Les membres du TCS profitent de tarifs à prix réduit à Lausanne et Vevey.
Après une pause estivale, Knie reprend sa tournée en Suisse romande. Or, bonne nouvelle pour les amateurs des arts circassiens, le TCS Vaud et le cirque national proposent des entrées à prix réduits pour certaines représentations à Lausanne et à Vevey, pour les membres TCS Vaud. Ces derniers pourront ainsi profiter avec encore davantage de
plaisir au spectacle toujours époustou flant des différents intervenants. À ce sujet, le chanteur vaudois Bastian Baker est de retour sous le chapiteau, pour une deuxième année consécutive. H.I./Com.
Plus d’infos sur les dates et secteurs concernés sur tcs-vd.ch/avantages
Le festival revient du 27 au 29 octobre à Etagnières.
La programmation de cette 11e édition de Croc’the Rock reste fidèle à l’identité artistique de l’événement: rock, actuelle et hors des circuits commer ciaux. Les Anglais de Temples, la Suissesse Emilie Zoé et les Irlandaises de Pillow Queens sont les têtes d’affiche du festival. Etagnières vibrera aux sons des concerts d’une sélection rock variée, mais toujours pointue. Ren dez-vous à Etagnières, à quelques
kilomètres de Lausanne, pour des soirées très rock. Com.
Concours: 2 billets VIP/soir à gagner Répondez à la question ci-dessous et envoyez votre réponse par courriel d’ici au 9 octobre à concours@tcs-vd.ch. Réservé aux membres vaudois.
Question: dans quelle ville ou quel village s’est déroulée la première édition du festival Croc’the Rock?
Le transport des enfants en voiture n’est pas anodin. Pourtant, il arrive encore souvent que des têtes blondes ne soient pas protégées par un système de retenue adapté ou que leur siège soient mal attachés. Pour aider les parents ou les autres membres de la famille concernée, le TCS Vaud organise deux nouvelles séances d’information sur les sièges auto. Ces rendez-vous auront lieu le 19 no vembre à 10 h et à 14 h, au Centre de mobilité du TCS à Cossonay. Sur place, il sera aussi possible de faire contrôler la fixation du siège auto familial. De plus, les participants pourront profiter de 20 % de rabais sur la gamme de sièges du TCS Vaud. Ces séances restent gratuites, il est cependant nécessaire de s’inscrire en ligne sur tcs-vd.ch/events ou au 021 863 22 22. Places limitées. Réd.
La Section vaudoise sillonne le canton grâce à son bus passe -partout.
Le nouveau Point de Contact mobile du TCS Vaud poursuit sa tournée à travers tout le canton de Vaud.
Voici ses prochains arrêts:
• Vevey, Manor, 27 & 28 septembre
• Montreux, place du Marché, 30 septembre
• Nyon, Centre La Combe, 4 & 5 octobre
• Aigle, Migros MMM, 11 & 12 octobre
• Etoy, Migros, 18 & 19 octobre
• Montagny-près-Yverdon, Coop, 25 & 26 octobre
Plus d’infos sur tcs-vd.ch
Le TCS organise des séances d’infor mations sur la sécurité des enfants en déplacement.
Rabais jusqu’à 20 % A Lausanne et Vevey RockCrédit Knie Katja Stuppia
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Point de Contact Cossonay
Route de Dizy 4 1304 Cossonay Tél. 021 863 11 11 LU-VE 7h30–11h45 et 12h45–17h15
Point de Contact Lausanne-Gare Avenue de la Gare 44 1003 Lausanne Tél. 021 312 78 05 LU–JE 9h–12h45 et 13h30–18h
Journal ça roule ! Rédaction: helene.isoz@tcs.ch
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Tirage 140 000 expl. Paraît 7 fois l'an Président Yves-Stéphane Kellenberger
Rédaction et Layout Hélène Isoz / Sara Bönzli
Directeur artistique Alban Seeger
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Il y a 7 ans éclatait le scandale du «dieselgate», qui mettait en cause Volkswagen: le groupe reconnaissait avoir installé dans ses véhicules un logiciel truqueur destiné à cacher la réalité de la pollution des moteurs diesel. Ses aveux ont provoqué un bouleverse ment inimaginable. Les industriels de l’automobile ont perdu de l’influence auprès des milieux politiques. Le milieu automobile doit maintenant subir la loi de certaines ONG qui ont su rebondir sur ce «scandale» et dont les réactions pourraient faire en sorte que le Parle ment européen, si tous les Etats enté rinent cette décision, bannisse le moteur thermique en 2035. Volkswagen n’avait cependant pas attendu cette décision et avait décidé très tôt de tourner la page de la production de véhicules thermiques en faveur du tout électrique.
Cette transformation majeure a été accélérée par d’autres facteurs, tels que le dérèglement climatique, la crise du Covid-19 et la guerre en Ukraine, qui conduisent à la baisse généralisée des ventes de voitures neuves tant aux Etats-Unis qu’en Europe.
L’électrification du parc automobile est en marche, soutenue non seulement par les pouvoirs publics nationaux, mais aussi par des acteurs locaux. La part des véhicules rechargeables (véhicules 100 % électriques et hybrides rechar geables) devrait atteindre 50 % des nouvelles immatriculations d’ici fin 2025. Actuellement, elle s’élève à 25,5 % et elle n’était que de 3 % en 2018. Ce taux est encore plus élevé en Allemagne (30 %) et même de 50 % en Scandinavie, même s’il se situe plus modestement à
7,5 % pour l’ensemble de l’Europe. Si de nombreux automobilistes restent encore sceptiques face aux véhicules à batterie, l’industrie a, pour sa part, clairement fait ce virage. Aussi sous la pression du resserrement des règlemen tations environnementales.
Cette baisse des volumes de ventes déclenchée par les trois crises susmen tionnées a été renforcée par une pénurie inédite, celle des semi-conducteurs, qui a mis en évidence l’importance croissante des logiciels et autres calculateurs dans nos voitures modernes. En effet, pour certains modèles, les logiciels repré sentent plus de 50 % de la valeur du véhicule et les voitures à batterie contiennent encore plus de puces que les véhicules thermiques. Cette mutation influence directement le prix final des véhicules.
Les constructeurs automobiles ont transformé ces difficultés en opportuni tés, en profitant de basculer d’un modèle économique à un autre, en passant d’une logique de course aux volumes à une recherche exclusive de profitabilité. C’est un changement de paradigme important. Les industriels se battaient pour des parts de marché et, désormais, c’est la marge opérationnelle qui dicte sa loi en favorisant la production de véhicules à forte rentabilité.
Yves-Stéphane Kellenberger, Président du TCS Vaud
C’était en janvier 2010, déjà, que le système dit R-BAU, soit une bande d’arrêt d’urgence ouverte temporaire ment à la circulation, faisait ses débuts entre Morges-Est et Ecublens. Douze ans et des poussières que les automobilistes sur l’A1 ont compris que lorsque trois flèches vertes s’affichent sur les pan neaux, les trois voies sont à leur service pour fluidifier le trafic. Le système a fait même tellement partie de nos habitudes sur ce tronçon, que même lorsque la voie de droite est fermée (flèche rouge), des véhicules y circulent quand même. «On
Fluidifier le trafic en circulant sur la bande d’arrêt d’ur gence, c’est un système d’optimisation qui a fait ses preuves. Sur l’A1, après Morges-Est et Cossonay, les travaux pour Chavornay sont à l’enquête publique.
le voit sur le terrain, ce sont principale ment des plaques vaudoises qui ne prennent plus la peine de respecter la signalisation, par habitude ou par manque d’attention, et je rappelle qu’il est important de suivre la signalisation qui est en place. Ce système permet une meilleure répartition des volumes et d’éviter cet effet «d’accordéon», typique des embouteillages», relève Olivier Floc’hic, chargé de communication à l’Office fédéral des routes (OFROU). Les quatre kilomètres d’autoroute entre Morges-Est et Ecublens ont été pendant
longtemps un projet pilote, sur la base d’expériences menées au Royaume-Uni. Maintenant, cette réaffectation de la bande d’arrêt d’urgence essaime sur d’autres tronçons, comme sur celui entre Villars-Sainte-Croix et Cossonay, en service depuis janvier 2020.
Des oppositions en vue Sur le papier, l’OFROU compte installer quelque 250 kilomètres de R-BAU à travers la Suisse. «L’idée est venue de notre ancienne conseillère fédérale Doris Leuthard, alors cheffe du Département
fédéral de l'environnement, des trans ports, de l'énergie et de la communica tion (DETEC). A ce moment-là, les procédures pour aménager une bande d’arrêt d’urgence ne nécessitaient pas de mises à l’enquête publique, et elle nous a demandé d’examiner tous les endroits où ce système pouvait être appliqué, en ne faisant que des travaux légers», explique Olivier Floc’hic. En cours de route, cette «simplicité» s’est perdue et désormais, la mise à l’enquête publique est obligatoire. C’est la raison pour laquelle la R-BAU
prévue entre Chavornay et Cossonay a des échéances relativement peu précises sur sa concrétisation.
«Il y a encore quelque temps en arrière, cela aurait été possible de raccourcir les délais à 18 mois, mais nous devons faire face de plus en plus souvent à des oppositions. La mise à l’enquête publique a été faite courant septembre. A partir de là, ce dossier ne sera plus dans nos mains, et même si ce changement a pour objectif de fluidifier le trafic, en face, les résistances sont nombreuses. C’est la question du bruit qui inquiète particuliè rement les habitants des communes alentour. Nous restons optimistes, car peu de bâtiments sont concernés par cette problématique. Nous avons prévu des soirées d’information, avec le chef de projet, qui donnera des explications techniques. Sera également présent un spécialiste du bruit, qui s’exprimera sur le mode de calcul du bruit et les solutions à disposition», précise le chargé de communication.
Pourquoi tant de défiance prévue pour désengorger le trafic? Tout simplement parce ce que, sur ce tronçon, la R-BAU sera permanente. «La circulation des camions est intense vers Chavornay, et ce système permettra de soulager le trafic. Cette BAU est vue comme une troisième voie de circulation, alors que ce n’est pas tout à fait le cas et le bruit reste l’un des principaux motifs d’oppositions, avec la tendance générale que les procédures vont généralement jusqu’au bout de ce qui est possible, explique Olivier Floc’hic. Résultat: on sera probablement en 2026 pour la mise en exécution de la partie entre La Sarraz-Chavornay.»
«Notre argument en faveur de cette réaffectation, c’est de dire que comme la vitesse baissera sur cette portion d’autoroute, le bruit sera également moins conséquent», souligne l’OFROU. Avec l’utilisation de la BAU Morges-EstEcublens, plusieurs études ont déjà
prouvé l’impact positif d’un tel aménage ment. Sur son site, l’OFROU indique que «le taux d’accidents annuels a baissé de plus de 25 % depuis l’introduction de la mesure. De même, le bruit a diminué de 2,4 décibels, tandis que la pollution atmosphérique a baissé de 20 % aux abords immédiats de l’autoroute». En 2014, une étude de l’EPFL, faite avec le Laboratoire des voies de circulation (fermé en 2016), a également montré que la majorité des usagers utilisait cette BAU avec un sentiment d’insécurité, puisqu’il leur faut, à un moment ou à un autre, franchir la ligne blanche, que l’on a tous appris à considérer comme un mur au moment où nous avons étudié les règles de circulation.
Impossible de l’installer partout En Suisse alémanique, il n’y a pour le moment qu’un seul tronçon réaménagé sur le modèle de Morges-Est-Ecublens: il se trouve entre Winterthour-Ohringen et Oberwinterthur, et fonctionne depuis avril 2020. L’année prochaine, le système sera actif entre Winterthour-Töss et Winterthour-Nord.
Pour le tronçon Chavornay- Cossonay, aurait-il mieux valu passer directement à une autoroute à trois voies, vu que la R-BAU sera permanente? Là encore, l’OFROU rappelle que ce système ne demande que des travaux «légers» et qu’il ne peut pas remplacer un aménage ment permanent. Sur le terrain, on constate néanmoins que les deux zones déjà actives, avec celle de Chavornay à venir, sont relativement proches, ce qui offre aux usagers de l’A1 une échappa toire d’une vingtaine de kilomètres face aux embouteillages. «Mais attention, cela n’est pas une solution miracle, il y a des endroits où l’on ne peut pas se passer de la bande d’arrêt d’urgence, pour des raisons de sécurité», conclut Olivier Floc’hic.
Le processus d’activation est le suivant, nous indique l’OFROU: les tronçons possédant une bande d’arrêt d’urgence active sont munis d’un système de surveil lance du trafic avec détecteurs et caméras vidéo. La centrale de gestion du trafic est informée dès que les détecteurs enregistrent une charge de trafic élevée. L’opéra teur vérifie sur les images vidéo qu’aucun objet ne se trouve sur la bande d’arrêt d’urgence, puis ouvre celle-ci à la circulation au moyen des installations de signalisation. Le flux de trafic est surveillé en permanence, et la bande d’arrêt d’urgence est refermée immédiatement en cas de perturbation. C.H.
En Suisse romande, sur la liste des R-BAU en cours d’examen, on trouve notam ment les tronçons Coppet-Nyon, Lausanne-Malley avec l’échangeur d’Ecublens, et concernant cette fois l’A9, Lausanne-Vennes-Lausanne-Blécherette et Chexbres avec l’échangeur de la Veyre-Montreux. Catherine Hurschler
Retrouvez d’autres informations sur les bandes d’arrêt d’urgence actives sur tcs-vd.ch/blog
Les membres vaudois du TCS ont assisté en juin à une assemblée générale pleine de bonnes nouvelles et d’émotions. Les dossiers politiques délicats ont aussi été évoqués.
le Perfectionnement ont connu une fréquentation au-delà des attentes, tout particulièrement dans les cours relatifs au permis de conduire. Une bonne collaboration se poursuit en outre avec toutes les institutions représentant les «feux bleus», a insisté le directeur, Michele Convertini.
Le TCS Vaud affiche une bonne santé dans tous ses domaines d’activités. C’est la bonne nouvelle qui a été donnée en juin, à Payerne, lors de l’Assemblée générale de la Section vaudoise. Malgré d’importantes dépenses dans le domaine informatique et pour l’entretien des pistes, le TCS Vaud a en effet conclu l’année 2021 avec un «excellent» résultat. Ce qui lui permet de consolider ses fonds propres et d’améliorer ses offres de prestations, dont son service de location de salles et d’infrastructures, en plein développement.
Plus de 190 000 membres Mais la Section a aussi profité de la reprise des voyages et des déplacements, qui a dopé les ventes des services et des prestations TCS liés à ces champs
d’activités. La confiance du public se lit aussi dans l’augmentation du nombre de nouveaux sociétaires, «puisque l’effectif vaudois a passé le seuil des 190 000 membres en 2021», s’est réjoui Yves-Stéphane Kellenberger, président du TCS Vaud. Enfin, dernier domaine porteur pour la Section, la Formation et
Les défis politiques aussi au menu Membre du Comité cantonal du TCS Vaud, Laurence Cretegny, alors premiè re citoyenne vaudoise, a notamment parlé des défis qui entoureront le développement du réseau cyclable lorsqu’il sera aménagé sur des terrains appartenant à des tiers. «Un dossier qui demandera beaucoup de consensus.» De son côté, la conseillère d’Etat
Au chapitre des élections, notons la nomination de Florence Texier Claes sens, municipale à Cossonay, et de Jacques Antenen, commandant de la Police cantonale vaudoise jusqu’au 1er juillet 2022 et domicilié à Lausanne, au Comité cantonal. De leur côté, Panos Tzieropoulos, au service de la Section du rant près de 37 ans, ainsi que Jean-Marc Thévenaz, directeur du TCS Vaud jusqu’au 31 décembre 2021, ont rejoint les rangs des membres d’honneur sous un tonnerre d’applaudissements. H.I.
Christelle Luisier Brodard a notamment abordé le sujet de la révision sur la taxe auto. «Il s’agira de concilier des intérêts divergents et de pouvoir, en période d’inflation, rester accessibles, en particulier pour les familles et la classe moyenne. Parce que nous avons encore besoin de véhicules. Dans cette région, nous sommes bien placés pour le savoir.» H.I.
L’essor des trottinettes électriques ou e-trottinettes sur nos routes s’accom pagne d’une forte hausse du nombre d’accidents. Pour sensibiliser les utilisatrices et utilisateurs au bon usage de ces engins, la police de Lausanne a lancé ce mois une campagne de préven tion. En plus des affiches sur les murs de la ville de Lausanne, la police a poussé l’exercice un peu plus loin en proposant des cours de conduite d’e-trottinette en
septembre et octobre. Organisées encore les 8 et 12 octobre, ces formations, qui ne nécessitent pas d’inscription, se pour suivent par un trajet au sud de la ville, bien encadré par des policiers! Un concours, ouvert jusqu’au 28 septembre, est également organisé en collaboration avec le TCS Vaud. Le gagnant ou la gagnante remportera une e-trottinette. Plus d’infos sur lausanne.ch/trotti nettes-electriques. Com./H.I.
Devenue présidente du Conseil d’Etat vaudois depuis, la Payernoise Christelle Luisier Brodard a pris la parole lors de l’AG. A gauche, le Comité cantonal dans sa composition passée.Ce changement s’inscrit dans le réaménagement des espaces publics du quartier de la Gare, afin d’améliorer la qualité de vie des riveraines et riverains. Il signifie la fin du trafic de transit par cet axe.
A Morges, il n’est plus possible de circuler en voiture ou en moto dans la rue du Sablon, à proximité de la gare. Explications.
Depuis le 1er août, le trafic motorisé n’est plus autorisé à la rue du Sablon, située à proximité de la gare de Morges. Certes, des panneaux signalent ce changement important, mais cela n’empêche pas certaines hésitations lorsque l’on veut, par exemple, aller garer sa voiture dans le nouveau parking souterrain, pile au bout de cette rue. Il va falloir se souvenir des itinéraires, tracés en bleu sur la carte, car cette décision est définitive.
La Ville souhaite que cet espace piéton bénéficie aux habitants du quartier, aux élèves scolarisés dans ce secteur et, par extension, qu’il améliore la qualité de vie de toutes celles et ceux qui vivent à Morges. Pas d’inquiétude pour les personnes à mobilité réduite, cet accès leur sera garanti en tout temps. Les accès aux différents parkings ainsi que la circulation des véhicules de secours et de livraison seront maintenus, complète la Ville de Morges dans un communiqué. Concrètement, des aménagements sont
1 La partie Ouest située devant l’Îlot Sud sera aménagée en zone 20 km/h à double sens, afin de garantir l’accès au parking public.
2 La partie Médiane sera vouée à la mobilité douce avec un accès motorisé garanti au parking souterrain privé.
en train d’être faits dans ce secteur pour créer des zones de rencontre, travaux qui dureront jusqu’en 2023. A cette date, la rue du Sablon retrouvera un aspect végétalisé, avec des places pour favoriser les échanges entre les riverains. Ces idées proviennent d’ailleurs d’une démarche participative. La Ville présentera plus en détail les résultats ultérieurement. En attendant, des choix ont été faits, car «la
Des équipements seront installés sur l’espace public pour créer des lieux de rencontre et de partage; une végétalisation et une arborisation généreuses offriront un cadre agréable à la population. La Ville de Morges se réjouit de pouvoir bientôt présenter les résultats des démarches participatives organisées pour l’aménagement des placettes dans les zones de mobilité douce.
Chantier et aménagements routiers Direction Infrastructures et gestion urbaine 021 823 03 20
partie ouest située devant l’Ilot Sud (la nouvelle tour qui fait face à la gare) passera en zone de rencontre (vitesse limitée à 20 km/h) à double sens pour permettre l’accès au parking public, une mobilité douce sur la partie médiane et un accès motorisé garanti aux utilisateurs du parking souterrain privé, et sur la partie est, une vitesse limitée à 30 km/h», rappelle la Ville. C.H.
3 La partie Est reste en régime 30 km/h. Av. J.-J. CartGare Place de la Gare Îlot sud Rue de la Gare Rue Docteur-Yersin
Promenade de Castellane 20 P P 30 Rue du Sablon P+R P P de Morges
Espace public et démarches participatives Direction Urbanisme, constructions et espace public 021 804 96 70 / morgesavenir.ch
Les petits véhicules électriques séduisent les aînés qui veulent rester mobiles. Mais de quoi parle-t-on? Ce type d’engins est-il adapté à toutes et tous?
Leur nombre de roues varie. Tout comme leur apparence. Ce sont ces petits moyens de locomotion électriques, qu’on appelle communément véhicules électriques pour seniors. Pour sûr que vous en avez déjà croisé sur la route ou sur le trottoir. De plus en plus d’aînés s’intéressent en effet à ces moyens de locomotion. Souvent lorsqu’ils réflé chissent à «poser» le permis. Ou lorsque
circuler à pied ou à vélo devient difficile. Mais un tel véhicule est-il la meilleure solution pour tous?
Il est important de prendre le temps d’y réfléchir. Idéalement, cette question pourrait faire partie d’une réflexion que vous pourriez avoir avec votre médecin de famille, par exemple à l’occasion du contrôle d’aptitude à la conduite, qui se fait tous les deux ans à partir de 75 ans. Mon état de santé me permettrait-il de circuler en toute sécurité sur la route avec un tel véhicule? Quel véhicule serait le mieux adapté? Faites le tour de vos besoins, de votre situation personnelle, pourquoi pas avec votre famille et vos proches: ai-je vraiment besoin d’un tel véhicule? Devrait-il être adapté au transport de choses lourdes? Etc.
Les réponses à toutes ces questions vous permettront de savoir si cet achat en vaut
vraiment la peine et quel moyen de locomotion est le plus approprié. Car il existe toutes sortes de ces engins électriques, qui se classent, selon la loi, en différentes catégories. En fonction du type de véhicule, les règles de circulation à observer peuvent différer. Pour y voir plus clair, l’Association transports et environnement a sorti le «Guide des véhicules électriques pour seniors». Le TCS s’intéresse aussi à ces petits véhicules via sa brochure «Mobilité illimitée» et un test de qualité réalisé en 2021. Son site internet propose égale ment des conseils à l’adresse tcs.ch, Tests, conseils & sécurité. H.I.
Plus d’infos à ce sujet, ainsi que des conseils d’achat et de sécurité sur tcs-vd.ch/blog
Une partie de la rue du Sablon devient piétonne dès le 1er août 2022
Electricité, quand tu nous tiens
La guerre en Ukraine est passée par là. L’Europe occidentale, et la Suisse ne fait pas exception, est entrée dans une ère imprévue de tensions et de contradictions: entre la lutte engagée pour réduire les émanations de CO2 et leurs effets sur le climat, d’une part, et la réponse à apporter à la crise brutale d’approvisionnement en énergies fossiles, d’autre part. Car les énergies renouvelables, l’hydraulique, le solaire et l’éolien ne sont – et de loin – pas encore en mesure de faire face à nos besoins en électricité. La décision prise par plusieurs Etats européens de revenir au charbon, malgré leurs engagements en faveur du climat, ou leur soudaine interrogation quant à l’abandon du nucléaire, montre bien le degré de la crise.
Au moment où notre société se préparait à une transition énergétique majeure,
les difficultés s’accumulent, qu’il faudrait traiter en urgence. L’inflation et le déficit d’eau en raison de la sécheresse compliquent la situation. Notre dépendance excessive à l’égard de l’étranger dans de nombreux secteurs productifs ralentit le développement des énergies renouvelables. Les entreprises du secteur ne parviennent plus à répondre à la demande de panneaux solaires et de pompes à chaleur. Les bornes de recharge pour voitures électriques sont encore largement insuffisantes – on en compte actuellement 7150 accessibles à tout le monde – alors que la Suisse vise 50 % de véhicules neufs électriques ou hybrides en 2025…
Face à une double crise énergétique et climatique, on s’est lancé dans une société au tout-électricité, pour la mobilité comme pour le reste.
Sans penser qu’on pourrait en manquer, sans réflexion globale, sans vraie planification. Heureusement, les recherches et les réalisations dans des solutions alternatives progressent. Le 24 août dernier, l’Allemagne a lancé sa première ligne ferroviaire fonctionnant entièrement à l’hydrogène, dans la région de Hambourg. Une nouvelle perspective d’avenir, mais lointain.
Olivier Feller Conseiller national
Pour soutenir cet insecte, le TCS Vaud a accueilli des ruches. Bichonnées, les abeilles ont bien travaillé.
effort de la part de ces butineuses, mais aussi un beau travail effectué par Philippe Monnier (photo), l’apiculteur chargé de veiller sur ces nouvelles collaboratrices.
C’est une nouvelle de poids: le Centre TCS Vaud compte désormais 120 000 travailleuses supplémentaires. Très appliquées, ces employées ont produit environ 50 kilos de matières premières durant 2022. Ce qui représente un très bon rendement. Ces informations auront sans doute donné la puce à l’oreille à certains connaisseurs. Ces employées sont des abeilles. Les 50 kilos, c’est le résultat de deux récoltes de miel réalisées durant cette année. Ce qui représente un bel
Une multitude de tâches En raison de la canicule, ce vigneronencaveur à la retraite a dû recourir dès la fin des récoltes de miel à un sirop, à raison de 5 dl par jour pendant 16 jours, pour donner un coup de pouce à ses protégées, déjà en vue de l’hiver. «Je passe ainsi tous les deux jours pour voir si elles ont bien consommé le liquide.» Mais, pour ces abeilles, ce retraité est aussi infirmier, homme de ménage et bien plus encore. En résumé, son travail consiste en une «multitude de petits moments sur place» pour effectuer une multitude de tâches. Sans oublier un acte majeur: le choix du lieu. «Dans tous les cas, il faut une ouverture sud-est, explique l’apiculteur patenté. Les abeilles doivent voir le soleil levant, mais aussi se retrouver à l’ombre en fin de journée. Il
ne faut pas un endroit avec trop de passage. Et les abeilles sont aussi sensibles aux ondes.» Au final, les locataires ont élu domicile à l’entrée du site, sous un saule pleureur. Au Centre de Cossonay, il n’y a pas que ce passionné qui en pince pour ces abeilles. En réalité, ils sont même plusieurs à se réjouir de cette activité. «Les abeilles ont souffert ces dernières années, notamment à cause des maladies et de la météo. Et comme aménager des ruches ne pose aucun préjudice à l’activité du Centre, la décision d’installer trois colonies a facilement été prise», explique Franck Miéville, Chef Infrastructures et Bâtiments au Centre TCS Vaud. Et pour celles et ceux qui se demandent ce que la Section vaudoise fera de son nectar, et bien, sachez qu’elle le mangera. «Pour l’instant, le miel sera distribué à l’interne, à l’occasion de cadeaux, explique Michele Convertini, directeur du TCS Vaud. Pour la suite, nous verrons.» H.I.
J’aimerais partager une réflexion que je me fais dans ma voiture lorsque je rentre le soir ou lors de mes déplacements le week-end.
Ces temps-ci, la limitation de vitesse 30/50 km/h en localité ou encore le 60 km/h sur l’autoroute sont des sujets qui font couler beaucoup d’encre.
Pour ma part, j’aimerais vous parler de l’importance de l’adaptation de la vitesse. En effet, nous nous focalisons souvent sur les limitations de vitesse, comme si la loi nous ordonnait de circuler à ces limites. Sans doute, beaucoup d’entre nous craignent de gêner le trafic s’ils ne roulent pas aux vitesses indiquées. D’autres pensent aussi sûrement gagner beaucoup de temps s’ils foncent à 55 km/h sur une route limitée à 50 km/h malgré le verglas, les obsta cles ou le manque de visibilité, des facteurs qui nécessiteraient plutôt de rouler à 40 au lieu de 50 km/h.
Or, adapter sa vitesse permet de s’arrêter à temps avant un obstacle ou de prendre une courbe en toute sécurité. En résumé, l’adaptation de la vitesse permet de
maîtriser son véhicule.
Qui n’a jamais eu peur en voyant la voiture de devant, ou arrivant en face, sortir de sa voie dans une courbe, car sa vitesse était trop élevée par rapport à la technique de conduite du conducteur ou à la configuration des lieux?
Et que dire de ces véhicules qui tra versent le canton, comme si le régulateur de vitesse était resté bloqué sur 60 km/h, qu’ils circulent sur une route cantonale ou dans une localité, où la limitation de vitesse à 50 km/h n’est déjà pas des plus sécure pour tous les usagers de la route?
Heureusement, dans la plupart des cas, le non-respect de l’adaptation de la vitesse reste sans gravité, et la technolo gie et la fiabilité de nos véhicules nous sauvent la mise. Toutefois, quand l’issue est moins heureuse, nous crions au scandale et traitons les gens de fous. Mais sommes-nous toujours irrépro chables?
Pourquoi tant de chicanes et de ralentis seurs fleurissent-ils sur des portions déjà réduites en vitesse dans les localités? Regardons-nous régulièrement notre
compteur? Sommes-nous capables de nous remettre en question parfois?
Respecter l’adaptation de la vitesse est primordial pour rendre l’espace commun sûr et paisible. La loi indique différentes vitesses. Elle ne vous dit pas de rouler obligatoirement à ces limites, mais elle vous interdit d’aller au-delà!
On peut dire ce qu’on veut. Il reste incontestable que la conduite s’acquiert avec la pratique. Et là, il est utile de rappeler qu’une étude avait démontré qu’il fallait parcourir bien plus de 40 km par jour (moyenne suisse) avec son véhicule pour s’assurer de conserver une bonne technique de conduite.
Il serait donc sage de rester humble, et d’accepter de ne pas être les propriétaires de l’espace en commun, mais seulement des utilisateurs occasionnels. Comment?
En respectant l’obligation de l’adaptation de la vitesse liée aux infrastructures, aux conditions météorologiques et à nos réelles compétences.
Michele Convertini Directeur du TCS VaudDeux soirées sur trois affichant complet, avant même le début des festivités. Mais aussi trois soirées sans un seul nuage dans le ciel. Le TCS Vaud et son partenaire, le Cinéma de Cossonay, n’auraient pas pu rêver de meilleur scénario pour cette 7e édition du Ciné Drive-in, qui s’est tenue en août, au Centre de mobilité à Cossonay. Tout s’est en effet déroulé à merveille. Même la course-poursuite acrobatique, et non sans danger, réalisée par l’école de
cirque Coquino (photo du centre), avant la projection du samedi. Autre fait marquant: les spectatrices et spectateurs sont une nouvelle fois venus de toute la Suisse romande, prouvant que la manifestation a pris sa place dans l’agenda culturel romand.
Monté de toutes pièces par le personnel du TCS Vaud, le TCS Ciné Drive-in de Cossonay devrait revenir en 2023 pour une nouvelle édition. H.I.
Retrouvez notre galerie de photos sur cette 7e édition sur tcs-vd.ch/blog
La mobilité douce a le vent en poupe, mais est-ce un mode de transport que l’on peut partager à plusieurs? Sauf à circuler à vélo tandem où chacun a sa propre place attribuée, ou si le passager est un enfant, ni le vélo ni la trottinette ne sont conçus par la loi comme des transports en commun.
Dans la règle, un conducteur ne peut transporter un passager que s’il existe une place aménagée pour celui-ci (art. 30 al. 1 LCR). Il est ainsi possible pour un cycliste âgé de plus de 16 ans de véhiculer autant de personnes qu’il y a de paires de pédales sur le vélo, pour autant que chacune puisse les actionner en étant assise. Des éléments remorqués, comme un vélo pour enfant ou une chaise d’invalide accrochés au cycle «tracteur», sont aussi autorisés si le dispositif d’attelage offre toute la sécurité nécessaire (art. 63 al. 3 OCR). Mais sans place aménagée spécifique, il n’est pas permis de transporter une personne de plus de 7 ans sur son vélo, et il vous en coûtera au minimum CHF 20.- si vous vous faites pincer en virée à
deux. Si le passager est un enfant, il peut prendre place sur un vélo à la condition que ce soit dans un siège offrant toute la sécurité nécessaire, qui protège ses jambes et qui ne gêne pas le cycliste. En principe, un seul siège enfant est autorisé, mais si le cycle est spécialement aménagé à cet effet (par exemple un vélo de type vélo cargo ou vélo long), la loi permet de transporter deux enfants dans des places assises protégées. Reste encore la possibilité de véhiculer ses bambins dans une remorque attelée au vélo, la limite étant là aussi celle de deux enfants au maximum dans la remorque et l’exigence de sièges sécurisés. Un cycliste peut donc transporter en tout jusqu’à trois enfants au maximum: deux dans la remorque et un sur le siège d’enfant.
Les règles sont similaires en ce qui concerne les trottinettes: pour pouvoir transporter un passager, l’engin doit être muni soit de deux guidons, soit d’un siège pour enfant respectant les mêmes exigences de sécurité que pour un cycle. La limite fixée à 16 ans pour pouvoir
transporter un passager est également identique. En outre, la trottinette doit être homologuée par le constructeur comme pouvant supporter le poids de deux personnes.
Il n’est pas toujours aisé de se repérer dans la jungle de cette réglementation.
Ce qui prévaut pour les vélos et les trottinettes sans assistance vaut égale ment pour les vélos électriques lents (moins de 25 km/h) et les e-trottinettes, mais par forcément pour les vélos électriques rapides, qui eux, par exemple, ne peuvent avoir plus d’une place. Il est donc important de bien se renseigner.
Et si la mobilité douce à plusieurs vous séduit, retrouvez l’article en ligne du TCS Vaud traitant du transport des enfants à la force des mollets à l’adresse tcs-vd.ch/blog.
Traverser cinq lacs suisses à la nage, c’est fait! Noam Yaron continue ses défis pour préser ver les eaux avec le Water Lover Challenge, ouvert à tous.
C’est un véritable exploit que vient de réaliser le jeune Morgien Noam Yaron! Une traversée à la nage des cinq plus grands lacs suisses avec à la clé la transmission d’un message de sensibilisa tion sur la préservation des eaux. Au total, 188 km pour venir à bout du lac de Lugano, du lac de Zurich, du lac de Constance, du lac des Quatre-Cantons et du lac de Neuchâtel. Dans une première vie, Noam Yaron était certes champion suisse junior du 3000 m de natation en eau libre, n’empêche que ce défi lui a demandé un engagement physique et mental exceptionnel. «La traversée du lac de Lugano était la plus courte, mais c’est là que j’ai souffert le plus, en ayant des crises d’angoisse dans l’eau, je me suis fait happer par le stress et j’ai dû me battre contre moi-même pour rester
calme», nous dit-il alors qu’il est en phase de récupération. «Il s’est produit quelque chose que je ne peux pas expliquer.» Noam Yaron, actif dans les médias, sait aussi la force des chiffres sur les mots, c’est pourquoi il résume son Odyssée ainsi: «202’493 coups de bras, 60 h 40 min 55 secondes dans l’eau» et autour de lui, une équipe de 11 person nes pour gérer la logistique, les déplace ments en camping-car et le bateau qui le suivait lorsqu’il nageait. Un travail d’équipe que Noam Yaron poursuit avec une nouvelle action, et cette fois, le public est invité à participer. Il s’agit du Water Lover Challenge, une action nationale qui débute en octobre afin de collecter le plus de mégots possible en moins de 15 jours. Objectif visé: au moins 1 million de mégots
récoltés. L’enjeu est de taille car «un mégot pollue jusqu'à 1000 litres d'eau», indique Noam Yaron. Alors, rendez-vous en ligne sur odysseedeslacs.ch, collec te-de-mégots. Entre nous, c’est quand même un tantinet plus simple que d’affronter les eaux froides d’un lac, non?
C.H. TIPHANIE CHAPPUIS, AVOCATE-CONSEIL DU TCS VAUD CréditArthur FrançoisRien de pire que d’être sur la route des vacances et de découvrir que l’on ne sait pas comment avoir du chauffage à bord. Nous avons un cours complet pour vous guider.
prise en main du véhicule, pour prendre conscience de ses dimensions en faisant des manœuvres sur la piste de Cosso nay», détaille Grégory Junod, Chef Formation et Perfectionnement au TCS Vaud.
Depuis quelques mois, la «van life» est une expérience en vogue. Que cela soit pour un simple week-end à la vallée de Joux ou pour faire le tour de l’Ecosse, le camping-car est l’allié fidèle des explora teurs en quête de liberté. Mais peu importe la distance à parcourir, le voyage commence par une visite complète du véhicule. Notamment pour maîtriser les bases du chauffage (c’est en général ce que l’on regrette de ne pas avoir repéré avant la première nuit à bord).
Le TCS Vaud a élaboré un module complet de 2 h 30 pour vous permettre de connaître à fond votre camping-car,
car oui, le principe de base est de venir au Centre de Cossonay avec son véhicule. Et parce que le choix en la matière est grand, cela permet aux participants de découvrir comment sont les cam ping-cars d’autres marques, et surtout d’échanger des conseils pratiques. Lancé en juin, ce cours sera reconduit le 11 octobre. L’avantage pour les partici pants, c’est qu’ils explorent en profon deur leur véhicule dans un espace fermé à la circulation, sans stress. «Cette initiation fait le tour des aspects tech niques et légaux liés au camping-car, mais pas seulement. Il y a également la
Le module abordera des thèmes comme le fonctionnement des batteries, l’eau, etc. «Sur le gaz, il y a toujours beaucoup de questions, sur la sécurité, sur la nécessité d’avoir fait un contrôle gaz pour aller dans certains campings, sur les législations en vigueur à l’étranger.»
Durant cette initiation, les participantes et participants apprendront également comment charger correctement leur camping-car, procéder à des arrimages, vérifier les pneus et les changer si besoin, et à adopter une bonne position de conduite, un point important lorsqu’un long trajet est prévu. Pour Grégory Junod, cette initiation est un vrai mode d'emploi pratique pour réussir ses vacances en camping-car. C.H.
Plus d’informations sur ce cours sur tcs-vd.ch/cours ou au 021 863 22 22.
Une bécane ne se range pas sans quelques précautions avant d’hiverner. Pensez au contrôle Moto et scooter TCS.
Les frimas approchant, de nombreux motocyclistes songent à remiser leur deux-roues pour quelque temps. Peut-être dans un mois, ou deux. Cependant, une moto ou un scooter ne se range pas au garage comme un simple t-shirt que l’on empilerait dans une armoire. Au risque de retrouver notre véhicule dans un piteux état au printemps et d’écourter sa durée de vie.
Avant de le parquer pour quelques mois, il est important de vérifier qu’il est en bonne santé et prêt à reprendre la route le moment venu. Par exemple, jetez un coup d’oeil à la chaîne. Dans quel état est le liquide de frein?
Pour vérifier tous les points importants de votre deux-roues, le TCS Vaud propose un contrôle Moto et scooter. Cet examen se déroule au Centre technique à
Cossonay et nécessite seulement 45 minutes. Un bon état du véhicule est aussi nécessaire pour une meilleure sécurité sur la route.
Réservez votre contrôle TCS en ligne sur tcs-vd.ch/controles ou au 021 863 11 11.
Jacques Millioud a changé ses habitudes en prenant une voiture hybride. Pour la recharger, il a choisi une borne TCS installée à son domicile, ce qui lui facilite grandement la vie.
A dire vrai, au début, Jacques Millioud se méfiait davantage de sa nouvelle auto hybride que des capacités de la borne, car, avec son épouse, ils aiment voyager avec leur caravane et ils redoutaient surtout que leur Audi hybride manque de force. Leurs doutes ont vite été balayés.
Quant à la borne TCS, livrée avec plusieurs prises, elle lui garantit d’avoir une voiture chargée à 100 % en moins de quatre heures.
mes locataires s’y intéressent, je suis prêt à en discuter pour faire les ajustements nécessaires au niveau des compteurs», assure-t-il. Etant donné que cette installation est récente, Jacques Millioud ne sait pas encore quel sera le nouveau montant de ses factures d’électricité, mais il reste serein au vu des panneaux solaires qui équipent sa demeure.
En faisant le choix d’une voiture hybride, Jacques Millioud (photo), ancien syndic de Cheseaux, savait qu’il voulait une solution de recharge à son domicile, et en tant que fidèle membre du TCS, c’est tout naturellement qu’il a fait installer une borne TCS. «Avec les discussions sur le climat, je me rends compte qu'il faut réfléchir aux énergies renouvelables», dit-il. Sa demeure, qui possède des appartements en location, utilise l’énergie solaire pour les espaces communs.
S’il tenait à cette solution à domicile, c’est aussi pour éviter les prises de tête sur des zones de recharge pas encore uniformisées au niveau des moyens de paiement. «De telles expériences me sont déjà arrivées, et c’est plutôt stressant lorsque la batterie de la voiture affiche un niveau bas. C’est pour cela que je voulais une voiture hybride, et pas un modèle tout électrique», complète le Vaudois. En tant que propriétaire, il lui a été très facile d’installer sa borne, vu qu’il n’avait rien à demander à personne. «Si
On le sait, certaines marques automo biles complètent leur offre électrique avec la borne de recharge qui va avec le véhicule. Alors, pourquoi ce choix, plus local? «Depuis des années, je suis très satisfait de ce qui est proposé au TCS, j'ai fait des cours de conduite, et en famille, nous sommes des habitués des campings TCS. Alors, quand j’ai vu cette possibilité de borne de recharge, cela m'a semblé évident.» C.H.
Plus d’infos sur les bornes de recharge sur tcs-vd.ch/blog
Organisé durant les vacances scolaires pour les jeunes de 17 ans révolus à 26 ans, ce camp offre un apprentissage du maniement du véhicule. Il inclut une préparation de la théorie en vue de l’examen officiel.
Prochaine date: 11 février 2023
Prix 1800 francs
Conçu par des professionnels de la conduite et de la formation routière, ce cours permet de tester son expé rience et de reprendre confiance.
Prochaines dates: 7, 18, 28 octobre 18 et 23 novembre
Prix Membre 120 francs Non-membre 170 francs
Perfectionnement intensif de la conduite grâce à des informations théoriques et beaucoup d’exercices pratiques sur les pistes du Centre TCS à Cossonay.
Prochaines dates: 22 octobre 22 novembre
Prix Membre 240 francs Non-membre 290 francs
Nos cours pour particuliers et entreprises tcs-vd.ch/cours 021 863 22 22
Cours Seniors Auto compétenceCampLe TCS vous propose plusieurs prestations liées à la garantie de votre véhicule.
- TCS Expiration garantie: inspection du véhicule avant la fin de la garantie.
- TCS Garantie véhicule: la protection optimale contre les coûts de réparation.
Avant de ranger votre oldtimer, réalisez un contrôle technique complet de votre véhicule, avec un essai routier, à notre Centre technique à Cossonay. Cette prestation est unique ment réservée aux véhicules de tourisme.
Prix Membre 100 francs Non-membre 180 francs
Votre voiture doit bientôt passer le contrôle technique? Laissez-vous conseiller par nos experts afin de savoir quels défauts doivent être corrigés pour passer l’exper tise. Cet examen est particu lièrement recommandé pour les véhicules plus anciens.
Membre 60 francs Non-membre 140 francs
Contrôles lundi–vendredi 7h30–17h30 jeudi 7h30–18h15 samedi 7h30–16h
Renseignements: lundi–vendredi 7h30–17h
Garantie Contrôle oldtimer Test pré-expertise
Après deux ans de renvoi, le TCS Camping Club Vaud a enfin pu organiser la Rencontre romande, qui s’est déroulée du 4 au 6 juin.
Nous avons accueilli environ 130 participants et bénévoles à cette occasion. Il était également temps de célébrer, avec deux ans de retard, le 70e anniversaire de la fondation de notre groupement. Les protagonistes ont pleinement apprécié de pouvoir enfin se retrouver, après cette période de restrictions. Ils ont ainsi pu partager les repas du week-end dans la halle des fêtes
de la localité et se mesurer amicalement dans divers jeux organisés à leur intention.
La météo a été clémente, les rares passages pluvieux n’ont entamé en rien le plaisir et l’enthousiasme de toutes et tous. Le lieu se prêtait idéalement à cette rencontre et nous voulons ici remercier les autorités de la commune de Vallorbe de nous avoir donné la possibilité d’utiliser les infrastructures magnifiques dont elles disposent. Un grand merci également à tous/toutes les bénévoles qui, par leur excellent travail et leur disponibilité, ont permis la réussite de cette fête.
Grande nouveauté dans notre camping, puisque nous avons engagé une gardienne pour toute la saison d’été. Si l’année dernière, des membres retraités du club ont occupé cette fonction, cette année, c’est en tant que professionnelle que Nicole Crausaz, de Vers-l’Eglise, bichonne notre terrain et nos hôtes, qu’ils soient de passage ou résidents. Elle est secondée par son époux, Jean-Pierre. Tous deux effectuent un magnifique travail au service des campeurs et du club. Qu’ils en soient ici remerciés.
Une soixantaine de véhicules sur la place des fêtes.
Le cadre idyllique du refuge de Bottens et un soleil radieux ont accueilli 53 Seniors, ravis de se retrouver le 11 août pour une belle journée autour du miel. François Brunet, apiculteur chevronné, nous a fait découvrir en profondeur le monde fascinant des abeilles, de leur organisa tion rigoureuse dans les ruches jusqu’au processus de la récolte du miel. Passion nant! Des échanges conviviaux et un bon
repas ont agréablement complété cette manière de célébrer l’Amitié au sein de notre groupement. Merci à toutes et tous!
Attention: changement de date
Journée de Clôture le lundi 14 novembre (au lieu du jeudi 17 novembre) Transport individuel
Les bénévoles. Des jeux pour petits et grands. Nicole Crausaz.A Aigle, notre sortie agendée au 15 juin débute par un café à l’Union cycliste internationale, au Centre mondial du cyclisme. Puis, direction St-Gingolph pour visiter le Musée des Traditions et des Barques du Léman. Claude Martenet, à la barre du musée depuis 40 ans, partage
Par une belle matinée estivale en date du 6 juillet, 65 Seniors se sont baladés dans la vieille ville de Soleure, accompagnés par des guides. Grâce à eux, nous avons appris que dans le centre historique, le chiffre 11 se retrouve un peu partout, même sur une horloge dont le cadran n’affiche que 11 heures. De belles bâtisses témoignent du riche passé de la ville, ancienne place forte et de négoce.
Soleure a été rattachée à l’évêché de
Un grand bravo aux organisateurs du slowUp de la vallée de Joux qui a fait carton plein en juillet dernier. Près de 22’000 participants ont parcouru à la force musculaire le tracé long de 23 km autour du lac de Joux.
Au village du Pont, l’équipe du TCS Vaud, accompagnée du nouveau bus de la Section vaudoise, n’a pas chômé en renseignant les passants sur les solutions d’assistance pour les cyclistes et en
A l’occasion du passage du Tour de France à Cossonay début juillet, plusieurs activités ont été mises en place par la Ville, dont un gymkhana pour jeunes cyclistes, installé par le TCS Vélorando. Logée un peu en retrait pour des raisons de place, mais aussi de sécurité, cette animation a eu un beau succès avant et après le passage des cyclistes du Tour: 32 participants parmi 29 de 3 à 12 ans. Mais TCS-Vélorando était aussi présent à Lausanne, à Ouchy, où était prévue une
avec nous son savoir, tout en nous faisant apprécier les trésors qui trônent dans des salles savamment désordonnées. Dans une autre aile de la bâtisse, Jean-Luc Selo, Breton d’origine, nous explique le processus de transformation des écailles de poissons. C’était une activité très répandue entre 1920 et 1970, et il faut bien dire que lorsque les
Lausanne, ce qui explique son attachement aux régions francophones.
Elle a aussi abrité l’ambassade des rois de France, où de nombreux valeureux soldats suisses ont servi. Dans l’une des ruelles pittoresques, une pierre joliment taillée illustre le mépris à l’égard des Bernois, contre lesquels Soleure a résisté. Sur les rives de l’Aar, d’anciens entrepôts rappellent que c’est à Soleure que l’on débarquait le vin et autres marchandises arrivant par bateau des Pays romands.
écailles de poissons deviennent des perles, elles sont aussi belles que celles de Tahiti!
Il est l’heure ensuite d’embarquer sur le bateau L’Italie pour un tour du Haut Lac, et cette belle journée, ensoleillée et conviviale, a pris fin à Aigle, autour d’un apéritif et d’une dégustation de vins du Chablais, chez la famille Badan.
L’après-midi a été consacré à la traversée de l’Aar entre Soleure et Bienne. Ce moment de détente et de bien-être nous a fait découvrir un site naturel avec une vue magnifique sur le Jura, tout en admirant de charmants villages durant la croisière.
Cette journée s’est déroulée dans une ambiance joyeuse et le plaisir de se retrouver pour partager des moments d’amitié.
distribuant des pins rétroréfléchissants MADE VISIBLE.
Toujours mobile et visible, le Président de TCS Vélorando, Charles Perez (photo), a pour sa part sillonné le parcours (cinq fois le tour du lac!) sur un vélo de dépannage électrique avec remorque pour effectuer de petites réparations. Il est aussi intervenu pour régler la hauteur des selles des vélos pour enfants, souvent mal ajustées.
Rendez-vous au slowUp de la vallée de Joux en 2023!
traversée/ montée de Lausanne pour les clubs cyclistes locaux. Tenues du club obligatoire, nous étions présents, et bien entendu, cela restera un souvenir
INOUBLIABLE pour les quelques partici pants Vélorando qui ont passé la ligne d’arrivée de l’étape du jour du Tour de France à Lausanne.
Le gymkhana, à Cossonay.
Activités du TCS-Vélorando! Vélorando en pleine action, à Lausanne.En 2023, nous vous emmènerons aux quatre coins du monde, ou presque ! Nous avons sélectionné de magnifiques destinations, proches ou lointaines, avec entre autres le Japon, le Pérou, les Açores, l’Ecosse, ou encore l’Afrique australe, à découvrir en groupes 100% francophones.
La Section vaudoise du TCS et l’Atelier du Voyage ont le plaisir de vous convier à la présentation des voyages TCS Vaud 2023 mardi 11 octobre 2022 à 16h30 au centre TCS Cossonay Un apéritif vous sera servi à l’issue de la présentation. Nombre de places limité ! e-mail ou téléphone 9h-12h
