Bxl lib

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E.R. Johan Basiliades, Rue du Lombard 57, 1000 Bruxelles; Bureau de dĂŠpot Bruxelles X - Trimesteriel - juillet-septembre 2015 P 916659

BXLLIB

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BELGIE(N) - BELGIQUE

Magazine libĂŠral - juillet - septembre 2015

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29/6/2015 nouveau plan de circulation Ville de Bruxelles

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Zone piétonne / voetgangerszone Sens de circulation pour le trafic motorisé

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Zone piétonne / voetgangerszone

Sens de circulation pour le trafic local

Bande bus (seulement accesible pour les bus, taxis et vélos)

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Parkings publics existants

Zone piétonne

à partir de / vanaf 29/06


INFO

Info

BRUXELLES FAIT PLACE AUX PIÉTONS www.circulatieplan.be Les 4 points principaux sont: Bruxelles devient le plus grand piétonnier d’Europe. Avec ses 50 hectares, la nouvelle zone piétonne doublera sa superficie! Le résultat: Bruxelles aura la plus grande zone piétonne d’Europe. De nombreuses rues seront ajoutées à la zone piétonne déjà existante : la Place de la Bourse, le Boulevard Anspach, la rue du Midi et des rues avoisinantes. Le piéton y sera roi. Ceci permettra au centre de Bruxelles d’être plus vivable, attrayant et accessible pour ses riverains et ses visiteurs. L’arrivée du piétonnier entraînera également un changement au niveau du sens de la circulation dans plus de 20 rues au centre-ville. Ce changement est nécessaire pour rendre la zone piétonne accessible et contenir le trafic de transit. Les conditions d’accès pour les entreprises sont uniquement disponibles à l’e-guichet de la Ville de Bruxelles. Les riverains peuvent s’informer à ce même e-guichet ou au guichet du service Casier Judiciaire de la Ville de Bruxelles. Service du Département Démographie – Cellule Casier Judiciaire - Extraits Centre administratif Boulevard Anspach, 6, 1er étage 1000 Bruxelles Tel : 02 279 62 32 ou par mail : info@plandecirculation.be ou via le numéro gratuit : 0800 85 585 (les jours ouvrables de 9h à 12h et de 14h à 16h) Le réseau cyclable bruxellois est élargi de 3km. La Ville élargit son réseau cyclable dans le centre-ville. Les pistes cyclables régionales seront complétées avec des pistes cyclables locales. De cette manière, les cyclistes pourront relier les différents quartiers sans soucis. De nouvelles pistes cyclables dans les deux sens verront le jour dans la rue Dansaert entre la rue Orts et le Vieux Marché aux Grains. La « petite ceinture » sera également complétée avec des pistes cyclables qui seront marquées à la peinture blanche pour pouvoir

être utilisées dès le 29 juin. Le nouveau plan de circulation sera testé pendant 8 mois. Le 29 juin, le nouveau plan de circulation entrera, en concertation avec la Ville de Bruxelles et la Région de Bruxelles-Capitale, en vigueur. Cela fait plus d’un siècle que le cœur de Bruxelles n’a pas connu des changements aussi importants. Il est donc difficile de prévoir - en dépit des nombreuses études – la façon dont les gens s’adapteront à cette nouvelle situation. Une phase test de 8 mois est donc nécessaire. Le nouveau plan de circulation comprend des boucles de circulation entrante et sortante ainsi qu’une « petite ceinture ». Cette ceinture libérera de l’espace pour la circulation locale entre les différents quartiers. La boucle déviera le trafic de transit plus facilement vers des parkings publics et contiendra le trafic de transit entre le haut et le bas (le nord et le sud) de la ville. Des nouveaux itinéraires pour les bus de la STIB. La nouvelle zone piétonne et le nouveau plan de circulation demandent également une modification des itinéraires et des arrêts de certaines lignes de bus de la STIB (lignes 29, 38, 46, 47, 48, 63, 66, 71, 86, 88, 95 et les lignes Noctis). Les lignes de trams et de métros ne seront pas affectées par ces changements. Sur le site web mentionné ci-dessus vous trouverez le plan du centreville avec les nouveaux itinéraires des bus. Mais toutes ces informations sont aussi disponibles sur le site de la STIB. Pour plus d’information concernant tous ces changements le numéro gratuit (0800 – 85 585) est à votre disposition.

Els Ampe

DÉPUTÉE AU PARLEMENT BRUXELLOIS, ÉCHEVINE DE LA VILLE DE BRUXELLES.

OPEN VLD


INFO

Merci,

ANNEMIE NEYTS

Le 4 juin dernier, les libéraux bruxellois ont célébré la Ministre d’Etat et ancienne membre du Parlement européen Annemie Neyts pour la féliciter de son nouveau défi professionnel en tant que secrétaire internationale de l’Open Vld. Voici la représentation d’une soirée très réussie.

© Belga Magazine LIBÉRAL


all1 défend les intérêts des personnes vivant seules

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ménage belge sur 3 se compose, aujourd’hui, d’une personne. Dans de grandes villes comme Bruxelles ou Paris, ce ratio est de 1 sur 2. Mais du point de vue politique ce groupe reste encore invisible. Quelques personnes d’horizons différents se sont réunies pour créer all1: une association belge pour la défense des droits des personnes vivant seules. Dans d’autres pays européens comme les Pays-Bas, la France et la Suisse, il existe depuis longtemps de nombreuses associations qui défendent les droits de ces personnes. L’initiatrice de ce projet, Carla Dejonghe, se réjouit d’avance qu’en Belgique, les personnes vivant seules pourront être représentées et se faire entendre. “all1 a de l’ambition. Notre

premier objectif est de défendre les intérêts de tout citoyen belge qui pour une raison ou une autre, pour une période plus ou moins longue, habite seul. Ce dernier est confronté à de nombreux problèmes tels que la fiscalité, le logement, les droits de succession etc., que les couples ne rencontrent pas. all1 veut lancer un débat politique et social mais aussi favoriser les études scientifiques autour de ce thème. Nous travaillons déjà en collaboration avec la VUB. Le but final est d’arriver à une réglementation neutre qui ne ferait plus de différence entre familles, couples et per-

sonnes vivant seules. Une réglementation qui reflète la société actuelle”, explique Carla Dejonghe. Tout le monde est concerné all1 veut en finir avec le cliché du jeune célibataire endurci qui jouit pleinement de la vie en ville. La réalité est beaucoup plus complexe. Les fondateurs de all1 reflètent la composition diverse de ce groupe croissant de personnes vivant seules: femme et homme, avec ou sans enfants, jeune et moins jeune, célibataire ou avec partenaire. all1 s’adresse à toute personne qui pourrait, un jour ou l’autre, se retrouver seule. Pour plus d’informations: www.all1.be

CARLA DEJONGHE Membre du Parlement bruxellois

Annemie continue à Bruxelles C’est à eux que je dois ma passion politique

ANNEMIE NEYTS

Après avoir été succédée au Parlement européen par Hilde Vautmans, un nouvel épisode dans ma vie a commencé. Un nouveau chapitre, mais pas pour autant moins passionnant. J’ai été

nommé Secrétaire Internationale de mon partie Open Vld. En présence de mes chers amis – les libéraux bruxellois et internationaux – on a fêté ce nouveau défi le 4 juin dernier. C’est à

eux que je dois ma passion politique et grâce au soutien des libéraux bruxellois que j’entame cette nouvelle phase tout en regardant avec confiance vers l’avenir.

Ministre d’Etat OPEN VLD


© Alexander Meeus

Sven Gatz lance le Cabinet Citoyen

« Cela fait longtemps que je me pose la question de savoir comment on pourrait améliorer notre démocratie. Il est vrai que les citoyens d’aujourd’hui sont plus assertifs et sont capables de réagir et de débattre plus rapidement, bref, d’entrer plus vite en discussion avec les hommes et femmes politiques via les forums électroniques ou les médias sociaux. Cependant, il faut toujours attendre les élections avant que l’on puisse s’exprimer. Voilà pourquoi récemment, j’ai lancé une nouvelle initiative : le Cabinet Citoyen. » LIBERALE Nieuwsbrief


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e Cabinet Citoyen est une initiative destinée à rapprocher le citoyen de ma politique. En effet, je veux être à l’écoute d’idées et de suggestions proposées par les citoyens afin de les traduire en actions politiques concrètes. Plus particulièrement, j’inviterai un panel de citoyens afin de discuter d’un thème concret, d’y remédier pour enfin créer une déclaration finale avec des recommandations. De cette façon, le Cabinet Citoyen impliquera davantage les citoyens à la politique. Ces dernières années, on a vu plusieurs expérimentations au niveau de la démocratie participative et délibérative. Pensons notamment aux modifications constitutionnelles en Islande et en Irlande, ou encore la manière dont les Pays-Bas gèrent la participation active des citoyens. A Utrecht par exemple, les habitants peuvent participer à la gestion du budget de leur quartier par le biais des conseils participatifs dans les différentes parties de la ville. En Flandre, nous avons aussi des initiatives locales, comme à Anvers où les citoyens peuvent décider de l’allocation d’un million d’euros du budget total via « le budget des citoyens ». Ou encore le projet K-35 à Courtrai où les jeunes peuvent placer des thèmes en haut de l’agenda politique. Je souhaite donc considérer comment nous pouvons impliquer davantage les citoyens à ma politique culturelle. Car je suis convaincu que la participation des citoyens rapproche la rue de l’Eglise avec la rue de la Loi. Via le Cabinet Citoyen, je stimule donc la réflexion sur la culture. Je veux investiguer sur comment les citoyens vivent la culture : pourquoi participent-ils à certaines activités culturelles et pas à d’autres? Comment réduire le seuil de participation culturelle ? Comment les institutions culturelles peuvent-elles mieux répondre aux besoins des citoyens? Comment rapprocher la culture et les personnes au lieu de rapprocher les citoyens à la culture ? L’accord de gouvernement et ma note d’orientation politique constituent la base et sont le fil rouge pour tous ceux qui

veulent savoir comment ma politique culturelle prendra forme les prochaines années. Le Cabinet Citoyen y ajoute une dimension supplémentaire. Il m’offre l’occasion d’être à l’écoute du citoyen ET il offre au secteur culturel l’opportunité d’être ouvert aux opinions, souhaits ou critiques des « utilisateurs culturels». Voilà comment un échange d’idées entre un ministre, la société civile et les citoyens peut aboutir à une vision largement soutenue. Le premier Cabinet débutera en septembre. Après une enquête électronique, nous demanderons à un panel de quelques 150 participants de proposer des idées communes et plusieurs suggestions sur cette participation culturelle. Tout le monde peut introduire sa candidature pour le Cabinet. Ce n’est pas mon intention d’attirer ceux qui font déjà partie de la société civile culturelle ou sont déjà actifs dans le secteur culturel. Le but est plutôt de constituer un groupe d’individus qui constitue un échantillon représentatif de la population flamande et bruxelloise quant aux revenus, à l’éducation, à l’âge, au métier, au genre, au domicile et à la diversité. Il se pourrait qu’on aboutisse parfois à des propositions irréalistes ou à des propositions qui ne soient pas conformes à l’accord de gouvernement. Le cas échéant, il m’appartient d’estimer ce qui est réalisable. Je rendrai tous les résultats de ce Cabinet publics et j’en discuterai tant avec le secteur qu’au Parlement. Vous le comprenez, je cherche à enrichir ma gouvernance culturelle tout en m’appuyant sur des nouvelles propositions. Si le Cabinet Citoyen s’avère utile, je mettrai tout en œuvre pour que cette forme de démocratie participative soit continuée, mais avec une autre composition et en se penchant sur d’autres thèmes. J’espère que beaucoup de citoyens saisiront cette opportunité pour avoir un impact sur la gouvernance. Plus d’information et inscriptions : www.burgerkabinet.be

SVEN GATZ Ministre flamand de la Culture, des Medias, de la Jeunesse et de Bruxelles.

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HOT SPOT

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ELS AMPE

Membre du Parlement bruxellois

Le jardin secret de René LE MARAIS

JETTE-GANSHOREN

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’un des secrets bruxellois les mieux gardés est le marais de Jette-Ganshoren, mieux connu sous le nom « Vallée de Molenbeek ». Une oasis de tranquillité que je partage avec plaisir avec vous. Car inconnu est mal aimé.

Ce Marais de Ganshoren constitue le décor de ma jeunesse. Il se situe entre l’Avenue de l’Exposition Universelle, entre le chemin de fer Termonde-Bruxelles et l’Avenue des Quatre-Vingts Hêtres, donnant sur le château de Villegas (d’après l’ancien bourgmestre de Ganshoren). On ne sait guère se l’imaginer, mais jusque dans les années 1960, le château était complètement entouré de champs. Bref, une aire de jeux idéale pour les enfants. Je me souviens qu’en tant que ‘ketje’ de 10 ans je traversais les champs à vélo et à trottinette. On y jouait à cache-cache et y campait dans des petites tentes. Comme adolescent, j’y trouvais un endroit d’étude tran-

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quille ou bien – dans un moment romantique – je dessinais un petit cœur avec le nom de mon amour de jeunesse dans un hêtre. Aujourd’hui, le marais m’offre un endroit idéal pour me promener en profitant de la nature et pour m’y reposer. Le marais est un endroit riche en eau avec des étangs ouverts, des roseaux et une grande diversité botanique. On y trouve non seulement des chauve-souris, des grenouilles et des couleuvres à collier (inoffensives pour l’homme), mais c’est aussi un paradis pour l’ornithologue. On y retrouve souvent le héron cendré, la poule d’eau et le pic vert. Pour être tout à fait complet, j’y ajoute que le Marais de Jette-Ganshoren – grâce à sa faune et sa flore exceptionnelles – fait partie de la zone naturelle protégée Nature 2000.

RENE COPPENS Membre du Parlement bruxellois

” Le Centre reste accessible, mais d’une autre manière ”

Le 29 juin, la zone piétonne au centre-ville de Bruxelles sera élargie de 35 à 50 ha. Cela influence évidemment l’accessibilité du centre de la capitale. Pour ceux qui se déplacent en voiture ou en bus, il y aura pas mal de changements. Le centre reste accessible, mais d’une manière complètement différente. Je vous conseille de consulter le site web www.plandecirculation.be pour voir quelles rues feront partie de la zone piétonne ou deviendront à sens unique. Nous avons opté pour des rues à sens unique afin de faciliter le trafic qui doit passer via les carrefours les plus importants et afin d’éviter la circulation transit. Nous avons fait ces choix en nous basant sur des études exhaustives que vous pouvez également consulter sur ce même site. L’impact des modifications de mobilité a été analysé en profondeur, y compris l’impact sur la petite ceinture. Etant donné que la pratique risque de différer de la réalité, le nouveau plan de circulation sera d’abord testé pendant huit mois avant qu’il ne devienne définitif. Le Bruxellois peut également s’attendre à plus de pistes cyclables, avec 3000m de pistes supplémentaires à l’intérieur du Pentagone. De nouveaux parkings publics sont attendus, on y revient plus tard. Les emplacements parking pour les personnes à mobilité reduite et les taxis se trouvant dans la future zone piétonne seront situés le plus près possible de cette zone. Il va de soi que les services de secours et les fournisseurs continuent à avoir accès à la zone piétonne, et que les parkings restent accessibles. Plus d’informations : info@plandecirculation.be ou 0800/85.585 (jours ouvrables de 9h à 12h et de 14h à 16h)


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Dans chaque édition, nous mettons en avant un Bruxellois ‘libéral’, sous la devise « Bruxelles est plus bleue que vous ne le pensez ». A l’occasion de la ‘Gay Pride’, la députée flamande Ann Brusseel va encore plus loin en mettant en avant toute une « communauté ».

P

arfois, je lis de drôles de nouvelles dans le journal. Je suis tombée récemment sur un article du journal flamand Het Laatste Nieuws qui mentionnait une femme qui se prenait pour « l’ambassadrice de Dieu» et qui a porté plainte contre tous les homosexuels dans le monde. Elle estimait que les homosexuels brisaient non seulement les lois religieuses, mais aussi les lois « morales». Il est grand temps de faire quelque chose. Malheureusement, il ne s’agit pas d’une blague, bien au contraire. L’étude ‘Out in the fields’, menée auprès de plusieurs milliers de sportifs en Australie, au Royaume-Uni, au Canada, en Nouvelle-Zélande et en Irlande, a révélé qu’au sein de beaucoup de branches sportives, l’homosexualité est toujours perçue de manière négative. Pas moins de la moitié des individus interrogés estime que les LGBT ne sont pas acceptés dans les milieux sportifs. Plus d’un quart des sportifs LGBT dit déjà avoir été victime d’harcèlement et même de menaces pendant leurs activités sportives. En général, dans le « monde occidental », la lutte pour la tolérance des LGBT est très forte. Il suffit de regarder toutes les études et les plans d’action. Dans les écoles, dans les clubs sportifs, au théâtre et au cinéma le thème est très présent… et à juste titre! Tous les ans, à Bruxelles, beaucoup de gens assistent à la Belgian Pride, la parade multicolore qui veut mettre l’accent sur la diversité sexuelle. Ce jour, la capitale est plongée dans une ambiance particulièrement festive. Je crois donc que nous pouvons être fiers de note législation belge. Ce n’est pas par hasard que quasiment tous les partis politiques

assistent à cette parade et s’engagent à poser des questions parlementaires formulées par les associations LGBT. Ils mettent le thème en haut de la liste des priorités. Comme nous avons déjà fait des pas de géant à ce niveau, nous sommes indignés face à l’attitude envers les homosexuels en Iran ou dans certains pays africains. Cependant, en Belgique aussi, l’homophobie et l’intolérance font toujours des victimes. Il n’est pas toujours évident de se révéler en tant qu’homosexuel. Tous ceux et celles qui sont éduqués au sein d’une famille où la religion ou la tradition – peu importe de quelle nature – occupe une place importante, éprouvent encore beaucoup de difficultés pour vivre leur sexualité. A Bruxelles – ville diversifiée – il s’agit de beaucoup de jeunes. Nous y connaissons l’ASBL Merhaba, qui lutte pour l’intégration sociale des LGBT issus et auprès de minorités ethnico-culturelles. Ouvrir la discussion, tout en parlant avec des jeunes et leurs parents, afin de briser le tabou, voilà le but principal de cette ASBL. Pour tous ces jeunes qui sont confrontés des barrières et qui ont des difficultés à s’exprimer, je participe tous les ans à la Pride bruxelloise. C’est pour eux que je travaille toute l’année au Parlement flamand et que j’essaie de soutenir des initiatives politiques indispensables qui ont pour but de rendre nos écoles, nos clubs sportifs et nos mouvements de jeunesse plus tolérants. C’est pour eux je noue régulièrement mes lacets « arc-en-ciel » dans mes baskets.

ANN BRUSSEEL Membre du Parlement flamand

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STEFAN CORNELIS Membre du Parlement bruxellois

PERSPECTIVE

BRUXELLES LA COSMOPOLITE Je préfère voir notre futur dans le regard de nos enfants. Bruxelles doit être une ville qui rayonne de confiance grâce à la créativité et le mélange varié de ses habitants. Des habitants vivant ensemble en harmonie dans leur ville qu’ils chérissent. Ces habitants bénéficiant des meilleures formations, ayant des parents bienveillants et présents, des systèmes de crèches flexibles et attentionnées et des enseignants qui inspirent pour finir chez des professeurs créatifs ou l’inverse bien sûr… Des cercles d’amis, les scouts ou d’autres mouvements de jeunesse, des clubs de sport, académies, groupes de théâtre, Willemsfonds ou autres mouvements socioculturels doivent également contribuer à une compréhension mutuelle afin de parachever une véritable ville cosmopolite. Car Bruxelles sera cosmopolite ou ne sera pas. C’est pour cela qu’il est nécessaire d’établir de bonnes règles, également avec les nouveaux-venus. La réalisation de notre résolution concernant un code de conduite urbain est déjà un pas dans la bonne direction. Cette résolution offre une réponse parlementaire contrant l’extrémisme, la violence gratuite et la discrimination.

LIBERALE Nieuwsbrief

Car celle-ci détermine les codes de conduites souhaitables de chaque Bruxellois. Elle décrit également la société qui nous lie : une société démocratique où la liberté d’expression, la sécularité de l’Etat et l’égalité entre hommes et femmes doivent être respectés. Une société où la discrimination et l’exclusion n’existent plus et ou la tolérance règne. Nous défendons tout naturellement la pensée progressiste et souhaitons la transmettre à la prochaine génération. Le progrès technologique doit être soutenu. Nous ne croyons pas au destin de la finitude des choses, mais bien dans le changement, l’évolution et le progrès. Et qui sait, cela nous donnera l’espoir de fournir les bases d’une ville mondiale avec beaucoup de lieux boisés (l’extension du bois de la Cambre jusqu’au Palais de Justice), une mobilité efficace (un réseau de métro, train et vélo totalement opérationnel), des centres commerciaux sans voitures, des centres culturels de renommée mondiale et surtout : des bars et des restos où la jouissance et le zwans bruxellois sont de mèche. C’est ainsi que la prochaine génération vivra une vie heureuse que beaucoup d’entre nous connaissons déjà.


CRÉER « Un meilleur système de garderies »

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l y a peu, la note d’orientation politique générale au sein de la Commission Santé de la Vlaamse Gemeenschapscommissie (VGC) a été adoptée. La Cheffe de groupe Open Vld Khadija Zamouri y a plaidé pour un thème qui intéresse tous les bruxellois : il faut non seulement avoir une attention accrue pour l’accueil subventionné d’enfants, mais aussi pour un accueil plus flexible, privé et abordable. Il est vrai qu’actuellement, beaucoup de jeunes parents ont des horaires de travail flexibles qui ne correspondent pas aux services que les crèches peuvent offrir. Notre société requiert pas mal de flexibilité de ses employés. En tant que gouvernement, nous devons oser faire face à ce problème et y répondre. De nombreux parents vivant seuls ont besoin de crèches flexibles et chaque initiative qui y contribue, merite notre soutien. Car un accueil flexible d’enfants garantit que les parents peuvent aller travailler et gagner leur vie.

KHADIJA ZAMOURI

du talent

Guy Vanhengel a finalisé sa note d’orientation de politique générale, intitulée « Bouwen met Talent », tout en stipulant les modalités pour l’enseignement néerlandophone à Bruxelles. Le titre de la note porte sur le talent que l’on retrouve dans les institutions de l’enseignement néerlandophone à Bruxelles. Ou encore, ces 8.400 enseignants et directions, et plus de 43.000 élèves et jeunes qui s’engagent tous les jours avec de la passion, de l’enthousiasme et de la créativité pour former nos futurs talents. Et il est vrai que les défis sont énormes, car dans l’enseignement néerlandophone, la demande reste plus grande que l’offre. Voilà pourquoi nous continuons à investir dans la création de 3.000 places supplémentaires pour 2019 dans l’enseignement de base et de de construire deux nouveaux campus pour l’enseignement secondaire, tout en donnant les priorité à l’enseignement technique. Plus d’informations : www.raadvgc.be

GUY VANHENGEL

Membre du Parlement bruxellois

Ministre du Budget et des Relations extérieures

L’analphabétisme demeure une faille

L

e nombre de personnes suivant des cours d’alphabétisation en néerlandais est en forte croissance (30% en plus de 4 ans). Il faut néanmoins se poser la question de voir si cela se traduit dans une réduction de l’analphabétisme. Lionel Bajart a posé cette question à Madame Crevits, la ministre flamande de l’Enseignement. Sa réponse porte à réflexion. Il n’y a toujours pas de chiffres sur l’analphabétisme à Bruxelles. « Cela rend toute politique, concernant la problématique, impossible. Alors qu’il est connu de tous que ‘lire et écrire’ est une des conditions sine qua non de l’intégration.

Cela est également essentiel dans la lutte contre la pauvreté à Bruxelles ». En Flandre, cette recherche existe et cela a pour conséquence que la politique peut être accordée en fonction des besoins. « Nous remarquons également que la préférence est souvent celle de suivre des cours de français. Le succès de l’enseignement néerlandophone à Bruxelles prouve qu’une autre voix est possible. »

LIONEL BAJART Membre du Parlement flamand OPEN VLD


Cours de NEERLANDAIS

Ecole

ECOLE WILLEMSFONDS les mardis soirs de 19 à 21 heures pour les dames les samedis soirs de 20 à 22 heures pour les messieurs

Monsieur Nobus: une association culturelle qui propose des cours du soir, n’est-ce pas étrange? NOBUS: Effectivement, le public nous associe en premier lieu à une association socio-culturelle dont le nom a été choisi en hommage de Jan Frans Willems. Le Willemsfonds souscrit à des valeurs humanistes et libérales et a été créé le 23 février 1851 à Gand pour la défense du néerlandais. Cela passait par le soutien au Vlaamse Leeuw, l’hymne flamand, l’organisation des concours linguistiques et la publication de livres néerlandophones à un prix abordable. De plus, il créa aussi plusieurs bibliothèques néerlandophones. Aujourd’hui, le Willemsfonds est un lieu de rencontre où les gens peuvent profiter de la culture au sens le plus large, et ce dans 90 branches réparties en Flandre et à Bruxelles. Ainsi, nous avons récemment organisé le très populaire « Brussel achter de schermen » : une série de visites où nous partions à la recherche des endroits connus et moins connus de Bruxelles. Les visiteurs ont eu le privilège de jeter un regard dans les coulisses du Palais de justice, la VRT, Audi Bruxelles, le marché matinal bruxellois MABRU, … Mais à côté de ce volet socio-culturel, nous proposons également des cours de néerlandais en cours du soir. Cela ne vous paraît pas étrange ? NOBUS : Les origines de nos « Cours de néerlandais » remontent à 1880. Cette année-là, le Willemsfonds de Bruxelles décida d’organiser des cours de néerlandais. Des annonces parurent dans divers journaux. Les retombées furent immédiates avec 140 inscrits! Les cours avaient lieu dans les locaux de l’Ecole communale n° 10 de la Rue de Rollebeek. La popularité de ces cours n’a cessé de croître jusqu’à

« Les origines de nos Cours de néerlandais remontent à 1880. » aujourd’hui. L’école fut officiellement reconnue par le “Ministère de l’éducation publique” en 1937. De nos jours, nous dispensons des cours pour environ 1000 élèves enthousiastes par an. Ce succès est dû à plusieurs facteurs dont la qualité de nos cours et notre approche didactique ainsi que la nécessité toujours croissante de connaître les deux langues nationales pour pouvoir trouver un emploi. C’est aussi le premier pas vers l’intégration. À quoi peuvent s’attendre les gens? Les cours s’adressent: aux personnes qui n’ont encore aucune connaissance du néerlandais (= débutants); à ceux qui ont déjà un certain niveau et qui veulent progresser et aux personnes de niveau « approfondi » qui désirent perfectionner et entretenir leur néerlandais. Les participants sont donc répartis dans plusieurs groupes d’élèves d’après leur connaissance (10 niveaux différents au total). Plusieures formules s’offrent à vous. Le bâtiment où ont lieu les cours, le « ZUIDPALEIS », appartient à la Ville de Bruxelles. Les élèves ont le choix d’assister aux cours le dimanche matin ou le lundi, mardi, mercredi ou jeudi en soirée. Les cours de néerlandais se concentrent en particulier sur l’aspect oral de la langue grâce à des exposés, des conversations et de nombreux exercices ciblés.

COURS NORMAL 1 FOIS PAR SEMAINE

Ces cours se donnent 1 fois 3 heures par semaine de septembre à juin. Niveaux « débutant » et « moyen » (du niveau 1 au 6) Niveau « approfondi » (du 7 au 10) Le dimanche de 9h20 à 12h00 En semaine en soirée de 18h10 à 20h50

COURS ACCELERES 2 FOIS PAR SEMAINE

Ces cours accélérés s’adressent aux débutants, ainsi qu’aux niveaux 2, 3 et 4 (+ niv.5 en février). En soirée 2 fois 3 heures par semaine d’octobre à janvier Horaire : de 18h10 à 21h25 d’octobre à décembre et de 18h10 à 20h50 en janvier En soirée 2 fois 3 heures par semaine de février à juin Horaire : de 18h10 à 20h50 de février à juin

CONTACT Tél : 02/513.47.55 ( DIM de 9h à 12h30 / LU, MA, ME et JE de 18h à 21h30 / LU, MA et VE de 9h30 à 12h ) Fax : 02/513.12.82 Courriel : willemsfondscours@skynet.be Directeur : M. Santiago Nobus


EUROPE

« Âllo le monde… ici Bruxelles ! » Avec pas moins de 190.000 expats, Bruxelles est incontestablement l’une des villes européennes les plus internationales.

Ils ne travaillent pas seulement au sein des institutions européennes, mais aussi pour d’autres institutions internationales, ambassades, représentations, entreprises et ONG présentes au sein de notre capitale.

Ver. Uitg.: Carla Dejonghe, Stuyvenberg 17, 1150 Sint-Pieters-Woluwe- Editite JULI - SEPT. 2015 - P908028

EUROPA

BLAUW

PB- PP

BELGIE(N) - BELGIQUE

Tussen Woluwe- en Maalbeek Liberale Nieuwsbrief OPEN VLD juli - sept.

Après Washington DC, Bruxelles est la deuxième ville diplomatique dans le monde et constitue une véritable « mégapole journalistique » avec le plus de journalistes accrédités dans le monde! La capitale européenne est donc une ville cosmopolite.

REPORTAGE

La communauté d’expats constitue incontestablement un atout pour Bruxelles. La diversité bruxelloise transforme la ville en un melting pot culturel; une capitale dynamique où les échanges interculturels enrichissent la façon dont les ‘Brusseleirs’ vivent leur ville et grâce auxquels de multiples idées se rencontrent. Mais comment cette communauté internationale vit-elle à Bruxelles? Constitue-t-elle une soi-disante STRAP TAG « bulle » en soi ou serait-elle mieux intégrée à Bruxelles que l’on ne pense? Nous avons mené l’enquête et avons parlé à deux familles qui vivent déjà depuis un certain temps à Bruxelles. Des témoignages surprenants et « pris sur le vif » !

FOTO: Eddy & Torsten aan het Fallonstadion. De voormalige thuishaven van voetbalclubs zoals Racing White en White Star Woluwe is Eddy’s favoriete plek in de gemeente. Eddy Hartog (Nederland) vestigde zich in 1989 in Brussel voor een job aan de Europese Commissie. Hij woont sinds 2001 in Sint-Lambrechts-Woluwe samen met zijn Ierse echtgenote Carolyn en hun twee dochters. Torsten Brand (Duitsland) kwam in 2005 voor de liefde en uit interesse voor de Europese politiek naar de hoofdstad. Hij stichtte er een gezin met zijn Belgische echtgenote.

ORIGIN : AIRBRUSSELEIR

LUGGAGE

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EUROPE

FAMILLE REITER Sandra et Thomas Philipp Reiter (Allemagne) résident, avec leur fils, depuis 2012 à Auderghem. Sandra travaille en tant que collaboratrice indépendante pour une entreprise sud-africaine de cosmétiques et Thomas travaille en tant que lobbyiste.

‘Le foot unit toujours, également les eurocrates et les Belges’

Magazine LIBÉRAL

Aimez-vous habiter à Bruxelles ? Sandra : En comparaison avec Berlin, la vie à Bruxelles est plus décontractée. La ville est également mieux adaptée aux enfants. D’un autre côté, je ne m’habitue que très difficilement aux files d’attentes aux caisses des magasins, les ordures en rue et les bus qui ne respectent pas les horaires. A Auderghem, nous allons souvent au centre culturel Rouge-Cloître. Cette année nous avons même participé à un concours de sapins créatifs! Thomas : Auderghem est le mélange idéal entre le vieux est le nouveau Bruxelles, entre y vivre et y travailler, entre un environnement urbain et un environnement verdoyant. Je me trouve à proximité de tout mais également à une assez grande distance du tumulte du centre-ville. Je participe souvent aux activités du centre communal Den Dam et j’accompagne mon fils à la bibliothèque. Mon endroit favori à Auderghem est, sans aucun doute, la ruelle charmante dans le quartier de Sainte-Anne où nous vivons. On se croirait en Toscane.

Les expatriés ont souvent la réputation de vivre dans leur bulle, sur une « île européenne ». Sandra : Au travers de l’école, j’ai appris à connaître des Belges dans le voisinage, mais il est vrai qu’ils restent souvent que des connaissances. De même, je connais beaucoup de gens dans la même situation qui ont des difficultés à nouer des amitiés avec des Belges. Thomas : Pour ma part, j’ai quelques amis belges. J’ai créé un fan club international des Diables Rouges, reconnu par l’Union Royal Belge de Football. Le club compte beaucoup de membres expatriés. Et le RSC Anderlecht a toujours été mon club belge préféré. Le football unit toujours et cela vaut également pour les eurocrates et les Belges. Quels sont les points où les Belges diffèrent le plus des Allemands ? Sandra : Les Belges attachent plus d’importance à une bonne qualité de vie. Et les plaisirs de la table y jouent un rôle capital. Les Allemands préfèrent les belles voitures et les grandes maisons. Sur ce point, je me sens sans aucun doute plus proche des Belges que des Allemands. En Allemagne, cependant, le soutien pour les jeunes mères est plus développé. Elles peuvent prendre le temps pour trouver leur place en tant que mères. Les mères belges confient leurs enfants, après la naissance, plus vite à la garderie. Je suppose que des raisons financières jouent un rôle important dans la décision de reprendre le travail si vite. C’est dommage. Thomas : Je connais les deux pays très bien et je m’étonne toujours à quel point les Allemands ne connaissent pas les Belges, et vice versa. Je trouve cela très dommage en sachant que l’allemand est une langue officielle en Belgique. Qui se souvient de nos jours encore qu’il existe un accord de coopération entre la Ville de Bruxelles et Berlin ?


PAOLA OTTONELLO SIMON LITTON

EUROPE

Paola Ottonello (Italie) et Simon Litton (Royaume-Uni) travaillent tous les deux à la Commission européenne. Ils se sont installés à Stockel et y résident depuis 2003 avec leurs trois enfants.

‘Ce qui nous aide à nous sentir membres à part entière de la communauté est l’annuelle Fête des Voisins’

Avant de venir en Belgique, vous habitiez dans la ville italienne de Gênes. La vie à Bruxelles vous plaît ? Simon: Nous aimons Bruxelles, sa culture typiquement bruxelloise et son ambiance multiculturelle et cosmopolite. Pour une capitale, c’est une ville très compacte et gérable, avec d’innombrables délicieux restaurants et espaces verts. Paola: C’est l’endroit idéal pour élever ses enfants. A Stockel, on a l’impression d’être dans une petite bourgade où il règne une atmosphère très agréable. La proximité d’une station de métro est un grand avantage pour éviter les embouteillages en allant au travail. A quel point vous sentez-vous intégrés, en tant qu’expatriés, à Bruxelles ? Paola: Je suis persuadée que beaucoup d’expatriés se tournent surtout vers la communauté des expatriés à Bruxelles. Cela peut être très intimidant de déménager vers un pays étranger et cette grande communauté est bien organisée et fait fonction de filet de sécurité. Nous essayons aussi de nous détacher de ce milieu en entretenant des relations avec quelques amis belges. Ce qui nous aide aussi à nous sentir membres de la communauté est la Fête des Voisins annuelle, et la participation à son organisation dans notre rue. Nos enfants sont pour leur part inscrit dans le mouvement des scouts local. Suivez-vous les actualités politiques locales ? Simon: Nous regardons régulièrement la télévision locale pour rester informé des dernières nouvelles, même si ce n’est pas toujours aussi évident de tout comprendre. Quand les élections locales et européennes ont lieu, nous exerçons aussi notre droit de vote. Qu’est-ce qui rend la Belgique tellement différente de votre pays d’origine ? Simon: Je crois que la plus grande différence est le problème linguistique. Tant le fait qu’en Belgique il existe 2 communautés linguistiques que le fait que la plupart des habitants - et surtout à Bruxelles - parlent plusieurs langues. Les Belges que je connais sont aussi plus décontractés et plus avenants que la plupart des Anglais. Ils sont plus facilement enclins à s’adapter et à chercher le compromis. Ils se prennent aussi moins au sérieux que les Anglais ou les Italiens.

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SAVE THE DATE TECHNOPOLITICS: MARDI, 8 SEPTEMBRE 2015MORE INFO 15/09 BRUXELLES COMING SOON TELECOM

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La technologie avance rapidement, mais la politique ne suit pas toujours. Voilà pourquoi Els Ampe, membre du Parlement bruxellois, a créé Technopolitics, un forum qui vise à améliorer la législation à tous les échelons administratifs >15-9-2015< et parmi tous les partis. Cette fois, le thème central sera la télécommunication et la 5G. Nous accueillons entre autres DominiqueBRUSSELS Leroy, administratrice déléguée de Proximus et le Vice Premier Ministre Alexander De Croo. De plus amples THE SECOND EDITION informations suivront sur www.technopolitics.eu

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BŒUF A LA BROCHE: SAMEDI, 3 OCTOBRE 2015 À PARTIR DE 17H30 EVERE – SALLE OMNISPORT, 300, AVENUE DES ANCIENS COMBATTANTS – 1140 EVERE Qui ne veut pas participer au fameux « Bœuf à la broche » du Ministre Guy Vanhengel ? Ne ratez pas cette soirée, organisée par les libéraux d’ Evere et dégustez un délicieux bout de viande mariné accompagné d’excellents vins! JETTE - KOEKELBERG - GANSHOREN


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