EN FRANÇAIS 3 - GUIDE PEDAGOGIQUE by addora

MÉTHODE DE FRANÇAIS

TABLE DES MATIÈRES Apprendre le français pour vivre ses rêves………………………………… 01  

Les niveaux et le public Les composants de la méthode

Les principes méthodologiques ………………………………………………… 05 

L’approche : faciliter l’apprentissage …………………………………..…….....… 05         

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Lisible par tous : vive la police ! Centrée sur l’apprenant: pour une école utile ! Collective: la clé de la réussite Motivante: non, la curiosité n’est pas un vilain défaut ! Active et inductive: réfléchir pour retenir En situation et en contexte : pour être compétent ! Différenciée : de la bienveillance en toute chose ! En spirale : le temps de la maturation Actionnelle : enfin, du sens !

L’approche : faciliter l’enseignement …………………………………..………….. 12     

Structurée, rigoureuse, simple et efficace Fidèle aux recommandations du CECR Les compétences langagières Les 100 verbes à connaître Les points grammaticaux à connaître

Chapitre 1 …………………………………………………………………………………….19          

Quelques stratégies ………………………………………………………….………. 19 Pages 6-11 …………………………………………………………………….…………. 21 Pages 12-15 ………………………………………………………………….……………. 27 Pages 16-19 ………………………………………………………….…….…..…………. 30 Pages 20-21 …………………………………………………………...……..……….…. 32 Pages 22-23 ……………………………………………………………………..……..…. 34 Pages 24-25 ………………………………………………………………..………..……. 38 Pages 26-27 ……………………………………………………………..………..………. 42 Pages 28-29 …………………………………………………………………….....……… 46 Pages 30-31 ………………………………………………………………………….…… 61

Chapitre 2 …………………………………………………………………………………… 66                 

Ecouter, oui mais pourquoi ? …………………….…………….………………. 66 Quel genre de documents ?………………………………………….……..……. 67 Les stratégies d’écoute …………..…………………………………………………. 68 Page 32 …………………………………………………………….…………..…………. 71 Page 33 …………………………………………………………….…………..…………. 72 Page 34 …………………………………………………………….…………..…………. 73 Page 35 ………………………………………………………………….……..…………. 75 Page 36 ………………………………………………………………….……..…………. 77 Page 37 …………………………………………………………………….…..…………. 80 Page 38 ………………………………………………………………………...…………. 82 Page 39 ………………………………………………………………………...…………. 84 Page 40 ……………………………………………………………………………………. 86 Page 41 ……………………………………………………………………………………. 88 Page 42 ………………………………………………………………………...…………. 92 Page 43 ……………………………………………………………………………………. 93 Page 44 ……………………………………………………………….………..…………. 96 Page 45 ……………………………………………………………….………..…………. 98

Chapitre 3 ………………………………………………………………………………… 100          

La démarche inductive ……………………..…….…….………………………. Pages 46-47……………………………………………………….………..…………. Pages 48-49……………………………………………………….………..…………. Pages 50-58………………………………………………………………...…………. Pages 59-67………………………………………………………………...…………. Page 68 ……………………………………..……………………………….…………. Pages 69-73………………………………………………………………...…………. Pages 76-83……………………………………………………………………………. Pages 84-85……………………………………………………………..……….……. Pages 86-89……………………………………………………………..…….……….

100 101 103 104 106 114 115 119 124 126

Chapitre 4 ……………………………………………………………………………….. 129       

Pour travailler le vocabulaire ……………..….……………………..……….. Page 90……………………………………………………………..…………..…….…. Page 91……………………………………………………….…………..……..………. Pages 93-94……………………………………………………………..……….……. Pages 95-96……………………………………………………………..……….……. Page 97 …………………………………………………………………..……….…….. Pages 98-100 ………………………………………………………..…….………….

129 134 135 138 140 141 143

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Pages 101-103 ………………………………………………………..…..…………. 146 Pages 104-106 ………………………………………………………….……..….…. 149 Pages 107-108 ………………………………………………………….……..….…. 154

La méthode « Apprendre le français pour vivre ses rêves » En Français est une méthode de français sur trois niveaux destinée à des adolescents. L’ensemble couvre les niveaux de A1 à B1 du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Plus spécifiquement, En Français 3 s’adresse à des apprenants niveau A2 et vise l’acquisition de compétences du niveau B1 décrit dans le CECRL. Il correspond à une année d’enseignement. Les niveaux et le public Chaque manuel correspond à un an d’enseignement. En Français 1

niveau A1-A2

yod

En Français 2

niveau A2-B1

yod aleph

En Français 3

niveau B1

yod beth

Les composants En Français 3 comprend :  Des activités interactives sur le site www.france-web.com  Un livre de l’élève  la lettre de l’inspectrice générale de français  le sommaire  4 chapitres correspondant aux différentes épreuves du bac :

 lire (comprendre un texte et répondre à des questions)  écouter (compréhension orale)  comprendre la langue (travail grammatical et syntaxique)  écrire (productions écrites, VIP et descriptions d’images)  un dictionnaire

 Un guide pédagogique  la présentation de la méthode, de ses composants et des principes méthodologiques mis en œuvre  un accompagnement à l’utilisation du livre de l’élève  les corrigés ou les propositions de réponses pour toutes les activités, les transcriptions audio  des suggestions d’activités complémentaires  Le tableau des verbes avec les temps étudiés (présent, impératif, passé composé, imparfait, plus-que-parfait, futur, subjonctif présent, conditionnel présent).

Les principes méthodologiques L’approche : faciliter l’apprentissage

 Lisible par tous : vive la police ! Les typographies utilisées dans ce manuel sont, d’après les dernières études, les mieux adaptées aux enfants souffrant de dyslexie. Elles sont d’une lisibilité plus grande et permettent ainsi à tous de se sentir intégré dans le groupe classe.

 Centrée sur l’apprenant : pour une école utile ! La place de l’apprenant est primordiale. Les activités proposées lui offrent de nombreuses opportunités d’interagir avec les autres dans des situations variées. L’apprenant est actif, il développe ses aptitudes d’observation et de réflexion pour s’approprier la langue, autant de stratégies d’apprentissage qui l’amènent progressivement vers l’autonomie. Enfin, la démarche interculturelle lui permet de découvrir la culture de l’autre, tout en réfléchissant sur sa propre culture. « Apprendre à apprendre » est une priorité pour la vie.

 Collective : la clé de la réussite Une méthode conçue pour le travail de classe. Les tâches et activités favorisant l’interaction et la coopération sont repérables par le pictogramme « à faire ensemble ». Les bénéfices d’une activité collaborative sont inestimables. Cela favorise en premier lieu l’entraide et le partage ; c’est aussi le moyen de renforcer la cohésion du groupe-classe. Enfin, tout en valorisant différentes sortes d’intelligence, les élèves devenus acteurs de leur apprentissage sont responsabilisés les uns par rapport aux autres. Le professeur ne fait plus un one-man show : le partage des idées est important pour les élèves car il les amène à questionner les stratégies des autres

et à développer leurs idées. Le professeur s’efface au bénéfice d’une dynamique où les élèves écoutent vraiment leurs pairs et se parlent.

 Motivante : « Non, la curiosité n’est pas un vilain défaut ! » Pour que l’apprentissage se fasse dans les meilleures conditions, nous devons motiver nos élèves et les mobiliser dans une démarche collective. Les thèmes abordés ont pour principal objectif de susciter chez l’apprenant un réel intérêt pour la société française et le monde francophone. Ils lui permettront également de développer des savoir-faire et un savoir-être indispensables à toute communication réussie. Les textes abordent différentes thématiques, proches de l’univers des adolescents, afin d’éveiller leur attention et de susciter leur intérêt. Des sujets propices à la discussion, au débat favorisent l’interaction en classe, car c’est dans l’échange avec l’autre que l’on avance efficacement dans un apprentissage et qu’on apprend à respecter les valeurs de différence et de tolérance. La perspective d’enseignement est toujours positive : on va du connu vers l’inconnu, du global vers le spécifique. Le rôle du professeur est celui d’un guide qui facilite l’apprentissage, aide à lever les obstacles de tout ordre et met en place des activités motivantes et ludiques. Tout est fait pour faciliter les échanges interactifs et donner envie de communiquer en langue étrangère.

 Active et inductive : réfléchir pour retenir ! C’est un fait connu aujourd’hui : seuls des élèves actifs, expérimentant en interaction apprennent bien. Le regard et la parole des autres stimulent la mobilisation des connaissances et leur mise en commun dans un projet collectif et collaboratif.

C’est pour cette raison qu’il faut rendre les élèves acteurs de leur apprentissage : -

Dans la découverte de nouveaux points de langue, grâce à une démarche d’induction et de conceptualisation. Dans le chapitre 3, on trouvera un descriptif de la démarche inductive. Si le professeur a tout intérêt à privilégier cette approche, cela n’exclut pas pour autant d’utiliser aussi, de temps en temps, une pédagogie explicite. D’abord, cela fait gagner du temps : c’est le principe qui anime la pratique de l’école inversée. L’élève a la réponse mais il doit quand même réfléchir à la stratégie. Ensuite, cela permet de varier les procédures de classe. Enfin, l’utilisation de ces deux approches inductive et explicite répond aux besoins de différents types d’élèves.

Dans le réemploi, « la mise en situation », grâce à des activités qui permettent l’autonomie.

Seule l’action impacte à long terme. Ainsi, les élèves comprennent ce qu’ils apprennent et pourquoi ils l’apprennent. Mais comment rendre nos élèves actifs ? En les motivant. C’est sans doute la condition la plus difficile à réaliser. Pour cela, nous proposons de stimuler leur curiosité, de donner du sens à l’apprentissage grâce à des ressources qui, proches des centres d’intérêt des ados, débouchent sur une réflexion sur eux-mêmes, sur l’autre, sur la société où ils vivent et sur les valeurs qui leur importent. Montaigne au 16ème siècle expliquait déjà que « l’enfant n’est pas un vase qu’on remplit mais un feu qu’on allume ». Quand il cherche lui-même les réponses aux questions qu’il se pose, quand il développe lui-même une stratégie d’apprentissage, l’apprenant passif devient actif, de réceptacle, il devient partie prenante.

Les unités du chapitre « Travailler la langue » sont délibérément courtes, adaptées au rythme de l’emploi du temps et de la capacité de concentration des jeunes : nous vivons à l’époque du zapping ! Dans la perspective de respecter le rythme de chacun, le site propose un grand nombre d’exercices et d’activités complémentaires. En effet, la répétition est l’alliée de la mémorisation mais on n’est pas obligés d’ennuyer nos élèves avec ! C’est pourquoi, de nombreux jeux et activités qu’on trouve sur le site permettent l’assimilation grâce à la répétition mais envisagée à chaque fois sous un autre angle, dans un autre contexte. On ne trouvera pas dans ce livre d’évaluation. En effet, Le Bac est un autre livre de la série qui permet l’évaluation tant formative que sommative.

 En situation et en contexte : pour être compétent ! Apprendre, ce n’est pas seulement connaître : c’est savoir utiliser ce que l’on connaît. Pour devenir compétent, l’élève doit d’abord comprendre et mémoriser ce qu’il a appris, mais aussi se servir fréquemment et avec succès de ce qu’il a appris. Tous les professeurs le savent : les élèves au moment d’une production écrite ou orale, en situation oublient tout ce qu’ils ont pratiqué dans des exercices de type structuraliste visant à systématiser et à fixer l’acquisition alors qu’ils excellent dans les exercices à trous ! C’est probablement un signe sinon le signe qu’il est temps de changer de méthodologie : on apprend bien ce dont on a besoin ! C’est d’ailleurs les conclusions des chercheurs en neurosciences : le cerveau mémorise à long terme les savoirs et les compétences qu’il peut utiliser régulièrement. Le reste, il l’élimine car il n’en a pas l’utilité. La pédagogie actionnelle, organisée autour d’objectifs et de la tâche finale reprenant toutes les acquisitions tente de pallier cette cassure dans l’apprentissage

en mettant l’accent sur la finalité et en montrant par la-même que les exercices de grammaire ou de travail sur la langue ne sont que des outils, des moyens et non la fin, même si, l’apprentissage de la grammaire est essentiel. De plus, conformément aux recommandations du CECR, progressif, et donc toujours en contexte, le vocabulaire est acquis petit à petit grâce à une démarche en spirale. La maîtrise d'un bagage lexical progressivement étoffé est en effet capitale tant pour la compréhension en lecture que pour l'expression écrite et orale, ainsi que pour l'enrichissement de la culture des élèves. Afin d'être obtenue, elle doit faire l'objet d'un travail spécifique et régulier, s'appuyer sur une démarche ouverte, conciliant les approches linguistique, culturelle et anthropologique, et s'articuler avec les pratiques de lecture, d'écriture et d’oral et se prolonger par des activités de mise en autonomie

des élèves. À la fin du livre, le dictionnaire reprend tous les mots nouveaux classés par ordre alphabétique.

 Différenciée : de la bienveillance en toute chose ! La multiplicité des outils et des ressources proposées dans le livre et le site est en elle-même la garantie d’une approche différenciée. En effet, lors des activités en autonomie, chaque élève a la liberté de progresser à son rythme, en fonction de ses difficultés ou de ses centres d’intérêt. Le professeur est là pour guider, orienter, conseiller. La découverte de contenus nouveaux véhicule des émotions qui génèrent l’estime de soi, l’épanouissement personnel. Le renforcement positif, le regard bienveillant de l’enseignant sont de ce point de vue déterminants.  En spirale : le temps de la maturation La progression en spirale permet d’amener l’élève à de vraies compétences communicatives. Les contenus communicatifs et linguistiques sont travaillés et

enrichis de manière progressive, dans différents contextes. Ce n’est pas parce qu’une notion a été vue une fois qu’elle est enregistrée, acquise, assimilée et mémorisée pour toujours. Il est indispensable de revenir sur ce qu’on a appris pour avancer.

 Actionnelle : enfin, du sens ! L’apprentissage ne peut se faire efficacement que s’il répond à un besoin. Dans la réalisation de sa tâche, l’élève repère ses besoins et fait le tri entre ce qu’il sait (savoirs), ce qu’il est capable de faire (savoir-faire) et ce qu’il a besoin d’apprendre (savoir-agir). Les actes de parole -s’inscrivent à l’intérieur d’actions -qui seules leur donnent leur pleine signification. « Il y a une « tâche » dans la mesure où l’action est le fait d’un (ou de plusieurs) sujet(s) qui mobilise(nt) stratégiquement des compétences dont il(s) dispose(nt) en vue de parvenir à un résultat déterminé ». CECRL, extrait du chapitre 2 : Approche

retenue). L’usage d’une langue, y compris son apprentissage, comprend les actions accomplies par des gens qui, comme individus et comme acteurs sociaux, développent un ensemble de compétences générales dont une compétence à communiquer langagièrement. Les compétences générales individuelles reposent notamment sur les savoirs, savoir-faire et savoir-être qu’il possède, ainsi que sur ses savoir-apprendre. La tâche implique des compétences linguistiques, telles que la compréhension orale/écrite ou l’expression orale/écrite. Elle met aussi en place des processus cognitifs et pragmatiques entre différents acteurs sociaux. L’apprenant est un acteur social qui doit «se débrouiller » dans une situation plus ou moins réelle. La mobilisation des compétences cognitives, culturelles, linguistiques autour d’un projet donne du sens à l’apprentissage et accroît la motivation de l’élève. Enseigner le français langue étrangère implique le développement des compétences de compréhension et de production en langue française ainsi que

l’appréhension d’une nouvelle culture. La mise en place d’une tâche permet de mettre en œuvre une série d’actions comme :  Faire une liste (production orale, « brainstorming »)  Ordonner et classer (mettre de l’ordre dans le lexique)  Relier (introduire du sens)  Comparer (des définitions, des acceptions, des formulations)  Résoudre des problèmes (chercher des solutions.)  Partager opinions et expériences personnelles (exprimer un point de vue)  Faire des projets et exécuter des tâches créatives (un jeu, un concours, participer à un forum, un site, un blog, un journal, jouer un rôle, créer une affiche, faire une pub…) La mise en œuvre implique l’acquisition d’autres compétences comme par exemple :  La compétence numérique implique l’usage des technologies de l’information et de communication (TIC). Pour la réalisation de certaines tâches, les élèves doivent utiliser Internet.  La compétence « apprendre à apprendre » est liée à la méthode inductive et constructiviste qui pousse les élèves à prendre conscience des méthodes adaptées à leur façon d’apprendre et qui leur fait développer une réflexion personnelle sur leur processus d’apprentissage.  Les compétences sociales et civiques. Ces compétences sont mises en pratique du simple fait de l’apprentissage dans le groupe classe et des interactions avec les autres. L’élève, « acteur social », doit agir, prendre des décisions et exercer sa créativité lors de la réalisation de tâches.

L’approche : faciliter l’enseignement

 Structurée, rigoureuse, simple et efficace Une approche résolument pratique, progressive qui permet d’assimiler peu à peu les techniques de tous les exercices du bac. Le manuel est organisé en 4 grands chapitres correspondant aux différentes épreuves du bac. Les élèves avancent dans leur apprentissage de façon structurée et progressive, ce qui est de nature à rassurer les plus stressés. Les chapitres sont organisés en un parcours qui va des compétences réceptives (compréhension de l’écrit et de l’oral) aux compétences productives (travail sur la langue et production écrite). Une méthode au service du professeur qui le libère du souci de la préparation des contenus pour lui permettre de se concentrer à 100% à la conduite et l’animation de la classe.  Fidèle aux recommandations du CECR Le CECR insiste sur

l’importance de l’évaluation comme facteur

d’apprentissage et non pas seulement comme sommative, faisant le bilan préexamen, pré-delf ou pré-bac. L’évaluation devient désormais une réﬂ exion formative qui permet, menée à son bout, l’autonomie. En effet, elle est une aide pour l’élève qui réfléchit sur ses mécanismes d’apprentissage et fait le point sur ses savoir-faire. La partie « Je mets en situation » permet ce rôle d’évaluation formative.

« Le niveau B1 correspond aux spécifications du Niveau seuil pour un visiteur en pays étranger. Deux traits le caractérisent particulièrement. Le premier, est la capacité à poursuivre une interaction et à obtenir ce que l’on veut dans des situations différentes, par exemple : en règle générale, suit les points principaux d’une

discussion assez longue à son sujet, à condition que la diction soit claire et la langue standard, et fait passer de manière compréhensible l’opinion principale qu’il veut transmettre. Le deuxième trait est la capacité de faire face habilement aux problèmes de la vie quotidienne, par exemple : se débrouiller dans une situation imprévue dans les transports en commun ».  Compréhension écrite L’apprenant de B1 «peut comprendre des textes rédigés essentiellement dans une

langue courante ou relative au travail et il peut comprendre la description d’événements, l’expression de sentiments et de souhaits dans des lettres personnelles ». Il peut lire pour s’orienter dans un texte, s’informer et discuter. Il peut : o parcourir un texte assez long pour y localiser une information cherchée. o réunir des informations provenant de différentes parties du texte ou de différents textes afin d’accomplir une tâche spécifique. o comprendre les points essentiels d’articles courts sur des sujets d’actualité ou familiers. o reconnaître le schéma argumentatif suivi pour la présentation d’un problème sans en comprendre nécessairement le détail. o identifier les principales conclusions d’un texte argumentatif clairement articulé. o comprendre les prises de position et les interviews d’un journal ou d’un magazine sur des thèmes ou des événements d’actualité. o Saisir le sens de certains mots inconnus grâce au contexte. o Lire rapidement des textes brefs et trouver des informations importantes (qui a fait quoi et où).

o saisir les informations les plus importantes dans des brochures d’information de la vie quotidienne. o trouver et comprendre l’information pertinente dans des écrits quotidiens tels que lettres, prospectus et courts documents officiels. o suivre l’intrigue d’une histoire si elle est bien structurée, reconnaître les épisodes et les événements les plus importants et comprendre pourquoi ils sont significatifs.  Compréhension orale Il peut : o suivre une conversation quotidienne si le /la partenaire s’exprime clairement o suivre les points principaux d’une discussion d’une certaine longueur dans un langage standard. o écouter une brève narration. o comprendre les points principaux d’un journal radio ou d’un enregistrement audio simple sur des sujets familiers si le débit est relativement lent et clair. o saisir les points principaux d’une émission de télévision sur des sujets familiers si le débit est relativement lent et clair.  Production orale Il peut prendre part à une conversation et s’exprimer oralement en continu. Il peut : o commencer, soutenir et terminer une simple conversation en tête-à-tête sur un sujet familier ou d’intérêt personnel. o prendre part à une conversation ou une discussion. o se débrouiller dans la plupart des situations pouvant se produire en réservant un voyage auprès d’une agence ou lors d’un voyage. o demander son chemin et suivre les indications détaillées que l’on donne.

o raconter l’intrigue d’un livre ou d’un fi lm et décrire ses réactions. o exprimer des sentiments tels que la surprise, la joie, la tristesse, la curiosité et l’indifférence et réagir aux mêmes types de sentiments exprimés par d’autres. o raconter une histoire. o relater en détails une expérience et décrire ses sentiments. o décrire ses rêves, ses objectifs, ses espoirs. o justifier ou expliquer brièvement mes intentions, plans ou actes. o échanger un point de vue ou une opinion personnelle dans une discussion avec des connaissances ou des amis. o exprimer poliment son accord ou son désaccord.  Production écrite Il peut : o écrire un texte simple et cohérent sur des thèmes différents dans son domaine d’intérêt et exprimer des opinions et des idées personnelles. o rédiger des textes simples sur des expériences ou des événements pour le journal de l’école. o rédiger des lettres personnelles à des connaissances ou à de amis. o demander ou donner des nouvelles. o raconter des événements. o Raconter l’intrigue d’un livre ou d’un fi lm. o parler d’un concert, d’un spectacle. o exprimer dans une lettre des sentiments comme la tristesse, la joie, l’intérêt, la sympathie. o répondre à une annonce. o demander des renseignements complémentaires ou plus précis sur un produit (sur une voiture, un cours…).

o rédiger un fax, un courriel ou un message pour transmettre des informations spéciﬁques, simples et brèves à des amis.

 Compétences langagières o Étendue linguistique générale : « Possède une gamme assez étendue de langue pour décrire des situations imprévisibles, expliquer le point principal d’un problème ou d’une idée avec assez de précision et exprimer sa pensée sur des sujets abstraits ou culturels ». o Étendue du vocabulaire : « Possède un vocabulaire suffisant pour s’exprimer à l’aide de périphrases sur la plupart des sujets relatifs à sa vie quotidienne tels que la famille, les loisirs et les centres d’intérêt, le travail, les voyages, l’actualité, etc ». o Maîtrise de l’orthographe : « Peut produire un écrit généralement compréhensible tout du long. L’orthographe, la ponctuation et la mise en page sont assez justes pour être suivies facilement le plus souvent ». o Correction grammaticale : « Communique avec une correction suffisante dans des contextes familiers; en règle générale, a un bon contrôle grammatical malgré de nettes influences de la langue maternelle. Des erreurs peuvent se produire mais le sens général reste clair ».

 Les 100 verbes les plus fréquents d’utilisation qu’un apprenant B1 doit connaître : Les verbes irréguliers Etre Avoir

Aller

Faire

Les verbes du groupe 1 Trouver Donner

Parler

Aimer

Passer

Demander

Sembler

Laisser

Rester

Penser

Regarder

Arriver

Chercher

Porter

Entrer

Appeler

Tomber

Commencer

Montrer

Arrêter

Jeter

Monter

Lever

Écouter

Continuer

Ajouter

Jouer

Marcher

Garder

Manquer

Retrouver

Rappeler

Quitter

Tourner

Crier

Songer

Présenter

Exister

Envoyer

Expliquer

Manger

Espérer

Empêcher

Expliquer

Eprouver

Rappeler

Rencontrer

Les verbes du groupe 2 Finir

Agir

Les verbes du groupe 3 Dire

Pouvoir

Voir

Savoir

Vouloir

Venir

Falloir

Devoir

Croire

Prendre

Mettre

Tenir

Entendre

Répondre

Rendre

Connaître

Paraître

Sentir

Attendre

Vivre

Sentir

Écrire

Devenir

Retenir

Reprendre

Suivre

Partir

Mourir

Ouvrir

Comprendre

Lire

Servir

Recevoir

Perdre

Sourire

Apercevoir

Courir

Offrir

Souffrir

Descendre

Apprendre Reconnaître

Permettre

Valoir

Plaire

Apercevoir Conduire

 Les points grammaticaux (abordés dans ce livre) qu’un élève de Niveau B1 doit maîtriser : - Les temps du passé : passé composé, imparfait, plus que parfait. - L’accord du participe passé avec être -La révision du futur - Le subjonctif après les verbes de sentiment, de volonté, de possibilité, d’obligation - Le subjonctif après les tournures impersonnelles : il faut que, il est important que… - Les principales conjonctions suivies du subjonctif (pour que, bien que, avant que, à condition que, en attendant que, pourvu que) - Le conditionnel présent (souhait, politesse) - Les phrases hypothétiques (le réel et le potentiel) -Les pronoms relatifs simples - Les pronoms personnels - Les pronoms « en » et « y » - Le discours rapporté au présent et au passé - La concordance des temps. - La localisation temporelle : les prépositions (avant, pendant, depuis, il y a , dans) et les adverbes de temps et de fréquence - La localisation spatiale : les prépositions et les adverbes de lieu - L’expression du but, de l’hypothèse, de la condition, de l’opposition, de la cause, de la conséquence. - Les comparatifs et les superlatifs. - La négation, les négations particulières, la restriction (ne…que) - Les connecteurs chronologiques du discours : d’abord, ensuite, enfin… - L’expression d’articulations logiques simples : la cause, la conséquence, le but, l’opposition

Chapitre Quelques stratégies à utiliser / enseigner 1. Pour l’acquisition du lexique rencontré dans les textes. a. Stratégies lexicales ❶ J’explique en français de façon simple. ❷ Je trouve des synonymes ou des contraires. ❸ Je cherche des mots de la même famille ou des mots hyponymes (du même ensemble générique). ❹ Je n’hésite pas à chercher dans le dictionnaire les mots-clés. ❺ Je repère les polysémies.

b. Stratégies de mémorisation ❶ Je l’écris dans un cahier. Je n’écris pas forcément sa traduction. ❷ Je l’associe à une image. ❸ Je l’écris dans un exemple facile à retenir. ❹ Je répète le mot à haute voix. ❺ J’utilise les cartes de Quizlet (voir le site) ❻ Je fais les jeux de vocabulaire du site. ❻ Je me fais un dictionnaire personnel avec notamment les expressions rencontrées).

2. Pour la compréhension des textes ❶ Je regarde les illustrations s’il y en a : elles m’aident à comprendre le contexte. ❷ Avant de lire un texte, je commence par regarder sa forme et j’identifie le type de document. (blog, journal, article, forum…) ❸ Avant de lire un texte, je commence par comprendre (lire / traduire) le titre. ❹ Quand je lis un texte :

a. je repère d’abord le thème général avec les mots que je reconnais ou avec les mots qui ressemblent aux langues que je connais. b. je repère les connecteurs pour comprendre l’articulation du texte et son organisation. c. je surligne les chiffres, les dates, les mots- clés, les noms propres, les noms de lieu.

Chapitre

Livre de l’élève pages 6-11

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES LE TRAVAIL, L’ACTION HUMANITAIRE / LE BÉNÉVOLAT

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS Parler des différents types de bénévolat et d’emplois Parler de ses engagements Parler de ses qualités Parler de la blogosphère

PRAGMATIQUES

o Parler de différentes ONG humanitaires. o Classer les différents domaines d’action de bénévolat o Echanger sur les expériences personnelles de travail ou de bénévolat o Comprendre la présentation d’un organisme humanitaire o Exprimer son but, ses objectifs o Donner le profil d’un candidat/ d’un bénévole o Les différents blogs et leur fréquentation

OUTILS grammaticaux

LINGUISTIQUES

o Le but o Le futur o Les pronoms personnels

lexicaux

o Les qualités o Les jobs des jeunes o Le travail, le salaire

TÂCHE FINALE 1. Demander aux élèves en groupe d’imaginer une association à but humanitaire dans laquelle ils voudraient s’engager. 2. Allez sur www.needelp.com , faites la liste des services que donne le site , trouvez ceux que votre groupe peut proposer et comparez avec les autres groupes de la classe.

P. 6 Les meilleurs jobs du monde 1.

3. 4.

a. gardien d’une île b. pour promouvoir le tourisme c. 6 mois d. créer un blog / explorer les fonds marins / faire du bateau / se promener e. être bon nageur / maîtriser Internet / savoir l’anglais a. un site comparateur de prix b. un concours de shopping malin c. se faire connaître d. trouver les bons plans / publier un blog / voyager a. les conditions de travail b. 5000 euros et tous les vêtements qu’elle a achetés a. Faux « hebdomadaire » b. Vrai « guide en Afrique » c. Faux « fan » d. Faux « en première / hôtels 5 étoiles » e. Vrai « vertes de jalousie » a. 3 b. 1

P.8 Les jobs des jeunes 1.

4. 5. 6.

a. ils travaillent b. Yaël c. les maths a. paresseux b. au contraire c. la plupart d. les cafés, les restaurants, les colonies de vacances a. exploitent b. ils ne sont pas payés pendant la période de formation / ils n’ont pas de pausedéjeuner c. malgré la loi ils pensent que ça empêche de réussir les examens et de faire les devoirs gagner / indépendants / vacances / parents a. F La plupart / « à temps partiel » b. V « les petites annonces » On peut accepter aussi Faux (les petites annonces sur un site par exemple) c. F « selon leur âge » d. V « la loi que les jeunes connaissent mal » e. V « ce qui serait une catastrophe »

P.10 : Des vacances solidaires Infos générales : Les ONG (Organisation Non Humanitaire) Le terme d’ONG apparait en 1945 par le Conseil économique et social (Ecosoc) de l’ONU pour distinguer les organisations gouvernementales des organisations non gouvernementales, qu’on associait aux discussions sur certaines questions internationales. Ce sont, en général, des associations internationales qui militent pour des causes sociales : les droits de l’Homme, la solidarité internationale et l’environnement. Le tourisme solidaire Il partage des savoir-faire pour aider les populations et la protection de leur environnement. Exemples : formation d’adultes, soutien éducatif , aide scientiﬁque pour comprendre et protéger la biodiversité. Le tourisme équitable et solidaire Il est centré sur la rencontre humaine. La population locale est impliquée dans le projet touristique. L’accent est mis sur le respect de la personne, de la nature et une répartition plus équitable des ressources. Le tourisme vert ou écotourisme C’est un tourisme écologique qui comporte une part d’éducation et de sensibilisation à la nécessité de préserver le capital naturel et culturel et de se soucier du milieu naturel (à l’inverse du tourisme de masse qui détruit l’environnement).

1. 2. 3. 4. 5.

6. 7. 8.

« des vacances qui rapportent » « le farniente » utile / solidaire / important / valable sérieux, motivé, de bonne volonté les animaux, l’écologie, le social a. donner du sens à sa vie / agir pour la société b. au moins 15 jours c. ils travaillent : ils réparent un mur, participent à des fouilles ou nettoient un parc. « participent à toutes les tâches » « le choix des moments de loisir » responsables, autonomes, ouverts d’esprit, respectueux des autres, mûrs a. F « c’est ennuyeux » b. F « aucun diplôme » c. V « des vacances utiles, faites du bénévolat » d. F « les gens ne reçoivent pas de salaire » e. F « des activités de détente »

Pour aller plus loin (documents photocopiables) Les documents 1 et 3 sont naturellement utilisables aussi pour aller plus loin dans le dossier sur l’écologie. 1. Un article publié en 2014 sur le site d’infos : 20 minutes 2. Découvrir Workaways 3. Des images pour faire réagir

Les 8 commandements du touriste vert et durable Prendre des vacances et respecter environnement et population...

Oriane Raffin

Au quotidien, vous triez vos déchets, coupez l’eau en vous brossant les dents et privilégiez les achats bio ou équitables? En vacances aussi, quelques règles vous permettront de devenir un touriste vert et responsable... 1 - Les moyens de transport verts tu privilégieras. Evite l’avion ou la voiture, qui émettent des quantités considérables de CO2. Les voyageurs ont de multiples solutions pour limiter les émissions de gaz à effet de serre : la marche à pied, le vélo, le bus, le covoiturage ou encore les trains. 2 - Ta destination, avec soin tu choisiras. 10. 000kms en avion pour une semaine, c’est un peu court... Adapter la destination, choisir un pays qui respecte l’environnement... Tout est dans la préparation du voyage. 3 - La population locale tu respecteras. «Le tourisme durable est avant tout basé sur la notion d’échange et de respect», insiste le site Voyagespourlaplanete.com. Concrètement, on se pliera aux habitudes locales et on respectera les traditions comme, par exemple, s’embrasser en public choque dans certaines cultures. 4 - Tes déchets tu emporteras. Rien de pire qu’un paysage paradisiaque pollué par des sacs plastiques et des déchets? Alors pense à emporter de quoi emballer tes détritus pour les ramener dans un lieu adapté. Dans tous les cas, préfère les équipements réutilisables (une gourde plutôt que des bouteilles jetables, par exemple). 5 - Les ressources naturelles tu respecteras. L’eau est très précieuse. Privilégie des douches rapides plutôt que des bains. Idem pour l’électricité: certains pays ne sont pas indépendants énergétiquement, limite en particulier l’usage de la clim. 6 - La biodiversité tu préserveras. On n’arrache pas les plantes lors des balades: il peut s’agir d’espèces en voie de disparition. Pareil avec le corail, en mer : c’est un animal, laisse le vivre ! 7 - Des équipements intelligents tu utiliseras. Chargeurs solaires, lampes de poche à dynamo, etc.: place aux objets durables, et ça te fera des économies. Et pour le reste, on évite de polluer en utilisant un lait solaire plutôt qu’une huile (qui pollue plus dans l’eau). 8 - Le patrimoine tu respecteras. Sur les marchés de souvenirs, attention aux objets sacrés revendus ! D’une part, ils dépouillent le pays de ses richesses ; d’autre part, c’est illégal.

La première communauté mondiale pour le bénévolat, le travail et l'échange culturel Connectez-vous à plus de 30000 hôtes actifs de 170 pays! Partagez votre culture, vos compétences et vos langues avec les communautés locales, les projets et les familles. Workaway.info est un site créé pour promouvoir des échanges équitables, du bénévolat et des opportunités de travail entre voyageurs à petit budget, apprenants en langues qui peuvent rester avec des familles, des individus ou des organisations à la recherche d'activités variées et intéressantes. Donnez 4 ou 5 heures d'aide par jour et en échange, vous serez logé(e), nourri(e) et vous découvrirez de l’intérieur le mode de vie des habitants d’un pays. Workaway.info, ce sont des familles, des individus ou des organisations dans différents pays qui sont à la recherche d'aide bénévole dans des domaines différents. Leur philosophie est simple :

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Promouvoir la compréhension culturelle entre différents peuples. Permettre aux personnes voyageant avec un budget limité de vivre et travailler dans un environnement étranger: aider dans une famille, une ferme, une école, un projet culturel... Promouvoir l'échange entre des personnes de différentes nationalités et donner une

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chance aux volontaires de contribuer à une cause. Faire découvrir différents pays.

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1) En quoi consiste Workaway ? Comment ça marche ? Faites un petit résumé. 2) Quels sont les avantages de cette proposition par rapport à d’autres façons de voyager ? 3) Aimeriez-vous participer d’une telle expérience ? Quelle activité choisiriez-vous ? 4) D’un autre côté, seriez-vous intéressés à accueillir des workawayers ? Quelle pourrait être votre offre ?

Chapitre

Livre de l’élève pages 12-15

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES L’ÉCOLE

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS o Parler d’éducation o Comprendre des o arguments OUTILS

grammaticaux

PRAGMATIQUES

Analyser différentes conceptions éducatives Comprendre la structure d’un texte argumentatif. Identifier la nature des arguments.

LINGUISTIQUES

o Le futur o La différence futur / conditionnel

lexicaux

o Le lexique de la prise de position o Le vocabulaire de l’école, de l’éducation

TÂCHE FINALE 1. En groupe, vous réalisez un sondage autour de vous pour savoir quel est le système scolaire idéal. Préparez vos questions puis présentez vos conclusions dans un diaporama que vous présenterez à la classe. Comparez ensuite les différents résultats et débattez-en en classe. 2. Ta classe a l’intention de participer à un échange scolaire avec une école française. ou Informez-vous sur l’organisation du système scolaire. Choisissez 3 points qui sont différents du système israélien et expliquez ce que vous préférez. 3. Organisez un débat en classe. Composez des groupes « pour » et « contre » Une société privée a choisi votre école. Elle fournira gratuitement des équipements multimédias modernes tels que des téléviseurs, des lecteurs de DVD et des ordinateurs. Mais en échange, elle veut qu’on fasse de la pub pour ses produits sur les murs d'école, les agendas et les vêtements de sport.

p.12 : A quoi ressemblera l’école de demain ? 1.

a. les murs sont blancs, des affiches sur la vie scolaire, des tables et des chaises fonctionnelles. Aucun souci d’esthétique ou de design. b. chargé, strict, sans possibilité de choix. La présence est obligatoire. c. la majorité des cours sont obligatoires, pas optionnels. d. la technologie n’a aucune place. e. ils sont décidés par le ministère, le prof. L’élève n’a pas son mot à dire. f. strict : des interdictions composent le règlement. Beaucoup de lois, peu de droits pour l’élève. Un système très peu démocratique. a. ordinateur, tablette, tableau connecté b. la possibilité de travailler à la maison c. ils ressembleront à Steve Jobs d. plate-formes gratuites e. les recherches personnelles f. le but sera de développer des savoirs 1. l’école virtuelle, dans un nuage, les MOOC sur les plate-formes 2. le domaine qui les intéresse, les horaires flexibles, les recherches personnelles, 3. ils ne devront plus retenir par cœur des listes 1. c 2. b 3. b

P.14 : Et si on autorisait les bacheliers à se connecter sur Internet ? 1.

2. 3. 4.

5. 6. 7.

a. connectés quotidiennement b. 1. Quel temps il fera 2. A quel endroit e eu lieu un événement 3. Ce qui se passe dans le monde le net / le web / la toile b a. des outils pour repérer le plagiat / contrôler les écrans pendant l’examen b. donner à la culture numérique la place qu’elle mérite / encourager les profs et les élèves à l’utiliser c. à la calculatrice on vérifiera que l’élève a compris et pas seulement appris / démontrer les capacités d’analyse et de synthèse des élèves 3 a. F « la question fait débat » b. F « il existe des outils…plagiat » c. V « les notes correspondront à la réalité » d. F « régurgiter » e. F « les résultats n’ont pas baissé »

Pour aller plus loin Voici comment en 1910 on imaginait l’école en l’an 2000.

a. b. c. d. e. f. g.

1) Décrivez l’image A quoi sert la machine ? Que fait le professeur ? Où va le savoir ? Comment ? Que font les enfants ? Que voit-on dans la classe ? Quelle idée est-ce qu’on se faisait de l’éducation de l’an 2000 ? 2) Comparez avec l’école que vous connaissez aujourd’hui. 1) Quels sont les points communs ? 2) Quelles sont les différences ? 3) Comment imaginez-vous l’école en l’an 3000 ?

Chapitre

Livre de l’élève pages 16-19

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES INTERNET, LES RÉSEAUX SOCIAUX

OBJECTIFS Parler des nouveaux modes de communication Comprendre le fonctionnement d’une application Comprendre un phénomène de société OUTILS grammaticaux lexicaux

PRAGMATIQUES

o Les médias participatifs o Les réseaux sociaux

o Lire la description et la fonction d’une application

o Comprendre la description d’un phénomène o Comprendre des données et des pourcentages

LINGUISTIQUES o Le passé composé et l’imparfait o Les pronoms personnels o Le vocabulaire d’Internet : les réseaux sociaux, un moteur, un site, une application, un codebarres, scanner, un média participatif o Le lexique de l’alimentation : bon pour la santé, équilibré, gras, sucré, un additif, un régime,

TÂCHE FINALE 1.

Choisissez en groupe un endroit que vous connaissez et où vous avez l’habitude d’aller. Ecrivez un avis (en français) sur Tripadvisor pour recommander cet endroit.

Jouez le dialogue entre un nutritionniste et un patient qui a des problèmes de poids.

« Selon vous, que veut dire bien manger ? » Allez sur le site www.mangerbouger.com et postez votre opinion. Comparez avec vos camarades de classe.

P.16 : Peut-on faire confiance aux avis sur Internet ? 1. 2.

3. 4.

5. 6.

a. à cause des notes b. humiliés / l l’humiliation a. les avis / les commentaires b. les restaurants, les compagnies aériennes, les hôtels… c. beaucoup de gens renoncent à un achat s’ils lisent un point de vue négatif a. « il n’y a pas de contrôle » b. un critique payé par le restaurateur / le patron du restaurant / le restaurateur a. il écrivait de fausses critiques b. un restaurant imaginaire c. Oui, « le mieux noté de Londres » comparer différents sites / voir beaucoup d’appréciations a. V « on demandait à des amis des recommandations » b. F « des applications pour noter les commerçants de son quartier » c. F « 70% consultent les avis de consommateurs » d. V « le mieux noté » e. F « grâce à la complicité » f. F « le paradis du mensonge »

P.13 : Mieux manger ? Une question d’application(s)… 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

9. 10.

les produits trop sucrés, trop salés et trop gras ou trop pleins d’additifs parce qu’ils font grossir et ils sont mauvais pour la santé. manger mieux télécharger une application, photographier (scanner) le code-barres du produit parce que les utilisateurs ajoutent des commentaires et enrichissent la liste de produits c’est un signe de qualité qui peut faire vendre. les parents / les personnes âgées les Israéliens sont moins obsédés par leur santé / l’application n’est pas encore très connue a. télécharger b. trier c. sélectionner application = 1. comme en hébreu (une application sur portable) 2. la concentration et le sérieux a. V « la volonté des consommateurs de savoir ce qu’ils mangent » b. F « gratuite » c. F « les utilisateurs font vivre l’application de leurs ajouts » d. V « un signe de qualité » e. F « l’application n’est pas très connue »

Chapitre

Livre de l’élève pages 20-21

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES LES DROGUES, L’ALCOOL AU VOLANT

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS Comprendre un message Faire de la prévention Raconter

PRAGMATIQUES

o Comprendre des arguments o Analyser des statistiques o o o o o

Donnez des conseils Analyser des problèmes Trouver des solutions Parler de son expérience personnelle Raconter un accident

OUTILS LINGUISTIQUES grammaticaux lexicaux

Rendre, faire Les comparatifs Les pronoms relatifs L’expression de la conséquence positive et négative : causer, créer, aggraver, favoriser, améliorer, faciliter o Le vocabulaire des stupéfiants et de l’alcool o Le vocabulaire de la sécurité routière : les panneaux, la ceinture, la loi, le code de la route, l’agent de police, la route o o o o

TÂCHE FINALE 1. Jeu : en petits groupes, préparez un mime pour faire comprendre à la classe un aspect du code de la route. 2. Vous écrivez des articles pour le site de l’école pour sensibiliser les ados aux dangers de la drogue / de l’alcool. 3. On veut interdire le vélo électrique en ville. Organisez un débat en classe.

P.20 : Stupéfiants et conduite : connaissez-vous les risques ? 1. 2. 3. 4. 5. 6.

stupéfiant a. illégal b. mortel / fatal Ce sont des hommes généralement jeunes. Les drogues qui diminuent la qualité de la conduite : on a moins de réflexes, les réactions sont plus lentes on fait moins attention à la route et on n’a pas conscience du danger perdre le permis / une amende / 10 ans de prison

Pour aller plus loin : « Ivresse », le court-métrage de Guillaume Canet. 1. Avant le film : travailler le lexique - Le mot « ivre » - Le mot « ivresse » - Les expressions avec « ivre » : ivre de bonheur, de plaisir, de sensations fortes, d’amour, de douleur, de colère, d’alcool - Le vocabulaire de l’alcool

2. Regardez le film jusqu’à 1 :10 3. Les émotions des personnages : - A la montagne - Dans la chambre - Au parc d’attractions - Au restaurant 4. Regardez la fin du film. 5. Quelle est la conclusion du film ? 6. A votre avis, est-ce que ce film est efficace ?

Chapitre

Livre de l’élève pages 22-23

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES L’AMITIÉ

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS Parler des relations amicales

PRAGMATIQUES

o Donner une définition. o

Comparer l’amitié dans la vie et sur les réseaux sociaux.

o Parler de ses relations amicales

Décrire un ami

o Comprendre la caractérisation psychologique. o Décrire le caractère.

OUTILS grammaticaux

LINGUISTIQUES

o Les adjectifs, place et accord. o Bon, bien, mal, mauvais o Le plus important, c’est / c’est de o La négation

lexicaux

o Les qualités et les défauts d’un ami o Les copains : les amis, la bande, les potes o Des verbes : s’entendre avec, se confier à, faire confiance à, avoir confiance en o Les connecteurs o L’expression de la cause : car / puisque

TÂCHE FINALE Rencontrer de nouveaux amis n’est pas toujours facile. En France, « les PastasParty » sont très à la mode. Ce sont des soirées dans des restaurants, le dimanche soir, pour permettre à de jeunes célibataires de se rencontrer autour d’un plat de pâtes. Organisez en groupes une soirée de ce genre !

P.22 : Les copains d’abord ? 1. 2.

4. 5.

a. les parents ont peur que leurs enfants aient des problèmes relationnels et soient isolés. b. le « chat » sur les réseaux sociaux / les appels sur le portable / les textos (les SMS) a. les mêmes goûts (alimentaires, vestimentaires, musicaux) / les mêmes loisirs / le même langage b. « ils arrêtent tout pour l’aider » c. quand ils ont un problème à l’école / en amour / en amitié a. l’enfant leur préfère les copains b. 1. serviables 2. attentifs 3. tolérants c. ils souhaitent le bonheur de leur enfant (que leur enfant soit heureux) d. 1. la sécurité de l’emploi (le salaire) n’est pas importante : ils préfèrent un travail qui les intéresse et où ils se sentent utiles. 2. la famille passe avant le travail. C’est différent des parents. (1) parents (2) bien / libres / heureux a. F « leur bande de potes » b. V « ils arrêtent tout pour l’aider » c. F « ils gardent du temps pour leurs amis » d. V « ils s’entendent bien » e. F « les jeunes quittent la maison plus tard qu’avant » f. F « ils se sentent différents » vitale / conseil / problèmes / rencontrent / eux / social

Pour aller plus loin a. Définir les différents types d’amis b. Lire des définitions de l’amitié c. Regarder un film Pour info Il peut être intéressant de faire la différence entre les différentes sortes de relation amicale.

 L’ami virtuel : c’est une personne qui est dans nos contacts, sur les réseaux sociaux, quelqu’un qu’on ne connaît pas dans la vraie vie mais avec qui on a des points communs.

 Le « pote » : c’est le copain ou la copine avec qui on sort, on rit mais avec qui on n’est pas intime, on ne raconte rien de personnel.

 Le (la) meilleur(e) ami(e) : c’est l’ami de cœur qui sait tout sur notre vie, à qui on dit tout et à qui on peut tout demander.

 L’ami(e) d’enfance : c’est l’ami avec qui on a grandi, qu’on connaît depuis toujours.

1. Donne les 3 qualités les plus importantes pour un ami. 2. Complète la phrase suivante : « D’un ou d’une ami(e), j’attends… » 3. « Qui se ressemble s’assemble » Explique cette phrase. A ton avis, c’est vrai ou faux? 4. Es-tu un bon ami ? Décris-toi en tant qu’ami(e) et donne un ou deux exemples. 5. Regarde ce petit film : a. Entoure les qualités dont on parle pour définir le vrai ami : disponible / de confiance / sincère / qui sait pardonner / patient / sur qui on peut compter / fidèle / qui vous aime / qui ne juge pas / compréhensif / intelligent / drôle / franc b. Es-tu d’accord avec la définition du film ? Explique.

36 6. Les amis sur Facebook : juste « friends » ou vrais amis ? « Sur Facebook, votre valeur se mesure à votre nombre d’amis. Moins de 50 et vraiment, vous n’êtes pas grand-chose... Afficher beaucoup d’amis est la norme, et même la manière d’exister sur le réseau. Plus vous en avez, mieux c’est. C’est ainsi que sur Facebook, il n’est pas rare de voir des internautes cumuler 300 amis. Pourtant, dans la vraie vie, qui a plus d’une dizaine de véritables amis ? « (Jessica Pierronet Psychologies.com)

Lis les textes suivants. Avec qui es-tu d’accord ?

7. François Mauriac : « Le Jeune Homme » « Moi aussi... C'est comme moi... » Tels sont les mots qui d’abord les lient. Lecoup de foudre est de règleen amitié. Voilàleursemblable enfin. (..) Les mêmes choses les blessentet lesmêmes les enchantent. […] Dans l'amitié véritable, tout est clair, tout est paisible ; les paroles ont un même sens pour les deux amis. »

8. Louis Chedid : « Tu peux compter sur moi » « Si jamais tu cherches un refuge1, Une place où personne ne te juge, Tu trouveras toujours chez moi

‫מקלט‬un refuge 1 en avoir gros sur le cœur être triste

Un endroit qui ressemble à ça. Si un jour tu sens le besoin De parler à quelqu'un, De mettre des mots sur tes peurs, Si tu en as gros sur le cœur2 Tu peux compter sur moi. »

9. Herbert Pagani : « L’amitié » « C’est plus fort que les liens de famille, Et c’est moins compliqué que l’amour. (…) Et c’est là quand tu cries au secours. (…) C’est une arme pour tous les combats, Ça réchauffe, et ça donne du courage, Et ça n’a qu’un slogan : « On partage. (…) L’amitié, c’est un autre langage. Un regard, et tu as tout compris. Et c’est comme SOS Dépannages Tu peux téléphoner jour et nuit.

Chapitre

Livre de l’élève pages 24-25

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES LE SPORT, LES LOISIRS

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS Parler de ses loisirs Parler de sport

PRAGMATIQUES

Décrire ses loisirs

o Décrire les différents types de sport o Parler des qualités des sportifs

OUTILS grammaticaux lexicaux

LINGUISTIQUES

o Les prépositions de lieu o Le sport, les athlètes, se dépasser, se surpasser, battre un record, s’entraîner, faire des efforts, la compétition o Les connecteurs chronologiques o Les connecteurs pour ponctuer les étapes d’une argumentation

TÂCHE FINALE En groupe, créez une pub ! 1. Regardez cette pub : 2. Préparez une pub: Choisissez un objet (un aliment ou une habitude) dont vous souhaitez vous débarrasser et un autre objet (un aliment ou une habitude) que vous souhaitez intégrer à votre nouvelle vie saine. -

Imaginez le texte de votre pub (utilisez le subjonctif)

Trouvez un slogan.

Enregistrez votre pub.

3. Ecoutez les différentes pubs en classe.

P.24 : L’e-sport est-il un sport comme un autre ? 1. 2. 3.

4. 5. 6. 7. 8.

a. anglaise b. sport électronique (jeux vidéo) a. des jeunes de moins de 25 ans b. 20 à 30 minutes a. avoir des réflexes / être concentré / être tactique (stratège) / avoir l’esprit de compétition / aimer gagner / aimer être le meilleur / vouloir se surpasser b. 300 à 400 actions par minute c. aux échecs / aux autres sports Oui, ils peuvent gagner des millions. 1. Il y a des émissions toutes les semaines 2. 100 millions de spectateurs a. conditionnel présent b. c’est une information incertaine, non confirmée, douteuse le e-sport n’est pas un sport physique / le e-sport n’est pas conforme aux valeurs des JO à cause de sa violence a. V « la Chine, Israël, dans le monde » b. V « moins de 25 ans » c. V « des chaînes » d. V « 27 millions » e. F « Israël »

Pour aller plus loin 1. Classez des arguments sur le sport. 2. Un texte sur la musique française en Amérique.

1. Lis les arguments suivants sur le sport.  Ça encourage l’esprit d’équipe.  On le prend trop au sérieux.  Ça développe la volonté de réussir.  Il est bon pour la santé.  Le dopage est en augmentation.  Ça exige le dépassement de soi.  Pour les moins doués, c’est une torture.  Il apprend le respect des règles.  Il y a beaucoup de violence à cause du sport.  C’est un excellent moyen de combattre le stress.  On se blesse très facilement.  Il nous apprend à accepter la défaite.  Aujourd’hui, dans le sport de haut niveau, il ne s’agit que d’argent.  Les victoires unissent la nation.  Ça donne de l’énergie.  Ça apprend la persévérance et l’endurance.  Ça encourage le nationalisme et la xénophobie.  Ça demande de la discipline et enseigne le sens de l’effort.

2. Classe les dans un tableau les qualités et les défauts du sport. 3. Choisis 3 arguments et explique –les en donnant des exemples.

La musique française a-t-elle encore une place aux Etats-Unis ? En 2010, le DJ David Guetta et les rockeurs versaillais de Phoenix remportaient leurs premiers Grammy Awards pour des titres en anglais. Depuis, le nombre de concerts d’artistes français aux Etats-Unis augmente de 20% chaque année, selon l’agence de promotion de la musique française à l’étranger Bureau Export. Avec 57 100 ventes d’albums et 2,5 millions de téléchargements, Kungs fut la révélation française de 2017, suivi de près par Petit Biscuit et Caravan Palace. L’arrivée de ces artistes sur le marché américain suit la popularisation des mouvements DJ et « dance ». L’absence de texte ou les paroles en anglais les rendent accessibles à tous. « Le marché est plus favorable aux artistes qui chantent en anglais », admettent Pauline Guedj et Michele Amar, directrice du Bureau Export. « Mais certains musiciens qui privilégient le français enregistrent aussi des succès auprès des critiques et du public. » Les concerts de Jane Birkin au Carnegie Hall le 1er février dernier et de Camille au Poisson Rouge de New York ont affiché complet. D’autres artistes misent sur leur popularité auprès des communautés françaises installées dans le pays. Aujourd’hui, les artistes qui défendent leurs textes en français sur le sol américain se distinguent par leur originalité. La spontanéité de Yaël, les clips audacieux de Stromae et ses emprunts à la musique classique avec la reprise de l’opéra « Carmen » séduisent le public. Zaz se distingue par ses tonalités jazzy ; Christine and the Queens par ses danses et mélodies saccadées. Les séries et le cinéma diffusent largement les artistes français. Récemment, la série Girls a mis à l’honneur « IT » de Christine and the Queens. Le festival France Rocks de New York a accueilli 35 000 spectateurs en 2017. Yaël Naïm, Air, M et Catherine Ringer ont chanté en Californie. Quand la qualité mélodique, la nouveauté, la personnalité d’un interprète sont au rendez-vous, tous les espoirs sont permis pour le français.

Chapitre

Livre de l’élève pages 26-27

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES L’ÉCOLOGIE, L’ENVIRONNEMENT

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS Parler de la planète

PRAGMATIQUES

o Comprendre des informations sur l’environnement, l’écologie. o Echanger sur les gestes écologiques o Comprendre une incitation à agir.

Exprimer une opinion, prendre position

o Donner des slogans o Classer les différents gestes éco-citoyens par ordre d’importance.

OUTILS LINGUISTIQUES grammaticaux

o L’impératif o Le subjonctif o L’expression de la nécessité : il faut, on doit, il est important de / que

o L’expression de la conséquence

lexicaux

o Le vocabulaire de l’écologie et de l’environnement : les ressources naturelles, le réchauffement climatique, la biodiversité

o Les verbes importants : s’épuiser ,diminuer, disparaître économiser, préserver, recycler, éviter le gaspillage

o Le vocabulaire de la protestation : un manifeste, un tract, une affiche, une manifestation, un appel, un slogan

TÂCHE FINALE o Demander aux élèves de concevoir en groupe une affiche pour La Journée de la Terre. (le 22 avril) o Créer une campagne de pub pour un lycée « éco-responsable ». o Faites un poster pour sensibiliser les gens aux gestes « éco-citoyens ».

P.26 : Quel avenir pour la planète ? 1. 2. 3. 4.

5. 6.

« en danger mortel » au subjonctif après un verbe d’obligation (il faut que) b. a. j’économise l’énergie. b. j’économise la nourriture c.je ne jette pas, je ne gaspille pas, je réutilise d. j’économise l’eau e. je ne salis pas 1. Éteindre 2. Fermer 3. Recycler, réutiliser, réparer 4. Economiser 5. Débrancher 1. Avec simplicité : sans dépenser trop, avec modestie, sobrement 2. = seulement, juste Le sens de cette citation est que si chacun faisait un effort pour économiser les ressources, alors personne ne manquerait de rien. Autrement dit, si les pays riches dépensaient moins, les pays pauvres souffriraient moins laisser couler l’eau pendant qu’on se brosse les dents / laisser des appareils électriques branchés quand on ne s’en sert pas / laisser trop longtemps la porte du frigo ouverte / surchauffer la maison / boire des boissons (gazeuses, dans des bouteilles en plastique, jetables) / jeter les déchets par terre / ne pas trier les déchets / laisser le chargeur de la batterie du portable branché quand c’est inutile / laisser les appareils en veille au lieu de les éteindre

Pour aller plus loin 1. Regarder une vidéo sur l’éco-école, un projet mené en France.

2. Lire un autre texte 3. Une image pour faire réfléchir et réagir

Lorsqu'un ingénieur suédois a mis au point un sac en plastique léger fait d’un seul

morceau, dans les années 1960, le monde entier a pensé qu'il s'agissait d'une invention formidable et a crié au génie. Le sac en plastique est rapidement devenu indispensable dans les magasins et en particulier dans les supermarchés. Les acheteurs ont d’ailleurs souvent le sentiment qu’ils ne pourraient pas vivre sans le sac en plastique. Cependant, on sait aujourd’hui que ces sacs à usage unique et jetables sont une menace environnementale majeure. 2.

De nos jours, les gouvernements du monde entier interdisent les sacs en plastique.

En 2002, le Bengladesh a été le premier pays à le faire. En effet, on a désigné les sacs en plastique comme le grand responsable des inondations dévastatrices du pays dans les années 80 et 90. Los Angeles a été la première grande ville américaine à proclamer l’interdiction des sacs en plastique en 2010. La même année, la mairie de Mexico a annoncé qu’elle allait investir un milliard de dollars par an dans un plan de grande envergure pour devenir une ville verte. Une des premières mesures qu’elle a prises a été de lancer une vaste campagne d’information pour éliminer l'utilisation des sacs en plastique. 3.

Pourtant, malgré les interdictions et les restrictions, les lois ne sont pas toujours

appliquées. Certains commerçants refusent de les respecter: ils prétendent que ça leur ferait perdre des clients s’ils n'offraient pas des sacs en plastique. De plus, comme aucune amende n’est imposée, ils ne risquent rien ! L'inverse se produit au Rwanda, où on applique très strictement l'interdiction nationale des sacs en plastique depuis 2008. Le Rwanda est l'un des pays les plus propres au monde grâce à la journée « Nettoyons la ville » obligatoire le dernier samedi de chaque mois. On constate que de nombreux acheteurs au Rwanda sont revenus au panier traditionnel. 4.

Tous les politiciens ne sont pas en faveur de l'interdiction des sacs en plastique. En

2012, le maire de Toronto, Rob Ford, a qualifié de « stupide » l’idée de supprimer les sacs en plastique alors que ses conseillers municipaux ont voté en faveur d’une interdiction pure et simple. Certains experts en santé conviennent que ce n’est pas l’idée la plus intelligente de passer aux sacs en tissu. Les sacs réutilisables sont généralement pleins de germes. Ces sacs pourraient poser des risques graves pour la santé. Les avantages l'emportent-ils sur les inconvénients?

1. Où et quand est-ce qu’on a inventé le sac plastique ? 2. Quel accueil a –t-on fait au sac plastique au moment de son invention ? 3. Que pense-t-on de lui aujourd’hui ? 4. Pourquoi est-ce que le Bengladesh a interdit les sacs plastique ? 5. Tout le monde n’applique pas la loi en Amérique. Pourquoi ? 6. Que font les habitants du Rwanda pour assurer la propreté de leur pays ? 7. Tout le monde n’est pas favorable à l’interdiction des sacs plastique. Explique pourquoi. 8. Les sacs plastiques sont interdits en Israël. A ton avis, est-ce une bonne idée ? 9. Imagine quel(s) autre(s) produit(s) on pourrait interdire à l’avenir pour rendre les villes plus vertes ?

Chapitre

Livre de l’élève pages 28-29

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES LES PRÉJUGÉS, LA DISCRIMINATION

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS PRAGMATIQUES Parler d’un pays et de ses habitants

o Identiﬁer des points communs et des différences entre la France et Israël.. o Echanger sur un pays et les représentations qu’on s’en fait. o Evoquer des différences culturelles. o Parler de son identité, de son appartenance à un groupe.

Découvrir les préjugés et les stéréotypes

o Parler de stéréotypes concernant des populations. o Rédiger un texte sur son pays et ses habitants. o Comprendre des mentalités, des habitudes de vie différentes.

OUTILS LINGUISTIQUES grammaticaux

o Lire des nombres et des pourcentages o Le comparatif o La négation

lexicaux

o Les adverbes de fréquence o Les adjectifs de description de caractère

TÂCHE FINALE 1. Réalisez en groupe un guide du « bien-vivre ensemble ». 2. Créez un poster avec 5 informations utiles pour une personne qui arrive en Israël et ne connaît pas le pays (en pensant à ce qui vous paraît le plus israélien qui fait que quand vous rentrez de l’étranger, vous sentez que vous êtes chez vous).

P.28 : Les Français, oh la la ! 1.

2. 3. 4.

5. 6.

a. ils ne se lavent pas les dents, ils sentent mauvais b. ils râlent tout le temps c. ils sont xénophobes d. ils portent une marinière e. ils sont chics, élégants des grenouilles et des escargots « les Froggies » parce qu’ils mangent des cuisses de grenouille Un cliché est une idée toute faite, un stéréotype, une image caricaturale que nous avons des autres. On a tendance à généraliser : par exemple, les femmes n’ont pas le sens de l’orientation, les hommes sont monotâches. Les blondes sont idiotes. Un préjugé est un jugement à partir d’un cliché ou d’un stéréotype. Il s’agit d’une opinion générale, sans esprit critique qui n’est pas liée à une analyse objective. Il vient de l’ignorance. C’est juger des gens qu’on ne connaît pas et les juger négativement parce qu’ils sont différents de nous. En général, il est négatif : tous les Français sont sales. Le cliché et le préjugé sont des phénomènes culturels qui changent selon les lieux et les époques, qui viennent de notre éducation et des médias. Ils ne sont pas innés mais appris. les dangers sont la discrimination (un comportement négatif basé sur des préjugés) et le racisme : la haine de l’autre, la violence - il faut prendre conscience de ses préjugés pour pouvoir lutter contre. - il faut multiplier les contacts et les rencontres pour apprendre à connaître les autres : en vivant et en parlant avec des personnes étrangères, on modifie ses stéréotypes et cela renforce la compréhension réciproque. - Il faut aussi ne pas généraliser : chaque individu est différent. - Il faut chercher les points communs plutôt que les différences.

Pour aller plus loin 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Un autre texte : comment les étrangers voient-ils les Français ? Comment les Israéliens voient-ils les Français ? Les pionnières du féminisme L’image de la femme dans la pub : quelques images L’image de la femme dans la pub : deux films Simone Veil : une icône

Témoignages trouvés sur le site : https://french.hku.hk/dcmScreen/lang2043/regard.htm

Comment les étrangers voient-ils les Français ? « J'ai remarqué que les Français mangent beaucoup de pain, avec tous les plats, la salade, le fromage. Le matin, ils se font des tartines de pain beurré qu’ils trempent dans le café. Ils ont même une recette de dessert qu’ils font avec du «pain perdu». Zhan Lin, chinoise, étudiante. « Les Français adorent parler et discuter. Leurs discussions sont interminables parfois. Dans un groupe, au café, il y en a toujours deux qui font un duel verbal, et les autres les écoutent. » Olof, suédois, étudiant. « C’est un peu un cliché je sais, mais je suis d'accord pour dire que les Français sont individualistes, c’est-à-dire qu’ils ne vous parlent pas spontanément, dans les soirées, ils restent en petits groupes, il faut beaucoup de temps pour s’intégrer à un groupe, et en général, on y est introduit par quelqu’un. » Monica, brésilienne, artiste. « Alors en France, le café c’est sacré, il leur faut toujours un café après le déjeuner ! Et quelquefois un au milieu de la matinée, un autre dans l’après-midi. On passe des heures dans les cafés en France. Et en plus, tout le monde fume ! » Li Shan, chinoise, étudiante. « Je trouve que les Français sont formels dans les salutations : il faut serrer la main, faire la bise, dire bonjour, au revoir. Ils veulent souvent savoir quand on se reverra. Ils disent toujours : « il faudrait qu’on mange ensemble un de ces jours », puis ils ne vous appellent jamais… » Charlotte, américaine, actrice. « Si je compare avec mon pays, ou l'Allemagne, la France est un pays bien moins organisé. C'est-à-dire qu'il y a une "flexibilité" qui n'existe pratiquement pas chez moi. Les choses en France peuvent changer à la dernière minute : un cours annulé, un rendez-vous. J'ai l'impression aussi que les Français ne font pas les choses avec autant de sérieux que les Autrichiens, ils mettent toujours une petite distance, un peu d'ironie.» Franz, autrichien, étudiant.

Les «tsarfokaim»,: «Un peu français, très séfarades» D’après un entretien publié dans le journal « Libération » avec Ron Cahili, l’auteur de la série du même nom. « Tsarfokaim» est un mot composé de «français» et «marocains» en hébreu : c’ est une appellation péjorative pour désigner les Séfarades. Ce n’est plus aussi net que dans les années 50, mais les écarts entre les Orientaux et les Ashkénazes sont encore là. En Israël, il existe une psychose terrible envers « l’arabité ». Cette psychose est tellement pathologique qu’on pose toujours des questions aux des immigrés venus de France sur leurs origines : «Vous êtes français ? Attendez, où est né votre grand-père ? » En Israël, dès qu’on se rend compte que vos grands-parents sont nés en Afrique du Nord, on vous catégorise immédiatement comme oriental. Les juifs immigrés français sont renvoyés à leur "arabité". Selon une étude récente, près d’un quart de la population israélienne est convaincue que les olim français sont « vulgaires », « sans-gêne », « radins », « religieux-pratiquants », «de

droite», … Bref, tous les préjugés accolés généralement aux orientaux. Il faut reconnaître que certains stéréotypes sont assez justes. Il est vrai que la plupart des olims français de ces dernières années sont plus à droite, plus religieux. Une large kippa, les tsitsit ("franges" rituelles

au coin des vêtements) et une étoile de David au cou ont remplacé les bermudas et les mocassins à la mode des juifs plus riches qui étaient arrivés avant. Colons en Cisjordanie ou riches habitants de Tel-Aviv et Netanya, religieux ou laïcs, venant de Paris ou de Marseille, tous aiment infiniment Israël, sans cynisme, sans critique. A leurs yeux, Netanyahou est le roi d’Israël, ils l’admirent. Beaucoup d’entre eux utilisent l’expression « Israël, ma maison» (qui est aussi le nom du parti ultranationaliste du ministre de la Défense,

Avigdor Lieberman), mais oublient que les Palestiniens vivent dans cette même maison depuis des centaines d’années.

8 mars: Journée de la Femme Ce sont des femmes françaises qui ont travaillé pour que la parité entre les hommes et les femmes soit aujourd’hui plus facile.

C’ est Marie Olympe de Gouges. Elle a écrit en 1791 la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Elle est morte décapitée par Robespierre.

C’est Clémence Royer. Elle a vécu au XIXème siècle. C’est la première femme qui a obtenu le droit d’enseigner à la Sorbonne. C’est Marie Curie Elle est née en Pologne, mais elle a passé la plupart de sa vie en France. C’est la première femme qui a eu 2 Prix Nobel. C’est Lily Laskine. C’est la première femme qui est entrée comme instrumentaliste à l’orchestre de Paris. Les musiciens avaient à l’époque menacé de faire grève suite à cette nomination. C’est Germaine Poinso-Chapuis Elle a été élue ministre en 1947. Elle a occupé le « Ministère de la Santé publique et de la population » (Ministère des Affaires sociales et de la Santé)

C’est Simone de Beauvoir. C’est une écrivaine très célèbre, amie de Jean-Paul Sartre. Elle a posé la question de la condition féminine avec la publication de son livre « Deuxième sexe », où elle dénonce l’infériorité ressentie par les femmes et les invite à se libérer. Elle a dit : « On ne naît pas femme, on le devient ».

C’est Simone Veil. Elle a été la première femme présidente du Parlement Européen. En 1974, elle est devenue ministre de la santé. Dans le cadre de ses fonctions, elle a fait voter la loi (qui porte son nom) sur la légalisation de l’avortement.

C’est Claudie André-Deshays. Elle a été la première femme astronaute en 1996. Elle s’est intéressée aussi à la politique et elle a été ministre déléguée à la Recherche et aux Nouvelles Technologies et ministre déléguée aux Affaires Européennes.

1. Regarde ce film publicitaire Compare l’homme et la femme.

2. Regarde ce film. 1) 2) 3) 4)

Décris la routine de l’homme. Que fait la femme ? Quels sentiments est-ce qu’on éprouve pour cet homme ? La conclusion du film est qu’on trouve normal qu’une femme fasse tout (ou presque) à la maison. Qu’en penses-tu ?

59 3. Les inégalités hommes femmes en quelques chiffres

Simone Veil, icône de la lutte pour les droits des femmes (1927 -2017) Simone Veil incarne les trois grands moments de l’histoire du XXe siècle : la Shoah, l’émancipation des femmes et l’espérance européenne. Elle fait partie des rares juifs français qui ont survécu à la déportation à Auschwitz, elle symbolise la conquête du droit à l’avortement et elle est l’une des figures de la construction européenne. -

En 1944, Simone, sa mère et sa sœur sont déportées à Auschwitz-Birkenau puis à Bergen-Belsen. Son père et son frère sont arrêtés et disparaissent. Sa grande sœur est dans la Résistance. Elle et ses sœurs survivent. Toute sa vie, elle travaille sans relâche en faveur de la mémoire du génocide. Elle devient présidente d’honneur de la Fondation pour la mémoire de la Shoah et salue avec émotion, en 1995, le « geste de

vérité » de Jacques Chirac, qui reconnaît pour la première fois la responsabilité de la France dans la déportation des juifs. -

A son retour en France, Simone Veil s’inscrit à Sciences Po, se marie, élève trois garçons et travaille : elle pense que pour être indépendante, une femme doit travailler. Elle est juge.

En 1974, elle devient la première femme ministre. Elle est ministre de la Santé.

En 1975, elle fait voter une loi pour autoriser l’IVG (l’Interruption volontaire de Grossesse) et rembourser les contraceptifs..

En 1979, elle devient présidente du Parlement européen.

En 2000, elle fait voter la loi sur la parité.

En 2010, elle entre à l’Académie française.

En 2018, elle est enterrée au Panthéon.

Chapitre

Livre de l’élève pages 30-31

CONTENUS SOCIOCULTURELS / THÉMATIQUES LA SHOAH, LA GUERRE

OBJECTIFS SOCIOLANGAGIERS OBJECTIFS PRAGMATIQUES Parler d’un événement historique Parler de ses engagements

o Parler de la deuxième guerre mondiale o Comprendre quelqu’un qui parle de son engagement o Comprendre un témoignage

OUTILS LINGUISTIQUES grammaticaux

o L’expression du but : pour que + subjonctif o Les expressions impersonnelles + subjonctif o Le conditionnel

lexicaux

o L’expression de sentiments o Les formules pour inciter o Chercher à, pousser à, inciter à, sensibiliser à, faire prendre conscience, avoir pour objectif o Le vocabulaire de la guerre : la déportation, déporter, les camps de concentration, les rescapés, l’antisémitisme, survivre, les wagons, tuer, assassiner, éliminer, gazer..

P.30 : Discours au musée de Yad Vashem (2005) Elie Wiesel 1.

a. de la Shoah b. les Nazis c. « ils n’étaient pas des êtres humains, ils étaient juifs » A relier à cette formule de Wiesel : « Toutes les victimes n’étaient pas juives, mais tous les Juifs étaient victimes », a. des traumatismes b. 1. La compassion, la pitié, l’empathie 2. Il veut enseigner pas émouvoir c. Enseigner pour faire un monde meilleur. a. il ne réussit pas à transmettre son message b. il a entendu le message mais n’a rien changé.(l’indifférence). Le monde n’a rien appris. c. Elie Wiesel explique que l’antisémitisme est lié au fanatisme et à l’indifférence. d. L’action est le seul remède à l'indifférence : le danger le plus insidieux de tous. Nous devons expliquer et continuer le devoir de mémoire. « Oublier les morts serait les tuer une deuxième fois. » Il faut lutter contre la banalisation du mal. La mémoire de la Shoah est la seule chance de sauver le monde d’une autre catastrophe.

Pour aller plus loin 1. Lire un autre texte sur la guerre. 2. Réfléchir aux notions d’amour et de haine.

« L’enfant rieur » Dans son roman autobiographique, Henry Bauchau, à 98 ans, se souvient de « L’enfant » de 3 ans qu’il était sous l’occupation allemande, pendant la première guerre mondiale. L’enfant est si absorbé dans son jeu qu’il n’entend pas le pas sonore de quelqu’un qui survient. Il a un peu chaud. Le pas s’arrête. L’enfant voit de grandes bottes brillantes émerger du bas d’un long manteau. Il penche la tête en arrière et regarde celui qui s’arrête. Il lui sourit avec un petit visage tout ébloui et intimidé. L’homme, qui le regarde lui aussi, porte une belle casquette. Il y a de l’or sur son col et son manteau. L’homme regarde la petite figure et lui sourit aussi. Il se met à rire avec une sorte de joie qui fait rire l’enfant à son tour. Le soleil fait étinceler son monocle*. Il se penche vers le petit. Ils rient tous les deux, ils sont dans la lumière arrondie du soleil, heureux ensemble. L’homme se baisse, prend l’enfant dans ses grands bras et le soulève. Au moment où il s’amuse d’être si haut, le petit voit l’un des rideaux de la salle à manger s’écarter et retomber très vite. Quelqu’un de la famille les regarde. Il est encore heureux mais quelque chose s’inquiète en lui. L’homme, pensant sans doute à son petit garçon, s’écrie : « Ach ! mein Kind.1 » L’enfant entend que c’est la langue de l’ennemi. Il est dans les bras de l’ennemi, il rit avec lui. Une peur terrible le saisit, il pleure, il se met à hurler. Quelqu’un apparaît sur le seuil de l’escalier bleu, Olivier2 arrive en courant de la ferme. L’homme aux longues bottes noires et au monocle, qui riait si joyeusement avec lui, découvre que cet enfant avec lequel il a eu un moment de bonheur s’est aperçu qu’il est son ennemi et de toute sa faiblesse lui signifie sa haine. Il le dépose prestement, part à grandes enjambées, en jurant, vers l’écurie. Est-ce que quelqu’un est venu le prendre tout en sanglots dans ses bras ? Il ne le saura jamais. Quand il se retrouve près du poêle qui brûle dans l’office avant la cuisine, toute la famille est en alerte. Oui, il a cru qu’il pouvait prendre le petit dans ses bras, mais celui-ci, quand il a entendu leur langue, a reconnu l’ennemi. Regardez : ses petites mains sont encore bleues de terreur. On le dorlote, on l’embrasse, on le passe de bras en bras. Il se console peu à peu. […] Mais il sent que personne n’a compris ce qui a précédé, son rire avec le bel officier. Au lieu de continuer à rire, il a été forcé dès sa petite enfance de vivre la haine. Il ne voulait pas ça. Il ne voulait pas ça. monocle* : ‫ׁשקף‬ ָ ‫ִמ‬ 1 « Ach ! mein Kind » : « ah ! mon enfant », en allemand

Olivier est le frère du narrateur 1) L’enfant n’entend pas l’homme arriver. Pourquoi ? 2) C’est un récit autobiographique mais Henri Bauchau ne dit pas « je ». Pourquoi, à ton avis ? 3) Comment comprend-on que l’homme est : -

officier

allemand ?

4) Que fait l’homme ? 5) Quels sentiments éprouve l’enfant : a. quand l’homme arrive ? b. quand l’homme joue avec lui ? c. quand l’homme parle ? d. quand il voit la réaction de sa famille ? 6) Pourquoi est-ce que l’enfant se met à pleurer ? 7) Quelle est la réaction de l’homme ? Pourquoi ? 8) Pourquoi dit-il « il ne le saura jamais. » ? 9) Relève la phrase qui montre que : a. La famille a eu peur. b. La famille a été choquée. c. La famille a eu de la compassion pour l’enfant. 10) Pourquoi est-ce que l’enfant se sent incompris ? 11) Comprends-tu le titre de ce livre : L’enfant rieur ? Voici une citation pour t’ aider.

« Je suis toujours l’enfant rieur, cet enfant que la guerre a empêché de vivre en riant son enfance. » Extrait du recueil Tentatives de louange, Actes Sud. 12) Complète avec les mots suivants : admiration, enfance, incompris , peur, plaisir, solitude, violence

L’auteur n’a jamais oublié les émotions qu’il a éprouvées : d’abord, de l’_____________ pour l’officier (« un petit visage tout ébloui et intimidé ») , ensuite du ____________(« il s’amuse d’être si haut » l. 9-10) dans ses bras et enfin de la ___________ quand il comprend que c’est un Allemand. Il découvre la ____________ du monde et quitte le monde de l’_____________ (« il a été forcé dès sa petite enfance de vivre la haine. Il ne voulait pas ça. » l. 25-26). Il se sent aussi ___________ (« personne n’a compris ce qui a précédé » l. 25) et donc éprouve un sentiment de __________________ .

« La haine n'est pas innée… Les hommes apprennent à haïr, et s'ils peuvent apprendre la haine, alors on peut leur enseigner l'amour, car l'amour gagne plus naturellement le cœur humain que son contraire … » Nelson MANDELA Explique cette citation. Donne ton avis.

Chapitre Ecouter oui, mais pourquoi ? L’entraînement à la compréhension de l’oral demeure l’un des objectifs prioritaires à tous les stades de l’apprentissage pour les raisons suivantes : les traits de la chaîne parlée française l’absence d’accentuation (à la différence de l’anglais), les diphtongues nasalisées, les liaisons entre les mots, …) constituent une difficulté majeure pour un apprenant de langue hébraïque. Aussi, l’écoute fréquente de messages oraux de diverse nature ne peut avoir que des incidences bénéfiques. Cet exercice, relativement nouveau au bac, nécessite une préparation, au même titre que les exercices de compréhension écrite. En fait, dans les stratégies de perception de l’oral se mettent en place les mêmes habiletés que dans la compréhension écrite. Mais, il est primordial de mettre en place des stratégies d’écoute. On ne saurait imaginer pouvoir parler une langue sans en comprendre ses locuteurs. Les objectifs sont donc multiples. Ils sont d’ordre lexicaux et socioculturels, phonétiques, discursifs, morphosyntaxiques… En effet, les activités de compréhension orale aident les apprenants à : - comprendre globalement - découvrir du lexique en situation - découvrir des faits de civilisation - repérer des mots-clés dans un magma d’infos - comprendre en détails - reconnaître des structures grammaticales en contexte - reconnaître des sons - découvrir des accents différents

Quel genre de documents ?  la vie quotidienne : -

des informations personnelles

des achats

le travail

les études  des annonces :

à la gare

à l’aéroport

dans un magasin

dans un supermarché  des instructions et des messages:

des directions pour se rendre dans un lieu

les modalités d’un rendez-vous, d’une invitation

 -

des idées et les opinions exprimées

une appréciation positive ou négative une critique de cinéma les résultats d’un sondage



un récit (situé donc dans le passé)

une biographie

identifier des événements

comprendre l’enchaînement chronologique

repérer l’articulation d’un discours (les différents arguments)

Les stratégies de l’écoute On distingue plusieurs phases qui font appel à différentes habiletés : avant, pendant et après l’écoute.

1. Avant l’écoute Il est essentiel que les apprenants sachent qu’il n’est pas nécessaire de comprendre tous les mots, que cela n’est pas un obstacle à la compréhension globale. Il faut qu’ils prennent conscience que d’autres connaissances (autres que linguistiques) aident à comprendre un document. Il est aussi indispensable qu’ils continuent d’écouter même s’il y a des passages auxquels ils ont le sentiment de ne rien comprendre. Il faut qu’ils acceptent d’avoir une première perception incertaine et incomplète. Contextualiser l’activité L’enseignant préparera les apprenants à la compréhension en proposant des activités qui font appel à leurs connaissances sur le genre de l’émission, la thématique abordée, le type de discours, le producteur et le destinataire du message. Il prévoira une mise en situation et en contexte pour aider à accéder au

sens. L’exercice d’écoute est la finalité visée et non un point de départ ! Le but est de faciliter la tâche de l’apprenant.  Un remue-méninges pour introduire / réactiver du vocabulaire. Il est important de lire les mots à voix haute et de s’assurer que les apprenants en connaissent bien la prononciation : c’est une condition sine qua non pour qu’ils puissent en faire le repérage lors de l’écoute.  Une carte mentale pour faire des hypothèses sur le contenu de l’écoute à partir du sujet.  Prendre connaissance du questionnaire avant l’écoute Cela permet d’avoir une idée du sujet mais aussi et surtout de vérifier que les mots sont tous connus et que les questions ne posent pas de problème de sens : on ne peut pas répondre si on ne comprend pas l’énoncé !

2. Pendant l’écoute L’élève en situation d’apprentissage scolaire confronté à un message en langue étrangère utilise des stratégies d’accès au sens. Son premier réflexe est sans doute de prendre appui sur des mots qu’il reconnaît ou croit reconnaître. Il formule des hypothèses à partir de ce qu’il sait de la situation de communication et des références culturelles dont il peut disposer. Il convient d’entraîner les élèves à développer leur capacité d’inférence, de les inciter à prendre des risques pour répéter un vocable ou une expression, proposer un synonyme, reformuler, à mettre directement en réseau les bribes d’information qu’ils recueillent au fur et à mesure des écoutes successives. Les apprenants acceptent de ne pas tout comprendre, et apprennent à saisir le sens général du message en repérant des mots-clés et des informations importantes et pertinentes pour la compréhension globale. On pourra poser des questions sur la situation de communication (Qui ? Quand ? Où ? Quoi ? Pourquoi ?), les hypothèses proposées étant vérifiées et corrigées lors de la deuxième écoute.

Stratégies de réception au moment de la première écoute ❶ J’écoute de manière globale pour identifier le type de document :  Un reportage  Une pub  Une annonce  Un message  Un bulletin météo  Un bulletin d’informations  Une conversation  Une interview ❷ J’écoute attentivement pour repérer dans un dialogue les noms propres, les voix pour identifier les personnages (nombre, âge, sexe) et leur ton (colère, surprise…) ❸ J’écoute attentivement pour repérer les lieux, les dates, les heures, les chiffres. ❹ J’écoute attentivement pour repérer les mots-clés : en général, ils sont répétés plusieurs fois. ❺ Je m’appuie sur les intonations. ❻ Je vise une écoute et une compréhension globales. Si je peux, je réponds déjà à certaines questions. Si je ne comprends pas un passage, je reste concentré pour la suite.

Stratégies de réception au moment de la deuxième écoute ❶ Je mets les informations en réseau pour construire le sens au moment de la deuxième écoute. ❷ Je complète les réponses. ❸ Je souligne les questions dont je ne suis pas sûr.

Chapitre

Livre de l’élève page 32

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Les nombres (numéraux et ordinaux) o Les horaires, l’heure o Les jours de la semaine o Le vocabulaire de la gare : la provenance, la destination, le quai, la voie, le train, le TGV, la SNCF, le wagon, le wagon-restaurant, le ticket, composter, un arrêt, monter, descendre o Le vocabulaire de la loterie : tirer un numéro, le tirage, le prix, le Jackpot, un code, une étoile, gagner, remporter, un huissier o Le présent

Annonce de train p. 32 1. 1) 2) 3) 4) 5)

Entourez la bonne réponse a. b. b. c. a.

2. a. b. c. d. e.

Vrai / Faux ? V V V V F

Le tirage de l’Euro millions p. 32 1. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Entoure la bonne réponse. c. b. a. c. b. a.

2. 30

36 16

Chapitre

Livre de l’élève page 33

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Les nombres (numéraux et ordinaux) o Les horaires, l’heure o Les jours de la semaine o Le vocabulaire de la météo : il fait beau, mauvais, frais, froid, chaud, pluvieux, il y a du soleil, le temps est ensoleillé, gris, le ciel est bleu, dégagé, il pleut, il neige, en montagne, en altitude, en bord de mer o Les points cardinaux : au nord, au sud, à l’est, à l’ouest o Le futur

Message p. 33 Complétez. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Solange samedi 20 heures 6 Deux baguettes Didier et Michelle

Un bulletin météo p .33 1. c. 2. b. 3. a. 4. b. 5. b. 6. a. 7. a. 8. c. 9. b. 10. b.

Chapitre

Livre de l’élève page 34

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Les nombres, les statistiques, les pourcentages o La carte d’identité : le nom, le prénom, (le surnom), la date de naissance, le sexe, la profession, la nationalité o la description physique o Le jeu : la devinette, deviner, être bon perdant, mauvais perdant, répondre, la réponse, gagner, perdre o Le vocabulaire du cinéma : jouer, un rôle, un film dramatique, comique, un film d’action, d’horreur, de suspense

La devinette p. 34 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

V V V F V V F F

La transcription Danielle

Allez, on joue aux devinettes. D’accord ?

Davy Danielle

Bonne idée ! Tu poses les questions ! Vas-y ! C’est une femme ?

Davy Danielle

Non ! Il est israélien ?

Davy Danielle

Non ! Il est français alors ?

Davy Danielle

Oui et marocain aussi. D’accord. C’est un chanteur ?

Davy Danielle

Non ! Il joue dans des films. Des films dramatiques ?

Davy

Pas du tout ! Au contraire !

Danielle

Il a les yeux bleus ?

Davy Danielle

Oui ! Il a les cheveux blonds ? roux ?

Davy Danielle

Non ! Ah J’ai trouvé ! C’est Jamel Debouzze ?

Davy Danielle

Non, il a les yeux noirs ! Bon, alors plus de doute, c’est Gad Elmaleh ! Mais il est aussi canadien, je me trompe ?

Davy

Tu es trop forte ! C’est bien, lui ! Bravo !

La baguette p. 34 1. 2. 3. 4. 5.

Un reportage Un stéréotype 320 Une demi-baguette Plus

Vrai ou Faux 1. 2. 3. 4.

V F F F

La transcription La baguette, tout comme le béret, auquel elle est associée, c'est le cliché de la France. C’est pourtant une réalité : 320 baguettes sont produites et dévorées chaque seconde en France : une demi baguette en moyenne par personne et par jour. Raisonnable : il y a 100 ans, on engloutissait l'équivalent de trois baguettes et demie. 9 français sur 10 achètent toujours du pain frais quotidiennement. Même si les commerces eux, ont évolué, en 40 ans, 40 % des boulangeries ont fermé. Aujourd’hui, le marché du pain se répartit comme cela : 65 % pour les boulangeries artisanales, 25% pour les boulangeries industrielles, 9% pour les supermarchés. Le reste, 1 % c'est pour le pain pétri à la maison.

Chapitre 2.

Livre de l’élève page 35

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Les jours o Les sentiments : être malade, en forme, fatigué o L’école : le cours, l’examen, les devoirs, bon en maths, mauvais en langues, les matières o Le vocabulaire des loisirs : aller au restaurant, manger, dîner, sortir o Le rendez-vous : fixer, annuler

A la cafétéria Vrai / Faux 1. F 2. V 3. F 4. F 5. F 6. F 7. F 8. V 9. F 10. F La transcription - Oh la la ! Je suis fatiguée… - Tu as encore des cours ? - Non, je n’ai pas de cours mais j’ai des examens en ce moment. Et toi, tu as aussi des examens ? - Oui, nous avons encore un examen jeudi et après, c’est fini, je suis en vacances ! - Tu as de la chance ! J’ai encore deux semaines de travail… - Ma pauvre Mathilde… Courage ! Attends, j’ai une idée : est-ce que tu es libre demain pour dîner ? - Non, c’est dommage. Demain, je suis prise. Mais dimanche soir, je suis libre. - D’accord pour dimanche soir !

Les devoirs p.35 Entourez la bonne réponse. 1. 2. 3. 4. 5. 1. 2. 3. 4. 5.

c. b. c. b. c. Vrai / Faux ? V F V F F

La transcription -

Dis Marine, tu peux m’aider ? J’ai des devoirs en maths super durs et je n’arrive pas à les faire. Pour toi, c’est facile ! Tu as toujours de bonnes notes. Non, désolée ! J’ai rendez-vous avec Louise à 9h moins le quart et il est déjà 8h et demie, je ne veux pas arriver en retard. Allez, sois sympa ! Appelle –la et dis-lui que tu viendras plus tard. C’est pour demain. Ecoute, avec toi, c’est toujours pareil : tu attends la dernière minute et il faut toujours t’aider ! Hier, je t’ai fait tes exercices d’anglais, aujourd’hui, c’est les maths et demain ? Moi, à ton âge, je me débrouillais toute seule … « A mon âge » ? Je rêve, tu as seulement un an de plus : tu ne vas jouer aux adultes avec moi. Mais toi, quand tu as un problème en histoire, tu es bien contente que maman t’aide.. Et vraiment, je trouve nul que ta copine passe avant moi ! Tu peux continuer jusqu’à demain, moi ,je m’en vais ! Ma copine m’attend. Ouais, c’est vrai ! D’ailleurs, je te trouve très élégante. Ah bon ? Oui, et si tu ne m’aides pas, je dirai à maman que tu as pris son nouveau sac et son écharpe…

Chapitre

Livre de l’élève page 36

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Les renseignements d’état-civil o Le vocabulaire de la santé : le médecin, le pharmacien, un médicament, des gouttes, un sirop, des cachets, des comprimés, du dentifrice, du sparadrap, souffrir, soigner, consulter un médecin, suivre un conseil C’est pour un passeport Complétez. Albert VOUTCHGERSTEN Voutch 14 juillet 1980 Toulouse marié avec quatre enfants 49, rue Frédérique Estèbe à Blagnac gynécologue voutch@gmail.com 06 30 96 58 63 Vrai ou Faux 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

V V V V F V V F V

Transcription -Bonjour Madame -Bonjour Monsieur - C’est pour un passeport -Vous avez rempli le formulaire ? -Oui - Voyons ça. Vous êtes Monsieur Albert Vo Quoi ? Je n’arrive pas à lire. Désolée. Oh la la, j’ai du mal à lire ! vous écrivez tout petit, C’est pas possible ! Vous êtes médecin ? -Mais oui ! C’est rigolo ! comment vous le savez ? -Ben, j’ai l’habitude… Alors, reprenons : comment est-ce que vous vous appelez ? - Voutchgersten -Epelez-moi ça s’il vous plaît ! -VOUTCHGERSTEN - Nom de votre père ? - la même chose. - Nom de votre mère ? - Suzanne Olivier - Bon, ça c’est facile, au moins ! Vous êtes né le 14 juin 1980, c’est ça ? - Non, je suis né avec la République : le 14 juillet ! - Bon, et vous êtes né où ? - A Toulouse, en France. Mon père était polonais, c’est pour ça que j’ai un nom un peu compliqué. Ma mère aussi d’ailleurs, mais ses parents avaient changé de nom ! ils s’appellaient Olivenstein. Mes copains m’appellent Voutch. - Ouais, mais pour une demande de passeport, vous voyez, c’est pas très utile… On continue ! Alors, on a dit que vous êtes médecin. - Oui, je suis gynécologue. - Vous habitez 49, rue… Oh la la, quelle écriture ! - 49, rue Frédérique Estèbe, à Blagnac. - Vous êtes marié avec quatre enfants. - Tout à fait. - Bien. Vous avez les photos d’identité ? - Oui, oui les voilà. - Eh bien, c’est parfait. Je vous préviendrai quand on le recevra. Ça peut prendre trois mois. Quel est votre numéro de portable ? - C’est le 06 30 96 58 63. - Merci. Et votre adresse mail ? - C’est voutch@gmail.com - D’accord, merci !

A la pharmacie 1. 2. 3. 4. 5. 6.

b. b. b. b. c. b

La transcription En France, il y a une pharmacie pour 2500 habitants. A Lyon, Bénédicte Tassant prend soin de ses clientes. Vous avez un problème ? - Bonjour - Bonjour, Madame. - J’ai mal à l’oreille - Oui, bien sûr. Est-ce que l’oreille a coulé cette nuit ? - Non. - Est-ce que ça lance ? - Non. - Bon, j’ai quelque chose pour vous. Voilà, ce sont des gouttes et une goutte trois fois par jour pendant cinq jours. Vous voulez autre chose ? - Oui, également du sparadrap et un dentifrice de base - Oui, bien sûr. - Voilà sparadrap, dentifrice. Ce sera tout ? - Oui. - Alors, 9 euro 90, s’il vous plaît. Merci. Et si ça ne va pas mieux demain, allez voir votre médecin. - Merci. - Au revoir !

Chapitre

Livre de l’élève page 37

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire de la présentation : état-civil, loisirs, famille, description physique o Les dates et les nombres o Les pourcentages o Le présent et l’imparfait o Le conditionnel o Quelques expressions : par contre= mais, en passant par o Le vocabulaire de la protestation : une association, manifester, une manifestation, protester, prendre conscience, sensibiliser, réclamer, se mobiliser Gautier se présente 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

b. a. b. c. a. b a. c. c.

La transcription Bonjour de France ! Aujourd’hui je me présente ! je m'appelle Gauthier Durand. J’ai 24 ans je suis né le 28 janvier 1987 à Grasse, capitale du parfum. Je suis le deuxième d'une famille de 4 enfants. J’ai une sœur et deux frères. Je suis célibataire mais je vis en concubinage avec ma copine.

Je vis dans les Alpes-Maritimes dans le sud de la France et j'habite à Nice. Je suis étudiant en sciences politiques à l'université de Nice Sophia Antipolis. Je suis grand, je mesure 1 mètre 87, je suis brun, j'ai les cheveux courts et les yeux marron. J’aime un peu tous les types de musique, de la musique classique au reggae en passant par le rap et la variété française. J’aime beaucoup l'odeur du jasmin et de la fleur d'oranger et j'adore la mer, surtout la mer Méditerranée. J'aime particulièrement nager et plonger avec bouteille ou en apnée. Par contre, je n'aime pas trop la course à pied.

L’inégalité hommes-femmes 1. 2. 3. 4. 5. 6.

b. c. b. b. c. a.

La transcription À 16h34, ce lundi, les Françaises sont invitées à poser leur stylo et éteindre leur ordinateur. Des associations féministes l'ont calculé. Elles travailleront bénévolement jusqu'à la fin de l'année. Avec en moyenne 15% de salaire en moins par rapport aux hommes, les femmes travailleraient 38 jours par an sans être payées. Sur Twitter, des collectifs appellent à se mobiliser. "C'est très bien et je soutiens ce mouvement", confie un Parisien ce lundi matin au micro de France 2. Le mouvement a été enclenché en Islande dès la mi-octobre. Les Islandaises sont descendues dans la rue pour réclamer l'égalité salariale. En Europe, les femmes gagnent en moyenne 16,7% de moins que les hommes. L'écart se creuse à 22,2% en Allemagne et tombe à 5,2% en Italie. Des manifestations sont prévues ce lundi aprèsmidi à Paris pour une prise de conscience collective.

Chapitre

Livre de l’élève page 38

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire de la fête : fêter, célébrer, inviter, les invités, les ballons, les décorations, un cadeau, le papier cadeau, un gâteau, une bougie, souffler, ouvrir, recevoir, acheter, offrir, le buffet, la nourriture, une boisson, un repas, un goûter, animer, une animation, un DJ, passer un bon moment, une bonne soirée, s’amuser, emballer (un paquet, un cadeau) prendre du bon temps, profiter, une soirée, une réception o Le passé composé L’anniversaire de Louis 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

b. b. a. a. c. b. c. b. a.

Vrai / Faux ? 1. 2. 3. 4. 5. 6.

V F F F F V

La transcription Hier, nous avons fêté le trentième anniversaire de mon cousin Louis. Il a invité ses copains pour 21h mais je suis venue vers 18h pour l’aider. On a mis la table, préparé le buffet, sorti les bouteilles et décoré tout l’appartement avec des ballons. Les invités ont commencé à arriver. Les copains de Louis lui ont fait beaucoup de cadeaux. Chaque invité lui a dit un mot gentil comme: « Tu ne fais pas ton âge, tu es super beau, encore ! » et Alexandre, son copain d’enfance lui a dit : « Et voilà, tu es bon à marier, maintenant ! » Il a dit ça devant Charlotte, avec qui Louis sort depuis 3 mois. Alors Louis a rougi et tout le monde a rigolé. Ensuite, tout le monde est allé au buffet qu’on avait organisé à la salle à manger : nous avions préparé des quiches, des salades, un poisson et bien sûr des gâteaux. Vers 23h, après qu’on avait fini de manger, je suis allée à la cuisine pour sortir du frigo le gâteau d’anniversaire que Louis avait commandé chez un pâtissier. J’ai mis des bougies et j’ai amené le gâteau au salon. On a chanté « Joyeux anniversaire » et on a bu du champagne. Dans le salon, on avait enlevé les meubles pour pouvoir danser. Alexandre faisait le DJ. C’était un bel anniversaire. Tout à coup, j’ai vu du papier cadeau par terre dans le couloir. Et j’ai découvert pourquoi : le chien de Louis avait trouvé les cadeaux qui étaient posés sur le lit et jouait avec le papier. Heureusement, il n’a rien cassé ; Louis a eu de la chance !

Chapitre

Livre de l’élève page 39

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire de la ville : se trouver, se situer, le centre-ville, la région, animé, dynamique, une technopole, une industrie de pointe, l’art contemporain, la qualité de vie, les événements culturels, l’écologie, les habitants, les citoyens, le maire, la mairie, un espace vert, planter un arbre o Les points cardinaux, les éléments basiques de géographie : la mer, la montagne, la campagne, la route o La météo et les saisons : le climat, ensoleillé, il fait doux, il fait bon o Les nombres ordinaux o Les dates o Le vocabulaire de la publicité : la pub, une affiche, un panneau, une campagne, un publiciste, faire de la pub o Une expression : donner sa langue au chat Toulouse Entourez la bonne réponse. 1. 2. 3. 4. 5.

a. b. c. a. a.

Vrai / Faux ? 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

V V F F (une croix) F (dynamique) V V V

Grenoble Entourez la bonne rĂŠponse. 1. 2. 3. 4. 5.

b c. b. a. b.

Vrai / Faux ? 1. 2. 3. 4. 5.

V V V F (heureux et fiers) F (la 1Ă¨re)

Chapitre

Livre de l’élève page 40

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire de l’hôtel : un employé, un réceptionniste, la réception, une chambre simple ou double avec vue sur le parc, la piscine, une clé, un étage, l’ascenseur, la salle de bains, la femme de ménage, le paiement, la carte de crédit, propre, sale, prêt, la valise, les bagages, le petit-déjeuner est compris dans le prix, les extras, payer, régler la note, le service, la salle de gym, remplir un formulaire, réserver, faire une réservation o Les prépositions de lieu o Les nombres et les ordinaux

A l’hôtel 1. Entourez : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

c. c. b. a. b. a. a. a. a

2.Complétez le numéro de téléphone : 06 75 67 34 29 3. Vrai / Faux 1. V. 2. F. 3. V 4. F

La transcription

La réceptionniste : Bonjour. Je peux vous aider ? Monsieur Legrand : Bonjour. J’ai réservé une chambre. La réceptionniste : À quel nom ? Monsieur Legrand : Legrand. La réceptionniste : Un moment, s’il vous plaît. Ah, monsieur Legrand. En effet, une chambre double.

Monsieur Legrand : Non, une chambre simple. La réceptionniste : Ah oui, excusez-moi, une chambre pour une personne. Veuillez remplir ce formulaire avec vos nom, prénom, adresse et signature s’il vous plaît. Monsieur Legrand : … Voilà, tenez. La réceptionniste : Vous avez une carte de crédit ? Monsieur Legrand : Oui, mais pourquoi faire ? J’ai déjà payé quand j’ai fait la réservation. La réceptionniste : Oui, c’est seulement si vous avez des extras à l’hôtel : si vous souhaitez boire, manger, utiliser notre salle de gym ou faire un massage. Comme ça, vous n’avez pas besoin d’argent dans l’hôtel et vous règlerez avant de partir. Monsieur Legrand : Je comprends. La voilà. La réceptionniste : Merci ! Alors, voici la clé de votre chambre. C’est la 291. C’est au second étage. Vous avez la vue sur le parc. L’ascenseur est juste là, à côté de la réception. Voulez-vous me laisser votre numéro de portable ? Je pense que vous pourrez avoir votre chambre d’ici une heure, la femme de ménage n’a pas encore fini. Monsieur Legrand : D’accord. C’est le 06-75 67 34 29.

La réceptionniste : Vous pouvez aller boire un café en attendant. C’est sur votre gauche. Ou bien aller à la piscine qui est en bas. Monsieur Legrand : Est-ce que je peux vous donner ma valise? La réceptionniste : Bien sûr ! Bon séjour à l’hôtel du Cheval Blanc ! Monsieur Legrand : Merci, à tout à l’heure !

Chapitre

Livre de l’élève page 41

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire du bénévolat : une organisation, une association, un bénévole, un volontaire, convivial, festif (la fête), une fanfare, un orchestre, gratuit, gratuitement, lutter contre, avoir un impact sur = impacter, participer, distribuer, solidaire, la solidarité, collectif, collectivement, sensibiliser, une action, agir, aider, soutenir, organiser, mettre en place, cibler, une prise de conscience o Le vocabulaire de la nourriture : le gaspillage, gaspiller, jeter, alimentaire, un aliment comestible, avarié (pourri) , un repas, un maraîcher, un marchand de fruits et légumes, un consommateur, la poubelle, produire, une production, un produit o Les magasins : le supermarché, une grande surface, une chaîne o Les pourcentages o Une expression : un tilt = une prise de conscience, comprendre soudain, apporter sa pierre à l’édifice o Les adverbes

Disco soupe 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

c. b. c. c. a. b. c. c. b.

La transcription Je suis Guillaume et je fais partie du collectif Disco Soupe qui organise des événements pour sensibiliser le grand public au gaspillage alimentaire. Donc la Disco Soupe en fait c'est l'organisation d'événements conviviaux pour sensibiliser le grand public au gaspillage alimentaire. On a une approche qui est plus sur la.... Mettre en avant l'aspect festif, donc il y a toujours de la musique. Aujourd'hui on a de la fanfare,...et le but c'est que les gens viennent participer collectivement, produire ensemble un repas qui est ensuite distribué gratuitement, aux gens, aux gens qui ont préparé, aux gens qui sont de passage. La base du Disco Soupe c'est vraiment pour lutter contre le gaspillage alimentaire. On a remarqué qu'il y avait beaucoup de choses qui étaient jetées, que ce soit dès le maraîcher qui va produire ses fruits et légumes, qui va pas tout vendre. Ensuite les grandes surfaces qui jettent également et nous aussi consommateurs sommes amenés à jeter. Donc il n'y a pas plus fautifs que d'autres mais il y a un impact un peu à toutes les étapes de la chaîne. Et selon les études, il y a entre 30% et 50% des fruits et légumes qui sont produits qui sont jetés, qui ne sont pas consommés par la population. Donc voilà, la Disco Soupe, le but c'est vraiment de sensibiliser les gens à ça. On récupère les fruits et légumes, nous, auprès de grandes surfaces, sur les marchés, heu...des choses qui auraient dues être jetées. On ne se positionne vraiment pas en concurrence d'associations qui font déjà le boulot très bien, mais il y a encore des choses qui finissent à la poubelle et nous on est vraiment sur cette action. Donc l'action de Disco Soupe est pour le moment assez ponctuelle, on est vraiment sur des événements heu… très ciblés, c'est une journée, on est ici pour 3 heures, mais le but c'est vraiment d'avoir un impact plus global, déjà en sensibilisant le grand public au gaspillage alimentaire. On distribue des repas qui sont comestibles, qui sont même très bons. Et quand les gens apprennent qu'ils sont faits avec des fruits et légumes qui auraient dû être jetés...on espère que...qu'il y ait un petit « tilt » qui se passe chez eux. Après, il y a aussi une partie du collectif qui agit au niveau national, qui a l'occasion de rencontrer des personnes du gouvernement pour apporter une pierre à un édifice plus global, qui concerne tout le monde.

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire des nouvelles technologies : un média, une tablette, un texto, un SMS, un réseau social, un écran, un site, un internaute, le net, la toile, un moteur de recherche, garder le contact, prendre (avoir) des nouvelles, prendre contact, chatter, se connecter, se brancher o Une expression : surfer sur le net

Internet chez les jeunes Vrai / Faux 1. F. 2. F. 3. F 4. V 5. V. 6. V. 7. V 8. F 9. F. 10. F. La transcription

Que font les jeunes sur Internet ? Qu’est-ce que ce média représente dans leur vie? Pour les jeunes, Internet n’est pas une nouvelle technologie car ils sont nés avec. Ils l’utilisent tous les jours, sur leur ordinateur, sur leur tablette ou leur portable. D’abord, Internet joue un rôle important dans les relations avec les autres. Les jeunes préfèrent « chatter » et envoyer des texto plutôt que téléphoner : ainsi, ils ont plusieurs conversations en même temps. Internet ne joue pas un grand rôle pour se faire vraiment des amis, mais il permet de garder le contact au quotidien en fixant facilement des rendez-vous ou en partageant de la musique, des films ou des photos. On constate qu’ils vont sur les réseaux sociaux au moins trois fois par semaine. C’est pratique aussi pour

avoir des nouvelles des amis qui sont loin (par exemple, des amis rencontrés en vacances, des copains de leur ancienne école, de leur ancien quartier,…). Internet a aussi une place importante dans les relations familiales. Les jeunes sont généralement des internautes plus expérimentés que leurs parents. Cette situation conduit à un renversement des rôles souvent positif. En effet, cela peut permettre des relations nouvelles avec les parents qui sont dans la position de ceux qui apprennent. Mais, comme beaucoup de parents comprennent mal Internet et qu’ils ne peuvent pas contrôler les activités des enfants sur le net, ils veulent limiter le temps passé devant un écran. Et c’est souvent une source de conflits. Enfin, Internet, c’est aussi le moyen d’apprendre et de s’informer. Pour les jeunes, Wikipédia a remplacé l’encyclopédie : au lieu d’aller à la bibliothèque, ils surfent sur le net. Internet est une porte ouverte sur le savoir ! Les parents savent que c’est formidable mais ils ont aussi peur pour leurs enfants. Ils ne veulent pas qu’ils aillent sur des sites dangereux. Pourtant, les jeunes sont conscients des problèmes : ils savent qu’on ne peut pas croire toutes les informations qu’on trouve sur Internet et qu’une personne peut très bien ne pas être pas celle qu’elle dit. C’est pourquoi, le ministère de l’éducation nationale encourage les écoles à se connecter et à apprendre aux jeunes à se poser des questions sur la qualité des informations trouvées sur la toile.

Chapitre

Livre de l’élève page 42

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire des achats : les courses, les commissions, les produits d’entretien, l’alimentation, les boissons, les produits organiques (bio), la qualité, le prix o Donner une opinion : peser le pour et le contre, un avantage, un inconvénient, une critique, un compliment, une qualité, un défaut

Les achats Entoure 1. b. 2. a. Coche b / e / f /g Vrai ou Faux ? 1. V 2. V 3. V 4. F 5. F 6. F

Chapitre

Livre de l’élève page 43

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire du repas : les principaux aliments, les ingrédients d’un plat, l’entrée, le plat principal, le dessert, l’addition, le service, le menu, la carte, réserver, faire une réservation, végétarien, vegan o Régler un problème, faire face à un problème, être confronté à un problème, trouver une solution o Un animal : une cage, vivant, mort, en liberté, en captivité, maltraiter, le cirque, dresser, un dresseur, le dressage, en prison Cathy et Jean-Marc au restaurant 1. 2. 3. 4. 5. 6.

b. c. a. a. c. a.

Vrai / Faux ? 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

F F V V F F V

La transcription Le serveur

Bonsoir, Madame, bonsoir Monsieur !

Jean-Marc

Bonsoir ! J’ai réservé une table au nom de Jean-Marc Vidal.

Cathy

C’est super joli ici !

Le serveur

Quel nom déjà ? Je ne trouve pas votre réservation…

Jean-Marc

Impossible ! V.I.D.A.L J’ai appelé il y a deux jours, je crois. Oui, c’est ça, jeudi.

Le serveur

Vraiment désolé, je ne comprends pas. C’est bizarre. Laissez-moi quelques minutes, je vais régler le problème. Voilà, suivez-moi, installez-vous, je vous apporte la carte.

Cathy

Mummm… Ça a l’air bon… Qu’est-ce que tu prends ?

Jean-Marc

Je ne sais pas. Peut-être le filet de bœuf ? On partage ?

Cathy

Je te rappelle que je suis végétarienne. J’ai envie des gnocchis …

Jean-Marc

Oui. Pas mal…

Le serveur

Alors, vous avez choisi ?

Jean-Marc

Tu veux les gnocchis ? Regarde ! Y a la spécialité du chef : une tarte au Camembert, aux figues et aux oignons. Ils ont aussi une polenta aux champignons et aux tomates.

Cathy

Ah oui, j’avais pas vu. Alors, donnez-moi, je vous prie, la polenta.

Le serveur

Très bien. Et pour vous, Monsieur ?

Jean-Marc

Comment est le saumon ?

Le serveur

Délicieux. Il est cuit au four et servi avec des petits légumes.

Jean-Marc

Mouais….. Je ne sais pas trop. Vous avez quelque chose à me conseiller ?

Le serveur

Oui, le plat du jour est le filet de bœuf avec purée.

Jean-Marc

Ah, très bien. J’en avais envie depuis le début.

Le serveur

Et pour commencer ?

Jean-Marc

Pourquoi pas ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?

Cathy

Une salade ? Ou la soupe orange ? Comme tu veux…

Jean-Marc

Non, bonne idée, va pour la soupe. Avec ça, donnez-nous un rouge, s’il vous plaît.

Cathy

De l’eau pour moi, s’il vous plait.

Le serveur

Parfait. Je vous souhaite bon appétit. Passez une bonne soirée !

Un perroquet au musée 1. b. 2. a. 3. b. négative 4. c. 5. a. 6. c. Vrai / Faux ? 1. V 2. V 3. F 4. F 5. V

95 La transcription « C’est un scandale » a déclaré la SPA, la société de protection des animaux « un véritable scandale ! » La raison de cette réaction ? Elle a appris qu’un musée a acheté une œuvre d’art très spéciale : un perroquet vivant dans une cage entourée de deux grands arbres, des palmiers. « Un musée, ce n’est pas un cirque et même au cirque, il y a des lois, a déclaré le représentant de la SPA. Ce pauvre animal va vivre seul toute sa vie. Même dans une belle cage, c’est contraire au respect de la vie des oiseaux. Et que se passera-t-il le jour où il ne plaira plus au public ? Quand il sera malade ? Et à sa mort ? Pour l’instant, le musée a acheté pour 210 000€ la cage et les palmiers. Ils cherchent un perroquet du Gabon gris à queue rouge et ils doivent encore obtenir la permission de la police d’exposer un animal vivant dans un lieu public.

Chapitre

Livre de l’élève page 44

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o La musique : un genre musical, un style, un groupe, un concert, un spectacle, un spectateur, le public, assister à, applaudir, s’enthousiasmer pour, être déchaîné, adorer, l’ambiance, un fan, séduire, plaire o La radio : un journaliste, un reportage, un envoyé spécial, le rédacteur en chef, un auditeur o Quelques expressions : au fil du temps, de plus en plus, rester en retrait, un pari réussi o RFI : Radio France International o Les temps

La fête de la musique Complète premier

depuis

musique

fête

internationale.

célébrée

villes

110

capitale

Entoure la bonne réponse. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

c. c. a. b. c. b. a.

Vrai / Faux ? 1. 2. 3. 4. 5.

Vrai Vrai Faux Faux Vrai.

concert

La transcription JF : Cela ne vous a pas échappé : nous sommes le 21 juin. Le 21 juin, c'est le premier jour de l'été dans la partie nord de la Terre et comme tous les ans depuis 1981, c'est la fête de la musique. G : Au départ, c'est une invention française, mais au fil du temps, elle est devenue de plus en plus internationale. Cette année, elle est célébrée dans pas moins de 250 villes dans 110 pays. JF : Il serait trop long de toutes les citer, d'autant que toutes les musiques sont à la fête. RFI a donné rendez-vous à ses auditeurs au Caire, la capitale de l'Egypte, pour un grand concert de M. G : Gilles SEYDOUX, vous êtes le rédacteur en chef de RFI musique, vous êtes l'envoyé spécial de RFI à ce concert. M, c'est un chanteur français avec un style bien à lui. Gilles Seydoux : Oui, M c'est un chanteur français très connu, une star de la chanson, de la pop musique avec un personnage tout particulier habillé tout en blanc avec une guitare électrique bleue. Il ressemble un petit peu à Elvis Presley, en fait. Son père s'appelle Louis Chédid, c'est un chanteur également. Sa grand-mère elle s'appelle Andrée, elle est écrivain et a vécu en Egypte et M est donc venu ce soir au Caire pour la fête de la musique pour rencontrer le public égyptien. Alors, au début le public était un peu en retrait, c'est à dire qu'il ne participait pas vraiment à la fête, mais la musique électrique de M les a séduits. M leur a parlé avec quelques mots en arabe pour mieux communiquer et puis il y a en ce moment une ambiance très forte sur les bords du Nil, vous pouvez entendre la musique derrière moi, le public est déchaîné. Le pari semble donc réussi pour M, il souhaitait rencontrer un public différent et est persuadé que la musique permet de communiquer au-delà de la barrière de la langue. Au Caire, pour la fête de la musique, Gilles Seydoux, RFI.

Chapitre

Livre de l’élève page 45

OUTILS LEXICAUX ET GRAMMATICAUX o Le vocabulaire des vêtements : neuf, d’occasion, le troc, un dépôt-vente, abîmé, en bon (mauvais) état, « classe », le style, le genre, fabriquer, la fabrication, la production, une usine, un arrivage, recycler, conformiste, original, le client, avoir le choix, dépenser o L’argent : le prix inférieur, supérieur, cher, bon marché, avoir les moyens, avoir des petits (gros) moyens o Quelques expressions : faire une bonne action, en parfait état o Les comparatifs, la restriction ne …que

Entoure la bonne réponse. 1. b. 2. b. 3. b. 4. b. 5. b. 6. b. 7. c. 8. b. 9. c. 10. c. 11. a

Vrai / Faux ? 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Faux Faux Vrai Faux Vrai Faux

La transcription Estelle : Bonjour, c’est Estelle de la chaîne BFM Télé. Je fais une enquête pour comprendre pourquoi les trocs, les dépôts-vente et les magasins de vêtements d’occasion se multiplient. Je suis allée dans une boutique Bigoudit de la Wizo, pour y rencontrer des clients. -Je peux vous poser quelques questions ? -Oui -Comment vous appelez-vous ? -Anna. - Alors, Anna! Qu’est-ce que vous avez acheté ? Hannah : Bonjour ! J’ai acheté une chemise, un pantalon et un collier. Depuis plusieurs années, je n’achète plus de vêtements neufs alors je viens régulièrement ici. Estelle : Pourquoi ? Hannah : Pour plusieurs raisons. D’abord, je trouve que c’est idiot de dépenser beaucoup d’argent pour des vêtements. On n’a pas besoin d’acheter sans arrêt des vêtements, c’est ridicule. Je préfère les livres. Je recycle les déchets, Je recycle aussi les vêtements. Logique, non ? Ensuite, c’est un choix. La majorité des vêtements sont fabriqués en Asie ou aux Indes. Les conditions de travail y sont épouvantables, beaucoup de très jeunes enfants travaillent dans les usines. Je suis contre alors je refuse d’acheter des vêtements neufs. Et je fais une bonne action : avec l’argent, l’association aide les gens dans le besoin et je trouve que c’est formidable. Estelle : -Et vous, Monsieur, vous êtes…. L’homme : Je m’appelle Davy. -Je vois que vous avez beaucoup de choses. Pourquoi ? Vous n’aimez pas les vêtements neufs ? - Si, Si, bien sûr ! J’adore les vêtements neufs ! Mais d’abord, ici ce n’est pas vraiment pas cher. Comme je suis étudiant(e), je n’ai pas beaucoup d’argent mais j’aime m’habiller. Ici, c’est minimum, 50% moins cher que dans un magasin normal. Par exemple ; regardez ce pantalon : il coûte 35 shekels et il est en parfait état, comme tout le reste. Regardez, il est chouette. Ici, il y a des choses qu’on ne trouverait pas ailleurs : moi, je n’ai pas envie de m’habiller comme tout le monde… En général, ils reçoivent le lundi : c’est le jour où il y a le plus de choix. C’est pour ça que je suis là aujourd’hui.

Chapitre La démarche inductive Chaque leçon sur un point de langue nouveau est construite selon une démarche inductive pour élaborer le savoir-comprendre et la construction progressive du sens :

1. Observation d’un document déclencheur. (« J’observe ») 2. Analyse (« Je réfléchis ») 3. Conceptualisation (« Je comprends ») 4. Réemploi (« Je mets en pratique ») 5. Production pour reprendre et élargir les apprentissages (« Je mets en situation ») 6. Mémorisation des points essentiels ainsi que des exceptions à l’aide d’une fiche grammaticale (« Je retiens »)

Le travail sur un corpus (ensemble de mots, de phrases, d'énoncés) engage l'élève, par l'intermédiaire d'activités de manipulation, de questionnement et de classement, à dégager une régularité, à identifier la notion à partir de l'observation. Ce corpus d'apprentissage sert à proposer un modèle de réflexion ou un classement à partir d'un nombre suffisant d’informations et aide l’élève à réfléchir sur le fonctionnement de la langue, à classer les énoncés, les éléments selon une organisation faisant sens, à formuler une règle et à conceptualiser le savoir. Lors de cette phase de réflexion sur la langue, le professeur mène l’apprenant vers la formulation de règles. La partie « Je mets en pratique » permet de manipuler des faits de langue, de consolider l’apprentissage et de vérifier la compréhension du point de langue étudié

100

dont on systématise l’acquisition grâce aux activités en ligne sur le site : www.franceweb.com . En effet, la répétition facilite la compréhension, la mémorisation et elle fixe durablement les connaissances mais elle ne devrait pas être essentiellement faite en classe. D’abord, car le temps à impartir à ce type d’activité est très individuel. Ensuite, car elle n’est pas de nature à favoriser les interactions. Enfin, on préfèrera privilégier les échanges liés à un apprentissage dans un groupe. La partie « Je mets en situation » correspond à une démarche actionnelle et propose une production orale ou écrite. Il s’agit dans de nombreux cas d’une véritable tâche réelle et réaliste. Les apprenants, grâce à ces activités, réinvestissent ainsi les contenus fonctionnels et linguistiques dans d’autres contextes. Cette démarche permet un apprentissage effectif.

Livre de l’élève pages 46-47

LE PRÉSENT 1. 2. 3. 4. 5.

1 regarde montrent pose voyagez pleurons

1. 2. 3. 4. 5.

2 ralentis grandissent s’agit réussissent investissez

101

3 1. 2. 3. 4. 5.

me sens part reçoivent sais faut 4

1. 2. 3. 4. 5.

prend boivent utilise attends pleut 5

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

m’appelle ai vis m’intéresse veux me passionne connaissez 6 (11)

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

cherchez faites dépend coûte pouvez donne dites vais

102

Chapitre

Livre de l’élève pages 48-49

LE FUTUR

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

1 fêtera appelleront prendrez enverront apprendrons enseignera viendras portera

3 1. Ils partiront en voyage en train, ils iront à l’étranger 2. Elle fera des achats, elle fera les soldes 3. Ils feront un trek, une excursion dans la nature, le sac au dos

Il regardera la télé et il mangera et il boira de la bière

103

Chapitre

Livre de l’élève pages 50-58

LE SUBJONCTIF (1) 1 1. partions / économisions / prenions / sortions / allions / passions / étudiiez / restiez 2. –ions / -iez 3. Imparfait mais ce n’est pas du passé 4. Toutes des phrases en -que 2 1. 2. 3. 4.

comprennes / parte / dise / reviennent / vienne/ –e / -es / -e / -ent A partir du présent Toutes des phrases en -que 3

1. 2. 3. 4. 5. 6.

vendions lisiez croyions pensions buviez finissiez 4

1. 2. 3. 4. 5. 6.

prenne danses vivent parte vienne dises 5

1. 2. 3. 4. 5. 6.

voies boive rendes attende écrives parlions

104

6 1. 2. 3. 4. 5. 6.

serviez viennes mettes choisisse apprennes rendiez

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

7 allions veuilles sache soit puissiez ait pleuve 8

1. 2. 3. 4. 5. 6.

f a e c d b 9

1. 2. 3. 4. 5. 6.

veniez sois sachions finisse ait aillent

105

LE SUBJONCTIF (2) 1 1. préférer / dire / penser / savoir / voir 2. il vaut mieux : conseil je voudrais / j’aimerais bien : la volonté je préfère : le sentiment il faut : l’obligation 3. non, ils parlent du rapport au monde , pas du monde tel qu’il est. 2 1. 2. 3. 4. 5. 6.

non oui volonte, souhait non = je sais oui sentiment non dire = un fait oui obligation

1. 2. 3. 4. 5.

j’annonce je sais j’espère je remarque je dis

4 1. on dit I 2. sûr I 3. furieux S 4. vrai I 5. espérer I 6. normal S 7. voir I 8. attendre S 9. apprendre I 10. vouloir S 11. savoir I 12. déclarer I 5 1. sache 2. sache 3. sache

106

4. sache 5. saura 6 1. 2. 3. 4. 5.

continuera pleuvra boivent connaît lises

1. 2. 3. 4. 5.

fera attende attends obtienne obtiendra

1. 2. 3. 4. 5. 6.

accompagnes répondiez pleuvra pleuve auras iront

9 1. On utilise le subjonctif quand les deux sujets sont différents. 2. On utilise l’infinitif quand c’est le même sujet dans les deux phrases. 10 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

que tu perdes de faire que vous conduisiez de prendre d’avoir qu’il n’ait pas qu’il fasse qu’il aille

107

11 1. 2. 3. 4. 5.

avez dises rendiez prennes font

1. 2. 3. 4. 5. 6.

aurons dois fassions envoie ĂŠcoutent fera

1. 2. 3. 4. 5. 6.

soit allions fassiez rĂŠussiront ait rendra

108

LE SUBJONCTIF (3) 1 A condition que / bien que / pourvu que / pour que / avant que / à condition que / en attendant que :subj Depuis que, après que : indicatif 2 1. 2. 3. 4. 5.

pour que pourvu que avant que jusqu’à ce que bien qu’

1. 2. 3. 4. 5.

b e d c a

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

sortes puisse est rentrée feras viennes sache soit

109

5 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

avant qu’ pourvu qu’ pour que jusqu’à ce que avant que à condition que pour que en attendant qu’

Chapitre

Livre de l’élève pages 59-67

LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. 2. 3. 4. 5.

as vu a réussi avez mis est tombée êtes devenus

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

j'ai pris je l'ai montré j'ai donné est apparu je l'ai attrapé je l'ai remis j'ai dit j'ai fait

Il est magicien

3 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Elle est passée à la banque Elle a téléphoné à Sarah Elle a déjeuné avec Monsieur Cohen Elle a acheté un cadeau à Lou Elle est allée chercher Maya à l’école Elle s'est rendue chez Lou

1. 2. 3. 4. 5. 6.

Ils ont pris l'avion Ils sont allés à Paris, ils ont visité le Louvre. Ils ont pris le métro / ils se sont déplacés en métro. Ils sont montés à la tour Eiffel. Ils ont mangé des fromages. Ils sont sortis, ils ont fait la fête.

110

9 1. La femme a mis la table: une nappe blanche, un chandelier. A mon avis, c'est pour fêter un anniversaire. Elle a préparé un gâteau, elle l'a posé sur la table, à côté de la bouteille de champagne. 2. Dans le coin, on voit que le chat dort. Quand la femme est sortie de la pièce, il s'est approché de la table et il a volé le gâteau. 3. Quand la femme est revenue, elle s'est étonnée de ne pas voir le gâteau. A ce moment-là, elle a vu le chat qui s'est enfui.

L'IMPARFAIT 1 1. 2. 3. 4. 5.

prenions savaient effaçait voyageais copiiez

1. 2. 3. 4. 5.

avaient voulais pensais était sauvait

3 Il n' y avait pas d'hamburgers. Les ordinateurs n'existaient pas. Il n' avait pas d'électricité donc pas de télé ni d'apirateur.ni de téléphone

LE PLUS-QUE-PARFAIT 1 1. n'avait pas payé / avait fait / ne s'était pas réveillé / avais dépensé 2. passé composé et imparfait 3. avant 2 1. avait promis 2. avait pris 3. avais eu

111

4. étaient sortis 5. avaient fini 6. était morts 3 1. 2. 3. 4. 5.

avait avais s'était avait avais

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

étiez allés avais vu avaient voulu avait écrit était montée avais lu m'étais lavé(e) avions mis

1. 2. 3. 4. 5.

la veille déjà avant après Hier

6 1. Il n'est pas allé à l'excursion scolaire parce qu'il était arrivé en retard. 2. Sa voiture était tombée en panne la veille alors il est resté chez lui. 3. Elle n'a pas pu venir parce qu'elle avait un rendez-vous. 7 1. 2. 3. 4. 5.

parce qu'il avait fait une randonnée. parce qu'elle avait rencontré l'homme de sa vie. parce qu'ils avaient mangé trop de chocolat. parce qu'elle avait écouté la radio. parce qu'il avait oublié son code de carte de crédit.

112

Chapitre

Livre de l’élève pages 65-67

113

Chapitre

Livre de l’élève page 68

L'IMPÉRATIF 1 1. 2. 3. 4. 5.

va faites Calme-toi Dépêchez-vous Sois

1. 2. 3. 4. 5.

Ne vous éloignez pas Occupe-toi Calme-toi Dépêchez-vous Assieds-toi

114

Chapitre

Livre de l’élève pages 69-73

LES PHRASES EN SI (1) 1 1. Le présent 2. Futur ou impératif 2 1. 2. 3. 4. 5.

veux seront / reçoivent Sors / t'ennuies ferez / voulez partira / réussit

1. 2. 3. 4. 5.

reste Faites dites passe Soyez

1. 2. 3. 4. 5.

Achète téléphone as fait est

115

LE CONDITIONNEL PRÉSENT 1 1. rêve 2. 1. faire 2. pouvoir 3. venir 4. être 5. aller 6. vouloir 7. rencontrer 8. avoir 2 1. 2. 3. 4. 5. 6.

faudrait pourrais sortirait rentreraient aimerait dirait

1. 2. 3. 4. 5. 6.

partirais feraient boirait traduirais aimeriez pourrait

1. 2. 3. 4. 5.

acceptait / irais mangeait / perdrait allions / rapporterions avais / passerait protégeaient / vivrait

5 1. D’après lui: opinion information douteuse, incertaine 2. S'il vous plaît: politesse 3. à ta place: conseil

116

6 1. 2. 3. 4. 5.

2 1 3 1 3

1. 2. 3. 4. 5.

conseil demande information incertaine souhait reproche

1. 2. 3. 4. 5.

d e a c b

LES PHRASES EN SI (2) 1 1. imparfait 2. au conditionnel 3. ce n’est pas du réel, c’est imaginaire 2 1. 2. 3. 4. 5.

pouvais ferais-tu arrêteriez l’aimerais serais

1. 2. 3. 4. 5.

b d e a c

117

LE BILAN DES PHRASES EN SI 1 1. on sortira : ça arrivera 2. ce serait bien : hypothèse 3. ça m’énerverait : hypothèse 3 1. 2. 3. 4. 5. 6.

lèves écriviez deviez lira coupez était

1. 2. 3. 4. 5. 6.

appelle / expliquerai réviseront / savent fumeraient allume viendrai avait

118

Chapitre

Livre de l’élève pages 76-83

LE DISCOURS INDIRECT (1) 1 1. 2. 3. 4.

impératif de + infinitif présent, passé composé, futur : pas de changements on relie avec que / les pronoms changent

1. 2. 3. 4. 5.

qu’il / sa que votre qu’/ a / ses / son qu’elle / est / sa qu’ / leur

119

3 1. 2. 3. 4. 5.

de metttre d’être de ne pas partir de faire leurs de ne rien acheter

1. 2. 3. 4.

de fermer les yeux / d’ouvrir son cadeau que les chiens sont interdits / de ne pas promener le chien ici. de ne pas fumer / qu’il est défendu de fumer les parents disent à l’enfant de regarder le cheval / de caresser le cheval

5 1. de venir / moi 2. qu’il est / elle 3. qu’elle est / lui 6 1. lui 2. l’

3. 4. 5. 6.

l’ les lui les

LA QUESTION 1 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

combien Qui Quand Pourquoi Qu’ Où Comment

1. 2. 3. 4. 5. 6.

Est-ce que tu pars cet été? Pars-tu cet été? Quand penses-tu revenir / quand est-ce que tu penses revenir ? Pourquoi pleure-t-elle ? Pourquoi est-ce qu’elle pleure ? Où est-ce qu’il va ? Où va-t-il ? Qu’est-ce que vous avez choisi ? Qu’avez-vous choisi ? Qu’est-ce que nos amis diront ?

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

Quel sentiment éprouves-tu ? Quand partez-vous ? Combien de temps partez-vous ? Qui vient avec vous ? Que ferez-vous ? Que visiterez-vous ? Où mangerez-vous ? Pourquoi irez-vous dans des restaurants français ? Qui a le droit de participer à ce voyage ?

120

LE DISCOURS INDIRECT (2) 1 (7) 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Qu’est-ce qui se passe ? Est-ce que tout va bien ? Qu’est-ce que vous faites ? Où êtes-vous allés ? Quand est-ce que vous rentrez ? Pourquoi est-ce que tu ne m’appelles pas ?

2 Qu’est ce qui : ce qui Qu’est-ce que : ce que Est-ce que : si Pourquoi est-ce que : pourquoi

2 (8) 1. 2. 3. 4. 5. 6.

si ce que ce qu’ s’ ce que si

3 (9) 1. 2. 3. 4. 5. 6.

de manger mes légumes ce qu’elle aime que c’est joli ce que je porte ce qui m’intéresse si on sort quand je viendrai

4 (10) 1. 2. 3. 4. 5.

ce qu’ qu’ si de ce que

121

5 (11) 1. 2. 3. 4. 5. 6.

qu’il la fatigue qu’il sera gentil de venir dans ses bras si elle l’aime encore qu’elle l’aimera toujours ce qu’il a envie de faire

LE DISCOURS INDIRECT (3) 1 1. est au discours direct et 2 au discours indirect. 2.Les temps changent, les pronoms changent 3.L’imparfait est le seul temps qui ne change pas 2 1. 2. 3. 4. 5. 6.

ouvrirait s’appelait avaient ne m’avait pas vu décollerait voulait

1. 2. 3. 4. 5. 6.

pleuvait avait écrit habitaient loin irait à Paris mangeaient avait fait du ski

1. 2. 3. 4. 5. 6.

d’ allaient s’ / était sorti avait sonné faisaient rentrerions

122

5 1. 2. 3. 4. 5. 6.

mentait aurait me sentais s’il ferait n’aurions d’

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

où il voulait. depuis quand il était là. pourquoi je pleurais. avec qui elle était sortie la veille. ce qu’il voudrait le lendemain. de quelle heure à quelle heure il avait cours ce jour-là. Si nous dormirions à l’hôtel le lendemain.

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

si je pouvais lui donner mon passeport où j’allais combien de valises j’avais qui avait fait les bagages si j’avais des armes ce que j’allais faire combien de temps je resterais

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

que les résultats n’étaient pas bons que nous devions comprendre que nous n’avions pas écouté la veille que nous finirions la semaine suivante que la date du bac approchait qu’il faudrait que nous étudiions que les vacances étaient finies de travailler

123

Chapitre

Livre de l’élève pages 84-85

BILAN DES TEMPS 1 1. 2. 3. 4. 5. 6.

lisaient a fêté offrions a pris / était s’est mariée / avait connu a pleuré / a annoncé

1. 2. 3. 4. 5.

aurais devrais ferait pourrions diraient

1. 2. 3. 4. 5. 6.

réussiras aimerais étaient verra auraient étais

1. 2. 3. 4. 5. 6.

lise reçoive souriiez savez oubliions sortes

1. 2. 3. 4.

ayons arrêterait est sortie venais

124

5. veniez 6. avait promis 6 1. 2. 3. 4. 5. 6.

voulait avaient parlé ferons disiez avait oublié avais donné

1. 2. 3. 4. 5.

reviennent ait attendaient / est arrivée avaient attendu a reçu / l’avait reçu

1. 2. 3. 4. 5. 6.

devras parlent vienne sachiez avais demandé prenais

9 1. de venir 2. qu’il me dirait les courses qu’il faudrait 3. que je m’adresserais à Léo qui était au courant, que je l’avais vu tout à l’heure

125

Chapitre

Livre de l’élève pages 86-89

LES PRONOMS PERSONNELS 1 1. 2. 3. 4. 5. 6.

en y y en en en

1. 2. 3. 4. 5. 6.

le / lui lui / le l’ / lui lui le lui

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

de à de à de de à d’

1. 2. 3. 4.

nous me leur te

5 1. b 2. f 3. a

126

4. c 5. d 6. e 6 1. 2. 3. 4. 5. 6.

m’ le y en y y

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

le lui lui en l’ lui y

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

route en personnes contre faut limitations les

LES PRONOMS RELATIFS 1 1. 2. 3. 4. 5.

qui qui qu’il qui qu’il / qui

127

2 1. 2. 3. 4. 5.

où que où qui qui

1. 2. 3. 4. 5.

où qui où dont que

1. 2. 3. 4. 5.

où que qu’ où qu’

1. 2. 3. 4. 5.

qui dont dont que dont

1. 2. 3. 4. 5. 6.

qu’ qui où dont où qui

128

Chapitre

Livre de l’élève page 91

La production écrite est d'une compétence à construire au fil du temps en articulation avec l'oral et requiert connaissances et compétences lexicales, grammaticales et culturelles. La démarche est celle d'une complexification progressive et d'un enrichissement constant. Elle évalue la capacité à exprimer ses idées. C’est pourquoi l’élève doit savoir réfléchir sur un sujet précis, organiser ses idées et conclure. Elle suppose un entraînement spécifique et régulier. C’est pourquoi, il est essentiel de mettre en place un certain nombre de stratégies pour travailler, d’une part, du mot à la phrase (travail sur le lexique et la syntaxe) et d’autre part, de la phrase au paragraphe (travail sur l’organisation et la cohérence). Pour travailler le vocabulaire La faiblesse du lexique est une des raisons majeures des difficultés de lecture mais aussi des problèmes en production tant écrite qu’orale. C’est pourquoi accroître le capital lexical doit être une priorité. On évitera le principe de listes de mots sans autre rapport que leur occurrence dans un même texte. Il faut que les mots soient pris dans un maillage de correspondances et de connections de nature à favoriser leur appropriation et leur mémorisation. Plus le vocabulaire est étendu, plus il est facile d’enregistrer de nouveaux mots. On trouvera peu d’exemples de travail sur le lexique dans le livre non parce que c’est secondaire mais pour de banales raisons de place. Voici quelques pistes pour introduire, réviser ou élargir le vocabulaire.

129

 On peut recourir au remue-méninges (« brainstorming ») pour activer le vocabulaire. On choisira un document déclencheur (un dessin, un titre de journal, l’actualité) pour mettre en route une activité lexicale. On pourra l’organiser au tableau en fonction de catégories grammaticales ou selon le sens.

130

 On se servira aussi d’une carte mentale pour réactiver un vocabulaire connu ou pour synthétiser les acquis lexicaux comme dans l’exemple ci-dessous. On verra par la suite que la carte mentale est un excellent moyen pour organiser ses idées.

131 Autre exemple dans lequel on peut voir que les cartes mentales sont un outil collaboratif qui permet d’enrichir en ligne et en commun.

 Il est conseillé d’avoir recours à des exercices variés pour aider la mise en contexte, la mise en réseau, l’ancrage et la mémorisation : -

Des exercices à trous

Des QCM

Des tableaux pour classer les mots :  On donne des listes de mots et on demande aux élèves de les organiser par catégorie. 

On organise les listes de mots selon des catégories mais on enlève les titres : aux élèves de les retrouver.

 On demande aux élèves de trouver un maximum de mots selon la catégorie. Par exemple, le vocabulaire de la voiture peut s’organiser autour: 

Des véhicules



Des accidents



Des causes des accidents



Des solutions

Des exercices Vrai / Faux

Des exercices d’association

Des exercices sur le rôle des préfixes comme par exemple :  porter / remporter / apporter  mettre / permettre / promettre / compromettre

Des jeux :  On donne 3-4 images et on demande aux élèves d’abord de nommer les images puis de trouver leur point commun.  On donne 2-3 images et on demande aux élèves de cocher l’image qui correspond à ce qu’ils entendent.  On donne des titres aux élèves et on leur demande, en groupe, d’écrire le plus grand nombre de mots connus qui se rapportent au sujet. Par exemple : les fruits, les vêtements, l’argent, ce qui est bon pour la santé, des endroits où on peut faire des achats… Dans un deuxième temps, les groupes s’échangent les titres. Le groupe qui a trouvé le plus de mots a gagné. C’est un jeu qui peut se faire à l’écrit comme à l’oral.

Le site propose de nombreuses activités interactives de manipulation du lexique.

132

Les sujets proposés sont de deux ordres :  Décrire une image, une photo  Donner son point de vue argumenté C’est pourquoi, il importe de travailler le lexique des thèmes suivants :  La vie quotidienne: les achats, les loisirs, les transports, les voyages etc.  Les lieux: la ville, la campagne, etc.  Les personnes: description (physique et morale), les vêtements, sentiments.  L’école: le système scolaire.  Les événements: un accident, un phénomène naturel ou de société.  Les médias: les programmes télévisés, les journaux, internet etc.  Les sujets culturels: cinéma, spectacles, etc.

Pour travailler le paragraphe Qu’il s’agisse de l’écriture d’un paragraphe descriptif ou argumentatif, la mise en place de stratégies pour organiser sa pensée est indispensable. Les mécanismes, depuis Hayes et Flower sont bien connus et s’articulent en 3 phases :  La planification (la recherche d’idées et leur cohésion)  La mise en mots (la construction de phrases puis l’organisation cohérente des phrases entre elles)  La révision et la correction (la phase de relecture que les apprenants généralement « oublient » par manque d’outils. Dans le chapitre sur la VIP, nous y reviendrons.

133

Chapitre

Livre de l’élève



page 90

1 1. gens 2. personnes 3. personnes 4. personne 5. personnes 6. gens 2

1. la soirée 2. soir 3. la soirée 4. soirée 5. soirée 6. un soir 3

1. le jour 2. Quelle belle journée 3. toute la journée 4. une bonne journée 5. tous les jours 6. 8 jours 4

1. bon 2. bon 3. bien 4. bon / bien 5

gens / bibliothèques / plusieurs / lecture / imagination / fin / bien

134

Chapitre 

Livre de l’élève pages 91-92

1 1. appelle 2. invite 3. commande 4. commande 5. Réserve 6. appelle 2

1. doit 2. faut 3. a besoin 4. doit 5. faut 6. doit 3

1. fait connaissance 2. se retrouve 3. rencontre 4. fait connaissance 5. rencontre 4

1. donne 2. laisse/ donne (donne est meilleur) 3. laisse 4. met

135

5. laisse 6. met 5

1. réserver 2. appeler 3. rendre visite 4. inviter 5. raconter 6. proposer 6

1. mesure 2. gagne 3. éprouve 4. porte 5. possède 6. obtient 7

1. écrire 2. construire 3. devenir 4. jouer 5. visiter 6. peser 8

donner / écouter / rendre / baissé / apprenons / économiser / protégeons

forment / contre / partir / peur / perdre / commencer / se baladent / reprendre /

opposés

136

Pour aller plus loin

Quelques idées pour remplacer les verbes pauvres: Aller :

se rendre à / chez / en visiter / rendre visiter Avoir : avoir pour objectif : viser, chercher, s’efforcer de, tenter avoir des connaissances : connaître avoir une réunion : se réunir avoir une influence sur : exercer une influence, influer sur, impacter sur Être :

C’est = il s’agit de (+ un fait) C’est = ça constitue, représente Il / elle est = il / elle paraît, semble, a l’air être le résultat : résulter de, provenir de Faire : faire baisser : réduire faire une recherche : rechercher faire un choix : choisir faire de la publicité : promouvoir faire preuve : prouver, montrer, démontrer, Mettre : mettre au courant : informer, apprendre, renseigner, éclairer mettre à jour : actualiser mettre en avant : valoriser, souligner mettre en place: élaborer, concevoir,

Causer :

Créer, provoquer

137

Chapitre 

Livre de l’élève pages 93-94

1 1. plus 2. pas encore 3. pas encore 4. plus 2

1. Non 2. Non 3. oui 4. si 3

1. d 2. a 3. e 4. c 5. b 4

1. Romain ne sait ni lire ni écrire. 2. Clara n’a ni frère ni sœur. 3. Emma ne prend ni le fromage ni le dessert. 4. Raphael n’a ni courage ni ambition. 5. Tu n’achètes ni bottes ni chaussures. 6. Aucun dessert n’est bon. 7. Elle n’achète aucun disque de Ninette. 8. Personne n’écoute le professeur. 9. Aucun élève n’écoute le professeur.

138

1. non plus 2. rien 3. Personne 4. aucun 5. rien 6. aussi 6

1. nulle part 2. personne 3. nulle part 4. plus 5. nulle part 7

1. c 2. d 3. e 4. b 5. a 8

1. f 2. a 3. e 4. b 5. d 6. c

139

Chapitre 

Livre de l’élève pages 95-96

1 1. 2. 3. 4. 5.

parce qu’ parce que puisque Puisque puisqu’

1. 2. 3. 4. 5.

parce qu’il est malade il a peur de l’avion. il ne s’est pas entraîné. il n’a pas de voiture. Comme il y avait des bouchons, il est arrivé en retard.

1. 2. 3. 4. 5.

à cause de grâce à À cause de grâce à à cause de

1. 2. 3. 4. 5.

pour grâce à à cause de par pour

1. 2. 3. 4. 5.

c d e b a

1. rend 2. fait

140

3. rend 4. fait 5. fait 7

1. 2. 3. 4. 5.

a fait a rendu a rendu a fait a rendu

Livre de l’élève page 97 1. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

1 3 2 1 3 2 1 2

1. 2. 3. 4. 5. 6.

autorisé obligatoire défendu obligatoire défendu autorisé

1. 2. 3. 4. 5.

2 1 2 1 1

141

6. 2 7. 1 8. 2 4

1. 2. 3. 4. 5.

d c b erreur dans le livre: l’indignation, la colère e a

5 (erreur de numérotation dans le livre)

1. 2. 3. 4. 5.

d c e b a

a. C’est un scandale ! Je suis en état de choc! Comment est-ce possible ? Vous vous moquez de moi ?! b. Quelle chance ! Super ! Merveilleux ! Fabuleux ! Je suis trop content ! c. Oh la la ! Je n’y crois pas ! Quel malheur ! Je suis trop déçu !

142

Chapitre

Livre de l’élève



pages 98-100

Pour décrire une image, il faut d’une part, mettre en œuvre le lexique requis:    

les personnages: portrait physique, vêtements, sentiments le lieu le temps : l’époque / la météo les actions

On notera que l’utilisation obligatoire de certains termes est en fait une béquille, une aide à la description. Il faut d’autre part, justifier ce que l’on dit :    

ainsi, en effet par exemple, car, parce que on voit que

Enfin, il faut organiser sa description selon un développement logique. La carte mentale permet de synthétiser comme suit sous forme de questions :

143

1 Il s’agit d’un garçon et d’une fille. Le garçon est jeune : à mon avis, il a entre 20 et 30 ans. Il est brun, roux ! Il a beaucoup de cheveux. Il n’est pas très grand : il est à peine plus grand que la fille. Il a la barbe et la moustache. Il porte une chemise et un foulard bleus. Il a un gilet violet sous son manteau. Il porte un pantalon bordeaux. La fille aussi est jeune. Elle est assez grande, elle est blonde, elle a les cheveux longs et bouclés. Elle porte une jupe marron courte et un t-shirt blanc à manches longues. Autour du cou, elle a un foulard (une écharpe) rouge. Elle a des bottines. Elle a un tatouage sur le bras gauche. 2 Le manteau l’anorak

les gants l’écharpe le bonnet le pull les bottes

3 Il s’agit de gens / d’une famille qui regarde la télé. La scène se passe à la maison, au salon. A mon avis, c’est l’été parce que tout le monde porte des vêtements légers : les enfants ont des chemises à manches courtes. Seule la femme à gauche porte une veste / un gilet sur sa robe bleue. La fille qui a les tresses, à droite, regarde l’enfant. Il semble très intéressé par l’émission de télé qu’il regarde. Les adultes ont l’air de s’amuser. Tous les personnages sont souriants // ont l’air content parce qu’ils sourient.

4 1. 2. 3. 4. 5. 6.

a l’air de / a l’air as l’air ont l’air d’ avez l’air a l’air de ont l’air de

144

6. heureux / la joie désolé / la tristesse effrayé / la peur furieux / la colère stupéfait / la surprise

a. b. c. d. e.

stupéfaite désolée furieuse ravie effrayée

145

1. Il s’agit d’une petite fille. Elle est brune et elle a les cheveux longs (elle a une tresse). Elle porte un pantalon rouge et un t-shirt bleu. Derrière elle, il y a un petit chien marron qui aboie. On comprend que la fille court parce qu’elle a peur, elle est effrayée et elle crie : « Au secours » ! 2. Il s’agit de deux hommes qui ont eu un accident car, derrière eux, on voit une voiture noire et une voiture verte avec de la fumée qui sort. Le premier homme est assez jeune, il est brun. Il porte une veste bleue et un pantalon noir. Il a aussi une chemise blanche et une cravate. Il a l’air désolé : à mon avis, il est responsable de l’accident. L’autre homme est plus âgé : il porte un costume et un béret. Il a l’air furieux, on voit qu’il est en colère et qu’il crie. Il fait peur : il serre les poings, il est agressif. 3. C’est une petite fille. Elle est rousse, elle a les cheveux longs et bouclés. Elle porte une jupe rose, un t-shirt bleu ciel et des chaussures bleues. Elle a un sac à dos vert : à mon avis, elle revient de l’école. Elle sourit : elle a l’air heureuse.

1. Il s’agit d’un couple: on voit qu’ils se tiennent la main. On peut penser qu’ils vivent ensemble et qu’ils sont mariés depuis très longtemps. Ils sont âgés : ils portent des lunettes et ils ont les cheveux blancs et un peu bouclés tous les deux : l’homme a aussi la moustache blanche. L’homme porte un nœud papillon rouge, une chemise blanche et un gilet bleu. La femme porte une jupe marron et une chemise verte / jaune. Ils sont amoureux : il y a des cœurs. Ils ont l’air heureux. 2. Il s’agit d’un homme assez jeune. Il est grand de taille. Il est brun et il a les cheveux courts. Il porte un pantalon noir, une chemise blanche et il a une cravate rouge. Il montre les poches de son pantalon qui sont vides. Il n’a pas d’argent et il a l’air stressé : peut-être, il a perdu son argent ou il n’a pas d’argent parce qu’il ne travaille pas. Une autre possibilité est qu’on lui a volé son portefeuille. En tous cas, il est ennuyé parce qu’il ne peut rien acheter.

Livre de l’élève pages 101-103 1 1. 2. 3. 4. 5.

le le de la de la des

1. 2. 3. 4. 5.

dans / sur dans sur sur dans / sur

1. dessous 2. dedans

146

3. dessus 4. dehors 5. dessous 4

1. C’est l’hiver parce qu’on voit un bonhomme de neige. Il a un seau sur la tête, une carotte à la place du nez et on lui a mis des branches pour faire les bras. Les personnages portent des vêtements chauds : la femme a un long manteau rose avec une capuche. Le garçon porte un bonnet et un gros pull. Il tient une batte pour jouer au hockey sur glace. 2. A mon avis, c’est le printemps : on voit que l’herbe est verte et qu’il y a des fleurs. Il fait beau : le soleil brille dans le ciel. La petite fille à droite a un filet pour attraper les papillons et la petite fille à gauche saute à la corde. Elles ont l’air de bien s’amuser. On voit qu’elles sont contentes car elles sourient. 5 1. 2. 3. 4. 5. 6.

est fait la lune le du / des parapluie

1. Il s’agit d’une famille de 4 personnes: les parents et leurs deux enfants, un petit garçon et une petite fille. 2. Ils sont habillés chaudement = ils portent des vêtements chauds : La mère porte une combinaison violette et rouge et un bonnet kaki. Le père porte un pantalon orange et un pull rouge et vert. Il a un casque bleu sur la tête. Le petit garçon aussi porte un casque bleu et orange, il a un anorak orange et un pantalon vert. La petite fille porte un pull rouge et bleu et un pantalon jaune. 3. C’est l’hiver, il neige, il fait froid mais pas très froid car on voit le soleil qui brille dans le ciel. Il y a des nuages gris.

147

4. La famille est à la montagne, dans une station de ski. Ils ont les skis aux pieds. A gauche, on voit un enfant qui a mis ses skis dans la neige et qui fait de la luge. 5. En plus du ski, ils font de la luge. Ils peuvent aussi faire des promenades, du snowboard. En fin d’après-midi, ils vont manger des crêpes.

148

Chapitre 

Livre de l’élève pages 104-106

Pour introduire la question VIP, on utilisera à profit un document déclencheur qui pourrait être : -

Une photo

L’avantage de l’image est qu’elle parle directement, elle suscite les mots. Par exemple, pour introduire une question VIP sur l’environnement, ou sur les rapports de l’être humain avec son portable.

149 - Un dessin On pourrait aussi utiliser un dessin qui fera réagir très vite.

Un extrait d’article (même en hébreu) : un exemple ici sur le selfie. On pourra aussi évidemment proposer plusieurs extraits d’articles pour nourrir la

conversation en classe ou donner des idées à chacun. On pourra aussi , bien sûr, donner aussi une image. ‫ הפנים האמיתיות של הסלפי‬:‫בלי פילטרים‬ ‫ הצייר שצייר‬,‫הפסל שיצר את פרצופו על דלתות בניין‬ ‫ הצלם שביים את‬,‫את עצמו גדול יותר ממגדל אייפל‬ - ‫מותו מול העדשה והאמן שהפך את תאי גופו ליהלום‬ ‫עוד הרבה לפני עידן הסלפי שחשף את הנרקסיסט‬ ‫ היו מי שהנציחו את עצמם בדרכים‬,‫הקטן שבנו‬ ‫ אז מה גורם לאנשים‬.‫ בשם האמנות כמובן‬,‫יצירתיות‬ ‫ והאם יהיה סוף לשיגעון‬,‫לאהוב את עצמם כל כך‬ .‫הגדלות הזה? זה גלגולה של תמונה‬ -

Une question d’actualité : on fera feu de tout bois !

Pour répondre à la question VIP, il est indispensable de savoir :  Rechercher rapidement des idées et des exemples. La carte mentale permet de rassembler les idées sur un sujet. Par exemple, si avant (ou après) le texte sur les préjugés intitulé Oh la la ! on souhaite récapituler les idées, la carte mentale est extrêmement efficace. Elle permettra ensuite d’extrapoler à une question, liée à ce sujet.

150

La carte mentale permet très facilement d’organiser un débat en classe, ce qui est un des préalables possibles de la question VIP quand elle pose la question d’un point de vue pour ou contre. Le jeu des couleurs par exemple aide à visualiser les deux points de vue, comme on le voit dans cet exemple qui permet d’organiser la recherche d’idées autour du changement d’heures. On pourrait aussi utiliser un tableau pour classer les idées.

POUR

CONTRE

151

Un autre moyen pour trouver des idées consiste à considérer un problème sous le maximum d’aspects. Voici quelques exemples. — aspect économique : quels coûts ? — aspect juridique : quelles lois ? — aspect politique : quelles décisions ? — aspect environnemental : quel risque de pollution ? — aspect éducatif : quelle mesure de prévention ? — aspect sanitaire : quels risques pour la santé ?

 Planifier la rédaction et construire un paragraphe pour exprimer un point de vue: — Introduire et conclure — Développer des arguments — Utiliser des connecteurs : -

chronologiques: d’abord,, ensuite, enfin

textuels: marqueurs d’opposition, de but, de cause, de conséquence

— Exprimer un jugement positif/négatif 1 Valeurs et point de vue Pertinence et savoirs Une seule réponse Pas d’argumentation Apprendre par cœur

Vrai Vrai Faux Faux Vrai

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2 Le pays idéal Acheter le sujet du bac L’amitié fille-garçon L’excursion scolaire Faire l’aumône Les vacances farniente

Vie + société Morale Vie Vie Société + morale vie

3 La technologie a un effet négatif. D’accord Les gens se parlent moins. La technologie rend paresseux.

Pas d’accord On communique plus facilement. La société est plus démocratique.

4 Interdire la vente de sucreries à l’école. Pour Le sucre est mauvais pour la santé. Il faut vendre des fruits et légumes.

Contre Il faut laisser choisir. Le sucre aide à se concentrer.

5 L’école Point de vue positif Elle apprend la vie en société. Les profs connaissent la matière. Elle prépare au bac. Les élèves aiment bien l’école.

Point de vue négatif Les classes sont surchargées. Les examens sont stressants. Les cours n’ont pas de rapport avec la vie. Les récréations sont trop courtes.

6 La journée sans portable Pour Les gens doivent apprendre à vivre sans portable : ils doivent se désintoxiquer. Les gens doivent redécouvrir le plaisir de la conversation.

Contre On ne peut pas lutter contre le progrès : c’est la nouvelle façon de communiquer. Le portable est pratique grâce à ses multiples fonctions.

7 Les sportifs sont trop payés. D’accord Etre sportif n’est pas si extraordinaire comme sauver des vies. Ils ne méritent pas ces salaires. C’est disproportionné par rapport à la qualité et indécent. A cause de l’argent, il y a des problèmes de corruption et de dopage.

Pas d’accord Ils passent des heures à s’entraîner pour être les meilleurs et leur carrière s’arrête à 30 ans. Ils méritent ces salaires.

Les sportifs rapportent beaucoup d’argent.

153

Livre de l’élève pages 107-108 1 1. Les enfants jouent trop aux jeux vidéos 2. Ça crée des problèmes de mémoire et de concentration. / Ça développe l’agressivité / Ça empêche l’activité physique. 3. Les connecteurs chronologiques : d’abord, ensuite, enfin qui ponctuent le discours et organisent l’argumentation. Je comprends J’organise En conclusion D’abord De plus

J’explique C’est pourquoi En effet En conclusion

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2 D’abord / Ensuite / Enfin / en effet / alors 3 aussi / D’abord / en effet / De plus / A / C’est pourquoi 4 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

C’est pourquoi donc La raison pour laquelle Puisque erreur dans le livre: en effet C”est pourquoi grâce à