PORTFOLIO YANNICK MICHAUD

PORTFOLIO Yannick MICHAUD

michaudyannick@yahoo.fr

+33644091535

25 rue de l’Alcazar 11100 Narbonne

2021-2022: Passelac Roques, Narbonne

2020-2021: Isabelle Bonnard Architecture, Toulouse

2018 mars: stage Atelier CHORA, Chênée 2012:2014: collaborateur AXA, Lourdes-Argelès

2018 lauréat BELGIQUE Concrete Design Compétition: Tactility https://www.concretedesigncompetition.com/cdc8-tactility/

2018 participation Euregional Prize for Architecture, Hasselt http://www.eap-pea.org/participants/Yannick_Michaud

2018 Workshop Concrete Design Competition, Bruxelles https://vimeo.com/304928248?fbclid=IwAR0xNcmlmgg3UNnJTAnKs6qmHpN2UbVYYJcHJc88sdiV6WhIsKfMljTpu_w

2018 décembre Workshop MURLA 72H, Radelange https://www.murla.be/activites/sensibilisation-larchitecture/un-workshop-creatif-avec-les-etudiants-de-lulg

2017:2019 Master en Architecture ULG, Liège

2018:2019 Atelier Projet Ruralité Studio 1/1 Espace structure expérimentation Studio 1/1 Lumière

Atelier Projet Reconversion Studio 1/1 Mobilier et expérimentation béton

2014:2017 Bachelier en Architecture ULG, Liège

2012:2014 BTS Assurance, Lycée Marie-Curie, Tarbes

2010:2011 Bac S, Pierre Mendes France,Vic-en-Bigorre

Autocad x x x x . Archicad x . . . .

Photoshop x x x x . Sketchup x x x x . Gimp X X X . . Indesign x x x . . Vray x . . . .

Anglais X X X . . Allemand X X . . .

Mobilier - Cinéma - Aéromodelisme

Permis B

La reconversion de cet hangar en espace de vente de produits maraichers est le résultat d’une rencontre entre potentialités situationnelles et intrinsèques d’un bâtiment, et besoin programmatique.

Le hangar communal, ancien garage Mercedes, se situe à l’entrée du village sur la chaussée Cramptine et fait face au parc du château. Sa surface de 500m2 libre de tout obstacle ainsi que sa hauteur sous plafond de 5,70m lui confère une fexibilité propice au programme d’une supérette.

Ce village, victime de sa topographie caractérisée par 3 crêtes(+) et 2 fonds de vallées (-), se retrouve scindé en plusieurs parties éloignées. L’idée première est la métaphore d’un pont permettant d’éffacer les différences d’altitude.

La reconversion se veut précise et peu coûteuse, une rehausse de la toiture au Nord apparaissant comme une 5e façade requestionne et contextualise la signalétique commerciale en essayant de rapprocher « les lointains » du quartier Pichelotte.

Au Sud un auvent mécanisé vient surligner une ouverture dans l’angle s’ouvrant sur le centre communal . Au rez-de-chaussé, un volume technique, qui n’est autre qu’un prolongement des murs porteurs existants vient séparer l’espace de vente et de consommation de l’espace de stockage. A l’étage un volume de bureaux de sanitaires et un espace de repos pour les salariés est crée en réutilisant les éléments de bardage en béton cellulaire prélevés en facade. Un plancher prend place au dessus de l’espace de consommation au Nord, proftant de la surélévation de la toiture, ce néo-grenier est apte à accueillir des activités culturelles nocturnes telles que la projection de flms indépendants, des conférences en lien avec la culture biologique ou simplement devenir un espace de vente supplémentaire en cas de surplus de production.

Arréter une évolution du bâti se développant parallèlement aux courbes de niveaux et se concentrant sur les crêtes, en initiant un développement transversal sur lequel viennent s’établir des équipements, qui permettront de retrouver une certaine notion de «quartiers»

Ouvrir l’enceinte du Château pour mettre en relation les différentes zones auparavant scindées, en rendant le parc du Château public, et en y intégrant des sentiers de mobilités douces qui permettront sa traversée et la réduction du temps de marche des villageois.

La terrassement au Nord est conservé, sa surface ainsi que sa situation en surplomb de la vallée du Vicigal lui donne la capacité d’accueillir des activités de plein air. L’action de reconversion projetée ne se réduit pas à un simple espace de vente mais crée des scénarios de vie en rassemblant les habitants d’un village scindés en plusieurs quartiers, tout en lui donnant une envergure régionale.

1.Logements intergénerationnels, 2. Déprivatisation du château, place publique, logements airbnb, restaurant, 3.Piscine, pôle omnisport, crêche, tour observatoire et bureaux, 4. superette/salle de projection/petite restauration, serres, 5. Logements, 6. Centre de reinsertion sociale, brasserie, ateliers location/réparation vélos.

La reconversion de cet hangar en espace de vente de produits maraichers est le résultat d’une rencontre entre potentialités situationnelles et intrinsèques d’un bâtiment, et besoins programmatiques.

Le hangar communal, ancien garage Mercedes, se situe à l’entrée du village sur la chaussée Cramptine et fait face au parc du château. Sa surface de 500m2 libre de tout obstacle ainsi que sa hauteur sous plafond de 5,70m lui confère une fexibilité propice au programme d’une supérette.

La reconversion se veut précise et peu coûteuse, une rehausse de la toiture au Nord apparaissant comme une 5e façade requestionne et contextualise la signalétique commerciale en essayant de rapprocher « les lointains » du quartier Pichelotte.

Au Sud un auvent mécanisé vient surligner une ouverture dans l’angle s’ouvrant sur le centre communal . Au rez-de-chaussée, un volume technique, qui n’est autre qu’un prolongement des murs porteurs existants vient séparer l’espace de vente et de consommation de l’espace de stockage. A l’étage un volume de bureaux, de sanitaires et un espace de repos pour les salariés est créé en réutilisant les éléments de bardage en béton cellulaire prélevés en facade. Un plancher prend place au dessus de l’espace de consommation au Nord, proftant de la surélévation de la toiture, ce néo-grenier est apte à accueillir des activités culturelles nocturnes telles que la projection de flms indépendants, des conférences en lien avec la culture biologique ou simplement devenir un espace de vente supplémentaire en cas de surplus de production.

Le terrassement au Nord est conservé, sa surface ainsi que sa situation en surplomb de la vallée du Vicigal lui donne la capacité d’accueillir des activités de plein air. L’action de reconversion projetée ne se réduit pas à un simple espace de vente mais crée des scénarios de vie en rassemblant les habitants d’un village scindé en plusieurs quartiers, tout en lui donnant une envergure régionale.

maquette 1/750 265x370mm

< tôle de rive pliée laque noir mat RAL 9005 < membrane d'étanchéité EPDM 1.15MM < isolant polyuréthane PUR 150MM < membrane pare-vapeur < vis fixation acier cémenté type BACACIER < support d'étanchéité type BACACIER ALTEO 42.1010 hauteur onde 42 mm surface non laquée < chevrons lamellé collé type KVH 100x300mm < poutres lamellé collé type KVH 200X600mm < plat acier 15mm perforé < tige filetée ø 20mm

< vernis marin polyuréthane type Syntilor mat < plancher CLT 7 plis 280mm < poutre acier en L ep 20mm 280x150mm < Poutre en treillis 110x1500cm carré creux section 40mm soudée sur L 280x150mm < chassis ouvrant type CROWNDOOR sur verins hydraulique

< chappe coulée sur place coffrage vertical panneau bois bakélisé

Liège

M1 avec Thomas Compeers

Participation 28th Euregional Prize for Architecture

Face à un bâtiment monumental, étant un contexte à lui même, opaque et dont la particularité situationnelle est d’être sur une parcelle donnant sur les 2 rues parallèles, plutôt que de faire table rase du passé comme un criminel qui essaie d’effacer ses traces, le projet s’approprie le bâtiment sans le gâcher/corrompre, le transforme pour le personnaliser. Nous avons décidé de tirer proft de la situation initiale en donnant à voir, en permettant au public d’appréhender un intérieur d’îlot en le traversant. Le bâtiment, pouvant être considéré tel un « bâtiment machine » , par sa logique structurelle fonctionnaliste, engendre un potentiel de fexibilité important. Cette structure persiste dans l’élaboration de l’atmosphère et de la composition. Le programme: une résidence universitaire dans l’hyper-centre se développant sur 4 niveaux est soutenue par des fonctions artistiques, sportives et culturelles au rez-de-chaussée permettant d’appréhender les activités depuis la rue, de percevoir la cour intérieure et peut-être de ramener des activités sportives du RCAE dans le centre ville. Au vu des volumes intrinsèques à de telles fonctions , les caves au sous sol sont aménagées autour d’une cour et d’une circulation périphérique. Aucun volume n’apparait dans la cour et la perspective visuelle se projette de rue en rue simplement perturbée par un fltre de cimes d’arbres émergeantes. Chaque aile du bâtiment intègre une typologie de logements différente, une manière d’habiter et de vivre différente. Les circulations verticales d’origine reçoivent les espaces communs judicieusement placés à la rencontre de chaque aile. La cafétéria se projette en façade rue de l’université et fait le lien entre le rez-de-chaussée et le sous-sol. Les logements tramés par rapport à la structure exploitent les limites des hauteurs sous plafond disponibles. Le but du projet est d’en faire le moins possible pour donner le plus possible, le moins de formes pour le plus de sens, le moins de règlement pour plus de libertés. Considérer que le minimum n’est pas nécessairement misérable. À l’instar du carnaval monté à peu de frais, la pauvreté peut-être joyeuse, généreuse, démesurée.

vue entrée accueil

vue passerelle auditoire

vue entrée cour

coupe transversale coupe longitudinale

COUPE BB

COUPE AA ECHELLE 1/50

COUPE BB HSPL:2.26

détail technique chassis 1/50

Dimanche 21 mai 2017

Ce week-end c’était le week-end chez Papa à Angleur. Maman m’a déposé à la gare de Liège et j’ai pris le train tout seul pour la première fois. Papa m’avait dit que lorsque je voyais par la fenêtre une grande tour vitrée, je devais descendre et prendre le petit chemin et attendre dans la petite cour. Quand je suis arrivé je voyais même des gens circuler dans la tour, des escaliers et des rideaux. Les murs à l’intérieur semblaient un peu transparents. Lorsque je suis descendu du train des gens sur le toit de la tour m’ont lancé un avion en papier, d’autres siffaient les flles qui descendaient du train comme moi.

En bas de la tour il y avait des machines à laver où on voyait les gens faire leur lessive. Je pris le petit chemin qui descendait dans la cour alors que l’autre restait plat. Plus je descendais et plus je voyais ce qu’il y avait dans une petite salle. Il avait eu une fête, des gens y balayaient des confetis. Il y avait aussi des enfants qui jouaient au foot dans la cour et des mamans qui les surveillaient depuis les terrasses d’un autre bâtiment plus petit.

Derrière il y avait un jardin plus haut que la cour, je voyais des parasols dépasser d’une petite haie.

“ et oh ! Marcel !“

C’était papa qui m’appelait assis sur les marches en face de moi.

logements étudiants 6 chambres 160m2

vue intérieure living

N1

plan logements familles duplex/simplex 2ch+ 80m2

Toiture

Acrotère tole de zinc

Etanchéité bitumeuse collé Isolant rigide 200mm pente 3% Pare vapeur OSB 20mm Solives 100/200mm Plaque de platre 20mm

PLancher terrasse

Résine epoxy 40mm traitée extérieur Primaire d'accroche OSB 20mm

Lattage biseauté en pente 2% OSB 10mm

Pare pluie

Isolant rigide incompréssible Pare vapeur OSB 20mm Isolant acoustique Solive 100/200mm Plaque de platre 20mm

Facade

Plaque Eternit Equitone 12mm Lame d'air 50mm Pare pluie OSB 10mm

Isolation polyurethane 80mm Gitage 80mm OSB 5MM

Isolation Polyurethane 50mm Gitage 50mm OSB 10mm Pare vapeur Plaque de platre 20mm

Plancher RDC

Résine epoxy 40mm Primaire d'accroche OSB 20mm

Chevrons 10/20 Pare vapeur Isolation laine de roche 200mm Pare pluie

Fondation périphérique type semelle filante Fondation vide sanitaire plot béton

Master 2 avec Ryan Gopaulen - Youri Dor

Dans le prolongement du bâtiment de la maison des jeunes, le premier bloc de logement vient faire face au pignon intérieur et s’appuie sur un mur de soutènement. Le mur ralentissant la progression de l’eau en amont, venant ainsi créer une zone humide marécageuse propice à la création d’une micro- biodiversité, permet grâce a son épaisseur de se détacher de la dépression du terrain en offrant une liaison directe entre les 2 rues parallèles. L’énergie aquatique du bassin pouvant alors nourrir une pompe à chaleur et donner aux nouveaux logements une certaine autonomie énergétique. Un deuxième volume vient se positionner en tant que pivot entre la maison communale et le nouveau logement venant intimiser l’intérieur de l’îlot tout en engendrant une dynamique dans la potentielle création de nouveaux logements si l’achat du terrain en aval se concrétisait.

Les 2 entités de logements (7 à 14) par la compacité de leurs volumétries optimisent l’espace au sol, qui, additionné au passage à caractère public le surplombant, offre aux locataires la possibilité de s’approprier la quasi totalité de l’îlot.

Ne pas créer un plan de logement universel mais laisser le plan s’adapter aux usages et aux besoins de la commune mais aussi de ses usagers. Le plan se divise ou se multiplie passant de 40m2 à 80m2 grâce à une paroi coulissante et s’adapte à plusieurs scénari de vie, jeune célibataire, collocation de personnes âgées, famille avec adolescent à charge..

Les volumes structurés en CLT, sont habillés d’un bardage en bois brulé, technique permettant la pérennité de celui ci dans le temps, contrastent avec le contexte environnant.

Consciente de l’ambiguïté des limites entre espace public et privé, la projection se veut comme un dogme d’une nouvelle manière de vivre, laissant place à une fexibilité des usages et des appropriations comme réponse aux nouveaux besoins actuels d’une société altérée.

Master 1 avec Thomas Compeers

Exposition Archidoc#3 : Bernard Herbecq, Galerie des Beaux Arts, Liège

La lecture que la décomposition d’une armoire vernaculaire nous offre est celle d’un socle, lui permettant de se détacher du sol et de parois verticales qui soutiennent un fronton supérieur.

La réinterpretation proposée reprend la précédente lecture, en transformant le socle en une trame, un espace laissé libre d’appropriation et d’imagination, sur lequel des modules viennent se fxer. Socle et fronton sont identiques, sol et ciel tenus à distance par 4 rondins en bois emboités.

Les parois amovibles sont allégées en reprenant le caractère des nervures aéronautiques facilitant ainsi le montage et leur déplacement. Les parois jouent avec l’espace et permettent de se dissimuler, de laisser entrevoir, de fltrer la lumière à l’image d’un paravent.

Le montage bois contre bois permet de s’émanciper de l’utilisation de vis ou d’écrous.

découpe CNC contreplaqué sapin polonais 3 plis 4mm contreplaqué sapin polonais 9 plis 12mm tourillons bois Ø 30mm tige section ronde bois Ø 6mm fl acier Ø 1mm flm polyester type calque 300g/m2

photo: ©Romain Delathuy

Prototypage coffrage béton

Master 1 avec Thomas Compeers

Lauréats Belgique Concrete Design Competition « Tactility »

Le but de l’étude est d’arriver à créer un outil réutilisable permettant de mettre en forme la matière en pouvant gérer différents niveaux de courbures.

Le coffrage est composé d’un cadre en 3 parties chevillées venant pincer 2 membranes en néoprène de chaque coté. 2 plaques externes au coffrage viennent le structurer et lui apporter la rigidité nécessaire. Elles sont composées d’une matrice de percements par lesquels des poussoirs viennent s’appuyer sur la membrane en néoprène. La cohésion de l’ensemble du coffrage est permise par des tiges fletés traversantes et des écrous à oreilles

Les poussoirs par leur profondeur différente dans le coffrage créent des pressions et dépressions relatives.

contreplaqué bakélisé 2 faces 18mm membrane néoprène 6mm tige fletés Ø 8mm écrous à oreilles M3 Ø 8mm tourillons bois Ø 6mm sphères pin Ø 18mm

1 u gravier 4/8 1 u sable de rivière 0/2 1 u ciment portland II/A-LL 32,5 T 1/4 u eau

michaudyannnick@yahoo.fr // +33644091535/ // @yannickmichaud