Dis moi dix mots 2014

Page 1



Titre de la production- Le français a travers les yeux Catégorie- images Nom de l'élève- ZAMFIRESCU ANDREI OCTAVIAN Catégorie- collège Nom du professeur coordinateur- ZAMFIRESCU GEORGETA RALUCA Lycée Téchnologique VOIEVODUL MIRCEA, TARGOVISTE, JUDETUL DAMBOVITA

Ouf!

Charivari...

Ambiancer...

Faribole...

Ouf!

À tire-larigot...


« Imagination » - collège Şcoala Gimnazialã nr. 85 (professeur : OPREA IULIA)

a, Scoala lasa a V

nr 85)

t (c e-larigo ian-a tir

Avram I o

nut-am

ist Albu Cr

biancer

5) Va, Scoala nr 8 a sa la (c r re liv iu Bianca-s'e

Bala?o

Bombariu Alexandru-s'enlivrer (clasa a Va, Scoala nr.85)

Bodoasca Mari

(clasa a

us-zig-zag (clasa

VIIIa, Sc oala nr

a Va, Scoala nr

85)

85)

Cioc Tudor-a tire-larigot (clasa a Va, Scoala nr 85)


clasa a -bohu (

) la nr 85

oa VIIIa, Sc

u

aria-toh

Copu M

a, Scoala V a a s la

nr 85)

sa a Va,

riel-

Ilie Gab

ot ire-larig

ian-a t Ilie Adr

cer (cla ambian

85)

Enac

r (c 'enlivre

RAH-s FINTI SA

u

hu-boh

o andru-t he Alex

la nr Va, Scoa a a s la (c

r 85) Scoala n

coala nr S , a V a (clasa

rivari (c

a, Scoala lasa a V

Iones

in-cha cu Cosm

85)

nr 85)


a, Scoala lasa a V

Alexand

ru -s'en

Ouf!

Naid

ot (c tire-larig

Nicolae

livrer (c

lasa a V a, Scoala

nr 85)

Ouf!

in Ana-a

nr 85)

Negoi Andrei-ouf (clasA a VIIIa, Scoala nr 85)

Nita Alexandra-ambiancer (clasa a Va, Scoala nr 85)

Petre Maria-ouf (clasa a Va, Scoala nr 85)


Dix mots contre tous les maux COLLEGE NATIONAL" TUDOR VLADIMIRESCU“ GORJ (Professeur: CALOTA RODICA) Armasoiu:

Toutes les oies m’appellent timbré, Jalouses de mes ailes ambrées, Elles n’ont pas compris, pauvrettes, Que les étoiles font mes facettes.

Le vent se lève, il faut tenter l’envol, Combien de toiles, poumons gonflés, Mais, quand l’orage les a enflées, Si grand qu’il est, devint faribole.

Les cieux entiers trépignent: Les sapins, de peur, s’esbignent, Quand l’éclair furieux zigzague, C’est pas question de blague!

Marée haute ou marée basse, On supporte tout ce tangage, Dans les cieux deux lunes cocasses Ambiancent son petit naufrage.

Moi, j’ai commandé l’orage, Car je n’ai pas le courage D’affronter ceux qui me tuent Me nommant “hurluberlu”.


Ravagé par la tempête, Le poussin de la chouette Appelle sa mère:hue, hue, hue, Le pauvre hurluberlu!

Dans tout ce charivari Neiges, pluies, on paie le prix Pour avoir le plumage noir, Pour pouvoir encore l’avoir!

Ambiancer mon visage C’est le consigne de mon âge, Il le faut, car, vous voyez, La gaieté m’a pas choyée!

Le tohu-bohu du monde, Les désastres qui abondent Me font chercher appui Sous magi-parapluie.


Paysanne de Boucovine, J’ai mis ma camisole fine, Au dessus de la camisole J’ai toutes sortes de fariboles; Pour ambiancer le site, Éclosent les marguerites!


Diaconescu Andrei:

z sse sé, , a t on amas n rie n o e r es ont leut, ri? g p ua ls va s n qu’i t on chari e L ce an e De inten uoi, c Ma est q C’

ac, c!”, l n a d’u :”co s ssu llent e d e au s app hu, s. t ven uille hu-bo ému i r ar no to ut Ils s gre bant nt to Le tom yère Et, se no Ils

, che he, u éba moc e t n et s c is bie flot, n a i d un gr seul c i ’ un ! vo d, est d t, d’ rigot n a u e Qu voût ée pe ire-la La mar re à t La s boi Le


ol: b le ns ole, a . e d arib t ait b r e f i m t l to s-une ipera , mon i e sol age diss haut e L s nu t se lus Le r tou il, p Ca and Qu

, illé u rbo illé, a u éb , d g mo is, e alm zigza rrond ! c t es e ce en a undi t Tou dmir ns bi eau l J’a x coi ce b Au puis De

ge, è r eg i o s ur pter, mber, e l cou s com uf, to s t er nou it, o ! v t es ait à a fa iège n O dir ous élés On ’on n cré t Qu un sa D’


, iste r t uis istes t: s t! e n i, j alpin arge quen o z-m des te d’ man e l p e es cô tem trac é la ils m n Co r les imbr tant Ca ont t mal: M’ n ai J’e

e str

œ s l’

n da e ait r ; h e e c ou restr contr it. b é r n d is te n ren livra i m d n o che para eille n s’e e L ce erv l’o i e s m D le ent Tel ulem Se

Il faut bien s’ employées À bien ambiancer Ce lieu, de nos couleurs, De notre orange chaleur

Il considère comme une perte De paître l’herbe encore verte, Mais, pendant que le champs mue Il passe pour hurluberlu!


Diaconescu Razvan:

e hu hu e: à et u-bo lang ! a i é h à d au to me m ange r rie e be ubli âtre c é S’ ns c lus s -jaun Da t le p noir Soleil de la francophonie, Es mon Ouf, la chaleur qui nous manie Dé A -t-elle extrait le feu follet Des beaux yeux d’Elsa Triolet?

J’ambiancerais d’une clope Les alentours interlopes, Mais la fumée me démontre Qu’on a des différentes montres.

On peut dire qu’a la berlue Qui n’ voit pas l’hurluberlu; Deux dauphins: père et enfant S’évertuent entrer dedans.

Le crâne est le plus beau bol Pour une telle “faribole”, Car ce qui est de plus beau C’est cet éclatant cerveau.

it, t e p , , uis louti oyez s e i j i eng ous v ivez! s me é, j’a que v ous v ê M am c’ ù v Aff lon à ète o Se plan La

: uis i; f n ’e var m je hari s) , e ug s d’c pari( ie. b gra x plu tout phor l e Qu n’veu nce à r l’eu Je reno ouve Je ur tr Po

C’est un violon timbré, Pas un bois de cabaret; La musique glisse sur ma fibre Comme si j’étais toute en givre!

Zigzag est un jeu malin: C’est le trajet du destin; Mais je préfère zigzaguer Au lieu de divaguer.

FeuilleTs blancs, enluminure, Plume, stylo ou tastature, Tout s’agence vers l’ouverture Sous l’alcool de la lecture.


na:

escu Oa Dumitr

On m’appelle “ hurluberlue”, Car je marche la tête aux nues, En dépit de l’air hagard, J’ai le plus limpide regard.

Ouf, la fa?te de l’incendie M’a trouvé tout étourdie, Moi et mon cousin-poteau, D’où peut-on puiser l’eau?!

Comme un livre je défais Mes pétales: l’autodafé Est prêt pour les égarés Qui se déclarent enlivrés.

Un peintre y est passé Et sa brosse a élancé Charivari des couleurs: On dirait qu’on est des fleurs!

Mon auréole certifie Qu’une fleur sainte je suis; Les uns soufflent ma corolle, En me croyant faribole.

Cette fleur est un chantier, Mais elle m’a volé hier Et le miel et la couleur, Au secours et au voleur!!!

C’est nous seuls qu’on a ouï Tomber les gouttes de pluie, On sent couler la cohue Et on tousse: tohu-bohu!

Regardez ces tristes sapins Comme ils sont frais le matin, Mais, maintenant,le soir venu, Ils zigzaguent son avenue!

Au-dessus des ronces s’arrêtent Les nuages, comme pour une fête, Pour un grimaçant tango Ils boivent à tire-larigot.

Dumitrescu Oana

Toute la voûte est délabrée De par mon regard timbré; On peut ressentir ses eaux À l’aide de mon bleu museau.


MA VIE AMBIANCÉE Le matin, ma cuisinière boit du lait à tire-larigot. Ensuite, mon grand frère promène le chien dans un landau. Il est vraiment timbré. Le soir je danse : je fais de l'ambiance. Voilà mon ami, il fait un vrai charivari. Lui, c'est mon petit frère. Il est un peu hurluberlu... Lundi, c'est l'heure pour m'enlivrer. Ouf, mardi ! Mon test est un désastre. Mercredi, je veux escalader cette montagne. Quelle faribole ! Jeudi, ma chambre est un tohu-bohu. Vendredi, je suis fatigué. Je marche en zigzag.

Élèves : Onofrei Florin Creastã ?tefan Bãncu?ã Bogdan Classe : Vème A, Collège National d'Informatique “Tudor Vianu” Enseignante : Minodora Dinu


Film: FUNNY Catégorie : Animations (collège) Élève : Pînzaru Maria Scoala Gimnaziala Octav Bãncilã Corni-Botoşani (professeur : Hãilã Gabriela) Pour voir le film cliquez ici :

https://www.youtube.com/watch?v=86p50KslG5M&feature=youtu.be

Dessins

Dessins

Bîrdău Cătălina, 7E (professeur: Bobolocu Virginica) ?coala Gimnazială Elena Farago, Craiova-Dolj


Nae Alexandra, 10D Colegiul National Aurel Vlaicu Bucuresti (prof. Constantinescu Raluca Maria)

Le blé...

Sera ou non?Viendra ou pas? Je crois,je crois,je crois… Que c'est un hurluberlu qui lave ses mains dans nôtre âme, Et laisse ses désirs-fleurs ici. Il est lucide,nous sommes enlivrés Il est tout éveille,nous sommes assomés Par le jeu des rayons. Il est vif et nous mourons Nous sommes des fantoches À tire-larigot nous assome Peu,et peu,et peu… Reveille-moi de ce tohu-bohu, Toi,grand charivari, Toi,mademoiselle de notre vie, Toi qui nous aime et puis Nous jettes en zig-zag,comme des poupées inutiles, Toi,l'œil de la nature, Soleil… Relances-nous pour faire des ombres, Relances-nous pour aimer les nombres, Du temps de la vie qui nous reste. Donne les graines certains pour aimer, Aimer la Terre, Pour rembourser le goût du miel. Que tu as crée. Ici,maintenant est né Est né sous tes rayons, Est né le blé,le flûte magique Qui ambiance nos vies Et nous rêvons le rythme de la pluie, Ouf…

Le cirque Boldur Eliana Giulia, 10C Colegiul National Aurel Vlaicu Bucuresti (prof. Constantinescu Raluca Maria) Nous voilà au cirque où l'orchestre ambiance le début du spectacle. Un clown hurluberlu commence à crier et des saltimbanques à tire-larigot font un charivari agaçant en courant en zig-zag. Ouf ! Quel tohu-bohu ! Le clown timbré qui est enlivré et oh,la,la,oh,la,la,la … dit des fariboles. C'est un joli spectacle !

Le blé...

Priez


Paysage d’automne... Moro?anu Ancu?a, 7A Lycée Technologique de Fântânele-Iaşi (prof. Damaschin Irina Elena)

L'automne - ma saison préférée La belle saison de l'automne nous apporte dans nos cœurs seulement la joie des fruits mûrs, fraîchement vendangées. Les arbres sont encore fâchés contre l'hiver boudeur, car leurs feuilles commencent à tomber une par une, avec chaque jour qui s'écoule rapidement. Le vent timbré transporte la nouvelle menaçante du froid. Les mauvaises herbes sèchent en zigzag. Le charivari des feuilles nous fait sortir au dehors et jouer ensemble, leur fou jeu familial d'adieu. Le tohu-bohu des tonnerres résonnant dans les nuages et faisant craquer les vitres, est inoubliable. L'automne méfiant nous ambiance dans son style saisissant, avec ses arbres, ses feuilles et toute cette végétation roussâtre. Frumosul anotimp al toamnei ne aduce în sufletele noastre numai bucuria fructelor coapte, proaspăt culese. Copacii sunt încă supăra?i pe iarna îmbufnată, deoarece frunzele lor încep să cadă una câte una, cu fiecare zi care se scurge destul de rapid. Vântul zăpăcit transportă vestea amenin?ătoare a frigului. Vegeta?ia dăunătoare se usucă în zigzag. Agita?ia frunzelor ne face să ie?im din casă ?i să jucăm împreună, jocul lor nebunesc ?i familial de rămas-bun. Harababura tunetelor ce răsună în nori ?i face să trosnească geamurile, este impresionantă. Toamna neîncrezătoare ne creează ambian?a specifică stilului ei surprinzător, cu copacii săi, Moro?anu Ancu?a, 7A frunzele sale ?i toată această vegeta?ie ro?iatică.

Lycée Technologique de Fântânele - Iasi (prof. Damaschin Irina Elena)


UN AUTOME PERCUTANT Patra?cu Maria-Geanina & Scripcaru Andreea, 7A Lycée Technologique Fântânele - Iasi Professeur: Damaschin Irina-Elena


Autoportrait Bãnicã Alexandru College National Economique "Ghe. Chitu" Craiova-Dolj prof. coord. Baba Mihaela

Je suis comme tous mes potes lycéens, Ne valant pas les quatre fers d`un chien, Un peu hurluberlu, à en croire mon père Qui se méfie de ma génération tout entière. Mais le tohu-bohu qui règne dans ma vie Et qui me cause parfois beaucoup d`ennuis Je le dois quand-même à cette société folle Qui promeut partout seulement des fariboles. Quand j`étais enfant, j`aimais m`enlivrer Mais, de nos jours, hélas! On me prendrait pout timbré Car ambiancer est ce qui compte maintenant Ce verbe a remplacé toutes les valeurs d`antan. Le charivari a accablé notre monde sans espoir, Nous marchons en zigzag parmi les déboires; Ouf! Il nous arrive à boire à tire-larigot, Les gens nous blâment et nous en sommes penauds. Et pourtant, moi et mes potes du lycée, Nous avons du bon, ça vaut la peine de le trouver. Nous rêvons toujours d`une meilleure vie Qui mette en valeur notre bel esprit.

Lupoiu Ramona Colegiul National "Nicolae Titulescu" Pucioasa-Dambovita Professeur: Marcu Denisa


Titanic La version "pingouins"

"Regarde-la: Rose. Ouf, sa beauté est sans pareil.Dès que je suis dans "Le Titanic des Pingouins", je me conduis comme un hurluberlu. Et je ne peux pas la voir la femme de cet homme, Caledon Hockley, alias Sir-dit-plein-des-fariboles, avoue Jack à son ami Fabrizio."Mais nous avions décidé que nous nous marierons après l'arrivée de Titanic à New York!" avait dit Rose. Tout à coup, Rose s'est montrée courant très effrayée. "Jack, un iceberg a frappé le Titanic.Nous coulons!" Le charivari des pingouins s'entendait, et les gens couraient en zig-zag parmi les chanteurs avec une belle voix timbrée, qui continuaient a chanter pour ambiancer l'atmosphère.Il y avait un tohu-bohu énorme. Dans 5 minutes tout le bateau était englouti par l'Océan Antlantique. Sur un glaçon, Rose s'est posée, gelée avec Jack à côté d'elle. "N'aie pas peur! Nous pouvons bavarder à tire-larigot ici! a chuchoté Jack. En ce moment-là, un bateau immense est passé proche d'eux.C'était le Titanic réel. Rose a ouvert les yeux et a crié:"Jack, l'iceberg va les cogner. Nous devons les aider. En 1998, Leonardo Di Caprio va peut-être recevoir un Oscar.Il ne peut pas mourir!" Ainsi, les pingouins ont nagé rapidement pour pousser le Titanic les plus loin possible de l'iceberg. "Mais que font ces pingouins! a dit plein de rage James Cameron, le metteur en scène du film "Titanic"."Ils me ruinent la pellicule." "Je crois que ce pingouin est très beau." dit Leonardo di Caprio. "C'est stupide!" criait James Cameron, jetant Rose dans l'Océan. Les pingouins furieux et violents ont sauté pour battre le metteur en scène. En 2014 "Que chance! Qui croirait que nous deviendrions millionaires après le scandale avec James Cameron? Grâce à Leonardo , nous sommes les héros des films d'action avec Robert de Niro, Brad Pitt, Halle Berry et dans les comédies avec Eddie Murphy.Maintenant, avec les millions de dollars nous pouvons nous détendre à la plage et nous enlivrer devant un tas de bons livres.Super!" dit Jake mis dans une chaise-longue ,entouré de Rose et de ses amis pingouins. TOVÂRNAC IOANA, 8A Collège No. 81, Bucarest Professeur : Margareta BINEATA


Un monde... en couleurs?! C'est un monde en noir et blanc. Un monde des contrastes. Un monde où, si tu veux exister, il faut faire des zigzag parmi les deux couleurs. Tu es sur un échiquier qui ne finit jamais. Il n'y a personne autour pour ambiancer, il n'y a pas de nuances et, plus que cela, chaque jour on te rappelle que tu ne dois pas les chercher. Chacun continue de vivre sans la crainte de se tromper. Mais un jour, dans l'esprit de quelqu'un est né, juste comme ça, comme une faribole, le désir de mélanger les couleurs... oui, les deux couleurs... ! Vous ne pouvez pas vous imaginer le tohu-bohu qui s'est déclenché, le charivari qui a éclaté à la vue d'une timide nuance de gris ! C'était au-delà de la capacité des gens de comprendre et d'accepter une telle chose et donc tous se sont dépêchés d'affirmer que l'homme est timbré. Et d'autres insultes encore, à tire-larigot… Et donc, fier de sa nouvelle étiquette d'hurluberlu, sans prêter attention à la foule, il s'enferma dans son monde de nuances. „Ouf...!” Il préférait que les autres croient n'importe quoi à son sujet, soit qu'il est enlivré ou qu'il s'est isolé de ce monde, mais qu'il soit heureux ... Un matin, la lumière du soleil ne semblait plus être blanche, mais différente... une couleur gaie qu'il n'avait jamais rencontrée avant, et le ciel ... oh, le ciel était indescriptible ... clair et ouvert. Il regarda autour et son cœur remplit de joie: il avait une vie nouvelle, une vie en couleurs! RUXANDRA SUNEL, 6B Ecole : Collège No81, Bucarest Professeur : Margareta BINEAŢÃ

PAIZAN MARA SCOALA GIMNAZIALA NR. 81 Professeur: BINEATA MARGARETA






Dix mots illustrés DIACONESCU RAZVANDIACONESCU, ANDREIGROSEREANU, RARES IACOBESCU, IULIAARMASOIU, ELENADUMITRESCU, OANA LICARETE, ROXANA DANCAU ANTILINA COLEGIUL NATIONAL" TUDOR VLADIMIRESCU“ Professeur: CALOTA RODICA

r,

e tou e la bell u q s d n gra oint, es plus m m o mbonp s e s l’ e d Nou s n urs, ous avo s alento oint! le Mais, n le ô r f seul p u’elle Tandis q ochons, ouf, un cr Nous dé

pharaon n u , e ir nc Même e n étalon re u Peut êt ; ilisation De la civ ue sa position arq On rem éditation! m Ouf…de lui, l’horizon de Autour a guérison! és A trouv

Vous avez vu mon détour: Soixante degrés de la tour Et mon bec hurluberlu Peut clamer: tour-lu-tu-tu!

Je suis un pauvre nain, Je n’ai pas l’esprit malin, Car Blanche-Neige m’a tout ciré À son goût et à son gré; Tout timbré que je le suis J’ai peur de fondre, la nuit!

Deuxboire têtesàd’enfants en cierge, Pour tire-larigot, Sur un boutj’ai de un manuterge, Moi, le coq, boulot: Nous souhaitent leur harmonie Puisque le ciel bleu bouge, Dans charivari. Je boiscedubleu blanc et du rouge!

La tour n’e Oh, gué st jamais moro , et ouf, s vive la r e, La Fran ose ce Sont me et la Roumanie ! s amou rs pour la vie!

J’ai tout e l’ Le symb élégance d’un c ole sup rême, le ygne Que je signe peu Le ciel d x ambiancer u mond e entier !

Deux têtes d’enfants en cierge, Sur un bout de manuterge, Nous souhaitent leur harmonie Dans ce bleu charivari.


Dix mots engivrés CALOT? VALENTIN, 11C Colegiul National ”Tudor Vladimirescu” Professeur: CALOT? RODICA

Cet hiver qui nous charrie Dans l'empire des blancs esprits, N'est qu'un mou charivari De sons frais qui nous sourient;

Iarnã, timp ce ne scufunzi ?n moale devãlmãşie, Sub jadul tãu alb ascunzi Cea mai calmã voioşie.

Ces faisceaux de lumière Plus limpide qu'une prière, Tous ces papillons s'avèrent Des fariboles aptères;

Fluturi mici în rugi mocnesc; Limpeziţi de rugãciune, Proaspeţi, când se îmbrâncesc, Oarbã, zarea se supune.

La chair heureuse de tes neiges Sur les gelées des sièges, Nous prépare des pièges: Tohu-bohu de soie grège;

Iarnã, carne fericitã, Gust din albul tãu dezastru, Inorog ce, pe copitã, Porţi capcane de alb astru.

J'entends le piaillement fou Des étincelles qui partout Accrochent des guirlandes au cou Des minous et des toutous;

E-un balsam acest decor: Pretutindeni scântei albe; Ascult piuitul lor, Aceste tãcute jalbe.

Toutes les feuilles des arbres lues S'envolent vers le mur des nues; Un moineau, à perte de vue, Fait semblant l'hurluberlu; Le soleil bien timbré Aux éclats d'argent sabré, Fait couler le miel ambré: Tous les rayons ont vibré; Les bourgeons de l'horizon Crèvent , pareils aux bourdons, Buvant comme les violons, À-tire-larigot, les sons; Faut-il qu'on s'en souvienne De la fraîcheur ancienne, Jetant mon âme aux étrennes Pour ambiancer la sienne! Champ adouci de moutons, La feuille noire, des charançons, Qui s'enlivrent de façon À faire chanter leurs ailerons. J'ai mis fin à la chaussée Au zigzag de mes pensées, Mon chausse-trape s'est affaissée Aux cimes de la joie, hissées.

Je dois avouer qu'en essayant de traduire ce texte en roumain, j'ai eu la surprise de produire un autre, tout-à-fait différent, par rapport à l'original; le voici:

Frunzele-s toate citite, Vrãbii reci carã, cu ochii, Mici funingini zãpãcite De pe-ale bolţilor rochii. Soarele-i cu capul dus, Ameţit de chihlimbare, Ce-l împing cãtre apus Ca pe-o scamã de-ntrebare. De-al frãgezimii alb duh, De-a viorilor vâltoare, Gâlgâind de-atât vãzduh, Mugurii plesnesc sub zare. Trebuie sã-mi amintesc De splendori necruţãtoare, În ghirlande sã rotesc Albii corbi, spre abatoare. Dulce otrãvit de oi, Cules de pe-a zãrii buzã, Înnegreşte timpu-n noi, Ameţit de-o buburuzã. Liber fulg de-naltã nea, Minunat de orb, spre stele, ?n zigzag de catifea, Sufletul urcã spre ele.


Mon tourment

IONESCU ANDA SABINA, 11E Lycée : Colegiul National “Elena Cuza”, Craiova Professeur: Gheorghe Camelia Le charivari des petites spheres d'opale évanescentes, Dans lesquelles la lune reflete des sentiments, Dissémine le ciel sur l'asphalte froid Comme des nuages qui pleurent pour la nuit qui passe. Les étoiles ,comme des pretres sacrés,se sont réunies en zigzag Pour officier a minuit un ancien culte, Et le ciel est comme un autel qui „brille dehors” Au-dessus des arbres pleins d'une dentelle de lumiere. Je dirige mon regard indifférent à ce tohu-bohu Sur le parapluie ouvert de la voute céleste si étincellante Je flâne doucement sur les rues désertes, Des feuilles grises se tourmentent entre etre ou ne pas etre. Quand la poussiere d'étoiles se couche sur tes paupieres, Et du ciel neige-t-on sur tes pâles veines une faribole de neige Tu sauras que c'est l'hiver et c'est l'abîme de sang, Tu sauras que ton âme est agenouillée et qu'elle pleure.

Borfotina Andreea Lycee Technologique "Virgil Madgearu“ Constanta Professeur: Stavrositu Dana


L' ILLUSION DE LA PERFECTION IORDACHE MIRELA IRINA, 11E

Lycée : Colegiul National “Elena Cuza”, Craiova Professeur: Gheorghe Camelia

J'écris. La voix suave de mon cœur me le dicte. Le stylo glisse doucement sur le papier,en peignant des chaînes infinies de lettres. Les mots s'alignent vite. Je rêve en écrivant. En écrivant,je rêve. L'instant reste quelque part suspendu. Je l'oublie. Il m' oublie. Soudain,ma plume s'arrête,en protégeant la blancheur de velours du papier. La terre et le ciel ferme maintenant en moi le cercle de la perfection. C'est ici la réalité et le rêve,le sens et le mystère,la puissance et l'impuissance,l'éphémère et l'éternel,je suis au-delà de la limite,au-delà de l'espace et du temps. Moi et la perfection absolue,nous nous rencontrons maintenant dans un univers parallèle. Je cours dans un couloir en zigzag d'hypothèses inédites de la perfection et je me rappelle qu'autrefois ,je ne pourrais même pas y penser. Maintenant,l'homme qui est en moi vit des métamorphoses inattendues. …l'enfance. La première saison de la vie…Je raconte parfois l'histoire du Bien qui vainc le mal,le Mal qui lutte avec toutes ses armes contre le Bien,puis le Bien qui vit heureux jusqu' à la fin de ses jours. Je suis moi-même un livre de contes dont les pages gardent la magie des fées .Je vis à travers la voix,les yeux,l'innocence,les pleurs,l'âme,le sourire,la pureté,l'éclat et le bonheur des enfants. Je suis une avalanche d'amour inconditionnel ,une voix timbrée pour tout ce qui m'entoure,j'ai le pouvoir infini de rêver et de transformer le rêve en réalité. Je suis la perfection immortelle de la vie d'un homme. ! …une étoile de la constellation “Y”. Je suis née dans les eaux profondes du ciel. Je brille sans cesse dans l'océan changeant de la galaxie. Il y a des milliers d'années lumière,dans les mouvements de la genèse je me suis accrochée à la Lune et je me suis assise à côté d'elle. Pendant la nuit je caresse le monde avec mes doigts minces de lumière,je veille son sommeil et je lui raconte l'histoire de l'éternité. Chaque jour je parcours l'abysse cosmique,ce tohu-bohu infini à travers les rideaux de l'obscurité. Vous êtes en bas et vous me voyez certainement,je suis un petit cercle d'or qui clignote dans l'univers…mais en fait je suis énorme avec des bords dentelés et une lumière éblouissante. Je me sens spéciale parce que je sais qu'ici dans l'infini du cosmos, je vis dans un vrai paradis de la perfection! ...un coucher du soleil.Je disperse les rayons du soleil et je les fais tremper dans la mer. J'estompe doucement,doucement les contours,je supprime l'éclat aveuglant du soleil . J'étale mon mosaïque de couleurs rougeâtres,je laisse les traces rouge de sang couvrir le ciel,je peins dans des tons chauds un tableau unique.Je prépare la scene de la nuit.Je libere les ombres grises qui disolvent les rayons solaires.Je suis un paysage magnifique,je me sens admirée,je suscite l'admiration et j'admire mon chef d'oeuvre.Je surprends le ciel.Le jeu des couleurs devient une course entre les nuances et me transforme dans un vrai spectacle.Je suis un paysage parfait. ….le printemps. Dans le carrousel imparable du temps ,chaque saison expose son charme d'une manière fugitive et irrésistible .Je suis l'hurluberlu du bout du monde, le premier fragment de ce puzzle du temps. J'ai une existence éphémère de presque trois mois chaque année. Je mène une course contre la montre pour tenter d'arracher beaucoup plus de temps. J'aurais voulu tellement immortaliser l'instant présent. Vivre éternellement et continuellement. Je suis un miracle de la vie et du bonheur. Je suis une explosion de couleurs ,de chants joyeux d'oiseaux,de doux parfums des fleurs,de fraîcheur,de jeunesse et de vie. Je surprends le flagrant de l'idéal. Le silence…Tu l'entends ? C'est tellement perçant…Il me chuchote d'une voix chaude : « Le temps s'est écoulé ! Tu as rencontré la perfection ! Toi-même tu as été l'idéal parfait ! » Mais non ! J'attends le temps !Je ne veux pas que tout soit fini ! Mais en vain…la clepsydre du temps continue son chemin vers l'éternité, inattentive à mes chagrins. Le bonheur se brise dans des milliers de bouts. Ce sont des bouts de bonheur ,des éléments éphémères de notre vie,des fragments d'un paradis que je dois rejoindre,moi et mon destin , pour créer notre univers parfait !


Film: Bienvenue aux Dix Mots Spătaru Horia ?tefan, 6A ?coala Gimnazială „Sfântul Nicolae“ Târgu Jiu - Gorj Professeur: Ciochinã Liliana Pour voir le film suivez le lien :

https://www.youtube.com/watch?v=5LfuX6ItjqQ&feature=youtu.be Etre enfant signifie être libre comme un oiseau, comme un lutin, comme un timbré. Etre enfant est un prodige, un bonheur immense. L'enfant fait du charivari, il colore le monde en vert, rouge, bleu, ou jaune. Il ambiance la sombre atmosphère du monde des vieux. L'enfant veut rire, oser, expérimenter, manger des gâteaux à tire larigot, ou bien jouer avec les étoiles. Il ne comprend pas un hurluberlu parce qu'il est pur, simple, sincère, Cuculea Simina et son âme est chaude. Colegiul National "Nicolae Titulescu" Pucioasa-Dambovita L'enfant ne dit pas de fariboles. Professeur: Marcu Denisa Pour lui, tout a une signification : les animaux parlent, les joujoux s'animent, le soleil et la lune sourient et dansent sur la voûte céleste. L'enfant n'est pas un ouf, sans lucidité. Il est un éternel rêveur et il ne perd jamais l'espoir. L'enfant souhaite ardemment trouver la joie, la vérité, le bonheur. Si loin on entend du tohu-bohu probablement qu'un enfant éprouve une forte émotion, parce qu'un adulte a brisé son cœur. Il ne comprend pas l'innocence du petit être. L'adulte est d'habitude bizarre, il ne comprend pas l'innocence de ces petits êtres. Trop sérieux souvent, il ne sait pas rire comme un enfant et il n'a plus le temps de s'enlivrer. Il habite dans le gouffre de la monotonie quotidienne. Pour lui, la vie va en zigzags. Tout a une finalité… Pour l'enfant la vie est seulement Un simple déchaînement.

Etre enfant


Le mariage

SASU LAURA Lycée « VOIEVODUL MIRCEA » , TÂRGOVIŞTE-DÂMBOVIŢA Professeur coordinateur – ZAMFIRESCU GEORGETA RALUCA Aujourd'hui, c'est la fête C'est un très grand jour On a préparé plusieurs plats A tire- larigot C'est un mariage de conte de fées Qu'on ne peut trouver nulle part Le marié a déjà bu En zigzag il a quitté Chacun d'entre eux se sont réunis Mais c'est un charivari Les violonistes ne sont pas venus Ils ont oublié Ouf pourquoi cela est arrivé? Grosse surprise de la mère Nous sommes allés à donner la vache C'est un hurluberlu Depuis qu'il a quitté le monde abasourdi Grand père est tohu-bohu Il a quitté vers midi Au bar il est allé Pour s'enivrer Seigneur, quelle infraction Est-ce donc le mariage?

Le marié arrive enfin Quand la mariée pense Et il émet faribole Mais amusons-nous Parrains et marraines nous quittions La mariée pleurante sur le porche Avec la blanche robe était vêtue Le mari l'attendait Ils sont allés et se sont mariés Enfin, le mariage à l'église s'est terminé, Les repas étaient placés Les violonistes arrivés Et ont chanté nuits et jours Tout le monde a remercié Que le marriage A été fait pour ambiancer On a copieusement mangé, Les verres à vin se sont remplis Mais on a maintenant terminé Le marié a donné des enveloppes Et les invités les ont timbrés Pour offrir l'argent de leur part Ils sont allés ensuite dans leur lune de miel.

Popescu Ariana Scoala Gimnaziala "Pompiliu Marcea", Targu-Jiu, Gorj Professeur: Zegoicea Ramona-Larisa


La fête de tous les continents Andrei Daniela, 8-e ECOLE NO.1 GEORGE USCATESCU TARGU CARBUNESTI - GORJ Professeur: BURDULEA IOANA MINODORA L'Europe porte un papier timbré qui annonce la fête de la francophonie En Amérique est charivari Et tout le monde se prépare Pour les concours francophones La route fait des zigzagues Parce que l 'Afrique s'enlivre de fête En Asie est une fête hurluberlue Parce que le monde porte des vêtements trop oufs En Océanie c'est un tohu- bohu Parce que le monde dit des fariboles Dans tous les continents on chante à tire- larigot pour ambiancer la fête de la francophonie

La fête de la lune NEACSU LAURA COLEGIUL ECONOMIC BUZAU Professeur: JINGAN GABRIELA

Fière la lune apparaît Rayonne comme un enfant! Apporte dans les âmes Noblesse et harmonie. Caresse douce de la nuit… Ouf !!! Peut-être la sainte lune changera … Homme … son cœur. Occasionnellement, je la regarde Nue … elle entoure, Illumine le chemin Et tout d'un coup … à tire-larigot Fête avec nous LA FRANCOPHONIE.

Une journée inattendue RODRIGUEZ RAMIREZ NICHOLAS SCOALA GIMNAZIALA NR. 81 BUCURESTI Professeur: BINEATA MARGARETA


RODRIGUEZ RAMIREZ NICHOLAS

Ambiancer a la folie Oprea Evelin - clasa a VI a ? coala Gimnazială Sfântul Nicolae Târgu Jiu - Gorj Professeur: Ciochina Liliana:

Tudor Ioana: S'enlivrer Scoala gimnaziala nr 20 Professeur: Oprea Iulia


L'intrus

ONICA LARISA COLEGIUL ECONOMIC BUZAU Professeur: JINGAN GABRIELA

Ouf !!! Dans ma chambre est un charivari. Je ne peux pas l'ambiancer. Un hurluberlu est entré ici, parce qu'il cherche un livre. Il s'enlivre tout le temps. Il dit des fariboles : « Un chien joue du piano… » . L'hurluberlu, c'est Tom. Il cherche une enveloppe timbrée. Il veut envoyer une lettre pour le chien. Tom trouve l'enveloppe et le livre, Mais il se cogne la tête. Quel tohu-bohu et à tire-larigot. Il descend les escaliers en zigzag… Je crève de rire ! Quelle journée !!!

Manciu Robert Colegiul National "Radu Negru" Fagaras-Brasov Professeur: Dodea Mariana


Quand deux mondes entrent en collision… Le monde à l'envers

n Marcia garas-Brasov d la V Mustea du Negru" Fa a "Ra arian ational ur: Dodea M N l iu g se Cole Profes

Le lecteur s'enlivre. Il veut découvrir les secrets du monde. L'autre lecteur sait qu'il n'a pas à détruire la beauté du mystère. La pensée est tant allée à tire-larigot Que le paradis peut être atteint, même s'il n'est pas préparé à se soustraire à son charivari. Un livre unique lui donne le courage de continuer son combat à travers le zigzag de la vie. Le philosophe, timbré par la connaissance froide est encore hurluberlu, ambiancé par son monde. Le tohu-bohu dans son cerveau tourne tous ses livres dans un faribole. Mais il découvre le dernier livre ! «Ouf ! C'est le salut !» il hurle en silence, surpris par la vérité qu'il a bue quand son monde, avec la réalité, entre en collision.

lj ia ca Mar , Craiova-Do s iu ic B u resc ari“ na „Chariv 'Arts Marin So aniela Tatia D d Lycee ur: Dragomir e s Profes

BOGDAN CATALIN COLEGIUL ECONOMIC BUZAU Professeur: Jingan Gabriela

riela ia Gab r a M a prit rre“ - O Craiova-Dolj e T la r rescu, zag su na „En zig 'Arts Marin So aniela Tatia D d ir Lycee ur: Dragom se Profes


Le petit hurluberlu Stoenescu Adela, 7B

SCOALA GIMNAZIALA NR. 81 BUCURESTI Professeur: Bineata Margareta

Une mélodie de jazz ambiance l'atmosphère et…moi , je lis… Soudain, un charivari s'entend Quel timbré détériore sans pitié L'ambiance? C'est mon chaton, qui me fait dire des fariboles, Et qui court à toutes jambes En zig-zag Il y a déjà un tohu-bohu! OUF!!! J'aime mon petit chaton, mais je m'enlivre souvent… J'aime leur parler à tire larigot A mon petit chaton hurluberlu et aux livres...

Jolie ambiance

Floares Ana, Nanu Ruxandra, Alazaroaie Andra, Zahiu Ioan - 5B Colegiul National de Informatica „Tudor Vianu“ Bucuresti Professeur: Minodora Dinu

Ioan: Bonsoir, les filles! Où allons-nous ce soir? Andra: Au concert de Vama Veche! Ana: Non! Les garçons font un grand charivari! Ioan: Eh bien, allons écouter un concert au Moulin Rouge ! Tout y est hurluberlu... ! Andra : Ioan, tu n'es pas un peu timbré ? Ruxandra : Ouf! Quelqu'un a utilisé à tire-larigot le parfum... Ana: C'est moi. Je veux ambiancer ce soir. Et un parfum fait une jolie ambiance! Ruxandra: Très bien. Je vous dis que nous devons aller voir un film ! Tous : Bonne idée ! Allons-y !


Un jour échoué Soptelea Stefan Colegiul National „Nicu Gane“ Suceava Professeur: Munteanu Carmen




Les vacances d'hiver na Manta Georgia ique de Braila Lycee Pedagog a alelungi Marin o P r: eu ss fe ro P

Cet hiver, j'ai rencontré un garçon. Dès ce moment, il est devenu mon meilleur ami et on a commencé à se comprendre très bien. Le garçon était le genre de hurluberlu quand on boit à tire-larigot. Il aimait ambiancer pendant les soirées. Quand je pense à ce sujet, ouf..un charivari apparait dans mon esprit. Il est timbré. Maintenant, que la période des fêtes est finie, il a disparu aussi. On peut seulement s'enlivrer des messages. Il n'est plus. Entre nous, il y a beaucoup de tohu-bohu et ces mots ne faribolent que la nostalgie. Néanmoins, nos querelles ne durent pas très longtemps. On revient à cette amitié extraordinaire. On ne peut pas parler d'une amitié en zig zag.

„Une grande folie“ - Mirica Matei Mihai, 5A Colegiul National de Informatica „Tudor Vianu“ Bucuresti Professeur: Minodora Dinu


Film: „Les oufs“ Ionita Marius, Vladut Alexandra, Paun Cristina, Joita Marian, Paun Alexandru, Nicolae Giuliana, Ciurea Erik, Tutu Catalin Lycée Théorique Traian - Bucarest Professeur: Tatu Simona http://animoto.com/play/k8hHm93zl4xOUyWy4qajvA

La vie, un charivari Pletea Andreea Cezara Colegiul National George Cosbuc, Bucuresti Professeur: Dîrminã Mãdãlina-Violeta

e! mbianc a e l l e u ,q n clown séance, 'u d e r b le lit, La cham e après chaque r u s e t t e ej urn ent, il s t Il y reto n o c é t ou m arivari. h c e m Conten r no r par l'é e l b a c c A ", l ragot! e u Q . ! f "Ou -larigot e r i t à l i tigzag, z n Se plain e t s pièce e Toute la largue! e l e i v a aribole, f e Même l n 'u u q rlu, une t e s b 'e u l n r u e l'h Mais c peau de a h c e l Comme . coupole

aribole, f e n 'u u q rlu, une t e s b 'e u l n r u e l'h Mais c peau de a h c e l Comme . coupole un tohu-bohu, bossue. , t s s e e r v n i e l que Les er, ibliothè b s'enlivr a l a e e c m n ê a M tend mbré. i a t n n u w o r l u o Car le c passer p nuancer s u l p e n e Afin de nd mêm a u q : s n vo biancer m a e Nous de m i a ste qu'il C'est ju sa vie, , e r b m Sa cha rivari! a h c n u t Tout es

Georgescu Paul, 10E Lycée : COLEGIUL NATIONAL « GRIGORE MOISIL » BUCURESTI Professeur : Mihai MURARIU


Film: „A quoi bon?“

Luca Eliza Lycée "Miron Costin", Pascani-Iaşi Professeur : Birtom Cristina https://www.youtube.com/watch?v=aiXcBQ-pTFo&feature=youtu.be

L’histoire d’une tortue Barbu Alexandra, 9B Colegiul Naţional « Grigore Moisil » Bucureşti Professeur : Mihai MURARIU

S

S

ur une petite île, oubliée par le monde, vit une tortue qui s'appelle Coraline

Lambert. Elle est la cadette de sa grande et heureuse famille. Coraline a trois frères et deux sœurs, alors il y a six bouches à nourrir. L'un de ses frères pratique le karaté et il a la fausse impression qu'il est une tortue ninja. Un autre est DJ dans un club renommé et il aime d'ambiancer toutes les tortues… Enfin, le dernier n'est rien d'autre que… un paresseux. Ne pensez pas à l'animal en soi mais à une tortue qui dort, s'étend et ouvre la bouche toute la journée ! Sa plus belle sœur, Daphné, est préoccupée par la mode et par son aspect physique en général. La plus drôle de la famille entière est, sans doute, Narcisse, l'autre sœur de Coraline. Elle joue de la guitare et a obtenu de nombreux prix avec sa bande. Mais notre amie, la tortue Coraline, adore s'enlivrer. Elle lit jour et nuit, sans arrêt, parfois sans boire un verre d'eau ou même manger. Coraline est considérée timbrée par les autres mais également un phénomène. Chez les Lambert il y a toujours un tohu-bohu. Les frères, tantôt ils jouent, tantôt ils se battent. Narcisse chante si fort que tout leur appartement (pas très spacieux) résonne et Daphné crie parce que ses vêtements sont vieux et ne sont pas du tout à la mode. Quand celle-ci se plaint, ses parents lui disent : « Fariboles ! Tu as tout ce que tu désires à tire-larigot et tu continues à te plaindre. » Un jour, après avoir lu comme une folle, Coraline s'est réveillée au petit matin. Elle marchait en zigzag, dans sa tête étant un vrai charivari. Aussi, elle était hurluberlue parce qu'elle ne comprenait pas ce qui se passait avec elle. Enfin, sur le chemin vers l'école, Coraline a murmuré: « Ouf, un autre jour, un autre temps perdu loin des livres ! ». On dit : « Loin des yeux, loin du cœur », mais je vois que cela n'est pas vrai : j'en souffre…


Film: „Les Dix Mots 2014“ Gheorghe Tania-Mihaela Colegiul National « Grigore Moisil » Bucuresti Professeur : Mihai MURARIU https://www.youtube.com/watch?v=9gODZjxnViQ&feature=youtu.be

Dix mots…dix minutes Batincu Diana Lycée: Colegiul Naţional Mihail Sadoveanu, Paşcani-Iaşi Professeur: Aparaschivei Anca

La vie est un collier d'inombrables perles qui se désagrègent. Les perles sont des secondes soudée l'une de l'autre défilant en zigzag vers la mort. C`est le sens naturel de la vie, une route avec priorité, Si tu es hurluberlu ou un peu timbré et ne respectes pas de panneau de signalisation tu pourrais être la victime d'un fatal accident. En même temps, un garçon devient homme, une femme devient mère de deux enfants gémeaux, en Arabie Saoudite une femme meurt frappée par la 42e pierre, un savant..un peu ouf.. s`enlivre dans une salle de lecture de BNF, à Paris et une abeille cherche la plus douce fleur. T`as jamais pensé combien de choses peuvent arriver en 10 minute ? Vendredi, le matin, à 6:34 un garçon se tient droit devant ses parents qui parlent de leur imminent divorce. Il doit choisir entre rester avec sa mère ou avec son père. A 6,35 le père, océanologue, reçoit un coup de téléphone de la part de ses collègues de recherches : les baleines bleues ont commencé leur migration à tire largot. A 6, 36, la mère, médecin militaire, psy, est annoncée que l`un de ses patients, un soldat de l'armée roumaine détachée en Afghanistan est sur le point de subir une dépression nerveuse sur le fond du tohu-bohu infernal des voitures de guerre A 6,37, la température a Kaboul est 3. La femme de ce soldat, à 6,38, apprend qu`elle deviendra mère. A 6,39, son immense joie ambiance positivement le petit appartement de banlieue ou elle était restée avec ses beaux parents. A 6,40, le chien de la famille, dans tout ce charivari mord le chaton des voisins. Sa faribole sera exemplairement punie : il dormira quelques nuits dehors, devant la porte de l`immeuble. A 6,41 la décision de ses maitres était définitive. 6,42 – l`enfant décide : il quittera la maison pour vivre libre dans la rue. 6,43 – les baleines ont formé un grand V dans l`océan. Chaque minute qui passe est une partie de nous, est un grain de sable qui s'écoule dans un sablier. On a besoin d'une seule minute pour le vrai bonheur, pour goûter de l'amertume de l'échec. Une minute peut nous faire avancer dans le désert du Sahara à la recherche d'une oasis avec de l'eau douce, une seconde pour être là-bas quand quelqu'un a besoin, une seconde pour être fou, ou pour verser des larmes en secret. Chaque tic-tac de l'horloge marque la mort d'un vieil homme dans un coin du monde, ou la naissance des enfants, des enfants qui reçoivent un sac plein de minutes, un sac manœuvré parfois par des mains malhabiles. Les minutes se perdent dans le charivari de la vie et dans les mots que ls`on ne dit pas.



Foudre Ancuta Ştefana Damiana Colegiul Naţional Mihail Sadoveanu, Pascani-Iaşi Professeur: Aparaschivei Anca

Est-ce que c`est vrai que tous avons un ami bizzare? Foudre est un peu hurluberlu, Il joue a la trompette de petite enfance. Il fait tohu bohu parfois. Mais quand il est joyeux…tout devient un spectacle. Lucioles et papillons volent partout dans l'air, en zigzag ou en spirale. Son rire ambiance tout bureau sombre. chaque jour, nous jouons comme deux enfants, Courons sur des arcs en ciel, visitons des grottes oubliées, Mangeons des rayons du soleil, Et bouvons de l'eau de la pluie. Ensemble, moi et lui, recueillons des livres, Parce que parfois nous nous enlivrons Et nous oublions de tout. Nous sommes étranges, nous le savons Mais tout ce qui importe est que nous nous aimons. Nous sommes deux timbés dans un monde trop sérieux Ou le fou rire est pour les oufs Nous allons partout, sur la Lune, Mars ou Pluton. Nous faisons des couronnes d'étoiles a tire largot. Je sais que tout ce que je dis vous semble une faribole, Mais je dis ce que je ressens. Foudre est mon ami, Mon bizzare ami, Avec qui je danse dans la pluie et j`ignore le charivari des mots dures Des gens bien. Ancuta Stefana Damiana, Colegiul Naţional Mihail Sadoveanu, Pascani, Iaşi

Site Wikispaces: Collectif Colegiul Na?ional de Informatică Tudor Vianu - Bucuresti Professeur: Dinu Minodora http://vianu.wikispaces.com/Dis-moi+dix+mots...+%C3%A0+la+folie%21


Dimanche, fous, folles, folie... quel charivari! e

Chiran Alexandru, X Colegiul Naţional George Cosbuc, Bucureşti Professeur: Dîrmina Madalina-Violeta

Un beau dimanche d'été a Lyon a commencé un festival international de théâtre et une compétition sportive a la fois qui ont duré a peu pres deux semaines. Ces événements ont eveillé ma curiosité des le début et j'ai décidé d'aller voir le festival de théâtre qui concernait sur des pieces a la folie . Il y avait beacoup de pieces chaque jour, peut etre qu'elles étaient a tire-larigot parce que j' avais l'impression qu'elles ne finissaient plus, mais de toute façon je les ai aimées et j'aimais aller voir cette sorte de pieces le soir parce que j'étais moins occupé et c'est-pourquoi je partais chaque soir a la sauvette sans annoncer ma mere qui s'inquietait toujours lorsqu'elle ne me trouvait pas dans ma chambre . Quelques uns disent que je suis trop petit pour voir ces pieces mais ils doivent savoir qu'il faut que les enfants connaissent ces folies depuis qu'ils sont petits . Comme ils ont osé de dire ça, je les traite de timbrés. Il se peut que je sois aussi un petit peu hurluberlu, mais je ne le crois pas car je me traite de moderne et je sais que les enfants doivent s'habituer avec les signes obscenes. Pour arriver au théâtre de Lyon je suis passé parmi des tohus-bohus mais de toute façon c'était une faribole pour la ville de Lyon, parce que dorenavant j'avais habité a Paris et la, il en allait tout autrement parce que les tohus –bohus de Paris étaient beaucoup plus grands que ceux de Lyon qui d'ailleurs n'a pas la surface de Paris, c'est une ville plus petite et plus tranquille. Avant d'arriver au théâtre je poussais toujours des ouf et je croyais que je serais bloqué en traffic a tout jamais, mais ça ne m'intéressait pas parce qu'il valait la peine d'aller la parce que j'étais enlivré, j'aimais beaucoup la lecture et apres avoir lu une lecture c'est normal de la voir directement et pour ça il n'y a pas d'autre solution que d'aller au théâtre ou de voir un vilm chez soi concernant la lecture lue. Cette période a été tres belle et tres étrange a la fois parce que je voyais toujours des lignes en zigzag sur les parois des maisons. Tout était tellement étrange que les gens qui ambiancaient dans la ville me paraissaient d'un autre monde. Pour maintenir la mainmise sur mon courage je me disais toujours que c'était juste un reve mais malheureusement ou heureusement ce n'était pas du tout un reve car je me rappelle bien cette période de ma vie lorsque j'avais juste treize ans, j' étais un enfant enlivré qui aimait aller au théâtre pour sentir ce qu'il avait lu auparavant . Comme je viens de le dire, je me rappellerai toujours cette période et j'aurai des questions parce que cette période a été la plus étrange de ma vie meme si je ne comprenait personne a cette époque, y compris mes parents, il me paraissait que tous étaient contre moi, mais en regardant les choses autrement je peux dire que c'était la premiere fois quand je me sentais a la folie. Enfin , j'aime la folie et je suis encore fou meme s'il y a des années qui se sont passées des que j'ai gouté la folie pour la premiere fois et que je suis devenu fou. A 25 ans , je me sens encore a la folie.

Film: Hurluberlu Popescu Eduard Mario - 11e C.N.B. George Cosbuc (Professeur: Avram Simona Nicoleta) https://www.youtube.com/watch?v=VShRTNdTL4Q&feature=youtu.be


Au-delà de l’humanité? Dumbrava Sorina-Mihaela L'ecole "I. Al. Bratescu-Voinesti" Dambovita Professeur: Ionescu Mihaela

faribole a le pouvoir de déclencher des guerres; on risque nos vies pour insignifiance; en buvant des mots de la haine ou sans l'esprit de conscience on aspire les mensonges de la machine, et l'humanité disparaît.

à tout le monde tout est un et un est tout impliqué dans le sens qui révèle le but de l'existence qui n'est pas exposé - quand nous, les ténèbres – on construit un mur avec des âmes vendues, ridiculisées par leur insignifiance universelle; la la guerre de personne commence quand on boit la haine à tire-larigot.

hurlurberlu une âme qui n'est jamais arrivée au paradis ressuscitée grâce à un but: l'unité de destruction; un objectif emmené contre son gré, mais la résurrection n'est pas pour son âme, mais pour la bataille; l'âme est un soldat ressuscité pour l'intérêt, un intérêt de celui qui pense qu'il est immortel.

tout la folie imposée par leur état; en même temps par le vraiment timbré, bu par obscurité réellement absorbée par la nuit; il est devenu nous tous.

commencez le chaos de l'absolu hier avec les enfants de la tombe riche à vue pour le désordre vivant impliqués pour les erreurs de leurs parents qui vivent seulement avec les âmes de leurs enfants, ressuscitées pour un intérêt des vivants.

toute la folie que l' on crée et dévore héros on détruit: un effort des fous - en tohu-bohu - qui battre leurs propres idéaux; on est tous les mêmes. hier un fou sourit à nôtre main.

mots en zig zag

s'arrêtent en écoutant nôtre hypocrisie: la création qui doit servir pour détruire, insignifiance qui commence des guerres, vie attribuée à morts en marchant, extase dans les drainés rire où il n'y a pas de bouche,

où seront les âmes quand un seul son de mots fera le dernier changement? ouf !

amour pour les haineux, mort pour immortels, boissons où il n'y a pas des sorties, immortalité pour l'immoralité, avant-garde pour l'idiotie, noir pour le blanc, cœurs pour l'esprits, exposition pour l'intimité, riche pour le pauvre…


Le labyrinthe Par Gospodaru Paula, X-eme B, Lycée « Miron Costin », Pascani-Iasi Professeur: Birtom Cristina

On ambiance une nouvelle souffrance, Sans hurluberlus et les pires souffrances, Pour que nous aimions tous la tolérence Qui nous rend la vie avec plus de chance. Car notre vie chérie, si pleine de charivaris, N'est qu'un ennemi pour nos chéris, Dans une route en zigzag, Sans un final heureux mais gagnant. Une vie dans laquelle un timbré, Fait tout pour un désordonné, L'ére du tohu-bohu est arrivée Et on doit faire tout pour la changer. On reçoit tout a tire – larigots, On ne peut lus endurer le complot, Qui en présent a cause des fariboles du passé, Doit résister avec dévotion, Pour relâcher la population stressée. Les gens a grand coeur, Qui souhaitent le bonheur, Luttent pour des vrais souvenirs, Tout comme la nature , de pures fleurs et chaleurs. Sans espoir nous rompons des pieces dedans nos coeurs Et on les met sur papier avec de la douleur avouée. Alors on invite a s'enlivrer ; Ouf ! Si tout cela n'existait pas... ?!

Tout ce que je veux qu'on comprend Même s'il est ahuri, Ne t'en prend pas à lui! Car il mord puisqu'il est chien !

lu be rlu ur

Aux étrangers, étant chien, Il n'aboie point, Mais une fourmi, s'il la voit, Il l'aboie fortement, Jusqu'à ce qu'elle disparaisse.

... h

on

M

Un écureuil, s'il le voit Il le regarde seulement Il ne court pas après lui Mais il le voit et il s'étend.

ch i

en

...

Mon chien, Azurel, C'est un chien petiot Car il est mignon Et un peu hurluberlu.

S'enlivrer Miron Georgiana cls.VII Sc.Gim.Nr.1 Umbraresti-Galati Professeur: Bulboacă Ileana-Maria

Oprea Monica - V-ème Şcoala Gimnazialã Nr.1 Umbrãreşti, judeţul Galaţi prof. Bulboacã Ileana-Maria


Une banale discorde Muntianu Alin Lyc. "Miron Costin", Pascani-Iasi Professeur: Birtom Cristina

Un beau jour de mai, quand on ne désire que se promener , respirer de l'air frais, Linda, la plus hurluberlue personne de la zone ( une ville d'une région boisée), décide d'aller au restaurant le plus distingué de la zone. Elle appelle son chauffeur et lui dit : - Benoît, apporte la voiture dans deux minutes . Compris !? Dit Linda en gesticulant avec les mains. - Tout de suite , mademoisselle, dit le chauffeur. Malheureusement , le garage s'est détraqué, et Benoît en sachant le caractere de Linda , il savait qu 'il serait jugé pour un minute meme de retard. - Une minute , un minute Benoît, ça fait le temps pour me donner mon rouge a levres, cria Linda. - Excusez-moi, ce n'est pas ma faute, dit-il. - Ça ne m'intéresse pas, a cause de ce minute je réduirai 10% de ton salaire et encore 20% pour la réparation du garage. Apres autres dix minutes, ila arrivent au restaurant « La petite fraise ». Linda descend avec un air extravagant de sa voiture, et elle y rentre de la meme maniere. Elle s'est assie d'immédiat et appellait le garçon. - Garçon... , l' appella Linda , d'une voix ferme et tres décidée. - Oui , madame , a votre disposition. - Mademoiselle , pour vous, dit-elle en faisant un geste de ses cheveux. - Mademoiselle , qu'est-ce que vous voulez servir ? ... dit le garçon. - Une grillade et le meilleur vin, s'il vous plaît, en prenant le journal et en commençant a lire. - Ooh , l'ambiance va changer avec un telle présence, dit le garçon en soupirant. Le garçon lui apporta le vin et quand il se dirigeait vers la cuisine , Linda l'appella . - J 'ai changé d' opinion , je veux une soupe , pas de grillade . - Une soupe alors, de laquelle ? - N'importe pas, mais qu'elle soit parfaitement savoureuse. - Ouf , au – dessus d' hurluberlue , elle est tres prétentieuse aussi, dit le garçon en se dirigeant encore une fois vers le cuisinier. Apres sept minutes d'attente , Linda commençait a faire de gros charivaris avec la cuillere et le verre. Le garçon, déja irrité de ses caprices : - Oui, mademoiselle chérie ! - Pourquoi dure ma soupe ? - Il dure puisqu'on désire le contentement de nos clients, dit-il. - Tres bien ! - ( apres quelques minutes) C'est quoi ça ? Je ne peux pas manger cette soupe , elle est horrible, dégoutante, transparente et pas co-mes-ti-ble ! cria Linda. - Mad-moi-se-lle, vous vous sentez bien ? dit le garçon. Arrete, vous dites des pures fariboles, vous ne pouvez pas nous outreager ainsi. - Je demande une autre , dit-elle, en buvant le vin a tire –larigots. L' ambiance se déteriorait de plus en plus , on s' entendait des bruits qui venaient de la cuisine, le cuisinier était devenu tres nerveux a cause de Linda et ses commentaires. Il sortit de sa cuisine nerveux, fâché et irrité et se dirigeait vers Linda : - Tu es timbrée, toi ? Qu' est-ce qui t' arrive ? Je suis le meilleur cuisinier de la zone et surtout en matiere des soupes et je ne permet pas que quelqu'un dit le contraire, dit-il. - Monsieur cuisinier, je n'ai pas envie de discuter avec vous, de disputer, pourtant je vous demande une autre, dit Linda. - Oufff ! NON, NON et NON, cria le cuisinier. Au meme moment, le chef du restaurant sortit de son bureau : - C 'est quoi ce tohu-bohu ! Pas dans mon restaurant. Je demande a tous une explication, dit le chef. Linda, le cuisinier et le garçon, tous parlaient en meme temps et le chef ne comprenait rien. « - Je veux que la soupe soit aux mes papilles, dit Linda. - Je suis le meilleut cuisinier, dit le cuisinier. - Je suis innocent , dit le garçon. » - Quel zigzag que vous faites dans ma tete ! Silence , fit le chef. Prenons place , et garçon, apporte-nous une bouteille de vin, il faut se mettre d'accord. La situation s'était clarifiée, l'ambiance était devenue de plus en plus agréable et calme , moins pour le cuisinier qui avait du préparer encore trois sortes de soupes pour contenter Linda. Le paradoxe de cette petite histoire est que Linda, une femme enlivrée, qui aime beaucoup la lecture, n'a pas une attitude qu'on apprend a travers les livres...


Pages réalisées par : Dragomir NicoletaTudor, SilviuBeteringhe, AndreeaTarcoci, RazvanTudor, Aura Barbu, Andreea Zaharia, Madalina Oancea, Adriana Popa, Madalina Vasile, Andrei Dihoru Ioana Lycée Théorique “Nicolae Iorga” Nehoiu-Buzau Professeur: Dumitrache Mirela















Moty, le chat UNGUREANU ADRIAN - TEXTE PRODEANU ADRIAN - DIAPORAMA COLEGIUL "ŞTEFAN ODOBLEJA“ DOLJ Professeur: SIMION RUXANDRA




Fin


Affiche Franchophonie 2014 XF TINA I resti N E R O FL ucu LAURA igore Moisil“ B a I C I M CAR l „Gr u Luiz Nationa Constantinesc l u i g e l Co eur: Profess


L’amour-un sentiment unique Petcu Adelina Maria College <<Fratii Buzesti>> Dolj Prof dr: TI?Ă-MITRACHE Laura-Grigori?a Peu importe comment j’essayerai Cette voix-la reste dans mon coeur. Elle est pour moi comme un tohu-bohu enrhume. <<Ouf …mon Dieu, mon esprit sera toujours en douleur>>. Dans l’obscurite de la nuit, je le vois. Il va dans zigzag egare, en pleurant, Il me voit, seul et triste, au milieu de ce bruit, Il m’attend impatiemment, et l’amour m`en promettant. Mais, un accablant charivari le fait disparaitre Et, peu timbree, je cours vers mon amoureux : <<Oh, mon cheri, je me suis retournee pour de nouveau naitre Toutes mes fariboles sont pour toi, pour moi-qu`on soit heureux.>> Et, le ciel a tire-larigot sombre, nous regardions Comme un hurluberlu, comme un roi... Notre amour seulement nous cherchions Mais, malheureusement, il n’a pas de voix Enfin, le monde ambiance pour nous toute la journee. La pluie-meme s’est enivree et enlivree, De notre amour et elle ne peut pas nous offrir plus. Mais, elle fait notre bonte plus douce. Morale : Humm...Comme c’est etrange, c’est le sentiment d’amour ! Il est inexplicable, en fait il est vraiment magique pour chacun de nous. Le bonheur qu’il transmet te rend une autre personne, certainement, meilleure !

„Les 10 mots“ - Ştefan-Sebastian VISCOL Lycée d’Arts Marin Sorescu, Craiova Professeur: Emanuela CIOLACU


Le mariage SASU LAURA Lycée « VOIEVODUL MIRCEA » , TARGOVISTE-DAMBOVITA Professeur coordinateur – ZAMFIRESCU GEORGETA RALUCA Aujourd'hui, c'est la fête C'est un très grand jour On a préparé plusieurs plats A tire- larigot

Le marié arrive enfin Quand la mariée pense Et il émet faribole

Les violonistes ne sont pas venus Ils ont oublié Ouf pourquoi cela est arrivé? Grosse surprise de la mère Nous sommes allés à donner la vache C'est un hurluberlu

Mais amusons-nous Parrains et marraines nous quittions La mariée pleurante sur le porche Avec la blanche robe était vêtue Le mari l'attendait Ils sont allés et se sont mariés Enfin, le mariage à l'église s'est terminé, Les repas étaient placés Les violonistes arrivés Et ont chanté nuits et jours Tout le monde a remercié Que le marriage A été fait pour ambiancer

Depuis qu'il a quitté le monde abasourdi Grand père est tohu-bohu Il a quitté vers midi Au bar il est allé Pour s'enivrer

On a copieusement mangé, Les verres à vin se sont remplis Mais on a maintenant terminé Le marié a donné des enveloppes Et les invités les ont timbrés

Seigneur, quelle infraction Est-ce donc le mariage?

Pour offrir l'argent de leur part Ils sont allés ensuite dans leur lune de miel.

C'est un mariage de conte de fées Qu'on ne peut trouver nulle part Le marié a déjà bu En zigzag il a quitté Chacun d'entre eux se sont réunis Mais c'est un charivari

„En classe“ - Antonia Ştefania PÎRVAN Lycée d’Arts Marin Sorescu, Craiova-Dolj Professeur: Emanuela CIOLACU


Ouf !

e

Ştefan-Sebastian VISCOL, XII Lycée d'Arts Marin Sorescu, Craiova Prof. coord. Emanuela CIOLACU …ouf! Quel charivari! Quel bruit!!! je me sens hurluberlu, tant le bruit éphémère semble inutile Je pourrais m'enlivrer dans mon monde serré, me mettre sur une feuille blanche, tohu-bohu, faribole, lettre par lettre, mot pour mot, pensées qui me broie. Je pourrais voyager vers les lointaines limites de l'infini, à la recherche et pour attraper de vol une tourterelle, ou qui sait quelle ailée vivement colorée, pleine d'inspiration…Mais il m'est difficile… il m'est difficile de me concentrer avec toute cette agitation autour de moi, avec tant d'ombres parsemées en zigzag mouvant espiègle entre les branches des arbres teintés par le temps. Je me sens come une station folle, dans le monde qui résonne d'indignation, comme une forêt déchirée de douleur, noyée dans la braise des sapins moribonds. Un excès continu de mots et de sons à l'extérieur une fenêtre me sont contre.Je me sens impuissant, je me sens comme un violon face à une contrebasse, comme une insecte face à un oiseau affamé…Je me concentre. Mon esprit vole dans l'infini, je me sens serré, stressé…Pensées à tire larigot, mots inutiles, parler des paroles sans sens, silhouettes ''imparfaites'', ou corps mutilés, enfants orphelins, ou princes charmants, de pauvres vieilles gens, ou grands hommes d'affaires, tout m'est connu… et c'est comme tout m'est vague ! Je suis trop petit, dans le châssis d'une société trop rugueuse, et trop pauvre, devant un grain de sable Je me détache, j'essaie à échapper au tourbillon de la vie.Seulement la pensée me porte dans l'absolu… et pourtant, cela m'ambiance. Je suis calme. Je suis détendu ! La lutte intérieure a disparu… la lutte extérieure continue. Sur la surface d'une enveloppe timbrée, un papillon majestueux dessine les contours de son ombre comme un plongeur sur la surface une perle brillante des profondeurs d'un océan de souvenirs. Ouf !...Que charivari, que bruit, que chaos… ! Tout attire mon attention, et tout m'inspire. Dans un monde troublé où, seulement un esprit sans bornes peut établir de nouveaux horizons comme seulement la mer peut donner voix à un rocher glacé de calcaire, et seulement la pluie peut éteindre la souffrance de la contrée ardente du cœur d'un dieu de l'amour.Quel charivari peut être dans l'esprit d'un chercheur de trésors, et que de bruit peut être dans l'esprit d'un chercheur d'idées ! Ouf… !


Conseils pour mieux s'enlivrer Filip Ioana, XI B Colegiul National „Grigore Moisil“ Bucuresti Professeur: Constantinescu Luiza

Nous voulons tous apprendre à tire-larigot, en un temps court, quand il s'agit d'une langue étrangère. Cette capacité varie d'une personne à l'autre. Certaines personnes ont le don d'apprendre rapidement une langue étrangère, tandis que d'autres n'ont pas ce don. Par exemple, il y a des gens qui regardent un film en français juste pour se réjouir de la musicalité des mots qui leur deviennent familiers, faciles à retenir, mais il y en a d'autres aussi pour lesquels ces mots- là, dont ils ne connaissent pas le sens, ne sont qu'un charivari total, une confusion qui les embête, qui les tourmente. Si vous êtes parmi ceux qui apprennent une langue difficile, ne vous inquiétez pas. Vous n'avez pas à apprendre comme tout le monde, vous pouvez devenir un hurluberlu, avec votre propre style d'apprentissage. Pour commencer, vous devez trouver un endroit confortable, agréable pour l'apprentissage, un endroit qui vous fait vous sentir à l'aise. L'ambiance influence considérablement notre état d'esprit, notre désir d'apprendre. Si vous ne pouvez pas apprendre dans la bibliothèque de l' école , cela signifie que cet endroit n'est pas une bonne idée. Après avoir choisi le lieu, vous pouvez commencer à étudier le livre pour les débutants. Si vous ne connaissez pas le vocabulaire de base, vous devez commencer à apprendre la grammaire. Initialement, les textes ressembleront à quelques lignes qui se chevauchent mais plus tard, ils ressembleront à un zig zag, et enfin ils ressembleront à une ligne droite. Une fois plongé dans l'atmosphère, vous pourrez suivre plus facilement la sonorité de la langue française et, la voix timbrée de votre professeur deviendra la meilleure des musiques ayant dorénavant le sens de la compréhension. Le professeur ne vous semblera plus “timbré ” alors qu'il vous parlera. Au fil du temps, vous arriverez à comprendre le langage de sorte que vous serez captivé par les romans de Gustave Flaubert, Victor Hugo, vous saurez vous enlivrer, devenir ivre de lecture. Votre ivresse sera celle comblée par la béatitude de tout savoir au moment où vous lisez les pages de votre roman préféré. Maintenant, que j'ai révélé mes petits secrets pour apprendre une langue (en particulier la langue française) plus facilement, vous pouvez commencer à mettre en pratique ce que vous avez appris. Et une autre chose …si quelqu'un vous dit qu'il est difficile d'apprendre et qu'il vaut mieux abandonner l' étude, vous pensez qu'il ne vous dit que des fariboles parce qu'il est envieux. Rien n'est impossible! Vous serez agréablement surpris, quand vous comprendrez un film sans l'aide des soustitrages, quand vous comprendrez les paroles des chansons étrangères. Le tohu-bohu des autres deviendra pour vous une “bagatelle”, la plus facile des choses, la plus grande réussite pour vous. Et vous serez à même de dire, finalement « ouf! », je n'aurais jamais cru que c' était si facile !

„Une histoire bizarre“ - Trifina Ioan Sebastian Seminarul Teologic Ortodox Sfantul Simion Stefan Alba Iulia Professeur: Dragos Luana


Charivari

Iliescu Iulia Lycée National « Fratii Buzesti » de Craiova Professeur : Silvia Durand, Docteur ès Lettres

C'est de l'amour ? De la folie ? Ton doux parfum s'étale partout, Ambiancer mon âme, ma vie, Ma chair qui brule comme un four. Je vois tes ailes en bas, en haut Se balancer à tire-larigot - Et je me pose des questions : « Es-tu un ange ou un démon » Ouf ! Quelle blessure sur mon visage ! « Es-tu un monstre ou un ange ? » J'écoute : Tu parles sans paroles… « Quel triste dieu, quel faribole ! » « Hurluberlu » ; je vais t'appeler En espérant t'éloigner De mon avenir, de mon passé, En espérant t'éloigner… Je t'avais dit de t'en aller Mais tu ne fais que t'enlivrer… « Quel tohu-bohu autour »… C'est la folie ou c'est l'amour ? Qui prend mon âme en otage ? « Vas - t'en, j'ai peur de ton visage ! » Je sens mon cœur bruler en feu Quand je t'appelle « Suprême Dieu » Alors que tu n'es qu'un timbré Aux ailes en fer, aux dents cassées. . Sur ta peau en zigzag je vois Les traces de mes souvenirs si chers. Je veux me séparer de toi Mais tu m'embrasses et tu me serres.

La folie de la lecture Flavia Stanciu C.N.B. George Cosbuc - Bucarest Professeur: Avram Simona Nicoleta

Sur le passage piéton, Qulequ'un a renversé un homme. Mais la personne dont je vous parle Possédait un trait spécial. Quand le médecin l'a vu, S'est exclamé: “Quel hurluberlu! Il délire: «Ouf! Hugo, Balzac…» Sa raison est… en zigzag!” Pour la plupart, c'est vrai! Nôtre homme était timbré! Toutefois, sa folie est justifié, Parce que le mec s'est enlivré! Dans sa tête il y a un charivari; Des écrivains et des philosophes aussi Se querellent, crient ou déclament, Disent des fariboles ou créent un nouveau roman. Je vous prie de vous imaginer Un grand écrivain ambiancer La fête qui avait lieu Dans la raison du pauvre garçon. Je crois que nous pouvons facilement envisager Quel tohu-bohu la lecture passionné peut attire. Si on lit à tire-larigot La folie s'installe plutôt. Nous rêvons quand nous sommes éveillés Et nous perdons le contact avec la réalité. Quant à moi, j'aime cette aventure, J'aime vraiment la folie de la lecture!


Design floral

Iana Alexandra MIHAI Lycée d’Arts Marin Sorescu, Craiova Professeur: Emanuela CIOLACU


S'enlivrer...à la folie Solcan Alexandra Lycee Theorique „C.A.Rosetti”, Bucarest Professeur: Petculescu Alina

Les livres sont un véritable trésor pour chaque personne. Meme si la plupart des gens pensent que je dis des fariboles, ce n' est pas comme ça. Ouf! Une fois enlivré on commence a voir des ondes en zigzag, comme si on buvait a tirelarigot, on voit tout differémment, d'autres portes s'ouvrent et son imagination se met a voler quand on feuillette les pages. Je vous le dis de ma propre expérience! Moi aussi, au début, je ne croyais pas que „lire” est vraiment une chose intéressante et palpitante en meme temps. Je me souviens avec émotion le premier livre que j'ai lu. C'était difficile pour moi a reconnaître: je ressentais tout comme un charivari qui m'entourait, jusqu'au moment ou j'ai découvert qu'on pouvait tout ambiancer pendant la lecture. Je me sentais comme si j'étais au milieu d'une fete ou il y avait un tohu-bohu permanent, mais ce n'était pas de la musique, c'était quelque chose de bizarre, toutefois je ne peux pas m'expliquer ce que j'entendais vraiment. J'ai commencé a me conduire comme un hurluberlu et tout le monde me regardait de travers comme si j'étais venu d'une autre planete, la planete des livres. Je me suis rendu compte que ces gens qui se moquaient de moi étaient, en fait, des gens qui n'avaient jamais lu et ma façon de me conduire, de parler, d'interagir leur semblait étrange. Cependant je voudrais dire que tout le monde devrait lire, les gens n'ont rien a perdre et ils peuvent découvrir une multitude de choses intéressantes. Je regrette que les gens ne lisent plus. Ils ne se rendent pas compte de leur perte. En conclusion, une personne qui ne lit pas est comme une lettre qui n'est pas timbrée.

„Une page de vie“ Pînzaru Maria, Scoala Gimnaziala "Octav Bancila" Corni-Botosani Professeur: Pînzaru Mihaela


Le trésor Alexandra Monica Croitoru, XIe (U3) C.N.B.George Cosbuc, Bucarest Professeur: Avram Simona Nicoleta L'atmosphère était vraiment éttoufante. Le charivari des enfants courrant a toute vitesse de long en large de la sale à manger était exasperant. Mais au coin de la chambre, il se retrouvait une seule personne calme qui rigolait en regardant doucement les gosses. Son nom était Papie et son siège avait le même âge que lui. -Je ne réussis à comprendre ce que t'entraîne à organizer une fête aniversaire chaque année. À ta place je partais sur un île exotique et isolé au milieu de l'ocèan avec ma femme! a dit une dame en sourriant au Papie. -Ma fille, ta mere et moi sommes plus qu'enchantés d'héberger des fêtes comme celle-ci. Personne et rien peut ambiancer mieux ces chambres que mes grand-fils! Peut-être tu me crois vraiment timbré, mais j'adore à me contourner avec le souffle de vie des enfants. -Ben, j'entends que tu les aimes, mais comment peux-tu supporter si tranquillement le tohu-bohu qu'ils faisent dans ta maison? -Ouf, tu as toujours été plus préoccuppée avec la netteté qu'avec le divertissement. Et après tu fasais tous scientillé de propreté, tu t'assissais sur mon siège et tu prennais un livre comme tu aimais t'enlivrer. Et personne pouvait te détacher de ton monde. -Et tu préférais que je courrissais en zig-zag à travers la maison? -En ce temps-là, non. Mais aujourd'hui, oui, a repliqué Papie un peu triste. -C'était mon choix, tu sais? Je ne regrette pas que je ne me jouais pas quand j'étais petite. Maintenant, allons-nous manger. J'espère que tu es affamé parce que maman nous attend à consumer de la nourriture à tire-larigot! Une dame plus agée venait vers eux avec un air officiel: -La table s'est ouverte! Mais qu'est-ce que ma fille discutait avec Papie? -Seulement de fariboles, rien d'interessant, a repliqué la plus jeune, Marianne. Mon Dieu! Descends en ce moment, Isabelle! a dit-elle exasperé en regardant sa fille debout, sur une chaise à coté de la vitrine avec des cristaux. -Excuse-moi, maman! Je voulais seulement admirer les chevaux de cristal de mamie! Ils sont si spécials! -Exactement comme toi. Choissis-un et c'est le tien! a intervenu Mamie. -Vraiment? Oh, là, là, mais comment je prendrai un sans offenser la beauté des autres? -Maman, maman, Robert a mouillé mes vêtements avec le tuyai dans le jardin! a crié un petit garçon en entrant la chambre. -Encore une fois, Mathieu? a demandé la mère agacé. Je les ai changé dix minutes en avant! -Je sais, mais…. -Comment veux-tu ton rôti? Grillade ou a l'etouffée? a demandé la soeur de Marianne en venant de la cuisine. -Assez! a repliqué la mère à bout de sa patience. Ça me souffit! Isabelle, descends de ton siège! Robert, va au chambre de mamie, je viendrai immédiatement avec de nouveaux vêtements! Mathieu est puni! Il n'importe pas comment tu prepare le rôti, ma soeur, je n'ai pas faim! Ce que je veux est aller chez moi et échapper de ce tohu-bohu d'enfants hurluberlus! a crié Marianne. -Mais ils sont tes enfants! a dit outré Mamie. -Mais chez eux, ils tous respectent toujours mes règles! -Règles au-dessus des règles! C'est tout ce que tu sais! a intervenu Papie en se révélant de son siège. Ça me souffit aussi! Ils sont enfants, pour Dieu, laisse-les se diverter au moins ici! C'est pourquoi ils veulent passer toujours leur temps libre chez leurs grand-parents et pas chez toi! -Chez moi? C'est leur maison aussi! -Est-ce que tu ne comprends pas? Ils ne le sentent pas comme ça. Pour eux, c'est seulement un lieu où ils doivent obéir des règles… -Papa a raison, Marriane, a dit sa soeur. -Laisse-moi, Annette! Tu n'as pas d'enfants. Tu ne sais pas ce que l'éducation d'un enfant suppose. Après autant des sacrifices, ils ne repayent rien. -Mais bien sûr que oui, ma fille! a intervenu Mamie. Quand tu les vois avec le sourire aux lèvres ou tatonnant un remerciement, cela vaut la peine de faire autant des sacrifices. -Ben, tu as raison. Pourtant, tous ces sacrifices forment des règrets avec le temps. Tu as dû rester à la maison pour m'èduquer; tu ne l'as pas regretté? De perdre 7 longues année? - Bien sûr que je me suis mis en colère quelques fois, mais c'est naturel. Il est normal de vouloir vider ton coeur, mais il doit faire attention de ne pas dire des choses regretables. -Les enfants ont toujours été…., a continue Papie. -Je sais, je sais, un trésor, a dit Marianne. Mes gosses, je vous aiment! -Nous t'aimons aussi, ont dit Robert, Mathieu et Isabelle. -Moi aussi, j'aime ma soeur ahurie! a completé Annette.


LES DÉS SONT JETÉS !!! CHINDRIS DIANA IOANA Colegiul National „Mihai Eminescu“ Baia Mare, Maramures Professeur: MURESANU DELIA Je ne sais plus ce qui se passe dans mon cœur. J'essaie toujours de m'ambiancer dans cet enfer, mais je ne fais que marcher en zig-zag. Toute ma vie est un tohu-bohu et j'ai l'impression que ce monde et moi, ça fait deux. La seule occupation qui m'aide à oublier de tout est de m'enlivrer- lire et m'identifier avec les héroïnes des pages écrites par des esprits vifs, qui avaient, peut-être, les mêmes idéals que moi. OUF ! Quand je pense que ma vie s'écoulait normalement… C'est mon plus grand chagrin ! Maintenant je ne sais plus … je ne suis pas née à l'époque adéquate ; en tout cas, on vit une drôle d'époque ! J'ai l'impression que tout a changé : mes parents, mes professeurs. Ou, peut-être, c'est moi qui ai changé ? C'est moi qui change le fil de l'histoire ? Suis-je moi-même mon bourreau ? Des fois, j'en ai marre de ces questions, de tout. Je n'entends autour de moi que des fariboles, des propos des« génies »qui veulent à tout prix soutenir leurs idées ridicules devant leurs auditeurs qui font semblant de les écouter en mangeant et en buvant à tire-larigot. Pauvres imbéciles ! Il y a des moments où je pense m'enfuir, oublier de tout et de tous. Mais qu'est-ce que je raconte ? M'enfuir, disparaître purement et simplement- ce serait une lâcheté et moi, je déteste les lâches ! Et pourtant… pourquoi pas ? J'aimerais trouver un endroit, un abri, un refuge, car je suis un peu hurluberlu et je souhaiterais pouvoir m'enlivrer à mon gré. La vie nous cache bien des secrets et je me demande souvent si c'est, vraiment, la vie. Après tout, qu'est-ce que la vie ? Sommes-nous les maîtres de nos propres vies ? Je crois que non. Et comment pourrais-je savoir si Dieu n'a déjà timbré mon billet aller pour le séjour des ombres ? Ce serait une explication assez plausible. Mais pourquoi Dieu aurait-IL choisi de me donner cette punition ? Quel est mon péché si grand ? Le simple fait que je suis née ? Ou bien, que je suis différente, que je veux trop de ma vie ? Ah ! Je sais, je sais : « C'est une épreuve, n'est-ce pas ? Mon Dieu, Vous voulez tester ma patience ? Répondez-moi, s'il vous plaît !» Et, à ce moment-là, il a fait son apparition. Ce n'était pas Dieu, c'était Le Diable. Il riait et me contrôlait chaque mouvement : « Ma petite, ma petite…. Pourquoi n'as-tu pas aimé ta vie ? Elle n'était pas du tout un enfer. Le vrai Enfer est à moi, il m'appartient, je te le montrerai, c'est mon royaume, c'est le Grand Royaume du Charivari…». Puis, il est disparu. Ma vie reprenait peu à peu son rythme normal. Mais j'entendais sans cesse la terrible voix qui n'arrêtait pas de rire. C'était vraiment un enfer. Tout le monde me croyait folle, l'enfer était pire que je ne l'avais cru. À présent, je regrette tout. Je veux recommencer ma vie et apprécier tout ce que j'ai. Parce que mon péché a été d'avoir été toujours mécontente et de n'avoir jamais remercié pour tout ce que Dieu m'avait donné. On dit qu'il vaut mieux tard que jamais, alors : « Merci mille fois, mon Dieu, de m'avoir ouvert l'esprit ; je suis ici grâce à ta volonté et je t'en sais gré!»

Dumitrescu Denisa Lycee Theorique „C.A.Rosetti", Bucarest Professeur: Petculescu Alina

BALEANU ANDRADA College National Fratii Buzesti, Dolj Professeur: POPI DORINA LOREDANA


Maria Cernei C.N.B.George Cosbuc. Bucarest Professeur: Avram Simona Nicoleta

Devinons les noms des illustrations Diaconescu Diana Colegiul National „Spiru Haret“ Bucuresti Professeur: Milostivu Mihaela



Laissez-nous vous divertir! Chirita Raisa C.N.B. George Cosbuc, Bucarest Professeur: Avram Simona Nicoleta


Le puzzle des dix mots Mihnea CAZACU, 5-e Colegiul Na?ional de Informatica Tudor Vianu Bucure?ti Professeur: Minodora Dinu Je regarde ces mots et je me sens perdu. Ils sont si différents... Comment je pourrais les joindre ? Je pourrais me lier d'amitié avec eux ? Tout d'un coup, j'ai une idée salvatrice ! Ces mots sont les pièces d'un puzzle que je peux réunir. Je dois seulement trouver les côtés communs. Et voilà ma petite histoire ! "Ambiancer" se précipite à occuper le coin de gauche en haut, pour créer l'ambiance. "Hurluberlu" et "timbré" se collent presque naturellement l'un après l'autre. Quelle colonne drôle! "Faribole" se précipite lui aussi à les joindre. Quelle folie ! La situation semble hors de contrôle ! Je suis inquiet... Pendant que je pense à ce que je peux faire, je vois "s'enlivrer" arrivant lentement. Il s'assoit au milieu, pour trouver un coin tranquille. Mais "charivari" le suit ! Ils sont mécontents à cause du bruit fait par les voisins, alors ils commencent à s'amuser eux aussi! "Ouf", l'ambiance commence à s'équilibrer ! Je soupire. Quel soulagement ! "Zig-zig" les rejoint en sautant et "à tire-larigot" s'assoit à droite, en bas. L'image est complète. Je regarde étonné mon puzzle et je comprends que tout comme l'amitié peut réunir des personnes différentes, les idées peuvent réunir des mots qui, à première vue, paraissent si différents....

Disneyland - le monde des ręves, des fantaisies

Quel est le monde le plus beau et fantastique Oů nous nous sentons encore enfants ? Quel est cet univers féerique Oů des personnages sympathiques Arrivent ŕ ambiancer les rues magiques ? Le monde de Disneyland, bien sűr !!!

Ŕ Disneyland, Tu peux te divertir ŕ tire -larigot À la sortie, t’es hurluberlu , t’as mal au d os. Dans Hollywood Tower of Terror, il y a un trčs fort charivari Les gens qui sortent disent : «Ouf, bien que c’est fini ! ».

À l’école, les enfants aim ent pas s’enlivrer Mais ŕ Disneyland, ils aim ent apprendre L’histoire de Peter Pan et de la Fée Clochette ...

Ŕ Disneyland, Y a des tasses qui tournent autour, Qui font bouger les esprits les plus durs; Męme les plus timbrés sont entraînés Dans la course en zigzag des montagnes russes Qui font monter et vite descendre les grands et leurs petits, Et avec eux, leurs millions de fariboles .

Ŕ Disneyland, Y a un tohu -bohu sans fin, Des artifices et des lumičres, Des princes et des princesses, Des arbres, des fleurs, Mickey, Minnie, Donald, Jerry... Tous nous rappellent Que l’enfance est très trčs belle !

Scoala Gimnaziala "Maria Rosetti" Bucuresti „Disneyland - le monde des reves, des fantaisies“ Bianca SERTOV

Professeur: Baltă Silvia


Mon ami et la souris

Un dimanche apres-midi, Un dimanche aprčs-midi, Quand je retournais de promenade, Quand je retournais de promenade, J'ai vu mon meilleur ami J’ai vu mon meilleur ami Dire des fariboles a une souris. Dire des fariboles ŕ une souris. - Qu'est-ce que tu fais ici ? j'ai demandé. - Ouf ! mon ami s'est exclamé. - Qu’est-ce que tu fais ici ? j’ai demandé. - Ouf ! mon ami s’est exclamé. J'écoutais la souris souris J’écoutaisl'histoire l’histoire de de la Qui travaille Qui travailledans dansune unepâtisserie. pâtisserie. - T'es hurluberlu, quoi ?quoi j'ai?hurlé enragé. - T’es hurluberlu, j’ai hurlé enragé. - Non, sanssans doute touttout estest vrai... - Non, doute vrai... Pour éclaircir cecetohu-bohu, Pour éclaircir tohu-bohu, souris dirigeavers versnous. nous. LaLa souris sesedirigea - Bonjour ! il nous a dit. - Bonjour ! il nous a dit. m’appellePilou. Pilou. JeJe m'appelle J’aime m’enlivrer chaque jour dans pâtisserie J'aime m'enlivrer chaque jour dans la la pâtisserie gensque quej'aime j’aimeaŕ tire-larigot tire-larigot OuOù lesles gens disent toujours: :««T'es T’es une une petite petite souris MeMe disent toujours souris Qui travaille et lit dans un tel charivari... ! » Qui travaille et lit dans un tel charivari... ! » « C’est vrai, c’est vrai ! « C'est vrai, c'est vrai ! Je fais tout ça pour ambiancer vos esprits », je leur ai dit. Je fais tout ça pour ambiancer vos esprits », je leur Mais, ça suffit ! Timbré comme je suis, ai Je dit.veux partir aujourd’hui à la maison de ton ami. Mais, ça suffit ! Timbré comme je suis, JeCette veuxphrase partir nous aujourd'hui la maison de ton ami. a laissésabouche-bée... Cette nous laissés bouche-bée... Nousphrase lui avons dita que notre chat Nous lui avons dit que notre chat N’aime pas les souris. N'aime pas les souris. Car, quand il les reconnaît, Il va en zigzag pour les manger. Car, quand il les reconnaît,

Miruna MATEI (7e C) Şcoala Gimnazială « Maria Rosetti », Sector 2, Bucureşti Professeur: Baltă Silvia


Les maths…un peu, beaucoup, à la folie ! Popi Adela College National Fratii Buzesti - Dolj Professeur: Dorina Popi

Ouf! Enlivrée... Bistriceanu Sonia, Boldeanu Andreea C.N. 'Fratii Buzesti' Dolj Professeur: Popa Olimpia

DZEDITI LUCIA College National „Fratii Buzesti“ - Dolj Professeur: POPI DORINA LOREDANA

Le zigzag de la craie sur le tableau noir dessinait des traces de malheur dans mon esprit. Inquiété, je jetai un coup d'œil autour de moi. Christian, le petit du premier pupitre avait enlevé ses lunettes trop grandes pour son visage, signe qu'il déposait les armes. Lui, qui s'enlivrait pendant les récréations, loin des fariboles proférées par nos copains, toujours en train de se chamailler, de se moquer les uns des autres. Ils le traitaient de timbré, mais au moins ça lui valait la paix. Malheureusement pour lui, ce n'était pas les maths qu'il buvait à tire-larigot. De la géo, de l'histoire, les dernières découvertes en matière de logiciels, parfois de la littérature mais pas de maths. Mon regard continua son périple à la recherche d'une lueur d'espoir. Un charivari montait du fond de la classe. Les minus habens s'y tapissaient tout le temps en espérant s'échapper à la vigilance du prof. Ennuyés par l'équation qui n'en finissait pas, ils avaient dirigé le tir de leurs railleries vers Maria, la nouvelle étrangère dont les tenues lui donnaient un air un peu hurluberlu. Le prof se retourna brusquement et désigna de son long doigt … -Ouf ! ce n'était pas moi ! me dis-je ! C'était le chef de la bande de plaisantins. Le condamné s'avança lentement, vers l'effrayante kyrielle de chiffres. Il traînait ses pas pour retarder la fâcheuse rencontre. -Quelle chance ! La deuxième fois en deux jours ! T'en fais pas ! T'as déjà un 4 ! lança une voix aiguë comme pour ambiancer l'atmosphère qui pesait lourd sur nos chères têtes blondes. Mais personne ne rit. La voix de l'olympien retentit : -Vous avez 5 minutes pour finir cet exercice ! C'est du gâteau ! Je n'y arriverai jamais ! La peur me figeait les dernières bribes de raison. Le regard de M. Saitout s'était fixé sur mon cahier…La tête basse, j'attendais le verdict. Alors mon vœu fut exaucé …Le tohu-bohu de la récré éclata après les premiers sons de la clochette.


La journée de Monsieur Timbré UDREA VLAD College National Fratii Buzesti - Dolj Professeur: POPI DORINA

Il se lève en tohu-bohu Il déjeune à tire-larigot Lit des fariboles dans les journaux Après avoir dîné en charivari S'en va causer Avec son ami, Hurluberlu Revient en zigzag, étourdi Et ambiance son appartement. Il s'enlivre avant de se mettre au lit, fatigué Et dort bientôt profondément Ouf ! Le pauvre monsieur Timbré .

À TIRE-LARIGOT - FILIMON ALINA COLEGIUL NAŢIONAL « SPIRU HARET », TECUCI-GALAŢI Professeur : MUNTEANU MIHAELA


e s s e n u e j a l e d e i l o La f Ouf ! C'est le moment d'ambiancer, Se détacher de l'école sans y renoncer. La folie s'empare de tout Et je veux me perdre dans ce tohu-bohu. Sur le buffet au milieu des broderies, Une assiette pleine de sucreries. Les gars boivent de champagne a tirelarigot Alors que les filles mangent des berlingots. Les danses en zigzag sont ravissantes Et la musique assourdissante. Une jeune femme un peu hurluberlue Apporte un plateau bondé de merlu.

Brusquement un charivari interrompt la joie Et un étranger, vêtu d'une cape en soie Entre, mystérieux, et d'une voix timbrée Il débite des fariboles avec sincérité. Je lui dis que ce n'est pas bon de s'enlivrer La vie n'est pas un conte de fées Il faut vivre le présent Et chasser pour toujours les tourments. CARAMAVROV MARIA College National Fratii Buzesti-Dolj Professeur: POPI DORINA

Dinca CristinaDracea Maria Alexandra Liceul Teoretic "Ion Heliade Radulescu" Targoviste-Dambovita Professeur: Grigore Ileana


Disneyland le monde des rêves, des fantaisies... Sertov Bianca Scoala Gimnaziala "Maria Rosetti“ Bucuresti Professeur: Baltă Silvia

L'amour d'un “ouf” Malheureusement je suis tombée amoureuse! A tire-larigot je me sens heureuse. Mon coeur bat si vite que ça me fait du mal, Tout comme ces machines qui tournent au carnaval.

Ses mots semblent timbrés se promenant sur un vélo, Comme un zig-zag à travers mon cerveau. Et le charivari qui remplit mes oreilles, C'est une faribole, comme un bourdonnement d'abeille.

Je m'enlivre comme un ouf de ses messages, Je me sens suivie par son mystérieux visage, Je suis pleine d'énergie comme un hurluberlu, Mais mon coeur a ralenti simplement : tohu- bohu.

Mais enfin, quand je l'ai trouvé à ma porte, Je ne sais pas quel jour c'était, peu m'importe. Il était nerveux, il ne savait comment commencer, Mais il m'a apporté une rose...tout pour ambiancer.

Furtună Andreea-Mădălina, X-eme A Lycée Théorique Anghel Saligny de Cernavodă-Constanta Professeur: Dinca Giovana


La fête de Sophie Diana SANDU (8e C) Şcoala gimnazială “Maria Rosetti”, Bucuresti Professeur: Baltă Silvia Quelle soirée inoubliable! Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé hier soir. Apres une matinée tres agitée, je suis allée chez mes meilleurs amis. Ils m'avaient invitée chez eux pour feter l'anniversaire de leur tortue, Sophie. Moi, j'ai jamais été a l'anniversaire d'une petite bete, mais, apres quelques secondes de réflexion, je me suis dit que je n'avais rien a perdre. Donc, j'ai finalement accepté leur invitation. De 8h00 a 14h00 je me suis cassé la tete pour trouvé un joli cadeau pour la petite. Qu'est-ce que je pouvais lui acheter ? Un livre ?! Un pantalon ?! Des chaussettes ?! Rien de tout cela. Une tortue ne lit pas, ne porte pas de pantalon ou de chaussettes. Peut-etre un CD avec les derniers tubes français ou quelque chose a manger ?! Mais, quel charivari !... Enfin, vu que la nourriture n'était pas mon point fort, j'ai choisi le CD. Mes amis, Michelin et Micheline, habitent assez loin, a Michelville. C'est un village pas comme des autres. Ici, les gens aiment s'éclater. Une fois arrivée a la maison, mes amis m'ont montré les décorations (ils avaient tout fait pour ambiancer l'espace) et le nouveau membre de leur famille, l'animal a carapace. Il était joli, son visage était gai et le mouvement incessant qu'il faisait dans l'aquarium ou avait été mis, était, sans doute, signe de bien etre. Je lui ai offert le CD, mais la petite tortue avait l'air de ne rien comprendre. Elle regardait les décorations et écoutait les sons agréables d'un CD que ses « parents » adoptifs ont choisi pour son anniversaire. Les gens, la plupart des adultes, dansaient, parlaient, criaient dans le grand salon situé au rez-de-chaussée. Quel tohu-bohu ! J'ai vu des vertes et des pas mures. Quelques garçons et filles fumaient des cigarettes, quelques hommes fumaient leurs cigares et jouer au cache-cache, quelques femmes mangeaient les sucreries des enfants. Et, un garçon a l'air un peu distrait me donnait l'impression qu'il aimait s'enlivrer. Meme ici ?! Il était sans aucun doute hurluberlu. Il marchait en zigzag. Il parlait beaucoup, mais personne ne le comprenait. Il avait bu de l'alcool a tire-larigot et tout ce qu'il disait n'était que des fariboles. Vers minuit, tous les invités se sont endormis. Voila une bonne occasion de partir, je me suis dit. « Ouf ! » Ce fut mon premier mot, une fois arrivée dans la rue. « Ce gens sont timbrés, bien sur ! »

Film: Lire est-il dangereux? LAZARESCU NICOLAS College National Fratii Buzesti-Dolj Professeur: POPI DORINA LOREDANA https://www.youtube.com/watch?v=CSaM_y9XaV0&feature=youtu.be


GRILLE : J'aime les mots Ă la folie !


Professeur: Baltă Silvia


P C O WUKM O MO GQ XD NI TX XC F A K KIZP T PW VK QW KB WD ND A O D GYGD I AP DX NT TD MO HX

Trouvez les 10 Mots...

J I H KZNK P HF VG ZD VM JP UZ I M U ÇICH A RI VA RI TN ZT WQ F A R IBOL E XL GT BB UD CN ZJ V D D JZKP Ç XX HJ EO KÇ HB RY Y D J VLGA J EU KÇ DO LX NT AR J S Ç AIXK Z TÇ NQ MR VÇ KI OG L E C QMKT W JK HC JÇ KW LM PX K T W KPYI V DN BM EU TP WB EL Y P N EKLR O QM BX ZC AT LR OH O P F NKDE O KE ZI GZ AG KE XB R S S HURL U BE RL UK UQ PQ DE N F C NNXA F EC SE NL IV RE RA O C C CÇDR W RN AP KW IM GD EW J Ç C XOUI X KN QT DB ÇA MY AX F Z V GJBG E AM BI AN CE RO DL B S Z ANEO E VG YT OH UB OH UQ O W X CAHT J FA HP UE FU UQ LF

Paun Cristina Lycée Théorique „Traian“ Bucarest Professeur: Tatu Simona

...de la Francophonie 2014!

GRILLE


tre corps o v s n a d e r d Or Chilom Alexandra Liceul Teoretic ''Independenta'' Calafat-Dolj Professeur: Belu Florentina-Aura

Ouf ! Ta tête! Regarde- la! C'est l' amulette ! Tes yeux ! - sont un hurluberlu, sans plaisir, Sois prudent lorsque tu lui donnes lire ! Tohu- bohu dans ta veine

Dans une douce souffrance

Tu ne sais rien de demain

Ton âme est la patience

Tes mains contrôlent

L' ambiance est très immense,

Le zigzag dedans- très drôle .

Et toi- absent ! Mais si tu voulais comprendre Dans le charivari

Tous les secrets d' apprendre,

Les pensées ne sont pas beaucoup

Joue dans ta vie !

tes amis !

Vas-y parmi

Ton corps est fragile, trompé,

Tous les ponts, les ennuis,

Marqué permanent du timbré !

Et sans de la mélancolie

S'enliver par le tout

Médite aujourd' hui

Tiré toujours par nous.

Pour tout le désordre

Et vous- absentes !

Et fais de l' ordre Bien sûr, transformez

À tire- largot, obscur, énorme

Le difficile présent dans un bon passé !

Ton souffle- une consécration !

Et vous, tous les amateurs

Parce qu' il a acheté de la faribole

Dites-vous en chœur:

Inutile, pas de cœur !

Je suis présent pour l' honneur !

„AMBIANCER“ ? icală Gheorghe/ VIII A ? coala Gimnazială Poiana Stampei Suceava Professeur: Hrincescu Rodica


Images... avec la Seine Bicu?i Iasmina, V C ? coala Gimnazială „Elena Farago“, Craiova-Dolj Professeur: Bobolocu Virginica C'est le soir Dans la rue un charivari: des voix, des cries,des rires Les allumeurs de réverberes en habit de Belle Époque Pour ambiencer battent la briquette... Le parfum des jardins de Paris flotte sur la Seine flotte sur le Pont Neuf flotte au-dessus la tête des amoreux Comme un papillion Dans un bistrot Une bande d'hurlurberlus Boit a tire-larigot Le breuvage magique de le vie L'un joue au piano L'autre joue a a la trompette

L'autre joue a la guitare Et toute la bande batte a la fois la chamade Et tout ça c'est un tohu-bohu Un peu comme en Afrique Je regarde le zig-zag de la Seine Une image patinée comme dans une carte postale timbrée J'ignore la folle qui se balade le long de ses quais en disant des fariboles, poussant de cris et des oufs on dit dans tout Paris qu'elle s' enlivrait des fois chaque jour avec Hugo, Voltaire, Maupassant et voila le résultat...

Dessin: Quand les poules seront des coqs. Ambăru? Antonina - ? coala Gimnazială, Satul Cleja,Comuna Cleja (Professeur: Ambăru? Antonina)

Film

Deca Cosmin, clasa a VII-a D ? coala Gimnazială Elena Farago Craiova-Dolj Professeur: Bobolocu Virginica

https://www.youtube.com/watch?v=hhPFHQQ6ThE&feature=youtu.be


„La lecture des fariboles“ - VIRDOL ANDRA-MIHAELA College National Fratii Buzesti-Dolj Professeur: POPI DORINA LOREDA NA

r u e i r é t n i e g a y o v La lecture, un Nea?u Corina, 7E - ? coala Gimnazială Elena Farago Craiova-Dolj Professeur: Bobolocu Virginica

D'où vient cette passion de m'enlivrer, de faire des belles échapées au monde des livres ? Un jour, j'avais dix ans, je crois, je feuilletais un vieux bouquin qui sommeillait depuis des années dans la bibliothèque de mon grand-père. J'ai trouvé une carte postale timbrée qui m'indiquait une adresse pareille : Mlle Claire Dubois rue Des Acasias numéro 7?Madagscar. De la part de l'expéditeur un seul mot :As-tu lu Une vie de Maupassant ? Depuis ce moment-là j'ai ignoré les personnes qui disent des fariboles sur la lectures et les livres. J'ai cherché ardemment le livre indiqué dans la bibliothèque du grand-père et je l'ai lu à bout de souffle. La triste destinée de l'heröine m'a bien émue. Mais une autre surprise m'est arrivée : à la page 53, j'ai trouvé autres deux cartes postales cette fois-ci ; venant toujours de Madagascar. J'ai regardé longtemps les images et j'ai beaucoup rêvé aux yeux ouverts.L'une représentait une sorte d'hurluberlu dont le visage était peinte en rouge, blanc et jaune, il tenait dans sa main une très grande coquille et bouvait à tire-larigot l'invisible breuvage que je soupçonnais être très délicieux.Seulement une image pittoresque.L'autre carte postale montait une sorte de place publique très rustique où un groupe de danseurs semblait faire un charivari qui peut être avait le rôle d'ambiencer une fête africaine.Les filles portaient des guirlandes des fleurs exotiques,les uns d'eux dansaient, les autres se réposaient semblant dire ,,ouf '' exprimant le soulagement et la joie. Mais dans un coin j'ai aperçu la silhouette d'une jeune fille en habit européen, habit du début de XXème siècle biensûr,peut-être l'étrange correspondante de mon grand-père.Elle portait un coquet chapeau rouge, j'ai rémarqué l'imprimé en zig-zag de sa robe d'été. J'ai vu avec mon oeil intérieur un certaine sourire mysterieux sur sa figure et selon son allure j'ai imaginé qu'elle s'étais perdue dans le tohubohu de la fête africaine.


La folie d'un cœur Codiţă Ştefana Ecole Gymn.nr.2 Mănăstirea-Doamnei, Com. Curteşti , jud. Botoşani Professeur: Borcea Maria

Dès ma naissance, j'ai vécu tranquillem ent J'étais dans mon élément Dans un corps qui me portrait Et ne pensait jamais m'abandonner. Dès ma naissance, j'attendais en sile nce, Après tant de souffrance, Quelqu'un qui m'enlivre Et me fait, en un mot, enfin, vivre. C'était un jour comme tous les jours J'était déjà démissionné Et tous pensaient, un peu timbré, La solitude ne me quittait! Quand un tohu bohu M'a rendu hurluberlu! Sa présence me guidait A quitter ce corps qui me pinçait! Je battait brutalement Je sentait comme un frisson Me perçait, me menaçait A devenir son esclave éternel! Je tremblait , je m'agitais, Je pensais que je pouvais L'attacher …….. à moi!

Et ça m'a tourmenté Quand les pieds ont commencé A faire des zigzags continus 'C'est fini!' j'ai immédiatement su! Tout a duré un seul moment Et a été si violent! Un moment, la douleur m'a secoué Mais la vie, elle m'a ambiancé! C'est alors que j'ai appris Que j'attendais ce charivari Pour faire verser des rives A cause d'elle ou grâce à elle? Quand j'ai pensé Qu'un 'Ouf!' pouvait enfin sortir J'ai su que le désir m'aimait Et ne pouvait jamais mourir! Des fariboles m'ont préparés Sans relâche, à faire face A un future rencontre Avec cette passion qui me rompt, A tire-larigot je l'ai attendue J'étais toujours à l'affût Mais le destin m'a rendu... Malade et je suis alors un fou!

Nemteanu Alexandru Ecole Gymnasiale No 8 Constanta Professeur: Paraschiv Camelia


Dis-moi dix mots à la folie Robert MurtazaClasa a VII-D ? coala Gimnazială Elena Farago Craiova-Dolj Professeur: Bobolocu Virginica


Foire

Nicolae Maria Liceul Teoretic "Ion Heliade Radulescu" Targoviste-Dambovita Professeur: Grigore Ileana

A la foire Un ouf Mange et boit Du foie gras Dans un bol Bariolé Sans faire Des caprices Disant des fariboles

Un hurluberlu Brûlé Hurle Et hulule Depuis une heure Dans une belle bulle bleue.

Vie

Moise Mãdãlina Liceul Teoretic "Ion Heliade Radulescu" Targoviste-Dambovita Professeur: Grigore Ileana La vie de l'homme est une ligne continue. Des fois elle monte, des fois elle descend, dans un zigzag enivrant, mais elle revient toujours à la forme initiale. D'abord nous avons tout ce qu'il faut pour ambiancer notre vie, ce qui nous fait croire que tout est facile et nous rend même heureux pour une courte période, c'est l'enfance. Plus tard la vie commence à nous envoyer, petit à petit, un grand nombre d'enveloppes timbrés, avec des problèmes et des dilemmes à tire-larigot et tout cela, dans un tohu-bohu où nous avons du mal à nous retrouver nous-mêmes. Alors on commence à s'agiter, à perdre la boussole et à devenir désordonnés, étranges, des hurluberlus, voire des oufs pour ceux qui nous regardent, on se met à dire des fariboles et à ignorer ce que les autres peuvent penser de nous. Certains essaient de se sauver en s'enlivrant, d'autres s'oublient dans le charivari des fêtes ou dans un travail sans arrêt, ignorant qu'on est tous mortels et que, quoi que l'on fasse, à un moment donné, plus tôt ou plus tard, quand le sable s'est terminé dans notre sablier, on doit tous quitter ce monde, simples et pauvres, tout comme nous y sommes entrés.


e g a s e i l o f a L

BUZENCHE CARMEN COLEGIUL NAŢIONAL SPIRU HARET TECUCI-GALATI Professeur: MUNTEANU MIHAELA-NINA Il y a toujours dans mon esprit Une voix tranquille qui me dit Que le véritable trésor Se trouve à l'intérieur. Mais mon cœur est en zigzag Et si tu veux y entrer Tu dois sauter à cloche-pied. Comme un pion sur l'échiquier, Comme une toupie ou comme un fou Qui n'a pas le temps de dire ouf! Car il lutte ici, sur la terre Dans cette vie qui est une guerre! Si tu veux être gagnant

Tu dois être un peu hurluberlu Tu dois penser à l'absolu Dans un monde de paroles Tu dois éviter les fariboles Dans un monde de la forme Monotonie, égalité Tu dois être un peu timbré. Tu dois ambiancer ta vie Tu dois être celui qui Entend au milieu du charivari Le silence qui parle Dans ton cœur et dans la gare, Dans la pluie et la guitare.

Des tohu-bohus partout Et dans ton esprit surtout. Tu dois boire à tire-larigot De la fontaine de la connaissance Et puis tu seras un héros Tu auras du courage et de la confiance. Mais tu dois aussi t'enlivrer Si tu veux gagner cette guerre. Tu es homme, passager Tu peux être immortel si tu veux. Tu dois être seulement différent ou Tu dois être un peu fou .

e r i r u o s n u , Un rêve Neagu Irina Colegiul National de Informatica "Tudor Vianu“ Professeur: Manz Mariana-Eliza

Un matin de dimanche, je me promenais dans le parc devant l'hôtel. J'étais en vacances d'été et j'étais partie avec ma cousine et ses copains à la mer. Ouf ! J'ai été obligée par mes parents ! J'aurais préféré rester à la maison, dans ma ville, avec les personnes avec qui j'aime passer le temps. Je ne sais pas exactement pourquoi ils sont antipathiques à moi, mais je les considère une bande d'hurluberlus. Je ne veux pas critiquer, mais c'est mon opinion. Peut-être nous sommes différents, nous avons des objectifs divergents. Parfois mes pensées ne sont pas du tout ordonnées, dans ma tête est un tohu-bohu total. Donc, je me promenais dans ce parc-là. Les oiseaux ambiançaient l'atmosphère, la brise était douce et les vagues s'entendaient loin de moi. Je me suis placée sous un grand arbre qui faisait de l'ombre. Je ne supporte pas la chaleur excessive et j'adore les matins frais. Je commençais la lecture d'un nouveau livre. Je me suis enlivrée immédiatement. C'était comme un rêve que j'aimais beaucoup. J'étais seule dans une forêt et je croyais que je m'étais égarée. Il y avait de grands sapins autour de moi. Je ne pouvais pas voir le ciel. Je ne savais pas s'il était jour ou nuit. J'avais peur. Je me baladais et j'ai vu une clairière. Les brins d'herbe étaient comme l'argent sous le clair de la lune. J'écrasais les petites aiguilles sous mes pieds. Quand je suis entrée dans la clairière, j'ai découvert un nouveau monde. Des papillons qui volaient en zigzag, des fleurs en couleurs fortes et un petit elfe qui s'était pose sur un pétale de marguerite. Je l'ai salué. Il a commencé à me dire des histoires et des fariboles. Je n'ai rien compris! Je croyais qu'il était timbré. Ou peut-être il avait bu du nectar à tirelarigot et il était en état d'ébriété. A la fin, il m'a dit que je devais être une personne plus souriante et que je devais rêver plus. J'ai entendu un charivari et je me suis réveillée dans le parc. J'ai vu ma cousine. Elle m'a dit qu'eux, elle avec ses amis, ils se dirigeaient vers la plage et que je devais être plus réaliste, car je m'enlivrais tout le temps et ça, a son avis, c'était pénible. Je suis restée dans le parc. Je préférais obéir au conseil de l'elfe. A mon avis, c'est génial d'avoir son propre monde. Il peut être une forêt, une clairière pleine de fleurs ou une grande ville avec des gens gentils et sympas, un monde où tous sont agréables. Ainsi, on peut rêver et on peut sourire en pensant à cette utopie.


„L'arbre des mots fous“ Paun Cristina - Lycée Théorique Traian, Bucarest Professeur: Simona Tatu

Film

„Traditions du monde francophone“ Lixandra Anda, Popa Alexandru, Tod Gabriela, Topală Alexandru, Zagar Diana Colegiul National „Grigore Moisil“ Bucuresti Professeur: Luiza Constantinescu https://www.youtube.com/watch?v=bdhw_zwlmds&feature=youtu.be


« L'ivresse de la jeunesse est plus forte que l'ivresse du vin » ~proverbe persan~ Constantinescu Ana Ştefania Colegiul National „Spiru Haret“ Bucuresti Professeur: Milostivu Mihaela On nous parle des étapes de la vie, on arrive même à créer des théories dessus. On parle de la jeunesse comme étant la plus belle période de notre vie, là où les événements les plus importants ont lieu, où on devrait profiter de notre énergie, de notre esprit libre et exploiter au mieux nos idées si créatives. Les idées folles, et l'instantanéité des actions ne sont pourtant pas aussi bien vues, étant réprimées par la voix raisonnable des adultes, critiquant une certaine spontanéité. L'idée où j'aimerais en venir, c'est que les jeunes aimeraient profiter de la jeunesse, de l'insouciance qui la caractérise, de pouvoir réaliser leurs désirs les plus fous, de découvrir de nouvelles sensations. Certes, pas tout reste dans la limite du raisonnable, et on ne fait pas toujours très bon usage des libertés qu'on peut s'accorder à la jeunesse, mais est-ce qu'on peut parler d'une inconscience ? Plutôt d'insouciance et d'optimisme aveuglants qui nous font que l'on veut juste faire toute chose avec plaisir… C'est là que l'on peut parler métaphoriquement d'ivresse, car on essaye de garder un certain optimisme mélangé au sens de l'humour et à la joie de vivre caractérisant cette période de notre vie. Les adultes pourraient voir cela comme de l'irresponsabilité, c'est quelque chose que l'on pourrait admettre. Mais surtout, les jeunes aussi ont besoin de se faire comprendre ; il faudrait arrêter de les prendre pour des hurluberlus, malgré l'extravagance dont certains peuvent faire part ! Les jeunes ont leur propre conscience qui leur inspire des idées mais aussi raisonnabilité. Céder à tous ses désirs et profiter de la vie est considéré comme étant irresponsable. Nos nuits, nos sorties, en tant que jeunes ne sont pas seulement caractérisée par des charivaris incessants et fatiguants ou par des personnes qui boivent à tire-larigot. Comme je disais plus haut, on peut aussi valoriser nos idées en communiquant, en échangeant des avis et des impressions. Certains trouvent aussi que la jeunesse d'aujourd'hui est trop passive, que les pensées, aussi intelligentes soient-elles, ne deviennent pas quelque chose de concret, on se trouve souvent traités d'oisifs et de bons à rien. Que peut-on faire si les gens jugent et généralisent autant ? On sait que notre gaîté d'esprit est éphémère, et qu'on ne va peut-être pas la retrouver, lorsque viendra l'âge adulte, et qu'on ne pourra jouir que de l'ivresse que nous apporte le vin, pour en revenir au proverbe. À la jeunesse, on lutte et on essaye de combiner le plaisir au savoir, de ne pas céder à la bêtise et de réussir à réaliser quelque chose. Il est dommage de généraliser. Certains préfèrent s'enivrer alors que d'autres, s'enlivrer n'empêchant pas ces deux catégories de jeunes de s'ambiancer, chacun à leur manière. Pour conclure, n'oublions pas la catégorie du milieu qui combine les deux, qui travaillent durement et s'enrichissent spirituellement, mais qui se relaxent pour pouvoir dire « ouf » de temps en temps.

Film

„Ambiancer“ Eleve realisateur: GHEORGHE ALEX COLEGIUL NAŢIONAL "SPIRU HARET" GALAŢI Professeur: MUNTEANU MIHAELA-NINA https://www.youtube.com/watch?v=I63f8ZbJBXE&feature=youtu.be


Je ne comprends pas!

Il y a longtemps, les Anglais sont venus en Australie. En marchant, ils ont observé un animal grand et étrange qui semblait timbré. Il sautait toujours vers le ciel, mais toujours redescendait sur terre, en tremblant. Comme c`est la vie : ascension, puis chute. La trajectoire de la vie décrit une forme de zigzag perpétuel. Les gens aiment poser des questions. Ainsi, les Anglais ont demandé aux indigènes, par des gestes, quel est le nom de l'animal bizarre. La reponse a été « Kan-ghu-ru ! ». Les colons ont cru que c'était son nom. Comme par hasard, certains chercheurs ont constaté que ce mot signifiait « Je ne comprends pas ! ». Ainsi a été découverte l'étymologie du mot « Kangouru ». Au XXIe siècle, dans un zoo, deux kangourous discutaient tranquillement de leurs problèmes courants : K1-F: Pourquoi devons-nous mentir dans des moments décisifs? K2-M: Pourquoi devons-nous nous disputer quand pouvons communiquer gentiment? F: Pourquoi tu ne peux pas comprendre mes opinions? M: Pourquoi tu ne peux pas accepter mes opinions? F: Je ne comprends pas! M: Je ne te comprends pas! F: Tu es tellement difficile, ouf, étrange... et bien d'autres adjectifs qui ne me viennent pas à la bouche maintenant.


M: Tu ne peux pas accepter les opinions d`un autre. Tu n'as pas la capacité d'ambiancer un moment difficile. Tu exagères à tire-larigot. Tu veux liberté, respect, amour sincère, mais tu ne les offres jamais! Je ne te comprends pas! F: Moi? Mais toi? Tu ne fais rien quand il faut, toujours tu dis….plus tard. Et plus tard et toujours trop tard. M: Tu transformes mes battements de coeur en douleurs de tête!

F: Ce charivari de tes cordes vocales passe au delà de moi.Tu ne comprends pas que nous nous fermons dans notre propre logique, en répétant les mêmes raisons et notre conversation se transforme en deux monologues qu'aucun n`écoute !! M: Nous nous entendons, mais nous ne nous comprenons pas. C'est comme les singes diraient « Uhuhu » sans « haha », comme l'éléphant ne verrait pas sa trompe, comme les serpents ne changeraient pas leur peau. F: Mon Kangourou, pour ta vitesse maximale de 74 km/heure, tu as rapidement reflechi !

M: Merci ! Tes compliments me font rougir dans cette discussion presque normale. F: Tu vois que nous sommes pathétiques? M: Oui, et je comprends pourquoi. Qu'est-ce que fait ton coeur en ce moment? F: En ce moment, mon coeur fait tohu-bohu.

M: Je suis un hurluberlu...


F: Pourquoi? M: Parce que je n'ai pas remarqué que tu t'éloignais de moi, tu ne me parlais plus, tu t'enlivrais d'une manière qui me dérange encore car tu lisais d'autres histoires d'amour parce que je t`en offrais pas la notre.

F: Tu crois que ta lucidité momentanée et quelques beaux mots me feront oublier de toutes les conversations pénibles des sourds-muets, de tous les problèmes superficiels, mais qui toujours ont déclenché des guerres, de tous les reproches pour rien? C'est une faribole ! M: Mais... tu sais que les gens se disputent parce qu'ils ont peur d`avouer qu`ils pensent, croient, sentent vraiment. F: Je ne comprends pas, mon Kangourou! M: Tu fais un pléonasme.

Professeur: Talpalariu Viorica

Panainte Cosmina, Collège National Mihail Sadoveanu, Pascani, Iasi


Réverbération du trac icolae Greavu Emanuel N Făgăraş C.N."Radu Negru" Simona LidiaProfesseur: Grecu

Une salle pleine à craquer, bondée de spectateurs de marque. Pour la plupart, de vrais connaisseurs dans le domaine de la musique classique. Tous les notables de la ville s'y sont rassemblés pour un régal de pièces musicales appartenant à des compositeurs célèbres. Mon meilleur ami, Gilbert, un hurluberlu ayant l'allure d'un dandy et voulant passer pour le plus stylé des hommes, s'y trouvait lui aussi, dans les premiers rangs. J'ébauche un grand sourire et un signe de la main à l'intention de mon ami, mais il ne m'aperçoit pas, car il s'entretient avec une dame de la haute société. De toute évidence, c'est lui qui, avec sa voix timbrée de baryton, savait ambiancer toute fête. Ce n'était pas le genre d'homme à s'enlivrer, mais plutôt le type du bon viveur qui aime à boire et à manger à tire-larigot. Au dire de plusieurs de nos concitoyens, il aurait été surpris maintes fois marcher en zigzag dans les rues et ruelles de notre belle ville respectable. Cela n'empiétait guère sur ses qualités de musicien versé, et tout ce que les gens racontaient aux dépens de mon ami Gilbert, il me semble, n'étaient que des fariboles. Tout d'un coup, je me retrouvai au beau milieu d'un charivari engendré par des instruments détraqués qui se lamentaient tout en poussant des sons effroyables, au milieu des huées de la salle où les spectateurs criaient à tue-tête en proférant des injures à l'adresse de ma prestation. Dans ce tohu-bohu j'eus l'impression d'être remonté jusqu'au chaos primitif des origines du monde, à l'empire duquel je tentais en vain d'échapper quand paf ! je m'écrase contre la descente de lit de ma chambre à coucher. Je me frotte les yeux et, ouf, je suis tout soulagé, car je me rends compte que je viens de cauchemarder. Heureusement, je l'ai échappé belle. Ce n'était qu'un rêve, mais quel rêve ! J'ai déjà le trac, car ce soir je dois soutenir ma première représentation devant un public sélect, dans le cadre d'un festival international. J'ai oublié de vous le dire, mais je suis chef d'orchestre. Je suis ambitieux et je voudrais décrocher le premier prix. D'autant plus que cela me permettrait diriger l'orchestre de notre ville pour une période indéterminée. Le cauchemar n'a fait qu'aiguiser tous mes sens et me rendre plus résolu dans la poursuite de ce but. Je n'arrête plus de me figurer la soirée ambiancée par mon meilleur ami Gilbert en l'honneur du gagnant.

Film

„Une petite surprise“ Voidoc Francesca - ValentinaCâtea Bianca - Teodora ? coala Gimnazială satul Cleja, com. Cleja-Bacau Professeur: Dobo? Monica

https://www.youtube.com/watch?v=cyp6958QQyI&feature=youtu.be


Le voyage dans le temps a Rotariu Oan in” Paşcani ost C tic „Miron Liceul Teore r: Dascalita Elena Professeu

Avant que le voyage en temps soit inventé, Je croyais que ça n'était pas du tout vrai. Alors, c'est pourquoi j'ai décidé de me retourner Pendant le Moyen Age, oui, meme naguere. Le chemin jusque la n'était ni long, ni court, Seulement confus il m'a paru. Des chevaliers, des rois et des châteaux Toutes des choses qui n'ont pas besoin d'un taux Mais qui puissent m'étonner Comme, par exemple, un pompier. Le soleil était dessus Quand un tohu-bohu, en face de moi, j'ai vu. C'est a ce moment-là que j'ai rencontré Un hurluberlu tres fatigué. Son nom – Je le lui ai demandé Sans avoir espéré de l'aimer. En effet, Pierre se comportait comme un fou, Un homme qui semblait un peu imprévu. Ensemble on s'est dirigé vers une colline, En zigzag comme une abeille s'aligne Et timide, je lui ai posé une question: - Quoi exactement fais-tu dans cette région? Il m'a regardé et à tire-larigot Il m'avait répliqué, en tirant son sabot: - J'ambiance des gens de sang royal, Les gens de Portugal, Des gens de basse source et modestes Mais, je reste toujours triste. - A cause de quoi? Peux-tu me dire? - Je ne veux plus souffrir. J'ai ce colis timbré, Plein de livres d'un pays éloigné… - Ah, mon petit bouffon, tu aimes t'enlivrer. Quel dommage que tu ne veux pas changer! La réalité ne t'agrée pas. Tu ne sais pas d'où tu viens et encore où tu vas. Il a voulu riposter. Je suis sûr qu'une réponse il avait à me donner, Mais un charivari s'est entendu, Un arbre a été abattu, Une caleche sur les plaines, Un ouf dispersé par l'air... Et je me réveille en or. Ont été toutes des fariboles? D'ou je viens, ou je pars? Tout n'a été qu'un reve épars? Hélas...


La querelle des livres na Boghean Alexandra Ioa stin” Paşcani-Iaşi “Miron Co Liceul Teoretic r: Dascalita Elena Professeu

Sur un rayon de bibliothèque, deux livres y mettent de l'ambiance, en se disputant l'un et l'autre concernant ses savoir-faire. Un gros livre à couverture rouge, avec un immense titre “Dictionnaire de français” demande poliment à son voisin, un petit roman avec une histoire troublante. D: - Monsieur, vous pouviez me donner un synonyme pour le mot “agitation”? R: Excusez-moi, je ne comprends pas ce que vous dites, répond aussi poliment le voisin assez pâle. D: - Ouf! Donc, c'est vrai, dit le gros livre rouge avec une malice visible, j'oublie que vous n'êtes qu'un petit roman avec des histoires fantastiques et que vous ne savez pas parler comme nous, les dictionnaires, par ordre alphabétique, avec un baggage immense de mots offerts à tout le monde. R: - Des fariboles. Tu dis n'importe quoi. Avec mes histories pleines d'héroisme et accablantes, je peux émotionner chaque homme et, à la fois, je lui transmets des messages moraux qui sont nécessaires pour l'éducation.. D – Blah, blah, blah! Je crois que tu n'es qu'un hurluberlu qui raconte des histoires irréelles avec des fées et princesses….Des mensonges. R – Tais-toi! Je fais la gueule.. Réellement vexé, le roman se met en colère et, soudain, dans la bibliothèque, un charivari s'entend, laissant un long echo écrasant, de sorte que tous les autres livres ont éclaté en cris pointus. Les livres s'étaient groupés en supporters. C'était le bordel! D: Garde ton calme, mon vieux! C'est la vérité. R: Tu es envieux, puisque, quant à toi, le monde te cherche seulement quand on a besoin de toi. En revanche, je relâche les gens, je leur transmets de la bonne humeur. D: A nouveau, des fariboles! Comme j 'ai déjà dit, tu inventes des contes et à la suite de ces belles histories avec un final toujours heureux, les gens s'enlivrent et se laissent mentis par toi…..Rien de sérieux, tu n'offres qu'un tohu-bohu, rien de clair, rien de systématique!! R: Tu ne t'y connais pas à ce genre d'écriture. Cela va de soi que les gens cherchent autre chose que de simples mots enfilés sur des milliers de pages. C'est assez ennuyant! D: Il se peut que tu aies raison, mais tu dois reconnaître que sans moi, le dictionnaire, tu n'aurais pas eu la chance d'écrire les histories. A force de mes mots, tu as créé tes formidables contes. R: Arrête avec ça! Il ne faut pas que tu me reproches. D: Ce n'était pas un reproche! Je veux faire la paix avec toi, c'est tout! R: L'orgueil est trop grand et mes pensées sont en zigzag. D: Ca arrive, mais……tu sais, c'est mieux de prier quelqu'un de rédiger une page pour toi, envoie-la timbrée à destination “tout le monde” et en demande l'avis aux gens. Tu verras lequel de nous est le plus utile….. Toute cette querelle aurait continué si, tout de suite, les livres n'avaient pas été interrompus par deux gosses qui vinrent emprunter quelque chose à lire. L'un d'eux a eu besoin d'un dictionnaire, l'autre a préféré le roman qui s'intitulait ostensiblement “Orgueil et préjugés”. Ils sont partis tous les deux s'enlivrer pour quelques heures dans l'univers passionnant des bouquins qui ambiancera leur vie d'une manière inoubliable.


Je suis seule dreea Nae Raluca-An a "Tudor Vianu“ ic at nal de Inform Colegiul Natio r: Manz Mariana-Eliza Professeu

Nous naissons, Nous vivons, Nous mourons. Nous passons par l'enfance, l'adolescence et l'âge adulte. Notre vie entière est un chemin en zigzag Parsemé avec des obstacles, Et parfois, il fait beau pendant notre voyage, Et parfois, le ciel pleure pour nous Avec des gouttes salées de tristesse et de chagrin Ou des gouttes douces de bonheur et de joie. On dit que l'enfance est la plus belle periode. Le chemin est formé et guidé, Tout le monde essaie d'ambiancer nos vies. Entre les cris du bébé et l'apprentissage du compter, Nous essayons de comprendre que nous sommes vivants, Des êtres humains vivants. Et quand nous le comprenons, Nos vies changent complétèment. Comme ados, nous vivons dans un tohu-bohu continu. Les responsabilites crient dans nos oreilles come des charivaris, Mais le besoin du plaisir suprime les autres nécessités. Hurluberlus dans une société avec des attentes elevées, Nous vivons par nos règles propres. Nous nous cachons dans nos chambres Pour nous enlivrer devant un livre ravissant et ecouter de la belle musique. Nous passons les soirs au centre-ville Nous nous enivrons avec de l'alcool de mauvaise qualité, Nous fumons des cigarettes bon marché, Nous tombons amoureux. Et apres ça, nous ne nous enivrons plus avec des boissons, Mais avec l'essence de l'amour, Et nous ne fumons plus, Mais nous inhalons l'odeur de sentiments. Nous pourrions paraître timbrés, Mais je peux vous assurer Que nos fariboles et les nuits blanches Passées au téléphone avec nos amis, Elles ne sont pas une perte du temps. Le chocolat mangé à tire-larigot Est notre meilleur ami quand la mélancolie prend le contrôle.


Ouf ! Nous sommes comme ça, Les ados d'aujourd'hui. Nous sommes inadaptés et étourdis, Nous sommes excentriques et introvertis, Nous gardons en nous toutes les sentiments, Nous sommes tout ce que nous pouvons être, Mais nous ne sommes pas ce que nous voulons être. C'est une lutte constante avec nous Pour trouver le bon chemin, Pour nous nous trouver à l'intérieur de nous. Et la bataille est difficile Parce que nous sommes seuls même quand nous sommes entourés par des autres. C'est la nature humaine. Nous, séparément, vivons cette vie. Nous sommes nés seuls, Nous vivons seuls, Nous mourons seuls, reea u“ aluca-And R e a N udor Vian Tout ce que nous sentons, nous sentons seuls. "T a c ti a m Infor a Et maintenant je suis seule, ational de riana-Eliz a Colegiul N M z n a M : Et j'ai peur. Professeur

La soif qui ne s'apaise jamais 0C A BIANCA, 1 IN T IS R C IN DOBR IA IS » MANGAL T A L L A C « E RIQU LYCÉE THÉO EIZI GISEL F r: u te a in rd o Professeur co

Beaucoup de gens sont aujourd'hui pris entre leur travail et leurs affaires à gérer. Ils disent qu'ils sont occupés et qu'ils n'ont pas le temps de lire. C'est dommage, parce qu' en lisant on peut se transférer dans un autre monde où il n'y a ni travail, ni beaucoup de choses à faire… Il y a justement de la curiosité, du suspense et du bonheur… les ingrédients principaux qui constituent la voie de s'enlivrer. Si on lit beaucoup, on sera plus heureux et on pourra être pris dans le sujet du roman avec beaucoup de questions dans notre tête, comme par exemple: « Et qu'est-ce qu'elle fera, la fille ? » « Elle se décidera de partir ou de rester avec ce beau garçon qui l'aime ? ». On sera captivé par tous les personnages et toutes les actions qu'ils déploient. Ce sera un monde plein d'imagination et de grandes idées. S'enlivrer est comme la soif qui ne s'apaise jamais. Plus on lit, plus on est assoiffé de lecture.


Grille

lia Élève: Tãnase Iu stanţa - VIIIe n o C le No 8, ia as n ym G le o amelia Éc ur: Paraschiv C te na di or co ur Professe Lisez les définitions et complétez la grille: 1. Petite chose sans importance… 2. Une personne extravagante, étourdie. 3. Animer une soirée. 4. Le président de la Republique Française est…… 5. Grande bruit collectif, tumulte, vacarme. 6. En grand quantité (loc. adv.). 7. La capitale de la France est …. 8. Le ………… est un animal préhistorique ancêtre du loup dont le nom signifie un bruit confus, tumulte 9. Soulagement ( interjection). 10. S'enivrer de lectures. 11. Suite de virage. 12. Un peu zinzin (fam.) A-B -> …… l`usage en commun du français

Solution: 6. À tire-larigot; 7. Paris; 8. Tohu-bohu; 9. Ouf; 10. S`enlivrer; 11. Zigzag; 12. Timbré. 1.Faribole; 2. Hurluberlu; 3. Ambiancer; 4. François Hollande; 5. Charivari;


! SITE ! Feleaga Dragos Ecole Gymnasiale,,Principesa Margareta'', Bucarest Professeur: Constantin Isabela

http://dismoidixmots.net16.net/

Amoureuse à la folie

Ivan Victoria Lycée Théorique „Traian“, Bucarest Professeur: Simona Tatu

MIHÃILÃ ANDREEA-IOANA COLEGIUL NA?IONAL PEDAGOGIC „?TEFAN CEL MARE” BACÃU Professeur: IOSUB MARICICA

LES FRANCOPHONES EN FÊTE


Les hurluberlus Popescu Aida esti'-Dolj C.N. 'Fratii Buz limpia O Professeur: Popa Jacques était dans la bibliothèque quand, pour la première fois dans des années, elle est devenue un petit peu plus qu'un endroit pour ceux qui aiment s'enlivrer. Il faut préciser une chose à propos de ce Jacques : il déteste le bruit. Il est un vieil homme qui ne peut pas supporter le charivari de ces terribles ados de ses jours. On peut dire qu'il est un peu timbré : il n'aime pas la musique, les foules ou sa femme, alors ce jour a été son aperçu de l'enfer. D'abord, il a vu un jeune homme entrer dans la salle avec son ami africain. Il n'aime les africains non plus, mais ce n'est pas de la discrimination, comme il n'aime personne. Et puis, il a ses raisons précises : il ne comprend jamais ce qu'ils disent. C'est pour cela que notre bibliothécaire se dit avec irritation : « Pouah ! Je parie qu'il est venu ici juste pour « ambiancer » et l'autre n'est pas mieux non plus. Bon Dieu, qu'est-ce qu'il est bizarre avec ses cheveux en couleurs et le parfum qu'il utilise à tire-larigot! » « Qu'est-ce que vous voulez ? Et dépêchez-vous ! J'ai un roman à finir. » Les deux gars se regardent et l'un d'eux répond : « Nous avons perdu notre rat, monsieur. Est-ce que vous l'avez vu? Nous l'avons cherché partout. Si vous nous donnez un coup de main, nous vous serons reconnaissants. » Jacques était sur le point de leur dire qu'il s'en fichait de leur rat et de leurs fariboles quand il a entendu un cri venu de la salle a côté. « Oh, c'est un rat ! » Une femme en est sortie tout effrayé, armée d'une palette énorme. L'animal a traversé la salle en zigzag, ignorant la souffrance qu'il avait provoquée, essayant de se protéger contre la palette. Les deux garçons ont commencé à crier et voilà le tohu-bohu que Jacques avait prévu. « Mais arrêtez ce vacarme ! Ce n'est qu'un rat ! » Malheureusement pour Jacques, le rat était terrifié, tout comme ses deux propriétaires et surtout la pauvre femme. Jacques est retombé sur sa chaise et a dit en fatiguant : « Ouf ! J'ai immédiatement su que ces hurluberlus allaient gâcher ma journée ! »

“ u l r e b u l r u „H l

Petrov Danie

elta Dunarii“

omic "D Colegiul Econ

a Violeta

im Professeur: S


Mon pays idéal?? , 9D XANA MARIA -CONSTANŢA O R IU O IŢ CHIR GALIA LATIS » MAN L A C « E U IQ R RCU PEGHI LYCÉE THÉO Professeur: MA

? a nuit passée, j'ai revé L Que j'habitais dans un pays parfait. Alors, le bonheur, je l'y ai trouvé. Ce ne sont pas des fariboles! Ce pays? Je l'ai aimé. Il n'y avait pas d'hurluberlus, ou d'hommes timbrés. Chaque citoyen connaissait L'art de l' ambiancer. A tire-larigot rien n'était Et tout le monde aimait s'enlivrer. Sans charivari, sans tohu-bohu, tres content j'étais. Mais en peu de temps je me suis ennuyé a mourir! Soudainement, j'ai vu un zigzag plein de vie. Je me suis réveillé. «Ouf!», ai – je dit soulagé. Et j'ai réalisé: J'aime mon pays ainsi… Un peu, passionnément, beaucoup... Je l'aime a la folie!

Petrov Daniel Colegiul Economic "Delta Dunarii“ Professeur: Sima Violeta


Équilibre instable dra et Tita Alexan a in Ir cu es n Birsa zesti' Dolj C.N. 'Fratii Bu Olimpia pa Professeur: Po

Alors que la nuit enveloppe le monde, une hurluberlue se promène... El le n'a pas peur des sentiments ou des personnes... Elle s'en va ambiancer les étoiles dans le ciel. Murmures et ombres, à tire-larigot... Ouf, elle est si fatiguée… mais toujours debout ! Un équilibre instable règne de tous côtés. Elle est faribole, mais encore pieds sur terre. Elle marche en zigzag, elle est tombée de la lune, elle est timbrée. L'équilibre est détruit, elle se sent s'enlivrer. Une hurluberlue se promène dans un charivari déjà éteint... Dans son rêve, elle se dit :

Petrov Daniel Colegiul Economic "Delta Dunarii“ Professeur: Sima Violeta


C'est toujours moi… LIA EAVA PINTILIE DE " SIRET-SUC A D O -V U C T A LETA CHNIQUE "L COLLEGE TE sseur: PIESZCZOCH NICO fe Pro J'ai peur du noir Tout ce charivari de ma vie! Il est tard. Tu me dis des mensonges romantiques Je suis hurluberlue. J'ai un OUF Les nuages me demandent l'identité Un arc en ciel me recherche Sur les épaules, menant à tire-larigot des fleurs. Tohu-bohu dans ma vie Tout est un peu timbré. Gouttes de ciel tombent En racontant de fariboles discours Je m'enlivre dans les mémoires J'ambiance le soir J'aime le prendre en zig-zag.

Petrov Daniel Colegiul Economic "Delta Dunarii“ Professeur: Sima Violeta


Le miracle du trois NDRA, 11E BURUIANÃ A MANGALIA-CONSTANŢA » E « CALLATIS U IQ R O É H T RCU PEGHI LYCÉE Professeur: MA

« - Ouf ! C'est assez lourd ! » « Quel tohu-bohu il fait ici! » « Donne- moi un coup de main ! » Ces sons volaient en zigzag dans mon cerveau. Je suis très nerveuse en ce moment-ci. Je serais tellement heureuse si je les oubliais ! Ou si je recevais une bonne nouvelle. Mon ami est à l'hôpital à cause de moi. Hein ! peut-être non totalement, mais je m'en sens coupable. Si je l'avais aidé, il n'aurait pas été dans ce lit. Quoiqu' on se dispute assez fréquemment et, de temps en temps, je me fâche tout rouge, je tiens à lui ! Puisqu'il est hurluberlu, comme moi ! Il est 3 heures de l'après-midi. Oh, là !là ! Le fatidique numéro trois. On sait des choses à tirelarigot sur le mystérieux numéro trois. Oui, les bien connus contes de fées que les élèves étudient à l'école : « Trois jours et trois nuits » ; « Les trois fils du roi ». Quant à la religion, on parle de la Sainte Trinité chrétienne. Mon Dieu, si Tu m'aidais… Pour moi, ce chiffre a d' autres valeurs. Par exemple, c'est à trois heures, le 12 décembre 1996, que je suis venue au monde. Voilà : un et deux pour le premier et le second 12, ça fait 3 ! C'est le numéro 1996 qui est particulier. Il est composé par trois séries de trois : neuf pourrait être 3 multiplié par 3, l'autre neuf serait trois exponentié à deux et le dernier chiffre, 6, c'est 3 auquel on ajoute 3 en une fois. Trois, trois…à cette heure-là, il y a trois jours, il est arrivé quelque chose de mal à mon ami. Je voudrais m'enlivrer le plus souvent possible. Je veux plonger dans un autre univers. Je veux m'enivrer de lecture. Je dois siroter chaque mot, chaque lettre ! Je dois m'unir à l'histoire présentée. Je dois oublier ce qui s'est passé. Malheureusement, c'est impossible. Comme si une force me fût arrêtée ! Très bien ! Je vous avouerai la raison pour laquelle mon ami est à l'hôpital. Il détalait un petit fauteuil rouge, pour ambiancer sa chambre. Il y avait énormément de charivari, de sorte que je m'étais résolue à voir ce qui s'était passé. Mon ami voulait que je l'aide. Je lui ai dit qu'il m'était impossible, car j'avais mal au dos en ce moment-là, et bien que je le lui aie expliqué, il pensait que c'était une faribole. À ce moment-là il s'est heurté à la foule de joujoux. Quel timbré ! Heureusement, le fauteuil ne l'a pas endommagé, mais parce qu'il est tombé, son menton et ses dents se sont cognés au sol. Il est trois heures et trente-trois minutes. Je me sens si bien actuellement ! Attendez un moment, il y a mon portable qui sonne ! « Bonjour ! Oui, c'est moi ! Il veut me voir ? Dans 30 minutes, je serai là ! » Mon Dieu… Peut-être le déshospitaliserait-on ! Je vois en zigzag, car les émotions m'ont saisie. J ’arrive à l'hôpital. « Où est mon ami ?» pensais je. Trois minutes après, je reçois un coup de téléphone de lui: « Viens dehors, s'il te plaît ! » Quel miracle, je l'ai trouvé ! J'en suis très ravie, étant donné que je le vois après trois jours pleins d'émotions ! Ces moments m'ont déterminée à apprécier davantage mon ami. Il faut qu'on aime nos familles, nos amis, parce qu' un jour, Dieu les appellerait chez Lui. Et alors, qu'est-ce que nous ferions sans eux?


Une folle journée N SABINA VA GHEORGHIA IRET-SUCEA S " A D O -V U ATC CHNIQUE "L OLETA COLLEGE TE sseur: PIESZCZOCH NIC Profe

Ma famille dit que je suis un peu timbrée, mais moi, je ne savais pas pourquoi elle le pensait, mais aujourd'hui j'ai compris. Me demandez-vous pourquoi? J'allais dans le chemin et un instant plus tard j'ai vu un zig-zag de lettres.Oui de lettres, c'est un peu hurluberlu! Je crois aussi que je suis folle parce que ma vie est tohu-bohu.Ouf! Pourquoi ma vie est si compliquée, pourquoi la solitude m'envahit? Je crois que j'ai entendu un charivari …ce sont mes parents…j'ai ambiancé la situation…je suis calme. J'ai acheté un bouquet de roses, elles sont fariboles, mais leur odeur est fraîche. Je suis hurluberlue et un peu extravagante, en fond c'est tire-larigot… Je vais chez moi pour m'enlivrer et terminer ma journée.

Petrov Daniel Colegiul Economic "Delta Dunarii“ Professeur: Sima Violeta


Mon ami Pierrot ndrei Agavriloaei A teşti-Iaşi zială Bră Şcoala Gimna reniuc Mihaiela ate Professeur: C

Ouf!!! Mon ami Pierrot Lit à tire-larigot. Il s'enlivre dans la lecture Comme un gourmand dans la nourriture. Dans son monde gri C'est toujours un charivari Les livres en zigzag Forment un grand domino standard Mais dans ce tohu-bohu, Mon ami hurluberlu, Peut bien ambiancer Un joli monde de fées. Oui, il est un peu timbré Mais qui est aujourd'hui parfait ? Ça c'est une vraie faribole Car nous sommes des fantômes.


Dix mots … à la folie – Mots cachés na Sîrghie Maria aşi zială Brăteşti-I Şcoala Gimna reniuc Mihaiela ate Professeur: C

ambiancer, à tire-larigot, charivari, s'enlivrer, faribole, hurluberlu, ouf, timbre, tohu-bohu, zigzag

Petrov Daniel Colegiul Economic "Delta Dunarii“ Professeur: Sima Violeta


Vision de la société l

Petrov Danie

i“

"Delta Dunari

omic Colegiul Econ

ima Violeta

Professeur: S

Il est inutile de dire combien répandue, presque tous les symptômes de l'adolescence et ce vitalisant forme a pour nous lecteurs, le texte, a premiere vue? Aujourd'hui tout le monde écrit, compose et réalise'' fonctionne'' que sur ou pas. Mon intention est d'exposer mes idées et de me mettre dans la premiere phase, celle de l'essai. Les lignes suivantes seront des dizaines de personnes. En fait et comme nous en Europe, dans quelle époque nous vivons? C'est difficile a dire, parce que, comme vous le savez, un jour, il sera entraîné par la puissance économique de ces personnes qui sont dans l''ombre''. Ces personnes ne sont pas pretes pas pret a sortir, ayant une forte autres financieres et humaines, et de contrôle et de manipulation de dire aux gens des fariboles. Race supérieure est tres facilement influencée, de maniere dispsi a croire n'importe quoi, n'importe comment, n'importe quand. Le zigzag de cette race sont un peu épais, il peut, dans certains pays, les gens ne vivent pas bien. Par exemple, je sais que beaucoup de gens qui ont des amis est allé en Allemagne ou en France et avoir une vie meilleure qu'en Roumanie. Pourquoi? La réponse est simple tr abouti a un simple mot: la confiance. Cette confiance est basée sur l'intelligence, le respect et l'éducation. I, le citoyen romain, j'ai vu beaucoup trop pour moi une image du monde autour de moi. Meme si je suis 17, je peux dire qu'en Roumanie il ya un tohu-bohu infini. Tout d'abord, le plus défaut, c'est l'éducation. Enfants 10-11 ans en sont venus a marcher dans les rues jusqu'a deux heures du matin ou sont préoccupés par les relations sur facebook. En effet, certains en raison de la modernisation industrielle des technologies de l'information, ne savent pas lire ou écrire. Pourquoi? Toute la journée mon oeil sur la tablette, mobile, a tire-larigot plus intelligent qu'eux et leurs parents. L'introduction de comprimés a l'école secondaire ou meme dans la préparation, c'est une grosse erreur. Qu'est-ce que j'ai confiance dans la préparation de mon enfant depuis plus de vingt ans? Je peux le laisser a l'école? Puis-je faire confiance a des enseignants? Il suffit que je pouvais. Je voudrais attirer l'attention sur la façon de s'habiller des enfants depuis et il a un impact sur la société et leur avenir. Les enfants étaient dignes de respect avant aujourd'hui, mais ils sont vulgaires dans le comportement et plein d' hurluberlu. En effet, nous sommes dans un pays libre, mais au moins l'une de ces valeurs démarquer positivement. Deuxiemement, la violence est partout. Ceux qui vivent sur ?le bloc, j'entends tous les jours timbré des voisins ou de la charivari. Il est naturel que dans un pays européen, la femme touchée par un homme, qu'il est venu a l'hôpital? Il n'est pas normal pour un pays civilisé. Il ya des lois modernes sont changées tous les jours, mais personne ne fait rien comme les gens a suivre. Outre la violence se produit deux et la violence dans le football, dans le trafic entre les pilotes ou les boîtes de nuit. Pourquoi placer ces malentendus? Il n'ya pas de réponse concrete, mais a mon avis, en raison de l'alcool et des drogues. Un autre exemple serait quand un enfant si vous remarquez des combats de la famille, il prectica a l'avenir, et pas nécessairement la femme, mais tous les gens autour. Voir? L'éducation et la négligence sont au premier plan. Mais vous pensez que les mauvaises parties s'arretent ici? Non, je pourrais écrire des pages entieres, mais je vais m'arreter ici. Un verdict devrait etre: nous avons besoin de toute urgence d'un changement! Mais de qui ce changement venir? Je n'ai pas trou Passons aux bonnes parties. La question est: y at-il? Uof! C'est difficile a dire, étant donné que nous sommes parmi les premiers en Europe ou l'analphabétisme est prononcé. Tous ces problemes auxquels la Roumanie et d'autres pays devraient prendre une mesure correcte et efficace. Quelle est la bonne et efficace? Personnes Way pensent et agissent comme ils le souhaitent leader fort qui peut utiliser timbré a tout moment et peut conduire a un changement radical. Vivre dans un ambiance, il n'y a pas de familles vivant dans la rue nécessite l'attention de ceux qui doivent s'occuper. De plus, les emplois pourraient diversifier a moins qu'ils ne fermer de nombreuses institutions. Pour l'éducation des enfants peut utiliser la solution sans organismes sans but lucratif, car elle favorise l'éducation par l'amusement et pour que les enfants peuvent etre attirés a l'école. Les gens avec les possibilités financieres peuvent investir dans la construction de ces centres au profit de la société. J'espere que ma vision de cette idée est retenu l'attention, et ces lignes ont été compris!


La folie des semeurs et leurs fariboles udia -Elena Ciuculescu Cla Buze?ti- Craiova nal Fra?ii dalena Colegiul Na?io ina Maria-Mag Il : r eu ss fe ro P

ots Dis- moi dix m sots Semés par des , oh ! Après avoir bu A tire-larigot anie Juste en Roum Quel charivari i? Ont-ils poursuiv rant Tout en s' enliv t Et en s'enivran g? Vont-ils en zigza vagues ? Ont-ils fait des voulu Certes, ils ont rluberlus Comme des hu

hu-bohu Ambiancer le to nt Semé auparava rant Sans rien timb mme eux Par d'autres co s chanceux Peut -être moin tter Qui ont beau lu r A nous dénigre jà dit Ouf ! Ils ont dé nti ? Qui nous a me l' incendie. L' ivraie sera à

Petrov Daniel Colegiul Economic "Delta Dunarii“ Professeur: Sima Violeta


J'aime à la folie mon jardin aria Popescu Ana-M andri“ Bucarest cs iale „Vasile Ale Florentina Ecole Gymnas o ragan Str eProfesseur: Ba

Je dois vous présenter mon jardin qui est un peu hurluberlu et que j'ai ambiancé tant que j'ai pu. A cet endroit il y a beaucoup d'animaux différents. Ils sont étranges. Ouf, ils ne sont pas tranquilles parce qu'il font de temps en temps un grand tohu-bohu ! Dans la basse-cour les jars sifflent,les dindons glougloutent et les poules caquètent près de leurs petits poussins. Le matin et le soir quand maman leur donne à manger le bruit s'intensifie de plus en plus. Le coq avec sa voix timbrée fait un grand charivari et appelle ses bien-aimées autour de lui. Dans un autre coin de mon jardin il y a d'autres animaux plus paisibles et élégants. La vache et la chèvre qui broutent l'erbe tendre. Les feuilles fraîches des choux disparaissent et on ne sait pas de quelle façon. J'ai découvert que ce sont les lapins qui profitant de mon inatention les vollent sans cesse. J'ai aussi un chat,Totoi, qui grimpe dans les arbres en voulant atrapper des oiseaux. Il aime aussi les souris mais il n'en trouve pas chez nous parce que notre maison est très propre. Il en trouve de temps en temps chez les voisins. Dans mon jardin il y a un grand chien,Azor,qui garde notre verger contre les voleurs. Il est mon copain et j'aime me promener avec lui dans la forêt et jouer aussi avec le ballon. Quand il voit des étrangers il aboie à tire-larigot pour leur demontrer qu'il est mon protecteur. Je le caresse sur la tête et il me remercie avec ses yeux doux. Le soir, quand tous les animaux se reposent, les hirondelles et les alouettes donnent un vrai concert dans les arbres. Quand il fait nuit et le soleil se couche et le silence tombe sur notre jardin, seulement les cri-cri des cigales nous invitent à passer le seuil du rêve. I y a deux jours, notre jument était en train de donner vie à un petit poulain, tous le animaux et les oiseaux du jardin attandaint impatiemment le nouveau-né. Le grand jour venu, tout le monde voulait connaître la belle Marie. Quand on l'a vue c'était vraiment une fille et elle était noire, une étoile blanche au front. Ses premiers pas était les zig-zag d'un ivrogne. Il ne faut pas oublier la cane qui enseigne ses petits à nager le long de notre étang. De temps en temps, les canetons s'arrêtent pour trouver des vers de terre ou pour attraper des papillons. Mon frère, André, aime beaucoup jouer avec les petits êtres en or car ils sont tout pleins d'un gentil duvet. Quand le printemps vient, papa arrange tous ses instruments dans sa cabane à outils. Il utilise la bêche,l'arrosoir,la pelle pour planter ensuite des graines de persil, de radis et des carotte. Il cultive dans le tunel en plastique des tomates, des salades et des poivrons. Papa aime beaucoup travailler dans son potager et dans son verger. Son verger est un vrai paradis parce qu'ici on trouve des arbres fruitiers très variés. Au printemps commence la fête des fleurs. Les premiers fleurissent les abricotiers, les pêchers,ensuite les poiriers, les pommiers, les cerisiers et à la fin les cognassiers et les noyers, chacun à sa couleur vive et son parfum délicat. Des coccinelles, des papillons et des abeilles volent sans cesse dans l'air et s'arrêtent pour se reposer ou pour cueillir le nectar des fleures. Le printemps est vraiment une merveille pour mon jardin parce que le soleil rechauffe la terre avec ses rayons et donne vie à toute la nature, les plantes.les animaux,les insectes et tout d'abord les gens. Dans nos cœurs le bonheur et la joie fleurissent et dégèlent tous les mauvais sentiments reçus pendant les longs jours d'hiver. Pour moi,c'est un jardin fantastique, mais peut être, cette hostoire, que je vous ai racontée, vous la trouvez faribole.


Blogue

www.folieblog2014.blogspot.ro

MARINICĂ ALEXANDRU et FRONEA CĂTĂLIN, Xe A LYCÉE THÉORIQUE « CALLATIS » MAGALIA-CONSTANTA Professeur: MARCU PEGHI

Audio: Une histoire d’amour https://docs.google.com/file/d/0B8K0TUp-dXf1TF8xSExtR1EteFU/edit

Talpau Andreea Colegiul National „Mihai Eminescu“ Iasi Professeur: Oana UNTU

Le zigzag Oprea Rebeca - Colegiul National Mihai Viteazul, Bucuresti Cazacu Ana Maria - Colegiul National de Muzica George Enescu, Bucuresti, Professeur: Panaite Ofelia Oana



CITATION DU NUMÉRO „La haine, c'est la colère du faible“ (Alphonse Daudet – Lettres de mon moulin)

On remercie tous nos collaborateurs pour la parution de cette revue!

Collectif de rédaction : prof. Simona-Nicoleta TATU prof. Mihai MURARIU prof. Claudia PANCHIOSU prof. Teodora PREDESCU prof. Anca RADIVOI

Couverture 1 (graphique): Simona Tatu


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.