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LA SÉCURITÉ N’EST PAS FORCÉMENT CHÈRE

« Augmenter la sécurité sur le lieu de travail ne doit pas forcément être coûteux ou ralentir le flux logistique. » Voilà ce qu’affirme Dries Aneca, Sales Manager BeLux de A-SAFE. « Chaque jour, nous rencontrons des situations très diverses. Avec le client, nous analysons son environnement et apprenons à le comprendre, avant de proposer la solution appropriée. »

A-SAFE évoque d’emblée les barrières de sécurité en polymère qui résistent aux chocs et n’endommagent pas le véhicule impliqué. Une barrière A-Safe présente le grand avantage qu’elle n’a pas besoin d’être remplacée après un impact, contrairement à une glissière de sécurité en acier. Mais avant d’installer ces barrières, les conseillers en prévention d’A-SAFE passent d’abord chez vous pour établir un plan de sécurité selon le code de pratique PAS 13.« A-SAFE ne vend pas des produits mais des solutions car chaque situation est différente », explique Dries Aneca. « C’est pourquoi nous nous rendons toujours sur place et recherchons une solution en fonction du poids des véhicules, de la vitesse d’approche et de l’angle d’impact. Nous installons aussi, sans engagement, des configurations de test que nous évaluons après un mois. Le client décide ensuite s’il veut continuer avec nous ou non. »

« Pour choisir la bonne protection sur base de la résistance aux chocs, nous calculons l’énergie cinétique des véhicules sur le lieu de travail », précise Dries Aneca. « La masse et la vitesse du véhicule ainsi que l’angle d’impact sont repris dans une formule qui détermine le nombre de joules auquel nous pouvons associer un groupe de solutions appropriées. Nous tenons aussi compte de la hauteur adéquate que doit respecter la protection antichoc. Une protection au niveau du sol nécessite au moins 15 cm. »

La bonne hauteur

« Pour la protection des collaborateurs, nous déterminons la bonne hauteur de main courante ou de garde-corps. Nous l’avons fixée à 110 cm minimum car les piétons doivent pouvoir s’y agripper. Cette hauteur est recommandée car elle empêche de passer par-dessus la protection anticollision et ne constitue pas un point de bascule au niveau de la taille lorsque l’on s’appuie dessus. »

« Par ailleurs, nous devons également tenir compte de la zone de déformation de la protection anticollision. Les structures et les personnes doivent être protégées avec un espace suffisant entre elles, même en cas de déformation maximale. La protection doit en outre être placée suffisamment haut pour être visible par tous les caristes. L’ancrage ne doit pas non plus être un élément défaillant en cas d’impact. »

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