J’imagine la vie comme une partition Et l’orchestre qui la joue avec une infinie passion. Morceau choisi, entendu avec plaisir, Ou fausses notes… qui nous ont fait frémir ?
Je sais la fragilité de l’orchestre, Les heures passées, la quête d’harmonie. Ni trop haut, ni trop bas… Dièses ou bémols légitimes…
Bémols de sagesse. Mais aussi… Bémols de jeunesse ! Erreur de corde, doigt mal posé. Bémols malicieux… Et quelquefois pervers.
Et puis cette symphonie… Que j’imagine et entend trop souvent : Inachevée.