Abana Magazine n°5

HIVER 2009 // MAGAZINE ABANA NUMERO 6 // ISSN 1779-3211

CULTURE URBAINE ET ENVIRONNEMENT

TOM POISSON RICHE A MILLION...

ILS SONT TOUS

NAIVE

ASA, TITI ROBIN, DUB INC & CO

2€

Sommaire NUMERO 6

PAGE 03 EDITO - « Chacun sa place », le poème de Kévin « Byss » Ovize PAGE 04 NATURAMA - Actualité cinéma « Nos Enfants nous accuseront » de Jean-Paul JAUD PAGE 06 TÊTE DECOREE - Portrait du nouvel album de Tom Poisson, un artiste « Riche à million »

PAGE 08 MUSIC DON’T STOP Ils sont tous NAIVE : portrait de la maison d’artistes NAIVE : Asa, Titi Robin, Dub Inc & Co...

PAGE 10 BLOC-NOTES - Livre du nouveau paradigme « L’enfant qui cherchait les étoiles » de Marianne Poncelet

HIVER

2009

ACTUALITE ABANA Culture Urbaine et Environnement Prix 2 € - NUMERO 6 HIVER 2009 N° ISSN 1779 - 3211 Edité par ASFINE - BP 40185 67022 STRASBOURG - Cedex 01 Dépôt légal à parution © 2009 ASFINE Magazine Abana Tél. 06.77.57.53.18 Rédactrice en chef Marie Kavuala Equipe de la rédaction ABANA Marie Kavuala, Kévin Byss, Grégory Dandelot, Paul Martin Photographe Anne-Laure Lemaître Tous droits de reproduction réservés, la reproduction intégrale ou même partielle des pages publiées dans la présente publication est interdite, quel qu’en soit le procédé, le support ou le média, sans l’autorisation de l’Association Ficus Nénuphar (ASFINE). Le prix de chaque numéro ABANA est donné sous toutes réserves : il peut être modifié après la période indiquée. Le magazine ABANA est une publication trimestrielle, réalisée par des demandeurs d’emploi pour leur permettre d’exprimer leurs compétences. Service Abonnement et renseignements au 06.77.57.53.18 / contact@abanasphere.fr.

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EDITO

JANVIER

2008

Chacun sa place

A LIRE AUSSI

LE MAGAZINE ABANA HORS SERIE AUTOMNE 2008 « La pénurie de l’eau dans le monde : les induiétudes de Binta » Ce numéro est paru dans le cadre des programmes d’information sur le thème de « La planète vue sous le cycle de l’eau » édités sur le site Internet « Environnement, Sciences et Scoiétés « du magazine ABANA

Il y a la terre, l’air, le feu, l’eau, le vide Leur unité garante de l’équilibre Pourtant si différents, tous coïncident C’est dans cet état qu’ils sont vraiment libres Aucun ne veut être autre, ils sont lucides Chacun veille sur l’autre, tous doivent ETRE pour vivre Si l’un devient l’autre, la fin est limpide Leurs différences garantes de l’équilibre Comme les poussières s’assemblent pour te faire vivre En toi est eau, terre, feu, air et le vide Prends conscience et respectes l’équilibre Veux tu soudain fondre ? Ou être solide ?

Que tes oreilles entendent, que ton coeur vibre La simplicité n’est pas insipide Chacun sa place, que l’orgueil ne t’enivre Chacun sa place et que l Amour nous guide …..

par KEVIN « Byss » OVIZE

extrait du recueil de poèmes « Ma Genèse - Mes Prières » Retrouver d’autres poèmes de KEVIN « Byss » OVIZE en ligne sur www.myspace.com/kevinovize

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NATURAMA

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ACTUALITE DU CINEMA

NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT

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SORTIE LE 05 NOVEMBRE 2008

NOS ENFANTS NOUS ACCUSERONT Un film documentaire français écrit et réalisé par Jean-Paul JAUD Durée 1h47

C’est le film évènement pour l’environnement de la fin 2008 ! « Nos enfants nous accuseront » est un documentaire d’actualité sur la santé de notre planète... vue depuis nos assiettes ! Et le documentaire met les pieds dans le plat, en mettant un coup de projecteur sur les relations directes entre la pollution de l’environnement, notamment de ses terres agricoles, l’alimentation et la santé. Voici un très beau film qui a été réalisé sans tabou, avec courage et clairvoyance par Jean Paul Jaud. Au delà d’un récit d’actualité, c’est toute l’histoire alimentaire, sanitaire et économique de la société du XXème qui est remise en question face aux besoins des génération future. La musique du film, composé par Gabriel Yared, joue le rôle d’un personnage particulier dans ce film : celui du spectateur qui exprime tous les ressentiments face aux

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propos dénoncés. Ce film est un constat amère avec cependant un mot d’ordre : Ne pas seulement constater les ravages, mais trouver tout de suite les moyens d’agir, pour que, demain, nos enfants ne nous accusent pas. Un hommage à la vie, à la nature. et un plaidoyer pour l’alimentation biologique et l’agriculture traditionnelle.

Synopsis C’est l’histoire de la courageuse initiative d’une municipalité du Gard, Barjac, qui décide d’introduire le bio dans la cantine scolaire du village.

Le réalisateur brosse un portrait sans concession sur la tragédie environnementale qui guette la jeune génération : l’empoisonnement de nos campagnes par la chimie agricole (76000 tonnes de pesticides déversées chaque année sur notre pays) et les dégâts occasionnés sur la santé publique.

ZOOM SUR

Jean-Paul Jaud

Le film « Nos enfants nous accuseront » est signé par le producteur et le réalisateur Jean-Paul Jaud. Pionnier de la télévision moderne, il a participé à l’aventure de la création de Canal+, en réalisant la retransmission des matchs de football sur cette chaîne.

Depuis quelques années, il se consacre à l’écriture cinématographique de documentaires qu’il tourne régulièrement et pour lesquels il a créé une maison de production avec son épouse, « j+b séquences ». Il nous a fait partager pendant une année la vie d’un berger des Pyrénées françaises, celle du chef cuisinier Guy Savoy ou encore du château Yquem, et aussi celle des ostréiculteurs de Marennes-Oléron. Attaché aux hommes, à la terre, aux terroirs, il exprime dans ses films une sensibilité écologique qui grandit au fil du temps. Il prépare actuellement un documentaire sur la biodynamie, une forme alternative d’agriculture biologique.

LE POINT SUR LE DEBAT : MANGER SAIN, C’EST VITAL !

Voici un documentaire important face au diagnostic actuelle sur la qualité de l’environnement : il pose clairement aux société modernes la question environnementale liée à la sécurité de l’alimentation et au respect de la santé du vivant ! Car tous les êtres vivants ont besoin de se nourrir pour assurer leur croissance. La contamination de l’eau, de la terre, de l’air, des sols peut modifier les substances nutritives à un bout ou à un autre de la chaîne alimentaire et mettre gravement en péril notre santé. Depuis plus de 50 ans, de nombreuses activités agricoles polluent l’air, la terre et l’eau, appauvrissent les sols et la biodiversité. Aujourd’hui, l’environnement est trop pollué et par conséquent s’alimenter risque de devenir synonyme de risques sanitaires. A l’aube du XXIème siècle, l’homme moderne doit revoir sa copie et adopter une agriculture respectueuse des ressources naturelles, de la richesse des terroirs et de la santé de ses enfants.

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TÊTE DECOREE

INTERVIEW 

TOM Poisson

est un chanteur qu’il est bon de voir en concert parce qu’il y travaille chaque détail. Il séduit aussi parce qu’il sait aborder des sujets sérieux sans les rendre pathétiques.

Son dernier album Riche à millions en est une parfaite illustration. Si Tom Poisson veut être un poisson volant, c’est parce que c’est beau poétiquement et que cela permet de goûter à différents éléments. C’est fait ...

Avec ce 3ème album réussi, Tom Poisson a pris son envol !

Aujourd’hui, je ne me vois pas changer de nom. Tom Poisson : c’est moi !

Avez-vous du mal à écrire certaines de vos chansons ?

En fait aucune de mes chansons n’est pénible à écrire car je travaille dans la facilité. J’attends le moment où c’est facile, où j’ai vrai ment envie d’écrire. Du coup, c’est simple car c’est comme de l’écriture automatique. Il suffit de laisser aller son instinct.

Est-ce aussi le cas pour la chanson Papa qui traite de la maladie d’Alzheimer de votre père ?

Dans le cas particulier de cette chanson, la difficulté a surtout été de trouver une musique qui ne fasse pas trop tomber dans le pathos. Je n’avais pas envie de trop me rependre, de trop en faire et de faire pleurer dans les chaumières. Je voulais que cette chanson touche les gens mais je n’avais pas envie de rajouter les violons. Je n’aime pas m’appesantir. Même s’il y a un coté chez moi qui est un peu nostalgique, je le contrebalance toujours avec de l’optimisme. Je suis content d’être là. Je suis content d’avoir les yeux ouverts. C’est le sens du titre de cet album : Riche à million. Cela veut dire : riche d’être simplement en vie, d’avoir d’avoir les yeux grands ouverts, de pouvoir chanter, faire plein de rencontre, plein de voyages. Cet esprit se retrouve dans beaucoup de chansons du disque. C’est un peu cela le fil rouge de l’album.

Par rapport à l’écologie, l’eau semble être votre élément. Est-ce un élément qui vous intéresse et est-ce que vous vous souciez au quotidien de la préservation de cet élément ?

Avec l’âge, il faut que je sois impérativement relié à la nature sinon je pète un plomb. En ce moment, je pense de nouveau à déménager, à changer mon mode de vie et à aller dans la nature parce que je sens que j’en ai besoin. Il faut vraiment que j’y sois relié.

En terme de pollution, je me soucis de la pollution de l’eau et de tout le reste. Il m’est impossible de jeter un papier par terre en ville.

Je deviens cinglé à chaque fois que je vois un type ouvrir la fenêtre de sa bagnole pour jeter son paquet de clope vide sur la chaussée. Pour autant, je ne suis pas un chanteur militant. Ma façon de faire de la politique : c’est de parler, dans mes chansons, de ce qui a de l’importance pour moi dans ma vie. J’y parle beaucoup de nature. Mais aussi d’amitié, d’amour, de partage. Sinon, par rapport à mon nom Tom Poisson, j’ai choisis ce nom en 5 minutes et ce n est que six mois après que j’ai trouvé une explication. Ça m’arrive souvent. Aujourd’hui, je ne me vois pas changer de nom.

Tom Poisson : c’est moi !

UNE QUESTION BÂTEAU POUR TOM POISSON...

Quel type de poisson êtes vous?

Un poisson volant : j’aime bien ça car il peut goûter à différents éléments.

Cela me plaît aussi poétiquement. Sinon, je pense que je suis comme beaucoup de gens. J’ai ma part sombre : ma part carnivore. J’ai envie de réussir dans ce que je fais. Mais, je n’ai pas envie de bouffer les autres pour autant. Je pense que je peux être beaucoup de poisson. Un poisson clown un jour, un poisson volant un autre jour, etc...

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A l’époque je n’étais pas sur le même terrain artistique qu’aujourd’hui, je m’amusais et je cherchais à faire rire tout le monde... ça marchait assez bien. Ce n’est que beaucoup plus tard que je me suis fait prendre au jeu de me raconter à travers mes chansons, de mettre des choses sérieuses dedans : des choses qui me touchent, des choses de la vie. Même si j’ai toujours garder un esprit de dérision...

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TOM POISSON RICHE A MILLION...

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MUSIC DON’T STOP

CHRONIQUE

ILS SONT TO

JOYEUX NAIVERSAIRE

Naive est une société qui a été fondée il y a dix ans, en août 1998 par Patrick Zelnik (l’ex-fondateur en France de Virgin et des Virgin Mégastore) et par Gille Paire. Le concept dès son origine a été d’être un indépendant multiculturel d’abord dans la musique, et puis dans l’édition de livres et la production de DVD. A terme, l’objectif de Naïve est d’être présent dans d’autres domaines culturels, comme le cinéma. L’autre objectif de Naïve est d’être totalement indépendant, avec une distribution autonome en France et dans le monde : Naïve sera un acteur de l’industrie multinationale ou ne sera pas. Côté musique, c’est en 1998 avec le rachat de la société Auvidis, que Naïve devient un spécialiste de la musique du monde et de la musique classique. Aujourd’hui, la maison d’artiste représente plus de 10% du marché de la musique classique. Depuis sa création, pratiquement chaque année représente une date clé pour le développement de Naïve avec de grands moments :la signature du groupe Muse et Pink Martini en 1999, Carla Bruni en 2002, Asa et Moriarty en 2007. Et audelà, le pari fou, un brin « naïve », de la diversité a aussi été gagné au plaisir des amateurs de littérature ou de musique...

ASA = [Asha]

c

’est l’autre façon

de nommer Bukola Elemide, de son vrai nom. En yoruba (langue du Nigéria), Asa signifie petit faucon, et plus exactement «the speed of the bird» (à traduire par « la vitesse de l’oiseau », ou « l’oiseau rapide »).

En Afrique, cet animal est connu pour avoir une vision globale des choses et sa capacité à changer très vite de direction. Aujour’dhui, à 22 ans, Asa se retrouve en haut des charts, avec son album éponyme [Asha], mélange de soul, de funk, de pop et de roots reggae.

Tel un oiseau au regard perçant, dans ce premier opus, Asa parle de tout : amour, guerre, tolérance et chaque chanson est un univers différent Cet album fait d’elle la grande révélation soul de l’année, récompensée récemment par le prix Constantin.

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Le nom de votre Album est «Asa».

Est-ce que cela veut dire que si une personne écoute cet album en entier, il peut avoir une idée complète de vous ?

Oui et non !

Disons plutôt qu’une personne qui écoute cet album pourra ce faire une première idée de moi.

Vous savez cet album doit être pris comme une «introduction».

Imaginez que je vous rencontre une première fois ! Je vais vous dire : Salut ! Mon nom est «Asa» !

C’est cela l’album «Asa» : c’est une introduction !

Je me sens problèmes par l’écolog et le réchauffem climatique.

J’essaye toujours de faire tout ce qui peut êtr fait et pour alerter les gens sur ce genre de problème. :

Dans «Fire on the Moutian», vous dîtes : « One day the rivers will overflow and there will be not place for us to go (1) » .

Estce un clin d’oeil aux problèmes du réchauffement climatique ?

En réalité, je veux surtout dire qu’aujourd’hui nous perdons le contrôle de beaucoup de choses : pas seulement d’un point de vue écologique. Je pense, par exemple, à toutes les guerres auxquelles nous assistons. Que vont devenir tous ces enfants qui grandissent au milieu de cela ? Vontils rester innocents ?

OUS NAIVE...

s concerné par tous les de ce monde et donc gie

LES 10 ANS DE DUB INC...

Le groupe Dub Inc a également fêté ses dix ans

ment

en septembre 2008, une année marquée également par la sortie de leur troisième album « Ifrikya » sorti en mai dernier.

La troupe sera en tournée sur toute la France à partir du mois de mars 2009. Quelques dates: 21 mars 2009 au Festival Chorus (Paris) / 25 avril 2009 aux Artefacts (Strasbourg).

e e re

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We got to do what it need to be done to save our earth, our planet !

(Nous devons tout faire pour sauver notre terre, notre

ils sont tous naïve

planète) ! Dans beaucoup de vos chanson, vous faites référence à la religion. Par exemple, dans le refrain de «Jailer», vous citez une phrase de la Bible : Let he be without sins, be the first to catch the stone (Que celui qui n’a jamais péché, jette la première pierre). Est-ce que la religion est quelque chose d’important pour vous ?

La religion est réellement quelque chose que j’ai en moi. Vous savez le Nigeria est un pays très croyant donc la religion fait partie de notre morale. Mais, en réalité, dans «Jailer» quand je fais référence à la phrase de la Bible que vous citez, je veux surtout dire que nous sommes tous coupables (moi y compris !). Quand je chante cette chanson, je veux juste rappeler toutes les choses que chacun d’entre nous pourrait faire contre les (mauvaises) décisions qui sont prises (dans notre société).

ils sont tous naïve ils sont tous naïve

(1) Traduction « Un jour les rivières déborderont et il n’y aura plus d’endroit sur cette terre où aller »

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BLOC-NOTES

LIVRE DU NOUVEAU PARADIGME

L’ENFANT QUI CHERCHAIT DES ETOILES

Vivre en ville aujourd’hui n’est pas si évident que ça ! Les enfants ne connaissent pas la nature, un logement correct n’est pas à la portée de tous, il faut travailler dur pour financer un bienêtre couteux, l’individualisme créé le stress, la solitude, la dépression, la violence, la peur...

Dans son conte, «L’enfant qui cherchait des étoiles», Marianne Poncelet dresse le bilan des valeurs humaines et de bien-être qui manquent dans nos sociétés modernes. Tous ses personnages, les jeunes comme Ali, Juan, mais aussi des moins jeunes, comme Charlie, le clochard, ou Maya, expriment chacun un mal-être, lié à la vie en ville. C’est ce désir «d’ailleurs» qui les entraînent dans une quête commune, à la recherche «des étoiles».

Face à ce constat d’actualité, le conte de Marianne Poncelet nous rappelle que la Nature et l’art peuvent aider à la re-tructuration de l’être.

Ainsi, c’est la rencontre avec un primitif dans un théâtre perdu dans le désert que la petite troupe des villes trouvent les réponses à leurs questions existentielles.

A travers ce conte, qui s’adresse aux enfants de tout âge, que Marianne Poncelet nous pousse à comprendre les fondements d’un nouveau paradigme qui prendrait de fait en considération les préoccupations nouvelles de ce début du XX1ème siècle.

UN LIVRE NOMINÉ PAR LE MAGAZINE ABANA

SOUS LE SIGNE DE LA

PLANETE

Marianne Poncelet est Secrétaire générale de l’International Yehudi Menuhin Foundation, où elle est en charge du réseau MUS-E - programme européen de lutte contre le racisme et la xénophobie par la pratique de la musique, de la R EU danse, de la peinture et des arts UT L’A DE OS OP A PR du corps Aussi loin qu’elle s’en souvienne, Marianne Poncelet a toujours aimé écrire. Enfant déjà, elle voulait être écrivain. Ses parcours et ses rencontres ont toutes été source d’inspiration pour des textes qu’elle écrivait au fil de ses voyages en Europe, en Asie ou en Amérique Latine RDV SUR INTERNET Site officiel : www.marianneponcelet.be Interview : www.abanasphere.com/livre.html

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M U B L A L NOUVE LE 17 MARS 2009

DANS LE CADRE DE LA

G

N I A S R E G N

NN O R I V N E ’ L E ED N I A M E S A L ET DE

MA

BOUR S A R T S E D ITE S R E V I N U ’ L EMENT A

! l a t i v t s e t ’ n o r e c s u c c A s u ILM

F U D R U UTO A T A B NE DE

CI E E R I SO

o N s t n a f n E s o N

LE 26 mars 2009 à A L’Universite de Strasbourg Infoweb www.journeesdelaterre.com