmes bien spécifiques (paysage, portrait, architecture et graphisme, charme et beauté, reportage, sans oublier la création numérique). De quoi satisfaire

tout le monde. Deux concours sont révervés à la projection d'images numériques et deux autres aux agrandissements et aux portfolios, à chaque fois en N/B ou en couleur, de quoi stimuler toute notre créativité et d'exprimer tous nos talents. Chaque manche se déroule de façon doublement anonyme : les juges ne connaissent pas les auteurs des images et les participants ignorent l'identité des juges. Ceux-ci officient selon trois critères techniques distincts, plus un éventuel coup de cœur, en collaboration avec un photographe professionnel aux appréciations avisées, afin d'établir une évaluation chiffrée de chaque image soumise.

Concours couleur

Concours noir & blanc

- les photos numériques > dépôt le 22 février 2016 résultats le 14 mars

- les agrandissements papier et les portfolios > dépôt le 29 août 2016 résultats le 26 septembre

Concours couleur

Concours noir & blanc

- les agrandissements papier et les portfolios > dépôt le 9 mai 2016 résultats le 6 juin

- les photos numériques > dépôt le 31 octobre 2016 résultats le 28 novembre

Ne ratez pas le délai de dépôt de vos plus belles images couleur numériques pour participer à la première manche.

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La nouvelle version du règlement détaillé est à consulter en ligne dans la rubrique "Concours" sur le site www.sgp-geneve.ch

_____________________ ______________________ _ ___________ _____ Heures d’ouverture Lundi au vendredi 9h00 - 18h30 Samedi 9h00-17h00

Tél. 022 840 13 63

Toutes nos références sont disponibles dans le magazin en ligne

www.photo-verdaine.ch

Vos images... Votre prochaine exposition... Au hasard d’un petit déjeuner tôt le matin au café du Remor, je rencontre le patron des lieux. Chaque endroit disponible est couvert de tableaux. C’est ainsi que naît l’idée d’une expo de photos avec pour thème le Remor. Monsieur Antoine Remor est partant. Il m’explique qu’il privilégie habituellement les peintures car son père est peintre, mais l’idée d’exposer des photos de son établissement vu par des photographes de la place l’intéresse. Il nous propose 3 semaines d’exposition et offre le vernissage. En contrepartie, il aimerait pouvoir utiliser librement l’une ou l’autre photo pour illustrer une carte de vœux, un menu ou son site. Le comité de la SGP donne son accord et le projet est lancé. Cela semble bien simple ! En effet, c’est une maison que l’on connaît bien car voisine de la SGP, on passe souvent devant. Il n’y a, de plus, pas de contraintes de prise de vue. Tout est possible : intérieur/extérieur, net/ flou, figuratif/abstrait, couleur/Noir-Blanc, nuit/jour et par tous les temps. Les premiers essais montrent vite les difficultés qui se posent à illustrer un endroit de ce type, en particulier à l’intérieur de l’établissement. C’est la mise en pratique, sur un espace restreint, de bien des situations rencontrées par un photographe ! 036

Heureusement, en discutant avec les uns et les autres, je me suis rendue compte que les photographes de la SGP étaient loin d’avoir épuisé leurs ressources. Alors pour ceux qui n’ont pas encore essayé, c’est le moment ! Le Faites voir est le lundi 7 mars. Vous pouvez envoyer vos photos avant le 6 mars 23h à expo@sgp-geneve.ch

Le Remor est ouvert tous les jours de 7h du matin à minuit, vendredi et samedi de 7h à 1h du matin.

Chacun peut proposer de 3 à 5 photos. Une vingtaine d’entre elles seront retenues pour l’exposition. Le format de la photo est comme d’habitude de 30 x 40 cm sans bordure. Pour ceux que cela intéresse, il est possible d’exposer quatre grandes photos en format panoramique. Un beau défi à relever ! Miriam Mourey

En direct Une fois par mois, venez à la rencontre de grands photographes

Parlons photo

« Parlons photo ! » c’est, une fois par mois, un de nos professeurs, photographe professionnel qui, à tour de rôle, viendra présenter l’œuvre d’un important photographe actuel ou du passé. Ainsi, nous en parlerons, en débattrons et, pourquoi pas, le critiquerons. Ces soirées, dont les places sont limitées, auront lieu dans la salle Madrès (à la Mda) de 19 à 21 heures. L’idée est que cette soirée, gratuite pour les membres de la SGP, se déroule dans une ambiance un peu plus intime et que tout le monde y participe activement !

La prochaine soirée « Parlons photo ! » aura lieu le mercredi 23 mars 2016 à 19 heures avec Jean-Patrick De Silvestro. Nous découvrirons à ce moment-là le photographe qu’il aura choisi de présenter. Si vous êtes intéressé(e) à y participer, merci de m’envoyer un mail dès aujourd’hui. Les douze premières personnes inscrites auront leur place réservée !

Jean-Claude Irminger

jean-claude.irminger@sgp-geneve.ch

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Visite club

à Zürich

Photobastei Comme vous le savez probablement, c’est reparti pour Photobastei à Zürich jusqu’en Aout 2018 ! Les exposants sont maintenant logés dans l’ancienne « Haute Ecole des Arts » au Sihlquai. Ils ont changé de lieu mais le principe est resté le même. La plus grande galerie de photos à Zurich avec jusqu’à 30 expositions en parallèle !

Je vous propose une visite de la Photobastei dimanche 13 mars. Il y aura, entre autres, une exposition de Vivian Maier ! Je pense qu’il n’est pas nécessaire d’introduire cette artiste d’exception et cette exposition vaut à elle seule le déplacement. Départ de Genève Cornavin à 09:15 et arrivée à Zürich 11:56. Rdv 09:05 sur le quai 4. Pour le retour nous verrons. Il est judicieux de prendre une carte journalière dans votre commune au plus vite ! Pour tout renseignement jean-claude.irminger@sgp-geneve.ch ou 078 7400652 039

Stage avancé Com

niveau

plet

Formateur : Aurélien Bergot - Samedi de 9 à 18 heures - Dates: 19 mars 2016 - Prix: 250.- CHF (ou 170.- CHF si vous avez participé au stage portrait 1) - Maximum: 8 personnes - Lieu : - Prise de vue (endroit à définir) de 9 à 13 heures - Retouche dans la Salle Madrès à la MdA de 14 à 18 heures - Repas en commun si désiré Le Programme : Apprendre à réaliser des portraits en lumière disponible et dans un contexte avec l’apport de lumière artificielle (flash). Reportage, rédactionnel. Prérequis : Matériel :

Workshop

Cours

Portrait 2

Acquis :

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- introduction à la photographie. - stage portrait niveau1 (sauf ceux qui ont de l’expérience en portrait). - appareil reflex ou bridge - objectif portrait 35-150mm - flash cobra - connexion à distance (câble synchro, émetteur/récepteur, etc.) - ordinateur portable avec Adobe Lightroom ou Photoshop ou équivalent installé - maîtriser l’appareil en mode manuel pour le portrait en lumière disponible. - maîtrise du flash cobra sur appareil + déporté - maîtriser la composition + cadrage du portrait en situation. - maîtriser la lumière disponible. - diriger un modèle.

__________________________________________________________________ Vos formateurs

Voir le détail du programme de chaque cours sur www.sgp-geneve.ch

Perfectionnement

Cours

niveau

Technique avancé

les uvel

Formateur : Patrick Grob No - 10x2h - Mardi 19h-21h - Dates : 19, 26 avril; 3, 10, mai; 17, 24 mai; 31 mai, 7Juin; 14, 21 juin - Prix : 90.- CHF le module à choix ( 2x2h ) ou 420.- CHF les 5 modules - Maximum 8 personnes - Lieu : Maison des Associations, rue des Savoises 15, 1205 Genève

date

Le Programme : • Module 1 ( 19,26 avril ) : • Vitesse-Mouvement > 2h de théorie + 2h de pratique • Module 2 ( 3, 10 mai ) : Netteté-profondeur de champ > 2h de théorie + 2h de pratique • Module 3 ( 17, 24 mai ) : Balance des blancs > 2h de théorie + 2h de pratique • Module 4 ( 31 mai, 7 juin ) : Flash > 2h de théorie + 2h de pratique • Module 5 ( 14, 21 juin ) : Matériel > 4h de théorie Que dois-je acheter? - les appareils, les objectifs - les pixels - la sensibilité - la taille du capteur - la marque - les besoins - les prix - les vendeurs - les magasins - les forums internet - les sacs, les trépieds - les filtres - les accessoires de nettoyages-etc. Vous pourrez poser toutes vos question a Patrick Grob qui est un fin connaisseur du matériel photo et surtout qui va vous conseiller selon VOS besoins à VOUS !  - Possibilité de s’inscrire à un ou plusieurs modules

Renseignements & inscriptions _____________________________________________________

Cours 2 Workshop Visites expo

Pour vous inscrire à un Cours niveau 2 (rabais pour 2 cours, dates, prérequis, etc.) : Jean-Claude Irminger jean-claude.irminger@sgp-geneve.ch téléphone +41 78 740 06 52 041

Workshop Cours

2 niveau

Stage avancĂŠ

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Perfectionnement

Cours

niveau

J’ai le plaisir de vous annoncer que le stage « Sur les Traces de Vivian Maier » va être reconduit en mai 2016 ! Il est organisé par l’Association Vivian Maier. Le stage à lieu à St. Julien dans le Champsaur entre Grenoble et Gap. Les places sont limitées à 12 et j’ai réservé quelques places pour la SGP. Envoyez-moi donc un mail si vous êtes intéressés ! Dates : Jeudi 5 mai au dimanche 8 mai Lieu : St-Julien-en-Champsaur Prix : 620.- EUR tout compris (stage, hôtel, repas) Jeudi 5 mai Accueil à St-Julien, Hôtel LES CHENETS , entre 13h et 14h. Après-midi consacrée à Vivian Maier . Maison familiale . Visite du village. 18h : Choix des sujets et composition des sous-groupes 21h30 : Projection du film de John Maloof sur Vivian Maier Vendredi 6 mai 8h-12h : Prises de vue en extérieur suivant les sujets choisis . 14h-15 h : Regroupement. Editing des photos par chacun sur PC perso. 15h : Séminaire critique sur les photos faites. Projection sur écran. 21h30 : Projection documents et photos SH. Samedi 7 mai 8h-12h : Prises de vue en extérieur suivant les sujets choisis . 14h-15 h : Regroupement. Editing des photos par chacun sur PC perso. 15h : Séminaire critique sur les photos faites. Projection sur écran. 18h : Atelier sur les livres photos 21h30 : Projection documents et photos JCB Dimanche 8 mai 7 h -11h : au choix - Option rando montagne avec accompagnateur - Lecture portfolio en salle par S.H. et JC B. 11h -12h30 : chaque stagiaire prépare une présentation des 5 photos du stage Fin du stage entre 17h et 18h suivant les départs de chacun et le nombre de portfolios à regarder.

Renseignements & inscriptions _____________________________________________________

Cours 2 Workshop Visites expo

Pour vous inscrire à un Cours niveau 2 (rabais pour 2 cours, dates, prérequis, etc.) : Jean-Claude Irminger jean-claude.irminger@sgp-geneve.ch téléphone +41 78 740 06 52 043

Stage avancé niveau

Workshop

Cours

Hong kong

Formateur : Jean-Christophe Béchet Programme très provisoire Dates : 16 au 24 novembre 2016 Durée : 7 jours Prix du stage : 900 CHF (exclu vol, hôtel, repas) Hôtel : 1200 CHF Vol : environs 700 CHF Après le grand succès du stage à Tokyo en mars 2015, nous allons renouveler cette expérience mais cette fois si dans un contexte très diffèrent : la ville la plus riche en Chine, une des villes les plus fascinantes d’Asie et sa frénésie des rues bondées: Hong kong

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Perfectionnement

Cours

niveau

2 Renseignements & inscriptions _____________________________________________________

Cours 2 Workshop Visites expo

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Stage avancé

Formateur : Mario Colonel Voyage photo exceptionel dans le Kham au Tibet Programme très provisoire • Départ autour du 10 juillet 2016 • Durée entre 12 jours min et 18 jours max • Trek de 4 jours • Budget provisoire et très approximatif pour 4 ou 5 participants : 4500.- CHF/personne.

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niveau

Le budget comprend: 1) les transferts mentionnés dans le programme en véhicule privé avec chauffeur, l’hébergement, petits déjeuners inclus 2) les déjeuners et dîners (boissons comprises pour les repas : thé ou eau minérale) 3) les billets d’entrée pour les sites indiqués dans le programme 4) la prestation d’un guide tibétain anglophone (en cours d’apprentissage du français) 5) les frais de Mario sur cette partie du voyage 6) la logistique de trek (portage des bagages, cuisinier, tente, matelas de camping, tente toilette, tente mess, table de camping et tabourets) – Les sacs de couchage ne sont pas fournis 7) le billet d’avion pour Chengdu (env. 1000.- CHF en ce moment) inclus la part du billet pour Mario

Workshop

Cours

Le Tibet

Le budget ne comprend pas : 1) les frais d’obtention du visa pour la Chine 2) les assurances accident et maladie 3) les frais médicaux et de rapatriement 4) les dépenses supplémentaires dues à des circonstances indépendantes de notre volonté 5) les sacs de couchage pour les camps 6) les boissons et dépenses personnelles 7) les pourboires du guide, du chauffeur et de l’équipe de trek 8) le supplément pour tente ou chambre individuelle (env. 270.- CHF) 046

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Perfectionnement

Cours

niveau

Tous les détails de ce voyage peuvent être modifiés et vont être discutés avec les intéressés lors d’une réunion avec Mario Colonel à sa galerie à Chamonix !

L’option qui vous est proposée ci-dessous est de faire un petit trek de 4 jours pour vivre au contact des nomades. Jour 01 : Arrivée à Chengdu (500 m d’altitude) Jour 02 : Chengdu – Dartsedo (2 616 m) Jour 03 : Dartsedo – Kandze (3 400 m) Jour 04 : Kandze – Yachen Jour 05 : Yachen – Dzongsar Jour 06 : Dzongsar Jour 07 : Dzongsar – Khyungtag 4 h de trek Jour 08 : Khyungtag – Karmotagsum 5h de trek Jour 09 : Karmotagsum – Tashi Thang 5h de trek Jour 10 : Tashi Thang – Dzongsar 3h de trek Jour 11 : Dzongsar – Palpung (3 700 m) Jour 12 : Palpung - Derge (3 270 m) Jour 13 : Derge – Kandze Jour 14 : Kandze – Dartsedo Jour 15 : Dartsedo - Chengdu Jour 16 : Départ de Chengdu

Renseignements & inscriptions _____________________________________________________

Cours 2 Workshop Visites expo

Pour vous inscrire à un Cours niveau 2 (rabais pour 2 cours, dates, prérequis, etc.) : Jean-Claude Irminger jean-claude.irminger@sgp-geneve.ch téléphone +41 78 740 06 52 047

Genève

Expositions

Genève - Carouge

Gilles

Carron

Photographe français, parmi les plus grands de l’agence Gamma, Gilles Caron a couvert, durant sa courte carrière, la plupart des événements dramatiques de son temps - révoltes, famines et guerres : Biafra, Israël, Irlande, Prague, mai 1968 à Paris, Vietnam, etc. Il disparut en avril 1970, à l’âge de 30 ans, avec deux confrères, sur une route du Cambodge contrôlée par les Khmers rouges. Gilles Caron avait couvert les révoltes et les guerres de la planète avec un œil d’esthète et l’esprit tourmenté. La découverte récente d’un ensemble d’Ektachromes très peu diffusés de Gilles Caron éclaire d’un jour nouveau

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Couleur le rapport à la prise de vue du photographe connu avant tout pour son travail en noir et blanc. Ici, les couleurs, qui se répondent, sont en même temps vintage et lumineuses, les détails rendus comme à la chambre; c’est le résultat du procédé Cibachrome utilisé pour les tirages de cette exposition. Cette partie de son œuvre est méconnue, pourtant, il se promène immuablement avec deux boîtiers autour du cou, pour répondre à la demande des magazines qui souhaitent de la couleur en Une. Cette attention au style et à la lumière ne le quitteront plus, jusqu’aux terrains les plus violents. Marc Blondeau le disait avec baucoup d’enthousiasme : « Il avait un sens de la composition incroyable. Pour moi, Gilles Caron était un peintre ! ». Galerie Blondeau & Cie (avec la Fondation Bru) Rue de la Muse 5, Genève > jusqu’ au 29 mai

Régis

Carouge

Colombo

L’ici e(s)t l’ailleurs Par ses séries très élaborées et souvent très colorées, le photographe nous invite à appréhender ses tirages dans lesquels le regard se perd, découvrant de multiples détails. L’harmonie de ses créations et le traitement particulièrement soigné de chacun de ses tirages emportent l’enthousiasme des amateurs d’art et de la photographie contemporaine.

Régis Colombo n’a pas fini de nous étonner et de nous subjuger avec ses œuvres récentes, l’accomplissement d’un travail remarquable. Galerie Krisal Rue du Pont-Neuf 25, Carouge > jusqu'au 24 mars 049

Bienne

Expositions

Bienne - Vevey - Nyon

Jules

Decrauzat

C’est une découverte de taille : près de 1’250 négatifs sur verre datant de la période 1910-1925, conservés dans les archives de l’agence suisse d’images de presse Keystone. On connaissait la qualité de ces photos, mais on ne savait pas grand-chose des circonstances de leur création. Un travail de recherche approfondi permet aujourd’hui d’écrire

Pionnier du photoreportage un nouveau chapitre de l’histoire de la photographie suisse. Natif de Bienne, Jules Decrauzat (1879-1960), l’auteur de cette œuvre prolifique, est sans doute le premier photojournaliste important de Suisse. Ses prises de vue dans le domaine sportif, notamment des premiers essais de vol motorisé, sont révélatrices d’une société alors au seuil de la modernité. Pionnier dans la photo de sport et maître dans son art, il a non seulement créé des images individuelles passionnantes, mais aussi érigé un monument photographique à son époque. Photoforum PasquArt Faubourg du Lac 71, Bienne > jusqu’ au 10 avril

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Jean

Colinelli

Photochromes Au delà de nos frontières

Vae Victis

Dans les années 1880, Hans Jakob Schmid mettait au point un magnifique procédé d’impression couleur de la photographie, le Photochrome. A partir d’un négatif noir-blanc transféré sur autant de pierres lithographiques que l’on souhaite de couleurs dans l’image finale, on obtient une impression au rendu très subtil à une époque où la photographie couleur n’était encore qu’à ses premiers balbutiements. Le Musée de la photo abrite une importante collection de Photochromes : des vues de grand format parfois panoramiques, des albums et divers ensembles, images «touristiques» qui sont une véritable invitation au voyage à travers le monde à la charnière des XIXe et XXe siècles.

Au-delà d’une immersion dans les périphéries, c’est aussi une réflexion sur la notion de violence, sur la relation et la confrontation de la violence sociale par rapport à la violence physique. Ceux qui y vivent sont le plus souvent plongés dans un contexte d’une grande violence. Je pense que les images disent autre chose que ce qu’elles montrent de prime abord. « Je travaille toujours à l’argentique et je ne voulais pas utiliser de flash. J’étais donc contraint de travailler avec une focale très petite et des durées souvent en-dessous du 1/60e. Cela bouge beaucoup sur un ring, il faut suivre le mouvement. Ce qu’il y a à voir est ailleurs ; la relation permanente entre ce que l’on montre et ce que l’on voit ».

Musée suisse de la photo Place du Marché, Vevey > jusqu'au 21 août

Nyon

Vevey

Un tour du monde en

Galerie Focale Place du Château, Nyon > jusqu'au 6 mars 051

Genève

Exposition

Genève - Meyrin

Leila

Alaoui

Artiste photographe à l’honneur de la la 14e édition du FIFDH dont une de ses images fait, comme l’an dernier, l’affiche de la manifestation.

Le visage d’un jeune berger, décidé et fier. Dans ses yeux le hrag, ce feu qui brûle les cœurs au sud de la Méditerranée. Cette image a un pouvoir : elle fait jaillir des centaines d’histoires, des milliers d’êtres et des millions d’espoirs. Ce visage, c’est l’affiche du FIFDH de cette année, et c’est une superbe photographie prise à Tanger par Leila Alaoui, extraite de son travail No Pasara. Leila Alaoui, une artiste unique, qui avait parcouru l’Afrique et le Moyen-Orient aux côtés des oubliés de la grande histoire, migrants, porteurs d’eau, réfugiés. Avec un talent inouï, elle leur a offert une fierté, une identité, une histoire.

Festival du film et forum international sur les droits humains Genève (14e édition) > du 4 au 13 mars 052

NATREEN we are waiting Exposition Leila Alaoui a été choisie par le Conseil Danois pour les Réfugiés (DRC) pour réaliser une série de photographies illustrant les conditions de vie au Liban des réfugiés syriens, dont le nombre s’élève aujourd’hui à plus d’un million. Elle a parcouru le Liban à la rencontre des hommes, des femmes et des enfants victimes de cette crise. Ses portraits témoignent de l’expérience tragique de l’exil. Son sens artistique révèle également la résilience et l’espoir d’un peuple, soulignant son humanité et lui rend ainsi hommage.

NATREEN we are waiting Maison des arts du Grütli Salle Hornung > du 7 au 13 mars

Isabelle Gattiker, directrice du FIFDH

Projection-discussion : Images et engagement La photographe Leila Alaoui avait la conviction que son rôle consistait à témoigner, à scruter le paysage humain, d’en dire les blessures, les injustices et les espoirs. Elle représentait la singularité de l’action des femmes photographes dans le monde arabe contemporain. Après la projection de ses photographies, la discussion se poursuivra avec la participation de nombreux invités de renom.

Maison Vaudagne Avenue Vaudagne 16 Centre de loisirs de Meyrin > samedi 5 mars

Leila Alaoui (1984-2016) Photographe et vidéaste franco-marocaine. Elle a étudié à l’université de New York. Son travail explore la construction de l’identité : les diversités culturelles et la migration dans l’espace méditerranéen. Elle utilise la photographie pour exprimer des réalités sociales à travers un langage visuel qui se situe aux limites du documentaire et des arts plastiques. Ses photographies ont été publiées dans de nombreux journaux et magazines et son engagement humanitaire inclut également des mandats photographiques pour diverses ONG reconnues. Le 18 janvier 2016, alors qu’elle était mandatée par Amnesty International pour réaliser un reportage sur les droits des femmes au Burkina Faso, Leila Alaoui a été victime des attaques terroristes de Ouagadougou.

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Meyrin

« Le regard de Leila posé sur le monde nous survivra à tous. Tout comme sa lumière. »

Exposition

Du 4 au 13 mars 2016

Galeriedel’horloge

Devant tant de découvertes et de beauté, l’image se présenta comme une évidence. Samy ne tarda pas à s’équiper et se lancer dans la photo et la macrophotographie en particulier.

Samy Mayor : de sa formation initiale de mécanicien, ce passionné de la nature a gardé le goût pour les défis techniques et l’amour des réglages fins. Ses premières découvertes de la technologie eurent lieu derrière la table de mixage d’un groupe de copains musiciens. Plus tard, initié aux prises de sons dans la nature, il a développé ses connaissances avec des appareils mythiques tels que Nagra et autre Stellavox tout en se passionnant pour les chants d’oiseaux dont il classait les enregistrements et les noms de manière de plus en plus experte, ce qui lui valu de gagner des distinctions dans la catégorie prise de sons Nature.

Petit à petit, les exigences de la discipline le poussèrent à s’équiper de matériel professionnel, allant même jusqu’à fabriquer lui-même ses propres accessoires. Le souci du détails et de la précision l’ont conduit à développer toujours plus ses connaissances du monde animal et botanique, et c’est au sein d’un club photo ( la SGP) qu’il a acquis les techniques photographiques et développé son sens artistique, pour se retrouver ensuite dans le rôle d’animateur d’atelier, tout en gérant l’organisation des séances hebdomadaires et en assurant la production du magazine du club. Maîtrisant les outils numériques, Samy nous délivre aujourd’hui des photos macro d’insectes, ciselées et baignées de lumière, aux mises en scène idéales.

Galeriedel’horloge 17, avenue de la Jonction - 1205 Genève Lignes 2 , 4 , 11 , 14 , 19 , et D Contact : galerie.horloge@gmail.com

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Samy Mayor photographe Dominique Boyer peintre Ousmane Dia plasticien Vernissage le 4 mars 2016 dès 18 h Ouvert les week-ends de 10 h à 18 h Le mercredi 9 mars de 15 h à 19 h Le jeudi 10 mars de 15 h à 19 h

Scoop

Actualité

Publireportage

Trois questions à Antonio Puig :

Quoi de neuf ? Je vais vous dire, même si Euro-Photo ferme ses portes à fin avril, après une longue carrière de loyaux et fidèles services (une institution à Saint-Gervais !), l’aventure n’est pas terminée pour autant. C’est en effet Leica qui viendra ici inaugurer au 1er avril son flagstore de référence, selon la stratégie de la célèbre firme de Wetzlar qui vient de fêter son 100ème anniversaire. Cette présence exclusive permettra à tous les passionnés de photographie de la région, qu’ils aient déjà l’habitude de venir en face du pont de l’Île ou qu’ils apprécient déjà cette marque de haute renommée, de faire connaissance avec les nouveaux produits et obtenir les meilleurs conseils. En plus, en tant que professionnel dans ce domaine depuis plus de 24 ans (qui peut en dire autant ?), j’ai toujours à cœur de renseigner et de satisfaire notre clientèle.

Et il y aura encore des nouveautés ? Ce changement d’enseigne est important pour Genève. Vous savez, le marché des appareils photo et des objectifs Leica présente déjà un joli panorama de productions récentes et la mise au point d’un nouveau modèle est de plus en plus sophistiquée. La gamme est actuellement très complète et a de quoi satisfaire tous les photographes professionnels et experts avec des modèles bien conçus et excessivement bien fabriqués. Quel est le modèle de votre préférence ? Pour moi, le petit bijou que j’apprécie est le M9, avec son objectif M21 qui ouvre à f:3.5, il est parfait, notamment lorsque je pars dès que je le peux en excursion en montagne.

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Rallyede printemps

ette Hartman n

Venez participer au

Rallye de printemps le samedi 4 juin à Romainmôtier Réservez cette date ! Tous les membres de la SGP, ainsi que les élèves du Cours de photo, sont invités pour une sortie exceptionnelle de prises de vue avec des thèmes imposés à Romainmôtier (détails suivront). Venez vivre une journée mémorable dans le bourg médiéval de Romainmôtier, à l’ombre des murs de l’Abbatiale clunisienne, le jour de la Fête de la rose, dans une ambiance chargée d’inspiration historique, artistique et artisanale.

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Visitez sur place la Fête de la rose

La présentation des images des participants aura lieu lors de la séance Faites voir fixée au lundi 27 juin à 20 heures 30.

Détails de la journée et inscription dans le prochain magazine. A suivre... Francesca

Expo vue

Thibault Brunet à ArtGeneva http://thibaultbrunet.fr Il est à l’absence d’appareil photo ce que Raymond Depardon est au moyen format : une figure indissociable. Ce jeune photographe, dont le talent n’a pas échappé aux représentants de la photographie contemporaine, fait son chemin en exploitant un nouveau mode d’expression. Avec « typologie du virtuel », il explore le territoire français à travers des données collectées sur Google Earth. Il crée ainsi d’inédites images hybrides, entre artifice et

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réel, caractère photographique et tradition picturale. Ses photographies donnent à voir des espaces en marge, désertiques et industriels. Images inscrites dans l’histoire de l’art, l’esthétique rappelle à la fois la photographie contemporaine, l’estampe japonaise et la peinture. La teinte de fond est extraite du réel. Les images de cette série ont été réalisées à partir de bâtiments situés dans des zones urbaines et puis patiemment modélisés en 3D. Centres commerciaux, HLM et tours de grandes firmes relèvent d’une typologie architecturale globale, sans lien avec le

2016 territoire puisque l’artiste les ancre dans un espace et un temps spécifiques en y ajoutant une ombre portée définie d’après le jour et l’heure de leur réalisation. Une matière visuelle tantôt abstraite, tantôt symboliste, parfois expressionniste, toujours en lien au réel, des instantanés numériques du temps présent. Pourtant, elles restent des archétypes de paysage, des images fantasmées d’un paysage intemporel. A y regarder de plus près, certainement plus qu’une image juste numérisée. En construisant une série à partir de fichiers libres de droit, Thibault Brunet soulève indirectement la question de leur provenance, de leur usage possible et de leur propriété.

Ce qui fascine dans son œuvre, c’est qu’elle est emblématique de notre époque où la totalité de la réalité est en voie de numérisation. Autant d’images dont il détermine le cadrage, le point de vue, mais aussi la lumière ou l’atmosphère, par un réel processus de métamorphose. Beauté d’une poétique urbaine, aux contrées désertiques, qui invite le regard à la contemplation. Il interprète le monde virtuel à travers l’objectif de sa caméra et, revendiquant le statut de photographe, Thibault Brunet choisit son motif dans les toiles de fond : immeubles, rues,

zones industrielles, chantiers. « À l’époque, précise-t-il, je ne me sentais pas du tout photographe. Mais maintenant, de plus en plus, j’en adopte la démarche. Je ne me contente pas de faire des screenshots dans un univers virtuel. Je réfléchis de plus en plus à mes cadrages. Qu’est-ce qu’un photographe ? C’est large comme question... Je ne sais pas si je suis photographe, mais on va dire que je travaille dans ce sens là. » Eric Boillat > Ses tirages sont exposés à Paris (Galerie Binôme, rue Charlemagne 19) et à Lausanne (Galerie Heinzer-Reszler, rue du Port-Franc 9), une visite s’impose.

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Morges

Expo vue Vincent Munier

Avant toute chose, prenez le temps de visionner ARCTIQUE, un montage vidéo avec arrêts sur image que vous trouverez sur :

www.midnightsungallery.ch

Pas de commentaires audio, juste de la musique mais vous ferez connaissance avec ce grand photographe animalier, spécialiste des photos hivernales extrêmes qu’est Vincent Munier. Continuez... par une petite visite aux deux galeries qui exposent actuellement cet artiste du blanc. Vous ressortirez en vous disant que si vous gagnez au prochain tirage du loto, c’est sûr, vous vous offrirez un grand tirage de loups, de pingouins ou d’ours polaires dans l’immensité blanche de l’Arctique pour le hall monumental de votre nouvelle maison... Oui, ses photos sont pratiquement hors de prix. Le tirage est limité à 30 exemplaires, le prix démarre à CHF 2’000.- et ensuite c’est l’escalade en fonction de l’offre et de la demande. Vous êtes le premier ? Vous avez droit au premier prix. Vous êtes dans les derniers et d’autres attendent au portillon ? Eh bien le prix pourra être multiplié par 3-4-5... C’est que Vincent Munier a un œil graphique à faire s’évanouir de rage ou de jalousie n’importe quel photographe. Telle cette photo d’une chouette blanche et noire dont le blanc se fond tellement avec la neige qu’elle en devient transparente. Ou encore cet ours polaire sur une butte et à contre-jour dont la silhouette est entourée d’un petit liseré de lumière. Vincent Munier est aussi volontiers minimaliste : photo d’une paire de bois de cerf ou celle des yeux d’un loup émergeant 060

de la brume. Une autre encore présente en gros plan l’œil d’un ours polaire laissant simplement les diverses nuances de blanc de la fourrure et le début du museau structurer la photo. En examinant les tirages, je leur trouve parfois un effet d’aquarelle et je me pose à voix haute la question de savoir si Munier retouche ses photos. La responsable de la galerie répond instantanément : « Jamais ! ». L’exposition est répartie dans deux espaces séparés d’une centaine de mètres. La Midnight Sun Gallery (d’habitude consacrée à l’art contemporain) expose les grands formats, dont 4 de 110x170, des photos de pingouins de sa dernière expédition : le photographe vient de rentrer et c’est tout nouveau. On y trouve aussi la projection de la vidéo ARCTIQUE. Dans le deuxième lieu (même galeriste), Soleil de m’inuit (qui expose de très belles sculptures inuit, et en permanence depuis 2 ans,

les œuvres de Munier), on trouve de nombreux petits et moyens formats (j’ai un peu regretté que par manque de place, plusieurs photos soient posées au sol, simplement adossées au mur). Pas assez riche pour vous offrir une photo ? Vous pourrez toujours vous rabattre sur un livre souvenir très fourni : cela vous coûtera CHF 100.Mais attention, le tirage est très très mat. Il faut aimer ce type de grain. Et surtout, tous les exemplaires ont été liquidés : il faut les commander sur le site de la galerie.

Jaël De Nardo

Midnight Sun Gallery et galerie Soleil de m’inuit Rue Louis-de-Savoie 80 et 48, Morges www.soleildeminuit.ch > jusqu'au 12 mars 061

Expo vue Expo vue Musée de l’Elysée C’est ce paradoxe de l’isolement des individus urbains et des codes qui lient ces mêmes individus que nous révèlent les artistes sélectionnés par le Musée pour monter cette exposition. On y voit les grands formats de Stéphane Couturier, «Urban Archeology» (photo ci-contre), ou de Hans Wilschut, « Hermetic City », qui montrent la ville dans ce qu’elle a de plus abstrait : son ossature, sa carcasse dans laquelle nulle âme qui vive.

Petite grammaire de la vie urbaine. C’est le sous-titre donné à Anonymats d’aujourd’hui, exposition proposée par le commissaire Daniel Girardin, en parallèle avec l’exposition de Werner Bischof (voir le Mag de février). Mais qu’est-ce qu’une grammaire ? C’est un ensemble de règles adopté par une communauté linguistique. Par extension, tout ensemble de règles qui régit la communication dans une communauté. 050 062 044

Ici, on rencontre des portraits bien lisses d’individus parfaitement entrés dans le moule au point d’y être figés. Même ceux

qui se veulent différents se conforment à la grammaire vestimentaire, comme les adolescents, par exemple.

La photographie de Su Sheng choisie pour illustrer l’exposition résume bien cette conjugaison de la solitude et de la multitude urbaines à laquelle la Chine moderne n’a pas su échapper.

Là, d’autres photographes présentent des foules qui se croisent, indifférentes. Pablo Zuleta Zhar, lui, dans sa série « Baquedano », morcelle carrément les groupes.

Et la série d’ Alexey Titarenko, « La ville des ombres », partiellement flouté, efface les individus et nous (re)plonge dans l’atmosphère des films d’après-guerre en noir & blanc. Joëlle Kohler © Pablo Zuleta Zhar

Anonymats d’aujourd’hui Musée de l’Elysée > 1er mai 2016 www.elysee.ch/expositions 063

Théâtre Saint-Gervais

Expo vue Un Monde Migrant Les discours, les photos, les reportages sur l’émigration envahissent l’espace médiatique (si la question n’était pas si grave, on dirait que c’est «branché»), c’est pourquoi il faut tirer un grand coup de chapeau à Agostino Pacciani à l’origine de ce projet qui apporte sobriété et approche inter-active à une série de photos par ailleurs superbes (même si, très modestement, il ne veut privilégier que le message).

Des grands clichés sur toile forment un parcours jalonné de petits pupitres sur lesquels se trouvent une tablette, des écouteurs, une lampe (éteinte) et un micro. Chaque tablette permet de visionner une video de quelques minutes à peine pendant lesquelles un migrant ou quelqu’un concerné par la question raconte, explique, ou partage ses sentiments. Ensuite, libre à chaque visiteur de réagir en enregistrant un commentaire sur la même tablette.

Voici quelques sujets proposés à notre réflexion : La migration : problème ou solution ? La migration a-t-elle des responsables ? L’intégration est-elle possible ? La migration est-elle une solution pour réussir ensuite dans son pays ? La Suisse sans les étrangers La langue, condition essentielle à l’intégration ? La discrimination vient-elle de la méconnaissance des autres ? L’autre est-il condamné à générer la peur ? Débat entre jeunes. La migration des jeunes diplômés est-elle plus problématique que les autres ?

Certes, on peut parfois trouver les questions naïves et orientées, mais c’est leur simplicité qui permet à toute sorte de public de les aborder. Leur intérêt réside dans les mini reportages qui en sont l’illustration : celui sur le pillage des richesses minières du Kivu en est un 064 044

excellent exemple, et sans nul doute une découverte pour les gens peu au fait des problèmes d’économie internationale. D’ailleurs ce ne sont pas de grands spécialistes titrés que Pacciani est allé chercher, mais des migrants eux-mêmes ou des millitants de terrain. A la fin de de la visite, il faut prendre le temps de s’asseoir dans la salle de projection pour assister au défilement en boucle des commentaires : jubilatoire ! Ceux qui s’expriment le plus maladroitement ne sont pas ceux qu’on croirait...

une mémoire perdue, celle de nos origines dans le mélange et les rencontres car nous sommes tous des migrants qui s’ignorent ». Et pour vous le montrer : à l’entrée, une tablette est consacrée à un questionnaire qui vous permettra de mesurer votre propre «composition». Joëlle Kohler

Il faut encore préciser que Un Monde Migrant se déroule dans le cadre de Mémoires blessées 8, manifestation qui existe depuis 2009 à Saint-Gervais et traite de l’histoire de situations traumatiques vécues par des individus, groupes ou communautés « occultés, parfois écrasés par l’histoire des vainqueurs ». Pour Un Monde MIgrant, Agostino Pacciani s’est rendu caméra au poing en Argentine au Kosovo, au Kivu. Le photographe résume son exposition ainsi : « Laissons ces écrans nomades réveiller

www.saintgervais.ch/programme www.agostino-reportages.com > jusqu’au 6 mars 065

Lu, vu et entendupour Adjugé !

é, g u j d A ! u d n ve 00 € 411'0

Bernd & Hilla Becher Un collectionneur privé (américain et anonyme) vient de se faire plaisir en déboursant 411 000 euros, pulvérisant l’estimation (de 60 à 80 000 euros) pour le tirage Wassertürme (Tricheter) 1972. A ce sujet, Gérôme Saint-Germain, spécialiste du département Photographies chez Sotheby’s, a déclaré : « Le record battu de la 066

vente de ce soir-là marque une étape décisive dans la reconnaissance du travail de ce couple d’artistes et va sans doute bouleverser ce marché à jamais. » Une façon comme une autre de reconnaitre le fantastique travail de ce couple allemand spécialisé dans la photographie du patrimoine post-industriel.

vous, par vous

La photographie a vite conquis sa place dans le marché de l’art en devenant un objet de convoitise, tant de la part des galeries et des conservateurs que des passionnés et des investisseurs. C’est la raison pour laquelle de nombreux tirages d’art ont vu leur cote augmenter sensiblement dès lors qu’ils passent sous le marteau des commissaires priseurs.

é, g u j d A ! u d n ve d'€ o i M 1

Kevin Abosch Le photographe britannique Kevin Abosch a vendu sa photographie « Pototo # 345 », représentant... une pomme de terre, pour un montant de un million d’euros ! Un sujet unique, une création originale, une prise de vue parfaite, tout pour que ce tirage entre dans le marché de l’art.

C’est un (riche) homme d’affaire européen qui s’est porté acquéreur de son œuvre, plaçant du même coup cette photo au 14e rang des clichés les plus onéreux du monde. Il y aurait donc un véritable sens artistique derrière cette surprenante mais non moins banale photo de patate... 067

Les Halles de Paris

Lu, vu et entendupour

Une canopée urbaine Installées au centre de la ville dès le 12ème siècle pour amener les denrées au plus près d’une population grandissante, les Halles furent, lors de leur réaménagement par l’architecte Baltard, l’exemple de la modernité industrielle qui a vu dans la 2ème moitié du 19ème siècle ériger feue la gare d’Orsay (désormais musée) , le Grand Palais et la tour Eiffel. En 1969, le marché de gros est déplacé à La Villette. En 1971, la carcasse métallique est détruite laissant place à ce rien désigné comme « Trou des Halles » jusqu’à l’aménagement en sous-sol du Forum des Halles inauguré en 1979. Lequel Forum est depuis 2010 en rénovation - en fait en complet chamboulement sous la fameuse canopée, défi architectural de Patrick Berger et Jacques Anziutti. Outre ses galeries marchandes, le nouveau forum offrira une aire de jeux de 2500m2 pour les enfants et un espace parkour où l’on se réjouit d’avance d’aller poser nos trépieds ! Car, en effet, si nous vous présentons ce chantier des Halles, c’est qu’il est un vrai terrain de jeu pour les photographes, même si certaines parties sont interdites au public.

068 044

vous, par vous Vous avez lu, vu entendu, découvert un article, un film, une exposition, un lieu, un site web comcernant la photographie ? Partagez vos infos et impressions en quelques lignes dans cette rubrique > redaction@sgp-geneve.ch

sources: brochures de la mairie de Paris

Canopée : couverture formée par la cime des grands arbres... J’ai eu la chance de voir avant leur destruction les vieilles Halles Baltard, un des fleurons de l’architecture métallique de la fin du XIXème. Le « Tout Paris » allait y manger la gratinée à l’oignon après le spectacle. J’ai connu le Forum des Halles qui les a remplacées. Contemporain du Centre Pompidou, il offrait de grandes galeries en sous-sol ouvertes sur un jardin enclos qui a fini en terrain pour dealers et squatters en tous genres.

AVANT-HIER

C’est avec impatience et curiosité que mon boîtier attend la fin du chantier et l’ouverture au public de ce Forum des Halles bis et new look blotti sous la fameuse canopée. On prie pour que cette énorme masse de bois et de verre ait été parfaitement conçue par les professionnels de la résistance des matériaux ! Joëlle Kohler 069

Les Halles de Paris

Lu, vu et entendupour Portraits de chantier Si vous êtes de passage à Paris surtout ne manquez pas d’aller voir les clichés grand format des photographes Franck Badaire et Thomas Guyenet : soixante portraits d’hommes et de femmes impliqués dans ce projet exposés sur les palissades protègeant le chantier des Halles (cf. leurs clichés ci-contre). D’Aziza, l’ingénieure, à Yoann, chef de manoeuvre, à Brigitte, l’infirmière, en passant par Samir, le plombier, Mohammed, Abdelkader, Jan, les soudeurs, Aurel, le floqueur (le flocage est un procédé de recouvrement par projection, par exemple pour tranformer une paroi en coupe-feu ), André, Turgut, Carlos et les autres, étancheurs-bardeurs, échafaudeurs, et j’en passe... Venez découvrir ces métiers et ces magnifiques photos N-B jusqu’à la fin du chantier (fin 2016-2017-2018...). Métro : station Saint-Eustache.

052 044 070

Béatrice Bauzin

vous, par vous

Alors, amateurs de portrait ou amateurs de super grand-angle, de panoramique et de photographie d’architecture, cédez à l’exhortation de Béatrice, notre infatigable voyageuse, empoignez votre matériel et sautez dans le train pour Paris ! Le TGV-Lyria de 07:42 vous permet de faire l’aller–retour dans la journée (arrivée 10:50 en gare de Lyon) retour par le 18 :11 ou le 19 :11. Et , entre-temps, des tonnes de photos à récolter ! Joëlle Kohler

Pour en savoir plus : Le projet des Halles : www.parisleshalles.fr

Et votre encyclopédie en ligne favorite pour l’histoire de ce lieu...

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Lu, vu et entendupour Picasa, c’est fini... Furaxe et en deuil, je suis... mais surtout furaxe !!!

Google met fin à Picasa, son logiciel de retouches gratuit et suffisant pour les retoucheurs-amateurs et les allergiques à l’informatique. Pire, PIcasa devient Google Photo, avec un petit air du rudimentaire PHOTOS d’Apple, et choisit d’être une anémique application totalement en ligne. Ca, ça manquait vraiment sur le marché ! Adieu, les filtres marrants et la possibilité de faire des montages ultra-simples (par exemple, accoler 3 photos ou ajouter du texte pour nos Ateliers du lundi). Après avoir essuyé leurs larmes, que les Picasistes se rassurent : Picasa se trouve sur votre PC et continuera à faire son travail, mais fini les mises à jour. Et vous pouvez même encore le télécharger ! Par ailleurs, vos photos sont en sécurité sur votre disque dur, Picasa n’étant qu’une

visionneuse, qu’un «miroir» des photos réelles (les vrais dossiers sont visibles dans le volet de gauche). Dire «mes photos sont dans Picasa» est une grossière erreur. Quand Picasa sera vraiment osbolète ou carrément HS, les retouches apportées à vos clichés seront perdues. Si vous voulez les conserver, allez dès maintenant dans Picasa sous =>Fichier=>enregistrer une copie : cela crée une nouvelle photo aux retouches intégrées que Picasa place dans le dossier d’origine avec l’original. Seront perdus les albums (dossiers virtuels) propres à Picasa (reconnaissance des personnes, albums personnels thématiques) Je vais tester pour vous d’autres applications gratuites pratiques mais avec une (plusieurs) touche de fantaisie. Et si vous en trouvez de votre côté, merci de les partager, sur : redaction@sgp-geneve.ch Joëlle Kohler

vignettes= «reflets» des vraies photos

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vous, par vous

Swiss Press Photo award La SGP est fière d’annoncer que le travail de Niels Ackermann, un de ses anciens membres actuellement installé en Ukraine, a été désigné comme comme meilleur reportage « Etranger », l’une des catégories des Swiss Photo awards dont le 1er prix 2016 sera attribué en avril prochain Béatrice vous avait présenté Niels dans le Mag d’octobre 2015, rappelant qu’à son arrivée à la SGP, il avait failli ne pas être accepté... à cause de son jeune âge ! Une fois de plus «la valeur n’attend pas le nombre des années». Son reportage intitulé «Les enfants de Tchernobyl sont devenus grands» montre la jeunesse de Slavutych, ville reconstruite après la terrible catastrophe atomique : Niels y a passé 3 ans pour témoigner de «la jeunesse d’un pays qui doit construire son futur». Joëlle Kohler

https://vimeo.com/154875965

www.swisspressaward.ch/fr/

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Hommage

Avis de décès

Willy Zeller Membre vétéran de la SGP Que la lumière de ce qu’il fut éclaire notre chemin

Si ce nom ne dit peut-être rien à la plupart d‘entre-vous, Monsieur Willy Zeller, rentré à la SGP en 1950, était un fidèle parmi les fidèles. En son temps il a participé avec succès à nos concours de photos mais, ces dernières années, son grand âge ne lui a plus permis de venir à nos séances. « Zeller chocolatier» était l’enseigne de haute qualité qu’il avait créée et qui perdure au 1, place Longemalle. Lorsque je suis entré à la SGP, en janvier 1961, il était annonceur dans le bulletin depuis quelques années déjà et il a soutenu la SGP par ses annonces jusqu’aux magazines de 2013 : faites le calcul ! Au début des années soixante, accompagné de Madame, qui était charmante,

il participait toujours aux soirées de fin d’année de la SGP, un repas suivi d’un bal avec orchestre, complets-cravates pour les messieurs et jolies robes pour les dames obligatoires... une autre époque. Plus récemment, pour nos repas de fin d’année coïncidant avec l’Escalade, nous lui avons acheté de délicieuses marmites en chocolat et il nous faisait toujours un prix d’ami. Merci Willy pour ces longues années d’amitié et de fidélité ! Luc Buscarlet Le comité de la SGP présente à sa famille ses sincères condoléances.

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Faites-vous plaisir, allez traîner sur les pages du Guardian qui présente ses 20 photographes de la semaine : http://goo.gl/pNqB54

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ps.ch

VOUS avez lu un article, un livre ; vous avez vu une exposition, un film, une publicité ; vous avez découvert du matériel, une application, un lieu, un site web ; vous avez entendu une émission, une citation, une petite phrase qui en dit long sur la photographie ? Alors n’hésitez pas à poster ici VOS informations et suggestions en les adressant à : redaction@sgp-geneve.ch

ne au tre risien façon de p ,p h ier le our une au otogtaphie métro tre faç r le m ét o lausan e, ... nois, le n de photo ro gratram, le bus http:/ /fr.act , la upho to.com

ns qui Et les roma ? s n a m z les ro Vous aime hie ? photograp e d t n e parl r r, le dernie oire achete v r, te le il u Allez fe yd : William Bo ory Clay ltiples d’Am u m es vi s 15 Le u Seuil , 20 éditions d

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Fin annoncée de Photo Quai, l’exposition en plein air en parallèle de la grosse machinerie du Paris Photo au Grand-Palais et qui avait séduit les SGPistes qui s’y était rendus en 2015

Merci pour vos contributions JK 077

La photo du mois

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Prochaines séanc Faites voir Lundi 7 mars à 20h30 Présentez 3 à 5 de vos photos qui ont été faites au café Le Remor ou dans la rue à sa proximité. Elles seront admirées et commentées. Par la suite un comité de sélection choisira les 20 plus belles photos qui seront exposées dans le restaurant. Envoyez vos photos numériques, au format JPEG 1400 pour la plus grande dimension, par mail à : expo@sgp-geneve.ch >06 mars jusqu’au dimanche 6 mars à 23h00.

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Le Remor

ces... nuel n a Concours Jugement concours Lundi 14 mars à 20h30

projection couleur

Présentation du jugement du concours projection couleur. Les juges, au nombre de trois, seront coachés (terme exprimant le fait qu’ils seront guidés, aidés dans leur tâche... pour ceux qui ne supportent pas les anglicismes) par un photographe professionnel reconnu de la place genevoise. Venez découvrir les résultats du concours annuel projection couleur de la SGP.

vité Photographe in Pierre Bruchez Lundi 21 mars à 20h30

Il a assumé pendant 10 ans les tâches de Vice-Président et de responsable du concours couleur de Photo Suisse. Ce soir, il nous présentera les coulisses du jugement de ce concours dont les résultats provoquent souvent la polémique dans les rangs de la SGP. Pierre se fera un plaisir de répondre avec humour et bonhommie à toutes les questions que vous n’avez encore jamais osé poser sur ce concours. Après cette séance vous aurez tous les atouts en main pour porter haut les couleurs de la SGP au concours 2016 de Photo Suisse (dépôt fin juin). 081

Comité

Président Vice-présidente Vice-président Trésorier Cours niveau 2

Commissions

______ fondée en 1881 ______

Administration Didier Rossel Concours Jean-Robert Comte Expositions Miriam Mourey Séances du lundi Samy Mayor Technique Eric Henry Média & Com Eric Boillat

didier.rossel@sgp-geneve.ch jean-robert.comte@sgp-geneve.ch expo@sgp-geneve.ch samy.mayor@sgp-geneve.ch eric.henry@sgp-geneve.ch eric.boillat@sgp-geneve.ch

Autres responsables

Photo club

Contacts

Ateliers Concours Photo Suisse Cours de base Cours de base Gestion des membres Secrétaire du comité Matériel Matériel Magazine Internet Publicité Vérificateur comptes Vérificateur comptes Vérificateur suppl.

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Didier Rossel Patrizia Cini Jean-Marc Ayer Claude Ponchant Jean-Claude Irminger

Mars 2016

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A l’œil

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