Teleclub Magazine Juin 2019 by Teleclub AG

bien plus ! » Jetez-y un coup d’œil!

Avec la finale de l’UEFA Champions League version 2018/19 en direct et

d’équipe. En football, difficile d’être plus complet, même si les aficiona-

en accès libre sur notre chaîne Teleclub Zoom, c’est l’aboutissement d’un

dos de la Liga sont un peu frustrés. En hockey sur glace ? La NHL, meil-

long processus entamé voici… quelques années. Car ne nous y trompons

leure ligue du monde ou le championnat du monde IIHF occupent large-

pas : le marché des droits de télévision est tel qu’il est très difficile, au-

ment nos soirées et nos nuits. Et les clubs suisses dans tout ça ? Avec la

jourd’hui, de s’imposer en leader dans le segment sportif. C’est pour-

Champions League et la Swiss Ice Hockey Cup, le panorama des forces en

tant le pari que s’était lancé… Bluewin TV, il y a un peu plus de douze

présence est plutôt complet. Charge à nous désormais d’étoffer encore

ans, en proposant progressivement une offre de plus en plus variée en

notre portfolio. Et pas seulement en hockey sur glace. Entre renforcement

matière de sport. Avec succès malgré les embûches, car qu’on le veuille

ou reconductions de contrats avec les détenteurs de droits, nouvelles ac-

ou non, la Suisse est et restera toujours un partenaire particulier pour

quisitions et évolution de nos offres programmatiques, notre credo de-

les organismes gérant leur(s) propre(s) produit(s). De par sa taille bien

meurera toujours de rester à votre écoute. Aujourd’hui, Teleclub a trouvé

sûr, mais aussi en raison d’un trilinguisme cathodique que beaucoup ne

sa place. Nous progresserons encore grâce à vous…

comprennent pas hors de nos frontières. Teleclub est donc fier, au fil des

années, de vous proposer ce qui se fait de mieux en matière de sport

Maïque Perez, Responsable rédaction Teleclub Sports

FACTS &

LA MISE EN PLACE EST FINIE, ON VA CONSOLIDER

NEWS

The Handmaid's Tale – la servante écarlate – Saison 3 inédite US 24

Hôtel Transylvanie 3 : des vacances monstrueuses

À NE PAS RATER !

ILS SONT FOUS, CES ANGLAIS !

Madrid, capitale de l’Espagne, est la quatrième ville la plus visitée du continent et la troisième plus grande ville de l’Union Européenne (après Londres et Berlin) avec une population d’environ trois millions d’habitants. Bien sûr, la ville s’enorgueillit d’avoir donné naissance à Placindo Domingo ou Julio Iglesias, mais ce sont plutôt les Griezmann, Morata et autres Koke qui, aujourd’hui, font vibrer les cœurs. L’élimination face à la Juventus suite au triplé de Cristiano Ronaldo n’a pas pour autant calmé les ardeurs au Metropolitano (enceinte qui succède à l’ex-Vicente Calderón) qui accueillera le gros match de la saison qu’on espère prolifique en buts. Signe(s) qui ne trompe(nt) pas, soyons un tantinet supersticieux : le stade est situé à l’Avenida Luis Aragonés, ancien sélectionneur qui donna à l’Espagne le titre européen 2008, et le premier but après la reconstruction du stade fut inscrit par… Antoine Griezmann, le 16 septembre 2017, face à Málaga. Ils seront donc près de 70’000 à rêver d’un festival offensif, des passionnés qui vivent, mangent et dorment football. Rien qu’à Madrid, outre le Real et Atlético, il ne faut pas oublier Getafe, Rayo Vallecano et Leganés qui évoluent également en première division espagnole. À Madrid, le foot se vit pleinement. À match exceptionnel, engouement exceptionnel !

Pouvait-on rêver affiche plus incroyable ? Revenus de nulle part, Liverpool et Tottenham signent le retour au premier plan des clubs anglais. Désigner un favori ? Pas facile ! Il y avait les grosses pointures (Real, Juventus, PSG) et les autres. Septante-neuf au total. Au coup d’envoi de la saison européenne, difficile d’imaginer que quatre clubs sur huit à se disputer un billet pour les demi-finales seraient britanniques, un seul espagnol et que ce ne serait pas le Real Madrid. Ou encore que les surprises s’appelleraient Ajax et Porto. Et que finalement seule la Juventus allait plus ou moins tenir le rang qu’on voulait bien lui prêter. Au final, les représentants de la Premier League allaient trouver en Liverpool et Tottenham deux extraordinaires finalistes qui ont marqué les esprits. Pour les Reds, grâce à un 4 à 0 contre Barcelone au terme

du – peut-être – plus grand match de leur histoire. Pour les Spurs, l’improbable triplé de Lucas Moura qui élimine l’Ajax à la 96ème minute ! À la veille des matches retour des deux demi-finales, une grande majorité des observateurs voyait en un Barcelone-Ajax la finale idéale. Mieux encore : trois pour cent seulement des internautes envisageaient un duel totalement britannique. Retour au premier plan, donc, d’un poids lourd du foot européen si l’on remonte à la fin des années 60 (avec les deux premiers titres anglo-saxons enlevés par le Celtic et Manchester United). Suivirent encore les années 80 avec sept trophées en huit saisons (dont quatre

Des coaches atypiques Quel que soit le nom du vainqueur, il s’agira d’un beau vainqueur. Certes, avec l’Ajax et Barcelone, attaque, circulation du ballon et permutation des postes auraient été à l’honneur, question de culture historique. Avec Liverpool et Tottenham, c’est d’abord l’état d’esprit qui les rend imbattables lorsque l’alchimie prend. Pour preuve les quatre buts marqués par les Reds au gardien catalan Ter Stegen sans l’apport des

blessés Salah et Firmino. Ou encore le triplé de Wijnaldum face à des Néerlandais qui avaient tout de même sorti le Bayern, le Real et la Juventus. Wijnaldum, pas vraiment star et déjà auteur du but de la qualification contre Barcelone lors de la dernière journée de la phase de groupe. À la 85ème minute. Autre miracle ! Derrière tout ça ? Ce lien unique entre entraîneur et groupe pas forcément constellé de vedettes, mais prêt à emboiter les principes d’un mentor atypique. Klopp et Pochettino vont maintenant tenter de conclure victorieusement un parcours qui tient du miracle. Ces Anglais nous ont servi de la folie pure…

2005 : Liverpool gagne la finale la plus incroyable de l’histoire • Le Real Madrid est le club le plus titré avec treize victoires. • La Juventus est le club ayant perdu le plus grand nombre de finales (7). • La rencontre Real Madrid-Eintracht Francfort (7-3) est le match le plus prolifique en buts lors d’une finale (1960). L’écart de quatre buts a aussi été réalisé à trois reprises sur le score de 4-0, par le Bayern Munich en 1974 et par l’AC Milan en 1989 et 1994. • Nottingham Forest est la seule équipe a avoir remporté plus de fois la Ligue des champions (2) que son championnat national (1). • La victoire de Liverpool en 2005, après avoir été mené 0-3 par l’AC Milan, représente le plus grand retournement de situation dans une finale.

Un deuxième titre continental pour Shaqiri ? © KEYSTONE

Lucas Moura : trois buts qui valent une finale

pour Liverpool). On complètera enfin avec les quelques exploits ponctuels de Manchester United et Chelsea, dernier lauréat britannique en 2012 (contre le Bayern à… Munich !).

Samedi 1er juin, 21h Estadio Metropolitano, Madrid Teleclub Zoom (en exclusivité) Accès libre

Quand ? Où ? À la TV Coût

La finale en direct et en exclusivité sur Teleclub Zoom

LA FINALE, C’EST…

• Quinze fois le vainqueur a d’abord été mené en finale avant de l’emporter (neuf fois entre 1956 et 1970).

L’Estadio Metropolitano de Madrid

• La ville de Madrid est la seule a avoir placé deux de ses clubs, le Real Madrid et l’Atlético Madrid, lors d’une même finale (2013/14 et 2015/16). • L’Angleterre est le pays ayant fourni le plus grand nombre de clubs finalistes différents (Manchester United, Leeds United, Liverpool FC, Nottingham Forest, Aston Villa, Arsenal FC, Chelsea FC).

AU MICRO : ALAIN ROHRBACH Alain Rohrbach, 48 ans et No 2 de la rédaction de Teleclub Sports, commentera la finale. L’aboutissement du dossier le plus « chaud » de la saison 2018/19. De quoi engendrer une certaine… responsabilité. « Nous partions d’une page blanche et avons eu quelques soucis d’inexpérience durant les premières soirées, mais globalement cette première saison peut être qualifiée de bonne. Les retours de nos téléspectateurs vont dans ce sens, cela nous conforte dans l’idée que nous ne sommes pas à côté du sujet. Commenter la finale ? C’est l’évènement sportif de l’année et je mesure la ferveur qu’il va engendrer. Pour moi, être aux commandes de n’importe quel match me procure joie et passion et je ne vais pas changer pour cette finale. Dans ce métier, le risque existe de ne pas plaire à tout le monde et j’aime me rappeler les conseils de Boris Aquadro. Il m’a dit un jour : « La passion est plus facilement pardonnée que l’incompétence. » 4

FOOT ZURICHOIS, QUO VADIS ? La lente agonie de Grasshopper, recordman de titres nationaux, navre tout le football helvétique. « On ne prête qu’aux riches », avance Steve Guillod. Vingt-sept titres, dix-neuf coupes, ça vous donne un statut. Mais pas une assurance-vie. À Zurich, le football d’élite aujourd’hui se joue au Letzigrund qui accueille – depuis l’abandon puis la démolition du Hardturm – le FC Zurich et Grasshopper. Il y a dix ans, le FCZ soulevait son dernier trophée de champion, soit six ans après l’ultime sacre des Sauterelles. Steve Guillod, consultant Teleclub et ancien attaquant de Grasshopper au début des années 90, observe avec réalisme la chute du football zurichois au plus haut-niveau. « Je crois qu’il faut séparer les histoires des deux clubs. Il y a d’abord celle de Grasshopper qui pouvait s’offrir les meilleurs joueurs sur le marché jusqu’au début des années 2000, ce qui n’est plus du tout le cas aujourd’hui pour différentes raisons. La première et vraisemblablement principale, c’est la perte du Stade du Hardturm. En perdant son stade, le club a perdu son identité. À ce niveau, ça a été une catastrophe pour GC. » Ensuite, il y a eu la domination de Bâle qui a fait de l’ombre à tous les clubs suisses ! C’était l’époque de Gigi Oeri et les mastodondes de la pharmaceutique avec un budget proche des 100 millions de francs. Plus personne ne pouvait rivaliser. Et puis, force est de constater que les clubs nantis sont soutenus par les plus riches parce qu’ils ont des résultats. Seulement voilà : cela fait maintenant quelques années que Grasshopper est privé de résultats probants. Ça entraîne la perte de sponsors parfois historiques comme la famille Spross, et il y en a eu d’autres sur ces quinze dernières années. Durant cette période, certaines personnes ont voulu profiter de ce chaos pour se mettre en avant dans cette organisation qui auparavant était très bien dirigée. Il y a eu des guerres intestines 6

Steve Guillod, consultant Teleclub et… ancien de GC !

qui sont devenues insupportables avec, pour conséquences, de très mauvais choix stratégiques. Dans le cas de Grasshopper, si je vous comprends bien, c’est typiquement le club auquel on peut appliquer l’adage : « On ne prête qu’aux riches »… GC a gentiment perdu de sa substance financière au fil des saisons compte tenu du fait que les résultats ne suivaient pas. GC est le Schweizermeister et il a vécu durant tellement d’années au sommet du football suisse grâce à ces soutiens qui ont maintenant disparu, ou pour le moins largement diminué. Un autre exemple, je vous le donne en lien direct avec le stade - un stade à l’anglaise comme on dit - où les gens étaient proches des joueurs avec une contenance de 15’000 spectateurs, où les vestiaires étaient vétustes. Ça ne démontrait pas l’opulence zurichoise. Par contre il y avait un salon, en quelque sorte le Club du Jeudi, où se faisaient certaines affaires. L’argent appelait l’argent, les grosses fortunes s’y rencontraient et parfois de

grandes décisions y étaient prises. dans le club. Et Zurich est vite reSi le club avait besoin de moyens monté dans l’élite… supplémentaires pour faire venir … ce qui semble moins évident une star du côté du Hardturm, je avec Grasshopper ! peux vous dire que les gens du La question qu’on peut se poser Jeudi étaient très généreux. aujourd’hui, elle est fait mal : le club pourra-t-il conserver son Ces gens-là, aujourd’hui, sont-ils contingent actuel pour la saison prêts à investir dans un club de prochaine ? Je ne suis même pas deuxième catégorie ? sûr que l’équipe actuelle serait On peut faire un lien avec ce capable de prendre l’ascenseur. Il qui s’est passé avec le FC Zurich y a deux ans, Zurich était remonté lorsqu’il est tombé en Challenge en Super League avec quasiment League. Alors oui le FC Zurich, la même équipe : Ancillo Canepa comme vous dites, c’est le club du avait conservé le même budget peuple, mais derrière tout peuple il pour garder une phalange qui avait y a quand même un personnage. Ce archidominée la Challenge League. n’est pas avec les entrées au match Est-ce qu’aujourd’hui on est dans et le merchandising en Suisse que la même configuration pour Grasstu peux t’offrir un budget de qua- hopper… j’ai des doutes. siment 30 millions. Le personnage, Une lueur d’espoir ? au Letzigrund, c’est une famille, la Il faut laisser à GC un aspect imfamille Canepa qu’on sait richis- portant : la formation. Elle y est sime et qui met beaucoup d’argent pointue, même s’il y a aussi eu à

Très dure est la chute

ce niveau cette saison des évène- C’est intéressant de faire la comments pas très glorieux (réd. : des paraison entre nos deux capitales : entraîneurs du mouvement junior il y a la capitale politique Berne étaient payés par des parents pour et donc la capitale économique favoriser leur enfant). Mais les Zurich. Aujourd’hui, cette arrodeux clubs zurichois forment bien. gance zurichoise va à l’encontre Ce qu’on voit par contre, et c’est des résultats, parce que pour avoir plus étonnant à Zurich qu’à GC en ce comportement, il faut être pertenant compte de leurs ressources, formant. Zurich est aussi une ville c’est que les jeunes joueurs restent qui a d’autres atouts, notamment deux/trois saisons au club puis culturels. Aujourd’hui, à part pour ils sont vendus. Je suis étonné de les derbies, le stade est vide. Et cette démarche de la famille Ca- parallèlement on voit un Berne nepa qui n’a pas l’air d’être dans le dominant avec Young Boys et les besoin. J’imagine qu’on vise là un hockeyeurs du SCB parce qu’à la retour sur investissement à terme, tête de ces clubs il y a des gens qui mais on ne retrouve plus ces volées prennent de très bonnes décisions, qui font le succès d’un club sur la que ce soit Christoph Spycher, le durée. À Zurich, ça n’existe plus, directeur technique de YB, ou Marc les contingents changent chaque Lüthi, le boss du SCB. Et là, surtout saison. plus que l’argent, il y a une certaine intelligence qui fait la différence Avoir de la stabilité demande aujourd’hui. beaucoup de moyens. Et Zurich, ce n’est pas seulement des clubs d’élite en football, mais aussi en hockey. Là aussi ça va mal : Kloten stagne en deuxième division et les ZSC Lions ne se sont pas qualifiés pour les playoffs… Il y a peut-être trop d’argent dispersés entre trop d’organisations. Je me rappelle qu’on me disait à l’époque : « Steve, à Zurich c’est important qu’on parle de toi. En bien ou en mal. » Il y avait cette sorte GC est presque en aussi mauvais état que l’ancien Hardturm… d’arrogance sur le reste du pays.

Image trompeuse , c’est bien Columbus qui passera !

Un outsider sera champion

MÊME NOSTRADAMUS NE L’AURAIT PAS PRÉDIT

d’envoi de la saison, ne se voyaient pas forcément griffer la glace en juin encore. À choisir entre Carolina, Boston, San José ou St. Louis...

Roman Josi (NSH) n’avait pas prévu de participer au mondial…

National Hockey League Playoffs, Coupe Stanley Tous les matches en direct

À NE PAS RATER ! LES ROMANDS EN EMBUSCADE À l’heure où nous écrivons ces lignes, le football zurichois était en train de perdre ses plus beaux fleurons. Quel sera le partenaire

l’expansion de la LNH en 1967/68. Dans le comté de Hillsborough, on va ruminer encore longtemps le fait qu’en séries, le talent seul ne suffit pas.

de jeu romand du FC Sion, la saison prochaine ? Les doigts se lèvent à Neuchâtel et Lausanne.

Barrage RSL / BCL Jeudi 30 mai (aller) Dimanche 2 juin (retour) © Keystone

livres d’histoire : pour la première fois les deux meilleures équipes en saison régulière ont été éliminées au premier tour des séries éliminatoires de la Coupe Stanley depuis

Les deux meilleures franchises de la saison régulière et les finalistes 2018 avaient déjà chuté au premier tour d’une saison qui va sourire à un revenant. À vivre en direct sur Teleclub… Mais à quoi cela sert-il de terminer en playoffs, une première évaluation tête de sa Division pour se retrouver – qui là s’est avérée exacte – avait ensuite éliminé prématurément ? été avancée par les suiveurs du Hécatombe incroyable, cette sai- circuit Bettman : ce ne serait pas son, dans la meilleure ligue du encore l’année des organisations monde : le quatuor ayant dominé canadiennes. Mais de là à imaginer chacune des quatre sections a tout un tel désastre, il y avait un pas difsimplement connu l’élimination au ficile à franchir. Au pays du sirop, il premier tour des playoffs. Pour la n’y a plus que les érables pour pleupremière fois de l’histoire! De quoi rer : aux non-qualifiés Montréal, donner encore un peu plus d’ap- Ottawa, Edmonton et Vancouver pétit aux habituels suiveurs - pour sont venus se rajouter Winnipeg, ne pas dire poissons-pilotes - qui Toronto et surtout Calgary, deuont commencé à donner de la xième meilleur bilan au terme des voix dès la deuxième ronde. Exit le 82 premiers matches de la saison Lightning (quel couac !), les Flames, derrière Tampa Bay. Tampa, le couac les Predators et les Capitals sous les majeur totalement imprévisible coups de boutoir des Blue Jackets, et tellement net : 0-4 ! Avec 128 de l’Avalanche, des Stars et des Hur- points et 62 victoires au compteur, ricanes, quatre équipes repêchées le Lightning pouvait voir venir, égafaut-il le rappeler. lant au passage le record de succès détenu par Detroit depuis 1996. Les érables pleurent, Tampa aussi Finalement, en y additionnant l’éliAvant même le coup d’envoi de ces mination de Calgary, il rejoint les

de Suisse en a été la principale bénéficiaire lors du championnat du monde en Slovaquie en récupérant ses fers de lance. Sur un plan plus nord-américain, les Predators, tout comme Pittsburg, laissent place nette à des franchises qui, au coup © Keystone

Et puis, on ne saurait taire tout de Washington, champion déchu On ne peut se montrer guère plus même la déception engendrée souriant à Calgary où une très bonne par les Leafs de Toronto (face à saison régulière ouvrait de belles Boston) qui ont payé au prix fort perspectives. C’était sans compter leurs faiblesses dans les unités sur le trio Landeskog-McKinnon-Ran- spéciales pour une élimination au tanen qui a propulsé l’Avalanche du 7ème match, comme l’an passé. Ce Colorado au-delà du premier tour fameux powerplay qui a permis aux des playoffs pour la première fois San José Sharks de renvoyer sur les depuis 2008. Et pourtant ça n’avait bancs d’école Vegas. Pour sa deupas très bien commencé pour la xième année seulement en NHL, le franchise de Denver, battue 4-0 au finaliste insensé de l’année passée premier match, avant de gagner les a rapidement compris que la confirquatre suivants. L’Avalanche a do- mation serait compliquée (16e bilan miné les Flames 17-7 pour les buts en saison régulière, à 35 points de marqués lors des matchs no 2 à 5. Tampa Bay). Pas besoin de chercher plus loin l’explication de la déroute canadienne. Le vainqueur sera une surprise À Washington, le temps de l’ana- Enfin, un mot sur Nashville qui lyse est arrivé après l’élimination à se voyait bien toucher la Coupe domicile (ça fait mal !) au septième Stanley après deux dernières cammatch (c’est encore plus douloureux pagnes assez prometteuses. Sur le !) et en prolongation (c’est insuppor- papier, l’équipe des Suisses Josi et table !) contre Carolina. Les Capitals Weber avait tout pour plaire… et ont ainsi perdu leur trophée sans faire mieux qu’il y a deux ans lorspouvoir réellement combattre sur qu’elle chutait en finale devant le la longueur, faute de profondeur de Pittsburgh de Crosby. Là aussi, sans contingent. La mine d’Alex Ovech- une supériorité numérique effikin – aux antipodes de ses célébra- cace et un premier trio d’attaque tions de l’été – est suffisamment à la hauteur, impossible de rêver éloquente pour ne pas s’attarder sur très longtemps. Vu uniquement le sujet. sous l’angle helvétique, l’équipe

QUI SUCCÉDERA À L’ATLÉTICO ? En 2018, à Lyon, l’OM avait fait illusion quarante-neuf minutes face à des Madrilènes emmenés par l’intenable… français

Sortie prématurée pour le champion en titre

Antoine Griezmann (auteur de deux buts). On attend donc le scénario version 2019 avec impatience…

Finale UEFA Europa League Mercredi 29 mai En direct de Bakou

HOTEL TRANSYLVANIE 3 : DES VACANCES MONSTRUEUSES

Chaque lundi à 20h40 à partir du 10 juin Nicole Kidman, Reese Witherspoon, Shailene Woodley

Mercredi 5 juin à 20h40

VENOM – INÉDIT TV

TELL ME A STORY

Carton financier outre-Atlantique, Venom jouit d’une excellente moyenne publique sur le site Rotten Tomatoes. Indice que les spectateurs ont aimé, voire adoré les aventures d’Eddie Brock, un journaliste qui fourre son nez dans les affaires d’un docteur aux idées révolutionnaires. Pour le Dr. Carlton Drake (Riz Ahmed), les êtres humains sont insignifiants. Alors pourquoi pas les combiner avec un symbiote pour les rendre plus attractifs ? Eddie Brock va donc faire équipe avec cet organisme extraterrestre pour devenir Venom. Une nouvelle espèce est sur le point de naître. Emmené par un Tom Hardy plus glam que jamais dans son personnage de dur à cuire au regard de braise, Venom est un blockbuster de super-héros qui offre une pause rafraîchissante dans l’avalanche récente de franchises à répétition. Un pur régal 100% dark!

Dans le New York moderne, les contes les plus célèbres sont revisités pour créer un thriller psychologique sombre dans lequel se croisent Les trois petits cochons, Le petit chaperon rouge et Hansel et Gretel. Loin des histoires pour enfants que nous connaissons, les contes deviennent des histoires de vengeance, de cupidité et de meurtre qui critiquent la société américaine contemporaine et ses dérives.

À partir du 2 juin, chaque dimanche à 20h55

Mercredi 19 juin à 20h40 Tom Hardy, Michelle Williams

La famille de monstres embarque pour une croisière afin que Drac puisse savourer des vacances au lieu de s’occuper de tout le monde à l’hôtel. Tout s’annonce à merveille pour eux, entre matchs de volley monstres, excursions exotiques et séances de bronzette au clair de lune… Mais les vacances idéales prennent un tour inattendu lorsque Mavis se rend compte que Drac est tombé sous le charme de la mystérieuse Ericka, la capitaine humaine du navire, dont le secret les menace tous…

Quand Madeline, Jane et Celeste se lient d’amitié par l’intermédiaire de leurs enfants, elles ne se doutent pas qu’elles vont se retrouver, des mois plus tard, au centre d’un tragique accident, survenu à la fête de l’école. Qui est mort ? Qui est responsable ? Et pour quelle raison ? Secrets, rumeurs et mensonges ne faisant pas bon ménage, tout l’univers de la petite ville de Monterey va être secoué de violents soubresauts.

CHERCHEZ LA FEMME Armand et Leila sont un jeune couple et projettent de partir à New York faire un stage de fin d’études. Mais quand Mahmoud, le grand frère de Leila, revient d’un séjour au Yémen qui l’a radicalement transformé, il s’oppose à la relation amoureuse de sa sœur et décide de l’éloigner à tout prix d’Armand. Pour s’introduire chez Mahmoud et revoir Leila, Armand doit enfiler le voile intégral ! Le lendemain, une certaine Schéhérazade au visage voilé sonne à la porte de Leila, et elle ne va pas laisser Mahmoud indifférent… Lundi 3 juin à 20h40

BIG LITTLE LIES – SAISON 2 INÉDITE EN US 24

Incluse sans frais avec

CE MOIS DANS VOTRE APP OCS

LES MOTARDS POILUS, COOKING TRIP EN MÉDITERRANÉE David Myers et Simon King, reprennent du service ! Direction la Méditerranée, pour une aventure gourmande gorgée de soleil. Cette fois-ci, les motards poilus partiront à la découverte des saveurs authentiques de cette fameuse cuisine méditerranéenne en se rendant en Italie, en traversant les îles Baléares pour terminer leur food trip sur les côtes espagnoles.

Mercredi 26 juin à 20h40

Vendredi 14 juin dès 20h40

Chaque dimanche à 11h20

DESTINATION WILD : LA CHINE

LA FAMILLE ÉLÉPHANT ET MOI

©BBC

Chaque jeudi à 20h45 à partir du 6 juin

Samedi 15 juin à 21h35

À partir du lundi 3 juin à 17h

Chaque mercredi dès le 19 juin à 20h55

Du lundi au vendredi à partir du 24 juin à 17h

Application web, android ou iphone (Abonnés Swisscom TV-Box 2.0) Téléchargez l’app OCS dans l’app store de votre smartphone ou ipad, ou rendez-vous sur www. ocs.fr. Pour vous connecter la première fois, cliquez sur abonnés ocs, choisissez Teleclub/ Swisscom dans « Je choisis mon opérateur » puis entrez simplement vos données de loggin Swisscom. Bon divertissement.

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Comment ça marche ?

App OCS Go dans la Swisscom Box UHD

LES MYSTÈRES DE LA DYNASTIE DES SERPENTS MAYAS

Tous vos films et séries préférés OCS sont disponibles dans l’application OCS en streaming et en téléchargement.

Rendez-vous simplement dans votre app corner dans le menu de la box, cliquez sur l’app OCS et c’est parti ! Aucune information de connexion n’est nécessaire, votre tv-box vous connecte automatiquement.

Chaque dimanche à partir du 9 juin à 20h40

LES TEMPS FORTS DU MOIS SUR

BIG LITTLE LIES

HOTEL TRANSYLVANIE 3

VENOM

Lundi 10 | 20h40 | OCS City

Mercredi 5 | 20h40 | OCS Max

1er AU 8 JUIN

TELECLUB PREMIUM ET LES+

Mercredi 19 | 20h40 | OCS Max

9 AU 16 JUIN

17 AU 23 JUIN

BLINDSPOT

Jeudi 27 | 20h55 | Warner TV

24 AU 30 JUIN

SAMEDI 1er

MERCREDI 5

DIMANCHE 9

JEUDI 13

LUNDI 17

VENDREDI 21

LUNDI 24

VENDREDI 28

MIKE

AU-DELÀ DES MONTAGNES

LES MYSTÈRES DE LA DYNASTIE DES SERPENTS MAYAS

IN THE AIR

DEMI-SOEURS

20h40 | OCS Max

120 BATTEMENTS PAR MINUTE

GIRLS

20h40 | OCS Max

JACKIE

20h40 | OCS City

GHOST IN THE SHELL

20h40 | National Geographic

22h40 | OCS Max

20h50 | Cine + Club

20h40 | OCS City

VAMPIRINA 17h30 | Disney Junior,

20h40 | OCS Choc

DIMANCHE 2

JEUDI 6

LUNDI 10

VENDREDI 14

MARDI 18

SAMEDI 22

MARDI 25

SAMEDI 29

LES GARDIENS DE LA GALAXIE, VOL. 2

LA SERVANTE ÉCARLATE

MY WONDER WOMAN

VINGT-CINQ

UNE VIE VIOLENTE

CHERNNOBYL

22h40 | OCS Max

LA FAMILLE ÉLÉPHANT ET MOI

STEAMBOY

20h40 | OCS Max

20h40 | OCS Choc

20h40 | OCS Max

20h40 | OCS Choc

20h40 | OCS City

AKIRA

THE TALE

SHARP OBJECTS

MY DINNER WITH HERVÉ

22h40 | OCS Choc

22h40 | OCS City

20h40 | OCS Max

22h40 | OCS City

20h50 | Cine+ Premier

20h40 | Ushuaïa

PARTY HARD DIE YOUNG 22h50 | OCS Choc

LUNDI 3

VENDREDI 7

MARDI 11

SAMEDI 15

MERCREDI 19

DIMANCHE 23

MERCREDI 26

DIMANCHE 30

CHERCHEZ LA FEMME

COLONIA

MUTAFUKAZ

DEADWOOD

20h40 | OCS Max

20h40 | OCS Choc

DESTINATION WILD : LA CHINE

WRECKED

20h40 | OCS Max

20h55 | Warner TV

20h40 | OCS City

CHAIR DE POULE 2 : LES FANTÔMES D’HALLOWEEN

20h40 | OCS Max

GASPARD VA AU MARIAGE

INVASION LOS ANGELES

22h40 | OCS Max

22h50 | OCS Choc

21h35 | National Geographic Wild

ELENA D’AVALOR 08h45 | Disney Channel

20h40 | OCS Max

MARDI 4

SAMEDI 8

MERCREDI 12

DIMANCHE 16

JEUDI 20

MARDI 24

JEUDI 27

LES DENTS, PIPI, AU LIT

WARRIOR

DILILI À PARIS

THE WALKING DEAD

GASTON LAGAFFE

TREME

BAD BUZZ

20h50 | Cine+ Premier

20h40 | OCS Choc

20h40 | OCS Max

20h40 | OCS Choc

22h40 | OCS Max

20h40 | OCS City

22h40 | OCS Max

HIGH-RISE

FIGHT CLUB

SEX FRIENDS

22h50 | OCS Choc

20h40 | OCS Choc

20h40 | OCS Max

VERY BAD COPS LA SECRÉTAIRE 20h40 | OCS City

FILMS À LA DEMANDE

QU’EST-CE QU’ON A ENCORE FAIT AU BON DIEU ? Le retour des familles Verneuil et Koffi au grand complet ! Claude et Marie Verneuil font face à une nouvelle crise. Leurs quatre gendres, Rachid, David, Chao et Charles sont décidés à quitter la France avec femmes et enfants pour tenter leur chance à l’étranger. Incapables d’imaginer leur famille loin d’eux, Claude et Marie sont prêts à tout pour les retenir. De leur côté, les Koffi débarquent en France pour le mariage de leur fille. Eux non plus ne sont pas au bout de leurs surprises… Après le succès fracassant du premier épisode, toute la France criait encore ! De sorte que les époux Verneuil ne pouvaient décemment nous refuser le plaisir d’une suite. Encore moins politiquement correct, et d’une mauvaise foi franchouillarde revendiquée avec un aplomb redoublé, ce bis repetita vaut son pesant d’humour vache en or massif. Un inoubliable moment d’humour à partager en famille ! Dès le 13 juin

Retrouvez les sorties du mois à la demande

Appuyez sur la touche Video de votre télécommande Swisscom TV.

Avant-Première

Venue d’une planète aux confins de l’univers connu, une jeune femme humanoïde du nom de Vers comprend peu à peu qu’elle est en fait originaire de la Terre. Fouillant dans son passé, elle devient Die l’une des super-héroïnes les plus puissantes de l’univers et se retrouve au coeur d’une guerre galactique entre deux races extraterrestres. Première femme super-héros à se voir consacrer un film dans le Marvel Universe, Captain Marvel est incarnée avec génie par Brie Larson, découverte dans «Room», l’une des actrices les plus talentueuses de sa génération. Dès le 14 juin

DRAGONS 3 : LE MONDE CACHÉ Ce qui avait commencé comme une amitié improbable entre un jeune Viking et un redoutable dragon Fury Nocturne est devenu une épique trilogie retraçant leurs vies. Dans ce nouveau chapitre, Harold et Krokmou vont enfin découvrir leurs véritables destinées : être le chef de Berk au côté d’Astrid et, en tant que dragon, être le leader de son espèce. Alors qu’ils réalisent leurs rêves de vivre en paix entre Vikings et dragons, une sombre menace planant sur le village et l’apparition d’une femelle Fury Nocturne vont mettre à mal leurs liens d’amitié comme jamais auparavant.

Dès le 6 juin

NICKY LARSON ET LE PARFUM DE CUPIDON Nicky Larson est le meilleur des gardes du corps, un détective privé horspair. Il est appelé pour une mission à hauts risques : récupérer le parfum de Cupidon, un parfum qui rendrait irrésistible celui qui l’utilise… Dès le 15 juin

NOUVEAUTÉS PLAY Profitez d’un accès illimité à plus de 8000 films, séries et programmes pour enfants, partout en Suisse et sur tous vos écrans.

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STATION 19 Les aventures héroïques d’un groupe de pompiers de Seattle risquant tous les jours leurs vies. En passant tant de temps ensemble, les membres de l’équipe nouent des relations qui ne ressemblent à aucune autre. Confiante et dure à cuire, Andy Herrera a pratiquement grandi dans la caserne dirigée par son père. La jeune femme, qui a tant à cœur de bien faire son travail, doit gérer les complications de la sphère privée.

Pour se remettre d’une rupture amoureuse, Frank, simple professeur de mathématiques, décide de faire un peu de tourisme en Europe. Dans le train qui l’emmène de Paris à Venise, une superbe femme, Élise, l’aborde et le séduit.

À la suite d’une rumeur, les médecins du Grey Sloan Memorial Hospital rivalisent pour obtenir le poste de chef intérimaire. Alors qu’Owen et Amelia trouvent un sens à leur nouvelle relation, le retour de Teddy pourrait bien changer la donne.

Cette mini-série relate l’histoire du sérial killer John Christie et des meurtres qu’il a commis au 10 Rillington Place entre les années 40 et 50.

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AVANT-PREMIÈRE exclusive dès le 16 juin