Lorenzaccio dossier 21122015

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La Compagnie Philippe Wiart Présente

Lorenzaccio d’Alfred de MUSSET Création 2009

Adaptation et Mise en scène Philippe WIART Assisté d’Andrée-Michèle TIREAU

Lumières Jacques ROUVEYROLLIS assisté de Jessica DUCLOS et de Sébastien JAUME

Patrick MOLLO..........…………………...……….…......…….……Alexandre de Médicis Philippe WIART……………………………......................................Lorenzo de Médicis Eugénie OLIVER...………………………...................Marie Soderini, mère de Lorenzo Marie-Audrey SIMONEAU................................................................La Marquise Cibo Jean-Marie MEYLAN..................................................................................Le Cardinal Maurice AUBERT.................................................................................Philippe Strozzi Fani CARENCO.............................................................................................Catherine Laurent CABROL....................................................................................Pierre Strozzi François BOURET....................................................................Tebaldeo/Sire Maurice Gildas GOUJET.....................................................................................Salviati/Venturi Mehdi BELHAOUANE.................................................................Scoronconcolo/Bindo Grégory CARTELIER....................................................................Léon Strozzi/Giomo Costumes les ateliers du Théâtre des 13 vents, Centre Dramatique National de Montpellier Décor Jean-Luc Soubeiran (Arole - Menuiserie d'art)

LORENZACCIO - Bande Annonce - durée : 4.20mn https://www.youtube.com/watch?v=ItgFLvigKD0 Captation réalisée par les élèves de l’option cinéma & audiovisuel du Lycée Edouard Vaillant de Vierzon sous la direction de Fabien Ferrand : durée : 1h50 https://vimeo.com/131342076


Contexte historique dans

originale, “les scènes historiques”, textes

l’histoire du théâtre : une de ces pièces

dialogués qui n’étaient pas destinés à être

inconnues de leur époque, car proprement

représentés

injouables au temps de leur écriture, mais

montrer,

que la postérité transforme en chefs-

laboratoire,

d’œuvre. Ecrit en 1833, publié l’année

événement

suivante dans le volume Un spectacle

Ludovic Vitet, chef de file du mouvement,

dans un fauteuil, dont le titre indique

influence avec les Barricades (1826) le

suffisamment

initialement

jeune Hugo pour son Cromwell (1827).

composé pour être lu, le drame fut créé en

L’enjeu de cette forme est nettement

1896 par la grande Sara Bernhard, dans

politique : les auteurs montrent le peuple à

une adaptation extrêmement édulcorée;

l’œuvre dans l’histoire et dressent un

après quelques autres tentatives, il toucha

tableau satirique du pouvoir royal.

Lorenzaccio est

le

grand

un objet rare

qu’il

fut

public,

dans

la

mais

comme le

qui

étaient

censés

une

expérience

dénouement,

historique

de d’un

national.

Ainsi

version

mémorable de Gérard Philippe, au TNP,

C’est

en 1952. Depuis, son succès est continu,

historiques

la richesse et la complexité de l’intrigue,

Lorenzaccio : en 1833, George Sand qui

du cadre, des personnages, et surtout du

vient de rencontrer Musset, offre à son

héros éponyme invitant les metteurs en

nouveau compagnon un cadeau inattendu,

scène

une scène historique qu’elle vient d’écrire.

à

renouveler

l’interprétation

de

constamment cette

œuvre

foisonnante.

Une

précisément qui

conspiration

une

est

en

à

des

scènes

l’origine

1537.

En

de

six

tableaux, elle retranscrit sur le mode dramatique le meurtre du duc Alexandre

Naissance d’un chef d’œuvre

de Médicis par son cousin Lorenzo, dont

L’ambition du drame romantique, après les

les motivations restent incertaines : était-

grands bouleversements de la Révolution

ce

et de l’Empire, est de rendre compte des

règlement de comptes politique, un acte

changements historiques, d’interroger le

de terrorisme désespéré, le coup d’envoi

rapport

d’une conjuration républicaine ?

du

responsabilité

peuple et

au la

pouvoir,

légitimité

la

une

vengeance

personnelle,

un

des

puissants, d’éclairer le présent en mettant

L’assassinat réussit, mais ne suffit pas à

en perspective le passé.

ébranler le pouvoir puisque Côme de

Avant qu’Hugo et Dumas imposent, dans

Médicis succéda immédiatement à son

les années 1830, leurs drames historiques

cousin, transformant ce qui aurait pu être

sur les scènes officielles et les théâtres

un événement historique en coup d’épée

des

avaient

dans l’eau. L’histoire avait été racontée

développé une forme d’écriture théâtrale

sous forme narrative par Marguerite de

boulevards,

les

libéraux


Navarre dans son Heptaméron (1559) et

A l’automne 1833, Musset s’approprie le

par le mémorialiste Bonedetto Varchi,

texte de George Sand et le transforme

Chroniqueur italien du XVIe siècle dans sa

fondamentalement, en approfondissant les

Storia Fiorentina. Varchi (1502-1565) écrit

contradictions du héros, en développant le

l’histoire des Médicis à Florence de 1527 à

cadre de la ville de Florence; en mettant

1538 sur la demande de Côme ; il peut

en

consulter des archives, interroger des

personnages : au premier plan Lorenzo et

témoins, dont Lorenzo lui-même. Bien

le duc, au deuxième plan les autres

qu’écrit sur une commande d’un Médicis,

intrigues visant le duc ( manœuvre du

le texte n’est pas particulièrement flatteur

cardinal pour le diriger en sous-main,

à leur égard, ni moralisateur. Il est édité en

liaison adultère de la marquise Cibo en

1723. Musset, qui l’avait lu dans la version

pasionaria,

conspiration

des Classici Italiani (Milan 1804), publie en

grands

seigneurs

appendice à Lorenzaccio, un fragment du

particulièrement de la famille Strozzi ). Au

livre XV, suivant ainsi une coutume des

troisième plan de la ville de Florence avec

auteurs

son peuple animé d’artistes, de soldats, de

de

scènes

historiques,

qui

faisaient accompagner leur propre texte

perspective

plusieurs

niveaux

avortée

de

des

républicains,

bourgeois, de marchands, d’étudiants.

de ses sources.

Ce fut la fin de tout ce qui est beau. Jonathan Littell, Les Bienveillantes


Lorenzaccio Drame romantique d’Alfred de Musset (1834) L’argument Dans la Florence des Médicis, le duc Alexandre règne sans partage sur la ville. Lorenzo, son cousin, son favori et son compagnon de débauche, s’apprête en secret à l’assassiner. La mort du tyran doit donner le pouvoir aux Républicains, espère-t-il. Ainsi fait-il part de son dessein au premier d’entre eux, Philippe Strozzi. Lorenzo tue Alexandre mais il est tué à son tour sur l’ordre des Huit. Un tyran chasse l’autre : un Médicis succède à un Médicis. Rien n’est changé. Le sang, une fois de plus, aura coulé en vain. Pourquoi monter Lorenzaccio aujourd’hui ? Considéré comme le chef-d’œuvre du drame romantique, à l’égal d’un Shakespeare, Lorenzaccio sera monté seulement pour la première fois en 1896, près de quarante ans après la mort de son auteur, lui qui blessé par ses échecs de jeunesse, a prétendu ne plus écrire désormais que pour être lu dans l’intimité d’un boudoir. Et pourtant, rarement a-t-on incarné avec autant de complexité, d’intensité, de réalisme et de perfection des personnages de théâtre, toute une fresque humaine éblouissante et baroque. Étonnante modernité de l’écriture aussi : la jeunesse en mal d’absolu et aux élans brisés traverse toutes les époques. Mieux qu’un simple témoignage historique, toujours intact, capable de se vérifier à chaque période de bouleversement, d’errance, de déchéance, de crépuscule, Lorenzaccio, sorte de farce monstrueuse et de comédie où ricanent les visages de la mort, nous ramène inlassablement, encore et encore, à ce qui toujours fait mystère, fascine et répugne : l’Homme. Toujours au centre de toute chose, abîmé et indemne, toujours écrasé et pourtant debout. MUSSET reste un auteur français majeur. Drame romantique par excellence, Lorenzaccio est son chef d’œuvre, que j'ai découvert au lycée et qui ne m'a plus quitté depuis. Cette œuvre me fascine. J'ai toujours eu envie de le monter parce que près de deux siècles après, Lorenzaccio continue à nous questionner sur aujourd’hui, sur nous, sur l’homme, sur sa complexité, sa solitude, sa détresse, sa faiblesse, sa propension au pouvoir, à la corruption, à la mort. Parce que cette œuvre trouve plus que jamais sa place dans cette société gonflée d’orgueil et de paraître, et pourtant à la dérive, paumée, déboussolée, qui n’a peut-être jamais autant été écartelée entre la course éperdue au bonheur et la déchéance inéluctable. Parce qu’il faut croire en l’homme quand même, en dépit de toutes les horreurs, les injustices et les écœurements de toutes sortes dont nous abreuve ce monde terrifiant. Parce que pour un acteur, jouer Lorenzo de Médicis est un immense cadeau, un formidable privilège. J’avais très envie aussi de rassembler une vraie grande et belle troupe, de partager une aventure collective. Parce que c'est un vieux rêve... Je dédie notre projet à Monsieur Robert HIRSCH, que je tiens pour le plus grand comédien français vivant, de prêter sa voix à notre spectacle. Mon idée première était qu'il nous parraine, mais il m'a dit ne jamais le faire. J’ai lu qu’il aurait rêvé de jouer Lorenzaccio… Cela me touche et me conforte infiniment dans mon désir de le monter. P.W.


La Compagnie Philippe Wiart Association fondée le 30 Juin 1997, elle a pour but de favoriser et de promouvoir l’art dramatique sous toutes ses formes et en direction du plus large public possible : production et diffusion de spectacles, organisation de stages de théâtre avec intervenants professionnels. Elle entend collaborer à toute aventure théâtrale au contenu ambitieux, novateur, exigeant. Son fondateur, Philippe WIART, a dû, pour démarrer, investir personnellement une importante quantité d’argent, en attendant l’aide de partenaires publics et privés et des cotisations de ses adhérents. Elle a pu compter sur le soutien financier du groupe industriel Perrier Vittel France en 1998 et 2001, de la Ville de Vergèze (de 99 à 2001), ainsi que sur l’aide matérielle (depuis 98) et financière (pour la première fois en 2000) du Conseil Général du Gard. France Bleu Gard Lozère et la Fnac ont par ailleurs été partenaires des créations Le Limier, Sous le Phare obsédant de la peur et Lorenzaccio. 1997 : Organisation d’un Atelier de pratique théâtrale, ouvert à un public adulte, dirigé par Philippe WIART. Thème : Pratique du jeu autour du théâtre d’Alfred de MUSSET (du 27 au 31 octobre, à l’A.S.C.A.L., Paris). 1998 : Première création : Paradoxe sur le comédien d’après Denis DIDEROT, adapté, mis en scène (avec la collaboration de David AYALA et Frank BERTRAND) et interprété par Philippe WIART, avec Yvon PRIM’ (1ère version) et Frédéric MILLAN (reprise). 40 représentations à Paris (centre Jean Verdier, théâtre le Guichet Montparnasse), repris en tournée dans le Gard : Sommières, Vergèze, Nîmes, ainsi qu’au théâtre de Tarascon et au Festival

d’Avignon Off (Collège de la Salle) pour 23 représentations en juillet 99. 1999 : Deuxième création : Le Plaisir de rompre et Le Pain de ménage de Jules RENARD, mis en scène (avec la collaboration de Gil BENOIT) et interprété par Philippe WIART, avec Patricia VILON. 40 représentations à Paris (théâtre le Guichet Montparnasse). 2000 : Troisième création : Bonjour Feydeau (Par la Fenêtre, Le Potache et Amour et Piano) de Georges FEYDEAU, interprété par Fani CARENCO, Frédéric MILLAN (puis Nicolas PERRAULT et Bernard SENDER) et Philippe WIART, mis en scène par Denis BERNER. Création au théâtre de Vergèze (Gard), reprise pour 40 représentations à Paris (bateau-théâtre La Balle au Bond) et en tournée (Saint-Gilles, Gard). 2001 : Quatrième création : Le Limier d’Anthony SHAFFER, adaptation Jacques COLLARD, mis en scène (avec la collaboration de Carolle GAILLAC) et interprété par Philippe WIART, avec Pascal DUSSERRE. 1 représentation au Théâtre de Vergèze (avant suppression des droits). 2004 : Cinquième création : Sous le Phare obsédant de la peur (Mes Occupations), adaptation de textes d’Henri MICHAUX, interprétation Philippe WIART, mise en scène David AYALA. Création aux Estivales de Beaulieu (Hérault), puis tournée en France et à l’étranger. 2005 : Sixième création : C’est quoi ce cinéma ?!, écrit et interprété par Philippe WIART, mise en scène Gil BENOIT. Création à Lunel (Hérault), reprise à Vergèze en février 2007. 2009 : Septième création, Lorenzaccio de Musset (adaptation, mise en scène & interprétation).


Philippe WIART / comédien & metteur en scène Né à Nîmes en 1966, il y passe six ans en classes de Diction et d’Art Dramatique du Conservatoi re (direction Eugénie OLIVER), occasion pour lui de se produire dans la région LanguedocRoussillon à de nombreuses reprises (pièces de MOLIERE Marcel AYME, Jean-Paul SARTRE, Marc-Gilbert SAUVAJON, Jean MARSAN, Tennessee WILLIAMS…) Il y termine sa formation en cycle Préparatoire Supérieur et obtient la médaille d’argent d’Art Dramatique. Il passe parallèlement une Licence de Lettres Modernes ainsi qu’une Licence d’Etudes Cinématographiques et Audiovisuelles à l’Université Paul Valéry (Montpellier III). Il y étudie le théâtre, notamment avec Jacques BIOULES et Gérard LIEBER. En 1988, il présente avec succès le concours d’entrée en section Professionnelle d’Art Dramatique du Conservatoire National de Région de Montpellier. Pendant deux ans, il travaille avec Michel TOURAILLE, Micha COTTE, Michel BERNARDY, Pierre-Étienne HEYMANN, Gérard LADOUCETTE, Mario GONZALEZ, Madeleine MARION… En 1989 il devient comédien professionnel ; Guy VASSAL et son théâtre Populaire des Cévennes l’engage pour les Festivals d’été d’Albi, Carcassonne, Aigues-Mortes, Lattes. Il joue dans l’Annonce faite à Marie, mise en scène de Jean Claude SACHOT et le Printemps de la Liberté, mis en scène par Roger CORNILLAC.

L’année suivante, il participe à la création de François d’Assise adapté de Joseph DELTEIL et mis en scène par Viviane THEOPHILIDES au Printemps des Comédiens (Montpellier). Le spectacle est repris à Paris (Centre Georges Pompidou) et en tournée dans toute la France jusqu’en 1992. En novembre de la même année, il joue dans Le Chevalier d’Olmedo de Lope de VEGA mis en scène par Lluis PASQUAL à l’Odéon-Théâtre de l’Europe. La pièce tourne ensuite en France en 1993. Toujours en 1993, il participe à de nombreux stages et ateliers animés par de grands professionnels (Jean-Michel DUPUIS, Alain KNAPP, Élisabeth CHAILLOUX, Moni GREGO…) Fin 96-début 1997, il joue le personnage de Justin dans l’Affaire de la rue de Lourcine, mis en scène par Olivier COHEN, au théâtre le Proscenium à Paris. En juin 1997, il crée sa propre compagnie à Paris, la Compagnie Philippe Wiart. Comme première création, il adapte, met en scène et interprète Paradoxe sur le comédien de Denis DIDEROT, avec la collaboration de David AYALA et de Frank BERTRAND, pour une quarantaine de représentations à Paris (centre Jean Verdier et théâtre le Guichet Montparnasse). La pièce est reprise en tournée dans le Gard, au Festival d’Avignon (Collège de la Salle) en 1999, au théâtre de Tarascon l’année suivante, et poursuit sa carrière. Fin 1998, Pascal DUSSERRE lui propose le rôle de Maître Martineau dans son adaptation et sa mise en scène de Garde à vue, d’après le film de Claude MILLER (création à Vendargues). Il met en scène (avec la collaboration de Gil BENOIT) et interprète Le Plaisir de rompre et Le Pain de ménage de Jules RENARD, en avril-mai 1999 pour une quarantaine de représentations à Paris (toujours au Guichet Montparnasse). En 2000, il présente sa troisième création, Bonjour Feydeau (trois œuvres de


jeunesse de Georges FEYDEAU : Par la Fenêtre, Le Potache et Amour et Piano) et confie la mise en scène à Denis BERNER. Le spectacle, présenté en création nationale à Vergèze (Gard) est repris à Paris pour une quarantaine de représentations (bateauthéâtre la Balle au Bond) et effectue ensuite une tournée dans le Gard. L’année suivante (février), il met en scène en collaboration avec Carolle GAILLAC , et interprète Le Limier d’Anthony SHAFFER, adapté par Jacques COLLARD, au Théâtre de Vergèze. C’est sa quatrième création. En 2002, il joue Frédéri dans L’Arlésienne d’Alphonse DAUDET, mis en scène par Frantz BOUTROIS, sur une musique de Georges BIZET interprétée par l’orchestre Opus 30, présentée à Nîmes en février et à Bagnols sur Cèze en novembre. En 2003, il met en scène Sou-Chong ou Le Pays du sourire de Ludwig HERZER et Fritz LOHNER, musique de Franz LEHAR, production de la Compagnie Sur Tous Les Tons (Nîmes), présenté aux Estivales de Beaulieu et aux Nuits de Nogaret de Marsillargues (Hérault). Sous le Phare obsédant de la peur (Mes Occupations) d’après L’Espace du dedans d’Henri MICHAUX, mis en scène par David AYALA aux Estivales de Beaulieu en juillet 2004, est la cinquième création de sa Compagnie. Tournée dans le Gard (Vergèze) et au Théâtre 95 (Cergy). Il écrit et interprète C’est quoi ce cinéma ?! en octobre 2005, en hommage à Michel WYN, à l’occasion des 6èmes Rencontres Ciné-Passions, à Lunel (Hérault), dans une mise en scène de Gil BENOIT.

Robert HOSSEIN l’engage en 2006 pour sa mise en scène de Ben-Hur, présenté au Stade de France en septembre et totalisant 300 000 spectateurs. Il a aussi tourné dans divers courts métrages, séries télévisées, films et téléfilms, sous la direction de Yves BOISSET, André TECHINE, Xavier GELIN, Serge LEROY, Étienne PERIER, Miguel COURTOIS, Luc BERAUD, Arnaud SELIGNAC, Didier KAMINKA, Yves ROBERT, Marion SARRAULT, Jacques RICHARD, François DUPEYRON, James IVORY, Bernard RAPP, Coline SERREAU, Benoit JACQUOT, Bruno PODALYDES… Il a également travaillé en postsynchronisation sous la direction de Dominique PATUREL, Nadine DELANOË, Christian DURAN, Jean DROZE, Gérard DESSALLES, Robert MAZOYER, Hervé ICOVIC, ainsi qu’en tant qu’assistant de production (94/95) avec Philippe ALFONSI (Api-Taxi Production). . Parallèlement à son activité de comédien, metteur en scène et directeur de compagnie, il est formateur en art dramatique agréé par la D.R.A.C. Languedoc-Roussillon qui lui a délivré une Attestation de compétence professionnelle. Il a également reçu une Habilitation d'intervention en milieu scolaire du Rectorat de Paris depuis 2005 et a été admissible au Diplôme d'État d'Enseignement du Théâtre en 2006. Il dirige des ateliers et stages d’interprétation pour la Ville de Vergèze, le Conseil Général du Gard, le C.A.R.T. de Sommières, la F.A.L.E.P. de Nîmes, L’U.A.I.C.F. (stages à Castelnau-le-Lez, Hérault ; CorbeilEssonnes ; Chambly, Oise) et l’A.D.E.C. 22 (Côtes d’Armor). Il est intervenant théâtre au lycée Elisa Lemonnier (Paris 12ème) depuis 2006.


Andrée-Michèle TIREAU Comédienne, co-fondatrice du Théâtre du Trèfle (Poitiers), elle participe à de nombreuses créations sous la direction de Marie-Claude MORLAND et travaille aussi notamment avec Jean-Marie VILLEGIER. Elle est par ailleurs formatrice et dirige plusieurs ateliers théâtre en Région PoitouCharentes.

Eugénie OLIVER Après l'ENSATT (Rue Blanche), elle dirige la classe de Diction et Art Dramatique du Conservatoire de Nîmes (École Nationale) de 1968 à 2008 et travaille pour Radio France Nîmes. Elle vient d'incarner Camille Claudel à la scène dans une création originale d'Anne-Marie CELLIER.

Patrick MOLLO Formé à Scaenica, il intègre après un stage avec l'Opéra de Pékin, le Conservatoire de Montpellier, sous la direction d'Ariel Garcia Valdès, en 2000. Il suit plusieurs ateliers de masques et travaille en milieu scolaire. Il joue notamment sous la direction de Luca FRANCESCHI, Marie RAYNAL, Alexandre MORAND, Céline MASSOL, Olivier CABASSUT, Franck FERRARA, Nicolas OTON, Élisabeth CECCI, Dag JEANNERET et Laurent DUPUY. La Cie Machine Théâtre à laquelle il appartient vient de présenter récemment Henry VI de Shakespeare au Cratère/Scène Nationale d'Alès, à Sortie Ouest (Béziers), à la Scène Nationale de Narbonne, au CDN de Montpellier ainsi qu'au Théâtre de l'Odéon (Paris).

Marie-Audrey SIMONEAU Issue des Conservatoires de Grenoble et de Montpellier, elle a depuis travaillé notamment sous la direction de Diden BERRANDANE, Yann Joël COLIN, Karen BRUERE, Michel DEUTSH, Michèle FOUCHET, Cyril BOTHOREL, Nathalie GAL, Jean-Michel BOCH, Jeanne POITEVIN, Clara BARBUSCA, la Cie Alzhar, la Cie Belle Pagaille... Alternant ainsi répertoires classique et contemporain et se produisant à de très nombreuses reprises dans les Régions Languedoc-Roussillon, P.A.C.A. (dont Avignon) ainsi qu'à Grenoble.

Jean-Marie MEYLAN Après avoir suivi une formation au Théâtre le Petit Merlan à Marseille ainsi qu'une formation intensive à la Langue des Signes Française, il encadre depuis dix ans des cours de théâtre pour adultes et enfants sourds et malentendants. Comédien (il travaille avec Dominique NOE, Danièle de CESARE, Stéphane ROUX, Vince CASTELLO), il met en scène et participe aussi à la l'écriture de nombreuses créations.


Maurice AUBERT Auteur de nombreuses pièces de théâtre, un temps Conseiller Théâtre DRAC, Metteur en scène, Comédien au théâtre et au cinéma au CV impressionnant, il arrive à Montpellier en 1983 et suit alors des stages avec Béatrice DUFRESNE, Michel BERNARDY, Boris RABEY et Jean-Claude FALL, tout en continuant à exercer sa passion des planches et de l'écriture.

Fani CARENCO Formée au Studio 34 (Philippe BRIGAUD), elle a déjà joué avec la Cie P. Wiart Bonjour Feydeau en 2000 et revient d'une tournée au Brésil en qualité d'assistante à la mise en scène d'un spectacle de l'Ecole de Cirque de Chalons. Côté cinéma, on a pu l'apercevoir notamment dans 1802, l'épopée guadeloupéenne en 2005. Elle tiendra le rôle principal du Mystère Joséphine, saga télévisée réalisée par Christian LARA diffusée à la rentrée. Enfin, elle est actuellement en tournée avec la pièce Couchette surprise.

Laurent CABROL Après un passage au Centre Dramatique d'Alsace (TJP), il intègre le Cours Florent de 2002 à 2005. Il joue à Paris (Festival étudiant, Théâtre des 3 Bornes et Sudden Théâtre) et vient de se produire dans le Gard avec le Théâtre Forum (Cie Désidérata, Pierre PUIGCERVER) et en 2009 au Festival d'Avignon Off (Huis Clos de Sartre par le Théâtre de la Mouvance, mise en scène d'Alain IGONET). Il a aussi déjà tourné dans de nombreux courts et longs métrages pour le cinéma et la télévision.

François BOURET Se définissant lui-même comme peintre et poète, il a déjà tenu le premier rôle dans divers court-métrages (notamment pour la FEMIS). Il a fait des études en Sciences du Langage à l'Université de Paris VIII et se consacre, en plus du jeu, de la réalisation et de l'écriture, à la photo, à la peinture et au dessin. Ses influences littéraires, musicales, cinématographiques et picturales sont très riches, fort diverses et nombreuses.

Gildas GOUJET Il suit les cours du Conservatoire de Mérignac et de Nadège PRUGNARD avec laquelle il participe à trois spectacles, dont La Jeannine, enterrement slam rock dans le cadre de la programmation «in» du Festival d'Aurillac en 2008. Il s'est produit à plusieurs reprises suite à deux résidences au Parapluie, Centre International de Création Artistique d'Aurillac. Il a aussi été guitariste et chanteur du groupe pop bordelais «Les Fiancés».


Mehdi BELHAOUANE Il est formé à Scène sur Saône, au Théâtre de la Platte et au Voyageur Debout (Théâtre et clown – Jean-Luc BOSC). Il s'est déjà produit dans de nombreux spectacles, principalement dans la région Rhône-Alpes et a travaillé sous la direction de Grégory FAIVRE, Franck BIAZINI, Elsa GUILLOT, Jacques VARACHE, Alice TEDDE, Claude VERCEY, Philippe GUILLAUMARD, en collaborant souvent aussi à la mise en scène. Il vient de suivre une formation de l'Actor Studio avec Jack WALTZER à Paris.

Grégory CARTELIER Diplômé du Conservatoire de Clermont Ferrand, il a joué sous la direction notamment de Ludivine ANGLADE, Pablo PAVON, Michel GUYARD, Cédric VESCHAMBRE, Carole BAUD, Dominique FREYDFONT, avec qui il s'apprête aussi à jouer l'Alceste du Misanthrope.

La Compagnie Philippe WIART


Jacques ROUVEYROLLIS Il conçoit ses premières lumières en 1965, avec un groupe de rock & roll français, les Jerry Roll, avant de rejoindre Michel POLNAREFF huit années durant. Après le départ de ce dernier, il signe les lumières des plus grands noms de la chanson internationale : BARBARA, AZNAVOUR, A. SOUCHON, DALIDA, F. GALL, S. GAINSBOURG, ARTHUR H., Mylène FARMER, Paolo CONTE, J. DUTRONC, Johnny HALLYDAY et tant d’autres ; des groupes tels que : Indochine, FREDERICKSGOLDMAN-JONES, etc… Il est également passionné de théâtre. En 2000, il obtient le Molière de la Meilleure lumière pour la pièce A tort ou à Raisons et, en 2002, un second Molière du Meilleur créateur lumière pour La Boutique au coin de la rue. Il éclaire de nombreuses mises en scène de J.L. TARDIEU, dont Cocteau Marais au Théâtre de L’Atelier (83), Harold et Maude de C. HIGGINS au Théâtre Antoine et à l’Espace 44 entre autres, mais aussi des pièces mises en scène par J. MARAIS, V. THEOPHILIDES , J. SAVARY, Y. LE GUILLOCHET, M. LESAGE , B. SOBEL, A. DELCAMPE, F. PERRIN, P. LEFEBVRE , A. ARIAS, P. MONDY, M. BLUWAL, M. BENICHOU , J.-L. COCHET, J.C. BRIALY, J.-J. ZILBERMANN, N. ARESTRUP, D. ROUSSEL, R. HOSSEIN (dont le Ben Hur au Stade de France en 2006) et actuellement Cléopâtre, la comédie musicale de Kamel OUALI au Palais des Sports de Paris (2009). Il crée la lumière de Sous le Phare obsédant de la peur (Mes occupations) aux Estivales de Beaulieu (Hérault), dans le cadre magnifique des Carrières, en 2004 (Compagnie Philippe Wiart). A l’opéra, il travaille également souvent avec certains des metteurs en scène déjà cités, mais aussi pour les mises en scène de R. FORTUNE (La Traviata de G. VERDI) ou de R. PLATE (Jeanne au bûcher de A. HONEGGER et P. CLAUDEL). Parallèlement, il travaille pour des festivals de 1983 à 1992, année où il éclaire celui des

Francofolies, accompagne des humoristes depuis FONT et VAL au Théâtre Déjazet en 1994 à Achille TONIC à la Nouvelle Ève de Paris en janvier 2002, en passant par les spectacles de Muriel ROBIN, Raymond DEVOS ou Dany BOON. Son activité s’étend aussi des spectacles musicaux ou de danse, musées et expos, jusqu’aux grandes manifestations, dont, en septembre 2001, Elite Model Look International (Chorégraphie signée A. CZAMECKA), ou plus récemment Carmen (sept. 2003), ainsi que le Ben-Hur de Robert HOSSEIN (sept. 2006) au Stade de France.

Il vient aussi notamment de créer la lumière de la reprise de La Cage aux Folles au Théâtre de la Porte Saint Martin (Paris) et de l'opérarock Mozart au Palais des Sports de Paris (septembre 2009). Toujours assisté de la fidèle Jessica DUCLOS, il «allume» Alain DELON dans Une journée ordinaire d'Éric ASSOUS, mis en scène par Jean-Luc MOREAU, au théâtre des Bouffes Parisiens depuis janvier 2011. Il travaille également pour des émissions de télévision, dont Johnny HALLYDAY à la Tour Eiffel réalisée par G. PULLICHINO, en direct sur TF1 en 2000 ; La 15ème Nuit des Molières réalisée par R. GRUMBACH pour France 2 en 2001 ; La 16ème en 2002 où il retrouve J.-L. TARDIEU à la mise en scène ; La 17ème en 2003… Mais, pour lui, c’est toujours la première fois...


La presse en parle… Création théâtrale en résidence à Vergèze (Gard) - Reportage de France 3 Pays Gardois du 28-08-09 https://www.youtube.com/watch?v=KPF2aq1Aexw – Durée : 1.45mn

Les partenaires Production : Cie Philippe WIART Coproduction : Théâtre Mac-Nab (scène régionale) de Vierzon Avec le soutien de la ville de Vergeze, le Conseil départemental du Gard, la Région LanguedocRoussillon, La Fondation Pierre Bergé/Yves Saint Laurent, le Théâtre des 13 vents, Centre Dramatique National de Montpellier Languedoc Roussillon


PRODUCTION/DIFFUSION Florian NICOLAS S.A.S AXE SUD - ARTS VIVANTS 794 015 867 RCS Aix-en-Provence SIRET : 794 015 867 00011 Siège social : 250, rue Victor Baltard 13854 Aix-en-Provence cedex 3 Tél +33 (0)6 11 05 17 99 @mail : axesud-artsvivants@outlook.com Web : www.axesudartsvivants.com


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