Publication "des Fourmis dans le compteur"

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Lettre de l’association DES FOURMIS DANS LE COMPTEUR

Collectif d’Habitations Urbaines pour la Maîtrise de l’énergie 4 allée de la marthonie. Malartic 33170.Gradignan 05 56 80 75 43 Courriel : fourminergie@orange.fr

N°79– 5 mars 2012

DES HABITANTS ACTIFS pour DES MAISONS PASSIVES LES PREMIERES VISITES ONT EU LIEU SUR LES 16 MAISONS de la coopéra ve FOURMICOOP (Voir page 2 )

Prenez l’habitude d’aller sur le site des FOURMIS… par e adhérents. Nous actualisons les informa ons

SOMMAIRE

Les ménages sensibles à l'efficacité énergéque, mais toujours freinés par le coût

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Clairlieu Eco Défi, un projet de rénova on urbaine écolo et solidaire dans la région de Nancy

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L’éolien en Aquitaine c’est maintenant Par Peggy Kançal

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Malar c et le développement urbain durable

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Nouvelles et RENCONTRES

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FOURMINERGIE- LE PROCESSUS EST LANCÉ 1ère défini on de la démarche par un des partenaires lors des 16 visites de prise de contact qui viennent d’avoir lieu durant 5 jours en février 2012 dans le cadre du programme FOURMINERGIE. Toutes ces maisons répondent aux mêmes lois, mais elles ont pas la même exposi on, elles n’ont pas la même forme, elles n’ont pas les mêmes usages. Certains ont déjà fait des travaux, d’autres pas. Ils ne vont pas répondre de la même manière. Donc, à par r du diagnos c de l’existant, on peut envisager un certain nombre de solu ons techniques, de façon à répondre aux besoins prioritaires affichés par tel ou tel coopérateur. Et à par r de là, l’objec f- c’est un travail de recherche appliquée, qui perme ra de proposer, sur la base de modélisa ons, la créa on d’ ou ls simples et faciles d’appréhension. Les partenaires universitaire se veulent dans une démarche scien fique déconnectés de tout intérêt commercial ( on s’en doutait mais c’était bien de le préciser). Ajoutons qu’il est apparu, lors de ces 16 visites, un dynamisme important. Pas mal de ques ons sont posées par les coopérateurs, l’écrasante majorité a déjà réalisé des travaux, en général incomplets, d’autres sont en cours… Il s’agira donc ici de capitaliser les connaissances acquise par ces « expérimentateurs ». On pourra certainement, à par r de ce e dynamique et avec un environnement technique inespéré, échanger régulièrement entre coopérateurs et pouvoir aussi ques onner les partenaires….va y avoir du sport!!! La passivité n’est pas de mise pour des maisons à voca on passive (c’était la pensée du jour). Le démarrage des travaux de recherche en direc on de la coopéra ve va aller de pair avec un travail de structura on interne de celle-ci. Dès que ce e phase sera en route, rappelons qu’une Assemblée Générale extraordinaire de l’associa on devra être réunie pour définir les rapports entre FOURMICOOP et l’associa on.

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Les ménages sensibles à l'efficacité énergé que, mais toujours freinés par le coût Selon la dernière enquête du Plan Bâ ment Grenelle, les Français se sentent de plus en plus concernés par l’efficacité énergé que de leur logement. Toutefois, des freins persistent toujours dont celui du prix mais également l’assurance du retour sur inves ssement. Ar cle du (01/03/2012) sur Ba actu h p://www.ba actu.com/edito/les-menages-sensibles-a-l-efficacite-energe que-m-31444.php

L’efficacité énergé que : si le sujet semble davantage intéresser les Français d’une année sur l’autre, notamment en raison de factures d’électricité de plus en plus élevées, le passage à l’acte reste un problème à surmonter. Un constat réalisé à chaque étude sur le sujet que vient une nouvelle fois confirmer la dernière enquête du Plan Bâ ment Grenelle. Ce e enquête montre que 1- «93% des Français se disent concernés par le niveau de consomma on d’énergie d’un logement, notamment les propriétaires. Ce/e préoccupa on se traduit, entre autres, dans leur comportement. Par exemple, la douche est privilégiée au bain, les personnes pensent à éteindre l’éclairage des pièces inoccupées, ou encore elles u lisent des ampoules basse consomma on. «Ce sont les gestes les plus simples à faire qui sont les plus pra qués», 2- Selon l’enquête, il est «très difficile pour les ménages de connaître la part de la consomma on énergéque et la part des coûts d’abonnement». 3-La rénova on énergé que est freinée par a) le coût : 60% des ménages ont classé les financements comme première raison de blocage dans leur démarche. b) Le manque de garan es par rapport au retour sur inves ssement (33% des ménages). Et logiquement, ce qui perme rait de débloquer la situa on serait les incita ons financières pour 63% des personnes interrogées et pour 37% les garan es de performance. De plus, «la valorisa on du bien immobilier commence à être citée, mais n’apparaît pas aujourd’hui comme un élément déclencheur. Ceci est bien sûr encore plus sensible en zone tendue», note l’enquête. c) Les prêts bancaires: «Il semble que les organismes bancaires ne prennent pas suffisamment en compte les économies d’énergie dans les critères de financement d’un projet immobilier. Le système des prêts bancaires français est basé sur les revenus du ménage et sa capacité de remboursement et non sur la garan e donnée par la valeur du bien». Des perspec ves peu op mistes Quant aux perspec ves, à savoir si les ménages comptent faire des travaux d’économies d’énergie dans les années à venir, l’enquête annonce : «Seulement 25% des ménages ayant répondu pensent réaliser des travaux d’économies d’énergie dans leur logement dans un délai de 2 ans. (…) plus que 51% des propriétaires déclarent ne pas envisager de travaux. Reste à savoir quelles poli ques seront engagées en ma ère de performances et de rénova ons énergé ques après les présiden elles. Des réponses qui demeurent liées au sort du marché de la rénova on •

* Le groupe de travail du Plan Bâ ment du Grenelle a élaboré une enquête. Elle a été administrée auprès de 358 ménages entre avril et juin 2011.

Donc d’une façon générale, les condi ons ne semblent pas réalisées pour que de nombreux propriétaires s ‘engagent dans des travaux de rénova on à grande échelle...raison de plus de ne pas rester passifs sur la ques on…et de favoriser les échanges d’expériences entre ini a ves…. Exemple de ce travail -relaté par MEDIAPART- dans la région de NANCY. Nous venons de prendre contact avec eux pour pouvoir échanger nos expériences.

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Clairlieu Eco Défi, un projet de rénova on urbaine écolo et solidaire (médiapart-27/02/2012. Jade Lingaart)site Clairlieu eco defi : h$p://www.clairlieuecodefi.fr/topic/index.html

(…) D'un côté, une maison familiale en béton comme iI en existe des centaines de milliers en France. De l'autre, un ovni : l'un des tout premiers pavillons de banlieue à entreprendre sa muta on de fond en comble afin de devenir très économe en énergie. Un défi architectural à plusieurs dizaines de milliers d'euros. Construite dans les années 1970, la demeure de Jacques Tremon, agent SNCF, était une véritable passoire thermique lors de sa livraison. Mauvaise isola on, factures salées d'électricité et de gaz, inconfort. Les travaux ont commencé en août 2011 et doivent être achevés cet été, si tout va bien. C'est le chan er visible, en dur. Il se double d'un autre travail au long cours, un véritable pe t laboratoire, poli que ce e fois. Car

la rénova on du pavillon est par cipa ve, autogérée, en grande par e bénévole et conduite par des non-professionnels. Si bien que sur le boulevard Valonnière, dans la banlieue de Nancy, quelques mètres à peine séparent l'habita on de Jacques de celle de ses voisins. Mais ce e distance recouvre une véritable révolu on culturelle. Des cheminots, des retraités, des agents de maîtrise, un jeune père de famille : ils sont, en tout, une pe te vingtaine, membres de l'associa on Clairlieu Eco Défi, à vouloir rénover leurs maisons selon la norme « Bâ ment basse consomma on » (BBC), un label de très basse dépense énergé que établi par l'associa on Effinergie. « On est un peu cinglé de se lancer là-dedans. nous, les BBCistes », sourit Fabien, responsable BTP pour une collec vité locale. Dix ménages prévoient d'ores et déjà de se lancer dans ces lourds travaux. Dix autres pourraient les rejoindre. Pour aider ceux qui peinent à accéder au crédit bancaire, ils prévoient une caisse de guerre pour mutualiser les risques et les prêts. Et de louer les toits des riverains pour y installer des panneaux solaires dont les rece es de ventes d'électricité financeraient le projet collec f. L'air de rien, c'est une vraie pete bombe au royaume de la maison individuelle et du lopin de terre privé. Au début, les catalogues Ikea, « comme des ploucs » Tout a commencé en 2009 avec un cycle de conférences organisées dans le grand Nancv : « faites du solaire ». Alors que les consomma ons de gaz du lo ssement de Clairlieu avoisinent les 2,5 millions d'euros par an, des habitants comprennent vite l'intérêt économique à rer d'éventuel les économies d'énergie. Mais le premier devis à tomber refroidit leurs ardeurs. Es ma on du coût des travaux : entre 120 et 140 000 euros. « Là. on s'est dit. on va le faire nous-mêmes », résume Francis Lacour, habitant de Clairlieu, et professionnel de l'op misa on énergé que. « C'est par d'une discussion de sor e d'école où on s'est dit qu'on pouvait peut-être faire baisser les prix en achetant collec vement », se souvient Fabien. Ils forment des groupes de travail : « isola on et toiture », « chauffage et ven laon », « environnement de Ici maison »... et planchent sur les meilleures solu ons à trouver pour leurs demeures. « Au début. on regardait les Ikea comme les ploucs qui n ‘y connaissent rien », se souvient Olivier, lui aussi agent SNCF. Le souvenir les amuse, eux qui sont devenus au fil du temps des experts de la ven la on double flux et des ponts thermiques, de l'avis même de l'architecte qui a conçu la demeure qu'ils construisent. Un soir de janvier, dans le salon de Jacques, au coin du poêle à granulés qui chauffe désormais son salon rénové, les récits de chan er abondent. Ils ressemblent à mille autres banales histoires de travaux. Mais ce qui change ici, dans ce quar er tranquille de Villers-lès-Nancy, c'est qu'avec la rénova on, s'est aussi déclenché chez eux un processus de réflexions poli ques. « On vit différemment dans la sobriété énergé que, explique Francis Lacour, l'un des déclencheurs du projet. C'est venir à pied à une réunion quand il pleut. Se demander si on va garder son lave-vaisselle. Ce sont des pe tes choses, le souci de réorienter les pra ques ordinaires. » Pour lui, la rénova on de Clairlieu, c'est aussi une manière de créer du commun dans ce bas on de la propriété indiviFourmile re n°79-5 mars 2012


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duelle. « On essaie de monter notre propre régie d'électricité. On change de rapport à notre maison. La maison de Jacques lui appar ent. Mais c'est aussi celle de tout le monde quelque part, puisqu'on vient tous y travailler. » Claude Tihay, retraité d'EDF, sourit : « L'autre jour, on a dit à Jacques qu'il n'y avait plus de café chez lui. Il s 'est excusé ! » Ancien cadre technique en ascenseur pour OTIS, actuellement en pré-retraite, Patrick confie : « Je ne suis pas écolo à 100 %, acheter une voiture électrique ne m'intéresse pas et le nucléaire ne me dérange pas. mais je veux m’affranchir de l'électricité et du gaz. Etre autonome. EDF et GDF, font des bénéfices sur le dos des gens audelà de ce qui est permis ! Le prix du gaz est indexé sur celui du pétrole alors que ça n 'a rien à voir. » Il compte entreprendre la complète rénova on de sa maison : façade, toiture, eau chaude solaire et capteurs photovoltaïques sur le toit. Budget prévu : environ 60 000 euros. Aujourd'hui, il dépense environ 2500 euros par an en gaz et en électricité. S'il passe au BBC, il compte ne plus payer que 400 euros par an, soit moins du ers de ses factures précédentes. (…) Alterna ve au marché Ancienne de la SNCF, Marie-France, 67 ans, raconte « J'ai défait la laine de verre sous la toiture de Jacques. Avec une autre dame, on l'a roulée et emportée à la déche/erie. C'est notre par cipa on. Pour moi, la rénova on thermique, c'est un échange et une entraide. On' a fait ça pour se rendre service. Je viens de la campagne. où on s entraide beaucoup. Ça me manque en ville. » Marcel, son époux, ajoute « Ecolo. moi ? Pas du tout ! mais à par r du moment où une solu on technique permet de consommer moins d'énergie et d 'u liser des matériaux moins polluants, ça me parait intéressant. » C'est ainsi qu'en pleine banlieue pavillonnaire, territoire a priori perdu pour l'écologie, avec ses deux voitures par ménages, ses grandes surfaces et ses immenses écrans de télévision dans les salons, s'ouvre un pe t front pionnier de la transi on énergé que. Pourtant, pendant le Grenelle de l'environnement, des experts en sont parfois venus à se demander s'il ne faudrait pas un jour raser les maisons en béton. Car les lois Grenelle fixent d'ambi eux objec fs: réduire de moi é les gaz à effet de serre d'ici 2020, rénover 400 000 logements par an à par r de 2013. A par r de l'année prochaine, tous les nouveaux bâ ments doivent être calés sur la norme basse consomma on. Ce sont de fortes contraintes de construc on. C'est aussi un gigantesque marché qui s'ouvre aux professionnels du bâ ment. C'est dans ce cadre que le projet de Clairlieu Eco Défi prend toute sa force subversive. Car autogérer ce chan er de rénova on thermique, ce n'est pas qu'une manière d'économiser de l'argent. C'est aussi une alterna ve au fonc onnement de ce juteux marché émergent. Francis Lacour explique : « Aujourd'hui. les organisaons professionnelles protègent leur marché. Ils vendent du matériel, parfois à des prix surévalués, et sous-évaluent le coût de la main-d’œuvre. Il faudrait inverser ce rapport, et valoriser les nouveaux savoirs qu'exige la transi on énergé que. » Le problème, c'est que les crédits d'impôt jusqu'ici portent sur le matériel (fenêtre, double vitrage, pompe à chaleur, chaudière à condensa on...) et non sur la main-d'œuvre. Surtout, l'efficacité énergé que est un savoir qui ne s'improvise pas. Or, selon Francis Lacour, le désintérêt de la profession du bâ ment pour ces nouvelles techniques est manifeste : sur plus d'un million d'ar sans dans le bâ ment, seuls 30 000 se sont formés depuis deux ans aux économies d'énergie,« alors que les cours, étaient gratuits, et le temps de travail perdu indemnisé », explique-t -il. Autre grief, la norme BBC n'implique pas d'obliga on de résultats. Le risque d'échec à l'arrivée est réel. Bricolage confraternel et innova on scien fique s'entremêlent sur le chan er de Clairlieu. La maison de Jacques est un pe t bijou de technologies d'efficacité énergé que. Dans son salon, chauffe un poêle à granulés italien que personne ne produit en France. Il est commandé par une sorte d'ordinateur de bord, un super thermostat, un automate en réalité, qui régente la température des pièces et l'apport d'eau chaude sanitaire. Pas la peine d'aérer la maison - et de perdre de la chaleur en ouvrant fenêtres et portes. L'air qui rentre dans la maison est préalablement chauffée par le poêle à bois, puis recraché vers l'extérieur. La demeure « respire » toute seule, et reste ainsi parfaitement étanche, condi on sine qua non de l'alchimie du BBC. Seule concession au confort consumériste à la mode des Trente Glorieuses : une piscine chauffée dans le jardin... mais grâce au soleil. La maison de Jacques consomme aujourd'hui environ 450 kWh par mètre carré et par an. Avec la norme BBC rénova on, elle devrait tomber à 104, soit quatre fois moins. L'exemple de Clairlieu est pour l'instant unique et fragile. Ce n'est pas un modèle facilement généralisable. Mais l'expérience renverse bien des idées reçues, à commencer par la croyance que la maison écologique est une lubbie de bobos snobs et urbains. Fourmile re n°79-5 mars 2012


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Par Peggy Kançal

Journal Sud-Ouest.28/02/2012

Conseillère régionale EELV

-Lisez le hors série de la revue ALTERNATIVES ECONOMIQUES Réalisé en partenariat avec VALOREM

L'ENERGIE AUTREMENT C'est en plein dans le sujet

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REFLEXION sur le DEVELOPPEMENT URBAIN DURABLE à MALARTIC Alberto GILLI est venu de Turin en mai 2010 et a par cipé en tant qu’étudiant architecte au Workshop des Fourmis. Il a réalisé et présenté un document de fin d’études, à par r de Malar c, sur le « développement urbain durable ». Voici le courrier qu’il nous adresse Alberto lors du workshop à l’ENSAPBx

J'ai développé et présenté au Politecnico di Torino mon projet final d'architecture en mars 2011. j'ai fait un projet pour améliorer la qualité des espaces communs (malheureusement inu lisés) dans le quar er Malar c (après le workshop de mai 2010). En par culier j'ai pensé a une promenade pour les piétons et cyclistes pour joindre "les venelles" aveugle et traverser le quar er d’Est en Ouest et être dans la ville de Gradignan. Le projet a aussi un caractère

social. Il s’agit de créer des espaces de rencontre pour les habitants avec la proposi on de nouveaux services dont développer la culture, faire des ac vités sporves et pouvoir faire de pe ts travaux ar sanaux.. Je veux vous montrer un premier resumé graphique.. Est-ce que vous pensez possible d’organiser une présenta on du projet chez vous (ou la Mairie de Gradignan peut etre..) avez-vous programmé des conférences sur le thème du développement urbain durable? J'aimerais bien vous présenter le projet, et comme ça, vous rendre acteurs de la possible concré sa on de ce e idée.. J'ai développé le concept

avec l'architecte.Andrea Viglino (Bordeaux), et l'architecte.Michele Bonino (Turin) pendant la phase de projet architectural. Qu’en pensez-vous. Comment organise-t-on la venue et l’exposé d’Alberto ?

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Nouvelles ... Un ar cle sur l’expérience des Fourmis devrait paraitre dans le Monde en fin de semaine prochaine. Un rédacteur du bulle n CLER-infos devrait bientôt parler des Fourmis (CLER = Comité de liaison des énergies renouvelables) Le journal « L’âge de faire » . La Treille. 04290. Salignac devrait dans quelques temps publier un ar cle sur les Fourmis. L’associa on a reçu une demande d’établissement de lien avec le groupe Béarnais d’écologie Pragma que ; « Nous souhaiterions bénéficier du savoir faire acquis depuis votre projet ini al. Nous avons un groupe sur les vallées du piémont d' Oloron: Barétous, Aspe, Ossau et Ouzoum. Objec fs : Projets collec fs d'u lisa on des énergies:solaire, bois, méthanisa on, géothermie, hydraulique territorialement sous- exploitées. »

RENDEZ-VOUS. Un après Fukushima, quelles énergies pour l’Aquitaine ? MERCREDI 7 MARS-20h30. salle de France. 39 rue Anatole France.Pessac/ soirée-débat à l’Ecolobar Avec Laure Curvale. Vice-Présidente Plan Climat et concerta on de la CUB/ Serge Degueil. Président du syndicat de quar er de Magonty.Pessac. Gilles Drougou des Amis de la Terre et de Gilles Garcia. Virage-énergie Aquitaine L’énergie à quel prix ? Comment réduire notre consomma on d’énergie ? Peut-il y avoir une poli que énergé que locale ? Un nucléaire « sûr » vaut-il mieux que pas de nucléaire du tout ? Les énergies renouvelables sont-elles une alterna ve crédible ? vendredi 16 et samedi 17 mars des demi-journées découvertes et applica ons sur la chaux. Les stages se dérouleront au magasin "BATIECOLO" à Mérignac, sor e 10. Trois créneaux sont proposés : Vendredi 16 mars (Ma n et après midi) et samedi 17 mars (Ma n). Ba ecolo 9 allée Félix Nadar 33700 Mérignac Tel. : 05.56.34.03.51 / 05.56.18.68.13 Ba ecolo est l’entreprise qui était venue lors de l’atelier de rénova on d’une maison dans le quar er Lange avec Antoine et Julie. Les places sont limitées, groupes réduits de 5 personnes. Une par cipa on de 25 € par personne est demandé. Fourmis. Lundi 19 mars à 20h30. réunion pleinière des fourmis à 20h30/ château de Malar c. Gradignan/ réunion ouverte à tous autour des ini a ves de l’associa on dans le quar er de Malar c

RESERVEZ votre soirée du LUNDI 16 AVRIL à 20h30 au cinéma UTOPIA à Bordeaux. Film : « 4 maires dans le vent »...organisée par l’associa on Des Fourmis dans le compteur autour du thème : ENERGIE PARTAGEE et OUTILS PARTICIPATIFS CITOYENS AU DEBAT SUR L'ENERGIE On parlera de : projets par cipa fs autour de l'éolien, avec l'entreprise Valorem, d’économies d’énergie dans le logement avec FOURMINERGIE, d’achat d’énergie verte avec la coopéra ve ENERCOOP, et du fond d'inves ssement citoyen pour la transi on énergé que ENERGIE PARTAGEE. Des élus du Conseil Régional d'Aquitaine interviendront aussi sur ces ques ons.

Association

Les Fourmis Dans Le Compteur (Collectif d’Habitations Urbaines pour la Maîtise de l’Energie)

BULLETIN D’ADHESION NOM : Prénom : Adresse : Courriel : Tel :

adhésion :

10 euros (individuelle)

15 euros (famille)

Règlement : au nom de l’ Association : « Les Fourmis Dans Le Compteur. » Renvoyer à : Sylvie Grandidier - 34, rue des Capucines - 33170 Gradignan 05 56 89 10 99 Fourmile re n°79-5 mars 2012


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