Véronique Barras-Fugère candidate à la maîtrise en architecture
Un projet se traduit, selon moi, par l’harmonie d’une idée et sa définition dans l’espace. Cette alliance trouve sa forme à toutes les échelles. Ma démarche créative et intellectuelle s’intéresse à la rencontre entre forme et matière dans la résolution d’enjeux urbains, la conception de projets d’architecture, la création d’objets et le graphisme.
581.888.8669 10 avenue Saint-Denis, app.3, Québec, G1R 4B5 veronique_bf@hotmail.com
GROWIN’ POD
From vacant lots to people places Growin’ POD propose un nouveau modèle pour un mode de vie vert et sain en vue de la régénération durable du quartier de Tulane – Gravier, en NouvelleOrléans. En amorçant un dialogue écologique avec le parc municipal de NOLA, une communauté résiliente, active et dynamique se développe au sein d’un parc habité, à l’extrémité du canal historique du Bayou St John. À la base, ce développement orienté vers les gens s’appuie sur les opportunités écologiques et sociales offertes par la mosaïque des lots vacants sous-exploités de Tulane – Gravier, vestiges de l’ouragan Katrina, pour créer un parc urbain habité et vibrant. Growin’ POD est un réseau d’espaces publics libres, riches et variés répondant aux besoins de la communauté. Ce projet s’inspire du couvert végétal urbain pour orienter une stratégie d’acupuncture verte afin de nourrir une communauté résiliente et prospère.
concours Urban Land Institute 2014
avec Etienne Coutu Sarrazin, Keven Ross, Maryline Tremblay et Raphael Désilet
supervisé par Geneviève Vachon
LE NOUVEAU PORCHE DE TOUS LES JOURS : LA CROISSANCE DE LOTS VACANTS POUR UN RASSEMBLEMENT COMMUNAUTAIRE
VETERAN HOSPITAL
TO THE CITY PARK
NEW ORLEANS MUSEUM
DD
5 MINUTES
6
5 G2
MEDICAL RESEARCH CENTER
G1
AA 4 A1
A2
CANAL STREET
F1 A1
F2 3
A3 B1
B4
B4
D2
C2
2
C3
D3
B2 B3
C1
E2
D1
E1 1
BB
I1
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J1
K1
K2 I3 I4 H1
BUILDINGS A1 A2 A3 B1 B2 B3 B4 C1 C2 C3 D1 D2 D3 E1 E2 F1 F2
Student housing residences Community construction center 2 story duplex Office + Pharmacy Hotel + Restaurant Structured parking 3 & 4 story triplex Structured parking Kindergarden 3 story triplex Convenience story + halle + coffee shop 2 story duplex Renovated house Offices + parking 3 story triplex 3 story triplex Granny flats
ADDITIONAL LOTS 1 2 3 4 5 6 7 8
Grocery + housing 3 story triplex 4 story multiplex housing 3 story triplex Multiplex housing Multiplex housing Coffee + locative sport equipments Hotel
J2
J3
H2
J4
J5
I5 J6
CC
G1 Youth activity center G2 2 & 3 story duplex/triplex H1 4 story multiplex housing H2 3 story triplex I1
Structured parking
I2
Brewery + pavillon 5 story multiplex housing
I3
3 & 4 story multiplex housing 4 story multiplex housing Library J2 4 story multiplex housing J3 3 story triplex J4 Offices + housing I4 I5
7
I1
I6
SAINT LOUIS CIMETERY
J1
8
Structured parking Movie teater Eldery housing K2 3 story triplex J5 J6 K1
N RAMPART STREET
UN PARC HABITÉ : DES OPPORTUNITÉS ÉCOLOGIQUES ET SOCIALES OFFERTES PAR UNE MOSAÏQUE DE LOTS VACANTS
HIÉRARCHIE DES ESPACES VERTS : DU CORRIDOR VERT AUX PARCS DE POCHE POUR LE VOISINAGE
NOLA À SON APOGÉE
LA FAUTE DE KATRINA
DE L’ABANDON AUX MILIEUX DE VIE
abandon de plusieurs parcelles suite au passage de l’ouragan
cultiver les nouvelles parcelles vacantes pour densifier les activités et les rencontres communautaires
VIVRE DANS UN PARC
LES LOTS VACANTS ;
LES INFRASTRUCTURES EN PLACE ;
DES LOTS DENTELÉS
DES LOTS DE COIN
DES LOTS COMBINÉES
quatre ilôts du quartier Tulane-Gravier et sa densité résidentielle originaire
Les quartiers Tulane-Gravier ; un dialogue écologique avec le parc municipal de NOLA
l’espace interstitiel comme parc de poche pour le voisinage.
comme une opportunité communautaire
pour des jardins communautaires en plein soleil ou des activités rayonnantes pour le quartier.
créer un arrimage fort avec les réseaux existants
des lots vacants côte-à-côte pour des zones libres de rassemblement communautaire.
UN CIEL DE VOILES BLEUES
Pour étendre la lumière du jour et faire référence au dessous de toiture peint en bleu clair dans les porches traditionnels des coutumes de la Nouvelle-Orléans.
UN LIEU FLEXIBLE
Pouvant accueillir des pavillons éphémères, soutenir des activités telles que des parades, des spectacles de musique ou une dégustation du célèbre bourbon local.
UN MARCHÉ HEBDOMADAIRE
Le nouvel arrêt pour obtenir de la nourriture fraîche et saine directement issue du marché de l’agriculteur.
VIVRE PRÈS L’AUTOROUTE
En offrant des zones tampons végétales vertes entre le tissu urbain et l’infrastructure élevée.
DONNER UN ESPRIT NOLA À VOTRE PANIER
Ponctué de quelques cafés, terrasses, foodtrucks , des musiciens et des installations artistiques , le Skyfall Boardwalk s’inscrit dans l’héritage culturel de la Nouvelle Orléans.
SHOTGUN HOUSE : HÉRITAGE PATRIMONIAL DE LA NOUVELLE-ORLÉANS
UNE OFFRE RÉSIDENTIELLE PLUS DENSE
aux abords du corridor écologique offert à la communauté.
UNE OFFRE HÔTELIÈRE COMME BELVÉDÈRE
qui surplombe le Greenway et qui est en prolongement du French Quarter, zone à forte vocation récro-touristique.
UN PAVILLON CULTUREL ET SPORTIF
comme point de départ du Greenway dans le but d’encourager la duffusion artistique locale et les saines habitudes de vie par la location d’équipements sportifs.
DES ZONES FLEXIBLES ET RÉSILIENTES
pour une meilleure gestion de l’eau en vue des fluctuations des changements climatiques.
LE « SKYFALL BOARDWALK » : UN MARCHÉ ALIMENTAIRE SAIN AU DESSOUS DE L’AUTOROUTE
UNE DÉCLINAISON DE LA TYPOLOGIE RÉSIDENTIELLE EXISTANTE DU QUARTIER ; LA SHOTGUN HOUSE
LE « LAFFITE GREENWAY» : UNE COLONNE VERTÉBRALE DURABLE ET UN CORRIDOR ACTIF POUR NOLA
INTERVERDIR
Un liant sensé au diapason de la communauté La mission de ce projet de design urbain était de s’inscrire dans la démarche Québec 2020 orchestrée par le GIRBa dans l’idée de poursuivre une réflexion sur l’aménagement d’un pôle intermodal à Lévis. Une analyse des paysages ordinaires du secteur, soit les paysages du quotidien jouant un rôle essentiel dans la façon dont le territoire est vécu et perçu par les habitants, a fait émerger un constat qui sera à la base de la proposition d’aménagement: les quartiers résidentiels sont tournés vers leur centre et font dos à la zone commerciale qui agit comme une clôture aux usages adjacents. Sachant que pour une ville à échelle humaine il vaut mieux rassembler, connecter plutôt que disperser, un éclatement des limites s’impose.
atelier de design urbain 2014
avec Keven Ross et Camille Leclerc
supervisé par Geneviève Vachon et Erick Rivard
1er prix du jury
LE PROLONGEMENT DES SERRES AGRICOLES ; UNE RÉFLEXION GAGNANT-GAGNANT
projet-création colloque CRAD
VIEUX-LÉVIS
PÔLE INTERMODAL
PÔLE MISCEO
UN SITE À L’INTERSECTION DE PÔLES IMPORTANTS
PÔLE DESJARDINS
La proposition se traduit par l’insertion d’un paysage d’interfaces, une occasion d’intégrer des espaces intermédiaires et transitionnels et d’assurer une cohabitation entre le résidentiel et les équipements publics et commerciaux. Cette nouvelle action paysagère adoucit les limites et les failles entre les unités paysagères existantes, devenant ainsi un espace de connexion. S’inspirant des friches naturelles du site, le paysage d’interfaces, un corridor vert écologique d’intervention modeste, est offert à la communauté et devient générateur de milieux de vie. À titre d’exemple, des jardins communautaires s’infiltrent entre le Rona existant et de nouvelles habitations proposées, permettant autant au commerce d’extérioriser ses fonctions par l’ouverture de ses serres, qu’aux résidents de profiter d’un espace vert appropriable.
AVANT
ÉQUIPEMENTS EN PLACE
ayant le potentiel de soutenir la vie de quartier
UN QUARTIER UNIFIÉ ET MIXTE
UNE OFFRE RÉSIDENTIELLE MIXTE de faible à plus forte densité
UN PAYSAGE D’INTERFACE un liant pour la communauté
DES LIEUX FLEXIBLES ; AU FIL DES SAISONS
3e seuil entrée en retrait
2e seuil espace privé 1er seuil semi-privé détaché de la rue
maison ville
cour privée
ruelle
cour privée
maison ville
seuil
rue partagée
seuil maison ville 0
2
5
LA RUN DE LAIT
aménager le temps pour gagner de l’espace L’espace public doit s’adapter aux rythmes effrénés de la ville contemporaine : c’est le pari qui a été avancé par de multiples interventions qui ont pris d’assaut différents lieux de Charlesbourg. La caisse de lait a retrouvé son lustre d’antan pour se matérialiser en un espace public nomade. Un aménagement qui va et qui vient au rythme des besoins.Tantôt sur le parvis de l’église, puis en plein cœur de l’effervescence du marché aux puces, les caisses de lait débarquent dans les lieux où l’activité humaine bat son plein. Cette intervention tactique est la matérialisation d’une réflexion portant sur le décalage entre l’emplacement des espaces publics et les lieux où l’activité humaine est au sommet de son intensité. Différents endroits de la ville vibrent à des moments précis de la journée. Pourquoi ne pas synchroniser l’espace public à cette action urbaine? Pourquoi ne pas réaffecter momentanément un espace-temps de la ville, même s’il semble inattendu à première vue?
atelier de design urbain 2014
avec Jasmine Maheu-Moisan, Keven Ross et Maryline Tremblay
supervisé par Geneviève Vachon et Erick Rivard
1er prix du jury
L’ESPACE PUBLIC MOBILE ; QUI SUIT LES LIEUX D’INTENSITÉ DE LA VILLE
& prix du public
Les limites spatiales convenues éclatent pour faire place à un réseau mobile de l’espace public. La ville inattendue c’est l’espace public nomade, adaptable et malléable. La ville inattendue c’est la ville qui vient à soi.
L’ ESPACE COLLECTIF ;
AU SERVICE DE L’HUMAIN ET À L’IMAGE DE SON MODE DE VIE TRÉPIGNANT
Il était une fois l’homme mobile...
?
Ahh... et si...
oui !
ZZzzzzz !
vite, vite, vite ! ...
allo?
!!!
Oh ! la garderie !...
OUFF! Quelle journée!
LIGNE D’ATTACHE
Une annexe culturelle pour tous
Le projet d’extension de l’Institut Informatique 2isa à Millau en France propose une annexe culturelle qui connecte deux avenues importantes du secteur. Sur ce tube de circulation viennent se greffer un amphithéâtre, une médiathèque, une portion muséale et des espaces de séminaires. Des lieux de rencontre, d’échanges et de loisirs s’articulent également autour d’une place extérieure centrale qui constitue le coeur du projet. La flexibilité du noyau central permet la tenue d’évènements extérieurs de diffusion, d’expositon et de projection.
atelier 2013 école nationale supérieure d’architecture de Montpellier
projet individuel
supervisé par Pierre Soto
INTERSTICES
un centre d’archives comme filtre de l’histoire La notion de passage est l’identité même du secteur de la traverse. Les tranches proposées dans le bâtiment sont des éléments connecteurs qui permettent de faire la transition entre la circulation rapide automobile synonyme d’engorgement par rapport à l’espace contemplatif de l’esplanade près du fleuve. Chaque passage est un seuil, la transition entre les lieux devient un espace en soit avec des possibilités intéressantes, telles qu’une exposition temporaire, des informations sur les évènements diffusés, des points d’arrêt et des créations artistiques. L’i’dée est d’instaurer un fourmillement piétonnier au cœur du centre d’archives.
atelier petit équipement public 2013
projet individuel
supervisé par Benoit Lafrance
fleuve St-Laurent
rue Sain t-Lauren t
Les quatre entités du projet s’ouvrent généreusement à leurs extrémités, tel des tubes de diffusion, pour connecter avec d’une part la rue StLaurent et de l’autre avec le fleuve.
CRYSALIDE
un programme d’hébergement multi-sensoriel Inspirés de la nature, les cocons ou les crysalides sont la source d’inspiration du projet. Une structure régulière est moulée par des toiles laissant des espaces presque vertébrés. Le textile enveloppe le passant et lui offre des lieux à dimension intime qui l’accompagnent tout au long de la montée de la falaise. Ce colimaçon vertébré vient s’agripper au sommet de la tour Martello, où la réception de l’hébergement prend place. L’idée est de progresser vers le bas en passant des espaces les plus publiques aux plus privés : de la réception aux pièces de vie, des sanitaires jusqu’aux chambres « cocons » au niveau 0. Il s’agit d’un cheminement vers des espaces où la lumière et l’intensité des lieux varient. Dans les pièces de vie, le textile ondule dans l’existant, laissant place à la liberté de s’approprier un espace, sous une toile ou sur une toile. L’idée est de faire vivre l’hôtel différemment, proposer des expériences qui offrent des perceptions différentes, par l’emplacement de la chambre, l’accès à la lumière, le contact avec l’extérieur.
atelier patrimoine 2012
projet individuel
supervisé par David Tajchman - professeur invité
une promenade a été pensée pour renforcir le lien entre la Basse-Ville et la Haute-Ville en faisant de la falaise un transit expérientiel. La montée propose différents types d’espaces et de parcours qui ondulent entre les arbres et qui s’articule sur différents niveaux. Des surfaces, des matières qui se déploient formant ainsi des micros espaces appropriables. À certains endroits, on circule dans des espaces couverts, à d’autres espaces à ciel ouvert. Le parcours est plus sinueux et plus flexible et offre la possibilité de stimuler des sensations nouvelles.
L’installation se mêle aux arbres, elle vient les enrober, et s’en sert comme pilier. Les mats s’inscrivent dans la verticalité des troncs d’arbres et viennent s’accrocher au paysage existant. La promenade s’articule au dessus du sol, le laissant libre de toute empreinte. Des surfaces protégées et durcies permettent qu’on marche directement sur les toiles, tandis que des surfaces sont laissées plus souples pour offrir au visiteur, la possibilité de s’y nicher.
ATTRACTION
une déclinaison de spatialité Le projet Attraction est issu d’une série de manipulations exploratoires s’appuyant sur le tressage de languettes en carton. La technique a été explorée et contrôlée avant de développer la forme. La matière a été manipulée pour qu’elle devienne flexible, pour casser la rigidité du carton. Il s’agit de créer des volumes par la dépression ou l’extrusion de la trame, selon si on se trouve au dessus ou en dessous de la structure. La déformation de la grille régulière, serrée et rectiligne fait apparaître des espaces courbes, flexibles et où la lumière jaillit. Les ombres et points de lumière viennent tracer de véritables chemins lumineux qui rythment toute la surface au sol. atelier appréhension et transformation du lieu 2011
projet individuel
supervisé par Anne Vallières
ARTICULÉ
un assemblage tectonique Explorer la combinaison d’une forme élémentaire de base a été la piste de départ de cet assemblage. Les hexagones réguliers peuvent se juxtaposer sans laisser aucune lacune. Un maximum de périmètre est exploité pour un minimum de matière. La trame hexagonale a été assemblée en 2D, pour finalement se déployer en 3D. La trame devient très flexible et maléable aux points d’attaches proposant ainsi une infinité de possibilités au niveau formel. Un contraste intéressant s’inscrit entre le vide et le volume crée. Une importance est accordée à l’illusion de vide et de legerté qui se dégage de la structure. Les jeux d’ombrages ajoutent également une idée de continuité, d’infinité, ils supposent que la structure se poursuit.
atelier appréhension et transformation du lieu 2011
projet individuel
supervisé par Anne Vallières
MECHANT MOINEAU
une lampe délicate qui flotte tel un nuage Légers, aériens, perforés et d’un blanc immaculé. Un petit objet sportif se transforme en pièce lumineuse. Ce projet c’est 400 volants, qui s’élèvent à la manière d’un nuage flottant dans le ciel. Regardez les bien; ne vous rappellent-ils pas les costumes à froufrous, les éventails à plumes, le lustre des bijoux? Coupés, ouverts, froncés et assemblés, ils dansent autour d’un simple fil. Cet objet fascine par sa texture, ses jeux de lumière, sa délicatesse et son élégance.
concours l’Objet 2013
avec Luca Fortin, Natali Servat Rodriguez et Maryline Tremblay
prix de la charrette 1er prix du jury & prix du public
ZIP IT
une lampe ludique et transformable Zip it ; les fermetures éclairs comme vous ne les avez jamais vues ou imaginées. Ce luminaire chic et ludique en est entièrement réalisé. Ouvrez le par le centre et il s’allonge. «Dézippez» les fermetures éclairs verticales et faites varier les fuites de lumière. Admirez, allongez et «dézippez» la lampe.
concours l’Objet 2012
avec Erika Correa-Lepage et Maryline Tremblay
3e prix du jury
LE NID Le nid c’est 1800 épingles qui tournoient, qui s’agrippent et qui s’enfilent pour former un maillage. L’épingle quitte sa fonction première pour devenir un véritable textile qui ondule et se tortille autour d’un globe. Tissé de tout son long, l’assemblage joue sur la tension entre les épingles. Serrées les unes contre les autres, les attaches métalliques se courbent et se replient sur elles-mêmes, alors que plus espacées, elles s’ouvrent et se dilatent.
concours l’Objet 2015
FAKIR Fakir c’est des centaines de clous droits et équidistants, se dressant comme une armée de soldats. Inébranlables par leur nombre, ils prennent d’assaut le corps du bois. Ils gravissent l’ondulation pour épouser l’arrête de la matière lisse et droite. Y déposer un objet c’est illustrer la lévitation mystique du fakir. Cette petite console expose un tapis de clous serrés lorsqu’elle est regardée de haut alors que son profil laisse entrevoir toute sa finesse et son élégance. Une pièce de bois dense se courbe à la rencontre des milliers de pièces métalliques luisantes pour former un volume à part entière ; la console Fakir. concours l’Objet 2015
avec Catherine D’Amboise et Sandrine Tremblay-Lemieux
FAIRE PATTE DE VELOURS Ce petit tabouret se veut une expression simple, élégante et tout en finesse. La partie inférieure du tabouret est enveloppée d’un doux velours noir qui propose une expérience tactile et sensuelle mettant en rapport l’homme et l’objet. L’assise dévoile la beauté et la vérité du tilleul en ondulant dans une pièce de bois monolithe. Une distance est insérée entre les deux matériaux, l’instant d’un silence, permettant de les contempler individuellement sans être embrouillée par leur rencontre. Faire patte de velours c’est se laisser tenter par ses dehors caressants concours l’Objet 2015
avec Catherine D’Amboise
sp T sp T sp sy m pat h i q u e p l a c e o u v e r t e à t o u s
décompte semaine avant l’objet
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base
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jour 1
sy m pat h i q
sy m pat h i q u e p l a c e o u v e r t e à t o u s
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jour 2
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jour 3
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jour 4
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jour 5 (objet)
LE SPOT- identité visuelle
Une sympathique place ouverte à tous Création de l’identité visuelle d’une initiative étudiante de l’Université Laval ; le SPOT. La conception d’un logo, le choix d’une palette de couleurs, la thématisation d’affiches promotionnelles et la mise en ligne d’une plate-forme web.
initiative étudiante hiver 2015
avec Keven Ross
comité exécutif du SPOT
MARELLEicious
Une allégorie de la marelle Qui a dit qu’il ne fallait pas jouer avec sa nourriture? Au SPOT, c’est le mot d’ordre. Dès l’arrivée sur le site, un jeu de marelle nous appelle vers le - paradis -, le délicieux comptoir bouffe. L’amusement se lie donc d’amitié avec la gloutonnerie dans cet espace au coeur de l’évènement. La plus grande marelle en ville vient créer un appel vers un espace à découvrir par son explorateur en stimulant son imagination . Le concept se réflète tant au niveau de l’axe de circulation que de l’espace régal. De chaque côté de la marelle se déploit un jeu de palettes à différents niveaux formant bancs, tables, acoudoirs, cachettes et autres, répondant aux besoins des gourmands. Le tout est couvert stratégiquement de jaune, couleur de la créativité et de la bonne humeur. Elle nous guide vers le «paradis», restocomptoir offrant de divins repas. L’installation marelleicious nous replonge dans le jeu de marelle, ce fameux délice de notre enfance.
sp T sy m pat h i q u e p l a c e o u v e r t e à t o u s
24h de création
en collaboration avec l’équipe Fugère architectes
CROQUIS
À main levée dans les rues du Vieux-Québec