L’Aventurier
Journal d’AFS Interculture Canada - édition printemps 2012
Quelques images de Rebecca Schär (Suisse), accueillie à Yellowknife
« Ici on me voit faire de la planche à neige dans le parc Olympique canadien quand ma famille m’a amené en voyage à Calgary (Alberta). »
« Voici toutes les étudiantes accueillies à Yellowknife à l’intérieur du quinzy (abris traditionnel) que ma soeur d’accueil Kristyn (à gauche) m’a appris à construire. Otto le chien et moi sommes en-haut, Claire est à la droite et Karin est en-bas. Peut-être même qu’une nuit je dormirai à l’intérieur... ou pas. »
« Une photo de moi sur le pont de glace ralliant Yellowknife à une petite communauté nommée Dettah. Le pont de glace est une véritable route traversant le Grand lac des Esclaves pendant l’hiver et la limite de vitesse y est de 30 km/h. »
Quelques images de Teresa Wintergerste (Suisse), accueillie en Abitibi
« Voici des photos de notre activité dans le parc d’Aiguebelle. On a fait cette activité avec un de mes amis d’Amos et son père Yvon. »
Teresa et Asadeh De gauche à droite; Asadeh Foruzandeh (Allemagne), Teresa Wintergerste (Suisse), Benjamin LeCouffe (Québec) et Rasmus Tue Nielsen (Danemark).
La famille Villiard-Petit en Thaïlande « En 2009, mon conjoint et moi avons accueilli Mew (de Bangkok, en Thaïlande) dans notre famille. Mew était une adolescente exceptionnelle et très courageuse à nos yeux. Comme nous l'avons beaucoup aimé, nous lui avions promis qu'un jour, nous irions la rejoindre. Cette année nous avons beaucoup pensé à elle, puisque son beau pays vivait des inondations désastreuses. Nous avons donc décidé d’aller la voir, malgré les 24 heures d'avion et la crainte des inondations. Nous en avons parlé à des membres de ma famille et 8 d'entre eux ont décidé de venir saluer Mew avec nous. C'est donc le 14 novembre 2011 que nous avons décollé de Montréal, pour faire escale au Japon et finalement atterrir à Bangkok, pour une aventure de 18 jours en Thaïlande. Une fois sur place, nous avons passé un merveilleux voyage où nous avons eu le privilège de rencontrer toute la famille de Mew. Elle nous a accueillis (les 10 membres de notre famille) chez elle et nous avons été traités comme des rois! Nous avons repris l'avion de Bangkok pour se rendre à Koh Lanta (au sud de la Thaïlande) pour aller voir les plus belles plages du monde et passer encore quelques moments avec Mew et ses parents qui sont venu visiter le Parc National de Koh Lanta avec nous. » -Karine Villiard
Témoignage de la famille Lopez-Gibeault « C’est un heureux hasard qui nous a permis de connaître AFS et leurs actions et nous avons appris que plus de 140 jeunes, venus du monde entier, arrivent chaque année au Québec pour découvrir une notre culture. Margarida, une jeune portugaise de 16 ans, est arrivée chez nous un jeudi soir, munie de sa petite valise et accompagnée de 2 conseillers AFS. Son beau sourire et son désir intense de s’intégrer dans une famille québécoise nous ont tout de suite conquis. La connaissance mutuelle pouvait commencer. Elle apprenait comment se font les choses au Québec et nous apprenions comment c’est au Portugal. Un échange de points de vue et d’expériences ouvre de nouveaux horizons pour chacun des membres de la famille! Quatre mois déjà! Et nous n’avons pas vu le temps passé. L’hiver tant attendu (et redouté!) est arrivé et chaque jour Margarida découvre des aspects nouveaux de la saison : la lenteur et le bruit des pas dans la neige, la lumière sur le manteau blanc, les différentes sortes de neige, etc. Mon conjoint et moi sommes enchantés de l’expérience. Nous conseillons à tout le monde de vivre cette expérience si valorisante et enrichissante qu’est recevoir un jeune issu d’une autre culture. Merci! » -Lilian Lopez et Marc Gibeault
Certificat interculturel: travail pratique n°2 – La personne physique Sophie Moise, Danemark est naturel de demander l’état de l’autre personne après s’être salués, au Danemark, se soucier de cela est quelque chose d’étrange, car en fait, cette question est réservée aux personnes dont on se préoccupe vraiment. [..] Lorsqu’on rencontre une personne pour la première fois, il est bien vu de donner une bonne poignée de main, assez ferme de préférence. […] Pour ce qui est de rencontrer des membres de la famille que l’on ne voit pas tous les jours, la manière de saluer est plus chaleureuse. Par exemple, l’accolade est pratique courante et les hommes vont embrasser les femmes une fois sur la joue.
« Depuis mon arrivé, j’ai pris conscience que les Danois sont des gens très réservés. Ils sont en effet très loin de l’exubérance des Italiens ou encore des Sud-Américains; ils sont plutôt du genre calmes et intravertis. Cette caractéristique a donc un grand impact sur leur façon d’interagir, de parler et de s’habiller. Saluer : La manière de saluer est différente selon la personne qu’on salue. En général, des amis vont seulement se dire Hej (salut en danois) avec ou sans un signe de la main. [..] La colle est exclusive aux amis très proches et je crois que la bise ne fait simplement pas partie de leurs habitudes. De plus, contrairement au Québec où il
Parler : Où regarder lorsqu’on parle avec quelqu’un? Bonne question! En fait, certains vont regarder dans les yeux de la personne, tandis que d’autres vont essayer de fuir le plus possible le regard de l’autre. J’ai aussi remarqué qu’ils ne font rarement que parler. Ils font souvent autre chose en même temps, comme regarder leur facebook sur leur cellulaire ou jouer avec quelque chose dans leurs mains. […] De plus, les Danois parlent juste assez fort pour se faire comprendre; ils ne ressentent pas l’obligation de s’exprimer plus fort que ça. Rarement j’ai vu un Danois s’exprimer en faisant des gestes. Si par hasard il advenait que quelqu’un doive utiliser des gestes pour se faire comprendre, il n’utilisera que de petits gestes très simples. […] Finalement, la distance entre les personnes lorsqu’elles se parlent
Nicolas Benoit-Morin (étudiant AFS en Inde) s’est mérité le prix Monsieur Affable par la direction de son école pour son caractère aimable, coopératif, réceptif et ouvert aux défis. L’équipe d’AFS Inde se joint à celle d’AFS Interculture Canada pour lui souhaiter ses plus sincères félicitations!
est sensiblement la même qu’au Québec, quoique peut-être un petit peu plus grande, mais pas tant que ça. S’habiller : L’habillement est une des choses qui m’a le plus frappée quand je suis arrivée! Ils sont de très grands amateurs de la mode «vintage» et de la grande couture, ce qui contraste énormément avec leur personnalité plutôt discrètes. Les filles portent des tuniques, des shorts avec des collants, des chandails de laine, ainsi que des chemises en jeans ou à carreaux. […] Quant aux gars, la plupart d’entre eux ont une paire de pantalons qui donne l’impression d’être taille basse (chino) et ils aiment aussi les pantalons skinny avec des chandails longs du genre tricot et des chemises. […] Malgré l’absence de code vestimentaire à l’école, je ne vois jamais de vêtements « inappropriés », c’est-à-dire pas de chandails bedaines, de camisoles spaghetti, de décolletés plongeants ou des pantalons très taille basse. […] Finalement, mes observations me permettent de conclure que les Danois ne sont pas des gens vraiment démonstratifs. Leur manière de se démarquer est surtout par l’intermédiaire de leurs vêtements et encore là, leur discrétion reste perceptible. »
Montréal Une activité de patin a été organisée sur le Mont-Royal afin de rassembler les familles de Montréal. L’activité a été très agréable, tout le monde semblait content de discuter ensemble; 3 participants y étaient, 2 conseillers, 2 familles d’accueil et 2 bénévoles organisatrices.
Deux-Monts « Voici une photo prise samedi le 11 février lors de notre sortie au Carnaval de Québec. Journée bien remplie et apprécié de tous! L’autre photo a été prise lors de notre souper de Noël. Les jeunes allaient présenter leurs desserts, car chaque jeune doit faire un dessert de son pays. » -Johanne Ferland
Bois-Francs et Sherbrooke « Nous avons fait notre orientation de mi-année avec Sherbrooke dans une salle de réception avec dortoirs, située dans la région des Bois-Francs dans un bois, avec une réserve de cerf de virginie dans le domaine. Dans l’après-midi, les jeunes sont allés glisser au domaine du lac Louise à StLouis de Blandford. Au retour de la glissade, nous avons eu des ateliers d’orientation et la fabrication de maisons en pain d’épices avec des équipes formées par les responsables de l’activité (Nancy et Ginette Drouin de Sherbrooke et Yves Héroux, Denis de Billy et Célyne Provencher des BoisFrancs). » -Denis de Billy « Une orientation de mi-année sous le signe du plaisir, de la réflexion et du partage, sans oublier la collaboration! Pour tous et toutes ce fut un camp empreint de bonheur de se voir, de s’amuser, de réfléchir, d’échanger et de rire! Les comités Sherbrooke et Bois Francs se sont unis pour faire partager un beau deux jours aux jeunes AFS de la cuvée 2011-2012. Nous tenons à souhaiter à nos dix jeunes une année AFS sous le signe de l’apprentissage et du bonheur! » -Nancy Drouin Des photos qui parlent…
Beauce « Le comité d'AFS Beauce a tenu son camp de mi-année à St-Victor. Après le colloque les jeunes , les familles et conseillers sont parti faire un tour de carriole. Les gens ont pu profiter d'un arrêt pour se réchauffer autour d'un feu mais aussi pour déguster des guimauves et des saucisses.... Certain(e)s ont pour la première fois mangé de la neige! Une autre activité fût organisée pour les jeunes d'AFS, sculpture sur neige à l'anneau de glace de St-Georges. Nous sommes fiers de cette belle équipe et de leur réalisation BRAVO! » -Isabelle Larose Dégustation ethnique pour Noël, promenade en calèche et autres activités hivernales
Mont-Laurier / Abitibi Baignage glacée pour les plus courageux et tire d’érable pour les dents sucrées!
Peel Après leur orientation de mi-année, les étudiants et membres du comité de Peel ont pris part à l’activité Medieval Times, un souperspectacle chevaleresque se déroulant dans un château à Toronto.
Le coin interculturel Cette section de l’Aventurier présente des articles permettant à tous ceux impliqués auprès d’AFS, qu’ils soient participants, bénévoles ou familles d’accueil, d’élargir leur perspective culturelle et d’améliorer leurs compétences interculturelles. Les textes que nous vous présentons couvrent une variété de thèmes tels que le concept de la culture, les valeurs culturelles, les styles de communication, l'adaptation culturelle, etc. Ce mois-ci nous vous proposons un article qui vous permettra de différencier généralisations et stéréotypes culturels. Bonne lecture!
Généralisations et Stéréotypes
...pour le réseau AFS
UNE RESSOURCE POUR LES BÉNÉVOLES ET LE PERSONNEL Le travail d’AFS est ancré dans la diversité culturelle. Que nous fassions partie du réseau AFS en tant que bénévole, employé, participant aux programmes, famille d’accueil ou naturelle, professeur ou autre, nous sommes le plus souvent entourés de gens, de valeurs et de langues issus non pas d’une mais bien de plusieurs cultures différentes. Afin d’agir et de réagir de façon appropriée face à des gens de cultures différentes, il est essentiel de comprendre que des stéréotypes culturels et des généralisations culturelles existent et de pouvoir les différencier. Modèles culturels Dans le contexte AFS, le mot culture est généralement associé aux cultures nationales. Cependant, la culture est bien plus complexe. Au sein même de chaque culture nationale, il existe des modèles culturels dominants ainsi qu’une déclinaison infinie de sous-cultures ou cultures coexistantes caractérisées par des valeurs, des attitudes et des comportements qui ne correspondent pas nécessairement à ceux de la culture dominante. Il existe également des modèles culturels propres à une religion, une génération, une classe sociale, entre autres, qui ne sont pas forcément liés aux frontières nationales. Continuum culturel Il existe non seulement des différences entre les cultures mais également au sein d’un même groupe culturel. Une double courbe en cloche (voir graphique ci-dessous) appelée « continuum culturel » peut illustrer ces différences. Le côté gauche du graphique représente la valeur culturelle de l’individualisme dans la Culture A tandis que le côté droit représente celle du collectivisme dans la Culture B. Le point milieu de la courbe en cloche de la Culture A nous montre que l’individualisme est, en moyenne, la valeur culturelle dominante. Par contre, la courbe permet également de constater que certaines personnes appartenant à la Culture A se situent plus près de la valeur collectiviste de la Culture B. Inversement, bien que le collectivisme soit la valeur culturelle dominante de la Culture B, certaines personnes se situent plutôt du côté de l’individualisme. La partie en vert montre que certaines personnes issues de cultures différentes peuvent avoir davantage de points communs entre elles qu’avec un individu moyen appartenant à leur propre culture. Par exemple, un Allemand pourrait aisément afficher un mode de communication plus contextuel que la majorité des Japonais alors qu’un Australien pourrait s’avérer plus collectiviste que la plupart des Costaricains. Ces personnes qui se situent aux extrémités de la courbe, s’écartant ainsi des normes culturelles, sont appelées « déviants culturels ». La double courbe en cloche met en évidence le fait qu’il existe une grande diversité au sein de chaque groupe culturel, mais qu’une valeur culturelle particulière, une attitude ou un comportement y sont toujours privilégiés ou dominants.
Généralisations culturelles Le fait de prendre conscience de nos propres modèles culturels (en fonction de notre nationalité, notre âge, notre genre, etc.) et de les comprendre nous offre un point de départ pour saisir les autres cultures et leurs sous-cultures ou cultures coexistantes. Les généralisations culturelles peuvent faciliter ce processus. Les généralisations culturelles consistent à attribuer des caractéristiques similaires aux membres d’un même groupe. Assez souples pour permettre l’intégration de nouvelles informations sur la culture, ces généralisations culturelles représentent une forme d’hypothèse ou de supposition de ce à quoi on devrait s’attendre lorsqu’on interagit avec une culture en particulier. La souplesse inhérente aux généralisations peut ensuite nous amener à développer une plus grande curiosité culturelle et une sensibilité accrue qui favoriseront les relations interculturelles. Les généralisations représentent une partie essentielle de la communication interculturelle car elles nous permettent d’anticiper, de trier et de comprendre les nouvelles informations et les sensations que nous rencontrons en contexte interculturel. Les généralisations culturelles jettent les bases sur lesquelles nous pouvons nous reposer lors de notre quête d’informations concernant des gens issus d’autres cultures. Par exemple, une généralisation culturelle consisterait à affirmer que « les gens du Pays X tendent à avoir un style de communication indirect. » Les généralisations culturelles tiennent compte des différences individuelles et favorisent le développement d’une certaine ouverture culturelle. Cependant, on ne devrait pas appliquer les généralisations à toutes les personnes d’un même groupe culturel, ni les confondre avec les stéréotypes culturels. Stéréotypes culturels Les généralisations deviennent des stéréotypes lorsqu’on attribue les mêmes caractéristiques à tous les individus d’un groupe. Les stéréotypes peuvent être liés à n’importe quelle forme d’appartenance culturelle, comme la nationalité, la religion, le genre, la race ou l’âge et peuvent être positifs ou négatifs. Par exemple, un stéréotype positif consisterait à dire que « les participants du pays Y sont de bons étudiants » ou que « les familles d’accueil du pays Z sont d’excellents hôtes pour les participants. » Toutefois, les stéréotypes sont en général plus négatifs que les généralisations et sont le plus souvent rigides et réfractaires à toute nouvelle information. Ils peuvent conduire, et c’est souvent le cas, à des préjugés et de la discrimination intentionnelle ou non. Par exemple, un stéréotype négatif serait que « les gens du pays A sont superficiels. » Alors que les généralisations nous offrent un point de départ pour en apprendre davantage sur les autres, les stéréotypes culturels ne tiennent pas compte des différences individuelles et entravent nos efforts de compréhension mutuelle.
Curiosité et souplesse La curiosité et la souplesse nous aident à trouver notre chemin à travers les différences entre généralisations et stéréotypes. Tandis que les généralisations nous servent de base de comparaison et de tremplin pour explorer davantage et mieux comprendre les relations interculturelles, les stéréotypes freinent le développement de la sensibilité interculturelle et la connaissance approfondie de soi et des autres. Les généralisations sont nécessaires afin d’éviter ce qui a été défini comme chauvinisme culturel. Milton Bennett, auteur du Modèle de développement de la sensibilité interculturelle (MDSI), qui a également écrit sur les généralisations et les stéréotypes, souligne que certaines personnes provenant de cultures occidentales ont notamment tenté d’éviter une catégorisation injuste de membres d’un groupe culturel en « traitant chaque personne comme un individu ». Cette tendance a ainsi été observée chez certains Occidentaux pour qui l’individualisme est une valeur. Afin d’éviter les stéréotypes culturels, Bennett affirme qu’il serait plus bénéfique d’utiliser des généralisations culturelles précises que de miser sur des schémas de communication propres à notre culture. Une compréhension approfondie de notre propre culture, sous-culture ou culture coexistante ainsi que des valeurs et des comportements communs qui en découlent, peut accroître notre curiosité à vouloir saisir les tendances générales des gens d’autres cultures. Être à la fois curieux et souple nous amène à nous laisser surprendre par des gens qui n’agissent pas conformément aux stéréotypes culturels et, par conséquent, à modifier notre perception et notre compréhension des autres cultures sur la base des généralisations culturelles que nous utilisons comme point de départ.
Quand vous regardez cette photo, interprétezvous les interactions que vous voyez avec des généralisations culturelles ou des stéréotypes?
Sensibilité culturelle et AFS Que nous soyons participant, membre d’une famille d’accueil, bénévole ou employé du réseau AFS, le fait de prendre conscience et de connaître notre propre culture (ou sous-culture) ainsi que les valeurs dominantes et les comportements qui y sont associés est essentiel pour pouvoir reconnaître et comprendre à quel point nous sommes différents ou semblables aux gens d’autres cultures. Cette connaissance nous permet d’en arriver à une meilleure compréhension des intentions et des actions des autres et ainsi d’éviter les malentendus culturels susceptibles d’entraver la communication interculturelle, l’établissement des relations et la consolidation de la paix.
Les généralisations culturelles …
-sont souples et ouvertes à de nouvelles informations. -permettent de développer une plus grande curiosité et une sensibilité accrue qui favorisent les relations interculturelles.
Les stéréotypes culturels …
-peuvent être positifs ou négatifs selon le point de vue de celui qui parle. -sont réfractaires aux nouvelles informations. -ne tiennent pas compte des différences individuelles contrairement aux généralisations culturelles.
Pour plus d’informations théoriques : Basic concepts of intercultural communication: Selected readings, M. Bennett (1998) Cross Cultural Communication: A visual approach, R. D. Lewis (1999)
Repérez les mots cachés de manière horizontale, verticale et diagonale
Argentine Australie Autriche Bolivie Brésil Canada Danemark Finlande Ghana Hongrie Islande Japon Lettonie Malaisie Paraguay Pérou Philippines Portugal Thaïlande Turquie
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