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SANTÉ HOLISTIQUE

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MONDE

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Et si l’on prenait le temps de respirer ?

LA RESPIRATION — Elle est essentielle à la vie humaine. Chaque seconde, nous inspirons et expirons. Difficile de prendre réellement le temps de nous y attarder. Respirer est la force qui nous maintient en vie. Chaque cellule du corps humain a besoin d’oxygène pour fonctionner correctement. Il n’est pas surprenant que la recherche démontre, depuis des années, les bienfaits de différentes techniques de respiration sur la santé physique, mentale et globale. Zoom sur des pratiques qui ont fait leurs preuves dans le domaine de la gestion du stress, du bien-être général et du dépassement de soi.

ÉQUILIBRE

RESPIRATION CONSCIENTE : APPROFONDIR LA CONSCIENCE DU SOUFFLE

Autrefois surnommée rebirthing (renaissance), la respiration consciente est une pratique douce et profonde de la conscience du souffle développée par Leonard Orr, au courant des années 1970. Son principe consiste à respirer par le nez de manière continue. La transition entre les inspirations et les expirations est donc fluide et profonde. Autrement dit, il n’y a pas de pauses pendant lesquelles les poumons sont bloqués. Dans la vie courante, il est fréquent d’arrêter de respirer lorsque nous rencontrons des problèmes. Ces blocages s’inscrivent dans la mémoire du corps. L’objectif de la respiration consciente est de venir apaiser la mémoire. L’apport en oxygène résultant d’une respiration ample, profonde et continue aurait le pouvoir de faire remonter certains souvenirs afin de s’en libérer.

Pour pratiquer la respiration consciente, la première étape est d’être conscient de son corps, de l’habiter. On peut par la suite prendre conscience des moments où notre souffle est bloqué, intégrer de simples exercices de respiration à son quotidien, ou encore avoir recours à l’aide d’un spécialiste certifié pour nous accompagner à approfondir ce cheminement. Particulièrement bénéfique pour les personnes victimes de stress, d’anxiété ou tout simplement dépassées, la respiration consciente s’adresse cependant à tout le monde. Les bienfaits sont nombreux :

un esprit plus calme, une réduction de la pression sanguine, une réduction du stress, une amélioration de la mémoire et de l’attention générale, et un meilleur sommeil.

COHÉRENCE CARDIAQUE : UNE PRATIQUE POUR MIEUX GÉRER LE STRESS

Bénéfique pour l’esprit, le corps et le cœur, la cohérence cardiaque est un concept né aux États-Unis au courant des années 2000. Issue de recherches médicales alliant neuroscience et neurocardiologie, la cohérence cardiaque permet de ralentir le rythme du cœur en pratiquant de simples exercices de respiration. Surnommée « 365 », la méthode développée par le docteur David O’Hare consiste à répéter trois fois par jour (en avant-midi, en aprèsmidi et en soirée) six respirations par minute (cinq secondes d’inspiration, puis cinq secondes d’expiration) durant un total de cinq minutes. D’apparence plutôt simple, cette méthode n’est pas pour autant instinctive, car nous respirons généralement plus vite.

Certaines applications comme CardioZen ou Cohérence cardiaque peuvent nous accompagner dans l’atteinte du rythme voulu. Des professionnels en sophrologie, méthode de relaxation globale, peuvent aussi être consultés afin d’apprendre à relâcher le corps et le mental. Meilleure gestion du stress, réduction de l’anxiété, augmentation de l’énergie et de l’équilibre émotionnel, amélioration du sommeil, renforcement du système immunitaire et prévention des maladies cardiovasculaires, ses vertus sur la santé physiologique, biologique et psychologique sont multiples. La Fédération Française de Cardiologie recommande notamment la pratique quotidienne de la cohérence cardiaque, et ce, à tout le monde.

PRANAYAMA : LE CONTRÔLE DU SOUFFLE

En sanskrit, « prana » signifie énergie vitale, et « yama » signifie contrôle. Le pranayama est donc une pratique de la régulation de la respiration. On la surnomme aussi le contrôle de la force vitale, l’extension du souffle.

L’objectif ? Connecter le corps et l’esprit.

Le pranayama est l’une des huit branches de la pratique du yoga. Pouvant être allié à d’autres pratiques comme les postures physiques (asanas) et la méditation (dhyana), le pranayama propose ses propres avantages, dus aux effets thérapeutiques des exercices de respiration. Selon plusieurs études menées en Inde et publiées dans le Journal International de Yoga par le National Center for Biotechnology Information (NCBI), le pranayama contribuerait à réduire le stress, calmer le système nerveux, améliorer la qualité du sommeil, améliorer la pleine conscience, diminuer l’hypertension artérielle, augmenter la capacité pulmonaire et les performances cognitives. À découvrir: Nadhi Sodhana, cette respiration alternée des narines qui peut être pratiquée en position assise ou couchée. Tout d’abord, videz l’air de vos poumons. Avec votre pouce droit, bloquez votre narine droite et inspirez par la narine gauche. Lorsque vous aurez complètement inspiré, bouchez votre narine gauche à l’aide de votre annulaire de la même main, en maintenant votre narine droite fermée. Retenez votre souffle quelques instants, puis relâchez votre pouce, et expirez par la narine droite. Faites une pause, puis inspirez par la narine droite, et expirez par la narine gauche. Vous aurez ainsi complété un cycle complet. Répétez l’exercice, et effectuez jusqu’à dix cycles par pratique. Un exercice équilibrant, purifiant et profondément calmant.

INTRODUIRE LES BIENFAITS DE LA RESPIRATION DANS SON QUOTIDIEN Que vous souhaitiez entamer votre démarche auprès d’un spécialiste, ou que vous choisissiez d’intégrer de simples exercices à votre quotidien, la respiration en pleine conscience a beaucoup à offrir. Transformez vos journées, un exercice à la fois. En vous réveillant le matin, avant l’heure du lunch ou encore du coucher. Présentez les bienfaits de la respiration à vos enfants. Invitez-les à leur tour à prendre conscience de leur souffle. Proposez de simples exercices, adaptés à la tranche d’âge de chacun. Exercez-vous seul, entre amis ou encore en famille.

DÉPASSEMENT

RESPIRATION WIM HOF : DÉPASSER SES LIMITES

S’abandonner au froid polaire pour atteindre la plénitude, voilà ce que promet la méthode Wim Hof, spécialement en vogue depuis quelques années. Créée par Wim Hof, un Néerlandais reconnu pour sa résistance aux froids extrêmes, la technique de respiration vise à repousser ses limites et à approfondir le contrôle des émotions, pour atteindre un état d’apaisement total.

La méthode Wim Hof consiste à inspirer pleinement et rapidement, puis expirer lentement 30 fois, puis retenir sa respiration durant une minute lorsque les poumons sont vides, puis inspirer à nouveau, et retenir sa respiration encore une minute, alors que les poumons sont pleins. D’une durée totale de 20 minutes, ce cycle respiratoire sera répété de quatre à cinq fois. Puisque la respiration Wim Hof peut comporter d’importants risques et demande de la pratique pour être sécuritaire, il n’est pas recommandé d'apprendre la technique ou de s’exercer seul chez soi. Il est cependant possible d’avoir recours à l’accompagnement d’un coach certifié. Bien qu’aucune étude n’ait prouvé scientifiquement ses bienfaits, la technique Wim Hof serait reconnue pour libérer de la dopamine, de l’adrénaline et de la sérotonine, et améliorer la santé physique et émotionnelle.

TRANSCENDANCE

RESPIRATION HOLOTROPIQUE : LE SOUFFLE TRANSFORMATEUR

Couramment appelée breathwork, la respiration holotropique est une technique de respiration par hyperventilation visant à atteindre les profondeurs du subconscient en faisant ressurgir des traumatismes du passé dans le but de s’en libérer. Il s’agit d’une expérience hors du commun durant laquelle, en plus de lâcher prise, les pratiquants peuvent pleurer, rire ou même hurler. Difficile à croire ?

La technique fut développée par Stanislav Graf, psychiatre ayant poursuivi différentes recherches sur les états de conscience modifiés au courant des années 70. Sa muse: l’amplification de la respiration. Dérivé de certaines pratiques du pranayama et du rebirth, le breathwork consiste à modifier son état de conscience afin d’explorer ses émotions et de mieux les maîtriser. Les yeux fermés, le pratiquant pose une main sur son ventre et l’autre sur sa poitrine. La première inspiration est prise par la bouche, en gonflant le ventre. Puis, sans dégonfler le ventre, une seconde inspiration est prise en gonflant la poitrine. Sur une expiration énergique, ventre et poitrine sont finalement relâchés. Au fil des respirations, le corps se met progressivement en hyperventilation et subit plusieurs réactions: nausées, picotements dans le corps, étourdissements. Avec résilience et persévérance, on peut surmonter ces phénomènes et soutirer les bienfaits de la pratique: clarté d’esprit, libération des émotions et des traumatismes du passé, augmentation de l’oxygénation du sang, régénération de l’organisme. Soyez averti, la technique holotropique peut représenter certains dangers: risques de vertiges, pertes d’équilibre ou de connaissance, chutes au sol, etc. La présence d’un accompagnateur et d’un coach est indispensable. La respiration holotropique est aussi déconseillée aux femmes enceintes, aux personnes atteintes de certaines maladies mentales ou souffrant de problèmes cardiaques. Avant de vous lancer, assurez-vous d’être bien préparé et, au besoin, n'hésitez pas à consulter votre médecin.

Pour toutes les techniques de respiration, veillez à bien vous faire accompagner et cessez votre pratique si vous ressentez un malaise. Les descriptions précédentes sont des introductions aux différentes techniques de respiration, mais ne constituent pas des guides de pratique complets. Des démarches additionnelles seront nécessaires avant d’exécuter ces méthodes.

Sources

Bergeron, Sylvie. «La respiration conscience, se libérer dans la simplicité». ANQ Naturo, 24 novembre 2015 Cronkleton, Emily. “What is Breathwork.” Healthline, 29 avril 2019 Hodge, Allison. “The Power of Breathings: 4 Pranayama Techniques Worth Practising.” One medical, 16 novembre 2018 Lachenaud, Véronique. «La cohérence cardiaque ». Passeport santé, janvier 2018 Medoucine. «La respiration holotropique». Passeport santé, janvier 2018

Nunez, Kristen. “7 Science-Backed Benefits of Pranayama.” Healthline, 15 mai 2020 Richard, Jérémie. «S’immerger dans l’eau glacée au nom du bien-être». La Presse, 23 mars 2020 Ringot, Emmanuelle. «Méthode Wim Hof: le bonheur et le dépassement de soi grâce au froid extrême». Marie Claire, 6 février 2022

42 Crédit photo : Bianca Des Jardins

La naissance d’une famille : Entretien avec Annick Bourbonnais, accompagnante à la naissance

BIEN S’ENTOURER — Être informés et soutenus lors du moment le plus important de leur vie, voilà ce que recherchent les futurs parents. Surnommés «doulas », les accompagnantes et accompagnants à la naissance guident ces derniers afin qu’ils puissent faire des choix éclairés tout en leur offrant un soutien mental, physique et émotionnel durant la grossesse, l’accouchement et la période postnatale. Pour nous en parler, nous avons rencontré Annick Bourbonnais, présidente de l’Association québécoise des doulas (AQD), directrice de l’académie périnatale et créatrice et propriétaire du programme Hypnodoula.

Vous avez à ce jour accompagné plus de 300 naissances. Comment cette passion pour la naissance, la vie, et tout ce qui l’accompagne s’est-elle développée ?

«Je suis née d’une maman qui avait une maternité à guérir, qui a vécu différents traumatismes liés à l’enfance et à la maternité. J’aime penser que je me suis probablement incarnée dans ce rôle, puisque j’ai été l’enfant dont ma mère a eu besoin pour se libérer de ses expériences passées.

L’accompagnement à la naissance est arrivé dans ma vie comme une évidence, il y a une dizaine d’années, alors que je travaillais au CHU Saint-Justine. Ma sœur était venue accoucher et c’est à ce moment que j’ai rencontré sa doula. J’ai été fascinée par son travail. Trois mois plus tard, quand je suis tombée enceinte, je l’ai contactée afin qu’elle m’accompagne pour la naissance de mon enfant, mais aussi professionnellement, puisque je souhaitais me réorienter vers le métier de doula. J’ai eu pour elle une sorte de coup de cœur professionnel. J’ai repris le chemin de l’école alors que ma fille n’avait que quatre semaines ! »

Dans l’imaginaire collectif, le métier de doula semble être une vocation qui dépasse la simple formation. Qu’en pensez-vous ?

«Je crois simplement que nous, doulas, portons des histoires et des valeurs qui nous amènent à nous investir auprès de personnes qui s’apprêtent à devenir parents. Le métier de doula implique une dynamique de travail atypique : être de garde 24 heures sur 24, sept jours sur sept, et possiblement 365 jours par année. Il faut être passionné pour être prêt à affronter ce genre de contexte ! »

L’accompagnement à la naissance comporte plusieurs avantages. On parle de réduction du taux de césariennes, de diminution de l’utilisation de la péridurale et d’augmentation de la production d’ocytocine, de diminution de la durée du travail… En quoi l’accompagnement rend-il tout cela possible ?

«Grâce à la préparation. L’accouchement est un processus physiologique naturel. Pour que le corps performe lors de l’accouchement, différents éléments doivent être rassemblés. Il faut tout d’abord être dans un bon état d’esprit.

Nous sommes tous porteurs d’histoires et de cultures qui influencent notre vision de la maternité, de l’accouchement et de l’allaitement. Cette mémoire s’inscrit depuis notre plus jeune âge. Heureusement, il est possible d’en prendre conscience pour se libérer de certaines préconceptions et appréhensions, et ainsi arriver à l’accouchement avec plus de souplesse et d’ouverture d’esprit. Par ailleurs, les hormones qui facilitent l’accouchement sont timides et facilement inhibées par l’hormone du stress, le cortisol. Si nous sommes dans un environnement qui nous paraît hostile, les pensées anxiogènes qui en découleront empêcheront le corps de fonctionner à son plein potentiel lors du travail. Dans certains cas, les futurs parents sont aussi peu informés sur les processus physiologiques du corps humain, et se présentent à leur accouchement avec une préparation très aléatoire, de sorte qu’il est plus difficile de travailler avec le corps le moment venu. L’avantage de l’accompagnement est donc d’offrir aux futurs parents une meilleure compréhension du fonctionnement de leur corps, et de révéler de façon consciente leurs attentes (elles sont parfois inconscientes, mais il y en a toujours !) pour leur redonner du pouvoir. La culture actuelle entourant la naissance suggère que l’accouchement est quelque chose qui est subi plus qu’exécuté. On dira par exemple : “c’est ce médecin qui va m’accoucher”. L’enfantement est ainsi souvent perçu comme appartenant à un tiers, le personnel médical, alors que c’est la personne enceinte qui accouche. On permet ainsi aux futurs parents de s’approprier l’expérience qu’ils vont vivre. »

Les choix personnels quant à l’enfantement et la parentalité peuvent sembler polarisés : péridurale ou accouchement « naturel », milieu hospitalier ou maison de naissance, allaitement ou biberon… Comment percevez-vous ces différentes perspectives ?

«Nous polarisons beaucoup ce qui a trait à la naissance et avons des idées arrêtées de ce que nous voulons, mais les futurs parents gagnent toujours à assouplir leurs intentions. L’accouchement est une expérience imprévisible, une histoire unique qui s’inscrit dans des circonstances sur lesquelles nous n’avons pas toujours le contrôle. Il est indispensable de pouvoir s’adapter et d’ajuster ses décisions au besoin. Nos choix ne sont jamais ni bons ni mauvais. Ils sont simplement influencés par les circonstances, les outils que l’on a, qui on est. Et ils peuvent évoluer. C’est par exemple fréquent de voir une personne qui n’allaitera pas son premier enfant, qui va tenter l’allaitement quelques semaines au deuxième, et qui va allaiter son troisième pendant deux ans. C’est ce qui arrive si on laisse les gens vivre leurs expériences sans tenter de les cadrer, de les étiqueter. »

Vous pratiquez aussi l’hypnose de naissance. Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste cette pratique ?

«L’hypnose est un état modifié de conscience. Chaque jour, nous traversons différents états de conscience, comme lorsque nous sommes dans la lune, entre la période d’éveil et de sommeil, lorsque nous méditons, lisons, ou regardons la télévision. Dans cet état, nous sommes en position de grande réceptivité. L’hypnose permet donc de travailler des thématiques ciblées. Dans mon cas, je m’intéresse à tout ce qui touche à l’accouchement, souvent avec l’objectif premier de permettre au corps de fonctionner à son plein potentiel lors du jour J. Hypnodoula est donc un mariage entre la relation d’aide et les outils d’autohypnose, et se déploie par la pratique et la mise en place de techniques, réflexions et discussions. »

Que trouvez-vous le plus difficile et le plus beau en tant qu'accompagnante à la naissance ?

«Entre le début du travail (les premières contractions) et le moment où je rejoins les futurs parents à l’accouchement, ma vie est complètement en suspens. Il peut s’écouler une heure, douze heures, ou même une journée ! Mais l’attente en vaut la peine, car accéder à l’intangible et à l’extraordinaire qui se produit lors de l’accouchement est un véritable cadeau. Un monde complet se transforme avec l’arrivée d’un bébé ; des parents naissent ou renaissent, une nouvelle famille vient au monde. Je crois sincèrement que nous devons nous réapproprier la grandeur et la magie de l’enfantement. Ma mission est justement de la remettre au premier plan. »

BÉNÉFICIER DE L'ACCOMPAGNEMENT À LA NAISSANCE

Association québécoise des doulas : AQDOULAS.COM

Une première consultation de 30 minutes est offerte afin d’orienter les futurs parents dans leurs recherches et de bien cerner leurs besoins. Elle peut être un bon point de départ pour toute personne qui vient d’apprendre qu’elle attend un enfant. Le Réseau des centres de ressources périnatales du Québec (CRP) et les organismes communautaires peuvent aussi être consultés.

Atypique : De délicieux cocktails sans alcool

CONNAISSEZ-VOUS L’ENTREPRISE QUÉBÉCOISE ATYPIQUE ?

Inaugurée en octobre 2020 et cofondée par Étienne Boulay, Atypique vous offre vos cocktails classiques favoris, à la seule différence qu’ils sont sans alcool et faibles en sucre !

Étant sobre depuis cinq ans, Étienne souhaitait présenter une sélection de boissons sans alcool qui se différencieraient des simples jus et autres nectars traditionnels. C’est en discutant de son idée avec Jonathan Robin, président et propriétaire de la station Agro-Biotech (ainsi que de la distillerie Noroi et de la microbrasserie Le Bilboquet) qu’ils ont décidé de se lancer conjointement dans le projet. Voilà en quelques phrases la genèse d’Atypique, que nous vous invitons à découvrir sans plus attendre.

Atypique, c’est le mélange parfait entre une idée innovante et une équipe de créatifs.

C’est l’histoire d’Étienne qui a inspiré l’image même d’Atypique.

«Je me considère comme quelqu’un d’atypique depuis toujours. Je n’ai jamais “fitté” dans le moule ni utilisé les sentiers battus pour arriver où j’en suis. Je m’entoure de gens qui sont comme moi, qui n’ont pas peur d’être différents et qui sont fiers de faire les choses autrement! Je crois que ce sont nos différences qui devraient nous rassembler le plus.»

- Étienne Boulay

Atypique a comme objectif de repousser les limites du prêtà-boire, en proposant une version sans alcool des cocktails classiques aimés de tous, soit une délicieuse option pour ceux qui ne veulent pas consommer d’alcool, peu importe pourquoi.

Depuis son lancement, l’équipe d’Atypique a déjà reçu des centaines de témoignages. Grossesse, prise de médicament, problème de santé, remise en forme : toutes les raisons sont bonnes pour diminuer ou cesser sa consommation d’alcool. Atypique est alors devenu le cocktail parfait, celui qui ne demande aucune justification. Mais n’oublions pas que ce sont aussi les saveurs et recettes secrètes qui font d’Atypique des boissons uniques en leur genre. Leur goût est surprenant, rafraîchissant et différent de tout ce qui a été fait auparavant dans ce marché. Il ne s’agit pas seulement d’une alternative judicieuse pour remplacer les boissons alcoolisées, mais d’une combinaison de saveurs qui sauront ravir vos papilles, tout simplement !

L’ASSOCIATION ATYPIQUE

Quelques mois après le lancement de la marque, l’équipe d’Atypique a fondé l’Association Atypique. Bien plus qu’une infolettre, c’est une façon pour les membres de s’impliquer dans les décisions et les activités futures de l’entreprise. Sondages, groupes de décision, discussions avec des membres de l’équipe, dégustation de prototypes, et bien plus! N’hésitez pas à devenir membre!

UNE GAMME DE SAVEURS VARIÉES

Certifiés Aliments Québec et offerts en canettes de 355 ml, ces prêts-à-boire sont aussi pratiques que désaltérants. Parmi les saveurs proposées: spritz, gin & tonic, mojito, rhum épicé & cola, sangria rouge, amaretto sour, et la plus récente, margarita. Avis aux créateurs de cocktails amateurs, il existe désormais trois spiritueux sans alcool en formats de 500 ml: aperitivo, gin et whisky vous offrent la possibilité de créer vous-mêmes vos cocktails, à votre goût!

Disponibles chez IGA et sur notre boutique en ligne. Certains cocktails offerts dans les restaurants du Strøm spa nordique utilisent également nos spiritueux sans alcool. Demandez-les à l'équipe !

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