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LA VILLE DES POSSIBLES

PRODUCTION LIVE

14/09/18


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CONTRANVERS(E)

GR 1 I GREGOIRE CHAUVET


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REFLETS

GR 1 I CLOTHILDE FEUGEAS

Cette image de la ville d’Anvers donne à voir l’importance du fleuve ainsi qu’une certaine densité du bâti. Cependant, l’existence du port en lui-même n’est pas définie ici. La présence marquée du fleuve se traduit par le choix de la représentation en couleur bleue et par le reflet de l’image principale par rapport au quai, qui est très linéaire. Cette linéarité donne l’impression d’une image qui pourrait se continuer presque indéfiniment, à la fois dans sa longueur, mais également par la superposition de plans multiples. Alors qu’au(x) premier(s) plan(s) on peut observer des bâtiments plutôt « traditionnels », dont les toits sont inscrits dans des formes triangulaires, à l’arrière-plan on devine des tours et des barres modernes ainsi que des grues, suggérant une extension de la ville dans sa périphérie. Enfin, la présence d’oiseaux dans le ciel vient contraster avec cette idée de densité de la ville où les espaces verts semblent moindres : les arbres et les voitures sur le quai semblent en effet être minuscules face à la hauteur des bâtiments.


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ANVERS, SES VOIES

GR 1 I PIERRE-FRANÇOIS GOULLIAUD

Cette carte permet de mettre en avant deux éléments puisqu’ils sont les seuls à être représentés. D’une part, elle montre l’eau ; et par sa proportion l’importance du fleuve, des canaux et du port. D’autre part, les voies de transports sont représentées avec différentes nuances pour les routes principales et secondaires. Cette carte permet aussi de mettre en valeur le contraste entre le naturel du fleuve et le fabriqué des canaux et des routes. Si cette carte peut esquisser une idée du centre-ville et coeur historique par la densité des routes et rues, elle ne définit pas en revanche la limite de la ville d’Anvers et celle de son agglomération car seule la densité des routes est représentée et non celle du bâti. Cette carte montre une ville connectée et ancienne, non nouvelle, mais elle trouve une limite dans sa représentation dans l’échelle choisie qui ne matérialise que les rues majeures et non les petites ruelles.


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LE DIAMANT D’ANVERS

GR 1 I OPHÉLIANE JAGER-BAH

24ème résultat dans Google Images pour la recherche : «Anvers»

LE DIAMANT D’ANVERS On découvre une superposition intéressante: l’Escault, un quai, une caserne de pompiers désafectée et le nouveau bâtiment administratif de l’autorité portuaire d’Anvers: le Havenhuis. Signé Zaha Hadid en 2016, le bâtiment affiche clairement son rôle d’exhibition. Le corps principal, tout habillé de facettes, se pose avec affront sur la caserne et s’élance en un porteà-faux spectaculaire. La référence au diamant est évidente, ainsi que l’allure

de paquebot qui se dégage de la silhouette. Toute cette mise en scène semble vouloir nous rappeler que le port d’Anvers est en tête de course avec celui de Rotterdam, qu’il se modernise et s’accroît. Ce phare futuriste nous représente le port comme une force écrasante, ostentatoire, dictant ses lois, et s’emparant du territoire. Il se dresse dans le paysage comme pour signifier que le port d’Anvers est son diamant le plus précieux. Ophéliane Jager-Bah 14.09.18


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LE GÉANT D’ANVERS

GR 1 I HENRI LHOMME

La contre plongée de cette photo vient appuyer le caractère imposant de l’édifice faisant de lui un géant qu’on regarderait par en bas, rappelant la légende du géant d’Anvers. On pourrait penser que cette photo du fait que le batiment se trouve retiré de tout contexte pourrait aussi bien avoir été prise à Manhattan ramenant un coté mondialisé à se batiment. La présence unique du Boerentoren en détachement du ciel grâce à sa matérialité vient lui donner une puissance, un pouvoir, on y voit tres bien sa posture dominante rappelant le statut d’Anvers dans les échanges européens portuaires. La rigidité des lignes et de la perspective vient renforcer la rigueur de cette photo lui conférant un aspect austère à première vue. Anvers est à l’image pour moi de ce batiment austère à premiere vue mais qui cache un passé de pouvoir ainsi qu’une influence mondial.


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CONSERVATION

GR 1 I OURABIA MOHAMED CHAKIB

L’image me décrit qu’un nouveau projet moderne ces intégrés dans un tissu existant historique qui s’envole sur les airs et metre en évidence le bâtiment existant avec un grand parking de deux niveaux qui répond aux besoins des usages du lieu, un espace public conservé a la construction du nouveau projet sur un terrain le germent en pente qui donne sur une façade dun ancien bâtiment en symétrie


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LIMITES D’ANVERS

GR 1 I STÉRENN OURVOUAI

Cette carte cherche à mettre en évidence les différents quartiers de la ville d’Anvers ainsi que les différentes communes limitrophes. Dans ce but, elle est composée d’un fond de carte en couleur permettant d’identifier les zones d’eau, les zones bâties et les zones vertes de la région. Ce fond de carte se limite à un rectangle qui englobe toute la ville et ne laisse montrer que les communes voisines présentes dans celui-ci. Sur celui-ci, les limites sont dessinées dans trois teintes différentes. Du rouge est utilisé pour limiter la ville d’Anvers. Ensuite en rose on trouve les limites des communes limitrophes. Et enfin dessinée en noir, se trouvent les quartiers de la ville d’Anvers mais aussi ceux des communes voisines. Dans l’absence de légende explicite de ce code couleur, on peut seulement supposer la signification de ces limites. Néanmoins, la hiérarchie des couleurs, rouge, puis rose puis noir, permet de comprendre celle des limites.


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ACTIVITÉS ÉLÉCTRIQUES

GR 1 I VILLEMER JULIETTE

Anvers, une ville portuaire et industrielle se distingue à la fois par son ancienneté et son architecture traditionnelle. Ces supposés concepts contraires ou opposés, offre un éclectisme architectural et spatial qui permet une variation d’usages et d’activités au sein même de la ville. Cette affiche offre un aperçu de cette foison d’usages, affichant une silhouette industrielle tout en soulignant grâce au titre : « Port mondial et ville d’art, Centre de tourisme », les notions d’arts et de tourisme. La place importante de la main dans l’image annonce aussi le rôle majeur du citoyen dans cette transformation de la ville.


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PAVÉS INTERDITS

GR 2 I AMÉLIE CERTES

Marquées par leur collaboration avec l’Allemagne nazie pendant la Shoah, de nombreuses villes belges telles que Bruxelles ou Liège ont décidé de rendre hommage aux déportés en plaçant des pavés de mémoire dans les rues, portant des noms de victimes. Une partie de la communauté juive d’Anvers refuse cependant leur mise en place. Les pavés sont donc interdits mais on en trouve deux dans la ville, qui ont été illégalement disposés. Un combat entre les politiques de la ville et le devoir de mémoire.


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ACTIVITÉS ÉLÉCTRIQUES

GR 2 I CHAHED ANDELMALEK

L’ANVERS du décor Cet endroit represente la zone historique des premiers bassins portuaires d’Anvers, qui est un lieu a forte valeur mémoiale, en terme de vecu et de légendes, et qui represente aussi une articulation entre le tissu urbain et le port. A travers cette image on ressent une réelle force historique qui reflete plusieurs élements caractérisant la ville, entre autre sa forte activité portuaire et le fleuve l’Escaut, et l’émanation de ce projet considéré comme une icone de la ville d’anvers vient renforcer et revaloriser ce quartier historique tout en reprenant les nuances de couleurs qu’on retrouve dans l’urbain traditionnel d’Anvers ( la brique ). qui du coup met en évidence ce rapport passé/présent.


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VILLE DIAMANT

GR 2 I SOLÈNE FAULQUIER

Inauguré en 2016, la Maison du Port d’Anvers, conçu par Zaha Hadid représente la ville d’Anvers pour plusieurs raisons. Elle est située au bord de l’eau qui représente l’histoire et les légendes de la ville. Au dessus de l’ancienne Caserne de Pompiers, cet imposant Diamant en forme de bateau, fait appel aux échanges de matières (dont des diamants) qui s’exécute dans le port tous les jours, ainsi que les trafic de diamants qui marque les faits divers d’Anvers. On y retrouve donc l’importance des matières dans cette ville industrielle marqué par son histoire que l’on nomme encore aujourd’hui : La ville Diamant


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ANVERS PAR LA LÉGENDE

GR 2 I QUENTIN GISSELERE

Une ville est remplie d’histoires. Au détour d’une rue on croise un bâtiment, une statue ou encore une fontaine par exemple ; on croise des singularités qui nous parlent de la ville. Cette photo représente une fontaine de la ville d’Anvers qui elle-même représente la légende de Druon Antigoon. Selon la légende, un géant éponyme tenait un péage à l’entrée de la ville et prenait une partie des chargements des marchands quand ils voulaient rentrer dans la ville. Si ces derniers refusaient, il leur coupait la main. La fontaine nous décrit la fin de la légende, où un soldat romain finit par trancher celle du géant, libérant la ville de son emprise. Cette légende est centrale dans l’histoire de la ville d’Anvers. Étymologiquement même Anvers vient du mot flamand Handwerpen qui signifie “jet de la main” ou “jet depuis le port”. Cette légende nous en dit beaucoup sur Anvers : la ville marchande, l’importance de l’eau et de son port, elle semble cristalliser tout l’avenir de ce qui est aujourd’hui le second port commercial d’Europe. Cette photo nous montre bien les interactions que peuvent avoir mythes et histoires au sein d’une ville.


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CONSERVATION

GR 2 I SIMON GUERY

Anvers, 1955, un père et sa fille s’épanouient au bord des rives de L’Escaut. La ville, quant a elle, évolue de son coté et ne cesse de croitre...


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MATÉRIALITÉS URBAINES

GR 2 I JEFFREY NIVELLE

À travers cette image extraite de Google Maps, nous avons pu observer une prédominance de matériaux présents dans la ville d’Anvers. Pour les bâtiments, on observe clairement la présence de la brique, élément principal des constructions, et des pierres blanches, qui complète esthétique les façades afin qu’elles ne soient pas monotones. Sur les toits, on remarque également une forte présence de tuiles. On retrouve donc deux matériaux issus de la terre cuite, nous permettant d’avoir déjà des hypothèses sur la provenance des matériaux, que l’on pourrait supposer assez locale. En ce qui concerne le sol, le pavé est omniprésent, que ce soit sur la route comme sur les trottoirs. Il y a également de la végétation, que l’on peut retrouver tout le long des rives. Cette image extraite du côté de la rive est relativement représentative de la composition de la ville, du moins de son centre historique, qui lui est parfois complété avec du bois.


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REFLET D’ANVERS

GR 2 I BAPTISTE PALUSSIERE

Le MAS, Museum aan de Stroom se dresse ici sur les rives de l’Escaut, fleuve sillonnant la ville qui semble s’être formé autour. Bien que moderne, ce bâtiment représente pourtant bien le passé d’Anvers ainsi que ses principales caractéristiques. En effet, l’interaction au fleuve et à la mer est essentielle dans la forme de la ville et dans son économie de ville portuaire. Et nous voyons bien cela sur l’image, l’eau du fleuve occupe la moitié de l’image comme pour témoigner de sa forte présence à Anvers, ville qui émergea de ses eaux. La ville est née de cette proximité à l’eau qui l’aida à développer dès ses débuts un commerce maritime florissant. Encore de nos jours, le port d’Anvers est le second port européen et de nombreuses matières transitent par la ville. L’enveloppe orangée du MAS est un rappel supplémentaire des briques constituant une forte majorité des ouvrages bâtis de la ville. Et sa forme inspirée des entrepôts du 19ème siècle ne vient que parfaire cette mémoire de ce qui a fait la ville. Ici, le musée anthropologique et maritime se place donc en témoin de ce qui a fait la ville en se plaçant sur les quais du port, se reflétant dans le fleuve afin d’inscrire sa collection maritime et anthropomorphique dans le territoire où elle s’exprimait quelques décennies auparavant.


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VILLE PORTUAIRE JOUR ET NUIT ?

GR 2 I MARION ROSQUOET

Anvers, ville portuaire. C’est une ville qui visiblement ne dors jamais. Où lieux de travails et loisirs se confondent, parfois même dans leur localisation. C’est une image prise en fin de journée, au premier plan une piscine occupée par de nombreuses personnes, derrière laquelle on observe une vue dégagée sur une partie du port de la ville. Les lumières publiques sont allumées, plus personne ne travaille à cette heure. Il est temps de retrouver famille et amis, de sortir, de se détendre. La composition de l’image elle-même montre que ce n’est plus l’heure de travailler. Pourtant la zone portuaire reste la toile de fond, pas seulement de cette image mais aussi de la vie des Anversois, montrant l’importance de ce commerce pour la ville. Il constitue probablement la grande partie, si ce n’est la presque totalité de l’économie locale. Sans ce port, Anvers ne serait sûrement pas aussi connue et reconnue. Si New-York est reconnue à ses gratte ciels, ici les grues sont sûrement visibles de très loin dans la ville, le port constituant la véritable centralisé de celle-ci.


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GRAND ANGLE

GR 2 I CAPUCINE TRINCHET

Cette photo tirée d’un article présentant les activités touristiques d’Anvers représente la Grand Place, elle a été choisi pour la quantité d’information qu’elle apporte. En effet, elle nous permet de comprendre la ville selon divers points de vue : politique, géographique, historique. Les nombreux drapeaux sur l’Hôtel de ville permettent de situer la ville géopolitiquement (drapeau de la Belgique, présence d’ambassades et drapeau de l’ONU). Au centre, la fontaine, datant de 1887, est un témoin historique de la création de la ville puisqu’elle représente l’histoire du géant Druon Antigone tué par le soldat héros Silvius Barbo, cette légende étant un élément central dans la fondation d’Anvers puisqu’elle traite notamment de l’importance du commerce portuaire. A droite, les maisons typiques des régions d’Europe de l’Ouest bordant la mer du Nord permettent d’avoir une approximation de la situation géographique d’Anvers. Ces maisons de guildes datent aussi la naissance de la place centrale de la ville au XVIème siècle, apogée d’Anvers. Ainsi, l’image permet de faire un tour des caractéristiques essentielles d’Anvers.


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EILANDJE

GR 3 I BENJAMIN CARAMATIE


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ECHO DU PORT

GR 3 I LOUIS FIOLLEAU

Le document choisi provient de la mise en forme d’un relevé sonore et spatial effectué sur les bords du quai d’Anvers. Il consiste alors en une carte sensible annotée nous permettant de collecter une vision singulière de l’ensemble du complexe portuaire d’Anvers. Cette mise en forme est d’autant plus intéressante car elle introduit une autre vision de l’espace, celle de l’ouïe. La représentation reste facilement compréhensible et sa simplicité nous présente une vision globale d’Anvers et son port. D’abord spatialement, elle découpe efficacement les zones majeurs (Centre-ville, Eilandje, Centre nucléaire, raffinerie...) du bord du fleuve et de plus les classifie selon leur occupation spatiale et auditive du territoire, et les catégorise puisque une ligne en pointillés sépare le vieux port et nouveau. On remarque alors, par le choix de représentation, que cette nouvelle zone industrielle (Raffinerie, Centrale nucléaire...) est mise en exergue de part son occupation du paysage visuel et sonore. Des éléments marquants du paysage sont annotés sur les zones correspondantes, par exemple, flamme.


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DU PORT À LA VILLE

GR 3 I HUGO FORTE

Le Ring, périphérique routier, englobe le port Sud et le centre-ville d’Anvers. Dès qu’on en sort, le tracé viaire se dé-densifie fortement, devenant presque rural. La différence de représentation entre le port et la ville montre bien qu’ils sont deux quartiers bien distincts, tant en usage qu’en géométrie. Le dégradé du noir au gris du port traduit la diminution de l’activité portuaire en se rapprochant de la ville. Le fleuve, élément pourtant essentiel d’Anvers, n’apparait que par l’espace en négatif qu’il laisse deviner.


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RAPPORT À L’EAU

GR 3 I LAURE MASSON

Comment des théoriciens en 1993 cherche un nouveaux rapport à l’eau pour Anvers. Le plan est schématique et met en avant l’eau: le fleuve et les canots. Il cadre l’ancien port et le centre historique. La présence du tracées des rues permet de caractériser les espaces: l’échangeurs, le port industriel, le parcellaire médiéval et classique. Les trois formes géométriques superposées au plan témoignent de la caractérisation de nouvelles zones. Dans les année 1990, on constate qu’en déplaçant le port en aval, la ville s’est coupée de son ancien port et de l’eau. Cette carte illustre la recherche d’un nouveau rapport à l’eau tourné vers d’autres modèle économique. Le fleuve et l’histoire industriel sont propices à l’émergence de projet de grand ampleur pour recréer un centre culturelle et économique, tourné vers les services.


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L’IMPORTANCE DE LA PUBLICITÉ DANS L’HISTOIRE

GR 3 I HANNAH NOVOTNY

J’ai choisi cet image, parce que la publicité reflète toujours bien la vue du peuple sur différents aspects sociaux et leurs valeurs dans ce temps là. En ce cas, deux nationalités doivent être appelées:les Belges et les Américains, car The Red Star Line relie la Belge avec l’Amérique du Nord fréquemment. En plus, la publicité raconte une histoire très importante pour le changement et l’élargissement rapide de la ville Anvers. The Red Star Line est une compagnie maritime, fondée en 1871, qui a opéré entre Anvers, Philadelphia et New York. L’immigration implique la croissance économique et l’échange international dans différentes échelles. L’histoire du Red Star Line montre simultanément les étapes historiques d’Anvers: la première guerre mondiale où le port d’Anvers étant contrôlé par les Allemands et la Grande Dépression qui a touché la compagnie et la ville de même façon. Les derniers navires sont vendus en 1935.


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VLAEYKENSGANG

GR 3 I LÉA PERRAUDEAU

Anvers, c’est aussi un charme plutôt discret, caché, loin de l’ostentatoire des centres clignotants, bruyants, lumineux. Ici, au détour de la porte du Oude Koornmarkt 16, on entre dans cet ancien passage des cordonniers. Difficile de nier le charme du pavé et des “tap tap” qu’ils produisent sous nos pieds, des briques brunes, des plantes qui grimpent sur les murs, des bancs discrets et des fenêtres à carreaux, s’organisant en petits espaces et angles biscornus… Un passage qui semble ne pas avoir évolué, plein de mystères et de rumeurs, presque hors du temps. Mais aujourd’hui, le lieu n’est plus artisan : il est bobo. Boutiques d’antiquité, galeries d’art et luxueux restaurants attirent les touristes. Si un espace est beau, atypique et ancien, devient-il forcément “hype” ? chic ? Au final, Anvers semble subir le même sort que toutes les autres grandes villes, un sort nécessaire si elle souhaite conserver son attractivité...tout en restant résolument moderne, à une époque où 40% des 15-35 ans choisissent leur destination de vacance en fonction de son « l’instagramabilité ».


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ANTWERPEN - BERCHEM

GR 3 I LOLA ROBUCHON

Figurant dans un article de la SNCB (société nationale, des chemins de fer belges), cette photographie a attiré mon attention d’abord pour ses couleurs vives et puis ensuite pour son cadrage. En effet, on peut voir des tags sur un grand pan de mur qui occupe les deux tiers de la photo. Deux personnes tagguent ce mur au-dessus duquel est arrêté, un train. Nous sommes donc ici projetés dans l’environnement d’une gare (panneau indiquant le nom de l’arrêt du train : Anvers), donc sans doute près d’un quai. Cette photo donne l’image de la ville d’Anvers comme ville plutôt industrielle, au premier abord (situation ferroviaire), mais communique également une réaction associée à cette ville industrielle : il n’y a personne dans le train. Anvers est-elle une de ces villes qui a été marqué par la fin de l’industrialisation et donc par l’abandon des lieux ? En parallèle, malgré cette image d’abandon, deux personnes figurent au premier plan et sont, pour moi, l’objet de cette photographie. Anvers est-elle une ville abandonnée et réinvestie par des artistes de rue ?


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AMBIANCE, CULTURE

GR 3 I MARION ROUILLON

Aux grandes lignes de l’Histoire et aux grands bâtiments emblématiques j’ai toujours préféré anecdotes et espaces marginaux. Cette affiche de film trouvée hier m’a interrogée. En lisant le synopsis du film, on découvre un long-métrage centré sur la vie d’une prostituée. Les recherches annexes à ce film font état d’une relation particulière de la ville avec la prostitution. En Belgique, la prostitution est légale – le proxénétisme et le racolage, eux, interdits. Ces informations induisent inévitablement un fait : il y a des lieux précis, des bâtiments, qui abritent la prostitution. Il est alors facile de se dire que ces lieux et les quartiers dans lesquels ils sont bénéficient d’une ambiance particulière liée au tabou culturel associé à la prostitution. Du moins, c’est ce qu’on pense en tant qu’habitant d’un pays où la prostitution est illégale. En effet, à Anvers se trouve le plus grand centre de prostitution de Belgique, la Villa Tinto. Celle-ci se trouve dans un quartier remis à neuf, celui qu’on appelle à Anvers le « Quartier Rouge », C’est assez intéressant que de se dire que la loi influe la relation de la ville à ces espaces qui, au premier abord et dans notre imaginaire collectif, marginaux.


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BÂTIMENTS D’ANVERS

GR 3 I LOUIS SERIN

Cette affiche montre selon moi une des singularités importantes de la ville d’Anvers. En effet, de qui retient mon attention sur cette affiche est le paysage de la ville en second plan. Ce paysage au sein duquel se découpe les bâtiments majeurs de la ville d’Anvers est marqué par une autre forme de «bâtiments » les navires accostés au port. Les bateaux sont réellement inscrits dans le paysage urbain. Cette alternance entre les mats et les édifices créé un paysage singulier et permet de comprendre l’importance que peut avoir le port dans l’histoire de la ville d’Anvers. Il est aussi intéressant de voir que cette vue est choisie pour représenter Anvers à l’exposition universelle de 1894. Elle symbolise donc la ville à l’international.


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INTERFACE VILLE-EAU

GR 4 I TRISTAN BOIN

Cette photographie rend compte de la situation actuelle d’Anvers, ville portuaire et traversée par l’Escaut. De ce fait, les modes d’occupation urbains sont variés, englobant une activité portuaire au nord, un centre-ville historique en contact avec le fleuve... La photographie soulève la question du rapport et de la relation de la ville à l’eau, pas seulement limités à ce fleuve, et plus spécifiquement la question de l’intégration de cet élément et de son rôle dans les transformations urbaines. On y voit un long mur, protecteur du bâti existant mais aussi séparateur. Les multiples formes que prend le bâti sur cette photographie nous indiquent une multiplicité de modes d’occupation des sols d’Anvers, qu’ils soient résidentiels, industriels, religieux, économiques.


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LE PORT ET LA VILLE

GR 4 I CHLOÉ CHAILLOU

La pièce graphique est une carte filaire en noir et blanc représentant la ville d’Anvers et son ancien port ainsi que son lien avec le fleuve. Elle met l’accent sur l’élément liquide encore présent dans la ville, ressortant en noir par rapport aux autres formes bâties seulement détourées d’un trait fin. Pour moi cette carte met en lumière la présence de l’élément liquide dans la ville, tel qu’il saute aux yeux sur la pièce graphique, son articulation par rapport aux autres zones de la ville (révélée par les formes géométriques), mais surtout son importance dans l’organisation spatiale de la ville à travers son histoire. Cette représentation en négatif est enfin très intéressante car elle suggère le potentiel de cet espace, et suggère que l’élément liquide tisse des liens avec les formes implantées, tels les canaux qui s’étendraient encre à travers la ville pour la structurer. Il serait d’ailleurs intéressant de voir apparaitre les anciens canaux sur une carte similaire au même titre que l’eau encore présente. Il est alors suggérer ici que l’ancien port est une trace de la présence historique du liquide, mais aussi un point de départ à la transformation de la ville, tel un liquide qui s’étend, se diffuse, s’adapte aux espaces disponibles, ces espaces pouvant être le liquide même.


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ANTWERP

GR 4 I RIM CHOUGUIAT

L’image fait sortir la ville d’Anvers par rapport à son environnement démontrant ses limites, sa surface, les limites du pays et ses subdivisions urbaines. La ville d’Anvers dispose d’un réseau routier et ferroviaire assez dense qui permettent de la relier et faciliter la mobilité des habitants. Ainsi que plusieurs voies ferrées et des autoroutes qui mettent la ville en relation avec les villes voisines. Le fleuve qui traverse la vile joue un rôle important dans l’économie locale et régionale. Il permet à la ville, par le billai de son port, de s’ouvrir vers l’extérieur, sur la mer du nord, favorisant les échanges avec le reste du monde.


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INNONDATION

GR 4 I VALENTINE ETIENNE

Cette carte monochrome d’Anvers reprend à l’inverse les codes de la cartographie. Elle représente l’élément liquide en blanc et le reste du territoire en noir. Le noir domine, cependant l’eau est omniprésente. Cette carte peut être vue comme une amorce d’analyse pour le sujet LIQUIDE, l’un des deux éléments d’analyse de mon groupe. On observe le fleuve dans son état initial dans un premier temps, la place qu’il a pris et qu’il s’est fait par luimême. Puis on observe la part de l’Escaut qui a été conditionnée, amenée où l’Homme le souhaitait. Une nouvelle dynamique se met alors en place. Le rôle du fleuve dans la ville n’est plus le même. Est-ce alors le fleuve qui inonde la ville ou bien l’inverse la ville qui assèche le fleuve. Ces deux questions se sont posées pour la construction de la ville d’Anvers. Les habitants ont d’abord cherché à contrôler et se protéger du fleuve, en évitant les crues avec la création d’un mur/digue et en créant de nombreux canaux. Mais aujourd’hui, de nouveaux projets d’urbanistes, de paysagistes et d’architectes, cherchent à modifier la place du fleuve dans la ville en supprimant la crainte des habitants. Notamment, le projet de l’agence PROAP, une agence paysagiste portugaise, qui vise à réaménager les quais de l’ancien port d’Anvers. Un nouveau défi apparaît, se protéger tout en acceptant l’Escaut.


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L’ESCAUT

GR 4 I CLOÉ GUILBAUD

En continuation avec le travail élaboré hier à partir des mots Liquide et Mode d’occupation, ma pensée a évolué vers la l’emprise de L’Escaut sur le ville elle même. L’image choisit est une représentation d’un plan élaboré par Bernardo Secchi et Paola Vigano. Il est la représentation d’un nouveau quartier lié étroitement à l’emprise de l’eau par la construction de nouveaux quais sur ce territoire. Cette image au delà de ce qu’elle représente fait écho à un territoire contraint et occupé par des activités liées au fleuve. L’occupation et l’empreinte des activités de la ville se concentrent autour de se liquide qui la traverse, laissant place parfois à des zones non occuper du à des déplacement, par exemple le port de la ville. On se pose alors la question de quelles mode d’occupation adopté après l’empreinte d’activité aussi fortes ? Cela pose la question de l’occupation ou la non occupation de ses territoires fortement marqués par l’industrialisation du au fleuve. En effet, l’Escaut est la raison principale de l’existence de la ville et de la façon dont elle est dessinée. C’est aussi pour cette raison que des barrières ce sont établis entre ces deux éléments . Elles s’expliquent par une domination du fleuve qui parfois prend le dessus et créer des inondations. Le ville se protège et met alors en place plusieurs dispositifs. Mais le projet de Secchi et Vigano se soucis de rétablir et renforcer le lien entre Anvers et L’Escaut pour ne pas perde la complémentarité d’un fleuve qui s’est imposé dans une ville concentrée autour de celui-ci. Enfin, je dirais que ces deux composantes dont étroitement liées, le territoire est fortement influencé par les dynamiques industrielles et le fleuve reste un élément naturel qui peut dominer la ville.


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ANALYSE CARTOGRAPHIQUE

GR 4 I HUGO HIBLE

Cette carte représente un secteur du centre-ville fortement actif dans ses activités commerciales. Le commerce est un générateur économique essentiel pour la ville d’Anvers, et permet ainsi un attrait social et touristique important. Le Meir, une des rue du centre-ville la plus active économiquement par sa densité de commerce. Elle est entourée d’un tissu urbain dense et débouche sur des axes forts d’activités commerciales du centreville d’Anvers. De nombreux centres commerciaux se situe à proximité et accentue ce mouvement économique et touristique au sein de la ville. Les points rouges représentes les emplacements de chaque commerce et des emblèmes d’enseignes se démarquent pour signifier les centres commerciaux qui les abritent. Les ellipses de couleurs bleues distingues les rues les plus attractives et commerciales du secteur, appuyées par le quartier tout entier qui soulève le flux d’activités commerciales d’Anvers. Cette carte montre l’importance de l’activité commerciale de la ville d’Anvers et de son activité au sein de son centre-ville. Le tracé urbanistique de la ville est orienté sur les axes commerciaux important et diffusent ainsi l’activité et les déplacements au sein de tout le territoire.


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IMAGE SATELLITE PORT GR 4 I THOMAS LAMBERT D’ANVERS

L’image du port d’Anvers, ci-dessus, est le fruit d’une technologie innovante : le satellite. Aujourd’hui, ce mode de représentation des territoires est beaucoup plus développé et nous permet d’avoir une ou plusieurs images globales de la Terre. Cet outils de capture technologique est un des plus sûr en matière de capture d’espace à un moment donné. C’est cette technologie qui a remplacé le dessin du plan de masse et permet d’avoir une image fiable. Ici, on se concentre sur le port d’Anvers, qui est un des plus grands ports du monde en matière d’échange/stockage de conteneurs. Il est situé dans l’embouchure de l’Escaut à quelques kilomètres de la mer du Nord. Il est 2ème niveau européen et 17ème niveau mondial. Il possède une architecture spéciale de par son histoire. La photo satellite permet de capturer l’état actuel du port et permet alors de faire le lien avec les activités ainsi que les changements apparents. Cet outil permet d’avoir un contrôle total du monde à un temps donné et permettre de montrer la ville autrement. On peut alors facilement comparer les évolutions des territoires et comme l’on parlait tout à l’heure, collecter des données qui vont être exploitables par tout le monde.


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ESCAUT : TRANSITION INDUSTRIE-HISTOIRE

GR 4 I LAURANE PERCHE

La photographie,de par son cadrage et son point de vue offre une vision subjective de ce qu’elle montre, de l’œil du photographe et donne ainsi une lecture spécifique de la ville d’Anvers. En premier plan se trouve l’Escaut, on comprend qu’il s’agit du cœur de la ville autour duquel tourne son économie avec l’industrie et son activité portuaire. Il crée aussi un cadrage avec son centre ville historique et sa richesse architecturale avec ses églises, ses cathédrales... en arrière plan dessinant un paysage dans le ciel de la ville par ses clochers, ses façades architecturales. Ici la limite est fine entre l’eau et le sol, l’eau est au cœur de la ville. De ce point de vue cela crée l’effet que le fleuve est le prolongement de la ville ou bien la ville le prolongement du fleuve. Il y a ainsi une dualité entre sol et eau. De plus cela nous interroge sur le lien entre histoire et modernité avec de par et d’autres de ce fleuve l’histoire et l’industrie. Sur cette photographie se dessine une diagonale entre le toit des machines de construction industrielle en haut à gauche de l’image et le toit des édifices religieux en bas à droite, proposant un jeu par cette composition entre industrie et passé, ce qui fait la dynamique d’ Anvers.


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L’ANVERS VIVANT

GR 5 I ALI AMHED

Dans un premier temps, cette ancienne cartographie, qui présente la ville d’Anvers en 1832, me fait penser que la ville vient de se créer, attachée au fleuve Escaut. Autrement dit, la ville est entourée par le vide et elle vient juste s’installer près du fleuve, ce qui marque un lien fort entre le fleuve et la ville notamment entre le vivant (la nature) et la ville, qui est notre thème de base « Vivant et machine ». Dans un second temps, nous remarquons que dans cette esprit du vivant, le fleuve est dévié dans le canal artificiel autour de la ville ce qui permet de souligner l’idée que la ville est en mouvement dynamique à travers le commerce maritime. On note aussi que la ville prend la nature comme une barrière défensive à travers l’eau. Nous trouvons aussi que la ville a choisi une disposition moins structurée pour les espaces verts, ce qui traduit que l’espace vert est bien là mais sa presence est moins prédominante. Pouvons-nous dire que la ville commence à se transformer en une machine ? S’agit-t-il d’une ville programmer, cadrer, mais qui souhaite conserver l’esprit de la nature et le dynamisme de l’eau ? Autrement dit, la ville se transforme-t-elle en une machine vivante ?


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LA VILLE AUX DEUX VILLES

Anvers La ville aux deux rives Dans le cadre du travail de recherche sur la ville d’Anvers, je trouvais dans les premiers instants cette image aérienne qui attirait mon attention. elle reste celle qui m’interpelle le plus après plusieurs heures de recherches sur le sujet et le visionnage d’un nombre incalcuincalcu lables d’images. C’est une photographie qui montre les deux rives de la ville d’Anvers ainsi que le fleuve (Escaut) qui les sépare. Aucun pont à l’horizon, aucune connexion visible. Cette idée de rupture au sein d’une seule et même ville constitue pour moi une source d’inpiration grandissante. La génèse même de la ville est une conséquente directe de notre besoin de nous unir et nous rassembler pour donner lieu au partage. Quel lieu donc pour une rupture urbaine dans une ville du 21e siècle?

GR 5 I LEILA ETTAHRI EL JOTI


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LA POPULATION AU COURS DU TEMPS

GR 5 I JOSÉ FICHET

Sur ce document, on voit que la population d’Anvers était de 498 473 habitants en 2011. Le graphique semble indiquer que la population d’Anvers semble s’intensifier au cours des années, mais sans connaître de poussé croissante mais plus une croissance continue. Comparé aux villes voisines comme Gand et Bruges, Anvers semble être la plus peuplé. Actuellement la population s’élèvent à 520 500 habitent ce qui suit encore cette croissance constante.


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L’INDUSTRIE D’ANGERS

GR 5 I ASMA HAOUACH

Cette prise de photo aérienne pour un ensemble de bâtiment industrielle à la proximité du fleuve de la ville Angers,Belgique montre clairement selon la grosse consommatrice d’espace l’importance de l’activité industrielle. Cette dernière dans une part ,elle joue un rôle positif par sa contribution dans le développement économique de la ville et par les masses humaines qu’elle met en mouvement et d’autre part , elle joue un rôle négatif par son impact sur l’environnement surtout en point de vue de pollution émise dans l’air et l’eau.


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RAPPORT TRANSORT / INDUSTRIE

GR 5 I ROY MATTA

Belgique en tant que pays européen situé aux Nord, Frontier de quatre pays la France, les Pays bas, l’Allemagne et Luxembourg, d’autre part une frontière maritime aux nord par la mère du nord. On trouve trois rivières dont deux se situe aux nord et une aux centre, deux de ces rivières se divise en deux se qui donne plus d’opportunité d’élargir les zones industrielles comme on voit sur la carte que toutes les zones se situe aux bord des rivière pour faciliter le transport et les échanges maritime de même pour les autoroute qui passe par toute les zone industrielles. Spécialement a envers qui se situe à l’intersections des zones une et cinq qui fait une grande partie de l’industrie de Belgique a cause de son site, d’une part la plupart des autoroutes se rencontre se qui fait que Anvers est une région métropole et d’autre part elle ouvre sur la mère nord indirectement par la rivière sans s’exposer sur la cote maritime se qui la protège naturellement de pays voisin.


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DES ESPACES NUANCÉS

GR 5 I BLANCHE MEINEN

Cette cartographie du centre ville d’Anvers nous apporte beaucoup d’informations sur ses lieux d’intérêt de façon générale. Pourtant, au premier abord, ce sont les aplats de bleu et surtout de vert qui ressortent de cette représentation. Le fleuve de l’Escaut, en bleu, à un rôle majeur dans la dynamique d’Anvers, puisqu’il dessert le port et place la ville au rang de ville portuaire et constitue donc l’un des principaux atouts économiques de la ville. Le rôle et la place de l’eau dans la ville sont tellement établis que le bleu n’est pas référencé dans la légende de la carte, et il n’y a pas de nuances ; pourtant, nous savons et nous voyons clairement que toutes les parties de l’Escaut ne sont pas les mêmes, puisque au Nord de la carte le fleuve est clairement aménagé. Pour ce qui est du vert, on remarque deux nuances de couleurs proposées lorsque l’on se réfère à la légende : la plus foncée représente les « parcs », et la plus claire correspond aux « zones vertes ». C’est ce terme, « zone verte », qui m’interroge vraiment, que désigne-t-il exactement ? Quelle différence entre un parc et une zone verte ? Comment sont classés, hiérarchisés les espaces verts dans les villes et ici, plus particulièrement, à Anvers ? Arrive donc la question de la qualité que doit apporter un espace naturel (ou du moins plus naturel) à nos centres villes.


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DES BASES SOLIDES

GR 5 I MEHDI NACEUR

Mon choix pour cette image d’Anvers provient de mon goût pour les photos anciennes et l’histoire qu’elles véhiculent. Cette photographie, plus précisément cette carte postale, montre ce qu’est pour moi la ville d’anvers à priori. En effet même si cette image date des années 1910, elle fait apparaître la prédominance du port et donc du commerce et de tout ce qui va en découler par la suite. L’on aperçoit aussi les caractères d’une ville fortifiée avec cette enchevêtrement de maisons dans des ilôts ne laissant que d’étroites ruelles aux habitants pour accéder à leur logement. A travers ces habitations l’on voit aussi que cette ville à traverser les époques et s’est renouveler sur elle même en gardant son caractère originel. La ligne d’horizon nous donnes aussi un aperçu de l’étendue qu’avait déjà la ville à l’époque.pour en revenir à notre grand thème la question du vivant dans la ville n’étant pas du tout une préoccupation à cette époque il y a peu de présence de nature. C equi m’interroge sur les changements à apporter à cette ville afin qu’elle fasse partie de son environnement et non pas qu’elle s’impose à lui.


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L’ANVERS DU 16ÈME

GR 5 I HUGUES REDO

L’image étudiée se nomme Anvers, Braun and Hogenberg (1572) et représente en plan ancien d’Anvers vers le milieu de la seconde partie du 16e siècle. Cette représentation montre la ville d’Anvers selon une vue de l’esprit, comme aurrait pu voir un oiseau survolant la ville. Cette représentation nous apprends beaucoup de choses sur cette ville à l’époque et nous offre des pistes pour mieux cerner la ville d’aujourd’hui. Si on annalyse cette image en allant du général vers le détail, on peut remarquer que la ville entretenait déjà une relation étroite avec son fleuve, les nombreux ports assurants le passage des navires venant du reste de l’Europe. On peut voir aussi la prédomiance des fortifications qui ceinturent la ville, et la présence d’une citadelle pentagonale,qui nous indique que cette ville occupait une position stratégique à défendre, mais aussi une vie «guerrière» puisque située au coeur d’une Europe agitée par de nombreuses guerres (Royaume de France, Empire Allemand). Plus dans le détail, on peut remarquer la couleur dominante des toits des habitations de la ville, le rouge, ce qui nous donne un indice sur les matériaux utilisés à l’époque, nous donnant une idée sur les ressources disponibles dans la région. On peut voir dans cette région d’ailleurs, une forte présence agricole, où de nombreuses cultures s’étendent autour de la ville. On peut voir aussi dans cette représentation l’importance de certains bâtiments publics; comme les églises, hotel de ville, qui semblent avoir comme une force de gravitaion, faisant converger les routes vers elles. Cette carte d’Anvers montre de nombreuses limites dues à la technique de représentaion (Vue de l’esprit, inexactitude...) mais permet cependant de se faire une idée de comment la ville était organisée et comme «vivait» telle au 16e siècle.


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PLANTER POUR RESPIRER

GR 5 I ALINE SEGONS

Ces deux photographies avant/après racontent à la fois l’histoire d’Anvers ; industrielle, portuaire, marquée par le transport et entièrement conçue pour le commerce ainsi que les nouvelles dynamiques recherchées. La photographie à gauche témoigne des espaces de friches, désert de tout être vivant, probablement nombreux dans Anvers et aujourd’hui vus comme des enjeux d’espaces partagés, publics et de sociabilité. Le contraste entre la fréquentation des espaces réaménagés et les friches témoigne l’idée de créer de nouveaux espaces fréquentés. Le cadrage des deux photographies rend visible la ville en arrière-plan et met en avant cette volonté de renouveler l’image d’Anvers ; ville plus verte où peuvent cohabiter industries et espaces verts.


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ESCAUT : TRANSITION INDUSTRIE-HISTOIRE

GR 6 I GAEL ABOU SEJEAAN

Ce cliché provient du site « La Balade de Pégage » qui est fait le 3 septembre 2011. A Anvers, la plupart des religions son présente. Cette photo, représente une façade d’Anvers le centre-ville vu depuis l’autre rive. On remarque la différence de niveau et les différentes fonctions que joux les édifices. En plus on remarque un édifice très marquant qui est un édifice religieux et qui est la cathédrale notre dame d’Anvers qui est un monument majeur de la ville. La cathédrale qui semble de l’art gothique et semble protégée la ville. Des édifices plus petits qui entoure la cathédral et qui représente des différentes fonctions. De même ces édifices qui provienne de plusieurs époque joue un rôle de continuité avec l’édifice le plus marquant créant un paysage magnifique de plus on voit le grand port qui apporte des éléments d’ambiance qui caractérise la ville.


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LIMITES DE L’ESCAUT

GR 6 I QUENTIN BALAVOINE

On observe que le ville et l’Escaut sont séparés par une frange « économique/commerciale », eux même, séparés par une route importante. On peut donc constater une non relation physique et direct entre la ville et le fleuve. Ce pose alors la question de l’influence du fleuve sur la ville et de la ville sur le fleuve. On pourrait dire que fleuve appartient au monde économique avec la présence de zones de stockage et d’échange qui le bord. L’habitant de la ville ne semble, donc, pas avoir d’accès à l’eau. Est ce un choix de s’en protéger ou alors subit par l’essor économique ? On remarque tout de même l’entrer de l’eau dans la ville pas un grand bassin sur lequel on trouve un musée. On peut donc supposer une volonté de se rapprocher de l’eau mais de manière contrôlé par une écluse, qui permet l’accès ou non a l’eau dans le bassin et donc de maîtriser le niveau d’eau du bassin.


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GR 6 I MARINE DUCHEIN


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DE OOSTERWEELVERBINDING

GR 6 I QUENTIN GLÉMAREC

Cette carte représente les aménagements prévus dans le cadre de l’Oosterweelderbinding (Oosterweel link en anglais), aménagements ayant pour volonté de boucler le périphérique R1 d’Anvers au Nord Ouest de la ville. Cela comprend notamment un pont hauban passant au dessus de infrastructures portuaires et un tunnel permettant de passer l’Escaut, avec pour but de déssaturer le trafic autour d’Anvers, un des principaux pôle routier de Belgique, voire d’Europe du Nord. Le point intéressant par rapport à ce projet est les conflits qu’il suscite entre les différents acteurs de la ville. Si à l’origine il est voulue par la région Flamande et doit être conduit avec un partenariat public-privé, de par le quadruplement des côuts prévus (à ce jour 2,2 milliards d’euros), il suscite une forte opposition et est désavoué lors d’une consultation publique en 2009. Néanmoins le projet cours toujours et la phase constructive est supposée commencer l’année prochaine, malgré le refus de la population.


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L’ATTRACTION MEIR

GR 6 I LUDIVINE LIMOIS

L’image choisit ci-dessous concerne la rue Meir qui est l’une des plus importante rue commerçante de Belgique. Celle-ci apporte une attraction commerciale incommensurable pour la ville d’Anvers. On remarque via cette image que la rue est devenue piétonne et cumul les divers enseignes (petites ou grandes). De plus, on observe que le charme de cette rue est créée par la mixité ancien / nouveau, c’est à dire que les deux coexistent dans la même rue. Par exemple, d’une part la trace historique reste présente dans la rue à travers l’ancienne route goudronnée, montrant un usage antérieur aujourd’hui modifié. D’une autre part la sauvegarde des bâtiments anciens pour y loger les commerces. On notera que l’importance de la ville d’Anvers n’est pas liée qu’à son port mais aussi à ces commerces ainsi que la conservation de son histoire.


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DÉMESURÉ

GR 6 I HIPPOLIYTE MONPAYS

Si on regarde cette image sans savoir où c’est ou bien ce que c’est, ce qui nous interpelle en l’observant attentivement, c’est qu’il est très compliqué de determiner ou d’estimer la mesure et la taille des objets qui y sont présents. Tout est tellement démesuré qu’on en est perdu. Par exemple les bateaux, ce sont des portes conteneurs qui atteignent aujourd’hui des tailles phénoménales, nous paraissent minuscules ici. Et a l’inverse l’objet qui me parait le plus imposant est le fleuve, fleuve qui est si important pour le port, qui en justifie l’existence et en gère le fonctionnement. On dirait que tous les objets ici luttent entre eux par leur taille pour etre le plus attirant, imposant. Mais en réalité, cette photo représente la plus grande écluse du monde, celle de Kieldrechtsluis, qui alimente la rive gauche du port d’Anvers. Mais malgré ses dimensions hors-normes, elle est petite sur la photo. Cette image pose donc la question du rapport entre notre propre échelle et celle de ma démesure. Elle nous devoile donc l’ampleur du port d’Anvers par la confrontation des échelles.


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LE CITOYEN OBSERVATEUR SE SON AVERTISSEMENT

GR 6 I MATTHIAS RIGOU

Ce cliché provient du site de L’Écho, de l’article du 7 mars 2018 intitulé «Comment Anvers est devenue une des villes les plus intelligentes du monde». Travaillant sur l’entité «citoyen» dans le cadre des recherches du groupe, j’ai trouvé cette image qui illustre cet article évoquant une initiative publique visant à expérimenter la ville connectée (à travers ses objets, ses habitants, etc). L’image ne m’a pas beaucoup marqué au premier abord. C’est par la lecture de l’article qu’elle a pris pour moi un sens ambiguë. On y voit deux femmes assises par terre dans ce qui semble être le musée aan de Stroom, musée de l’histoire d’anvers. Elles semblent dessiner le paysage. Cette activité semble étrangement en décalage avec le propos de l’article. S’opposent une pratique très authentique de l’observation de la ville et le modernisme des technologies de la surveillance des flux (humains, matériel, immatériels). Le choix de cette photo, s’il n’est pas innocent, laisse penser un regard réprobateur de la part du journal, même s’il n’affiche pas clairement son opinion dans l’article. Il met en lumière une dynamique entre le corps citoyen et les pouvoirs publics. «La recherche montre que neuf citoyens sur dix sont préoccupés par l’intégrité de leur sphère privée. Mais la majorité est en revanche disposée à en abandonner une partie en échange de solutions pour les embouteillages, les problèmes de stationnement et la mauvaise qualité de l’air.» Le sujet est vaste mais synthétiquement, en terme de gouvernance, on voit la domination sur le plan technologique de l’intrusion dans l’espace citoyen d’un outil des pouvoirs publics. Certes annoncé comme le moyen de résoudre des problèmes de fonctionnement urbain, on peut craindre le dépassement de ces limites et l’usage de cet outil dans un cadre sécuritaire. Entre efficience de la ville et discours sécuritaire, il n’y a qu’un pas.


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ESPACE RÉCUPÉRÉ

GR 6 I VELAZQUEZ CHAVEZ FATIMA LIZETTE

Qu’est-ce que l’espace public sans l’utilisateur? C’est une image du centre de la ville d’Anvers, bien que le port soit l’un des quartiers les plus importants de la ville, le centre se distingue également par son importance historique, culturelle, commerciale, économique et sociale. Ces dernières années, Anvers a mis au point un plan de restructuration urbaine pour donner la priorité à la relation entre les citoyens et les espaces publics, en marquant les limites entre les espaces de transit et les espaces ouverts. Ils a cherché à renouveler l’image urbaine au-delà de la limite de transit, du placement de monuments ou d’autres éléments isolés et ponctuels, grâce à des programmes de participation et de consultation des citoyens. Il est vrai que la création et la rénovation des espaces publics sont important, mais il est essentiel que l’appropriation des utilisateurs donne vie à ceux-ci, c’est pourquoi ils se sont concentrés sur l’accessibilité, la flexibilité et la polyvalence des espaces.


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ANVERS À LA CARTE

GR 7 I THOMAS AYOUL

Anvers à la carte Nous avons pour entrée principale la Géographie et pour entrée secondaire le mot comestible. Ce qui est pour cette ville une dualité assez proche de sens. Nourrir la ville ; ainsi que l’importation, la préparation et la consommation déterminent le développement, ainsi que la forme que celle-ci adopte. La ville portuaire d’Anvers lui doit, depuis des siècles, son apparence unique. En effet comme on peut voir sur ces cartes, la ville d’Anvers s’est construite et développée différemment au fil des siècles grâce à l’alimentation et aux moyens de production alimentaire. La première carte montre Anvers en 1740, une ville fortifiée : intra-muros où il y a de nombreux jardins. Mais il y a aussi à partir du 16ème et 17ème siècle, une zone agricole appelée la "Liberté d’Anvers" qui entourait la ville. Pour des raisons militaires, cette zone ne pouvait pas être entièrement bâtie. Il y avait donc déjà des restrictions pour l’urbanisation de la ville. La seconde carte est un schéma simplifié de l’organisation spatiale d’Anvers avec l’articulation du centre-ville avec le port. Ce port a pris une place prépondérante au sein de la vie d’Anvers des le 18ème siècle, quand Anvers est devenue une ville portuaire de pêche. Puis au fil des années, le port s’est développé grâce à l’industrialisation au 19ème et 20ème siècle, tout le long de l’estuaire, avec de nouveaux bassins et de nouvelles écluses. Tandis que la ville, et l’urbanisation récente se concentre plutôt dans la direction opposée en se détachant de cette industrialisation.


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LE RESTE DU MONDE

GR 7 I BÉRANGÈRE GODARD

- La ville des possibles -

Le Reste Du Monde

L’océan qui s’engouffre entre deux terres et dont l’écume vient s’échouer sur les côtes est tantôt obstacle tantôt succès. A Anvers, l’estuaire de l’Escault offre un accès direct au reste du monde. Qu’ils viennent d’Asie, d’Afrique, d’Amérique, les navires font escale à Anvers pour y déverser leur marchandises et conduire d’autres cargaisons par le monde. Une situation stratégique où influences et cultures étrangères se rencontrent à travers les marchandises. Peut-on déceler une forme de singularité à Anvers à travers la multiplicité des influences ? La singularité de la ville se retrouve-t-elle à travers la pluralité des sources dans un palimpseste culturelle et historique ? En quoi la ville d’Anvers peut-elle se positionner en tant qu’espace urbain singulier par rapport au reste du monde ? Bérangère Godard


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LA BELGIQUE À L’ÉCOLE

GR 7 I CLARA GOUJON

Ce document est une carte de la Belgique, élaborée dans un but scolaire : montrer au écoliers la Belgique «physique et agricole». Pour notre étude, elle permet de comprendre la ville d’Anvers dans un contexte global lié à son pays et à ses expoitations. Nous pouvons alors voir que la Belgique est partagé entre des plaines et des plateaux schisteux, deux territoires séparés par un bassin houiller autour de différents fleuves qui délimite alors sûrement les parties flamande et wallone : la géographie au service des frontières. La partie sud de la Belgique a exclusivement une production de matières premières (marbre, grès, fer, bois...) tandis que la partie nord génère plutôt du comestible (bestiaux, beurre, betteraves, céréales...). Le nord (où se trouve Anvers) est de plus le théâtre de cultures industrielles. Avec une ouverture de l’Escaut vers la mer du Nord et les différentes frontières de la Belgique (France, Pays-Bas, Luxembourg), nous pouvons présager un commerce de ces productions inter-pays et inter-régions. Toutefois, cette carte est destinée à des enfants : quelle précision ? Y-a-t-il un tri dans les éléments présentés pour «simplifier» la carte? Elle est également datée de plusieurs décennies : les données qu’elle indique sont elles encore fiables aujourd’hui ?


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TRYPTIQUE ANVERSOIS

GR 7 I BENJAMIN JOYAU

A travers cette carte, on peut observer l’importance et la place du fleuve, L’Escaut, au coeur d’Anvers. La ville est caractérisée par de nombreuses îles et bassins artificiels et industriels. Il semble que la ville soit divisée en 3 zones distinctes. En se basant sur l’urbanisme et la voirie, on observe que la vielle ville se situe au Sud, sur la rive Est de l’Escaut, où l’on peut encore entrevoir des restes de fortifications. On y trouve les édifices anciens, tel que les églises, les édifices parlementaires ou les musées. La seconde partie de la ville, plutôt au Nord, correspond à la zone industrielle et portuaire. On observe un réseau fluvial complexe, inséré dans un urbanisme industriel peu dense avec de grands entrepôts et des silos. On observe également un réseau de ponts permettant aux camions de passer d’île en île. Enfin la dernière zone, située sur la rive Ouest de la ville, semble correspondre à l’extension récente et moderne de la ville. Elle est caractérisée par des parcs, un urbanisme pavillonnaire et une voirie orthogonale propre aux quartiers nouveaux.


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RÉSEAUX EUROPÉENS

GR 7 I SANDRA NKINDI NZABONIMPA

Je lis par cette carte, la position géographique de la Belgique dans l’ensemble de l’Europe, sa proximité avec la mer du Nord et les différents axes qui rélient la ville d’Anvers aux différentes grandes villes de l’Europe. ça me ramène à me demander aussi pourquoi ce sont ces villes qui sont spécifiquement representées et quelle est leur rélation avec la ville d’Anvers.


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VILLE COMPACTÉE

GR 7 I RABESON HERITIANA TOLOJANAHARY

Belgique est un pays relativement plane. La carte ci-dessus montre la répartition des agglomérations dans la ville d’Anvers autour du port et on peut aussi voir la différence des hauteurs des reliefs. Le «centre» se trouvent dans ces hauteurs (en rouge sur la carte ) à côté de l’Escaut. Le centre est facilement identifiable car les routes convergent vers cette zone. La ville semble être compact laissant autour de large surface investit probablement pour l’industrie ou autre.


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RIVER

GR 7 I SETAREH RAHNAMA


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THE PANCAKE FACTORY

GR 7 I VALENTIN SALVAGNAC

Pieter Aertsen est un peintre flamand du 16ème siècle connu pour ses scènes de genres et ses natures mortes. Son oeuvre est composée majoritairement de peinture abordant le thème de la nourriture, du dîner. faisant sa formation à Antwerp (Anvers), Pieter Aertsen introduit la vie quotidienne dans la peinture en dépeignant les marchés et les repas. En réalisant The Pancake Factory, l’artiste nous donne en témoignage une description des pratiques culinaires et cultures alimentaires de l’époque. Cette scènes nous permet d’observer les échanges important entre Anvers et le reste du monde notamment par la diffusion d’une culture gastronomique européenne.


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FLUX ROUTIERS = ENCLAVEMENT ?

GR 8 I CHARLOTTE ARCA

La première idée qui nous traverse, à l’observation de cette vue satellite, est la grande présence de réseaux routiers. Nous pouvons observer une voie rapide constituant une couronne, cette dernière délimitant la ville centre, masses bâties peut aérées. Un réseau de nationales quant à lui, dessert la ville vers l’extérieur du territoire. Alors que la ville d’Anvers est équipée de nombreux réseaux performants pour son intégration au territoire, notre regard s’interroge à plus petite échelle, aux zones hors centre, du côté Ouest du fleuve mais aussi autour de cette couronne routière. Un territoire mixte à part s’organisant en une succession de quartiers et de parcs, cette partie de la ville qui nous semble agréable à première vue nous parait néanmoins mal desservi, en effet très peu de voies traversent la couronne périphérique. Nous nous questionnons alors sur l’enclavement de ces quartiers, des inégalités de transports, services sontils présents ? Des processus urbains ont-ils été mis en place pour rompre ces inégalités ?


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IMAGE SATELLITE PORT D’ANVERS

GR 8 I SAIF-ALDIN ALETRIBY

Comme on peut le voir sur le schéma, Anvers s’inscrit dans deux zones économiques très importantes en Europe. La première est la dorsale européenne qui s’étend de Madrid en Espagne jusqu’à Londres en Angleterre, et c’est où il y’a les centres de richesse, les capitaux, les sièges sociaux, les banques importantes…etc. Et la deuxième est le Northern Range, ou le Range nord-européen, ce qui forme une interface maritime qui arrive à la fin de cette zone de Dorsale Européenne et qui permet le transport des biens entre le continent européen lui-même, et entre l’Europe et le reste du monde (l’asie, l’amérique et la méditerranée). Ce flux économique et financière est caractéristique de la ville d’Anvers, puisqu’elle est connue depuis les moyens âges comme une ville marchante-bourgeoise.


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L’ANVERS DU DÉCOR

GR 8 I MARINE CHAUVREAU

A première vue on distingue deux zones distinctes qui correspondent aux deux régions de la Belgique, au Nord la Flandre où l’on retrouve Anvers et au Sud la Wallonie. A l’échelle nationale on note une réelle différence entre ces deux régions où le bleu qui correspond au taux de chômage le moins élevé prédomine en Flandre. En Wallonie il y’a une plus grande d’hétérogénéité cependant un plus grand nombre de villes présentent un taux de chômage égal ou supérieur à 11,6%. Si l’on se rapproche de la région du Nord il en ressort quelques villes présentant un taux de chômage plus élevé contrairement au reste de la région (Gand, Anvers, Genk) voire nettement plus élevé comme à Bruxelles. Si l’on s’intéresse maintenant uniquement à la ville d’Anvers (11,6 à 15,9% de taux de chômage en 2013) cela 14/09 peut nous interroger sur le fait qu’une ville exposée mondialement notamment grâce à son port (2ème européen) apportant une importante activité commerciale et économique n’arrive tout de même pas à pallier ce taux de chômage. La des Le ville choix dupossibles titre «l’Anvers du décor» signifie qu’au départ en regardant la carte c’est une ville qui fait partie Marine CHAUVREAU, groupe 8 un taux faible de chômage or on s’apperçoit qu’elle ne s’inscrit pas dans la continuid’une région présentant té de cette région. De plus, on peut penser qu’avec son activité portuaire et industrielle elle apporte un grand nombre d’emploi ce qui n’est finalement pas un reflet de la réalité.

«

L’Anvers du décor»

Taux de chômage en 2013 en Flandre

Taux de chômage en 2013 en Belgique

A première vue on distingue deux zones distinctes qui correspondent aux deux régions de la Belgique, au Nord la Flandre où l’on retrouve Anvers et au Sud la Wallonie. A l’échelle nationale on note une réelle différence entre ces deux régions où le bleu qui correspond au taux de chômage le moins élevé prédomine en Flandre. En Wallonie il y’a une plus grande d’hétérogénéité cependant un plus grand nombre de villes présentent un taux de chômage égal ou supérieur à 11,6%. Si l’on se rapproche de la région du Nord il en ressort quelques villes présentant un taux de chômage plus élevé contrairement au reste de la région (Gand, Anvers, Genk) voire nettement plus élevé comme à Bruxelles. Si l’on s’intéresse maintenant uniquement à la ville d’Anvers (11,6 à 15,9% de taux de chômage en 2013) cela peut nous interroger sur le fait qu’une ville exposée mondialement notamment grâce à son port (2ème européen) apportant une importante activité


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INARRÊTABLE

GR 8 I LUCIE DELORME

Cette photo du port d’Anvers laisse à penser qu’elle ne couvre qu’une infime partie du port, de part les éléments coupés qui doivent continuer plus loin que le cadre de la photo. Si l’on se fie à la taille d’un conteneur sur cette photo qui semble minuscule alors qu’en réalité un conteneur est largement plus grand qu’un humain, on comprend que ce sont d’immenses paquebots qui fréquentent le port d’où l’idée de l’importation et de l’exportation très présente, ce qui amène à penser que ce port est un important d’Europe. Un élément important de cette photo est le fait qu’il fasse nuit et que le port reste malgré tout très éclairé, surtout les machines servant aux déchargements et aux chargements des paquebots. Le port est-il en action toute la journée ainsi que toute la nuit? C’est fortement probable si des paquebots arrivent de nombreux pays du monde entier, un grand port de commerce ne s’arrête jamais. Ce canal me laisse à penser qu’il n’est pas le seul dans ce port, cette impression de grandeur au-delà de la photo est un sentiment qui émerge de cette photo. Le port est-il organisé en plusieurs canaux ayant chacun une particularité? Celui-ci servant surement aux chargements et déchargements des conteneurs.


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DÉSENCLAVER

GR 8 I CAMILLE GUILLOTEAU

Cette photographie représente l’ancien site ferroviaire de Spoor Noord situé dans le nord de la ville. En effet, la grande ligne de chemin de fer traverse le territoire et semble séparer les éléments bâtis. Deux quartiers se dessinent alors, et l’espace non bâti au milieu les divise. Cette infrastructure de transport est un symbole du passé industriel de la ville mais aussi de son économie grandissante. Ainsi, on peut se demander14.09.2018 si le réseau de voirie, synonyme d’industrie et de production, forme la ville et est facteur de création d’inégalités au sein du territoire ? C’est dans ces problématiques que l’on peut voir naître les principaux enjeux de la ville, celui de désenclaver les quartiers par exemple. Le territoire d’Anvers a pu évoluer avec l’activité qu’il fabrique, ce qui a pu donner lieu à la création d’espace délaissé ou séparé physiquement du fourmillement dynamique de la ville. Enfin, on peut voir le projet de Secchi et Vigano au sein du parc qui a pour but de connecter les quartiers à la ville, un départ pour d’autres projets qui pourraient être réalisés à Anvers.

Désenclaver Camille Guilloteau- Groupe 8

Construire Bruxelles : Architectures et espaces urbains 44 projets en Europe ; Parenthèse, 2012

Cette photographie représente l’ancien site ferroviaire de Spoor Noord situé dans le nord de la ville. En effet, la grande ligne de chemin de fer traverse le territoire et semble séparer les éléments bâtis. Deux quartiers se dessinent alors, et l’espace non bâti au milieu les divise. Cette infrastructure de transport est un symbole du passé industriel de la ville mais aussi de son économie grandissante. Ainsi, on peut se demander si le réseau de voirie, synonyme d’industrie et de production, forme la ville et est facteur de création d’inégalités au sein du territoire ? C’est dans ces problématiques que l’on peut voir naître les principaux enjeux de la ville, celui de désenclaver les quartiers par exemple. Le territoire d’Anvers a pu évoluer avec l’activité qu’il fabrique, ce qui a pu donner lieu à la création d’espace délaissé ou séparé physiquement du fourmillement dynamique de la ville. Enfin, on peut voir le projet de Secchi et Vigano au sein du parc qui a pour but de connecter les quartiers


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RAPPORT VILLEÉMIGRANTS

GR 8 I JOE MARC HANNOUCH

Le choix de cette photo est relié au thème traité : transition et flux + inégalités Anvers est une des plus grandes villes économiques en Europe et spécifiquement en Belgique, c’est pourquoi elle est le centre d’attraction des émigrants surtout grâce à son port, son marché de diamants et son dynamisme commercial. En outre, d’une part cette image désigne le flux démographique représenté par la gare qui était une des deux grandes portes d’entrée (+ port) durant des siècles à Anvers. De l’autre part, le policier d’origine étrangère dans la photo représente l’intégration des émigrants dans la société d’Anvers ; En fait 25% des aspirants inspecteurs ayant débuté leur formation en 2016 sont d’origine étrangère. Cette augmentation encourage les personnes qui portaient plainte à la police pour tout incident à caractère raciste ou homophobe. Ce projet a assuré une égalité sociale qui était perdue dans les quartiers des pauvres émigrants. Tous ces actions laissent des conséquences à propos de modes de vie des habitants, ce qui influe d’une manière directe et indirecte sur l’architecture de la ville.


LVDP I PRODUCTION LIVE 1

PROLIFÉRATION : LES VEINES DE LA VILLE

GR 8 I MAXENCE VILLAIN

Cette carte montre le réseau du tramway qui traverse la ville d’Anvers. La ville est discrète en fond de plan, à peine lisible, les quartiers sont dessinés et relevés de manière furtive eux aussi, laissant les lignes de tramway se dévoiler. Pourtant très chargée en information, on remarque qu’elle est inscrite dans un schéma étoilé avec un centre très compact qui accueil toutes les lignes et qui les redirigent vers les extrémités. De plus, un zoom est fait sur ce point central, comme une donnée à ne pas manquer, mettant en valeur les zones les plus dynamiques telles que Meir, Diament, Opéra.. Des espaces publics très fréquentés par le tourisme et par les habitants durant la journée. Ce plan nous montre la multitude de voies qui unissent et lient les différents espaces de la ville. Un transport utile et indispensable pour le bon fonctionnement d’Anvers.



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