Ana誰s AUDOU
01
Anais AUDOU ETUDES - 2015/ 2016 : Deuxième année de BTS design d’espace au Lycée Camille Claudel de Vauréal (95). - 2014/ 2015 : Première année de BTS design d’espace au lycée Camille Claudel de Vauréal (95). - 2013/ 2014 : Terminale en arts appliqués au Lycée Edouard Branly de Dreux (28). - 2012/ 2013 : Première en arts appliqués au Lycée Edouard Branly de Dreux (28). - 2011/ 2012 : Seconde en création et culture design au Lycée Edouard Branly de Dreux (28).
EXPERIENCES - Janvier 2014 : Stage de deux jours chez Optimium Architecture intérieure-design (1 rue Sadi Carnot, 92120 MONTROUGE) avec une participation à un projet. - Participation à un projet confidentiel d’entreprise en design d’objet. - Partenariat avec le site archéologique du Val d’Oise (projet de micro-architecture). - Partenariat avec la Maison des Arts de Vauréal (projet d’architecture d’intérieure). - Partenariat avec le Théâtre de L’Apostrophe (projet de scénographie).
02
06.48.12.19.59 (mobile) 02.37.82.77.97 (maison) anais.audou2@hotmail.fr 9, chemin des beurriers 28210 SENANTES FRANCE 19 ans, Titulaire du permis B - Juin 2015 : Stage d’un mois chez SBBT Architecture ( 1 Allée des Atlantes, 28000 CHARTRES) avec une participation à certains projets. - Membre du comité de la Petite galerie (galerie d’exposition au Lycée Camille Claudel) Chargé du graphisme et de la communication.
DIPLOMES - Brevet des collège mention “assez bien”. - Baccalauréat STD2A mention “assez bien”.
COMPETENCES Anglais lu, écrit et parlé
Illustrator, InDesign et Photoshop
Sketchup
Autocad
Microsoft Word
Microsoft Power Point
CENTRES D’INTERETS
03
04
Je m’appelle Anaïs AUDOU. Ici je vais parler de mes projets et de ma façon d’appréhender les contextes et les demandes. Je fais ce dossier de travaux sous cette forme car malgré l’aspect professionnel que l’on doit lui donner, il faut qu’il nous ressemble avant tout. Je suis une grande enfant, j’aime les disneys, les histoires et les rêves qu’on veut réaliser dès qu’on est petit. J’avais un rêve depuis de nombreuses années : celui de devenir architecte d’intérieur. Seulement en avançant dans mes études je me suis rendu compte que ce domaine ne me correspondait pas. Pendant quelque temps je me suis perdu dans mon orientation. J’aime ce que je fais mais pas assez pour travailler dans ce domaine plus tard et y construire ma vie. Au commencement de ma deuxième année de BTS Design d’Espace, j’ai commencé à m’intéresser au graphisme. J’ai donc essayé d’apporter un côté graphique à mes projets et j’aimais vraiment travailler cet aspect. Par la suite, j’ai était une journée en «stage» avec un ami de la famille qui travaille en tant qu’infographiste dans le packaging. Il fait notammment toute la gamme «élodie» d’intermaché. Cette journée m’a beaucoup plus apporter qu’une journée pendant mon stage de fin d’année dans une agence d’architecture. J’avais trouvé mon domaine. A partir de là, j’ai travaillé de mon côté en apprenant à mieux maîtriser les logiciels et à exploiter l’aspect graphique dans mes croquis. Pour progresser j’ai fais des projets en parallèle de mon cursus scolaire, comme du packaging, des affiches pour ma commune et d’autres pour la Petite Galerie dont je fais partie du comité pour gérer la communication des expositions. De travailler en plus de mes cours me permet d’avoir des contacts avec des clients. J’ai à chaque fois une demande et des contraintes, avec des rendez-vous pour des mise au point. Dans ce livre vous verrez deux univers : l’espace et le graphisme, que j’ai voulu concilier pour pouvoir progresser dans ces deux domaines, tout en me faisant plaisir.
05
06
autil, ’H l e d re La Ma mbre 2015 : 1 E te ITR CHAP r-Seine, sep u Triel-s
07
La contemplation est une application de l’esprit à voir et observer certaines réalités d’un espace. Ici on observe la mare et son environnement. On suit un sentier défini, et on y reste. On contourne la mare qui opère comme une attraction. Quand on quitte le chemin, quand on se détache de la mare, on explore les bois, on remarque la diversité végétale, on comprend le lieu. C’est en l’explorant et en voulant le comprendre, que j’ai constaté qu’il présentait une double identité. Un côté artificiel, par sa création orchestrer par l’Homme, et un aspect naturel, puisqu’au fil du temps la nature à repris ses droits et a réinvesti ce lieu, en le modifiant et le restructurant. Suite à cela, je voudrais que les gens explorent davantage le site, qu’ils puissent le découvrir ou le redécouvrir. Les structures pour pique-niquer seront faîtes de miroirs où l’environnement s’y reflètera. De ce fait, une harmonie et une interaction s’installera entre le site et la micro architecture. Pour pouvoir pique-niquer, il faudra avant tout trouver une structure qui sera camouflée. Cela les obligera à explorer, parcourir, le lieu et son environnement. Tout en répondant à un besoin, on mettra le site en valeur à travers le regard et l’exploration des usagers.
08
09
10
11
12
rs oncou ogne C : 2 ourg ITRE CHAP r, Rue de b 015 2 ie ruir’Ac , novembre t s n o C ans à Orlé
13
« Qui vous a appris, leur demanderait-il [Moïse] qu’il y avait une humanité, qu’il y avait un lien collectif entre les hommes, que les hommes formaient une unité? » (P. Leroux, De l’Humanité,t. 2, 1840, p. 506). L’esprit collectif provient du résultat d’une action commune. La rue de Bourgogne à Orléans a une appartenance collective de part ses activités et fréquentations. Elle réunit tout type de personnes, de tout âge, de tout milieu et créer un espace de pluripersonnalité. Pendant la fête de la musique, tout est plus fort, tout est accentuer et le partage est encore plus présent. Le but est alors de créer une cuisine collective qui réunirait non seulement les usagers mais aussi ceux qui font vivre cette rue. Les restaurants ne sont pas tout le temps accessible car souvent, pleins de monde à l’intérieur. C’est pourquoi il fallait une structure qui pouvait répondre à des besoins tout en la rendant accessible. Les restaurateurs contribueront au fonctionnement et s’occuperont de la cuisine, ce qui apporte un double regard collectif par son fonctionnement d’utilisation d’un groupe de commerçants et par le principe de rassemblement qu’elle va engendrer. Le Cub’à emporter va également redonner une fonction à une façade de commerce qui est fermé. En s’intégrant dans la rue de cette façon il ne pertubera pas les autres commerces et ramènera une valeur commercante au bâtiment. Cette mobilité est permanente et marquée par la remorque qui ne fait qu’une avec la structure et qui amplifie cet aspect d’éphémère d’un évènement. Les cubes de réserves sont fait dans ce même principe de mobilité, facile et praticable par tous. Avec sa partie coulissante elle apporte deux manière différentes de l’utiliser, et de l’appréhender. Le cuisinier peut avoir un acccès direct visuel, auditif et physique avec l’extérieur et le public à une relation immédiate avec la cuisine. Alors que dans le deuxième cas, il se retrouve plus isolé et est dans une véritable enceinte de cuisine, les clients eux se retrouvent dans une zone d’accueil qui rappelle une salle de restaurant. Elle a deux caractères en fonction de deux domaines culinaires différents : le snack et la restaurant. Tout en repondant à des besoins, le Cub’à emporter va permettre de redonner une fonction à une façade qui est devenue inexistante, et d’amplifier les valeurs festives et de partage qui existent déjà dans cette rue.
14
15
16
17
18
e rojet d vier P : 3 , Jan ITRE CHAP e, ONKALO i graph 2016 o n é c s
19
Le récit se divise en trois tableaux, illustrants chacuns une étape de la relation qu’entretient l’Humain avec sa création, cette puissance régissant l’univers qu’il maitrise alors, l’énergie atomique. Le premier acte présente la découverte de la matière radiocative; la fascination qu’elle engendre est l’object d’une veritable célébration. Des rites, aux tendances mystiques s’organisent autour d’elle. Dans un second temps, l’entitée sacralisé semble se developper, prend de l’ampleur, independamment à volonté de son créateur. Rupture. La matière, auparavant vecteur d’enthousiasme et d’espoir révèle sa monstruosité. Elle impose sa suprématie sur son créateur qui ne prend que trop tardivment conscience de sa dangerosité. Le monstre est incontrôlable. Nonobstant les tentatives de le contenir, à l’instar de Dédale élaborant les plans du labyrinthe afin d’y enfouir le Minotaure, les humains confirment leur impuissance face à une situation aux issues tragiques. Dans un tableau final, est donné à la vue un paysage de désolation vide de toute présence humaine. L’ère de l’humanité est définitivement résolu, mais la réprésentation continue... “Grâce soit rendue au monstre, il nous renseigne sur nousmême“ Le monstre suscite la crainte par sa cruauté, sa perversion et est remarquable par la terreur qu’il inspire. Il peut autant être associé aux mutations du corps mais aussi comme une chose abstraite qui provoque l’étonnement. Notre scénographie présente un monstre caractérisé par son immatérialité, sa présence sur scène s’exprimera par une source lumineuse, différement diffractée au cours de l’intrigue, ainsi que par une sonorité distinctive qui occupera l’espace à différentes échelles afin d’en traduire les mutations. Compréhensible, ordonné et rationnel dans un premier temps, le monstre marquera son aspect incontrolable et effrayant par une lumière forte, agressive couplée d’un son aliénant. Aussi dans une première partie, la chorégraphie visera à traduire la fascination, la sérenité ainsi que le sentiment de maîtrise des choses. Puis, les protagonistes adoperons une attitude passive, ne faisant alors que subir les caprices du monstre avant de succomber à son hégémonie.
20
21
22
e,
eri te Gal i t e P La RE 4 : 15/2016 T I P A 20 CH annĂŠe
23
TI
LU
MIERES
24
AR
FIC
I E LLES
'
É
ÉÉ È É
25
'
É
ÉÉ È É
26
Un coin de chambre Au 1er étage du CDI aux heures d’ouvertures
Vernissage
Le 18 février à 18h h
27
à
Un coin de chambre
28
29
ITRE CHAP
nnels
5 : Pr
erso ojets P
30
«Couverture de mon rapport de stage» Mise en avant des outils qui composent la journée d’un architecte.
31
SBBT ARCHITECTURE 1, allée des Atlantes, Parc des Propylés, 28000 CHARTRES
RAPPORT DE STAGE Anaïs AUDOU
32
JUIN 2015
S t r u c t u r e
Bâtiment
plan
CHARTRES
Architecture
CONSTR UCTION
«Projet de packaging pour la marque l’Arbre Vert» Je fais parti des utilisateurs de leurs produits de beauté. J’ai toujours aimé me préoccuper de l’écologie et de la vie de notre planète. Cependant je trouvais que cet aspect qui est très fort n’est pas assez présent sur leur produits. C’est pour cela que j’ai retravaillé leur packaging pour faire davantage ressortir ce côté «proche de la nature». L’arbre prend plus de place et d’importance et est composé de plusieurs nuances, telles que l’on peut retrouver dans la nature.
33
RECHA RGE
BRE VERT L’AR Pêche - Mangue
crème lavante mains ECOLOGIQUE hypoallergénique Sans al aben lergènes - Sans par
2 50
34
ml
« Affiche pour la commune de SENANTES (28)» En 2006, j’ai pris l’initiative auprès de la mairie de ma commune d’instaurer une journée de ramassage de déchets pour nettoyer nos forêts et chemins communaux. Depuis le projet perdure et je suis dorénavant charger de faire les affiches, afin de continuer à participer à ce projet.
35
36
« Cartes d’anniversaire pour les enfants » Petite, j’ai toujours adoré recevoir mes cartes d’anniversaires juste pour savoir quels dessins il y allait avoir dessus. Suite au plaisir que j’éprouve à faire des illustrations, j’ai voulu créer un souvenir de mes cartes d’anniversaire, ou celles que j’auraient voulu avoir. L’idée était aussi de créer quelque chose d’enfantin avec mes yeux d’adultes.
37
38
« Cap Canaille, Cassis » J’aime reprendre des paysages de vacances et leur apporter la vision imaginaire à laquelle je les rattachent.
39
40
« Pont du Gard » Inspiré du monde la reine des neiges, j’ai créée une boule de neige imaginaire, pour avoir un souvenir virtuel de ce lieu fantastique.
41
42
43
C
RE 6 HAPIT
stique
: Exp
n pla ressio
44
« Limites et frontières »
45
46
« La disparition » La disparition s’éffectue par l’accumulation de trames qui au fur et à mesure font disparaître les premières. C’est une référence à notre monde qui évolue par strates et qui a fait disparaître par l’accumulation de nouvelles couches, les premières qui sont apparues.
47
48
« Série de croquis »
49
50
51
52
53
54
« Mise en espace d’une chanson» Ma musique est «River in flow you» de Yiruma. Elle est douce et mélodieuse, sensible et poétique, je l’écoute avec nostalgie, en me remémorant mes souvenirs. Elle me rappelle la légèreté et la fluidité des vagues de l’océan.
55
56
57
58
59
60
Table des matières Curicullum Vitae
P 02
Prologue
P 05
La mare de l’Hautil
P 07
Concours Construir’Acier
P 13
Projet scénographie
P 19
La Petite Galerie
P 23
Projets personnels
P 30
Expression plastique
P 44
61
62