F2v 16

n°16 - mai 2018

PORTRAIT

Pasteur Sylviane Mantey

BEAUTÉ

Nappy or not nappy ?

OSER ENTREPRENDRE

Le secteur informel, parlons-en !

ÉDITION SPÉCIALE

LE MAGAZINE QUI VA CHANGER VOS VIES

Femmes de Valeur magazine

SOMMAIRE Femmes de prière

P.6

Exhortations Témoignage

Femmes de parole

P.10

Portrait du pasteur Sylviane Mantey N’oublie pas ton corps !

Sélection de livres réalisée avec les éditions Vida

Femmes d’intérieur

P.14

Collection Joy Moubouh Nappy or not nappy ?

La cuisine d’Esther Questions de couple

Femmes d’entreprise

P.20

Pensée de Femmes Oser entreprendre Paroles de coach

Femmes de compassion

P.26

De l’exploitation à un projet de vie plein de sens

Culturelles P.28 On a vu, on a aimé !

On a écouté, on a aimé !

On a lu, on a été étonné !

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16 € les frais d’envois pour les 4 numéros de l’année. Voir modalités en page 29. afvaleur@yahoo.com

Femmes de Valeur Magazine est édité par l’Association des Femmes de Valeur – Association déclarée à la sous-préfecture de Sarcelles sous le n°W952002716.

Directeur de publication : Moshé Mahoungoud Rédactrice en chef : Tania Mahoungoud Crédits photos : Pexel, Istockphoto ISSN 2104 - 0702

Former des missionnaires capables d’évangéliser les nations, c’est notre vision !

La Grâce des Héritiers Pointe-Noire Quartier Roy – Rond Point le Gorille en face de l’école Ceminace Contact : (00242) 06 614 35 16 le dimanche, heure de culte de 9 h à 11 h

Femmes de Valeur

édito

Que votre lumière brille ! « On n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau mais on la met sur le chandelier et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. » Nous sommes appelées à éclairer nos maisons et le monde dans lequel nous évoluons. En effet, le monde a besoin de femmes sages, qui bâtissent des foyers stables, des activités vertueuses et qui soutiennent ceux qui en besoin dans la prière, par des paroles d’encouragements ou encore à travers des dons. C’est possible, nous pouvons le faire avec l’aide du Tout puissant.

Dieu nous a créé pour un but : pour être des femmes de valeur, des femmes qui créé de la valeur dans leur maison et dans leur nation. Plus, il y aura de femmes qui réalisent qu’elles ont de la valeur et plus notre société se portera mieux. Femmes de Valeur Magazine est un outil pour y contribuer.

Dans cette nouvelle édition, nous faisons la part belle aux femmes de prière, de parole, d’intérieur, d’entreprise et de compassion.

Vous retrouverez vos rubriques habituelles, des conseils pratiques, des témoignages, des portraits, pour vous encourager et vous aider à devenir une femme de valeur.

Ma prière est que votre vie soit éclairée par la lumière de la parole de Dieu et qu’à cause de vos bonnes œuvres, notre Père céleste soit glorifié.

Bonne lecture.

Tania Mahoungoud Rédactrice en Chef

Exhortation Écouter Dieu.

P

rier, c’est parler avec Dieu et c’est aussi l’écouter.

Une femme de prière est une femme qui écoute Dieu et qui met sa parole en pratique.

Soyez à l’écoute !

Dans l’évangile de Matthieu, un scribe demande à Jésus « quel est le premier de tous les commandements ? » Jésus lui répond « voici le premier : écoute Israël, le Seigneur, notre Dieu est l’unique Seigneur ».

Dans le livre de Jacques, la Bible nous dit que tout homme soit prompt à écouter et lent à parler.

Naturellement, nous avons tendance à vouloir plus parler qu’écouter. Or écouter, c’est faire preuve de sagesse et surtout si l’on respecte la parole de Dieu, c’est être obéissant.

P. 6

Et si dans nos prières, nous prenions le temps d’écouter Dieu ? La prière est un dialogue avec Dieu mais peutêtre avons-nous tendance à faire un monologue ?

Dieu connait toutes choses, il sait ce dont nous avons besoin, ce qui nous tracasse. Et si dans le temps que nous passons dans la prière, on lui laissait le temps de nous parler, en lui disant simplement « Seigneur parles moi, je désire écouter ta voix afin de te suivre, révèles moi ces grandes choses, ces choses cachées, que je ne connais pas ».

Ensuite arrêtez de parler et laissez-le parler : Dieu parle, écoutez-le !

Prions pour nous !

U

ne femme de prière est une femme qui a fait de la prière un mode de vie et qui intercède pour son prochain. Les femmes font face à de nombreuses souffrances, nos prières peuvent changer la donne. Ensemble prions pour toutes les femmes.

Qu’elles soient célibataires, mariées, divorcées, veuves, les femmes font face à de nombreux combats intérieurs (complexe, mauvaise estime de soi, blessures intérieures,...) ou extérieurs (discrimination, violence morale ou physique, maladie…). Les sujets de prière ne manquent pas : les femmes devraient prier pour les femmes. Dans ce numéro de Femmes de Valeur Magazine, nous vous proposons quelques sujets pour lesquels, nous pouvons prier ensemble.

Prions pour qu’il n’y ait plus de femmes stériles Dans le livre d’Exode, la Bible déclare « dans ton pays, il n’y aura pas de femmes stériles » et pourtant autour de nous, nous connaissons des femmes qui servent le Seigneur mais qui n’arrivent pas à tomber enceinte. Nous compatissons à leur situation, peut-être les avons-nous déjà fortifiés mais est-ce que nous prions sans cesse pour elles ? Ensemble, prions pour ces femmes.

Prions pour les femmes battues En Afrique centrale, 65% des femmes sont victimes de violence, soit minimum

6 femmes sur 10, c’est énorme ! Il faut que cela s’arrête. Les hommes doivent arrêter de violenter les femmes et les femmes ne doivent plus se laisser faire, ne plus rester sous silence. Ensemble, prions pour que cela change : que d’années en années, les statistiques soient à la baisse.

Prions pour les jeunes filles qui se prostituent On entend dire que la prostitution est le plus vieux métier du monde, une manière de dire que ça ne s’arrêtera jamais. Comment croire et accepter qu’une femme prenne plaisir à vendre son corps ?

C’est un esprit qu’il faut combattre dans la prière. Et l’heure est grave car dans certains pays, il atteint les jeunes filles.

Ensemble, prions pour ne pas qu’elles se multiplient, qu’elles soient délivrées et qu’elles se remettent sur le chemin de leur destinée divine.

Prions pour toutes les femmes Il y a beaucoup de sujets pour lesquels, nous pouvons prier. Dieu dit dans le livre d’Esaïe au chapitre 59 au verset 16 qu’il s’étonne de ce que face aux péchés du monde personne n’intercède. Intercéder, c’est prier en faveur de ou plaide la cause d’une personne. Dans nos prières, pensons aussi aux autres. Il y a des femmes qui ont besoin de nos prières, ensemble, prions pour elles.

P. 7

Témoignage Dieu protège !

E

n 2016, Dieu m’a fait la grâce de tomber enceinte et de mettre au monde mon troisième garçon mais ce ne fut pas sans difficulté, à croire que donner la vie est pour moi un éternel combat.

Pour vous raconter brièvement mon histoire, la première fois que je suis tombée enceinte, c’était en 2006, j’ai malheureusement fait une fausse couche tardive : j’ai accouché à six mois de grossesse mais l’enfant est mort-né dans des conditions qui jusqu’aujourd’hui me dépassent. Ma grossesse se passait très bien. J’avais rendez-vous un samedi matin chez le gynécologue qui avait fait tous les examens : il n’y avait rien à signaler !

Le soir, j’ai commencé à avoir des douleurs mais comme c’était ma première grossesse, je ne savais pas que c’était des contractions. Je me suis rendue à l’hôpital, les médecins m’ont dit que j’allais accoucher !

Au moment où ils décident d’aller préparer la salle d’accouchement pour me faire une césarienne, les douleurs ont augmenté. A ce moment-là, mon mari et moi étions seuls dans la salle. J’ai senti que l’enfant était en train d’arriver et je l’ai dit à mon mari, c’est lui qui a récupéré l’enfant. Les infirmières sont arrivées ont pris l’enfant qui n’avait poussé aucun cri : il est mort-né.

Des examens approfondis ont permis de déceler que j’avais une béance du col (col naturellement ouvert) et qu’il fallait pour mes prochaines grossesses faire un cerclage. C’est ce qui s’est passé. Un an plus tard, je suis retombée enceinte et j’ai mis au monde un fils, par la grâce de Dieu. En 2010, j’ai

P. 8

eu un deuxième fils et en 2016, je suis retombée enceinte. J’ai fait un cerclage comme c’était le cas pour mes précédentes grossesses. Tout se passait très bien et contrairement aux précédentes grossesses, je n’avais pas de problème avec mon col, il était resté bien fermé. A aucun moment, je n’aurai pu imaginer qu’un autre problème allait surgir.

Alors que j’étais à 34 semaines de grossesse, j’ai commencé à avoir mal au dos.

Comme j’étais vers la fin de ma grossesse, je pensais que c’était normal, je ne suis donc pas allée chez le médecin. 3 jours après les premiers symptômes, les douleurs persistaient et avaient atteintes mon estomac. Je suis allée à l’hôpital et je me suis retrouvée dans le scénario de 2006.

“C’était la grâce de Dieu !

Il nous a protégés et écartés du danger.

Mon temps n’était pas arrivé, je devais vivre et cet enfant devait naître.”

Les médecins m’ont consulté, fait des examens et ont réalisé que j’avais 20 de tension : il fallait immédiatement me faire une césarienne car j’avais atteint le niveau critique d’une pré-eclampsie avec hellp syndrome.

mon mari a eu la sage-femme au téléphone, cette dernière lui a expliqué « Monsieur vous avez eu de la chance, ce soir vous avez failli perdre votre femme et votre enfant ! ».

Mon mari n’était pas avec moi car il était en mission en Afrique. J’ai juste eu quelques secondes pour l’appeler, lui expliquer la situation et lui donner le numéro de téléphone de l’hôpital. C’est ainsi qu’un samedi à 22h, mon troisième fils est né. Tout de suite après la césarienne, je suis allée en soin intensif parce que je faisais toujours de l’hypertension et j’y suis restée 24h. Ce n’est donc que le lundi à 14h, que j’ai pu voir mon fils pour la première fois. Il est resté 15 jours dans un service de néonatalogie.

Dieu protège ! Lorsque dans la nuit du samedi,

C’était la grâce de Dieu ! Il nous a protégés et écartés du danger. Mon temps n’était pas arrivé, je devais vivre et cet enfant devait naitre. C’est alors que j’ai réalisé qu’en 2006 Dieu n’avait pas permis que l’on m’ouvre le ventre pour un enfant qui était mort.

Il avait réservé cette césarienne, pour notre troisième fils, le fils de la victoire. Que Dieu soit loué !

Merci Seigneur.

Femmes de Prière

P. 9

Femme de Parole Pasteur Sylviane Mantey, Invitée de la Conférence Internationale des Femmes de Valeur

D

u 15 au 17 juin, l’Association des Femmes de Valeur (AFV) organise la Conférence Internationale des Femmes de Valeur 2018. Pour cette nouvelle édition, elle aura l’honneur de recevoir le pasteur Sylviane Mantey de la Côte d’Ivoire, créatrice avec son époux de la chaine Bénie TV. C’est dans son pays d’origine, en Côte d’Ivoire, en novembre1993, que le pasteur Sylviane Mantey accepte le Seigneur Jésus-Christ dans sa vie.

Quelques semaines plus tard, elle se fera baptisée par immersion à l’église de la Foi Chrétienne en Action d’Abidjan (CAFM). Le jour de son baptême, elle fait la rencontre de Samuel Mantey, ingénieur agronome et homme d’affaires qui deviendra son époux le 28 mai 1994. Aujourd’hui, ils sont les heureux parents de trois enfants.

Son appel au ministère En 2000, Dieu se révèle à sa servante et lui demande de bâtir un temple qu’elle réalise avec l’aide de Dieu et son époux. C’est à partir de ce moment qu’elle fait son apprentissage dans l’œuvre de Dieu aux côtés de plusieurs hommes de Dieu.

En 2005, Dieu confirme son appel lors d’une croisade de Benny Hinn en Floride à Miami.

Aujourd’hui, elle et son époux sont les visionnaires de l’église la Bénédiction située à Abidjan et les créateurs de la chaine de télévision chrétienne « Benie TV » actuellement disponible sur Canalsat.

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Du 15 au 17 juin, l’Association des Femmes de Valeur aura l’honneur de recevoir le couple pour sa conférence annuelle des Femmes de Valeur qui aura lieu à Pointe-Noire (Congo) et qui aura pour thème « Oser entreprendre ». Leur expérience dans l’œuvre de Dieu mais également en tant que Hommes d’affaires seront une bénédiction pour la ville Océane.

Femme de Parole N’oublie pas ton corps !

1 Corinthiens 6:19-20 : Ne le savez-vous pas? Votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous et que vous avez reçu de Dieu. Vous ne vous appartenez pas à vous-mêmes, car vous avez été rachetés à un grand prix.

Rendez donc gloire à Dieu dans votre corps et dans votre esprit qui appartiennent à Dieu.

Mon corps, le temple du Saint Esprit. Comme une maison, il faut en prendre soin : balayer, passer la serpillère, dépoussiérer, décorer et parfumer de douces senteurs pour en faire un véritable palais où le Roi prend plaisir à demeurer. C’est en réalité ce que nous faisons en menant une vie consacrée au Seigneur par la marche dans l’obéissance à travers la sanctification, la prière, la méditation de la Parole, le service dans la maison de Dieu et le témoignage de Christ partout où nous allons. Nous honorons ainsi le temple du Saint Esprit.

Lorsque j’ai donné ma vie au Seigneur Jésus, j’ai compris en effet que je ne m’appartenais plus et qu’il fallait que le Maître se plaise à habiter en moi. Il y a néanmoins un aspect du temple que je n’avais pas encore bien pris en compte. Oui, la vie dans le Seigneur est une marche perpétuelle où on apprend et grandit chaque jour.

Plus jeune, j’avais souvent tendance à ne pas prendre mes repas normalement : une indiscipline alimentaire que j’avais et qui faisait que ma mère ne cessait de me demander (en me réveillant même parfois) : « Laëtitia, as-tu mangé ? ». Même après avoir quitté la maison familiale pour les études universitaires, cette question ne cessait de revenir lorsque nous discutions au téléphone. Par la grâce de Dieu, même loin des parents, j’ai toujours eu des personnes qui veillaient à ce que je m’alimente bien. Cependant, est arrivé le moment où il m’a fallu réellement apprendre à me gérer seule. Cela correspondait aussi à la période où j’ai donné ma vie au Seigneur et tellement passionnée par l’étude de la Parole de Dieu et raffolant des moments dans Sa présence, sans compter mon investissement professionnel, une véritable indiscipline alimentaire s’est installée.

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Quelques mois plus tard, j’ai entendu résonner la sonnette d’alarme : « Laëtitia, que t’arrive-t-il ? Tu as perdu énormément de poids : tu as maigri ! ». Les remarques se faisaient de plus en plus récurrentes et de nombreuses hypothèses étaient formulées sur cette perte de poids. De toutes, celle qui m’a profondément touchée était, si je paraphrase : c’est donc cela, vos nouvelles églises ! Là, j’ai vu violemment attaqué le témoignage de ma vie épanouie en Christ, une œuvre malveillante dont l’auteur est connu. Ne pouvant cautionner cela, je me suis tournée vers mon partenaire quotidien : le Saint Esprit.

Pendant un moment de méditation, Il m’a fait voir un temple mais cette fois, de l’extérieur. Il m’a expliqué qu’il est important d’également veiller sur l’extérieur du temple : des murs à la peinture toujours fraîche ; mettre de belles fleurs dans mon jardin, les arroser, les entretenir ; désherber les alentours. Cela est bien une part de mon témoignage ! Oui, prendre soin de l’extérieur du temple est aussi une manière d’honorer Celui qui y réside !

Dans la pratique, cela revient à prendre soin de son corps, même dans les plus petits détails : les ongles, les dents, les cheveux, le visage ; faire

par Laetitia Letembet du sport, bien s’alimenter, être propre, sentir bon ! J’insiste sur les détails parce que certains points n’ont pas toujours été mon fort et mon orientation dans les filières techniques ne m’a pas non plus aidée à faire beaucoup d’efforts !

Tenez ! Un jour, il a fallu que j’enlève mes chaussures au bureau pour monter sur un tabouret pour aller en hauteur. Vous pensez à une odeur de pieds ? Non, par la grâce de Dieu, c’est un point sur lequel je veille déjà ! Cette fois, il s’agissait plutôt de mes ongles : quelle horreur ! Je ne m’en étais pas rendue compte avant ce jour. J’étais avec mon chef ; je ne sais pas s’il l’a remarqué (ça ne m’étonnerait pas car mine de rien, les hommes voient souvent ce genre de détails). Je n’avais que le Saint Esprit pour attirer mon attention ! Le weekend qui a suivi, je me suis offert une bonne pédicure. La semaine d’après au bureau, une autre situation demandait que j’enlève mes chaussures : cette fois, j’étais sans stress !!!

Chères sœurs, sachons prendre soin de nous et gardons en tête qu’il n’y a aucun sujet pour lequel nous devrions avoir honte : problèmes d’haleine, odeurs corporelles, etc. Il vaut mieux les reconnaître (ou aider avec amour et sagesse une sœur ; la forme est très importante !) afin de trouver une solution, car il y en a toujours ! Je me souviens d’une étudiante qui avait des problèmes d’odeurs corporelles. Elle est entrée dans le bureau de ma mère un jour et cette dernière l’a avec sagesse prise en aparté pour lui donner quelques conseils. Elle les a appliqués et n’a pas manqué de revenir pour la remercier pour ces conseils qui assurément l’accompagneront toujours.

Pour en revenir à mon alimentation. J’ai perdu beaucoup de poids sans vraiment m’en rendre compte, ces derniers mois. Je remercie le Seigneur de m’avoir ouvert les yeux à travers ceux qui m’aiment et pour cet enseignement sur le temple. Le Saint Esprit est un partenaire quotidien, ne te tourne pas vers Lui uniquement pour les grands feux. Il est là pour t’aider chaque jour, à chaque instant et pour tout. Il attend impatiemment que tu te tournes complètement vers Lui. Notre Dieu est un Dieu d’ordre et jusqu’aux derniers recoins de nos vies, cet ordre doit être manifeste. Permettez-moi ainsi de déclarer : « Aurevoir, indiscipline alimentaire ! Tu ne seras plus jamais mon partage, au nom de Jésus ! ». Je t’invite à faire de même si comme moi, tu as un défi !

En tant que disciple de Christ, la femme de valeur est appelée à aller vers les nations ! Elle a fait de la prière son mode de vie et intercède pour les autres : elle est une femme de prière. Elle veille sur ses paroles et parle de Christ autour d’elle : elle est une femme de parole. Elle a de l’audace, elle est visionnaire : elle est une femme d’entreprise. Elle tend la main aux défavorisés : elle est une femme de compassion. Elle prend soin de son foyer, sa maison, mais aussi de son corps : elle est une femme d’intérieur !

La femme de valeur, une véritable servante du Seigneur, rayonnante à l’intérieur, comme à l’extérieur.

1 Thessaloniciens 5 :23 : Que le Dieu de paix vous rende lui-même entièrement saints et qu’il vous garde parfaitement esprit, âme et corps pour que vous soyez irréprochables lors de la venue de notre Seigneur Jésus-Christ.

“Inarrêtable”

Goûtez à la vie extraordinaire à laquelle Dieu vous destine Valorie Burton Y a-t-il quelque chose que vous devez faire, mais que, pour une raison ou une autre, vous n’avez pas encore accompli ?

Une relation qui ne mène à rien, et à laquelle vous vous accrochez ? Un projet de vie qui n’aboutit pas, par crainte du saut dans le vide ?

La plupart des gens restent bloqués et ne se libèrent jamais de leurs craintes. Ne soyez pas de ce nombre. Valorie Burton, spécialiste en coaching et auteure du best-seller Les femmes qui réussissent pensent différemment, vous permettra de réaliser que votre passé n’a pas à dicter votre avenir, de cesser de regarder fixement une porte fermée et d’entrer dans une nouvelle saison de votre vie, de triompher des distractions qui peuvent détruire toutes vos bonnes intentions, de transformer vos échecs en succès inattendus, d’être plus heureuse, en meilleure santé et inarrêtable dans tous les domaines de votre vie !

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52 manières de prier pour vos enfants Guide de prière à l’intention des parents Jay Payleitner

ouvr ...et bien d’autres

La prière est efficace. Elle change les situations.

N’est-ce pas une bonne raison pour nous, parents, de nous tourner vers Dieu afin de recevoir de lui le courage, la force et la direction nécessaires et d’apprendre à nos enfants à en faire autant ?

Certes, vous savez parler avec vos enfants et il vous arrive de les reprendre quand il le faut. C’est bien. Et maintenant, si vous parliez d’eux à Celui qui les a créés et les aime encore plus que vous ?

Mieux encore, pourquoi ne pas les inviter à se joindre à vous dans la prière ? Vous verrez des résultats merveilleux.

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Restaurer les relations brisées

40 jours avec Dieu En route vers sa présence John et Lisa Bevere

Le chemin vers la paix et le pardon Neil T. Anderson

Les conflits font partie de la vie, qu’il s’agisse des tensions entre parents et enfants, des rivalités entre frères et sœurs, des brouilles entre amis ou des querelles au travail. Qui d’entre nous n’a jamais été blessé par la faute d’autrui ? Et une blessure qui n’est pas guérie se répercute sur notre entourage.

Ces histoires vraies de personnes qui ont trouvé la réconciliation avec Dieu et avec leur prochain vous permettront de mieux cerner les problèmes relationnels. Vous découvrirez le chemin du pardon dans votre vie personnelle et aiderez d’autres à y marcher. Au-delà de la simple gestion de conflits, optez pour des solutions authentiques et durables.

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Avec une honnêteté sans concession et de solides connaissances bibliques, John et Lisa Bevere examinent huit barrières courantes susceptibles de vous priver de la présence de Dieu. Faites sauter les obstacles qui s’élèvent entre vous et votre Père céleste.

Au travers d’un parcours de méditations, John et Lisa Bevere vous entraînent dans la découverte d’une intimité inédite avec Dieu. Chaque partie du livre traite d’un obstacle particulier à surmonter et se compose de cinq méditations spécifiques enrichies d’applications pratiques et de prières ciblées.

Vous serez béni par cet ouvrage conçu pour vous aider à pénétrer la présence du Dieu tout-puissant !

Collection Joy Moubouh

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Nappy or not nappy ?

Depuis quelques années, les cheveux afros sont redevenus à la mode, fini les défrisages, tresses, tissages, les cheveux naturels ont le vent en poupe. Femmes de Valeur Magazine a rencontré Paul Kouassi du salon de coiffure Mèche à Mèche situé à Pointe-Noire au Congo-Brazzaville, elle nous dit tout sur la tendance Nappy.

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Paule Kouassi, responsable du salon Méche à Méche de Pointe-Noire.

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je suis Paule K et je suis Manager pour l’emblématique salon de coiffure Mèche à Mèche. Je suis Nappy depuis 4 ans, mon dernier Big Chop remonte à Janvier 2016.

Nappy quand l’on connait les dégâts (alopécie entres autres) que le défrisage peut engendrer à terme.

Mes trois sœurs le sont, mes amies aussi. Pas ma mère, elle résiste encore mais je l’aurai. Rires

Qu’est-ce qu’être Nappy ?

Nappy c’est la fusion de deux mots (Natural+Happy), heureuse d’être Naturelle si je dois traduire. A côté de cela, c’est un mouvement qui désigne les femmes noires qui assument leurs cheveux crépus en disant «NON» au diktat des cheveux longs et lisses synonyme de beauté.

Comment prendre soin de ses cheveux naturels ?

Il faut savoir que le cheveu crépu est naturellement sec, il est donc important de lui apporter une hydratation intense assez souvent. A cet effet, Mèche à Mèche a mis en place un programme soin vapeur pour les cheveux naturels (et pas seulement), qui peut durer trois voire six mois selon le diagnostic qui a été établi.

Big Chop ou Transition ?

J’ai opté pour le Big Chop qui est une méthode qui consiste à se couper les cheveux à ras. Et de les laisser pousser naturellement.

Pour celles à qui cela parait radicale, vous avez à ce moment-là le choix de la transition qui consiste à arrêter le défrisage et à couper les pointes au fur et à mesure des semaines et des mois.

Pourquoi ce besoin de devenir Nappy ? Est-ce la nouvelle tendance ?

Pour ma part, je n’ai suivi aucune tendance, c’est tout simplement que, face à mon miroir, je voyais ma chevelure qui avait perdu son éclat, son volume, sa santé suite aux nombreux défrisages (traitements chimiques très toxiques), lissages réguliers, brushings, couleurs et j’en passe.

Sur un coup de tête, j’ai été chez le coiffeur, un coup de tondeuse et le tour était joué. Aujourd’hui je suis assez fière d’arborer ma tignasse et j’incite mon entourage à devenir

Quels sont les produits adaptés pour prendre soin du cheveu naturel ?

Première chose, privilégiez les shampoings sans sulfate.

Deuxième chose, rincez vos cheveux après chaque shampoing à l’eau froide. En même temps qu’elle resserre les pores de la peau du cuir chevelu et empêche les saletés de s’y déposer, elle scelle également les écailles de la cuticule de vos cheveux. Vos cheveux reflèteront mieux la lumière et vous obtiendrez un effet brillance qui fera toute la différence.

En termes de produits, j’utilise la gamme de produits Design Essentials depuis quatre ans à base de Monoï, avocat, amande. (Disponibles au salon) Vous avez également la gamme CHI à base d’argan oil tout aussi riche pour les cheveux naturels. (Disponible au salon)

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La cuisine d’Esther Salade Hawaienne source : cuisineactuelle.com

• 150 g de riz • 1 kiwi • 200 g d’ananas • 200 g de crevettes cuites • 1 petite boîte de maïs • 8 bâtonnets de surimi • 1 cuil. à soupe de vinaigre de cidre • 3 cuil. à soupe d’huile Faites cuire le riz à l’eau bouillante salée pendant 10 min puis égouttez et laissez refroidir.

Pelez le kiwi puis coupez-le en dés. Égouttez le maïs.

Coupez l’ananas et le surimi en cubes.

Versez le vinaigre dans un saladier et délayez avec le sel et le poivre.

Fouettez avec l’huile puis ajoutez le riz, les dés de kiwi et d’ananas, les crevettes, le surimi et le maïs.

Mélangez et servez.

Brochette à la viande d’agneau façon Kebab source cuisineaz.com

• 600 g d’agneau paré • 1 yaourt nature • 6 tomates cerise • 1 oignon • 1 citron • 2 gousses d’ail • 2 cuil. à soupe d’huile d’olive • 1 cuil. à café de coriandre en poudre • 1 cuil. à café de cumin en poudre • 1 cuil. à café de curcuma en poudre • 1 pincée de cannelle en poudre • 1 pincée de muscade en poudre • sel & poivre

Vous pouvez remplacer le surimi par des moules et préparer la salade avec du riz semi complet.

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Femmes d’intérieur

Coupez l’agneau en cubes. Épluchez l’oignon et l’ail.

Coupez-les en morceaux.

Mettez l’oignon et l’ail dans le bol d’un robot puis mixez avec toutes les épices, le yaourt, le jus de citron et du sel.

Enrobez les morceaux d’agneau de cette marinade, filmez et placez au frais 3 h. Ôtez l’excédent de marinade et piquez les morceaux d’agneau sur des brochettes, en ajoutant une tomate cerise au milieu.

Faites chauffer une poêle avec l’huile d’olive et faites-y cuire les brochettes quelques min selon la cuisson désirée.

Questions de couple Est-ce l’homme de ma vie ?

J’ai rencontré un homme, je l’aime, il m’a dit qu’il m’aimait et qu’il désire m’épouser mais je me demande si c’est l’homme de ma vie, j’ai déjà été déçu par le passé.

Bonjour, j’ai découvert récemment que mon mari avait une liaison avec l’une de mes amies.

Il m’a dit que c’était terminé et me demande de lui pardonner. Je ne sais pas si j’y arriverai.

Je me sens trahie de toute part, je me demande s’il ne faut pas divorcer.

(Natacha – Centrafrique).

Chère Natacha, Il est vrai que l’adultère est une raison biblique pour divorcer mais la Bible dit également que l’amour de Dieu supporte tout, pardonne tout et espère tout. Vous avez été trahie par votre mari et votre amie, cela peut sembler être une situation catastrophique, impardonnable, mais le divorce n’est pas la seule issue. Avec l’aide de Dieu, vous pouvez réussir à pardonner et à tout recommencer, en espérant que votre mari ne recommencera plus. La chair est faible mais l’esprit est toujours disposé. Dieu est disposé à vous aider à traverser cette épreuve. Remettez votre mariage entre ses mains.

Vos interrogations sont légitimes, aimer est-ce la seule bonne raison pour dire « OUI ». Je dirai « NON ». Si vous avez accepté Jésus-Christ comme sauveur et seigneur, le mieux serait que cet homme ait fait le même choix que vous. Le mariage est une institution divine, il est préférable d’avoir premièrement fait alliance avec Dieu avant de faire alliance avec un homme et de même pour l’homme. Ensuite, il est important de savoir quelle est sa vision, est ce que vous partagez les mêmes valeurs mais également les mêmes projets. Avez-vous la même conception du mariage ? Observez-le, communiquez, posez-lui des questions, ne soyez pas aveuglé ou obnubilé parce qu’il vous a dit qu’il vous aime ou qu’il veut vous épouser.

N’hésitez pas à prendre du temps dans la prière pour consulter Dieu : Dieu parle ! Il saura vous orienter.

Je ne suis pas satisfaite Cela fait trois ans que je me suis mariée, je m’entends bien avec mon mari mais lors de nos relations intimes, je ne ressens pas vraiment de plaisir. Je n’ose pas lui en parler.

Les relations sexuelles sont très importantes dans un couple. Et pour toute entente y compris sexuelle, il faut de la communication. L’homme et la femme doivent prendre du plaisir à être ensemble. Vous devez dans votre couple développer une relation où vous pouvez parler de tout sans tabou. Votre mari doit savoir comment s’y prendre avec vous car contrairement à ce que certains pensent, toutes les femmes ne sont pas les mêmes, surtout si avant vous, dans le passé, il a eu d’autres relations.

Préparer le terrain dans la prière, exprimez-vous avec sagesse et douceur afin qu’il ne se sente pas atteint dans sa virilité.

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Pensées de Femmes Le 8 mars, une date pour la journée internationale de la femme !

La journée internationale de la femme, le regard du XXe siècle Après la proclamation en 1977 du 8 mars par les Nations Unies, la journée internationale de la femme était célébrée avec des thèmes précis car chaque femme accordait une importance considérable à cette date. Une date qui rappelait la bataille et la rigueur avec laquelle les femmes manifestaient pour obtenir leur droit de vote, leur droit aux meilleures conditions de travail etc. Le 8 mars était consacré, aux débats de tout genre. Cet esprit de lutte semble peu à peu disparaître avec les jeunes des quatre coins du monde qui parfois ne connaissent ni l’historique du 8 mars, ni son objectif.

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par Jessica Kinani

Agrée par les Nations Unies en 1977, la Journée internationale de la femme tient sa genèse dans les manifestations de femmes au début du 20e siècle. En effet, le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité des sexes étaient parmi les causes de leurs manifestations. Plusieurs dates ont accompagné la lutte pour l’émancipation de la femme.

Aussi comment les femmes célèbrent–elles cette journée aujourd’hui ? Retour sur ces dates et sur la célébration actuelle de la journée internationale de la femme.

La journée internationale de la femme, le regard du XXIe siècle La célébration de la journée des droits des femmes a pris un aspect plutôt festif dans tous les continents.

En effet, les femmes organisent plus de rencontres pour se régaler que pour faire des débats qui les concernent.

Aux Etats Unis Cette année, l’ex secrétaire d’Etat Rex Tillerson, a rappelé leur engagement envers la suppression des inégalités entre femmes et hommes, sur le sol et à l’étranger, un autre souhait est celui de faire progresser le statut des femmes et des filles à l’échelle

mondiale. Ce 8 mars, plusieurs femmes se sont retrouvées pour célébrer leur victoire autour des colloques et conférences.

En Europe Actuellement, en France et dans bien d’autres pays d’Europe, la journée internationale de la femme occasionne la participation des femmes dans plusieurs événements. Les femmes militant au sein des associations ou d’entreprises organisent plusieurs activités dans un but de rappeler chaque année, que rien n’est encore acquis et que les avancées pour leur émancipation restent un combat quotidien. A titre d’exemple : les émissions réalisées le 8 mars portant sur la description des carrières et les témoignages des femmes entrepreneures ou encore des femmes chefs d’entreprise sur les chaines françaises illustrent belle et bien l’engagement des femmes à continuer la lutte vers l’émancipation proprement dite. Comme aux Etas Unis, les femmes n’ont pas manqué à la coutume

d’organiser des débats et des conférences et toutes activités susceptibles d’emmener les femmes à prendre conscience de l’importance du 8 mars. Cette date doit rester une date pour la lutte.

En Afrique Dans plusieurs pays d’Afrique, les femmes célèbrent la journée internationale de la femme autour des débats, des conférences avec des thèmes liés à la cause féminine. Aussi, organisent-elles avec l’appui des gouvernements des défilés sur la place publique. A la différence des autres continents, en Afrique pendant la journée du 8 mars, plusieurs femmes reçoivent des pagnes en guise de cadeaux de la part de leurs entreprises ou associations. Une manière de lier l’utile à l’agréable.

Le 8 mars doit rester pour les femmes du monde entier une journée de reconnaissance du leadership, de la contribution et du courage des femmes qui ont fait et continuent à faire des sacrifices depuis des générations pour accéder à leur liberté et à leur droit.

Quelques dates clés de la journée internationale de la femme 1910 : des centaines de participantes réunies pour la deuxième conférence internationale des femmes socialistes à Copenhague (Danemark) décident d’organiser chaque année une journée des femmes pour promouvoir leur combat en faveur du droit de vote.

1911 : aux Etats Unis et dans plusieurs pays d’Europe, est célébrée une journée de femme, en commémoration de la révolution de 1848 et de la commune de Paris. D’où le choix du 19 mars.

1913 : le dernier dimanche de février, des femmes russes marquent leur première journée internationale de la femme et organisent des rassemblements clandestins.

1915 : pendant la première guerre mondiale, un rassemblement de femmes se tient le 15 avril à la Haye, auquel participent plus de 1300 femmes venues de 12 pays.

1917 : c’est le début de la révolution russe, le 23 février, les ouvriers sortent dans les rues pour déclencher la grève générale.

Enfin, c’est après la seconde guerre mondiale, que la date du 8 mars a commencée à être célébrée dans de nombreux pays.

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Oser entreprendre Le secteur informel, parlons-en !

Le monde aujourd’hui vie sous l’opulence d’une économie informelle. Ce secteur est plus basé dans les pays en voie de développement et occupe près de 78 millions de dollars de l’économie mondiale.

Paru en 1972 dans un rapport du bureau international du travail concernant le Kenya, le concept « économie informelle », est née de l’étude faite sur les pays en voie de développement.

Aujourd’hui, dans plusieurs pays d’Afrique, d’Amérique latine, d’Europe ou encore d’Asie, plusieurs personnes vivent du commerce informel.

Il y a donc des commerçants partout dans le monde qui occupent les rues, les grandes artères, les trottoirs, les autoroutes urbaines pour vendre leurs marchandises. Le secteur informel occupe une place de choix dans l’économie mondiale.

En effet, son développement est le résultat des lourdes taxes et procédures nécessaires pour la création d’une entreprise ou encore, le manque de capital pour supporter les charges d’une PME. Les banques refusent très souvent d’octroyer des prêts à cette catégorie professionnelle.

Dans les pays en voie de développement, la chaîne de l’économie informelle produit des biens et services, dont la population a besoin. Ces biens et services étant absents sur le marché formel,

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Femmes d’entreprise

les consommateurs sont obligés de se procurer la marchandise qu’ils trouvent parce qu’elle est vendue à un prix réduit.

L’économie informelle emploie plus de la moitié de la main d’œuvre mondiale. A ce jour, elle recouvre plus de 90% des petites et moyennes entreprises sachant, que ce chiffre ne prend pas en compte la multitude de micro entreprises existant dans les pays en développement.

Le secteur informel est aussi un champ où des milliers de travailleurs dans le monde subissent de mauvaises conditions de travail et l’absence du respect des droits du travail. Peu d’emplois de qualité, une protection sociale précaire, une productivité limitée, sont parmi les contraintes que rencontrent les acteurs pris dans le piège de l’informalité.

Le secteur informel et l’économie occidentale Pendant que le secteur informel se développe dans les pays en voie de développement, l’économie informelle est presque inconnue dans les pays développés. Les biens et services utilisés dans le secteur informel dans les pays en voie développement sont tous utilisés dans le secteur formel dans les pays développés. Cependant, certains auteurs parlent d’économie informelle pour des activités exercées par une population désocialisée dans les pays occidentaux. Sauf que, ces activités ne sont pas comparables avec les activités du même nom exercées dans les pays en voie de développement.

Comment sortir de l’informel ?

En 2017, le Fond Monétaire International (FMI) a redéfini le cadre du secteur informel vu son impact important dans l’économie mondiale. Pour le FMI, le secteur informel « englobe les entreprises familiales qui produisent une certaine valeur marchande sans être enregistrées, mais peuvent ne pas être déclarées aux autorités en vue d’échapper à la réglementation ou à l’impôt, ou parce qu’elles sont simplement illégales.» L’Organisation Internationale du Travail (OIT), a quant à elle mise en place une nouvelle norme internationale du travail pour donner aux Etats des conseils afin de réussir une bonne transition du secteur informel vers le secteur formel.

La procédure consiste à faciliter le passage des tra-

vailleurs et des unités économiques de l’économie informelle vers l’économie formelle, ceci en modérant les taxes et impôts, en octroyant des prêts aux PME pour leur permettre d’être en règle, de mieux démarrer leur commerce. L’autre point est celui, de promouvoir la création des emplois décents dans l’économie formelle et de prévenir l’in formalisation des emplois formels.

Il sied de préciser que, l’économie informelle prend une place importante surtout dans les sociétés africaines. Rare sont les gouvernements qui y prêtent attention tout simplement parce que cette économie fonctionne comme un amortisseur social et correspond à une vision particulière des rapports humains.

TÉMOIGNAGES Germaine, une commerçante au marché de Pointe-Noire, Congo « Cela fait plus de 5 ans que je me suis installée ici pour vendre. Je sais bien que j’exerce dans l’informel mais je ne peux rien faire puisque c’est l’unique moyen que j’ai trouvé pour nourrir ma famille.

Mon souhait serait d’ouvrir une grande boutique. Mais l’ouverture d’une grande boutique fait appel à un budget plus une panoplie de taxes et impôts. Pour l’instant, je ne me sens pas en mesure de supporter tout cela c’est mieux pour moi de continuer dans ce sens. »

Pavel, consommateur « Je suis un habitué du secteur informel. Mais je ne savais pas que c’était l’appellation appropriée. Tous mes vêtements sont des vêtements de secondes mains, donc des vêtements d’occasion qui viennent d’Europe. Je suis étudiant non boursier mais, je dois paraître propre au milieu de mes collègues. Les vêtements d’occasion d’Europe ne sont pas forcément des vêtements usés mais plutôt des habits neufs en bon état. Il suffit de faire un bon choix. Je suis accro juste à cause du prix abordable. »

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Paroles de coach Le trompe l’œil de la beauté !

«

Les fées se penchent sur le berceau d’une petite fille pour lui faire le cadeau de la beauté ».

Qui imaginerait que dans la vraie vie la beauté pourrait être un cadeau empoisonné ?

Récemment j’accompagnais les dirigeants d’une grosse entreprise dans leur prise de parole. Chacun me faisait part de ses difficultés face à un public.

Quelle surprise quand la seule femme de l’équipe, une femme brillante et jolie, a confié que ce qui lui causait le plus d’ennuis, notamment depuis qu’elle occupait un poste élevé, c’était…sa beauté !

« Etre une femme et arriver à un haut niveau de responsabilité dans l’entreprise, c’est déjà un parcours semé d’embuches. Mais être jolie, c’est pire que tout », commence-t-elle. « Quand une femme dirigeante au physique ingrat monte sur scène pour prendre la parole en public, vous pouvez sentir une forme d’empathie voire d’admiration dans les regards. Cette femme n’est pas jolie mais elle est certainement très méritante, pense-t-on.

Mais quand moi je monte sur scène pour prendre la parole, je fais face à une hostilité hargneuse. Des sourires narquois plein de sous-entendus. Des regards juges et assassins.

Sans parler des regards lubriques.

Mais les regards les plus durs sont ceux des femmes ellesmêmes. » J’observe alors ce qui se passe dans ma salle de formation.

Cette femme vient de parler avec sincérité, sans une once

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Par Anlo Piquet

de prétention. Cependant les hommes présents dans la salle ricanent et la charrient immédiatement « Pauvrette, tu es trop belle ! » L’un d’eux va même l’appeler « Poupée Barbie » pour rire. Je prends alors conscience qu’elle a raison. La beauté physique dans notre société, parce qu’elle est souvent associée à des mœurs légères et à un faible Q.I peut effectivement être une tare dans certains milieux professionnels.

Une première question me vient : pourquoi a-t-on besoin de justifier la réussite des femmes, alors qu’on n’est pas du tout dans la même optique avec les hommes. « Elle a réussi parce qu’elle est jolie ». « Elle a réussi parce qu’elle n’a pas d’enfants ». Est-ce que ça nous viendrait à l’esprit de limiter la réussite de Bill Gates ou Steve Jobs à ce genre de critères ?

On le sait toutes, il y a encore du chemin pour que la réussite professionnelle des femmes soit envisagée comme une conséquence légitime et juste.

Mais une deuxième question me taraude et m’attriste, parce qu’elle nous concerne nous toutes. Pourquoi les femmes sont si dures les unes envers les autres ?« Les regards les plus durs sont ceux des femmes elles-mêmes ».

Il y a quelques années quand je travaillais en radio ma responsable m’a dit une chose que je n’oublierai jamais. D’ailleurs, elle était jolie et très jeune pour une manager, donc le profil type qui aurait pu éveiller des jalousies et stimuler les aigreurs. « La réussite ce n’est pas un poing fermé, qui se brandit devant les autres.

La réussite, c’est une main ouverte et généreuse qui ne craint rien. » N’ayons pas peur de notre propre réussite, ni de celle des autres.

AnLo Piquet est une femme aux multiples talents. En plus de ses talents d’artiste (mime, mise en scène), elle est connue pour être l’animatrice de l’émission Ze Mag diffusée sur internet et sur satellite et c’est une spécialiste de la communication et des médias.

De l’exploitation à un projet de vie plein de sens Quand Eanjill a obtenu son diplôme universitaire, elle a prouvé que tous les autres avaient eu tort. Ses proches disaient qu’elle n’était bonne à rien et qu’elle finirait comme sa mère, « mais je leur ai montré que je pouvais aller au bout de quelque chose, décrocher un travail et nourrir ceux de ma fratrie qui sont plus jeunes que moi » déclare Eanjill. « Ce fut le jour le plus heureux de ma vie et je suis reconnaissant à mon parrain d’avoir fait en sorte qu’il arrive. » La mère d’Eanjill, Emilda, s’était mariée et avait eu des enfants à un âge précoce. Les parents d’Eanjill n’ont jamais eu d’emploi stable et ne parvenaient pas à prendre en charge leurs sept enfants. La famille souffrait souvent de la faim. Ils se nourrissaient généralement de légumes verts avec du sel qui leur étaient fournis par leurs voisins. À l’âge du lycée, Eanjill a commencé à travailler dans un petit restaurant local pour un maigre salaire. L’établissement tournait bien, mais Eanjill était mal payée. Mais ce qui était vraiment décourageant était le fait que le restaurant appartenait à la tante d’Eanjill. C’est elle qui lui disait qu’elle n’arriverait jamais à rien, se marierait, aurait des enfants rapidement et vivrait une vie difficile comme sa mère. « En regardant en arrière, je sais qu’elle m’exploitait » explique Eanjill. Mais à l’époque, elle ne s’en rendait pas compte et était heureuse du peu qu’elle gagnait. Eanjill travaillait au restaurant jusqu’à onze heures du soir et souvent, quand elle rentrait à la maison, ses frères et sœurs n’avaient pas mangé, alors elle achetait un peu de pain pour le repas. Le lendemain, Eanjill devait se lever tôt pour marcher une heure afin d’arriver à l’école. « La seule chose qui allait bien dans ma vie était que j’étais une enfant parrainée. » Ses parrains lui envoyaient régulièrement des lettres et lui montraient qu’elle était quelqu’un qui avait de la valeur. Ils lui disaient de s’accrocher.

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Par le moyen du programme de parrainage Eanjill a suivi une formation universitaire dans le domaine de l’hôtellerie et de la restauration.

Peu de temps après elle fut employée dans un

Par Daniel Hillion

vrai restaurant avec un salaire correct. Mais elle n’en était pas satisfaite à cause de la mauvaise ambiance qui y régnait. Elle a alors démissionné et fut rapidement contactée pour travailler à plein temps dans le centre de parrainage.

Le parcours d’Eanjill n’est pas terminé ! Elle peut envisager de se former pour devenir enseignante. Ce qu’elle a reçu en tant qu’enfant parrainée est une motivation pour faire le bien envers les autres maintenant qu’elle est adulte.

Le parrainage équipe des enfants pour qu’ils soient plus forts face à l’exploitation et aux abus. C’est aussi cela, libérer les enfants de la pauvreté au nom de Jésus.

Adapté d’un texte d’Edwin Estioko, Compassion Philippines, partenaire du SEL pour le parrainage d’enfants.

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Femme de prière Une femme qui a fait de la prière

Femme de parole Une femme sur laquelle on peut

un mode de vie.

compter, qui parle pour édifier.

Femme d’intérieur Une femme qui prend soin d’elle et de sa maison.

Femme d’entreprise

Une femme de foi et de vision qui n’a pas peur d’entreprendre de grandes choses avec Dieu.

Femme de compassion Une femme qui tend la main aux malheureux et à l’indigent.

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Cultur’elles On a vu, on a aimé !

Le clip de Deborah Lukulu « We testify » Deborah Lukalu est une artiste Gospel de la RDC qui réside en Afrique du Sud. A nos yeux, elle est une artiste de valeur !

Sa voix, ses textes, ses clips, ses prestations sur scène : Wonderfull !

Que le Seigneur continue de l’utiliser puissamment pour toucher les nations.

On a écouté, on a aimé L’album de Dena Mwana « Monene » Dena Mwana est une artiste compositeur, interprète de Gospel originaire de la RDC. Si vous n’avez pas encore écouté son album, il est encore temps ! C’est un album a écouté et réécouté, à partager avec tous et surtout a acheté !

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On a lu, on a été étonné !

Snoop Dogg a sortie en mars 2018, un album Gospel !

Il avait annoncé en 2017 son envie de faire un album de Gospel « Je travaille sur un album de gospel. […] J’ai toujours eu cette envie au fond de moi. Je ne l’ai jamais concrétisée parce que j’étais en train de faire du business gangsta, ou faire ceci, ou faire cela. J’ai juste le sentiment que ce projet est en moi depuis trop longtemps. J’ai besoin de le faire maintenant. » Que le Seigneur touche son cœur afin qu’il soit réellement converti. De même pour ses fans, que ce soit l’opportunité pour la multitude qui écoute sa musique d’accepter JésusChrist comme sauveur et Seigneur personnel !

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