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Le climat dans les médias est bien souvent anxiogène...
Nous chez Wawa Magazine, nous ne vous parlerons que de choses positives ! De rencontres avec de belles personnes, de bonnes ondes, des portraits de personnalités qui vivent près de chez vous et qui s’engagent à vous offrir le meilleur de leur domaine.
Dans ce numéro, vous trouverez toute une variété de services... Informez-vous via nos articles, contactez-les, et faites nous part de vos expériences...
Également nous collaborons avec «Lanterna Magica» dans ce numéro un peu spécial. Rendez-vous donc sur notre site web pour remporter des places ! Bonne lecture et à votre disposition pour parler de vous !
SOMMAIRE Les RIRES PARTAGÉS dePE
Wawa Magazine
Editeur responsable Jean-François de Lavareille Rédaction Jean-François de Lavareille Anne Desemberg Virginie Stassen
Photographe Jean-François de Lavareille Infographie dbStudio.be
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WAVRE
LesRIRES PARTAGÉS de PE
Pierre-Emmanuel, mieux connu du public sous le nom de PE, a fait de l’humour son métier. Avec son dernier spectacle « PE raconte des histoires drôles », il a démarré une tournée marathon qui l’emmène en Belgique, au Luxembourg, en France et en Suisse. Il offre au public un florilège de ses meilleures anecdotes de vie. Tout est vrai… en tout cas dans ses souvenirs.
Si je vous demande de revenir sur un moment de votre parcours, lequel choisiriez-vous ?
Mon premier contact avec la scène a eu lieu en 2005 alors que je suivais des cours de théâtre. Mes professeurs m’ont conseillé de faire de l’humour. Je ne pense pas que c’était un compliment mais je dois reconnaître que je n’avais pas la maturité à l’époque pour véhiculer les bonnes émotions. Ce que je ne savais pas alors, c’est que faire rire n’est vraiment pas plus facile que de faire pleurer.
Comment vit-on de l’humour ?
Pour pouvoir en vivre, on a la chance aujourd’hui d’avoir en France tout un parcours de cafés théâtres qui nous assurent une énorme tournée. Après, il ne faut pas négliger la médiatisation qui nous ouvre la porte des plus grandes salles. Même si les cartes ont été redistribuées avec les réseaux sociaux, les medias traditionnels demeurent une caution.
Quelle est votre définition de l’humour?
C’est un moyen de communication extraordinaire avec lequel on peut devenir taquin au risque de se perdre en allant trop loin. Mais, si on se plante, on ne peut jamais se réfugier derrière l’excuse que c’était de l’humour.
Le but est de faire rire sa cible et de lui permettre de passer un bon moment.
Durant le confinement vous avez produit de nombreuses capsules. Cette période vous a donc été bénéfique ?
On peut dire que, grâce au confinement et aux réseaux sociaux, j’ai pu remplir de grandes salles. En janvier 2020, je jouais dans une cave à Namur devant 50 personnes. Près de 3 ans plus tard, je joue au Forum de Liège devant 1 500 personnes. Je n’en reviens toujours pas, mais je sais qu’il est important de connaître la capacité de public qu’on peut attirer pour ne pas se faire d’illusions.
Vous goutez depuis un an aux joies de la parentalité. Comment avez-vous endossé ce nouveau rôle ?
Il m’a permis d’ajouter une histoire drôle à mon spectacle avec la visite chez le gynécologue. Je raconte cette expérience avec mon ressenti et beaucoup d’empathie. Je n’avais pas conscience des peurs et des frustrations que pouvait générer ce genre de visite. Quant à mon nouveau rôle de père, contre toute attente, j’adore ça. Je me marre beaucoup malgré le stress
PE
que ça peut parfois entraîner comme le fait qu’avec l’entrée en crèche, « ma croquette » se transforme en nid à microbes.
Vous présentez une chronique radio sur Tipik. Est-ce fort différent de l’écriture d’un spectacle et l’un peut-il nourrir l’autre ?
Oui, tout à fait. L’expérience de la chronique m’impose une remise à zéro hebdomadaire avec, à chaque fois, un nouveau texte qui doit être drôle et percutant. Ce n’est pas grave si parfois c’est nul ça fait partie du jeu (lol). Tout ça m’oblige à me renouveler et à être plus efficace dans la manière dont je raconte mes histoires.
Par contre, je ne viens jamais avec des sujets politiques sur scène. Je n’ai aucun problème à assumer la mauvaise foi que je pratique souvent avec les hommes politiques mais
je reconnais que je n’ai aucune solution à apporter. Je suis juste là pour grossir les traits. Sur scène, je préfère parler de mon vécu, de ma réalité.
Votre tournée vous emmène à travers la Belgique, mais aussi en France et en Suisse. Votre spectacle
s’adapte-t-il un peu en fonction du pays traversé ?
Non, pas vraiment. C’est vrai que je me suis demandé si mes histoires pouvaient passer les frontières. Lorsque j’ai joué mon spectacle en 2020 en Bretagne, j’ai testé chaque soir de nouveaux propos et ça a fonctionné. Après, en Suisse, j’ai rencontré le même succès. Mon ultime test sera le Québec. Ce n’est pas encore programmé, mais j’attends ça avec impatience.
DesembergMarie-Eve Gremmens Sexologue RÉPOND à vos QUESTIONS !
Envoyez nous vos demandes à info@wawamagazine.com et pour les questions choisies Marie-Eve vous répondra personnellement et nous publierons votre question et sa réponse sur notre site web !
Artàtable, le service et la qualité avant tout
Muni d’une bonne dose d’expérience dans la vente, Jean-Marc Van den Bosch a ouvert en 2007 à Wavre un magasin dédié à la cuisine et à l’art de la table. Depuis, il n’a eu de cesse de se renouveler pour s’adapter au marché et rester concurrentiel.
Itinéraire d’un passionné
En 1996, il s’associe pour développer à Bruxelles des commerces qui proposent des marques à bas prix. Le concept fonctionne bien et grandit petit à petit au point de déboucher sur l’ouverture de plusieurs magasins.
« À partir d’un moment, j’ai eu envie de me lancer dans une aventure en solo. J’habitais alors à Limal et j’ai cherché à me rapprocher de mon domicile pour pouvoir concilier vie professionnelle et vie de famille. »
C’est le domaine de l’art de la table qui le motivait le plus et pour lequel il avait envie de proposer des articles originaux. Une étude de marché réalisée et Jean-Marc finit par trouver un local à Wavre.
« Il s’agissait d’un local original de 80 m² dans le centre de Wavre, tout en longueur mais à côté d’un vaste parking et situé quasi à la sortie de l’autoroute. Je l’ai loué pendant 9 ans avant d’en devenir le propriétaire. »
Les débuts se font avec un budget limité, ce qui contraint Jean-Marc à se tourner en partie vers des marques moins connues offrant des articles de qualité, attirants et lumineux avec un excellent rapport qualité-prix.
Evolution et adaptation
Ce souci de la recherche du meilleur rapportqualité prix a poussé Jean-Marc à découvrir et à proposer des marques atypiques comme « Spring », spécialiste suisse des casseroles, poêles, woks et fondues, « Lava » et sa
fabrication de casseroles en fonte ou encore « Robert Welch » et ses couverts et couteaux de cuisine modernes et très qualitatifs.
Des noms qui sont devenus des alternatives essentielles pour le magasin même si aujourd’hui, il travaille également avec des marques plus connues, parmi lesquelles : Guy Degrenne, Villeroy & Bosch et Thomas Rosenthal pour la porcelaine, Eternum, Mepra, Bugatti et Guzzini pour les couverts, Schott Zwiesel, Chef et Sommelier, Riedel pour les verres ou encore les inimitables moulins Peugeot.
« Pour la petite histoire, quand j’ai commencé à suivre la gamme Peugeot, j’ai proposé comme service, l’entretien des vieux moulins à poivre et des vieux moulins à café. Une idée qui a rapidement plu à la clientèle du magasin. »
Ce large choix de marques et le service proposé chez Artàtable permet de satisfaire
une majorité de clients à la recherche d’un produit original ou d’une qualité supérieure à la grande surface, quel que soit le budget.
« J’apprécie particulièrement de faire découvrir à nos clients la poterie culinaire d’Emile Henry, issue du terroir en Bourgogne. C’est un produit de tradition qui donne un excellent résultat de cuisson. Mais quel que soit la demande ou le produit recherché par le client, je mets toujours un point d’honneur à prodiguer le meilleur conseil qui soit ».
Une équipequi s’agrandit
Artàtable, c’est aussi une histoire de famille puisque Anne, l’épouse de Jean-Marc, a rejoint l’aventure pour s’occuper essentiellement des réseaux sociaux et du site internet www.artatable.be , qui propose en ligne la vente d’articles et un service global de listes de mariages.
« Pour l’anecdote, ce sont mes filles qui ont trouvé le nom du magasin. Elles regardaient une émission éducative baptisée « Art Attack » et l’ont déclinée en Artàtable. Si j’ai démarré l’aventure seul, c’est par prudence, pour ne pas mettre tous les œufs dans le même panier. Aujourd’hui, je peux aussi compter sur Gauthier que je connais depuis mes débuts dans la vente. Une petite équipe qui permet d’ouvrir le magasin 6 jours sur 7 quasi toute l’année. »
Le site internet est, lui, devenu une vitrine indispensable pour garder une place à côté des géants de la vente en ligne. Si une première version basique développait essentiellement les listes de mariages, l’actuelle présente plus de 3 000 références tout en conservant l’esprit du magasin.
« Pour faire face à la concurrence, il n’y a qu’une solution, celle de se renouveler. On a dû faire face au Covid-19, à l’inondation du magasin, à la montée de la concurrence sur internet, à
l’évolution du secteur qui a notamment vu un changement dans la configuration des listes de mariage. Mais, il y a bien sûr aussi les effets positifs de certaines émissions télévisées qui sont porteuses d’une nouvelle envie de cuisiner. On jongle avec tout ça. »
Jean-Marc, Gauthier et Anne vont bientôt entrer dans la valse des paquets cadeaux, car après la Toussaint et jusqu’à la mi-janvier, les 4000 références du magasin se préparent à faire la fête !
Rue
Progrès,
Des pantoufles douces et chaudes pour cocooner tranquille
Ça se passe à Lasne, et le concept est plutôt séduisant : des chaussons et pantoufles en peau de mouton pour toute la famille... Points forts : la production est européenne (portugaise), sans produits chimiques ni colle. Les teintures sont végétales, et les prix tout doux en regard de la qualité du produit. Rencontre avec Delphine Mathelin, la responsable lasnoise du projet.
Delphine Mathelin, vous avez repris la société « Mini *M* » début 2022. L’histoire est un petit peu particulière...
Oui, en effet, « Mini *M* », c’est d’abord une histoire de mères de famille issues de la région... La première a commencé avec des petits gilets en peaux de mouton, puis elle y a ajouté d’autres accessoires, et notamment des pantoufles, pour petits et grands. Elle a ensuite revendu son affaire en 2016 à une autre mère de famille, et j’ai enfin repris le flambeau à mon tour il y a quelques mois. Je me suis vite rendu compte que le core business du projet, c’étaient les pantoufles pour adultes...
L’un de vos atouts est le caractère équitable et naturel du produit...
Oui, tout à fait... Nos produits sont fabriqués au Portugal. La Chine essaie sans cesse de nous débaucher à moindres prix, mais nous tenons bon, car nos producteurs travaillent dans de bonnes conditions, et nous tenons à ce que notre fabrication demeure européenne. De plus, tout est entièrement naturel : les peaux que nous sélectionnons font l’objet d’un tannage végétal qui utilise seulement l’écorce et les extraits de certaines plantes et arbres. Ainsi, en évitant la présence de produits chimiques et de chrome, nos peaux de mouton sont parfaitement hypoallergéniques. Cela représente un véritable plus, notamment pour les jeunes enfants qui aiment mordiller leurs chaussons... Quant aux moutons, ils sont issus d’animaux prévus pour l’abattage. Ils ne sont donc pas utilisés uniquement pour leur laine, mais aussi pour leur viande.
Depuis le covid, beaucoup de gens sont devenus beaucoup plus pantouflards...
Est-ce que cela a joué sur votre business ?
Oui, effectivement, pendant l’année de confinement, les ventes ont explosé. Il faut dire que la majeure partie des gens travaillaient en conférence call. Ils pouvaient donc porter un costume en haut, et des pantoufles en bas...
Comment se présentent vos pantoufles ?
Elles couvrent les pointures du 18 au 46 (soit du bébé au pied homme), se destinent autant aux hommes qu’aux femmes, et le coloris qui fonctionne le mieux est le camel car il est mixte, passe-partout et facile à porter. La base est une laine de mouton respirante, ni trop chaude ni trop froide. Nous avons aussi un modèle de mocassin fourré de laine (pour les femmes), qui fonctionne très bien, notamment dans un coloris rose. Certains les portent été comme hiver, car elles sont vraiment très légères et confortables. Mes enfants les ont d’ailleurs aux pieds à longueur d’année, sans qu’elles ne bougent d’un mini-poil. Les semelles sont antidérapantes. Côté prix, comptez à partir de 35 € pour les enfants, et de 55 € pour les adultes.
Certaines nouveautés sont également annoncées...
Oui, nous allons bientôt sortir des sandales très confortables et fourrées, dans une gamme de coloris variés. Il s’agit d’un produit très agréable à porter, mais qui laisse les orteils à l’air libre. Par ailleurs, nous allons proposer des coloris dorés et argentés dans un avenir proche. Nous avons réalisé un sondage sur Instagram (mini_m.be) pour voir si cela plaisait au public avant de passer commande et, effectivement, cela plaisait !
Outre les pantoufles, vous proposez également une série d’autres articles en mouton retourné... Oui, nous proposons notamment des semelles à glisser dans les bottes pour les balades hivernales ou dans les baskets pour ne jamais avoir froid aux pieds, des gilets pour enfants, des snoods (ou col-écharpe) et moufles pour enfants et adultes, des gants pour adultes, ainsi que des peaux décoratives et une spécialement conçue pour les bébés.
Où peut-on vous trouver ?
Tout d’abord en ligne, et c’est certainement le plus simple, via le site www.mini-m.be
Nous sommes également disponibles dans certaines boutiques, comme Rose & Marcel à Liège, Menino à Namur, Lemon 8 à Bruxelles, et bientôt un établissement en Brabant wallon, dès septembre. Cet hiver, nous comptons également participer à plusieurs marchés de Noël dans la région. Ce produit est en effet idéal comme cadeau de fin d’année ou de naissance. C’est confortable, ça va à tout le monde, et c’est toujours utile !
Virginie Stassen
Comment entretenir sa peau de mouton ?
w Aérez votre peau d’agneau régulièrement et brossez-la de temps à autre pour éliminer les résidus.
w En cas de tâches sur la laine, utilisez un shampoing spécial laine contenant de la lanoline.
w Si le côté cuir est mouillé, faites sécher la peau dans un endroit bien aéré voire à l’extérieur mais ne l’exposez pas directement aux rayons du soleil.
w Pour sécher la laine, vous pouvez utiliser un sèche-cheveux à basse température.
w Afin de garder la douceur et le confort de la peau, tout lavage en machine est déconseillé.
w Pour une durée de vie plus longue, nous recommandons d’imperméabiliser tous les produits.
Épilation DÉFINITIVE en Brabant Wallon
Se débarrasser des poils indésirables, c'est un combat quotidien pour bon nombre d'entre nous. Les méthodes traditionnelles, comme le rasoir ou la cire, doivent être répétées très régulièrement et peuvent être douloureuses. Puis c'est un vrai budget chaque année, et pendant de longues années ! Heureusement, il existe enfin une solution efficace et définitive: Laser Concept apporte désormais son expertise médicale en matière d'épilation laser chez H&N Clinic et Pure by Caroline Tackoen. Nous y avons rencontré Sibylle, experte chez Laser Concept pour lui poser toutes nos questions.
L’épilation laser, ça fonctionne vraiment ?
➽ Sybille : La réponse est clairement oui ! L’épilation laser à diode est LA solution pour un résultat définitif : une peau nette et lisse, sans plus se soucier des poils disgracieux. Tous les traitements Laser Concept sont effectués par nos infirmières diplômées et spécialisées. Le rendez-vous se prend en toute confiance : la première session d’information et test est gratuit et sans engagement.
Et ça fonctionne comment ?
➽ Sybille : Les infirmières Laser Concept utilisent le système de laser à diode LightSheer, un appareil médical ultra précis. C’est la machine la plus efficace en épilation définitive. En fait, la technologie laser utilise la mélanine du poil pour conduire l’énergie lumineuse vers la racine. Cette énergie est transformée en chaleur et détruit la racine du poil, sans toucher les tissus environnants. C’est donc une épilation définitive et sans danger. Et elle est applicable à de nombreuses zones : aisselles, maillot, jambes, visage... mais aussi la barbe, le dos ou les épaules pour les hommes !
On entend parfois que des gens ne sont pas satisfaits de l’épilation définitive...
➽ Sybille : C’est vrai, nous recevons souvent des patientes déçues... de la lumière pulsée ! Chez Laser Concept, nous utilisons exclusivement le laser à diode. Il est clair qu’on ne peut pas comparer un laser à un autre
Et quelle est la différence entre les deux techniques ?
➽ Sybille : La lumière pulsée a un spectre plus large, moins précis, et moins intense donc
moins efficace. On peut dire que avec cette technique les racines des poils sont mise knock out et pas plus. Il faut souvent accumuler de nombreuses séances sans parvenir à tout éliminer... Et les poils finissent par repousser. Chez Laser Concept, nous utilisons exclusivement le laser à diode. C’est la technique la plus efficace et la plus sûre.
Contrairement à la lumière pulsée, le laser émet un rayon lumineux hautement concentré, à forte valeur énergétique. Son rayon lumineux entre en contact avec la peau pendant une fraction de seconde. L’énergie du rayon laser est absorbée par le pigment (la mélanine) qui entoure la racine du poil. Les cellules du bulbe pilaire sont alors échauffées et détruites. Donc les poils ne peuvent pas repousser. Ce processus a de manière sélective uniquement un impact sur la mélanine dans les bulbes pilaire. Il n’y a donc aucun danger pour la peau ou les autres tissues.
Y a-t-il un âge minimum pour débuter un traitement ?
➽ Sybille : Par expérience, je recommande d’attendre d’avoir 18 ans. On peut estimer qu’à cet âge-là les métamorphoses de la puberté se sont apaisées et que le développement de la pilosité est achevé. C’est mon meilleur conseil pour avoir la certitude de profiter du plein potentiel de l’épilation laser. L’avant/après sera incroyable !
La question que beaucoup se posent : l’épilation laser ça fait mal ?
C’est vraiment très tolérable. On peut comparer ça à un tout petit claquement d’élastique sur la peau, qui dure une fraction
de seconde. Et ce picotement diminue au fur et à mesure des séances. En fait, le laser à diode est bien plus respectueux de la peau que le rasoir, la cire ou la crème dépilatoire. Puis les lasers que nous utilisons chez Laser Concept sont équipés de la technologie ChilTip : c’est une tête refroidissante qui garantit l’épilation la plus efficace et la plus confortable qui soit.
Combien séances faut-il prévoir pour un bon résultat ?
➽ Sybille : Comptez généralement 8 séances réparties sur 2 ans. Chez Laser Concept, nous travaillons dans le souci permanent de la satisfaction de nos client.e.s, en leur offrant un accompagnement optimal.
Nous les invitons à fixer un rendez-vous chez H&N Clinic - ou un autre centre partenaire de Laser Concept - afin de pouvoir tester gratuitement nos services et discuter avec une de nos infirmières. C’est le meilleur moyen d’obtenir une offre de prix et un planning d’épilation entièrement personnalisés, en fonction de leurs souhaits et de leur pilosité.
Envie de tester les services Laser Concept ?
Prenez très facilement rendez-vous en ligne pour votre test gratuit chez H&N Clinic à Braine-l’Alleud : https ://progenda.be/centers/centremedical-h-n-clinic ou dans un des autres centres partenaires de Laser Concept. Vous les trouvez facilement sur le site : www.laserconcept.org/centres-agrees/
➽ Sybille : Quand vous comparez le prix par session le laser est plus cher que les autres techniques d’épilation. Mais le grand avantage est qu’après 2 ans, le compteur s’arrête. Les autres techniques doivent être poursuivies tous les mois, pendant beaucoup plus longtemps et finissent par être plus chère. Et on ne parle pas encore du temps qu’on gagne ! C’est quand même pas négligeable dans notre vie hectique.
LASER CONCEPT
Épilation définitive au laser à diode 0471/85.34.89 | info@laserconcept.org | www.laserconcept.org
H&N Clinic | Centre médical Ch. de Nivelles 122 - 1420 Braine-l’Alleud www.hetnclinic.be
Parlant de prix, est-ce qu’une épilation laser est chère ?
vitaminez vos ventes grâce aux mots qui touchent Copywriting C'est ce que nous explique Caroline Flaba, ancienne infirmière, devenue Copywriter après sa reconversion
Le Copywriting, mais qu'est-ce donc ? Le Copywriting pourrait se définir par : “ L’art de vendre ou de promouvoir une offre, un produit, un service par les mots”. Mais ce serait un peu réducteur de s'arrêter là.
Caroline m’explique alors: “Saviez-vous que la décision d’achat est plus intuitive et émotionelle que rationelle? ”
Et c’est à ce niveau-là que le copywriter exerce son talent : en se connectant à l’émotionnel des gens pour les inciter à choisir votre offre. Si celle-ci répond à leurs besoins bien entendu:-)
Le copywriting servirait-il alors à manipuler les gens ?
“Non, pas du tout”. Il s’en passe des choses dans le cerveau d’un humain au moment de prendre une décision
Le texte, par l’utilisation de biais cognitifs et psychologiques, va fluidifier ce chemin cérébral.
Ainsi, votre prospect ( = votre client potentiel) réalisera de lui-même que votre offre lui correspond.
Et favorisera son passage à l’action. Si votre prospect ne sent pas concerné, il n’achètera pas, je vous rassure. Il ne s’agit donc pas de vendre un iceberg à un esquimau :-)
Vous voulez mieux cerner les bénéfices du travail du Copywriter ?
“Imaginez vous : Vous avez une boutique qui propose des supers produits mais vos ventes ne décollent pas. Soit parce que les clients ne passent pas votre porte.
Car ils n’ont pas compris que ce qu’ils cherchent se trouve bien chez vous. Ou parce qu’ils se perdent dans vos rayons …et ressortent le panier vide. Ce qui est dommage ! Vous y êtes ?
Vos textes : ce sont vos super vendeurs. Ceux qui vont interpeller vos clients, les inviter à rentrer dans votre boutique.
Les guider vers les articles qui leur conviennent. Et les accompagner dans leur décision d’achat.
Or je vois trop de « boutiques » qui n’ont pas « les super vendeurs » qu’elles méritent.
Ce n’est pas la qualité de vos produits qui est remise en question. C’est le chemin pour y arriver qui pourrait être mieux fléché.
Le travail de Caroline demande donc de la clarté, de la précision et surtout, de bien connaître sa cible.
Car comment s’adresser à votre cible si vous ne la connaissez pas?
Cette étape primordiale est parfois méconnue des entreprises.
Une fois celle-ci identifiée commence alors le travail de recherche :
Quels sont ses besoins, ses aspirations, ses peurs, ses freins, son mode de vie, son langage, ses frustrations…
Recherches qui nous indiqueront comment s’adresser à elle de la manière la plus efficace qui soit. L’écriture constituera la finalisation du travail qui reliera votre prospect à votre offre
« Car c’est en se sentant concernés que vos clients passeront à l’action. Ils doivent donc se reconnaître dans vos mots”
Un exemple?
Le discours pour promouvoir des pilules minceurs sera différent si vous vous adressez à un sportif en quête performances ou à une maman souhaitant perdre ses kilos de grossesse.
Car ce ne sont pas les mêmes leviers de persuasion.
Mais de quels textes parle t’on ?
Tout texte où l’intention est d’inviter une personne à poser une action.
Que cela soit prendre un rdv , acheter votre produit, s’inscrire, vous contacter , commander votre catalogue, obtenir plus d’infos… Vous seriez surpris de l’éventail du champ d’action du Copywriter !
D’accord !
Mais comment déterminer si “mes vendeurs sont super” pour mon entreprise ? Caroline propose son analyse gratuite pour un de vos textes. (une page de votre site web, un de vos mails, une publication…) Et vous offre 3 pistes concrètes d’amélioration
pour rendre votre offre plus attractive.
Cette première approche est sans engagement. Ainsi vous sentez comment un Copywriter peut vous aider à mieux vendre. Et elle peut vous proposer ensuite une collaboration personnalisée. Que ce soit pour (re)préciser votre cible, analyser en profondeur vos textes ou les rédiger de manière plus attractive.
Alors comment passet-on d’infirmière à Copywriter ?
Fondamentalement, nous restons des humains derrière nos mots et nos écrans. Donc c’est presque le même travail ( le pathos en moins): diagnostiquer où le texte est déforcé, proposer le traitement le plus approprié et l’administrer. Cela demande un sens aigu de l’observation, une sensibilité et une empathie assumée et une curiosité bienveillante . Et bien sûr, le goût des mots:-) Comme infirmière, je voulais sauver le monde. Maintenant, je veux contribuer à son essor.
Les bijoux magiques
Isabelle Lempereur, c’est la championne des reconversions !
Certaines, elle les a choisies, d’autres se sont tout simplement imposées à elle.
Aujourd’hui, avec sesbijoux, elle se lance dans une toute nouvelle aventure.
d’Isabelle Lempereur
« J’ai suivi des études de graphiste designer, ou designer graphiste, et me suis vite heurtée à la réalité du travail. Je me suis dit que je n’avais pas fait d'études pour ne réaliser que des catalogues de vente d'appareils électroménagers. Ce que je voulais, c'était mettre des étoiles dans les yeux des gens. »
Mais voilà, le métier est hyper spécialisé, et du coup, c’est compliqué de trouver autre chose.
Qu'à cela ne tienne, Isabelle aime le contact et se dirige vers l’enseignement et la formation. Un chemin qu’elle va suivre pendant 20 ans en transmettant notamment son savoir au sein d’une section publicité d’une haute école et dans des centres de formation.
Isabelle se passionne aussi pour le développement personnel et se forme, entre autres, en art-thérapie, en facilitation à la
création, en PNL (programmation neurolinguistique) et en coaching afin de compléter ses connaissances et de mieux comprendre le fonctionnement des individus. Non seulement elle adore, mais cela lui permet aussi de faire sauter certains blocages.
« À l’époque de mes études, on ne connaissait pas aussi bien le fonctionnement du cerveau. Aujourd’hui, on sait notamment que le stress tue la créativité et j’ai justement fait toutes mes études dans le stress. Cette découverte a été pour moi une véritable révélation qui allait me permettre d’aider les gens dans leur cheminement. »
Au fil du temps, plus que de comprendre le fonctionnement du cerveau pour amener à davantage de créativité et de confiance en soi, Isabelle s’est tournée vers l’énergétique qu’on peut définir comme étant une pratique qui permet la transmission d’énergie d’une personne, ou même d’un objet, vers une autre personne.
« Une de mes copines pratique le Reiki, une technique basée sur l’imposition des mains.
Elle utilise aussi des pierres qui ont éveillé ma curiosité. Je suis tombée sur une annonce d’initiation à la lithothérapie et me suis dit pourquoi pas. »
Révélation
Arrivée dans un lieu où il y avait plein de pierres, elle a trouvé ça très joli, sans plus. Mais l’après-midi, elle n’a plus pu nier l’évidence. Lors du test avec le pendule, elle a clairement perçu le passage de l’énergie.
Je ne me suis jamais sentie aussi bien à ma place qu’à ce moment-là ! C’était devenu évident que je devais travailler avec les énergies. Par contre, mon hypersensibilité m’empêchait de développer le côté tactile, je ne pouvais donc pas aider les gens en les touchant. »
«
C’est en visitant un site internet sur les pierres qu’Isabelle a trouvé ce qui lui convenait pour allier sa passion du graphisme au besoin d’aider : créer des bijoux bien-être qui non seulement seront beaux mais libèreront une énergie constructive.
Et, ce qui n'était qu’un hobby, c’est rapidement transformé en profession, aussi un peu par la force des choses.
« Je suis restée active dans la formation jusqu’au début de l’année mais j’ai perdu mon principal client qui a mis la clé sous le paillasson. J’ai commencé à vendre mes bijoux sur les marchés, mais après un démarrage prometteur, tout a ralenti avec la période des examens et des vacances. »
Isabelle a alors décidé de créer une boutique en ligne, www.commeparmagie-litho.com, qui
propose ses premières créations ainsi que les pierres qu’elle a soigneusement sélectionnées chez des professionnels réputés pour leur sérieux et leur fiabilité.
Je veux aller plus loin et ne pas me contenter de vendre ce que tout le monde peut faire.
C’est la raison pour laquelle, je suis une formation en joaillerie pour être capable de mettre en valeur mes pierres naturelles, les charger d’énergie positive et faire pétiller les yeux des gens !
Isabelle pense déjà à la prochaine étape, celle d’ouvrir un magasin. Elle le voit blanc, luminieux, des étoiles sur les murs, du doré… de la magie.
Comme par magie
Bijoux - LithotherapieArtisanat www.commeparmagie-litho.com
RUBRIQUE INSOLITE
On compte en moyenne 5000 avions dans le ciel à tout moment.
L’Allemand Christian Ullrich est l’actuel champion du monde de «Latte art» (2014). le Latte art étant une technique de réalisation de dessins ou de motifs avec la mousse sur la surface d’un café latte
«Organ2/ASLSP» (As SLow aS Possible) devrait être le concert le plus long de l’Histoire. Il a commencé en 2001 à l’église Saint-Burchardi de Halberstadt en Allemagne, et doit se poursuivre pendant 639 ans, se terminant en 2640
En mathématique, la barre située entre les 2 chiffres dans une fraction porte un nom, c’est le vinculum
Vous possédez environ5 millions de répartis sur toute la surface de votre corps. 1 million sur la tête et 4 millions sur le reste du corps
«Mariage pluvieux mariage heureux» est une transformation populaire de «mariage plus vieux mariage heureux»
Le film «Titanic» de James Cameron sorti en 1997 a couté plus cher que la création du vrai navire (200 millions de dollars pour le film et l’équivalent de 150 millions pour le bateau)
Le durian est un fruit pouvant peser jusqu’à 5 kg. Il sent extrêmement mauvais à tel point qu’il est interdit dans les lieux publics et dans les transports en commun dans de nombreux pays d’Asie du Sud-Est
Le cerveau humain contient environ 100 milliards de neurones
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U n e
Le bonobo serait l’un des seuls animaux, à pratiquer, comme l’homme, le coït ventro-ventral (face à face)
Aujourd’hui, seuls 3 pays au monde n’utilisent pas le système métrique international (avec 7 unités de base :le mètre, le kilogramme, la seconde, l’ampère, le kelvin, la mole et la candela). Ce sont les Etats-Unis, le Libéria et la Birmanie
Dans la Déclaration d’indépendance des États-Unis d’Amérique
il est spécifié que la vie, la liberté et la recherche du bonheur sont des droits inaliénables
C’est un français, Jacques Morali, qui est le créateur du groupe des «VillagePeople»
Le sang de la limule est de couleur bleue du fait de la présence d’hémocyanine au lieu d’hémoglobine.
Les clownspoissons sont de
grands bavards, et utilisent un langage particulier. Ils communiquenten claquant des dents
Sur le compte Facebook de Mark Zuckerberg, on peut lire qu’il est végétarien depuis 2011 et qu’il parle le Mandarin.
Quand la LOGOPÉDIE et la PSYCHOLOGIE
au service du handicap
En tirant profit de son parcours de vie, Caroline Deharre a réussi à développer l’activité professionnelle qui lui colle à la peau. Elle est logopède-psychologue spécialiste du handicap et vient de se lancer comme indépendante.
Après des études bien remplies, Caroline a démarré sa carrière au Potelier des Pilifs, un centre de jour ouvert aux adultes porteurs d’un handicap mental. Elle y a construit, pendant 16 ans, une riche expérience avant de recevoir l’opportunité de monter un nouveau projet au sein de la galaxie Nos Pilifs composées de différentes ASBL indépendantes mais qui, toutes, tournent autour du bien-être et du développement de la personne en situation de handicap.
« Je suis devenue directrice d’un Logement
Collectif Adapté (LCA) et d’un Centre de Jour (CJ) qui accueillaient respectivement 20 et 10 personnes. Pendant 7 ans, j’ai géré une équipe de plus de 30 salariés.
C’est un AVC qui a tout remis en question », confie-t-elle.
Dépression, arrêt de travail, Caroline traverse une période compliquée et cherche à se reconstruire.
«
Je savais que je n’allais pas devenir éleveuse de moutons à la montagne mais j’avais besoin d’une reconversion et c’est le hasard d’une rencontre qui a tout fait basculer. »
Coup de pouce du hasard
La maman d’un jeune homme porteur d’un handicap profond exprimait son désarroi sur Facebook suite aux effets du confinement imposé par la crise du Covid.
Son fils, extrêmement dépendant, s’était un peu plus renfermé et elle cherchait une personne qui puisse pratiquer la communication facilitée, une thérapie alternative.
« Il se fait que j’ai justement réalisé mon mémoire de fin d’études sur le sujet. J’ai rencontré une maman très touchante, complètement dévouée mais qui avait oublié de penser à elle. J’ai compris que c’est ce que j’avais envie de faire : apporter de l’aide à toute la famille. »
Le travail de Caroline est par conséquent très diversifié et c’est ce qu’elle aime.
Il y a l’aspect consultation et travail avec la personne en situation de handicap mais il y a aussi la prise en compte de l’entourage familial.
« Je développe une écoute empathique et attentive des difficultés, des souffrances, et des craintes des parents, des frères et des sœurs. Je les aide également à trouver d’éventuelles aides extérieures. »
Établir la communication
En avril, Caroline a ouvert un cabinet à Brainel’Alleud au sein d’un centre paramédical. Elle y reçoit le mardi matin et le jeudi après-midi.
« Mon premier patient n’est autre que le jeune homme très dépendant qui est devenu « mon » Alexandre ! »
Les relations humaines sont forcément au centre des rencontres de Caroline qui en parle avec une grande sensibilité. Une capacité qui lui permet toute l’adaptabilité qui incombe à sa profession. Elle se met à l’écoute afin d’analyser au mieux chaque demande et travaille la communication essentiellement avec des images et du matériel qu’elle réalise elle-même, d’abord parce que c’est davantage personnalisé et surtout adapté à l’âge de ses patients qui, malgré leur handicap, sont des adultes.
« Pour le suivi d’une personne qui doit apprendre à gérer son agressivité, je me suis rendue au sein de l’institution dans laquelle elle évolue. J’ai remarqué qu’elle travaillait déjà avec des smileys. Je les ai donc repris et adaptés pour simplement gagner un peu de temps dans un exercice de communication qui n’est pas toujours évident avec les personnes en situation de handicap. »
À l’écoute des professionnels
Poussant un peu plus loin sa démarche, Caroline propose également ses services aux professionnels. Forte de son expérience dans le secteur du handicap et dans le domaine administratif grâce à son parcours de directrice, elle reste à l’écoute en cas de situations critiques et complexes.
« Je suis notamment consultante en logopédie auprès de l’ASBL HAMA IV pour suivre 6 personnes âgées souffrant de presbyphagie, trouble de la déglutition. Je m’occupe également d’une personne trisomique afin de l’aider à exprimer ce qu’elle ressent et lui permettre de gérer sa frustration et son agressivité autrement que par des violences envers les autres. Je peux aussi intervenir pour des conflits au sein des équipes de travail ou pour des difficultés de relations entre collègues ou entre les institutions et les familles. »
Disponibilité, écoute, dialogue et adaptabilité, autant de qualités que Caroline a choisi de mettre au service de l’humain pour développer une profession qui a du sens.
DEHARRE CAROLINE
Logopède - Psychologue
Spécialiste du handicap
Place Saint-Sébastien, 29 1420 Braine-l’Alleud
Consultations sur rendez-vous au 0476.83.27.18
HANDICAPETNOUS
AMÉLIORER la communication entre
Le credo de meute maliachien et l’homme
Comment définiriez-vous Meute Malia ?
C’est à la fois un lieu et un ensemble de disciplines. On propose des séances individuelles et collectives en comportement et en éducation, mais également l’école du chiot, du shiatsu, du reiki et du médical training. Avec ce large panel d’outils, on agit autant sur l’aspect comportemental du chien que sur son éducation.
À à peine 27 ans, Alba Loro est à la tête d’un concept aussi original qu’efficace. La « Meute Malia », installée à Feluy, propose en effet tous les services d’un centre d’éducation et de bien-être animal.
Pourquoi ce nom de Meute Malia ?
Malgré sa connotation parfois négative, la meute n’est autre qu’une famille et c’est cette définition qui nous a séduite. Quant au terme Malia, il signifie calme et paisible en hawaïen. Meute Malia symbolise donc les relations que nous souhaitons instaurer entre le chien et son maître, cette volonté d’intégrer l’animal dans une famille paisible.
Quelles sont les situations pour lesquelles on fait appel à vous ?
La majorité des problèmes que nous traitons sont dus à une mauvaise communication, une mauvaise compréhension entre l’homme et l’animal. On commence par réaliser un bilan lors d’une séance d’1h30 durant laquelle nous rencontrons la famille, discutons de ses attentes, observons le chien...
Le but est de prendre connaissance du parcours et de comprendre la relation avec le chien. Cette approche permet de créer ensuite un plan d’action commun et de fixer des objectifs clairs.
Comment se structure votre accompagnement ?
On peut organiser des séances individuelles d’éducation et/ou de coaching comportemental, au centre. On commence par une base théorique et on passe ensuite à la pratique pour mettre en lumière les éventuelles difficultés, les forces, les faiblesses et les interrogations. Nous proposons également des cours collectifs qui se déroulent en pleine nature. Ainsi, nous nous trouvons en
situation réelle pour travailler. Le groupe permet de créer un moment de détente qui n’enfreint absolument pas l’apprentissage.
Il est donc préférable de privilégier l’aspect préventif.
Oui, bien sûr. Comme dit le proverbe « mieux vaut prévenir que guérir ». C’est pour cette raison que nous avons développé notre école des chiots. Il s’agit d’un cursus évolutif de 16 semaines. Notre but est de transmettre aux familles toutes les clefs nécessaires pour avoir un chien bien dans ses pattes, capable de vous accompagner partout.
Vous avez une formation de comportementaliste, comment embrasse-t-on cette profession ?
Les chiens ne sont arrivés dans ma vie qu’à l’adolescence. Par contre, depuis toute petite, je voulais devenir vétérinaire. J’ai suivi différentes formations certifiantes et je poursuis mon apprentissage. Le comportementalisme étant une discipline en constante évolution, il est important que je me tienne à la page.
La Meute Malia, c’est aussi une histoire d’équipe.
Je suis accompagnée par Roxane Hambrouck qui apporte de précieuses connaissances, notamment au niveau de l’école des chiots et en médical training. On essaye d’alterner notre présence pour les cours de manière à diversifier l’apprentissage. C’est une bonne manière de confronter le chiot à la réalité et de l’intégrer au mieux dans le monde des humains.
Vous proposez également une boutique.
Elle est là pour compléter nos services. Nous y présentons une gamme de produits naturels pour répondre aux besoins du chien. Mastication, soins naturels, fleurs de Bach, alimentation, jeux alimentaires, longes et autres accessoires sont là pour aider les maîtres au quotidien
Meute Malia
Lundi au Samedi de 10h à 19h
le jeudi
nos services sont
boutique est ouverte
les mardis de 10h30 à
les samedi de 10h à 19h.
des chiots
une nouvelle balade enchantée et enchanteresse
Le domaine Solvay, à La Hulpe, sera une seconde fois le théâtre de « Lanterna Magica RTL », un événement poétique et lumineux, dans le cadre sublime du parc du château de La Hulpe. Une balade féerique à la tombée de la nuit à savourer en famille, du 21 octobre au 11 décembre. Rencontre avec Benoît de Halleux, responsable de la communication chez MB Creations, la société organisatrice.
Benoît de Halleux, comment le concept de Lanterna Magica est-il né l’an dernier ?
Il a surgi de l’imagination de Manu Braff (CEO de MB Creations) et du directeur artistique de l’entreprise, Jean-Pierre Deschepper. Cette idée de promenade féerique et magique dans un parc à la tombée de la nuit avait déjà germé dans leur esprit, mais le premier confinement leur a donné envie de le réaliser. Lors de cet enfermement, ils ont recréé le concept et pris contact avec différents intervenants et partenaires comme le parc Solvay et la commune de La Hulpe. Tout s’est ensuite mis en place pour que le projet puisse se réaliser dans les meilleures conditions.
Pour cette édition, le spectacle sera-t-il complètement différent de l’an dernier ? Oui, tout à fait ! Si le concept de la balade nocturne illuminée demeure, nous avons complètement revu l’histoire et le parcours. Nous avons attiré l’an dernier 110 000 personnes, et notre souhait était qu’elles
puissent profiter d’un spectacle différent cette année... Le but est de les émerveiller tout autant, mais avec une trame différente. Cette fois, un sort sera jeté sur la forêt, et le château et la nature devront se battre contre les forces du mal pour retrouver leur liberté. Le parcours passera à proximité immédiate du château, qui constituera l’une des pièces centrales de la balade. Au total, une quinzaine de moments spectaculaires seront créés le long d’un parcours de deux kilomètres et demi, soit la même distance que l’an dernier.
Pourriez-vous nous décrire le parcours, sans pour autant tout nous dévoiler du prochain
Lanterna Magica ?
Lorsque nous arrivons sur les lieux, une zone appelée « le village » offre une première ambiance. On y scanne les billets, et il est ensuite possible de se restaurer. On pénètre ensuite dans le véritable parcours « Lanterna Magica » où il est possible d’interagir avec les lumières, d’admirer les éléments visuels et de se plonger complètement dans un univers empreint de magie, de féerie et d’enchantement.
S’agit-il d’un spectacle exclusif ?
En ce qui concerne l’histoire et le parcours, ils sont en effet tout à fait uniques. Mais il existe d’autres spectacles lumineux dans la nature ailleurs dans le monde. Celui-ci présente toutefois l’avantage de se trouver au pied d’un château majestueux, d’un lac mystérieux, et de se dérouler entre l’équinoxe d’automne et la période de Noël.
A qui vous adressez-vous en particulier ?
Absolument à tout le monde, et plus spécifiquement aux enfants pour la dimension magique. Ces derniers adorent se retrouver en pleine nature à la tombée de la nuit. Il faut savoir que la balade n’est pas effrayante. Le parcours peut aussi durer un peu plus longtemps lorsqu’on s’attarde pour admirer tel ou tel effet lumineux particulier. C’est selon la sensibilité de chacun.
Il s’agit d’une seconde édition cette année.
Pensez-vous que l’événement « Lanterna Magica » s’inscrive à long terme au parc Solvay ?
La première édition a rencontré un franc succès avec 110 000 visiteurs au total. Il s’agit d’une très belle réussite et nous avions envie de réitérer l’expérience cette année. Avant de se projeter plus loin, nous allons d’abord concentrer tous nos efforts pour que cette nouvelle édition soit aussi une réussite. En espérant que les Trolls soient avec nous !
Lanterna Magica RTL en pratique
Lieu : Parc du château de La Hulpe
Ouverture : du vendredi 21 octobre au dimanche 11 décembre, tous les jours pendant les congés scolaires et ensuite les jours fériés, les vendredis, samedis et dimanches.
Distance : 2,5 km
Durée estimée : entre 1h et 1h30 Prix : 19 euros (15 euros pour les enfants de 4 à 12 ans, les seniors de plus de 65 ans et les PMR)
Infos et réservations : www.lanternamagica.be
Pierre Wynants Trophy 2022
Curtis Mulpas et son équipe.Le jeune chef wavrien n’arrête pas de nourrir sa passion culinaire. Il vient d’être sélectionné pour un concours national d’envergure. Le Province du Brabant wallon et la ville de Wavre peuvent s’en enorgueillir de compter parmi ses jeunes talents un jeune chef pour représenter la gastronomie brabançonne.
C’est à Knokke qu’ont été présentés, ce jeudi 8 septembre, les cinq candidats qui s’affronteront le 23 novembre prochain à l’occasion du Salon de la Gastronomie à Flanders Expo dans le cadre de l’édition 2022 du Pierre Wynants Trophy.
Pour mémoire, cette prestigieuse compétition culinaire bisannuelle constitue la sélection belge des compétiteurs qui sont appelés à concourir d’abord à l’occasion du Global Chef Challenge européen et, s’ils sont sélectionnés, au Global Chef Challenge mondial qui constitue la véritable Coupe du Monde de la Cuisine.
Cette présentation s’est déroulée au restaurant Cedric, du chef Cédric Poncelet, président des Mastercooks of Belgium, en présence des deux superstars de la cuisine belge, Pierre Wynants et Freddy Vandecasserie. D’autres chefs ont également honoré de leur présence cette
rencontre, notamment Jo Nelissen, le coach de la Belgian Culinary Team.
Les candidats qui ont été présélectionnés sur base de leurs recettes évaluées par un jury composé des Mastercooks Pierre Wynants, Cédric Poncelet, Frank Fol, Freddy Vandecasserie, Alain Deluc, Jo Nelissen et Daniel Molmans sont : Igor Snyders, de la Maison Snyders à Oupeye. Son commis sera Dylan Lahaye, son sommelier, Maxime Germain ; ils seront coachés par Olivier Massart Elien Verhulst, du restaurant Vlass à Middelkerke. Son commis sera Shane Verkest, son sommelier, Kenzo Lauwereins et son coach, Stefaan Lauwereins. Michaël Van Liere, du restaurant De Kruidenmolen à De Haan. Son commis sera Lucas Maes, son sommelier, Eline Becue et l’équipe sera coachée par Sam Van Houcke.
Nicolas Tournay du restaurant Mont à Gourmet, à Courcelles. Son commis sera Kévin Bernard, son sommelier, Arnaud Hamoline et son coach, Dany Lombart.
Et last, but not least, Curtis Mulpas, chef du restaurant didactique de l’Ecole hôtelière Pierre Romeyer de l’IPES Wavre, dont l’équipe sera composée du sommelier Cédric Deblandre, du commis Olivier Stuckens et du coach Frédéric Deroppe.
Le thème du concours est la Belgique. Les candidats auront à cœur de sélectionner moult produits belges et le choix est immense, tout sera donc possible. Cette première édition du Pierre Wynants Trophy sera pour les participants une belle occasion de travailler le cèleri rave, ingrédient imposé pour l’entrée et d’y introduire les produits de la Mystery Box proposée par MABRU, le marché matinal de Bruxelles. Cette préparation devra obligatoirement être associée au Ruffus Brut sauvage, un effervescent blanc bien de chez nous.
La création du plat principal fera la part belle aux des crevettes grises, non épluchées en amont de la préparation et à une variété de Kasteelbier, Blond, Tripel, Rouge, Xtra ou Donker au choix. Les crevettes ne seront pas les seules à titiller les papilles des dégustateurs ; la mer leur offrira de précieux alliés, une garniture à base de laitues de mer et de terre et une autre accueillera une anémone de mer revisitée au foie gras et au sarrasin.
Et pour clore la dégustation, quoi de plus doux qu’un bonbon crémeux alliant chocolat, spéculoos et café ; Callebaut et Rombouts seront les partenaires privilégiés de ce finger food royal.
Le vainqueur de l’édition 2022 du Pierre Wynants Trophy se verra remettre une médaille en or et une réplique du trophée. De nombreux autres prix récompenseront les candidats sélectionnés ; l’important n’est-il pas de participer même si la victoire reste le but ultime de chacun.
Parallèlement, les cinq finalistes proposeront leur plat durant une période de trois mois dans leur restaurant, accompagnés de la sélection choisie de la Kasteelbier et la mention de leur participation au Pierre Wynants Trophy- The Belgian Star rappellera aux heureux clients qu’ils s’apprêtent à faire vibrer leurs papilles gustatives au rythme d’un savant mélange de belgitude, de passion et de savoir.
Souhaitons à Curtis Mulpas et son équipe toute la réussite dans ce challenge.
Camille Guimbretière a commencé des études de droit dans le but d’aider les gens, mais s’est finalement orientée vers le métier d’assistante sociale qui lui correspondait mieux. Elle est aujourd’hui indépendante et pose les jalons d’une toute nouvelle profession.
ASSISTANTE SOCIALE INDÉPENDANTE,
une nouvelle manière d’aider
“J’ai commencé à travailler au CPAS de Bruxelles avant de rejoindre l’Agence Immobilière Sociale du Brabant wallon. Mais je me suis retrouvée à gérer essentiellement des dossiers et je perdais tout le côté social, celui pour lequel j’avais choisi la profession d’assistante sociale. J’avais à peine le temps de demander aux gens comment ils allaient.”
Camille a dès lors décidé de se lancer comme assistante sociale indépendante (ASI) complémentaire dans un premier temps avant de se consacrer entièrement à ce métier d’un genre nouveau.
“Je me sentais frustrée et incapable d’aider correctement les personnes qui se retrouveraient perdues au milieu parfois d’un véritable casse-tête. Aujourd’hui, je travaille directement avec elles et exclusivement, ce qui fait qu’elles n’ont plus besoin de raconter par exemple 10 fois leur histoire. Elles ont un seul référent et c’est beaucoup plus confortable. »
Le but n’est certainement pas de remplacer les institutions, mais plutôt de compléter leur travail. La différence, c’est qu’avec l’ASI, on peut choisir son accompagnateur comme on choisirait son médecin ou son psy.
“C’est une manière efficace de construire une relation de confiance. C’est d’ailleurs la personne qui a besoin d’aide qui me contacte et jamais l’inverse. On se voit une première fois au domicile ou dans un lieu public et libre ensuite au demandeur de poursuivre ou pas.
Certaines problématiques se règlent d’ailleurs en une seule rencontre. »
Cette première visite est fixée à 50 €, quelle qu’en soit la durée. Pour la suite, si besoin, il faut compter 35 € de l’heure avec
éventuellement des frais de déplacement puisque, à partir de Wavre, Camille rayonne dans tout le Brabant wallon et à Bruxelles. Tout cela est bien entendu discuté lors de la première rencontre afin de déterminer la formule la mieux adaptée.
Camille privilégie le contact à domicile car il permet, d’une part, de mieux comprendre la réalité des individus ou des familles, et d’autre part, de se placer à leur hauteur et non pas en position d’autorité derrière un bureau.
« Je suis bien entendu tenue au secret professionnel et en tant qu’indépendante, je me dois de garder une éthique et d’être fidèle aux valeurs fondamentales de l’assistant social. »
vers un service gratuit, je ne manque pas de le faire. »
Dans le cas du maintien à domicile, par exemple, Camille est davantage spécialisée dans le domaine de la santé mentale, s’il s’agit de personnes âgées, elle préfère orienter les demandeurs vers une collègue.
“Je ne sais pas tout, bien sûr, mais j’ai des contacts et un bon réseau qui permet d’aiguiller les gens. Les personnes que j’encadre et guide restent maîtres de leurs choix. Je n’impose rien même si je connais la solution. Je fonctionne vraiment comme une main tendue.
Ce sont des situations extrêmement diverses que Camille est amenée à gérer. Elle s’adresse, par conséquent, à tout le monde et pas seulement aux allocataires sociaux.
Ça peut en effet concerner une séparation ou un décès, des moments de vie émotionnellement chargés durant lesquels on n’a pas vraiment la tête à s’occuper de l’aspect administratif.
« Je fais de l’accompagnement budgétaire, de l’aide au maintien à domicile, de l’aide administrative (dossiers sociaux, analyse des droits…), de l’aide à la parentalité… et quand je ne sais pas, j’oriente. Et si je peux renvoyer
Je reste aussi très disponible puisque je n’ai pas un horaire de bureau. J’arrive tout de même à fixer certaines limites, et même à partir en vacances !”
Une grande disponibilité, un sens de l’écoute évident, une volonté d’aider à tout prix, Camille a réussi à renouer avec sa passion pour donner un sens à sa profession.
Ouvert depuis le 12 septembre dernier, Graines de Lucioles est un centre multidimensionnel qui accompagne les enfants, ados et adultes sur le chemin de leur étincelle intérieure. Quatre thérapeutes (actifs aux niveaux spirituel, systémique, énergétique ou émotionnel selon les besoins) vous y accueillent pour vous mener vers votre propre lumière intérieure. Rencontre avec Elodie Hennevaux, la fondatrice et l’une des thérapeutes du centre.
Elodie Hennevaux, votre centre vient d’ouvrir ses portes.Comment le définiriez-vous enquelques mots ?
Il s’agit avant tout d’un lieu de reconnexion avec soi-même. Quatre thérapeutes – dont moi-même – y exerçons de façon conjointe et complémentaire afin que les besoins de nos patients soient comblés au maximum.
Malgré votre jeunesse, votrecurriculum est déjà bien fourni...
Comment avez-vous su que vousvotre vocation était d’aider les autres ?
Déjà ado, les gens aimaient se confier à moi et j’aimais les conseiller, les réconforter. Après un cursus en logopédie, j’ai commencé un master en arts du spectacle et, très vite, j’ai réalisé que le côté thérapeutique, le fait de venir en aide aux gens, me manquait. J’ai intrinsèquement besoin d’être en lien avec les autres et de faire en sorte qu’ils s’épanouissent, au moyen des différentes techniques et thérapies que j’ai étudiées.
Vous mixez aujourd’hui plusieursméthodes… Comment en êtes-vous arrivée à avoir autant de cordes à votre arc ?
Mes études en logopédie, par lesquelles j’ai commencé, m’ont ouvert les yeux : l’aspect psychologique et émotionnel, le lien à l’humain, me passionnait, et c’est vers cela que je voulais me diriger. De là, j’ai effectué un coaching pour y voir plus clair avant de suivre moi-même une formation pour devenir coach. Mais il s’agissait d’une méthode très « mentale » alors que je souhaitais explorer l’émotionnel. Je me suis dès lors tournée vers l’art thérapie, que je pratique désormais via les arts plastiques (peinture, dessin, collage…). Il s’agit d’une méthode très intuitive, ouvrant l’accès à l’inconscient et à l’émotionnel par le biais de symboles, que ce soit chez l’adulte ou l’enfant. J’ai ensuite croisé le chemin des constellations familiales, que je pratique en individuel, et qui permettent de dénouer des nœuds
présents dans notre système familial, en lien avec ce que nos ancêtres ont fait ou négligé de faire. Je me suis enfin spécialisée dans l’encadrement des enfants à haut potentiel, que ce soit au niveau scolaire, émotionnel ou social. J’allie aujourd’hui les différentes techniques que j’ai apprises car je les trouve très complémentaires.
Le centre Graines de Lucioles se base également sur les traditionsancestrales Derviches. Pourriezvous nous en dire un peu plus ?
Oui, il s’agit d’une tradition ancestrale qui se transmet de génération en génération par voie orale. Selon cette transmission, il existe six niveaux de thérapie et lorsqu’une personne rencontre un problème dans son existence, quel qu’il soit, ce dernier trouve sa source dans l’un de ces niveaux. Il peut s’agir soit du physique (qui appelle une action purement corporelle), soit de l’émotionnel (qui
nécessite un soutien psychologique, de l’art thérapie etc.), soit de l’intellectuel (qui fait référence au mental, notamment à travers le coaching), soit de l’énergétique (problèmes de circulation d’énergie au niveau des méridiens et des chakras qui peuvent, entre autres, être solutionnés par un kinésiologue), soit au niveau systémique (on parle alors du « système » de la personne, qui peut être harmonisé par une constellation familiale), soit encore du spirituel (le sens que l’on donne à notre vie, qui peut être développé à travers la pratique du yoga).
Comment définir à quel niveau leproblème se situe ?
Une séance de guidance est organisée en suivant un protocole précis. Celui-ci va permettre de définir où se situe la source de la problématique et quel est le pas suivant à effectuer. Notre équipe se compose d’une psychologue & conseillère en santé naturelle, d’un étudiant en kinésiologie, d’une prof de yoga intégral (qui propose aussi un accompagnement à la Sadhana) et de moimême. Notre équipe pluridisciplinaire se
complémente et vise à cibler les besoins spécifiques de chacun.
Pourriez-vous nous donner un cas pratique ?
Oui, je pense notamment à une dame qui est venue me voir parce qu’elle se sentait exclue dès qu’elle se retrouvait au milieu d’un groupe de personnes. Nous avons ciblé ensemble d’où venait le problème et nous avons opté pour la méthode des constellations familiales. Depuis que nous avons réalisé quelques séances, une nouvelle dynamique s’installe et elle peut déjà voir des améliorations dans son quotidien. Cette personne avait déjà opté pour des séances de psychologie classique, comme c’est souvent le cas pour ce type de problématique, et elle n’avait assisté qu’à une amélioration temporaire du problème. Si nous n’avions pas identifié la réelle source de son problème, ce dernier serait revenu tôt ou tard car l’on n’avait pas touché à sa racine... En agissant au niveau adéquat, nous avons pu aller jusqu’au fond du problème.
Un petit mot pour conclure ?
Oui, le mantra de notre centre est celui-ci : « Je te vois toi, ta vie et ton destin tels qu’ils sont. Quoi que tu vives, quoi tu traverses, soit le bienvenu. Ici nous t’acceptons tel que tu es, sans jugement. Notre objectif est de t’aider à partir de là où tu te trouves... »
Virginie Stassen
Une BELLE HISTOIRE de FAMILLE
La fromagerie
“Le Solitaire” à La Hulpe vient d’emménager dans un espace qui marque un nouveau jalon dans l’histoire de ce magasin qui fête dignement ses 28 ans.
D’où vient le nom du magasin?
Bernadette Van Schoor : Enfant j’allais souvent dans les Ardennes et j’étais fascinée par les petites charcuteries de la-bas. En 1994, j’en ai ouvert une à La Hulpe et je l’ai baptisée “Le Solitaire”, le nom attribué au sanglier mâle qui se retire du troupeau.
Au fil du temps, j’ai eu envie de proposer du fromage car c’est un beau produit. Il est vivant avec ses formes, ses couleurs et ses goûts différents. Le magasin s’est tout naturellement mué en fromagerie et on a toujours gardé un peu de charcuterie.
La fromagerie « Le Solitaire »,n’est-ce pas aussi l’aventure d’une famille?
J’ai commencé seule et aujourd’hui mes deux enfants, Vincent et Louise, m’ont rejointe. J’avoue que lorsque mon fils m’a annoncé qu’il souhaitait m’épauler, j’ai été surprise. Mais finalement, comme sa soeur, il a été élevé dans cet univers., c’était donc assez logique. J’ai même réussi à y entraîner ma belle-fille !
Vincent a suivi des études de menuiserie, ce qui lui a permis de participer activement à l’aménagement du nouveau magasin. Il réalise aussi les plateaux de présentation en bois dont j’ai toujours rêvé.
Louise est plutôt branchée événementiel et réseaux sociaux. C’est elle qui s’est d’ailleurs chargée d’organiser le drink d’ouverture de notre nouvel emplacement. Elle regorge d’idées neuves comme la réalisation d’un calendrier de l’avent mais il faudra attendre encore un peu pour sa réalisation, en 2023 peut-être…
C’est quoi pour vous un fromage ?
Chaque fromage raconte une histoire et c’est la raison pour laquelle je ne me lasse pas de les sélectionner et de les présenter. L’un des producteurs que j’ai rencontré m’a par exemple expliqué qu’il avait créé par hasard « le petit gris ». Il souhaitait faire un camembert mais s’est trompé de ferment lactique et c’est une fleur grise qui s’est formée sur la croûte.
Quel service offrez-vous à vos clients ?
Nos clients comptent sur une qualité constante, ce qui ne les empêche pas d’aimer les surprises. Notre but est alors de leur faire découvrir
les nouveaux produits que nous avons testés. C’est en effet important de tout goûter afin de conseiller au mieux.
Il m’arrive d’acheter un fromage dans une grande surface et de le goûter pour pouvoir servir quelque chose de similaire à ma clientèle. Si on me parle du “Caprice des Dieux” ou du “Chavroux”, je dois avoir identifié leur saveur. Notre rôle est de justement mettre des mots sur les saveurs.
Les fromages sont affinés ici et on commence à réaliser certaines transformations. C’est notamment le cas avec notre camembert au calvados pour lequel nous gardons la composition de la panure secrète…
Ce sont aussi parfois les clients à l’origine de nouveautés comme cette dame qui rêvait d’une pièce montée. Je l’ai réalisée et incluse depuis dans notre assortiment.
Peut-on parler de mode dans le fromage ?
Oui, bien sûr et elle est souvent dictée par la télévision, ses publicités et ses émissions. Par exemple, si dans un “Top chef” on vous présente une recette avec un fromage, nombreux sont ceux qui vont vouloir la reproduire.
Les saisons rythment également les envies. On voit des clients rechercher le fromage qu’ils ont mangé en vacances comme pour se replonger dans l’ambiance.
Le Covid aussi a fait naître de nouvelles habitudes avec les apéros. Nous vendons depuis, plus de plateaux garnis.
Enfin, nos fromages à raclette font venir de loin. Ce sont notamment d’anciens clients qui ont déménagé et qui ont besoin d’un retour au source. Je vois aussi défiler les différentes générations d’une même famille. C’est très amusant !
Quels sont les petits plus de votre enseigne ?
Le service d’abord et toujours avec le sourire ! Le magasin propose également des sandwichs à midi et le concept fait mouche avec des produits frais et des salades faites maison préparées chaque matin.
Avec une équipe de 7 personnes, nous sommes capables d’ouvrir tous les jours, sauf le dimanche… et le 2 janvier. Une présence appréciée par nos clients qui ne manquent pas de nous le dire.