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Trimestriel octobre - Décembre 2014
Mag !
Le magazine des Pharmaciens Sofi adis
CONCOURS 5 BONS D’ACHAT D’UNE VALEUR DE 40€ A FAIRE VALOIR DANS LES PHARMACIES SOFIADIS
Votre sommeil à la loupe !
Brûlures d’estomac, que faire ? Maux de tête et migraine Conseils pratiques : intolérances au lactose
eDiTo
Mag !
Chers lecteurs, après cet été plus que médiocre, nous voilà déjà arrivé en automne. Dernier numéro de l’année, l’hiver et la fi n d’année approchent à grand pas. avez-vous déjà fait votre bilan 2014 ? vous êtes-vous posez les bonnes questions ? avez-vous changé vos habitudes afi n de vous sentir mieux ? avez-vous pris votre santé en main ? Je suis certain que oui, vous l’avez fait… et que vous avez profi té de nos nombreux conseils ainsi que de ceux de votre pharmacien Sofi adis. Pour ceux qui ne l’ont pas fait, vous trouverez certainement du courage dans ce dernier volet. et vous qui avez besoin de bouger, ne réfl échissez plus et foncez essayer une nouvelle tendance, le cross fi t, un vrai art de vivre. Merci et à bientôt.
Publication de SoFiaDiS scrl, rue de la Presse 4 1000 Bruxelles Tel : 02 227 11 71 Fax : 02 218 31 41 Mail : info@sofi adis.be Web: www.sofi adis.be
J-B. van Hamme,
administrateur délégué
SoMMaire
eDiTeUr reSPoNSaBLe J-B. van Hamme reGie PUBLiCiTaire Sofi adis scrl info@sofi adis.be CoNCePTioN eT reaLiSaTioN Sofi adis scrl info@sofi adis.be PHoToGraPHie iStockphoto, Fotolia PerioDiCiTe Magazine trimestriel à thématique saisonnière iMPreSSioN iPM Printing oNT CoLLaBore a La reDaCTioN Bazin Jean-Christophe, Bruylandt Pierre, Floris Michel Hellemans Marco, Philippart Barbara, Ptak alain, van der Brempt Chantal. TiraGe eT DiSTriBUTioN Magazine tiré à 30.000 exemplaires. Pour toute information concernant la distribution de Sofi adis News : info@sofi adis.be ou 02 227 11 71
Dossier votre sommeil à la loupe
04 - 08
Santé Brûlures d’estomac que faire ?
09 - 12
après l’été... c’est l’automne
15 - 16
qui a besoin de vitamines ?
17 - 19
Maux de tête et migraine
20 - 21
Voyage Destinations détox
22 - 25
Sport on se met au CrossFit ?
Diététique Conseils pratiques : intolérances au lactose
29 - 30
Concours 5 bons d’achat d’une valeur de 40€
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Dossier
Votre sommeil à la loupe !
Le manque de sommeil serait-il le mal du siècle ?
En 1900, on dormait en moyenne 9 heures par jour, alors qu’en 2000, on ne dort plus en moyenne que 6 à 7 heures par jour. Essentiel à la qualité de la vie, le sommeil semble poser problème dans une société vouée à la productivité et à la performance. La durée idéale de sommeil est celle qui permet à chacun de se sentir reposé et d’avoir un bon fonctionnement la journée. Nous devrions donc dormir 1/3 de notre existence.
On parle d’insomnie chronique si les symptômes sont présents depuis au moins un mois. L’insomnie est un phénomène universel plus prévalant dans les pays nordiques. L’insomnie concerne un adulte sur cinq. Elle est plus fréquente chez la femme et elle augmente avec l’âge.
Attention 35 à 60% des insom-
Quels sont les troubles potentiels du sommeil ?
Les dyssomnies forment un ensemble de troubles du sommeil consistant en une altération de la quantité et/ou de la qualité du sommeil. Elles comportent : Les carences en sommeil : les insomnies Les excès de sommeil : les hypersomnies Les troubles du rythme circadien Les parasomnies sont un ensemble de manifestations accompagnant le sommeil, qui peuvent être pathologiques ou physiologiques. Les troubles du sommeil seraient pour beaucoup le nouveau mal du siècle. A titre d’exemple, l’insomnie touche 2 millions de Belges (19% de la population). On trouve des cas d’insomnie à tous les âges et dans tous les milieux sociaux et professionnels. Elle concerne un adulte sur cinq et 10% de la population est plus sévèrement atteinte. Quels sont les différents troubles du sommeil et quels conseils devez vous suivre pour (enfin) dormir sur vos deux oreilles ?
Qu’est-ce que le sommeil ?
Le sommeil est le cycle de repos du corps. C’est un état marqué par des épisodes de diminution de la conscience, de diminution des mouvements des muscles squelettiques et de ralentissement du métabolisme. Une nuit normale de sommeil comporte 4 ou 5 cycles successifs d’une durée moyenne 04
Dossier
Sofiadis Mag!
de 60 à 90 minutes. Chaque cycle comprend des stades de sommeil de plus en plus profonds avant une période de sommeil paradoxal (rêve). Les stades profonds de sommeil (repos du corps) apparaissent plus en début de nuit alors que le sommeil paradoxal (repos de l’esprit) survient surtout durant la seconde partie de la nuit.
La plainte la plus fréquente : l’insomnie !
Est insomniaque la personne qui, malgré des conditions de sommeil adéquates, rapporte au moins une des plaintes suivantes au moins 3 fois par semaine : troubles de l’endormissement (supérieur à 30 minutes), troubles de maintien du sommeil (éveil intra-sommeil supérieur à 30 minutes ou 2 réveils ou plus par nuit avec difficultés de réendormissement), réveil trop précoce (supérieur à 1 heure avant l’heure choisie), sommeil non récupérateur ou de mauvaise qualité.
niaques chroniques souffrent de dépression et/ou d’anxiété et il existe une association forte entre insomnie et douleur chronique (polyarthrite rhumatoïde, ostéoporose, arthrose, migraine, ...)
Quand consulter ? Il est nécessaire de consulter lorsque l’on souffre de conséquences diurnes de l’insomnie, à savoir : Fatigue et malaise. Troubles de l’attention, de la concentra- tion ou de la mémoire. Troubles du fonctionnement social, professionnel ou scolaire. Irritabilité, troubles de l’humeur. Somnolence diurne. Réduction de la motivation, de l’énergie ou de l’initiative. Tendance aux erreurs et aux accidents de travail ou de conduite. Céphalées de tension et malaise général. Préoccupations concernant son sommeil.
La somnolence diurne
Une somnolence chronique est présente chez l’adulte dans 15 à 20% des cas de manière
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modérée et dans 6 à 11% des cas de manière sévère. elle est très fréquente à l’adolescence et chez le sujet âgé. Les pathologies très souvent associées sont le ronfl ement, le syndrome d’apnées du sommeil, le surpoids et le diabète. Chez le sujet âgé, il existe une relation signifi cative entre somnolence, troubles cognitifs, troubles cardiovasculaires et mortalité. il existe une cause rare (8 nouveaux cas par an en Belgique) : la narcolepsie liée à la perte de certains neurones cérébraux produisant de l’orexine. Quand consulter ? Lorsque l’on voit sa qualité de vie diurne altérée par de la somnolence diurne, de la fatigue matinale, que l’on souffre de ronchopathie, de sécheresse de bouche matinale, de céphalalgies récurrentes, de troubles cognitifs, d’irritabilité ou d’une suspicion de troubles ventilatoires nocturnes.
L’obésité est un facteur de risque majeur affectant la prévalence et l’évolution dans le temps : 60 % des personnes souffrant des syndromes d’apnées et d’hypopnées obstructives du sommeil ont une surcharge pondérale. Êtes-Vous en surcHarGe pondÉrale ? L’indice de masse corporelle est une grandeur qui permet d'estimer la corpulence d'une personne. il se calcule en fonction de la taille et du poids de la manière suivante : iMC = MaSSe / TaiLLe² Un résultat supérieur à 25 correspond à une surcharge pondérale. Une augmentation d’un point multiplie le risque de SaHoS par 4. il existe un pic de survenue entre 50 et 59 ans avec une augmentation progressive jusqu’à 60 ans.
syndrome d’apnées et d’hypopopnées obstructives du sommeil (saHos)
L’apnée désigne un arrêt respiratoire, alors que l’hypopnée est une diminution de l’amplitude respiratoire durant le sommeil. Ces troubles sont rarement d’origine centrale (neurologique), mais le plus souvent d’origine obstructive au niveau des voies respiratoires supérieures. on les retrouve de manière assez homogène à l’échelle planétaire et sans différences entre les pays développés et ceux en voie de développement, à savoir : 3-7% population adulte masculine et 2-5% population adulte féminine.
Sofi adis adis Mag! Mag!
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DoSSier Le tabagisme actif et la prise de boissons alcoolisées avant le sommeil altèrent les propriétés des voies aériennes supérieures et augmentent le risque de survenue de troubles ventilatoires nocturnes.
SaNTé à diverses pharmacothérapies, à du counseling ("une relation dans laquelle une personne tente d'aider une autre à comprendre et à résoudre des problèmes auxquels elle doit faire face"), voire à une psychothérapie.
Quels traitements ?
outre la Cpap (appareil qui envoie de l’air en continu dans les voies respiratoires par le biais d’un tube et d’un masque - NDLr) qui traite le SaHoS, on peut avoir recours
évitez tous les excitants, café, thé, vitamine C, Coca-Cola...
34 % des accidents sur autoroutes résultent de la somnolence (contre 20 % liés à la prise de produits psychotropes et 17 % à la vitesse). Il existe un rythme circadien de la vigilance, expliquant bon nombre d’accidents de travail et de la route.
évitez de pratiquer un sport ainsi que toutes activités très stimulantes après 17h. Ne faites pas de repas trop copieux le soir et évitez l’alcool au dîner. Favorisez les activités relaxantes le soir : lecture, musique, télé. respectez votre rythme de sommeil. réservez la chambre au sommeil et à l'activité sexuelle en évitant de regarder la télé au lit, de travailler ou de manger au lit. Un bain chaud au moins 2 heures avant le coucher aide à la détente et augmente la profondeur du sommeil. Ne vous couchez que lorsque vous ressentez des signaux de sommeil (bâillements, nuque lourde, yeux qui piquent, ...) Suivez les signaux d'éveil que vous adresse votre corps : si vous n'arrivez pas à dormir ou si vous êtes réveillé depuis plus de 20 minutes, levez-vous et faites autre chose. Si vous êtes réveillé le matin, ne cherchez pas à prolonger votre sommeil à tout prix, mais au contraire, levez-vous et commencez votre journée. Si vous utilisez des médicaments pour dormir, trouvez la dose effi cace la plus faible possible. essayez de ne les prendre que quelques jours par semaine. N’UTILISEZ JAMAIS DE MÉDICAMENT TOUT SEUL, PARLEZ-EN À VOTRE MÉDECIN ET/OU À VOTRE PHARMACIEN !
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Dossier
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que faire ?
Dr Michel Floris
Neuropsychiatre Clinique du sommeil et de l’éveil Centre hospitalier de Wallonie picarde
Quelques conseils pour mieux dormir !
BRÛLURES D’ESTOMAC
Docteur, j'ai le “brûlant”! Sans doute, avez-vous déjà eu l'occasion de dire cela à votre médecin, lors d'une consultation. Ce “brûlant” est une sensation fort désagréable, sorte de brûlure d'estomac. elle se caractérise très souvent par une sensation de “cuisson” qui part de l'estomac et qui progresse vers la gorge. Nous la subissons, la plupart du temps, après la prise d'un bon repas souvent bien arrosé ou après avoir mangé des plats très épicés.
D’où cela vient ? Pourtant, notre organisme est, une fois encore, bien structuré. il possède une sorte de clapet qui empêche normalement les aliments de remonter dans l'oesophage. Les brulures d'estomac se produisent donc quand cette valve ne fonctionne pas comme il le faut. C'est ce qu'on appelle le “refl ux”. Très souvent, les brûlures d'estomac s'accompagnent d'autres symptômes comme : une sensation de cuisson ou de gêne dans le haut de l'estomac ou le bas du thorax ; un ballonnement ; un goût acide dans la bouche ; une fabrication accrue de gaz dans l'esto- mac, provoquant des fl atulences ; des rots plus fréquents ; un peu de nausée ; une faim plus vite satisfaite. Ces symptômes de gêne sont souvent pires
après les repas, quand vous vous penchez en avant ou lorsque vous vous couchez. Ces symptômes sont d'une durée variable, aussi brève que quelques minutes et pouvant parfois dépasser deux heures. quelques personnes ont aussi une toux chronique, des troubles du sommeil, une respiration siffl ante ou des crises de suffocation. Si c'est le cas, n'hésitez pas à consulter votre médecin.
Qui en souffre ? De très nombreuses personnes souffrent de brûlures à l'estomac. Ces problèmes digestifs sont le symptôme le plus habituel de ce que l'on appelle un rGo ou refl ux Gastrooesophagien. Une pathologie généralement sans gravité. Un adulte sur trois souffrirait, au moins une fois par an, des signes d'un refl ux, des brûlures surtout, et un sur dix au moins une fois par semaine ! C'est dire l'importance exercée par cette maladie que beaucoup gèrent au coup par coup, en fonction de l'intensité de la brûlure. après la bouche, en quelque sorte le premier tronçon de l'appareil digestif, on trouve un conduit, l'oesophage, puis une poche, l'estomac, où sont naturellement sécrétés les acides nécessaires à la dégradation des aliments. entre l'oesophage et l'estomac, à la partie basse de l'oesophage, un sphincter.
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Ce muscle, un système antirefl ux naturel, empêche que le contenu gastrique ne remonte vers l'œsophage, luimême tapissé d'une muqueuse. Cette frontière n'est franchie dans le sens estomac-oesophage qu'en cas de vomissements. autrement dit, le plus souvent, c'est en raison d'un dysfonctionnement transitoire (une relaxation inappropriée) du sphincter inférieur de l'oesophage que le refl ux se produit. il semble que ce refl ux soit "physiologique" neuf fois sur dix, c'est-à-dire qu'il ne s'exprime pas par des signes (on a simplement l'impression de petites remontées d'aliments), et qu'une fois sur dix, d'authentiques brûlures surviennent.
Comment éviter les brûlures d'estomac ? PreNDre GarDe À SoN aLiMeNTaTioN en fer de lance des agents déclencheurs de ces maux : la nourriture. Tout d'abord, il faut éviter de manger des aliments frits ou trop gras, comme le fromage au lait entier, certaines viandes... Les graisses nécessitent un temps plus long pour être dégradées. elles déclenchent alors une secrétion de sucs gastriques qui, en rendant l'intérieur de l'estomac plus acide, peuvent provoquer la douleur. Même constat pour les agrumes : les jus d'orange et de pamplemousse sont décon-
seillés en cas de brûlure. Un autre fruit est également en ligne de mire : la tomate, qui elle aussi est très acide. Le café, le thé ou toute autre boisson à base de caféine sont à consommer avec modération : ils peuvent avoir une action sur le sphincter faisant la jonction entre oesophage et estomac. Son ouverture inadéquate facilite le mécanisme de refl ux gastrique. enfi n, sont également proscrits les mets trop épicés, les oignons ainsi que les confi series à base de menthe nature ou poivrée. Néanmoins, il n'existe pas de régime universel pour se prémunir de ces brûlures : il est conseillé de procéder à une méthode d'essais et d'erreurs, qui vous permettra de dresser une liste des aliments qui vous conviennent le moins. avoir UNe BoNNe HyGiÈNe De vie autres ennemis de notre digestion : le tabac et l'alcool. Le premier limite la secrétions de salive qui permet d'atténuer l'action des sucs gastriques en cas de refl ux. L'alcool, quant à lui, favorise le relâchement du sphincter qui se trouve entre l'oesophage et l'estomac. Une diminution de votre consommation de ces deux produits est donc bénéfi que pour réduire ces symptômes. Certaines habitudes de vie peuvent également favoriser l'apparition de brûlures d'estomac. il est en effet déconseillé de se coucher directement après un repas, car le bol alimentaire peut remonter plus facilement. attendez si possible deux à trois heures avant de vous allonger et en cas de sieste, préférez un fauteuil. Faire de l'exercice physique peut également déclencher ce type de douleurs. Pas de sport violent juste après un repas, une longue marche suffi t !
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santé Enfin, l'obésité est aussi un facteur aggravant des brûlures : l'embonpoint induit une compression de l'estomac qui entraîne aussi le bol alimentaire vers le sphincter inférieur de l'œsophage. Les femmes enceintes peuvent être touchées en fin de grossesse pour la même raison, le fœtus pouvant leur comprimer l'estomac. Le résultat est identique lorsque l'on porte des vêtements trop serrés : ceintures et pantalons trop ajustés sont donc déconseillés. Eviter le stress C'est bien connu, la nervosité a également son rôle à jouer. Sous l'influence du stress, nous avons tendance à moins mastiquer les aliments que nous ingérons. Cela donne plus de travail à l'estomac pour dégrader les aliments. Le deuxième phénomène est purement physiologique : le système digestif est, bien-sûr, commandé par notre système nerveux. Le stress provoque une augmentation de la secrétions de sucs gastriques qui induit cette sensation de brûlure. Mieux vaut donc prendre son temps pour manger et éviter les tensions.
Certains médicaments peuvent causer le “brûlant” Certains traitements ont pour effet secondaire l'apparition des brûlures d'estomac. C'est le cas, par exemple, des anti-inflammatoires non stéroïdiens qui vont diminuer la protection de la muqueuse, facilitant l'apparition
de douleur. L'acide acétylsalicylique, l'aspirine, est également connu pour provoquer ces mêmes désagréments, tout comme certaines autres molécules. Enfin, sachez que les brûlures d'estomac, répétées de manière régulière, entraînent des complications, comme l'œsophagite, c'est-à-dire une inflammation de la paroi de l'œsophage. Elles peuvent également être le symptôme d'une pathologie plus gênante, telle que l'ulcère. En cas de persistance de ces maux, consultez votre médecin traitant.
Les médicaments qui vous soulageront Brûlures d'estomac, remontées acides, aigreurs d'estomac... nous en avons tous souffert un jour... Pour que les brûlures ne vous restent plus sur l'estomac, il existe plusieurs médicaments pour diminuer l'acidité gastrique : les antiacides qui neutralisent l’acidité gastrique ; les antagonistes H2, qui diminuent la production d’acide par l’estomac. Les antagonistes H2 sont proposés en vente libre et suffisent habituellement pour traiter les cas légers ; les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). Si les antiacides ou les antagonistes H2 obtenus en vente libre ne soulagent pas complètement les symptômes, le médecin prescrit alors des antagonistes H2 plus puissants (ou à utiliser plus fréquemment) ou des IPP. Ce sont les médicaments les plus efficaces pour traiter le reflux, mais ils peuvent entraîner des effets secondaires s’ils ne sont pas pris correctement.
Pierre Bruylandt
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Santé
Sofiadis Mag!
Après l’été... c’est l’automne Moins de soleil, plus de stress... À l’automne, il n’y a pas que les feuilles qui tombent, l’énergie aussi ! Pour éviter de vous laisser rattraper par la fatigue, voici nos bons gestes à adopter dès maintenant.
L’activité physique au secours du moral !
Un système immunitaire à toute épreuve
Un mode de vie sain et une bonne hygiène de vie
Pas de répit pour le système immunitaire, qui doit en toute circonstance, livrer bataille contre les virus et autres bactéries. C’est lui qui assure notre protection par un ensemble de mécanismes chimiques et physiologiques. Leur coordination est la clé d’un système immunitaire effi cace.
Maintenir une activité physique ou sportive, même légère, permet d’évacuer le stress quotidien, d’éliminer les toxines, de s’aérer l’esprit. La sédentarité est la meilleure amie des baisses de moral, c’est pourquoi il est important de bouger, même si le temps n’est pas au beau fi xe !
Dès l’automne, nous mangeons généralement plus riche et plus gras que durant la belle saison, délaissant à tort les fruits et légumes. L’alimentation joue pourtant un rôle crucial sur le fonctionnement psychique et physique. Les micro-nutriments, que sont les vitamines et minéraux, sont essentiels à cet équilibre, car ils participent de manière active aux réactions métaboliques et aux mécanismes de défenses de l’organisme.
N’oublions pas de soutenir notre arme principale pour lutter contre les attaques qui arrivent dès l’automne !
Cependant en période de mauvais temps, de stress ou de fatigue, notre système immunitaire peut lui aussi connaître une « baisse de régime » laissant la part belle aux infections opportunistes.
L’aide naturelle des compléments alimentaires peut soutenir tonus et vitalité en garantissant un apport adapté en micronutriments essentiels pour renforcer les mécanismes de défenses et stimuler l’organisme.
Sofi adis Mag!
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SaNTé Cette baisse de performance est souvent liée à divers facteurs : Une mauvaise alimentation : des défi ciences en nutriments ont une incidence directe sur notre capacité à se défendre ; La sédentarité ou à l’inverse le surentrainement chez les grands sportifs ; Le stress qui engendre une réduction de la capacité de l’organisme à se défendre ; Le surplus de poids ; Le manque de sommeil : indispensable pour rester en forme et optimiser son potentiel de défense. vous pensez que votre système immunitaire n’est pas au beau fi xe ? votre pharmacien est là pour vous conseiller.
quelques gestes simples pour se protéger et se défendre
Aérer son habitation, même s’il commence à faire froid ou humide à l’extérieur,
aérer tous les jours permet de renouveler l’air ambiant et de le débarrasser des microbes en suspension. Un peu d’air frais est toujours vivifi ant ! Des voies respiratoires saines et propres ! Se moucher régulièrement permet d’éviter l’accumulation des microbes et de dégager les voies aériennes. il faut bannir l’utilisation des mouchoirs en tissus qui sont propices à la stagnation des microbes et privilégier les mouchoirs à usage unique, bien plus hygiéniques. Immunité et tabac ne font pas bon ménage. C’est peut être le moment idéal pour penser à arrêter de fumer ! Le tabac affaiblit grandement le système immunitaire, rendant ainsi les fumeurs beaucoup plus sensibles aux agressions extérieures. Si toutefois vous continuez… préférez les endroits aérés, ne fumez pas dans les espaces clos (voiture, domicile…) et pensez à bien aérer après. vous l’aurez compris, une alimentation saine, une activité physique régulière, le respect de son organisme et de ses besoins, qu’ils soient d’ordre nutritionnel ou physiologique, sont des réfl exes à adopter pour profi ter d’un automne rayonnant en gardant la forme et en vivant pleinement ses activités ! De plus, après l’automne l’hiver s’annonce … La supplémentation nutritionnelle peut être une solution naturelle et effi cace pour aborder sereinement la seconde période plus froide et rester au top de sa forme physique et intellectuelle. en utilisant des produits naturels qui ne sont en aucun cas des excitants, vous obtiendrez un effet tonique équilibré pour un automne et un hiver plein de santé.
Jean-Christophe Bazin 16
Santé
Sofi adis Mag!
QUI A BESOIN DE VITAMINES ? Tout le monde en a besoin ! Les vitamines sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme, quel que soit l’âge. À l’exception de la seule vitamine D, le corps ne synthétise pas luimême de vitamines. Des apports extérieurs sont dès lors nécessaires.
quelles vitamines ?
La découverte des vitamines ne date que d’une centaine d’années. Depuis l’identifi cation, en 1912, de la première vitamine (B1), la recherche s’est largement développée. il n’est pas possible de dresser ici un tableau complet des vitamines connues et de leurs effets sur l’organisme. La plus populaire est sans doute la vitamine C, qui aide à résister aux infections, redonne de l’énergie, est un puissant antioxydant et aide à la cicatrisation des plaies. Certaines vitamines vont agir sur la croissance (et sont donc essentielles durant l’enfance), tandis que d’autres vont stimuler le système immunitaire, donner de l’énergie, participer à la transmission de l’infl ux nerveux, alimenter les fonctions vitales, limiter le vieillissement, réduire le stress, réguler le taux de cholestérol ou de sucre dans le sang, entretenir les cellules nerveuses, intervenir dans la coagulation ou la synthèse sanguine, renforcer l’ossature, contribuer à une bonne santé et un équilibre général, …
Les carences en vitamines
Un manque de vitamines peut créer des troubles bénins et passagers (mais non moins désagréables), tels qu’un état de fatigue, un manque de dynamisme ou de la déprime. Une carence plus importante et plus durable peut avoir des conséquences nettement plus sérieuses : affaiblissement des défenses immunitaires (ouvrant la porte à une large palette de maladies de la simple grippe au cancer), lésions cutanées ou oculaires, troubles digestifs ou neurologiques, stérilité, maladies cardio-vasculaires, polynévrites, anémie ou septicémie. Une carence en vitamines durant la grossesse ou l’enfance peut être lourde de conséquences irrémédiables : malformations, troubles de la croissance, rachitisme, …
Trop de vitamines
À l’inverse, les excédents sont, selon le type de vitamine, éliminés de manière naturelle (et donc sans conséquence) ou stockés dans le corps, ce qui peut provoquer, dans les cas extrêmes, des accidents de santé.
où trouver des vitamines ?
Les céréales, les arachides, les œufs, les produits laitiers, le poisson, les mollusques et la viande contiennent des proportions variables de vitamines.
Sofi adis Mag!
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Mais les champions de la vitamine sont les fruits et légumes. C’est l’une des raisons qui justifie la recommandation de consommer quotidiennement 5 portions de fruits ou légumes. À condition de répartir cette consommation sur une large variété de produits, ces apports en vitamines via l’alimentation devraient être suffisants et équilibrés. Les vitamines se concentrent généralement dans la partie superficielle et la peau des aliments. Un épluchage grossier peut entraîner des pertes considérables en éléments nutritifs. Il est donc conseillé de consommer la peau des fruits et légumes (après nettoyage attentif pour éliminer d’éventuels résidus de pesticides) et / ou d’effectuer un épluchage très fin. La cuisson tue une grande partie des vitamines. On veillera donc à consommer des aliments crus en suffisance. Des plats préparés, des légumes cuits ou des confitures sont pauvres en vitamines. Le mode de vie moderne et les mauvaises habitudes alimentaires, entraînent régulièrement des carences en vitamines. Dans ce cas, des apports en vitamines et compléments nutritionnels trouvent toute leur raison d’être. Plus de 50% des Américains recourent à ces produits, dont la consommation augmente de manière constante dans tous les pays développés.
Les compléments utiles à la santé
Cette forte demande a stimulé le développement d’une très large palette de compléments alimentaires à base de vitamines et autres éléments utiles à la santé tel que des minéraux, des acides aminés, …
La plupart de ces compléments combinent différentes substances, reconnues pour leurs effets bénéfiques. Certains ont une action générale sur la santé et le bien-être, tandis que d’autres sont ciblés vers des besoins plus spécifiques, tels que lutter contre la fatigue ou le stress, réguler le système nerveux, tonifier, faire le plein d’énergie et de vitalité, se détendre, favoriser un sommeil réparateur, réduire le vieillissement, développer la condition physique et l’endurance, raffermir les muscles, renforcer les défenses immunitaires, réguler la circulation sanguine et l’activité cardiaque, améliorer les performances mentales, la concentration ou la mémoire. On trouve également des compléments alimentaires destinés à des publics spécifiques, tels que les femmes enceintes (ou se préparant à la grossesse), les enfants (notamment pour stimuler la croissance et renforcer l’ossature et les dents), les adolescents, les étudiants (notamment en période d’examens), les personnes stressées, les sportifs, les personnes âgées, les femmes ménopausées, les personnes ayant des taux de cholestérol ou de glycémie trop élevés. Certains de ces compléments ont des principes actifs à effet immédiat, tandis que d’autres sont étudiés pour avoir une libération progressive, provoquant un effet graduel et prolongé. Ceci permet une meilleure assimilation et tolérance par le corps, ainsi que d’éviter d’éventuelles concentrations excessives. Pour une information complète et un conseil personnalisé, faites appel à votre médecin ou pharmacien. Marco Hellemans
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SaNTé
MAUX DE TÊTE ET MIGRAINE Le mal de tête, ou céphalée, est à la fois un symptôme, comme dans la grippe par exemple, et une maladie lorsqu’il constitue une entité à part entière et répond à des critères bien précis. Dans ce dernier cas, on parle de céphalées primaires. La migraine en fait partie, à côté des céphalées de tension et d’autres affections plus rares.
QU'EST-CE QU'UNE MIGRAINE ? La migraine est un mal de tête qui présente au moins deux de ces quatre caractéristiques : localisée à la moitié du crâne, pulsatile (cœur qui bat dans la tête), sévère (impossibilité d'assurer ses activités habituelles) et aggravée par l’activité physique. elle doit aussi être accompagnée soit de nausées ou de vomissements, soit d’intolérance au bruit et à la lumière. Globalement, on peut les classer en migraine sans aura (80%) et en migraine avec aura (20%). Cette dernière est précédée de symptômes visuels, sensitifs ou de troubles du langage.
QUELLES SONT LES CAUSES DES MIGRAINES ? C'est l'hypersensibilité de certaines zones du système nerveux qui entraîne les crises de migraine. Lorsque ces zones sont stimulées de manière suffi sante (stress, douleur, chaleur, variation hormonale), une cascade d'événements se déclenche : libération de substances excitatrices, dilatation des artères, activation de phénomènes infl ammatoires. en fait, tout cerveau est susceptible de connaître une crise de migraine. Tout dépend du seuil de sensibilité de chacun. Celui-ci est infl uencé par plusieurs facteurs. Les facteurs génétiques participent à sa détermination à la base. Les facteurs hormonaux, chez la femme, induisent des fl uctuations cycliques (cycles menstruels) et au long cours (puberté, grossesse, ménopause). D’autres facteurs internes (humeur, horloge interne, mode de traitement de 20
Santé
Sofi adis Mag!
l'information) provoquent des modulations plus variables. quand le seuil de sensibilité est élevé, en d'autres termes, quand le système nerveux est résistant aux facteurs qui infl uencent le seuil, les migraines sont inexistantes. Si le seuil est intermédiaire, les migraines sont occasionnelles, mais si le seuil est bas alors c'est la maladie migraineuse qui s'installe.
QUELS SONT LES FACTEURS DÉCLENCHANT LA MIGRAINE ? Les facteurs déclenchant la migraine sont très variables et diffèrent selon le patient. Classiquement, on retrouve : le stress, la fatigue, les irrégularités dans le rythme de vie (dormir trop ou pas assez, sauter un repas, changer de fuseau horaire), la consommation d'alcool, de certains aliments, les variations hormonales chez la femme, les facteurs climatiques, l'altitude, les stimulations intenses (lumière, bruit, odeur) etc.
QUELLES SONT LES PERSONNES LES PLUS TOUCHÉES PAR LA MIGRAINE ? La migraine affecte 15% de la population dans les pays industrialisés. C'est une affection qui touche une population jeune (elle peut commencer à l'enfance) avec un maximum entre 25 et 45 ans. Les femmes sont plus touchées que les hommes (3 femmes pour 1 homme), mais ces derniers ne sont pas épargnés. Sur l'ensemble de la population migraineuse, la migraine s'atténue après un certain âge. La migraine a été classée par l'oMS (organisation Mondiale de la Santé) dans le top 20 des maladies qui ont le plus d'impact sur la qualité de vie, professionnelle, sociale et privée.
EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS POUR SOIGNER LA MIGRAINE ? Les traitements de la migraine s'articulent sur 3 axes. il faut d'abord déterminer les facteurs déclenchants spécifi ques au patient et essayer de les réduire autant que possible (irrégularités dans le mode de vie, exposition au stress, fatigue excessive, consommation d'alcool). C’est la prévention primaire. ensuite, si les crises sont fréquentes et altèrent signifi cativement la qualité de vie du patient migraineux, son seuil de sensibilité peut être renforcé grâce à un
traitement de fond au long cours (prévention secondaire), médicamenteux ou non (kinésithérapie, techniques de relaxation, biofeedback). enfi n, quand la crise est là, elle doit être traitée rapidement et énergiquement par des antidouleurs classiques, des anti-infl ammatoires ou des antimigraineux plus spécifi ques comme les triptans. attention toutefois: la prise de médicaments de crise doit rester contrôlée. Prendre le même médicament de crise à raison de plus de dix à quinze fois par mois peut transformer la migraine en une céphalée chronique. D’autres traitements de crise spécifi ques sont à l’étude. Les gépans semblent effi caces mais leur développement se heurte à des problèmes de toxicité hépatique. Les ditans, dérivés des triptans, constituent une autre classe en développement.
QUEL GENRE D'EXAMEN FAUT-IL PASSER POUR DIAGNOSTIQUER LA MIGRAINE ? L'histoire du patient à elle seule permet de poser le diagnostic de migraine dans la plupart des cas. L'examen neurologique normal du patient confortera ce diagnostic. Ce n'est que face à certains éléments atypiques de l'histoire ou à une anomalie inexpliquée à l'examen clinique que des investigations complémentaires seront demandées. Des examens tels que l'imagerie cérébrale (scanner ou résonance magnétique) ne seront donc en général pas nécessaires sauf si le médecin suspecte une anomalie (si la migraine est toujours située du même côté par exemple). L'électroencéphalogramme n'est pas un examen utile en cas de migraine sauf dans de rares cas où le diagnostic d'épilepsie n’est pas exclu.
Marianne de Tourtchaninoff
Chef de Clinique Neurologie UCL Saint-Luc
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voyaGe
DESTINATIONS DÉTOX !
Stressé, fatigué après la rentrée ? offrez-vous un moment d'évasion et de bien-être en alliant vacances et relaxation. Partout, le concept de remise en forme se développe pour contrecarrer le surmenage de la vie moderne. opter pour ce type de destination, c’est s’octroyer un lâché-prise total dont nous avons souvent besoin.
POURQUOI NE PAS S’OFFRIR DES VACANCES JUSTE POUR DÉCOMPRESSER ?
et physique. Ces nouveaux centres de bienêtre peuvent se situer sous les tropiques ou à deux pas de chez soi, en bord de mer, à la montagne ou à la campagne, mais toujours dans des lieux propices à la détente et à la sérénité. Sans connotation médicale, les Spas offrent un cadre apaisant et une ambiance zen. au programme, modelages, massages orientaux ou asiatiques, soins d’hydrothérapie relaxants, soins à base de lotions et parfums exotiques, soins de beauté… rien de tel pour ressourcer votre corps et votre esprit le temps d’un week-end ou plus, et enfi n prendre du temps rien que pour vous.
Le Spa, concept en vogue depuis plusieurs années reste le lieu idéal pour une déconnection face à la routine du quotidien. Le Spa propose, tout au long de votre séjour, des moments de cocooning et de détente avec des soins alliant le bien-être spirituel
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voyage
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Le Club Med prend soin de vous…
Le célèbre club de vacances propose également ses destinations détente et certains de ses villages disposent d’espaces dédiés à la douceur, à la relaxation où ils suggèrent des rituels de soins et de massages, hammam, sauna et bain à remous. Des activités physiques de détente vous y sont également proposées pour bouger en toute sérénité. Pour la garantie de vacances relaxantes, choisissez votre Forfait Bien-etre dès votre réservation.
SINAÏ BAY – EGYPTE : DÉTENTE ET SÉRÉNITÉ SUR UN SITE D’UNE RICHESSE INOUÏE
VALMOREL – FRANCE : LUXE ET BIEN-ÊTRE, ENTRE MÉLÈZES ET PISTES DE SKI
Situé face à la mer, imaginez-vous faire une pause en couple ou en famille sur une plage privée de 550 mètres de long, plonger au milieu de poissons multicolores, profi ter du golf 18 trous pour ensuite vous régénérer au Spa Cinq Mondes. Mille-cinq-cents mètres carrés exclusivement dédiés au bien-être où l’on vous procure des soins reconnus mondialement. il ne vous reste plus qu’à faire votre choix : massages, hammam, piscine ou sauna, ce bain de vapeur sèche aux vertus nettoyantes qui apporte un réel bien être … des purs moments de bonheurs.
Une station de charme, un emplacement exceptionnel pour ce village situé à 1460 mètres d’altitude, avec une vue imprenable, dans une nature environnante préservée…
quoi de plus salutaire que de s’offrir l’une de ces destinations « remise en forme ». Ces hauts lieux de relaxation, dont le seul objectif est de détendre votre corps et votre esprit seront une destination salvatrice pour attaquer l’hiver et la fi n de l’année en toute quiétude. après tout, les vacances c’est aussi fait pour prendre soin de soi !
après une journée intense de ski ou de raquettes, le Club Med vous propose d’arrêter le temps au Club Med Spa by CariTa, un paradis zen de près de 600 mètres carré, dédié à la « Haute Beauté » visage et Corps. Le village vous suggère aussi de profi ter de la piscine intérieure chauffée ou du hammam, moment de relaxation intense dans ce bain de vapeur humide provoquant l’élimination des toxines et qui vous procure une sensation de bien-être et de détente. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter notre partenaire Travex. Barbara Philippart
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SPorT
ON SE MET AU CROSSFIT ?
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Le CrossFit est une technique de conditionnement physique qui combine principalement la force athlétique, l'haltérophilie, la gymnastique et les sports d'endurance. Le mot CrossFit vient de Cross Fitness (en français, entraînement physique croisé) de par le mélange de différentes activités physiques et sportives préexistantes.
Différent des méthodes classiques ?
Le programme CrossFit veut augmenter la capacité de travail dans ces différents domaines en provoquant par les entraînements des adaptations neurologiques et hormonales au travers des différentes fi lières métaboliques. Ceci afi n de préparer ses pratiquants à s’adapter à n’importe quels efforts physiques rencontrés tous les jours grâce à la variété des entraînements, l’utilisation de mouvements poly-articulaires et l’intensité élevée du travail. La spécifi té du crossfi t est à l’inverse des autres sports, la non-spécialisation. Les pratiquants doivent être capables d’appréhender tous les domaines physiques et tous les sports.
a qui s’adresse le CrossFit ?
Selon les adeptes du CrossFit, à tout le monde… maintenant, il faut être en excellent état général sans contre-indications physiques avant de pouvoir se lancer dans ce sport. Ce n’est pas sans risque et il faut avoir de bons conseils, de bons entraîneurs, là est la grande question. qu’est-ce qu’un bon coach ? il faudra quelqu’un qui respecte certains principes de sécurité, de progressivité et de corrections dans les mouvements complexes.
et l’entraînement ?
Les pratiquants de CrossFit courent, rament, grimpent à la corde, sautent, déplacent des objets, pratiquent des mouvements olympiques d'haltérophilie ainsi que des exercices au poids du corps, utilisent des haltères, des 26
Sport
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5 BONNES RAISONS DE SE METTRE AU CROSSFIT.
Faire une activité physique régulière. Faire du sport en groupe. améliorer sa condition physique générale (fi tness level). Se dépasser. Gagner en confi ance en soi.
anneaux de gymnastique, des boîtes, des kettlebells ou des sacs pouvant servir l'entraînement, le tout se déroule à grande intensité.
quel physique puis-je espérer en faisant du CrossFit ?
Comme dans tout sport, il faut être très régulier, avoir un programme bien conçu et équilibré, s’entraîner avec intensité et avoir un régime alimentaire adapté afi n d’espérer obtenir des résultats visibles. Si toutes ces conditions sont remplies, on peut espérer développer sa masse musculaire et perdre en masse grasse après plusieurs mois.
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Dois-je disposer de matériel ?
Pratiquez le Crossfi t dans un centre affilié Crossfi t, ceci évitera déjà pas mal de pâles copies de ce sport et exigez des coaches diplômés au minimum Level 1, cela ne veut pas tout dire mais vous mettrez déjà plus de chances de votre côté afi n d’être bien coaché. alain Ptak
Préparateur physique
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LA SANTÉ NATURELLEMENT
Dietetique
intolérances au lactose Quelques conseils pratiques pour y faire face
Quels sont les symptômes liés à l’intolérance au lactose ?
Les symptômes peuvent être directs ou indirects, c’est-à-dire liés au système digestif ou non. Si les symptômes sont directs, le patient se plaint de crampes, de ballonnements, de ventre tendu, de gaz intestinaux, de flatulences, de diarrhée et/ou de constipation. Ces symptômes peuvent rester discrets et persister à bas bruit ou devenir grave (chez le nourrisson) et nécessiter une intervention médicale immédiate. Par symptômes indirects, on entend des maux de tête jusqu’à l’apparition de migraines, de la fatigue même mentale, un sentiment général de lourdeur, de l’inflammation dans les articulations etc. Ils sont multiples et peuvent se manifester à tout moment et à tout endroit du corps. On parle alors ‘d’encrassage’ du corps.
Les causes et le diagnostic
Il est important de faire la différence entre allergies et intolérances. Les allergies alimentaires ne couvrent qu’une petite partie de la population et ne peuvent se guérir. Les intolérances alimentaires couvrent hélas une population de plus en plus large. Sans doute bien plus que diagnostiqué… La bonne nouvelle 28
Diététique
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est qu’elles sont réversibles moyennant une prise en charge sérieuse par un professionnel de la santé et le suivi d’un régime strict pendant quelque temps. L’origine des maux, dans les deux cas, est un manque de lactase, une enzyme spécifique et nécessaire à la digestion du lait. Nous la produisons dans nos premières années de vie pour digérer et assimiler les nutriments du lait ... maternel. Le lait de vache sert à sevrer les veaux et ne comporte pas les mêmes nutriments nécessaires au bon développement et fonctionnement de l’homme. Ensuite nous devrions faire comme les vaches c’est-à-dire une fois sevré on devrait arrêter la consommation de lait pour passer à l’eau. Notre corps le manifeste très bien d’ailleurs car il diminue fortement voire arrête la production de lactase à l’âge de la première primaire. N’oublions pas de mentionner également qu’aujourd’hui le lait que nous buvons est hélas très loin de sa version naturelle. Soumis à de nombreux processus d’industrialisation (pasteurisé, UHT, aromatisé,…) ce lait dénaturé est vidé de sa
qualité nutritionnelle et est inadapté à notre fonctionnement naturel. Le diagnostic peut se faire de deux façons. Soit par auto-observation pour toute personne avertie. Si vous avez des doutes consultez une nutritionniste ou naturopathe. Soit par un médecin qui peut vous prescrire une prise de sang. Contactez dans ce cas un médecin nutritionniste qui a réellement suivi une formation en nutrition après ses études de médecine et qui prescrit des bilans sanguins dans des laboratoires spécialisés. Le bilan et la lecture du bilan sera nettement plus approfondi.
La protéine du lait de soja est encore plus lourde à digérer que la protéine du lait de vache et le terrain nous montre hélas de plus en plus d’intolérances au lait de soja! Certains laits animaliers peu courants comme le lait de jument ou de chèvre sont parfois tolérés. S’il n’y a pas d’intolérances essayez néanmoins d’alterner les laits (y compris le lait de vache) car chaque lait a des qualités différentes et ainsi nous diminuons considérablement le risque qu’il y ait un jour des intolérances alimentaires quelconques. Chantal van der Brempt Health Promoting Activities & Nutritional Coaching www.myfoodprint.be
Que manger ?
Le temps que les intestins retrouvent leur santé et un fonctionnement optimal il faut s’interdire la consommation de lait de vache au profit de laits végétaux tels que le lait de riz, de quinoa, d’amandes, de noisettes, de châtaignes ou encore de soja. Toutefois il y a un bémol : ils contiennent un taux (trop) important de sucres et sont donc à consommer moderément. Attention également à une surconsommation de lait de soja sous forme de yaourts, de crèmes dessert, de laits aux différentes saveurs et autres. Peut on traiter les intolérances ?
Oui ! Bonne nouvelles n’est-ce pas ? En j’en suis la preuve. Je souffrais d’une intolérance au gluten. Je me suis soignée par éviction totale du gluten en première instance. Dans le cas d’une intolérance au lactose il va de soi que c’est le lactose qu’il faut éradiquer. Dans le même temps il faut éliminer l’inflammation présente dans l’intestin et ‘colmater’ les perforations que celles-ci ont provoquées dans la barrière intestinale le plus souvent à l’aide de compléments alimentaires. Une cure de pro- et pré biotiques pour venir ensemencer la bonne flore bactérienne est la troisième action. Si la barrière est la douane, la flore bactérienne représente les douaniers qui veillent au bon fonctionnement de la douane et donc de notre intestin. Une fois que l’intestin a retrouvé la santé on peut réintégrer petit à petit le lait. Il est néanmoins sage de modérer sa consommation de lait même après une guérison.
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CONCOURS GAGNEZ 5 X 40€ DE BONS D’ACHAT DANS LES PHARMACIES SOFIADIS Devenez «FaN» de notre page Facebook « les pharmacies Sofiadis » et répondez correctement aux 4 questions à choix multiples ci-dessous et à la question subsidiaire avant le samedi 13 décembre 2014 minuit.
Question 1 : quel est le pourcentage d’accidents de la route qui résultent de la somnolence ? Question 2 : Comment éviter les brûlures d’estomac ? Question 3 : qu’est ce que le CrossFit ? Question 4 : Comment s’appelle le spa du Club Med Sinaï Bay en egypte ? Question subsidiaire : Combien de personnes auront répondu correctement aux 4 questions du jeu concours SoFiaDiS à la date du 13 décembre 2014 à minuit ? réPoNSe UNiqUeMeNT SUr Le SiTe WWW.SoFiaDiS.Be AVANT LE 13 DÉCEMBRE 2014 À MINUIT.
LE GAGNANT DEVRA ÊTRE FAN DE LA PAGE FACEBOOK DE SOFIADIS.
Les gagnants seront avertis personnellement. en cas d’ex aequo, les réponses seront prises en compte en fonction de leur date d’arrivée. en l’absence de bonne réponse, la réponse la plus proche sera prise en compte. règlement disponible sur simple demande.
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Gagnant du précédent concours SOFIADIS Félicitations à L. r. Lucia! Vous remportez une tablette Samsung Galaxy TAB2 10.1.
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